ASSE - poteaux-carres.com

BriKo wrote:Sympa les nouveaux maillots du SEB !

Attend qu'ils rajoutent les gros sponsors

vinsanity wrote:Pour le SEB, les news de recrutement se font rares ...
Régis Aubry sera stéphanois la saison prochaine (ailier de Roche la Molière en N2)

Ouais des grosses stats en N2

capt'n circus wrote:

vinsanity wrote:Pour le SEB, les news de recrutement se font rares ...
Régis Aubry sera stéphanois la saison prochaine (ailier de Roche la Molière en N2)

Ouais des grosses stats en N2

Je connaissais pas, tu peux nous en dire un peu plus ?

vinsanity wrote:

capt'n circus wrote:

vinsanity wrote:Pour le SEB, les news de recrutement se font rares ...
Régis Aubry sera stéphanois la saison prochaine (ailier de Roche la Molière en N2)

Ouais des grosses stats en N2

Je connaissais pas, tu peux nous en dire un peu plus ?

Perso, je trouve qu'il n'a que son physique (grand et rapide) mais bon.....j'aurais préféré voir Denave de St Chamond qui a fait de grosses performances cette année en N1 même si lui ne serait probablement pas assez physique pour la Pro B !

Et j'allais oublier.......GO L.A !!!!!!!!!!

boubynight wrote:Et j'allais oublier.......GO L.A !!!!!!!!!!

BEAT L.A.

boubynight wrote:Et j'allais oublier.......GO L.A !!!!!!!!!!

Yeaahhh !
Kobe ! Kobe ! Kobe !

BriKo wrote:

boubynight wrote:Et j'allais oublier.......GO L.A !!!!!!!!!!

Yeaahhh !
Kobe ! Kobe ! Kobe !

Gasol, Gasol, Gasol !

Vous êtes optimistes les gars ... la green team ne laissera aucune chance à Kobe et les siens Ils ont bien failli en gagner 2 à LA, alors à Boston ça va pas faire un pli

NBA: Une équipe NBA à Paris?

Selon le site Internet de Radio Canada, David Stern, grand patron de la NBA, considérerait sérieusement l'idée d'installer une nouvelle franchise à... Paris. Stern sera dans la capitale française en automne prochain, à l'occasion du NBA Europe Live Tour, et en profitera pour rencontrer les dirigeants français et le maire de Paris à ce sujet. Une telle équipe pourrait intégrer la NBA dès la saison 2009-2010 et ferait alors partie de la Division Atlantique, le tout avec un calendrier aménagé pour éviter les multiples allers-retours outre-mer. Dernier point, cette franchise évoluerait au Palais Omnisports de Paris-Bercy. A noter enfin que l'on parle du même type de projet en Espagne ou en Allemagne, mais surtout à Londres, qui semblerait avoir la préférence de l'association nord-américaine.

www.sports.fr

vinsanity wrote:BriKo, premier sur les infos people

Effectivement, il joue aussi au basket ... et plutôt pas mal. Il a fait quelques grosses perfs sur le plan défensif lors des playoffs.

http://www.lepost.fr/article/2008/06/17 ... tor=RSS-30

boubynight wrote:

vinsanity wrote:

capt'n circus wrote:

vinsanity wrote:Pour le SEB, les news de recrutement se font rares ...
Régis Aubry sera stéphanois la saison prochaine (ailier de Roche la Molière en N2)

Ouais des grosses stats en N2

Je connaissais pas, tu peux nous en dire un peu plus ?

Perso, je trouve qu'il n'a que son physique (grand et rapide) mais bon.....j'aurais préféré voir Denave de St Chamond qui a fait de grosses performances cette année en N1 même si lui ne serait probablement pas assez physique pour la Pro B !

Oui mais Denave il reste à Saint-Chamond, non mais

vinsanity wrote:Vous êtes optimistes les gars ... la green team ne laissera aucune chance à Kobe et les siens Ils ont bien failli en gagner 2 à LA, alors à Boston ça va pas faire un pli

Yes!! beat LA

BriKo wrote:Sympa les nouveaux maillots du SEB !

