Pas pour longtemps :plolo72 wrote:on est 1ervinsanity wrote:Victoire roannais à domicile face à Gravelines
http://zoom42.fr/actu/ACT_detail.asp?strId=17006
Dans trois journées on gagne à Antares (mais on reprend pas le point average ok ^^).
[Basket] Reprise saison NBA
Moderators: Barre transversale, Poteau gauche, Poteau droit, Ligne de but
vinsanity wrote:Pas pour longtemps :plolo72 wrote:on est 1ervinsanity wrote:Victoire roannais à domicile face à Gravelines
http://zoom42.fr/actu/ACT_detail.asp?strId=17006
Dans trois journées on gagne à Antares (mais on reprend pas le point average ok ^^).
je vous attend de pied ferme [img]http://www.msb.fr/images/clubs/logo/lemans.jpg[/img]
"Il y a des choses que le temps ne peut cicatriser,
des blessures si profondes,
qu'elles se sont emparées de vous "
"Il y a des choses que le temps ne peut cicatriser,
des blessures si profondes,
qu'elles se sont emparées de vous "
Un Gelabale record !
Un retour au premier plan. Ecarté par les Sonics en février, contrait d'aller en D-League, Mickael Gelabale a, malgré la défaite de Seattle contre les Lakers (111-91), signé un retour étonnant ce dimanche avec 21 points (à 10 sur16 aux tirs) et 8 rebonds en 32 minutes. Le meilleur bilan d'une saison en dent de scie pour le Français. A noter dans les autres rencontres de la soirée, le succès des Rockets face aux Bulls (110-97), celui de Boston face à Portland (112-102) ou encore celui de Detroit contre Phoenix (116-86).
Le match
Johan Petro dans le 5 majeur, Mickael Gelabale en véritable sixième homme, les temps changent à Seattle... Les deux Français ont pu profiter d'un temps de jeu conséquent pour se mettre en évidence. Si Petro a compilé 7 points, 10 rebonds (meilleur total de son équipe) et 2 passes en 29 minutes, c'est principalement la prestation de Mickael Gelabale qu'il conviendra de retenir. Car le parcours du Frenchie n'a vraiment pas été simple cette saison.
Gelabale a un peu joué en début de saison avant de reculer petit à petit dans la rotation des Sonics avant d'être carrément envoyé aux Idaho Stampede en D-League ! Six matches qui lui ont permis de retrouver du rythme et de revenir avec une envie décuplée. Face aux Lakers, l'ancien madrilène a sans doute réussi son match le plus accompli en rendant une feuille de statistiques pleines avec 21 points (10/16 aux tirs), 8 rebonds, 1 passe et 1 interception. Cela fait de lui le meilleur marqueur de son équipe, le deuxième de la rencontre ex-aequo avec Kobe Bryant (qui a été expulsé par l'arbitre), à une longueur de Pau Gasol.
Un meilleur score en carrière qui a permis aux Sonics de ne pas sombrer. Car si Gelabale a tourné à 10/16, son équipe, elle, a terminé la rencontre avec un pauvre 40% de réussite. Le 0 sur 7 initial de Durant stigmatisent les difficultés de Seattle qui possède actuellement le 13e bilan de la conférence ouest, loin de leur bourreau du soir qui a pris les commandes de la conférence ce week-end et qui semble inarrêtable depuis l'arrivée de Pau Gasol.
Les Français
Outre Gelabale et Petro (voir au-dessus), plusieurs autres Français évoluaient sur pes parquets NBA cette nuit. A commencer par Ronny Turiaf qui s'est imposé avec les Lakers contre les Sonics. Le pivot a passé 17 minutes sur le parquet pour 4 rebonds, 3 passes et 2 points.
Du côté des Bulls, Joakim Noah était dans le 5 majeur. Le départ de Wallace lui offre du temps de jeu et il ne se prive pas. En 24 minutes, il n'aura pas forcément été transcendant puisqu'il a terminé la rencontre avec 2 points, 2 rebonds, 2 passes et 4 interceptions. Enfin, Boris Diaw a pris part à la lourde défaite des Suns contre les Pistons (116-86). Avec 2 points, 2 rebonds et 2 pertes de balle, Diaw n'aura pas évolué à son meilleur niveau.
La stat : 17
17 comme le nombre de passes décisives adressées par Jason Kidd lors de la victoire de Dallas contre les Minnesota Timberwolves (99-83). Il s'agit de son meilleur total de la saison dans cet exercice. Kidd, qui a retrouvé la grande forme depuis son arrivée chez les Mavs, a complété son total avec 12 points, 7 rebonds et 4 interceptions.
www.sports.fr
Un retour au premier plan. Ecarté par les Sonics en février, contrait d'aller en D-League, Mickael Gelabale a, malgré la défaite de Seattle contre les Lakers (111-91), signé un retour étonnant ce dimanche avec 21 points (à 10 sur16 aux tirs) et 8 rebonds en 32 minutes. Le meilleur bilan d'une saison en dent de scie pour le Français. A noter dans les autres rencontres de la soirée, le succès des Rockets face aux Bulls (110-97), celui de Boston face à Portland (112-102) ou encore celui de Detroit contre Phoenix (116-86).
Le match
Johan Petro dans le 5 majeur, Mickael Gelabale en véritable sixième homme, les temps changent à Seattle... Les deux Français ont pu profiter d'un temps de jeu conséquent pour se mettre en évidence. Si Petro a compilé 7 points, 10 rebonds (meilleur total de son équipe) et 2 passes en 29 minutes, c'est principalement la prestation de Mickael Gelabale qu'il conviendra de retenir. Car le parcours du Frenchie n'a vraiment pas été simple cette saison.
Gelabale a un peu joué en début de saison avant de reculer petit à petit dans la rotation des Sonics avant d'être carrément envoyé aux Idaho Stampede en D-League ! Six matches qui lui ont permis de retrouver du rythme et de revenir avec une envie décuplée. Face aux Lakers, l'ancien madrilène a sans doute réussi son match le plus accompli en rendant une feuille de statistiques pleines avec 21 points (10/16 aux tirs), 8 rebonds, 1 passe et 1 interception. Cela fait de lui le meilleur marqueur de son équipe, le deuxième de la rencontre ex-aequo avec Kobe Bryant (qui a été expulsé par l'arbitre), à une longueur de Pau Gasol.
Un meilleur score en carrière qui a permis aux Sonics de ne pas sombrer. Car si Gelabale a tourné à 10/16, son équipe, elle, a terminé la rencontre avec un pauvre 40% de réussite. Le 0 sur 7 initial de Durant stigmatisent les difficultés de Seattle qui possède actuellement le 13e bilan de la conférence ouest, loin de leur bourreau du soir qui a pris les commandes de la conférence ce week-end et qui semble inarrêtable depuis l'arrivée de Pau Gasol.
