Gonzalo Sanogo wrote:JuliusCaesar wrote:La j'hallucine .... le client est ROI ! Personnellent a chaque fois que j'ai acheté c'est moi qui fixe le rdv .... il suffit d'etre clair des le debut avec l'agent .... c'est celui qui paie qui decide ... et a defaut un coup de tel au responsable de l'agence ou directement a la direction de l'enseigne permet de mettre les points sur les i ...
Avec 8000000 de chomeurs c'est la moindre des choses
Quelle mentalité de merde (j'ai cherché un mot plus poli mais j'ai pas trouvé, désolé les modos)
J'essaie de me dire que c'est du 2nd degré mais vu tes interventions suivantes j'ai de gros doutes ?
Peuh ! Peut être que JuliusCaesar est un client roi, mais dans ce cas, il s'inclinera devant Couramiaud Poitevin, qui est un client Empereur !
Parceque moi,à chaque fois que j'ai acheté, non seulement j'ai fixé le rendez-vous à l'heure qui me convenait, mais en plus, je me suis fait tailler une pipe par le vendeur, sur les lieux visités, pour conclure la vente ! Attention, il devait tout avaler, le gars ! Pas question de faire tomber une goutte sur mon beau parquet à l'ancienne ! il suffit d'être clair des le debut avec l'agent .... c'est celui qui paie qui decide ...
... et a défaut un coup de tel au responsable de l'agence ou directement a la direction de l'enseigne permet de mettre les bites dans les bouches...
Alors pour Moi, Julius Caesar, je trouve qu'il joue petit jeu... Moi, avec mon fric, j'en obtiens plus que lui ! Qui c'est le patron, merde !
Ce que je préférais, c'était le moment ou le vendeur comprenait qu'il allait pas pouvoir y couper...
Dans l'appart vide, le dimanche à 15 h, le vendeur était là avec son fils de 8 ans, forcément, il doit le garder, ce jour là. Au lieu d'aller à la pêche avec son papa, le petit gars, il a du venir : c'est une leçon de vie qu'il va recevoir, ce dimanche, le fils du vendeur : c'est celui qui paye qui décide. Et il la retiendra toute sa vie, cette leçon...
J'avais le chèque dans une main, de l'autre j'abaissais doucement ma braguette. Je sentais que le vendeur allait presque laisser tomber l'affaire, et c'est là que je m'adressais à son fils :
"dit, petit, tu peux rappeler à ton papa combien il y a de chômeur en France, aujourd'hui ? 8000000 ! Tu serais triste, hein, si papa y pouvait pas te payer ta Playstation à Noël ! Alors, petit, dit à ton papa d'être raisonnable !".
Et c'est là mon moment préféré, quand le vendeur se met à genoux devant moi, des larmes dans les yeux, en plein dans le champ de vision de son fils. .
Hein, mon vieux JuliusCaesar, dans ces moment-là on est vivant, on est fort ! Toi et moi, on est les grands fauves des villes de 2018, on est puissant, on règne, avec notre argent ! Le respect nous est du ! On est les clients, on est les rois !