Ouais enfin en gros se sont les mêmes maillots en vert que tous les clubs qui joue en Adidas en France.

El Couramiaud wrote:

BriKo wrote:Sympa les nouveaux maillots du SEB !

Ouais enfin en gros se sont les mêmes maillots en vert que tous les clubs qui joue en Adidas en France.

ça empêche pas d'être bien ? :oops:

Qu'est ce qu'ils ont tous aujourd'hui :sad: :sad:

L.A.

Yes Boston enlève le titre
Victoire des Celtics cette nuit 131-92 sur L.A. Ils remportent la série 4-2 ainsi que leur 17 ème titre de champion NBA.
Ca remet un peu de baume au coeur, surtout que Paul Pierce a été élu MVP des finals. Une juste récompense ma foi.

El Couramiaud wrote:

vinsanity wrote:Vous êtes optimistes les gars ... la green team ne laissera aucune chance à Kobe et les siens Ils ont bien failli en gagner 2 à LA, alors à Boston ça va pas faire un pli

Yes!! beat LA

Qu'est ce qu'ils ont pris LA ... +39 ... énorme. Je viens de finir de regarder ça, j'avais des frissons partout, l'émotion en fin de match était absolument merveilleuse. KG avait les larmes aux yeux, ...

Les Celtics aux anges

Ils attendaient ça depuis 1986. Franchise la plus titrée de l'histoire de la NBA, les Celtics ont renoué, vingt-deux ans après, avec la victoire lors des Finales en atomisant les Lakers mardi lors du match 6 (131-92). Paul Pierce, élu MVP de la série (4-2), Kevin Garnett et Ray Allen auront été les grands artisans du 17e titre de champion de Boston qui a réussi son pari fou entrepris l'été dernier quand l'équipe était à la dérive.

Boston a mis fin, mardi, à vingt-deux ans de sécheresse. Franchise la plus couronnée de la Ligue nord-américaine, les Celtics ont décroché dans un Banknorth Garden en ébullition leur premier titre depuis 1986 et l'ère Larry Bird. De retour dans le Massachussetts quarante-huit heures après avoir été poussés au match 6 par les Lakers, les joueurs de Doc Rivers ont infligé à leurs visiteurs la deuxième plus grosse correction de l'histoire des Finales NBA en reléguant leurs adversaires à 39 longueurs (le record demeure la propriété des Bulls face au Jazz lors des Finales 1998 avec 42 points d'écart, Ndlr ! Vainqueurs 131-92, les Celtics ont ainsi décroché leur 17e titre de champion, un véritable exploit pour une équipe qui, il y a un petit peu plus d'un an, avait terminé la saison régulière avec seulement 24 victoires au compteur...

Seulement voilà, les dirigeants, Danny Ainge en tête, ont décidé de redorer le blason de la franchise l'été dernier. Recrutant avec Kevin Garnett et Ray Allen deux monstres sacrés du jeu toujours en quête du titre suprême à trente ans passés, ils ont tenté un pari risqué qui porte ses fruits aujourd'hui. Avec un troisième leader trentenaire lui aussi à la recherche de la consécration, à savoir Paul Pierce, Boston s'est construit autour de ce « Big Three », n'hésitant pas à réduire son effectif afin de respecter le salary cap en vigueur dans la Ligue nord-américaine. A l'image de toute la saison qu'ils ont terminée avec le meilleur bilan (66 victoires-16 défaites), les Celtics ont pu s'appuyer sur leur trio infernal lors des Finales. Mardi soir, Kevin Garnett (26), Ray Allen (26) et Paul Pierce (17) ont inscrit la bagatelle de 69 points à eux trois, tout en insufflant de l'énergie à leurs jeunes coéquipiers en se démenant aux quatre coins du terrain.