Les Français
Outre Gelabale et Petro (voir au-dessus), plusieurs autres Français évoluaient sur pes parquets NBA cette nuit. A commencer par Ronny Turiaf qui s'est imposé avec les Lakers contre les Sonics. Le pivot a passé 17 minutes sur le parquet pour 4 rebonds, 3 passes et 2 points.
Du côté des Bulls, Joakim Noah était dans le 5 majeur. Le départ de Wallace lui offre du temps de jeu et il ne se prive pas. En 24 minutes, il n'aura pas forcément été transcendant puisqu'il a terminé la rencontre avec 2 points, 2 rebonds, 2 passes et 4 interceptions. Enfin, Boris Diaw a pris part à la lourde défaite des Suns contre les Pistons (116-86). Avec 2 points, 2 rebonds et 2 pertes de balle, Diaw n'aura pas évolué à son meilleur niveau.
La stat : 17
17 comme le nombre de passes décisives adressées par Jason Kidd lors de la victoire de Dallas contre les Minnesota Timberwolves (99-83). Il s'agit de son meilleur total de la saison dans cet exercice. Kidd, qui a retrouvé la grande forme depuis son arrivée chez les Mavs, a complété son total avec 12 points, 7 rebonds et 4 interceptions.
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Et de six pour les Spurs !
La belle série continue pour San Antonio ! Lundi soir face à Atlanta, les Spurs ont enregistré un sixième succès de rang (89-74), confirmant leur net retour en forme sous la houlette de Tim Duncan (23 points) et d'un Tony Parker en progrès (15 poins). Tout va également pour le mieux pour les autres ténors de la NBA: Boston a étrillé les Clippers (104-76), Detroit s'est imposé à Denver (98-93), Dallas a dominé Chicago (102-94), tandis que Toronto a battu Indiana (102-98). Seul New Orleans a chuté, vaincu chez lui par Washington (92-95).
Le match: San Antonio-Atlanta 89-74
Un réveil tardif, certes, mais à l'arrivée une sixième victoire de rang pour les Spurs. Les coéquipiers de Tony Parker auront connu une drôle de soirée lundi face à Atlanta. On joue en effet depuis 12 minutes que les champions en titre sont menés 16-5, un record pour San Antonio qui n'avait jamais marqué si peu de points en un quart-temps! "On ne pouvait pas faire pire", reconnaîtra après-coup Tony Parker, heureux de la réaction d'une équipe qui signe finalement sa meilleure série de sa saison avec ce succès 89-74 qui suit ceux remportés contre Toronto, Cleveland, Charlotte, Minnesota et New Orleans.
Mais du côté de l'AT&T Center, nul doute qu'on n'est pas près d'oublier ce quart-temps cauchemardesque qui fera date dans l'histoire de la franchise texane avec des statistiques incroyables à la clé: 1 sur 17 aux tirs, un pourcentage de 6%! Perturbés par l'activité du trio des Hawks Joe Johnson (17 points)-Zaza Pachulia (14 points)-Al Horford (12 points, 13 rebonds), les Spurs vont mettre du temps à se remettre dans le bon sens de la marche, ne prenant la mesure de leur adversaire que lors du troisième quart-temps, sous la houlette d'un Tony Parker alors intenable, lui qui conclura son troisième match depuis son retour avec 15 points, dont 13 lors de ce troisième quart-temps, 4 rebonds et 9 passes.
Dès lors, le match était plié en faveur de San Antonio, Tim Duncan, auteur de 23 points (pour 10 rebonds) se chargeant de bien finir ce travail mal commencé. Un Duncan heureux de voir son meneur retrouver peu à peu son meilleur basket, après neuf matches sans jouer à cause d'une blessure à la cheville gauche. "Il revient peu à peu, ça va prendre quelques matches, il va avoir des hauts et des bas pendant un petit moment." Avec le retour en forme de Tony Parker, voilà San Antonio de nouveau avec toutes ses armes, ça tombe bien puisque se profile jeudi un choc 100% texan face Dallas...
Les Français
Outre Tony Parker, qui retrouve peu à peu son niveau du début de saison, il n'y avait qu'un seul autre Tricolore en lice lundi sur les parquets de NBA: Joakim Noah, qui a d'ailleurs été plutôt discret avec les Bulls, battus 102-94 à Dallas, avec 4 points (2 sur 4, 0 sur 2 aux lancers francs) et 3 rebonds en 18 minutes. Yakhouba Diawara n'a de son côté pas joué avec les Nuggets, dominés 98-93 par Detroit.
La stat : 33
Comme le nombre de points inscrits par DeShawn Stevenson, héros de Washington lundi, puisqu'il a permis aux Wizards de s'imposer sur le fil à la Nouvelle-Orleans (95-92). Non seulement, l'intéressé a signé le meilleur total de sa carrière en six années de NBA, mais surtout et pour la première fois, il a rentré un panier à trois points décisif dans le «money-time», permettant à Washington de l'emporter. Menée quasiment toute la partie, l'équipe d'Eddie Jordan n'a pris l'avantage qu'en toute fin de match lorsque DeShawn Stevenson, grâce à deux lancers francs, a porté le score à 92-91 en faveur des Wizards à 14.4 secondes de la fin. Hilton Armstrong a égalisé, passant un lancer franc à 7.3 secondes du buzzer, mais Stevenson est alors une nouvelle fois sorti de sa niche pour terrasser des Hornets qui subissent ainsi leur 10e défaite de la saison dans leur salle. "J'ai senti que le shoot était bon en partant de mes mains. J'ai bien shooté toute la soirée, certains sont rentrés, d'autres sortis, mais j'ai été content que celui-ci rentre", commentera après-coup l'homme du match.
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La belle série continue pour San Antonio ! Lundi soir face à Atlanta, les Spurs ont enregistré un sixième succès de rang (89-74), confirmant leur net retour en forme sous la houlette de Tim Duncan (23 points) et d'un Tony Parker en progrès (15 poins). Tout va également pour le mieux pour les autres ténors de la NBA: Boston a étrillé les Clippers (104-76), Detroit s'est imposé à Denver (98-93), Dallas a dominé Chicago (102-94), tandis que Toronto a battu Indiana (102-98). Seul New Orleans a chuté, vaincu chez lui par Washington (92-95).
