Pas vu beaucoup de matchs où un adversaire plus faible a eu plus d’occasions. Là, je ne vois que les 3 matchs passés en infériorités numériques (et encore, à peine en ce qui concerne Metz et Nantes) et Guingamp.Keiran wrote:On peut aussi arguer que certaines équipes moins fortes se procurent plus d'occasions que nous, et que donc l'approche globale est mauvaise.ForeverGreen wrote:@Keiran : Au contraire, je n'accuse pas l'adversaire, je lui reconnais des mérites qui expliqueraient qu'il n'y ait pas que notre nullité en cause (je caricature, j'ai bien compris que ce n'était pas ton propos). A la rigueur, j'aurais plus compris que tu m'accuse de toujours vouloir trouver des excuses en surestimant nos adversaires, pas que que je les accuse de quoi que ce soit.
Après, je suis évidemment d'accord sur les manquements collectifs. Ce que je voulais dire, c'est qu'il me semblait que, si manquement collectifs on devait souligner, c'étaient plutôt ceux sur les ailes, où nous sommes pourtant assez libre, que dans l'axe, où nous sommes bien pris.
Qu'il y ait des manquement sur les côtés est un fait, ce qui explique en partie pourquoi ça marche moins qu'il y a quelques saisons.
Mais insister sur cette approche (plus ou moins discutable depuis le départ d'Aubameyang), est-ce la bonne approche ? Est-ce la solution.
Même plus consistant sur les côtés, au moins collectivement, nous resterons tout de même prévisibles et les adversaires pourront toujours camper leur suface pour empêcher à nos attaquants d'être 1) en supériorité numérique 2) prendre suffisamment d'élan pour avoir l'ascendant au duel.
Après, si on peut être bon partout, je dis banco, hein, me fais pas dire ce que j'ai pas dit. Juste que si on se retrouve, volontairement ou non, à jouer beaucoup sur les côtés, c'est peut-être par là qu'il faudrait commencer à se remettre en selle.