[Basket] Reprise saison NBA
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NBA - Une lycéenne fait mieux que Kobe Bryant et Wilt Chamberlain
AFP - 02.02.2006, 19h11
LOS ANGELES, 2 fév 2006 (AFP) - Epiphanny Prince, une lycéenne de New York, a fait mieux que les 81 points de Kobe Bryant, la star des Los Angeles Lakers, en inscrivant 113 points mercredi lors d'un match de basket-ball.
Du haut de ses 180 cm, la jeune fille a eu tout le loisir de battre l'ancien record pour une lycéenne, datant de 1982 (105 pts) pour conduire ses coéquipières à une victoire sans appel (137-32).
A la mi-temps, Epiphanny Prince avait déjà inscrit 58 points.
Le 22 janvier, Kobe Bryant a inscrit le plus grand nombre de points dans une rencontre NBA par un même joueur depuis le record de Wilt Chamberlain (100).
http://www.lnb.fr/index.php?pid=50&id_a ... or_start=0
AFP - 02.02.2006, 19h11
LOS ANGELES, 2 fév 2006 (AFP) - Epiphanny Prince, une lycéenne de New York, a fait mieux que les 81 points de Kobe Bryant, la star des Los Angeles Lakers, en inscrivant 113 points mercredi lors d'un match de basket-ball.
Du haut de ses 180 cm, la jeune fille a eu tout le loisir de battre l'ancien record pour une lycéenne, datant de 1982 (105 pts) pour conduire ses coéquipières à une victoire sans appel (137-32).
A la mi-temps, Epiphanny Prince avait déjà inscrit 58 points.
Le 22 janvier, Kobe Bryant a inscrit le plus grand nombre de points dans une rencontre NBA par un même joueur depuis le record de Wilt Chamberlain (100).
http://www.lnb.fr/index.php?pid=50&id_a ... or_start=0
[img]http://www.msb.fr/images/clubs/logo/lemans.jpg[/img]
"Il y a des choses que le temps ne peut cicatriser,
des blessures si profondes,
qu'elles se sont emparées de vous "
"Il y a des choses que le temps ne peut cicatriser,
des blessures si profondes,
qu'elles se sont emparées de vous "
Brighton Bears - Birmingham Bullets : 105 - 92
http://www.bbl.org.uk/fixtures.php
http://www.bbl.org.uk/fixtures.php
[img]http://www.msb.fr/images/clubs/logo/lemans.jpg[/img]
"Il y a des choses que le temps ne peut cicatriser,
des blessures si profondes,
qu'elles se sont emparées de vous "
"Il y a des choses que le temps ne peut cicatriser,
des blessures si profondes,
qu'elles se sont emparées de vous "
Parfait mercilolo72 wrote:Brighton Bears - Birmingham Bullets : 105 - 92
http://www.bbl.org.uk/fixtures.php

Solna Vikings - Öresundskraft
http://www.solnavikings.se/
Förlust hemma mot Öresundskraft
Solna Vikings svit av hemmavinster stannade vid tolv raka vunna matcher. Ett underbemannat Öresundskraft vann välförtjänt mot Vikings med 98-95 efter förlängning.
a toi de traduire
http://www.solnavikings.se/
Förlust hemma mot Öresundskraft
Solna Vikings svit av hemmavinster stannade vid tolv raka vunna matcher. Ett underbemannat Öresundskraft vann välförtjänt mot Vikings med 98-95 efter förlängning.
a toi de traduire
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"Il y a des choses que le temps ne peut cicatriser,
des blessures si profondes,
qu'elles se sont emparées de vous "
"Il y a des choses que le temps ne peut cicatriser,
des blessures si profondes,
qu'elles se sont emparées de vous "
'ttaaiiinnn... betandwin me dit que Öresundskraft c'est imposé à Solna Vikings !!!
pfffffffff

Edit : Confirmation http://www.basketligan.se/
95 - 98

pfffffffff
Edit : Confirmation http://www.basketligan.se/
95 - 98
Moué ... pas d'accord avec o_vert_seas_1 ... la chute des Warriors date pas de 3 match (ca fait 3 match que J-Rich est absent et 2 défaites / 1victoire), ca date déjà d'avant, plutot depuis la blessure de MP2 d'ailleurs :lol: . Troy Murphy dit de lui que c'est leur meilleur defenseur ...