Le match: San Antonio-Atlanta 89-74
Un réveil tardif, certes, mais à l'arrivée une sixième victoire de rang pour les Spurs. Les coéquipiers de Tony Parker auront connu une drôle de soirée lundi face à Atlanta. On joue en effet depuis 12 minutes que les champions en titre sont menés 16-5, un record pour San Antonio qui n'avait jamais marqué si peu de points en un quart-temps! "On ne pouvait pas faire pire", reconnaîtra après-coup Tony Parker, heureux de la réaction d'une équipe qui signe finalement sa meilleure série de sa saison avec ce succès 89-74 qui suit ceux remportés contre Toronto, Cleveland, Charlotte, Minnesota et New Orleans.
Mais du côté de l'AT&T Center, nul doute qu'on n'est pas près d'oublier ce quart-temps cauchemardesque qui fera date dans l'histoire de la franchise texane avec des statistiques incroyables à la clé: 1 sur 17 aux tirs, un pourcentage de 6%! Perturbés par l'activité du trio des Hawks Joe Johnson (17 points)-Zaza Pachulia (14 points)-Al Horford (12 points, 13 rebonds), les Spurs vont mettre du temps à se remettre dans le bon sens de la marche, ne prenant la mesure de leur adversaire que lors du troisième quart-temps, sous la houlette d'un Tony Parker alors intenable, lui qui conclura son troisième match depuis son retour avec 15 points, dont 13 lors de ce troisième quart-temps, 4 rebonds et 9 passes.
Dès lors, le match était plié en faveur de San Antonio, Tim Duncan, auteur de 23 points (pour 10 rebonds) se chargeant de bien finir ce travail mal commencé. Un Duncan heureux de voir son meneur retrouver peu à peu son meilleur basket, après neuf matches sans jouer à cause d'une blessure à la cheville gauche. "Il revient peu à peu, ça va prendre quelques matches, il va avoir des hauts et des bas pendant un petit moment." Avec le retour en forme de Tony Parker, voilà San Antonio de nouveau avec toutes ses armes, ça tombe bien puisque se profile jeudi un choc 100% texan face Dallas...
Les Français
Outre Tony Parker, qui retrouve peu à peu son niveau du début de saison, il n'y avait qu'un seul autre Tricolore en lice lundi sur les parquets de NBA: Joakim Noah, qui a d'ailleurs été plutôt discret avec les Bulls, battus 102-94 à Dallas, avec 4 points (2 sur 4, 0 sur 2 aux lancers francs) et 3 rebonds en 18 minutes. Yakhouba Diawara n'a de son côté pas joué avec les Nuggets, dominés 98-93 par Detroit.
La stat : 33
Comme le nombre de points inscrits par DeShawn Stevenson, héros de Washington lundi, puisqu'il a permis aux Wizards de s'imposer sur le fil à la Nouvelle-Orleans (95-92). Non seulement, l'intéressé a signé le meilleur total de sa carrière en six années de NBA, mais surtout et pour la première fois, il a rentré un panier à trois points décisif dans le «money-time», permettant à Washington de l'emporter. Menée quasiment toute la partie, l'équipe d'Eddie Jordan n'a pris l'avantage qu'en toute fin de match lorsque DeShawn Stevenson, grâce à deux lancers francs, a porté le score à 92-91 en faveur des Wizards à 14.4 secondes de la fin. Hilton Armstrong a égalisé, passant un lancer franc à 7.3 secondes du buzzer, mais Stevenson est alors une nouvelle fois sorti de sa niche pour terrasser des Hornets qui subissent ainsi leur 10e défaite de la saison dans leur salle. "J'ai senti que le shoot était bon en partant de mes mains. J'ai bien shooté toute la soirée, certains sont rentrés, d'autres sortis, mais j'ai été content que celui-ci rentre", commentera après-coup l'homme du match.
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Petit interview de Adam Hess (by myself :oops: ) ... super sympa. Bon c'était une première alors désolé si c'est pas top qualité et que ça vaut pas une itw de maitre José :lol:
http://www.zoom42.fr/actu/ACT_detail.asp?strId=17135
http://www.zoom42.fr/actu/ACT_detail.asp?strId=17135
vinsanity wrote:Petit interview de Adam Hess (by myself :oops: ) ... super sympa. Bon c'était une première alors désolé si c'est pas top qualité et que ça vaut pas une itw de maitre José :lol:
http://www.zoom42.fr/actu/ACT_detail.asp?strId=17135
Il est drôle, en plus : "Les meilleures équipes d'Euroleague sont simplement plus régulières. Je ne pense pas qu'elles domineraient outrageusement qui que ce soit dans le championnat de France."
Fous le Pana ou le CSKA en Pro A, c'est boucherie assurée tous les week-ends...
Ouaip je sais, j'ai peut être mal traduit aussi :oops:Karamba wrote:vinsanity wrote:Petit interview de Adam Hess (by myself :oops: ) ... super sympa. Bon c'était une première alors désolé si c'est pas top qualité et que ça vaut pas une itw de maitre José :lol:
http://www.zoom42.fr/actu/ACT_detail.asp?strId=17135
Il est drôle, en plus : "Les meilleures équipes d'Euroleague sont simplement plus régulières. Je ne pense pas qu'elles domineraient outrageusement qui que ce soit dans le championnat de France."
Fous le Pana ou le CSKA en Pro A, c'est boucherie assurée tous les week-ends...
"The best Euroleague teams are just consistent, I dont see them utterly dominating anybody in the French league" :dontknow:
Et je pense qu'il parlait essentiellement des grosses équipes, en gros le Top 4.
La traduction est bonne, "consistent" aurait peut-être mieux passé avec "homogène", ce qui ne change pas le sens de ces propos. Ca aurait même tendance à rendre encore moins vraie sa deuxième phrase, parce que effectivement, peut-être que le 5 majeur, uniquement, d'une grosse équipe EL ne dominerait pas le championnat mais si on ajoute leurs bancs, alors là... Le 15° homme du Pana serait titulaire n'importe où en France.vinsanity wrote:Ouaip je sais, j'ai peut être mal traduit aussi :oops:Karamba wrote:vinsanity wrote:Petit interview de Adam Hess (by myself :oops: ) ... super sympa. Bon c'était une première alors désolé si c'est pas top qualité et que ça vaut pas une itw de maitre José :lol:
http://www.zoom42.fr/actu/ACT_detail.asp?strId=17135
Il est drôle, en plus : "Les meilleures équipes d'Euroleague sont simplement plus régulières. Je ne pense pas qu'elles domineraient outrageusement qui que ce soit dans le championnat de France."
Fous le Pana ou le CSKA en Pro A, c'est boucherie assurée tous les week-ends...
"The best Euroleague teams are just consistent, I dont see them utterly dominating anybody in the French league" :dontknow:
Et je pense qu'il parlait essentiellement des grosses équipes, en gros le Top 4.