Kevin Garnett dans les bras de Bill Russell

Le jeune meneur Rajon Rondo, dont beaucoup craignaient en novembre dernier qu'il soit trop léger pour « driver » l'équipe, s'est ainsi mis au diapason de ses leaders lors du match 6 qu'il a survolé. Insaisissable pour la défense californienne, celui qui porte le numéro 9 comme un certain Tony Parker a été l'homme de la rencontre. Scoreur (21 points), créateur (8 passes), rebondeur (7 prises) et voleur de ballons (6 interceptions), l'ancien de Kentucky a martyrisé les Lakers qui n'auront cru l'exploit possible que l'espace d'un quart-temps et demi (32-29). Concédant par la suite un 26-6 jusqu'à la pause (58-35), les joueurs de Phil Jackson allaient boire le calice jusqu'à la lie. Dominateurs dans tous les secteurs du jeu (48 rebonds à 29, 33 passes décisives à 16, 18 interceptions contre 4), les Celtics se laissaient porter par la grâce durant toute la seconde période devant un public au bord de l'extase.

La fin de la rencontre se transformait presque en match exhibition tant les Lakers avaient hâte que le cauchemar prenne fin au contraire des locaux, conscients qu'il s'agissait d'instants à savourer. Dans la débâcle, Ronny Turiaf, très peu utilisé durant cette finale, a eu droit à 10 minutes passées sur le parquet pour un sans faute au tir (2 points) et une prise au rebond. Pressé de renter aux vestiaires comme tous ses partenaires sitôt la fin du match sifflée, le Martiniquais manquait ainsi l'étreinte chargée d'émotions entre Garnett et la légende Bill Russell, champion NBA à onze reprises en l'espace de treize ans lors de la dynastie des Celtics dans les années 50 et 60. "J'espère que l'on vous a rendu fier ?", demandait Kevin Garnett à l'un des plus grands défenseurs de l'histoire du basket-ball. Lequel lui répondait: "Sûr que oui." Et le Banknorth Garden, qui a vu ses protégés perdre qu'à une seule reprise en 14 rencontres de play-offs (lors du match 2 de la finale de conférence est face aux Pistons, Ndlr), comptera prochainement en son sein une 17e bannière de champion NBA.

www.sports.fr

Pape Badiane quitte Roanne pour "?" mais Pellin prolonge de deux ans !
http://www.zoom42.fr/actu/ACT_detail.asp?strId=20680

vinsanity wrote:

El Couramiaud wrote:

vinsanity wrote:Vous êtes optimistes les gars ... la green team ne laissera aucune chance à Kobe et les siens Ils ont bien failli en gagner 2 à LA, alors à Boston ça va pas faire un pli

Yes!! beat LA

Qu'est ce qu'ils ont pris LA ... +39 ... énorme. Je viens de finir de regarder ça, j'avais des frissons partout, l'émotion en fin de match était absolument merveilleuse. KG avait les larmes aux yeux, ...

Les Celtics aux anges

Ils attendaient ça depuis 1986. Franchise la plus titrée de l'histoire de la NBA, les Celtics ont renoué, vingt-deux ans après, avec la victoire lors des Finales en atomisant les Lakers mardi lors du match 6 (131-92). Paul Pierce, élu MVP de la série (4-2), Kevin Garnett et Ray Allen auront été les grands artisans du 17e titre de champion de Boston qui a réussi son pari fou entrepris l'été dernier quand l'équipe était à la dérive.

Boston a mis fin, mardi, à vingt-deux ans de sécheresse. Franchise la plus couronnée de la Ligue nord-américaine, les Celtics ont décroché dans un Banknorth Garden en ébullition leur premier titre depuis 1986 et l'ère Larry Bird. De retour dans le Massachussetts quarante-huit heures après avoir été poussés au match 6 par les Lakers, les joueurs de Doc Rivers ont infligé à leurs visiteurs la deuxième plus grosse correction de l'histoire des Finales NBA en reléguant leurs adversaires à 39 longueurs (le record demeure la propriété des Bulls face au Jazz lors des Finales 1998 avec 42 points d'écart, Ndlr ! Vainqueurs 131-92, les Celtics ont ainsi décroché leur 17e titre de champion, un véritable exploit pour une équipe qui, il y a un petit peu plus d'un an, avait terminé la saison régulière avec seulement 24 victoires au compteur...