Les Brighton Bears, c'est l'équipe ou ce bon dennis Rodman effectue une pige :lol:
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D'accord avec toi vinsanity, la chute des warriors était déja amorcée avant la blessure de J-Rich et les coéquipiers de Pietrus ne semble pas être en mesure de pouvoir rétablir la situation.vinsanity wrote:Moué ... pas d'accord avec o_vert_seas_1 ... la chute des Warriors date pas de 3 match (ca fait 3 match que J-Rich est absent et 2 défaites / 1victoire), ca date déjà d'avant, plutot depuis la blessure de MP2 d'ailleurs :lol: . Troy Murphy dit de lui que c'est leur meilleur defenseur ...
Les Brighton Bears, c'est l'équipe ou ce bon dennis Rodman effectue une pige :lol:
La preuve, puisque les warriors concèdent une nouvelle défaite à domicile cette nuit devant les spurs 89 à 86.
TP égal à lui même, avec 23 points à 8/14 et 6 passes. 6 points pour Pietrus à 2/7 aux shoots.
Dans l'autre match de la nuit, le heat s'impose à la maison devant Cleveland 101-73.
Sinon ce soir le SEB joue un match très important chez le leader de Pro B Besançon, alors allez le SEB.
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kissmyasse wrote:113 points dans un match !
L'américaine Epiphanny Prince a inscrit 113 points lors d'un match de lycée, battant au passage un record qui dattait de 1982 (105 points).
(eurosports.fr)
Bryant peut aller se rhabiller
Par contre Epihanny Prince elle, elle peu se déshabiller

Ca calme quand meme :lol:lolo72 wrote:NBA - Une lycéenne fait mieux que Kobe Bryant et Wilt Chamberlain
AFP - 02.02.2006, 19h11
LOS ANGELES, 2 fév 2006 (AFP) - Epiphanny Prince, une lycéenne de New York, a fait mieux que les 81 points de Kobe Bryant, la star des Los Angeles Lakers, en inscrivant 113 points mercredi lors d'un match de basket-ball.
Du haut de ses 180 cm, la jeune fille a eu tout le loisir de battre l'ancien record pour une lycéenne, datant de 1982 (105 pts) pour conduire ses coéquipières à une victoire sans appel (137-32).
A la mi-temps, Epiphanny Prince avait déjà inscrit 58 points.
Le 22 janvier, Kobe Bryant a inscrit le plus grand nombre de points dans une rencontre NBA par un même joueur depuis le record de Wilt Chamberlain (100).
http://www.lnb.fr/index.php?pid=50&id_a ... or_start=0
Signalons que le record précédent en matière de basket féminin avec 105 pts était détenu par Cheryl Miller, qui n'est autre que la soeur de l'illustre Reggie Miller ...

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Victoire du SEB (sans C apparemment) à Besancon ... petit résumé par ici :
http://www.zoom42.fr/actu/ACT_detail.asp?strId=817
Ce soir la Chorale recoit la JL Bourg sans Tony Akins qui a donc été viré ... ca va etre dur, la JL joue vraiment bien.
Sinon ...
All-Star Game: les cinq dévoilés
Les votes terminés depuis dix jours, le verdict est tombé quant à la composition des deux cinq appelés à débuter le prochain All-Star Game à Houston le 19 février prochain. Et malgré son incroyable mois de janvier, marqué par ses 81 points et ses 43 points de moyenne sur le mois, Kobe Bryant doit laisser à Yao Ming l'honneur du plus gros suffrage avec 2 342 738 voix contre 2 271 631 pour le joueur des Lakers. Quant à Tony Parker, le Français finit cinquième des arrières à l'ouest avec 646 739 suffranges. Conférence ouest: Yao Ming (Houston), Tim Duncan (San Antonio), Tracy McGrady (Houston), Kobe Bryant (Los Angeles Lakers), Steve Nash (Phoenix). Conférence est: Shaquile O'Neal (Miami), Jermaine O'Neal (Indiana), LeBron James (Cleveland), Allen Iverson (Philadelphie), Dwyane Wade (Miami).