Ca n'enlève rien à sa qualité de joueur et au fait qu'il est super sympa :pKaramba wrote:La traduction est bonne, "consistent" aurait peut-être mieux passé avec "homogène", ce qui ne change pas le sens de ces propos. Ca aurait même tendance à rendre encore moins vraie sa deuxième phrase, parce que effectivement, peut-être que le 5 majeur, uniquement, d'une grosse équipe EL ne dominerait pas le championnat mais si on ajoute leurs bancs, alors là... Le 15° homme du Pana serait titulaire n'importe où en France.vinsanity wrote:Ouaip je sais, j'ai peut être mal traduit aussi :oops:Karamba wrote:vinsanity wrote:Petit interview de Adam Hess (by myself :oops: ) ... super sympa. Bon c'était une première alors désolé si c'est pas top qualité et que ça vaut pas une itw de maitre José :lol:
http://www.zoom42.fr/actu/ACT_detail.asp?strId=17135
Il est drôle, en plus : "Les meilleures équipes d'Euroleague sont simplement plus régulières. Je ne pense pas qu'elles domineraient outrageusement qui que ce soit dans le championnat de France."
Fous le Pana ou le CSKA en Pro A, c'est boucherie assurée tous les week-ends...
"The best Euroleague teams are just consistent, I dont see them utterly dominating anybody in the French league" :dontknow:
Et je pense qu'il parlait essentiellement des grosses équipes, en gros le Top 4.
Et puis pour te montrer qu'il a plus d'humour que ça :
http://www.euroleague.net/features/blog ... /adam-hess
Merci thomas 
J'ai modifié la phrase à la fin. J'avais un peu galéré à la traduire ^^
Les résultats d'Euroleague hier soir :
Montepaschi Panathinaikos 84-75
Olympiacos - Zalgiris 86-84 OT
Unicaja - CSKA Moscow 72-67
Pas de véritable surprise finalement, vu la qualité des adversaires, mais tout de même, c'est la seconde défaite en 3 matchs pour le grand Pana. Sienne est en revanche très impressionnant. Hier, Stonerook a tué le match avec deux paniers à 3pts en 30 secondes à 5min de la fin. Sans faire beaucoup de bruit, cette équipe enchaine les victoire, et personnellement je les vois bien au F4. Kaunas pourrait être la 2ème équipe surprise. Ils sont pas passé loin hier d'une sacré perf en battant l'Olympiakos chez lui, mais la prolongation aura été de trop, avec un très bon Marc Jackson tout comme Qyntel Woods (ex-Clippers). Et puis défaite du CSKA aussi face à Malaga. 26 d'éval pour Santiago et ses lunettes
J'ai modifié la phrase à la fin. J'avais un peu galéré à la traduire ^^Les résultats d'Euroleague hier soir :
Montepaschi Panathinaikos 84-75
Olympiacos - Zalgiris 86-84 OT
Unicaja - CSKA Moscow 72-67
Pas de véritable surprise finalement, vu la qualité des adversaires, mais tout de même, c'est la seconde défaite en 3 matchs pour le grand Pana. Sienne est en revanche très impressionnant. Hier, Stonerook a tué le match avec deux paniers à 3pts en 30 secondes à 5min de la fin. Sans faire beaucoup de bruit, cette équipe enchaine les victoire, et personnellement je les vois bien au F4. Kaunas pourrait être la 2ème équipe surprise. Ils sont pas passé loin hier d'une sacré perf en battant l'Olympiakos chez lui, mais la prolongation aura été de trop, avec un très bon Marc Jackson tout comme Qyntel Woods (ex-Clippers). Et puis défaite du CSKA aussi face à Malaga. 26 d'éval pour Santiago et ses lunettes
Petit topo sur les matchs périlleux qui attendent stéphanois et roannais ce week-end
http://www.zoom42.fr/actu/ACT_detail.asp?strId=17155
Et je remet le lien de l'interview de Adam Hess :oops:
http://www.zoom42.fr/actu/ACT_detail.asp?strId=17135
http://www.zoom42.fr/actu/ACT_detail.asp?strId=17155
Et je remet le lien de l'interview de Adam Hess :oops:
http://www.zoom42.fr/actu/ACT_detail.asp?strId=17135
LeBron James est devenu cette nuit le plus jeune joueur de l'Histoire à atteindre la barre (:coucou:) des 10 000 points.
Le classement des scoreurs précoces :
1. James : 23 ans et 59 jours
2. Bryant : 24 ans et 194 jours
3. McGrady : 24 ans et 272 jours
4. McAdoo : 25 ans et 147 jours
5. S. O'Neal : 25 ans et 341 jours
6. Jordan et Abdul Jabbar : 25 ans et 343 jours
Le classement des scoreurs précoces :
1. James : 23 ans et 59 jours
2. Bryant : 24 ans et 194 jours
3. McGrady : 24 ans et 272 jours
4. McAdoo : 25 ans et 147 jours
5. S. O'Neal : 25 ans et 341 jours
6. Jordan et Abdul Jabbar : 25 ans et 343 jours
Entretien de Parker, dans L'Equipe :
« Mars va être terrible »
TONY PARKER se sent à nouveau bien dans le jeu mais redoute un monstrueux parcours d’obstacles à l’Ouest.
Heureux de retrouver son terrain de jeu après trois semaines de repos forcé dû à une inflammation chronique de la cheville gauche (« sans dommage structurel », précisait cependant le bulletin médical), le meneur français des Spurs entame la dernière ligne droite d’une saison formidablement indécise avec un énorme appétit.
Il s’est livré pour « L’Équipe » à une large analyse de la situation dans la dense Conférence Ouest et est revenu sur la situation des Bleus, qu’il devrait venir saluer cet été, à défaut de les épauler sur le terrain.
« OÙ EN ÊTES - VOUS physiquement ?
– Cela va beaucoup mieux. Ces trois semaines d’arrêt m’ont fait beaucoup de bien. J’en avais besoin mentalement et physiquement parce que j’avais pas mal enchaîné. Et, quand je me suis tordu la cheville cet été (en août avant l’Euro), je ne lui ai pas laissé le temps de guérir. Après cette coupure, j’ai une énergie nouvelle, j’ai envie de jouer au basket.
Vous avez manqué neuf matches, du 29 janvier au 19 février. Comment réagissiez-vous en voyant votre équipe gagner sans vous ?
– Être à la maison pendant que l’équipe joue, la regarder à la télé, ça fait bizarre. Enfin, j’étais content, car la Conférence Ouest est tellement serrée que j’avais peur qu’on perde trop de matches et qu’on se retrouve mal classés. Mais ils ont assuré, surtout grâce à un Manu extraordinaire pendant cette période.
