ASSE - poteaux-carres.com

Emerald77 wrote:C'est vrai mais nous on a gardé l'équipe de toubibs/kinés au complet ... En revanche au niveau des joueurs ...

Cette Eva est elle à notre portée?

Arrêtez un peu avec les droits tv de la PL, si c'est ausi élevé c'est parce que c'est largement mérité.

Mic-Mic wrote:

Alcom wrote:

Mic-Mic wrote:Organisez un match City-AJaccio, vous pouvez être sûr que les anglais ne s'arrêteront pas de jouer à 2-0 au bout de 20 minutes.

On ne le saura jamais.

Effectivement, mais il y a quand même beaucoup d'indices qui laissent à penser que ce ça serait le cas.
Par exemple le 6-0 infligé par City à QPR lors de la 36ième journée l'an dernier

J36 : PSG - Guingamp 6-0

ASSE Nice 5-0

Mic-Mic wrote:

Faiseur de Tresses wrote:

Danish wrote:Première chose à faire: arrêter de regarder la PremierLeague

Et pis les dernières fois que je regardais des matches, je trouvais ça moche en plus.

Et tu penses quoi de ce début de saison de L1 ?

Honnêtement, je ne comprends pas comment on peut préférer la L1 à la Premier League. Organisez un match City-AJaccio, vous pouvez être sûr que les anglais ne s'arrêteront pas de jouer à 2-0 au bout de 20 minutes.

Ok le big four l'est de moins en moins (fort ), mais c'est ce qui a été expliqué par Mourinho et Gradel : avec les droits TV, même le vingtième peut s'acheter un joueur convoité par les premiers. Du coup les derniers se renforcent et les premiers s'affaiblissent. Mais au moins on va avoir un championnat serré avec de belles surprises genre Swansea (d'ailleurs, ceux qui crachaient sur Tabanou parti pour l'argent, vous êtes toujours du même avis ?)

En Angleterre, ils ont quand même une habitude un peu extrême du jeu vertical. Résultat : beaucoup de déchets et des duels en veux-tu en voilà. Si tu aimes le football comme expression d'une maîtrise collective, tu restes sur ta faim.

En France, on est peut-être dans l'excès inverse, mais il y a probablement un juste milieu - outre-Rhin paraît-il. D'ailleurs, pour ce qui est de la sélection, ils ont pas beaucoup de leçons à recevoir

sam42 wrote:

Mic-Mic wrote:

Alcom wrote:

Mic-Mic wrote:Organisez un match City-AJaccio, vous pouvez être sûr que les anglais ne s'arrêteront pas de jouer à 2-0 au bout de 20 minutes.

On ne le saura jamais.

Effectivement, mais il y a quand même beaucoup d'indices qui laissent à penser que ce ça serait le cas.
Par exemple le 6-0 infligé par City à QPR lors de la 36ième journée l'an dernier

J36 : PSG - Guingamp 6-0

Et puis le PSG a mis une floppée de roustes l'an passé et on est plutôt bien placé pour le savoir (9-1 en 2 matchs au Parc ). Il y a le 6-1 contre Lille aussi.

Mic-Mic wrote:

Alcom wrote:

Mic-Mic wrote:Organisez un match City-AJaccio, vous pouvez être sûr que les anglais ne s'arrêteront pas de jouer à 2-0 au bout de 20 minutes.

On ne le saura jamais.

Effectivement, mais il y a quand même beaucoup d'indices qui laissent à penser que ce ça serait le cas.
Par exemple le 6-0 infligé par City à QPR lors de la 36ième journée l'an dernier

Tu n'as pas tort - même si comme toute règle, elle a ses exceptions - mais c'est plutôt à mettre au crédit des équipes françaises. Il y a un tel monde d'écart entre Paris et Ajaccio, que l'équipe parisienne préfère lever rapidement le pied plutôt que de tomber dans l'humiliation du petit promu. Il y a un peu de cela, inconsciemment - et même très consciemment parfois. En France, on aime trop les petits poucets, les David, les faibles : une équipe qui continuerait à attaquer à 6-0 contre une petite équipe serait très mal vue.

Marat Izmailov wrote:

Mic-Mic wrote:

Alcom wrote:

Mic-Mic wrote:Organisez un match City-AJaccio, vous pouvez être sûr que les anglais ne s'arrêteront pas de jouer à 2-0 au bout de 20 minutes.

On ne le saura jamais.