On s'en doutait un peu après les premières "estimations", il n'y a pas de surprise. Par contre Jermaine O'Neal blessé, c'est le Sheed qui risque de le remplacer comme forward à l'Est ...
http://www.zoom42.fr/actu/ACT_detail.asp?strId=817
Ce soir la Chorale recoit la JL Bourg sans Tony Akins qui a donc été viré ... ca va etre dur, la JL joue vraiment bien.
Sinon ...
All-Star Game: les cinq dévoilés
Les votes terminés depuis dix jours, le verdict est tombé quant à la composition des deux cinq appelés à débuter le prochain All-Star Game à Houston le 19 février prochain. Et malgré son incroyable mois de janvier, marqué par ses 81 points et ses 43 points de moyenne sur le mois, Kobe Bryant doit laisser à Yao Ming l'honneur du plus gros suffrage avec 2 342 738 voix contre 2 271 631 pour le joueur des Lakers. Quant à Tony Parker, le Français finit cinquième des arrières à l'ouest avec 646 739 suffranges. Conférence ouest: Yao Ming (Houston), Tim Duncan (San Antonio), Tracy McGrady (Houston), Kobe Bryant (Los Angeles Lakers), Steve Nash (Phoenix). Conférence est: Shaquile O'Neal (Miami), Jermaine O'Neal (Indiana), LeBron James (Cleveland), Allen Iverson (Philadelphie), Dwyane Wade (Miami).
On s'en doutait un peu après les premières "estimations", il n'y a pas de surprise. Par contre Jermaine O'Neal blessé, c'est le Sheed qui risque de le remplacer comme forward à l'Est ...

Les Lakers chocolat
Les Lakers ne goûtent décidément que modérément les voyages en cette année 2006. Deux jours après avoir sombré chez les Pacers, les Californiens ont en effet permis aux Bobcats, qui restaient pourtant sur une série noire de 13 revers de rang, de renouer avec la victoire, Charlotte l'emportant 112-102 et Jumaine Jones se rappelant au bon souvenir des Californiens avec 31 points. Ça rigole en revanche pour l'autre franchise de LA puisque les Clippers ont étrillé les Celtics 81-98. Soirée également tranquille pour Detroit, vainqueur à Philly 80-87.
En décembre, c'est un voyage à travers la conférence est qui avait vu les Lakers décoller après un début de saison compliqué. Trois succès de rang acquis à Milwaukee, Toronto et Chicago, ponctués de deux victoires à Dallas et Memphis et la saison des Californiens paraissait enfin lancée. Las, bien qu'ayant peu ou proue confirmé leur essor durant les fêtes de fin d'année puis au cours d'un mois de janvier devenu historique pour son soliste Kobe Bryant, les troupes de Phil Jackson éprouvent néanmoins bien des difficultés dès qu'il s'agit d'évoluer loin du Staples Center. Les récents revers concédés à Portland, Phœnix ou Sacramento ont en en témoignaient et le constat est devenu évident depuis le coup d'envoi de leur tournée hivernale.
Les Lakers ont certes su profiter de la déliquescence des Knicks pour l'emporter au Madison Square Garden mais pour le reste le bilan est sévère avec deux faillites, à Detroit et, surtout, à Indiana, et, cette nuit, un revers tout aussi infamant à Charlotte. Des défaites d'autant plus difficiles à encaisser et à justifier que les Pacers et les Bobcats restaient respectivement sur six et treize revers de rang avant de retrouver goût à la victoire grâce à la visite des Californiens. Et les Angelinos ont bel et bien touché le fond en Caroline puisque si les derniers nés de la Ligue sont tant à la rue en ce début d'année, c'est qu'ils doivent composer avec les absences de la plupart de leurs meilleurs éléments: Emeka Okafor, Gerald Wallace, Seam May ou Keith Bogans, tous retenus à l'infirmerie.