– Comme lui, vous avez raté le All-Star Game. Avez-vous digéré cette déception ?
– Oui. J’avais commencé la saison en boulet de canon, à 21 points et 7 passes de moyenne, soit mes records en carrière. Et, après, j’ai été blessé et d’autres méritaient plus que moi le All-Star Game. Je n’ai pas de regret. Et cela m’apporte de la motivation pour l’an prochain. C’est la même chose pour Manu. Il est extraordinaire depuis un mois. Mais, pour aller au All-Star Game, il faut être bon sur les trois premiers mois de la saison.
– Avec votre retour, Ginobili devrait donc rentrer un peu dans le rang…
– Je pense que cela va se rééquilibrer. Il peut continuer à être chaud. Mais il aura un peu moins la balle. Les pick and roll sont pour moi. Et je prends environ quinze tirs par match. Donc, automatiquement, il aura moins de shoots, moins de pénétrations. Mais il est chaud comme la braise. Ça me rappelle 2005, quand il avait tout cassé en play-offs.
– En attendant, le nouvel entraîneur de l’équipe de France, Michel Gomez, vient de passer par le Texas. Comment s’est déroulée cette rencontre découverte ?
– Bien. Michel m’a fait un bon speech. Il est très, très motivé. J’étais un peu surpris. J’aime bien sa vision du basket et sa motivation. Mais c’est normal, il a beaucoup de choses à prouver, car sa nomination a été critiquée.
– Quel sera le degré d’implication de Tony Parker en équipe de France cet été vu que vous ne jouerez pas ?
– Je vais essayer de venir le premier jour du rassemblement. Et je serai là pour le match à Paris (en province, en fait) du mois de septembre.
– De jeunes Bleus, comme Ian Mahinmi, Joakim Noah ou Mickaël Gelabale, font parler d’eux outre-Atlantique. Doivent-ils être dans la prochaine sélection ?
– Il est clair que des jeunes comme Mahinmi et Noah peuvent nous aider. Michel Gomez m’a parlé de De Colo (Cholet), mais je ne l’ai jamais vu jouer. Mais, si je devais choisir un joueur, je dirais Mike Pietrus. Ce serait bien de le voir revenir en équipe de France. Il nous apporte ce grain de folie qui nous a manqué.
– Il n’avait pas été pris pour les mêmes raisons…
– Oui, mais il a cette folie à la Ginobili qui nous avait portés en équipe de France juniors. Et, quand on avait gagné le bronze avec l’équipe de France A (à l’Euro 2005), Mike avait fait des gros matches contre la Lituanie et l’Espagne. Ce serait bien qu’il revienne en sélection. Et Gelabale aussi.
– Revenons aux Spurs. Que pensez-vous du niveau de jeu actuel de votre équipe ?
– Bon, on a mis cinq points lors du premier quart-temps contre Atlanta lundi (record de médiocrité pour les Spurs),mais je ne pense pas que cela se reproduira de sitôt. On doit progresser en attaque car, là, on a encore de la marge. Notre défense nous fait gagner nos matches pour l’instant. On avance dans le bon sens. On joue bien au basket et il faut juste faire attention à éviter les blessures. D’autant que le mois de mars va être terrible avec 18 matches. On n’a jamais joué autant de rencontres dans un mois, ça va être dur, très dur. Le préparateur physique nous a dit qu’on n’avait jamais eu un tel programme et qu’on allait devoir le gérer au jour le jour.
– La défense reste la clé du succès des Spurs. Et, pour ne rien gâter, les dirigeants vous ont rajouté il y a quelques jours un certain Kurt Thomas, l’intérieur des Sonics et surtout des Suns l’an dernier en play-offs...
– (Il coupe avec enthousiasme.) Il est fort ! C’est un joueur intelligent. Il a un petit shoot extérieur, il prend des rebonds et il voit le jeu. Il a plein de basket. Et il met des picks de folie ! Je n’ai jamais vu quelqu’un aussi bien défendre sur Tim Duncan que lui l’an dernier. Maintenant, il est avec nous et c’est parfait. Car Kurt, c’est un Spur.
- Pendant vos vacances forcées, il s’en est passé de belles en NBA, avec des transferts à sensation qui ont redessiné la carte de la Conférence Ouest. Vos impressions ?
– Le transfert de Pau Gasol aux Lakers est de loin le meilleur. C’était même un cadeau de Noël, car les Lakers n’ont rien lâché en échange. Tous les autres trades sont des paris : Jason Kidd à Dallas et Shaquille O’Neal à Phoenix sont même de très gros paris. Dallas avait une très bonne équipe. Devin Harris (échangé pour Kidd) était le meneur du futur, il nous avait fait mal en 2007, et DeSagana Diop était un bon défenseur. Alors, on verra. Mais on ne peut pas dire que Jason Kidd ne les aidera pas. C’est un super passeur et ses coéquipiers savent que, s’ils sont démarqués, ils vont recevoir la balle.
– Cela ressemblerait presque à un vent de panique…
– Dallas n’est pas assez patient. Déjà en 2003, après avoir atteint la finale de Conférence avec Steve Nash, ils avaient échangé la moitié de l’équipe pour Antoine Walker. Tout ça prend du temps. Phoenix, à la limite, je peux comprendre. Cela fait trois fois qu’ils vont en finale de Conférence sans jamais accéder à la finale NBA. Surtout que j’avais entendu dire que Shawn Marion était un peu “chiant”. Parier sur le gros Shaq, je peux comprendre. Car, en play-offs, on joue plus sur demi terrain et, avec Shaq, l’adversaire doit faire prise à deux.
– Dans ces moments d’agitation, cela doit faire du bien d’être un Spur dans une équipe où les retouches sont toujours chirurgicales…
– Nous, c’est différent. On gagne. Tu ne changes pas l ’équipe qui détient le trophée.
– Comment avez-vous réagi à l’annonce du transfert de Gasol ?
– Je me suis dit que les Lakers pouvaient gagner le titre. Ils ont la présence intérieure qui leur manquait. Même quand Bynum jouait bien, je n'y croyais pas trop. Il est encore jeune et, en play-offs, tout change. Mais Gasol, c’est autre chose. Cela devient dur.
– Qui est le favori désormais ?
– Je ne sais pas. Cette année, à l’Ouest tout le monde est dangereux. C’est peut-être la première année où finir premier ou huitième importera peu. Tout le monde est tellement proche. Tout le monde peut gagner. Résultat, on ne peut pas se reposer. La marge d’erreur est trop mince. Ça va être dur. Il n’y a pas de favori. Je n’ai jamais vu un Championnat aussi serré.