Effectivement, mais il y a quand même beaucoup d'indices qui laissent à penser que ce ça serait le cas.
Par exemple le 6-0 infligé par City à QPR lors de la 36ième journée l'an dernier

Tu n'as pas tort - même si comme toute règle, elle a ses exceptions - mais c'est plutôt à mettre au crédit des équipes françaises. Il y a un tel monde d'écart entre Paris et Ajaccio, que l'équipe parisienne préfère lever rapidement le pied plutôt que de tomber dans l'humiliation du petit promu. Il y a un peu de cela, inconsciemment - et même très consciemment parfois. En France, on aime trop les petits poucets, les David, les faibles : une équipe qui continuerait à attaquer à 6-0 contre une petite équipe serait très mal vue.

En dehors du terrain, ouais ; sur le terrain j'sais pas. On m'a toujours dit, quand je jouais, que le respect de l'adversaire, c'était justement de ne pas gérer mais de continuer de jouer ton jeu.

leroibabar2 wrote:

Emerald77 wrote:C'est vrai mais nous on a gardé l'équipe de toubibs/kinés au complet ... En revanche au niveau des joueurs ...

Cette Eva est elle à notre portée?

A notre portée j'en sais rien, mais je veux bien aller passer une visite médicale avec elle moi

Olaf wrote:

Marat Izmailov wrote:

Mic-Mic wrote:

Alcom wrote:

Mic-Mic wrote:Organisez un match City-AJaccio, vous pouvez être sûr que les anglais ne s'arrêteront pas de jouer à 2-0 au bout de 20 minutes.

On ne le saura jamais.

Effectivement, mais il y a quand même beaucoup d'indices qui laissent à penser que ce ça serait le cas.
Par exemple le 6-0 infligé par City à QPR lors de la 36ième journée l'an dernier

Tu n'as pas tort - même si comme toute règle, elle a ses exceptions - mais c'est plutôt à mettre au crédit des équipes françaises. Il y a un tel monde d'écart entre Paris et Ajaccio, que l'équipe parisienne préfère lever rapidement le pied plutôt que de tomber dans l'humiliation du petit promu. Il y a un peu de cela, inconsciemment - et même très consciemment parfois. En France, on aime trop les petits poucets, les David, les faibles : une équipe qui continuerait à attaquer à 6-0 contre une petite équipe serait très mal vue.

En dehors du terrain, ouais ; sur le terrain j'sais pas. On m'a toujours dit, quand je jouais, que le respect de l'adversaire, c'était justement de ne pas gérer mais de continuer de jouer ton jeu.

Oui, il y a deux écoles du respect sportif - les jusqu’au-boutistes et les empathiques. Mais, pour filer une métaphore tennistique, quand tu es classé 2/6 et que tu rencontres un 30/5, laisser un jeu à ton adversaire en faisant semblant de continuer à jouer à 6-0/4-0 est une forme de courtoisie. On est un peu dans le même cas de figure.

Marat Izmailov wrote:
Oui, il y a deux écoles du respect sportif - les jusqu’au-boutistes et les empathiques. Mais, pour filer une métaphore tennistique, quand tu es classé 2/6 et que tu rencontres un 30/5, laisser un jeu à ton adversaire en faisant semblant de continuer à jouer à 6-0/4-0 est une forme de courtoisie. On est un peu dans le même cas de figure.

Merde, moi qui étais persuadé d'avoir réussi à hisser mon niveau pour gratter un jeu c'est juste que le mec en face était sympa????
Salaud tu brises toutes mes illusions !

thesnakke wrote:

Marat Izmailov wrote:
Oui, il y a deux écoles du respect sportif - les jusqu’au-boutistes et les empathiques. Mais, pour filer une métaphore tennistique, quand tu es classé 2/6 et que tu rencontres un 30/5, laisser un jeu à ton adversaire en faisant semblant de continuer à jouer à 6-0/4-0 est une forme de courtoisie. On est un peu dans le même cas de figure.

Merde, moi qui étais persuadé d'avoir réussi à hisser mon niveau pour gratter un jeu c'est juste que le mec en face était sympa????
Salaud tu brises toutes mes illusions !

Bah moi je suis 30/5 et j'ai même jamais pu affronter un 2/6, je sais rester à ma place môssieur !

Et moi, jamais rien compris aux classements de tennis

Bah, j'ai arrêté très jeune mais je n'ai jamais réussi à faire mieux que 30/3, je ne suis pas une référence.

Et moi, jamais rien compris aux classements de tennis

C'est simple : plus le premier chiffre (ou nombre) est bas, mieux c'est (ça tombe même dans le négatif, pour les 100 ou 200 meilleurs). Je dirais qu'à 15/3 on sait déjà jouer très correctement au tennis.

Olaf wrote:Et moi, jamais rien compris aux classements de tennis

En gros, retiens juste le fait que plus tu es bas, mieux tu es classé. Du pire au mieux ça donne

40
30/5
30/4
etc...
30
15/5
15/4
etc...
15
5/6
4/6
etc...
0
-2/6
-4/6
-15
-30
Puis les meilleurs pros

Mais comment les chiffres sont établis ?