A votre bon souvenir...
Un quart temps à pourtant suffi à ces Bobcats B pour faire la différence, les hommes de Bernie Bickerstaff passant 40 points à leurs visiteurs pour démarrer en trombe la rencontre. Avec 15 points de débours à l'issue du premier acte, les Lakers pouvaient bien essayer de s'en remettre à Kobe Bryant pour recoller, la prestation des plus efficaces du meilleur marqueur de la Ligue -35 points à 12 sur 18 aux tirs, 9 rebonds et 5 passes- allait se révéler insuffisante. Car après avoir permis de revenir à deux longueurs à l'entame de la dernière ligne droite, KB8 a été, une fois n'est pas coutume, littéralement muselé dans le dernier quart, l'arrière californien devant en effet se contenter de quatre maigres lancers sur la période.
C'en était fini des chances de retour des Lakers, ses coéquipiers, privés de Lamar Odom, touché aux côtes, étant bien incapables de prendre le relais et d'endiguer la verve de leurs hôtes. Si Chris Mihm et Smush Parker ont une fois encore émargé du lot, avec respectivement 15 et 19 points, la soirée a été particulièrement difficile pour Devean George, auteur d'un piètre 2 sur 9 aux tirs, pour Brian Cook, encore moins en réussite avec un sinistre 1 sur 8 ou Luke Walton, dont le 7 sur 9 aux lancers ne suffit pas à faire oublier son 1 sur 6. A croire que les dirigeants californiens ont misé sur le mauvais cheval au moment de dégraisser l'effectif l'été dernier.
Car si les Lakers en ont été quittes pour un tel revers, ils le doivent à un ancien de la maison en la personne de Jumaine Jones. L'ailier des Bobcats, non content de s'en sortir honorablement en défense sur Kobe Bryant, a en effet livré son meilleur match en carrière, se mettant en effet sur son 31 pour l'occasion avec 31 points à 13 sur 20 et 9 rebonds. Suffisant pour que Phil Jackson reconnaisse à l'issue de la rencontre: "Il s'est entraîné toute la saison dernière avec Kobe, aussi c'est une douce revanche pour lui. On ne savait pas qui il était et quel bon joueur il pouvait être. Et on l'a lâché aux Bobcats." Non sans désormais le regretter...
Cassell-Brand, duo gagnant
LA qui pleure, LA qui rit. Tandis que la tournée plein est des Lakers tourne au fiasco, celle des Clippers est en passe de rencontrer un joli succès. Les troupes de Mike Dunleavy l'ont certes débutée par un revers à Miami, mais elles se sont depuis joliment rattrapé en s'imposant coup sur coup à Orlando puis Boston pour afficher sept victoires sur leurs huit derniers matches. Et comme l'avant-veille chez le Magic, les Californiens s'en sont remis à leur tandem Sam Casell-Elton Brand pour faire la mordre la poussière aux Celtics 81-98. Cutino Mobley a bien inscrit 18 points, Chris Kaman compilé 14 points et 12 rebonds. Mais tandis que l'intérieur y allait de son devenu habituel double-double avec 30 points à 12 sur 19 aux tirs et 11 rebonds, le double champion NBA époque Rockets se fendait d'une prestation des plus complète, signant 23 points, 8 passes et 6 rebonds et inscrivant, comme à sa bonne habitude, quelques tris primés des plus précieux pour porter l'estocade. Car si les Clippers se sont finalement imposés somme toute aisément, ils le doivent à un 19-3 passé aux Celtics dans la dernière ligne droite et rendant vains les efforts de Wally Szczerbiak, auteur d'un flirt poussé avec le triple-double avec 18 points, 10 passes et 8 rebonds.