– D’où l’importance d’obtenir l’avantage du terrain ?
– C’est clair. Mais on s’est bien rattrapés. On n’est pas mal maintenant. On est confiants.
– Vous n’avez pas évoqué Houston parmi les favoris. La blessure de Yao Ming met-elle un terme à toute sorte d’ambition pour les Rockets ?
– Quand j’ai appris la nouvelle, j’ai pensé à notre équipe. J’ai pensé à la chance qu’il faut aussi pour disputer les play-offs. Cela m’a un peu fait mal pour Houston, car ils jouaient vraiment bien, avec douze victoires d’affilée, et maintenant, sans Yao, ça va être dur… C’est comme si, nous, nous avions perdu Duncan.
– Vous ne croyez pas en New Orleans ?
– Les Hornets sont jeunes. C’est une belle équipe, une équipe dangereuse, mais ils manquent encore d’expérience.
– Plus que jamais, vos adversaires s’appellent donc Lakers et Suns, les clubs de vos amis et compatriotes Ronny Turiaf et Boris Diaw…
– J’aimerais bien qu’ils gagnent un titre.
– Mais s’ils gagnent, vous perdez...
– Soyons clair. Si je perds, je préfère que l’un d’entre eux gagne.
– La rivalité est de plus en plus intense entre vous. Vous ne voyez pas arriver le jour où votre belle amitié sera écornée par la réalité sportive ?
– Jamais ! Jamais de la vie. Ce qui se passe sur le terrain reste sur le terrain. Je leur souhaite de vivre ce que j’ai déjà connu trois fois. Ce sont mes potes. Mais je ferai tout pour les en empêcher. Et, s’ils y arrivent, j’espère que les Lakers ou Phoenix battront les costauds de l’Est, Detroit ou Boston. »
OLIVIER PHEULPIN
Bon, en fait rien de bien transcendant. :sad:
« Mars va être terrible »
TONY PARKER se sent à nouveau bien dans le jeu mais redoute un monstrueux parcours d’obstacles à l’Ouest.
Heureux de retrouver son terrain de jeu après trois semaines de repos forcé dû à une inflammation chronique de la cheville gauche (« sans dommage structurel », précisait cependant le bulletin médical), le meneur français des Spurs entame la dernière ligne droite d’une saison formidablement indécise avec un énorme appétit.
Il s’est livré pour « L’Équipe » à une large analyse de la situation dans la dense Conférence Ouest et est revenu sur la situation des Bleus, qu’il devrait venir saluer cet été, à défaut de les épauler sur le terrain.
« OÙ EN ÊTES - VOUS physiquement ?
– Cela va beaucoup mieux. Ces trois semaines d’arrêt m’ont fait beaucoup de bien. J’en avais besoin mentalement et physiquement parce que j’avais pas mal enchaîné. Et, quand je me suis tordu la cheville cet été (en août avant l’Euro), je ne lui ai pas laissé le temps de guérir. Après cette coupure, j’ai une énergie nouvelle, j’ai envie de jouer au basket.
Vous avez manqué neuf matches, du 29 janvier au 19 février. Comment réagissiez-vous en voyant votre équipe gagner sans vous ?
– Être à la maison pendant que l’équipe joue, la regarder à la télé, ça fait bizarre. Enfin, j’étais content, car la Conférence Ouest est tellement serrée que j’avais peur qu’on perde trop de matches et qu’on se retrouve mal classés. Mais ils ont assuré, surtout grâce à un Manu extraordinaire pendant cette période.
– Comme lui, vous avez raté le All-Star Game. Avez-vous digéré cette déception ?
– Oui. J’avais commencé la saison en boulet de canon, à 21 points et 7 passes de moyenne, soit mes records en carrière. Et, après, j’ai été blessé et d’autres méritaient plus que moi le All-Star Game. Je n’ai pas de regret. Et cela m’apporte de la motivation pour l’an prochain. C’est la même chose pour Manu. Il est extraordinaire depuis un mois. Mais, pour aller au All-Star Game, il faut être bon sur les trois premiers mois de la saison.
– Avec votre retour, Ginobili devrait donc rentrer un peu dans le rang…
– Je pense que cela va se rééquilibrer. Il peut continuer à être chaud. Mais il aura un peu moins la balle. Les pick and roll sont pour moi. Et je prends environ quinze tirs par match. Donc, automatiquement, il aura moins de shoots, moins de pénétrations. Mais il est chaud comme la braise. Ça me rappelle 2005, quand il avait tout cassé en play-offs.
– En attendant, le nouvel entraîneur de l’équipe de France, Michel Gomez, vient de passer par le Texas. Comment s’est déroulée cette rencontre découverte ?
– Bien. Michel m’a fait un bon speech. Il est très, très motivé. J’étais un peu surpris. J’aime bien sa vision du basket et sa motivation. Mais c’est normal, il a beaucoup de choses à prouver, car sa nomination a été critiquée.
– Quel sera le degré d’implication de Tony Parker en équipe de France cet été vu que vous ne jouerez pas ?
– Je vais essayer de venir le premier jour du rassemblement. Et je serai là pour le match à Paris (en province, en fait) du mois de septembre.
– De jeunes Bleus, comme Ian Mahinmi, Joakim Noah ou Mickaël Gelabale, font parler d’eux outre-Atlantique. Doivent-ils être dans la prochaine sélection ?
– Il est clair que des jeunes comme Mahinmi et Noah peuvent nous aider. Michel Gomez m’a parlé de De Colo (Cholet), mais je ne l’ai jamais vu jouer. Mais, si je devais choisir un joueur, je dirais Mike Pietrus. Ce serait bien de le voir revenir en équipe de France. Il nous apporte ce grain de folie qui nous a manqué.
– Il n’avait pas été pris pour les mêmes raisons…
– Oui, mais il a cette folie à la Ginobili qui nous avait portés en équipe de France juniors. Et, quand on avait gagné le bronze avec l’équipe de France A (à l’Euro 2005), Mike avait fait des gros matches contre la Lituanie et l’Espagne. Ce serait bien qu’il revienne en sélection. Et Gelabale aussi.
– Revenons aux Spurs. Que pensez-vous du niveau de jeu actuel de votre équipe ?
– Bon, on a mis cinq points lors du premier quart-temps contre Atlanta lundi (record de médiocrité pour les Spurs),mais je ne pense pas que cela se reproduira de sitôt. On doit progresser en attaque car, là, on a encore de la marge. Notre défense nous fait gagner nos matches pour l’instant. On avance dans le bon sens. On joue bien au basket et il faut juste faire attention à éviter les blessures. D’autant que le mois de mars va être terrible avec 18 matches. On n’a jamais joué autant de rencontres dans un mois, ça va être dur, très dur. Le préparateur physique nous a dit qu’on n’avait jamais eu un tel programme et qu’on allait devoir le gérer au jour le jour.