Olaf wrote:Mais comment les chiffres sont établis ?

Tu veux dire pourquoi on dit "40" ou "30/3" par exemple ?

Ca j'en sais rien. Y a sûrement un lien avec le décompte des points dans un match. Marat a peut-être la réponse

Olaf wrote:Mais comment les chiffres sont établis ?

En fonction d'un barème de points accumulés sur l'année précédente. Si, en tournoi, tu bats un 15/2 alors que tu es 30/1, tu engranges pas mal de points. Si tu réitères ces bonnes performances dans l'année, et bien tu peux espérer un joli saut au classement de l'année suivante.

Edit. Tariflette, je n'ai pas compris la question d'Olaf de la même manière. Je ne sais pas, j'aurais la même réponse instinctive que toi (calqués sur le mode de comptabilisation des points issu du jeu de paume).

OK. En fait, ma question portait sur les deux aspects - la nomenclature en elle-même, ainsi que ce qu'elle recouvre. Donc merci pour vos deux réponses

Pour finir le HS, j'ai demandé à mon ami Wikipédia, voici sa très intéressante réponse

Source : : Document utilisé pour la rédaction de l’article « Le classement - origine et évolution depuis 1972 »

Ce classement découle en fait du système de comptage des points. En effet, à l'origine, un handicap fut créé afin d'équilibrer dans les différentes épreuves organisées les chances des compétiteurs les uns par rapport aux autres, compte tenu des divers niveaux de chacun.

La base de ce handicap fut appelée niveau 0.

La hiérarchie des différents niveaux de jeu, et l'application qu'il en résultait, dans une rencontre contre un joueur de niveau 0, était la suivante :

le joueur de niveau 1/6 partait 1 jeu sur 6 avec 1 point de bonification, c'est-à-dire qu'il démarrait le jeu en question avec un score de 15/0 en sa faveur,
le joueur de niveau 2/6 partait 2 jeux sur 6 avec 1 point de bonification,
le joueur de niveau 3/6 partait 3 jeux sur 6 avec 1 point de bonification,
le joueur de niveau 15 débutait tous les jeux avec un score de 15/0 en sa faveur.
le joueur de niveau 15/1 partait avec 2 points de bonification 1 jeu sur 6, soit un score de 30/0 en sa faveur et 5 jeux sur 6 avec un seul point de bonification, soit un score de 15/0,
le joueur de niveau 15/2 partait 2 jeux sur 6 avec 2 points de bonification (30/0 en sa faveur) et 4 jeux sur 6 avec un seul point (15/0),
ainsi de suite pour les niveaux 15/3, 15/4, 15/5,
le joueur de niveau 30 recevait 2 points de bonification (30/0 en sa faveur) à tous les jeux du set (6 jeux sur 6).
Pour les niveaux de jeu négatifs, le même principe était appliqué, mais avec une pénalisation au lieu d'une bonification. Ainsi, toujours dans le cas d'une rencontre avec un joueur 0 :

le joueur -2/6 partait avec 1 point de pénalité, 2 jeux sur 6, soit un score de 15/0 en sa défaveur,
le joueur -4/6 : 1 point de pénalité, 4 jeux sur 6,
le joueur -15 : 1 point de pénalité 6 jeux sur 6, soit tous les jeux du set sur un score de 15/0 contre lui.

Intéressant Tartiflette, cette histoire de handicap. Sais-tu jusqu'à quand il est resté en vigueur ?

Marat Izmailov wrote:Intéressant Tartiflette, cette histoire de handicap. Sais-tu jusqu'à quand il est resté en vigueur ?

Non, aucune idée. En tout cas, ça devait être un sacré bazar pour compter les points

Tartiflette wrote:

Marat Izmailov wrote:Intéressant Tartiflette, cette histoire de handicap. Sais-tu jusqu'à quand il est resté en vigueur ?

Non, aucune idée. En tout cas, ça devait être un sacré bazar pour compter les points

On a toujours aimé faire les choses simplement, en France (parce que si c'est hérité du jeu de paume, on peut en revendiquer la paternité)

non mais les gars je vous vois venir avec vos gros sabots!
Hors de question que Paris commence avec un but de retard, hein!
Et en plus à 10 contre les promus aussi?
Bon OK si c'est Lavezzi.

D'autant que cela n'a pas qu'un simple intérêt arithmétique. Moralement, attaquer un jeu à 30-0 au tennis, ou un match de foot à 1-0 change énormément de choses.

Si un jour on joue Paris avec 1-0 d'avantage, ce n'est plus un bus qu'on met devant les cages mais le Charles de Gaulle