Seulement voilà, les dirigeants, Danny Ainge en tête, ont décidé de redorer le blason de la franchise l'été dernier. Recrutant avec Kevin Garnett et Ray Allen deux monstres sacrés du jeu toujours en quête du titre suprême à trente ans passés, ils ont tenté un pari risqué qui porte ses fruits aujourd'hui. Avec un troisième leader trentenaire lui aussi à la recherche de la consécration, à savoir Paul Pierce, Boston s'est construit autour de ce « Big Three », n'hésitant pas à réduire son effectif afin de respecter le salary cap en vigueur dans la Ligue nord-américaine. A l'image de toute la saison qu'ils ont terminée avec le meilleur bilan (66 victoires-16 défaites), les Celtics ont pu s'appuyer sur leur trio infernal lors des Finales. Mardi soir, Kevin Garnett (26), Ray Allen (26) et Paul Pierce (17) ont inscrit la bagatelle de 69 points à eux trois, tout en insufflant de l'énergie à leurs jeunes coéquipiers en se démenant aux quatre coins du terrain.

Kevin Garnett dans les bras de Bill Russell

Le jeune meneur Rajon Rondo, dont beaucoup craignaient en novembre dernier qu'il soit trop léger pour « driver » l'équipe, s'est ainsi mis au diapason de ses leaders lors du match 6 qu'il a survolé. Insaisissable pour la défense californienne, celui qui porte le numéro 9 comme un certain Tony Parker a été l'homme de la rencontre. Scoreur (21 points), créateur (8 passes), rebondeur (7 prises) et voleur de ballons (6 interceptions), l'ancien de Kentucky a martyrisé les Lakers qui n'auront cru l'exploit possible que l'espace d'un quart-temps et demi (32-29). Concédant par la suite un 26-6 jusqu'à la pause (58-35), les joueurs de Phil Jackson allaient boire le calice jusqu'à la lie. Dominateurs dans tous les secteurs du jeu (48 rebonds à 29, 33 passes décisives à 16, 18 interceptions contre 4), les Celtics se laissaient porter par la grâce durant toute la seconde période devant un public au bord de l'extase.

La fin de la rencontre se transformait presque en match exhibition tant les Lakers avaient hâte que le cauchemar prenne fin au contraire des locaux, conscients qu'il s'agissait d'instants à savourer. Dans la débâcle, Ronny Turiaf, très peu utilisé durant cette finale, a eu droit à 10 minutes passées sur le parquet pour un sans faute au tir (2 points) et une prise au rebond. Pressé de renter aux vestiaires comme tous ses partenaires sitôt la fin du match sifflée, le Martiniquais manquait ainsi l'étreinte chargée d'émotions entre Garnett et la légende Bill Russell, champion NBA à onze reprises en l'espace de treize ans lors de la dynastie des Celtics dans les années 50 et 60. "J'espère que l'on vous a rendu fier ?", demandait Kevin Garnett à l'un des plus grands défenseurs de l'histoire du basket-ball. Lequel lui répondait: "Sûr que oui." Et le Banknorth Garden, qui a vu ses protégés perdre qu'à une seule reprise en 14 rencontres de play-offs (lors du match 2 de la finale de conférence est face aux Pistons, Ndlr), comptera prochainement en son sein une 17e bannière de champion NBA.

www.sports.fr

Les verts sont de nouveau champions après 2X(?) années !
C'est un signe

17ème titre des Celtics, le premier depuis 1986 (quelle belle année ), donc ça fait 22 ans ...

vinsanity wrote:17ème titre des Celtics, le premier depuis 1986 (quelle belle année ), donc ça fait 22 ans ...

Il a pris un coup de vieux Morgan Freeman !

2008 l'année du grand retour des Verts!!

Go Celtics!
Allez les Verts!

Mais où sont ? Greengexois ? Karamba ? Ou même les supporters des Lakers :twisted: BriKo ? boubynight ?

Pas de réaction ?

Doc Rivers a même eu droit à son gatorade façon Superbowl ...

vinsanity wrote:Ou même les supporters des Lakers :twisted: BriKo ? boubynight ?

Pas de réaction ?

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