– La défense reste la clé du succès des Spurs. Et, pour ne rien gâter, les dirigeants vous ont rajouté il y a quelques jours un certain Kurt Thomas, l’intérieur des Sonics et surtout des Suns l’an dernier en play-offs...
– (Il coupe avec enthousiasme.) Il est fort ! C’est un joueur intelligent. Il a un petit shoot extérieur, il prend des rebonds et il voit le jeu. Il a plein de basket. Et il met des picks de folie ! Je n’ai jamais vu quelqu’un aussi bien défendre sur Tim Duncan que lui l’an dernier. Maintenant, il est avec nous et c’est parfait. Car Kurt, c’est un Spur.
- Pendant vos vacances forcées, il s’en est passé de belles en NBA, avec des transferts à sensation qui ont redessiné la carte de la Conférence Ouest. Vos impressions ?
– Le transfert de Pau Gasol aux Lakers est de loin le meilleur. C’était même un cadeau de Noël, car les Lakers n’ont rien lâché en échange. Tous les autres trades sont des paris : Jason Kidd à Dallas et Shaquille O’Neal à Phoenix sont même de très gros paris. Dallas avait une très bonne équipe. Devin Harris (échangé pour Kidd) était le meneur du futur, il nous avait fait mal en 2007, et DeSagana Diop était un bon défenseur. Alors, on verra. Mais on ne peut pas dire que Jason Kidd ne les aidera pas. C’est un super passeur et ses coéquipiers savent que, s’ils sont démarqués, ils vont recevoir la balle.
– Cela ressemblerait presque à un vent de panique…
– Dallas n’est pas assez patient. Déjà en 2003, après avoir atteint la finale de Conférence avec Steve Nash, ils avaient échangé la moitié de l’équipe pour Antoine Walker. Tout ça prend du temps. Phoenix, à la limite, je peux comprendre. Cela fait trois fois qu’ils vont en finale de Conférence sans jamais accéder à la finale NBA. Surtout que j’avais entendu dire que Shawn Marion était un peu “chiant”. Parier sur le gros Shaq, je peux comprendre. Car, en play-offs, on joue plus sur demi terrain et, avec Shaq, l’adversaire doit faire prise à deux.
– Dans ces moments d’agitation, cela doit faire du bien d’être un Spur dans une équipe où les retouches sont toujours chirurgicales…
– Nous, c’est différent. On gagne. Tu ne changes pas l ’équipe qui détient le trophée.
– Comment avez-vous réagi à l’annonce du transfert de Gasol ?
– Je me suis dit que les Lakers pouvaient gagner le titre. Ils ont la présence intérieure qui leur manquait. Même quand Bynum jouait bien, je n'y croyais pas trop. Il est encore jeune et, en play-offs, tout change. Mais Gasol, c’est autre chose. Cela devient dur.
– Qui est le favori désormais ?
– Je ne sais pas. Cette année, à l’Ouest tout le monde est dangereux. C’est peut-être la première année où finir premier ou huitième importera peu. Tout le monde est tellement proche. Tout le monde peut gagner. Résultat, on ne peut pas se reposer. La marge d’erreur est trop mince. Ça va être dur. Il n’y a pas de favori. Je n’ai jamais vu un Championnat aussi serré.
– D’où l’importance d’obtenir l’avantage du terrain ?
– C’est clair. Mais on s’est bien rattrapés. On n’est pas mal maintenant. On est confiants.
– Vous n’avez pas évoqué Houston parmi les favoris. La blessure de Yao Ming met-elle un terme à toute sorte d’ambition pour les Rockets ?
– Quand j’ai appris la nouvelle, j’ai pensé à notre équipe. J’ai pensé à la chance qu’il faut aussi pour disputer les play-offs. Cela m’a un peu fait mal pour Houston, car ils jouaient vraiment bien, avec douze victoires d’affilée, et maintenant, sans Yao, ça va être dur… C’est comme si, nous, nous avions perdu Duncan.
– Vous ne croyez pas en New Orleans ?
– Les Hornets sont jeunes. C’est une belle équipe, une équipe dangereuse, mais ils manquent encore d’expérience.
– Plus que jamais, vos adversaires s’appellent donc Lakers et Suns, les clubs de vos amis et compatriotes Ronny Turiaf et Boris Diaw…
– J’aimerais bien qu’ils gagnent un titre.
– Mais s’ils gagnent, vous perdez...
– Soyons clair. Si je perds, je préfère que l’un d’entre eux gagne.
– La rivalité est de plus en plus intense entre vous. Vous ne voyez pas arriver le jour où votre belle amitié sera écornée par la réalité sportive ?
– Jamais ! Jamais de la vie. Ce qui se passe sur le terrain reste sur le terrain. Je leur souhaite de vivre ce que j’ai déjà connu trois fois. Ce sont mes potes. Mais je ferai tout pour les en empêcher. Et, s’ils y arrivent, j’espère que les Lakers ou Phoenix battront les costauds de l’Est, Detroit ou Boston. »
OLIVIER PHEULPIN
Bon, en fait rien de bien transcendant. :sad:
Ils vont gagner, puisque je serais à Nanterre pour les soutenirvinsanity wrote:Petit topo sur les matchs périlleux qui attendent stéphanois et roannais ce week-end
http://www.zoom42.fr/actu/ACT_detail.asp?strId=17155
J'éspère bien. Mais pour Roanne, gros coup dur, puisque Salyers est forfait, blessé aux ischios :???:BriKo wrote:Ils vont gagner, puisque je serais à Nanterre pour les soutenirvinsanity wrote:Petit topo sur les matchs périlleux qui attendent stéphanois et roannais ce week-end
http://www.zoom42.fr/actu/ACT_detail.asp?strId=17155
Merci Karamba pour l'itw. Effectivement rien de transcendant. Mais à vrai dire, je trouve rarement intéressant ce que dit l'ami Tony P.
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El Couramiaud
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On peut toujours compter sur les filles. Si les performances françaises en Euroleague sont régulièrement catastrophiques, ce n'est pas le cas chez les filles.
Bourges atteint ainsi son deuxième Final Four consécutif grâce à une victoire couillue (
) en Turquie, sur le parquet de Fenerbahce (74-72).
Son adversaire sera Ekaterinbourg en demi-finale, tandis que l'autre demi-finale opposera le tenant du trophée, le Spartak Moscou au vainqueur d'un match d'appui entre Valencia et Brno.
Depuis 1996, Bourges a gagné l'Euroleague 3 fois, a été en finale 1 fois, a atteint 7 fois le Final Four et atteint chaque année les quarts de finale pour minimum (soit 11 fois).
Qui dit mieux dans le sport français ?
Sonja Petrovic
Sonja Kireta
Céline Dumerc
Emmeline Ndongue
Bourges atteint ainsi son deuxième Final Four consécutif grâce à une victoire couillue (
) en Turquie, sur le parquet de Fenerbahce (74-72).Son adversaire sera Ekaterinbourg en demi-finale, tandis que l'autre demi-finale opposera le tenant du trophée, le Spartak Moscou au vainqueur d'un match d'appui entre Valencia et Brno.
Depuis 1996, Bourges a gagné l'Euroleague 3 fois, a été en finale 1 fois, a atteint 7 fois le Final Four et atteint chaque année les quarts de finale pour minimum (soit 11 fois).
Qui dit mieux dans le sport français ?
Sonja Petrovic
Sonja Kireta
Céline Dumerc
Emmeline Ndongue
BriKo wrote:Ils vont gagner, puisque je serais à Nanterre pour les soutenirvinsanity wrote:Petit topo sur les matchs périlleux qui attendent stéphanois et roannais ce week-end
http://www.zoom42.fr/actu/ACT_detail.asp?strId=17155
Nanterre 87 82 Saint Etienne
raté :???:
[img]http://www.msb.fr/images/clubs/logo/lemans.jpg[/img]
"Il y a des choses que le temps ne peut cicatriser,
des blessures si profondes,
qu'elles se sont emparées de vous "
"Il y a des choses que le temps ne peut cicatriser,
des blessures si profondes,
qu'elles se sont emparées de vous "
Défaite de Roanne aussi, à Dijon ...lolo72 wrote:BriKo wrote:Ils vont gagner, puisque je serais à Nanterre pour les soutenirvinsanity wrote:Petit topo sur les matchs périlleux qui attendent stéphanois et roannais ce week-end
http://www.zoom42.fr/actu/ACT_detail.asp?strId=17155
Nanterre 87 82 Saint Etienne
raté :???:
http://www.zoom42.fr/actu/ACT_detail.asp?strId=17246
:sad:
On a vraiment la poisse cette saison, dur de gagner chez des dijonnais en plein renouveau sasn Salyers
Il reste moins de 5 secondes a jouer, Le havre mene de 5 points contre le MSB. La fin de match ici :
http://www.premiumwanadoo.com/stb.com/s ... 10308.html
http://www.premiumwanadoo.com/stb.com/s ... 10308.html
[img]http://www.msb.fr/images/clubs/logo/lemans.jpg[/img]
"Il y a des choses que le temps ne peut cicatriser,
des blessures si profondes,
qu'elles se sont emparées de vous "
"Il y a des choses que le temps ne peut cicatriser,
des blessures si profondes,
qu'elles se sont emparées de vous "
-
El Couramiaud
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- Joined: 11 Jan 2006, 16:47
- Location: Saint-Chamond
C'est vrai que c'est une fin de match assez énorme. Je serais supporter du Havre j'en aurai mangé mon sliplolo72 wrote:Il reste moins de 5 secondes a jouer, Le havre mene de 5 points contre le MSB. La fin de match ici :
http://www.premiumwanadoo.com/stb.com/s ... 10308.html
C'est qui les deux derniers tireurs pour Le Mans?
Raviv Limonad et ... Raviv Limonad :lol: (Reggie Miller inside)El Couramiaud wrote:C'est vrai que c'est une fin de match assez énorme. Je serais supporter du Havre j'en aurai mangé mon sliplolo72 wrote:Il reste moins de 5 secondes a jouer, Le havre mene de 5 points contre le MSB. La fin de match ici :
http://www.premiumwanadoo.com/stb.com/s ... 10308.html
C'est qui les deux derniers tireurs pour Le Mans?
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boubynight
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- Joined: 27 Dec 2005, 22:36
- Contact:
Basket - NBA - Cassell à Boston
Sam Cassell va retrouver deux anciens coéquipiers qu'il avait connus respectivement à Minnesota et Milwaukee, Kevin Garnett et Ray Allen. L'arrière américain, 38 ans, va en effet rejoindre Boston, après avoir été libéré par les Los Angeles Clippers la semaine dernière. «C'est un joueur confirmé, a estimé l'entraîneur des Celtics Doc Rivers à propos du double champion NBA avec Houston en 1994 et 1995. Nous allons voir comment il pourra s'intégrer à l'équipe. Il vient avec un bon état d'esprit et veut juste nous aider. Il sait comment jouer. Il est extraordinaire en fin de match.»
Oulala Boston !!!!!!!!
Sam Cassell va retrouver deux anciens coéquipiers qu'il avait connus respectivement à Minnesota et Milwaukee, Kevin Garnett et Ray Allen. L'arrière américain, 38 ans, va en effet rejoindre Boston, après avoir été libéré par les Los Angeles Clippers la semaine dernière. «C'est un joueur confirmé, a estimé l'entraîneur des Celtics Doc Rivers à propos du double champion NBA avec Houston en 1994 et 1995. Nous allons voir comment il pourra s'intégrer à l'équipe. Il vient avec un bon état d'esprit et veut juste nous aider. Il sait comment jouer. Il est extraordinaire en fin de match.»
Oulala Boston !!!!!!!!
[quote="Vertdur"]Bouby a fait du bon boulot :wink:[/quote]
[quote="Cmagix"]un but de bouby[/quote]
[quote="billups42"]
C'est bien boubynight.....1er pour les infos[/quote]
[quote="Cmagix"]un but de bouby[/quote]
[quote="billups42"]
C'est bien boubynight.....1er pour les infos[/quote]
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El Couramiaud
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- Joined: 11 Jan 2006, 16:47
- Location: Saint-Chamond
boubynight wrote:Basket - NBA - Cassell à Boston
Sam Cassell va retrouver deux anciens coéquipiers qu'il avait connus respectivement à Minnesota et Milwaukee, Kevin Garnett et Ray Allen. L'arrière américain, 38 ans, va en effet rejoindre Boston, après avoir été libéré par les Los Angeles Clippers la semaine dernière. «C'est un joueur confirmé, a estimé l'entraîneur des Celtics Doc Rivers à propos du double champion NBA avec Houston en 1994 et 1995. Nous allons voir comment il pourra s'intégrer à l'équipe. Il vient avec un bon état d'esprit et veut juste nous aider. Il sait comment jouer. Il est extraordinaire en fin de match.»
Oulala Boston !!!!!!!!