Detroit dans le bon rythme
Seuls cadors de sortie cette nuit, les Pistons n'ont pas manqué de conforter leur suprématie sur la Ligue en signant un énième succès, le 39e en 45 matches, cette fois chez les Sixers 80-87. A nouveau privés d'Allen Iverson, les Sixers ont beau avoir opposé une certaine résistance, il aurait fallu plus que les 17 points et 9 rebonds de Chris Webber, les 13 points d'Andre Iguodala, le double-double de Samuel Dalembert, auteur de 10 points et 11 rebonds, leur domination au rebond ou leur probant 52% de réussite aux tirs, pour l'emporter. Car à Detroit, Chauncey Billups a certes connu une soirée sans au rayon adresse, rendant un affreux 3 sur 14 aux tirs pour 7 points, une faillite à peine excusée par ses 14 passes décisives, mais Rip Hamilton et Rasheed Wallace ont assuré l'essentiel avec respectivement 30 et 20 points, Tayshaun Prince complétant le tableau avec 16 points et Detroit faisant valoir sa maîtrise avec seulement 7 pertes de balle contre 16 pour leurs hôtes.
Petro et Seattle prennent la leçon
Soirée ô combien difficile pour les Sonics en général et leurs intérieurs en particulier. Car si les Rockets leur ont donné ainsi la leçon, s'imposant 100-77 au terme d'un match à sens unique, ils le doivent certes au nouveau récital de Tracy McGrady, meilleur marqueur du match avec 36 points, mais également au réveil de Yao Ming. L'intérieur chinois a en effet célébré sa nouvelle titularisation pour le prochain All-Star Game par une prestation solide comme rarement avec 24 points et 14 rebonds à son crédit. La comparaison n'est dès lors guère flatteuse pour les grands du Washington, Robert Swift signant 6 poinst et 7 rebonds en 33 minutes, Nick Collison 4 points et 7 rebonds en 16 minutes et Johan Petro grapillant 2 points à 1 sur 4 aux tirs, 3 rebonds et 2 contres en 19 minutes.
A Toronto la victoire, à New York la bonne affaire ?
Les Knicks n'ont pas fait le déplacement à Toronto pour rien. S'ils ont quitté la Canada avec une défaite de plus dans les valises, les Raptors les enfonçant un peu plus en remportant le duel de cancres 104-90, les New Yorkais sont repartis de Toronto avec un nouveau joueur. Avant d'en découdre le soir, les deux franchises ont en effet conclu un échange envoyant Jalen Rose à New York contre le pivo vétéran Antonio Davis, déjà passé par les Raptors entre 1999 et 2003 avant d'être échangé avec... Jalen Rose pour rejoindre Chicago. Si le pedigree de Jalen Rose, plaide en la faveur des Knicks, l'arrière tournant à 15 points de moyenne en carrière, son profil bien trop similaire à ceux de Jamal Crawford, Quentin Richardson ou Anfernee Hardaway ne devrait guère transfigurer la franchise de New York. Face aux Raptors, c'est d'ailleurs à l'intérieur que les Knicks ont failli en défense pour concéder une quatrième défaite de rang, Chris Bosh s'en donnant à cœur joie pour inscrire 29 points et Morris Petterson et Charlie Villanueva en profitant pour ajouter 21 et 18 points. De quoi rendre anecdotique les 17 points d'Eddy Curry ou les 13 de Q.
www.sports.fr
Les Lakers ne goûtent décidément que modérément les voyages en cette année 2006. Deux jours après avoir sombré chez les Pacers, les Californiens ont en effet permis aux Bobcats, qui restaient pourtant sur une série noire de 13 revers de rang, de renouer avec la victoire, Charlotte l'emportant 112-102 et Jumaine Jones se rappelant au bon souvenir des Californiens avec 31 points. Ça rigole en revanche pour l'autre franchise de LA puisque les Clippers ont étrillé les Celtics 81-98. Soirée également tranquille pour Detroit, vainqueur à Philly 80-87.
En décembre, c'est un voyage à travers la conférence est qui avait vu les Lakers décoller après un début de saison compliqué. Trois succès de rang acquis à Milwaukee, Toronto et Chicago, ponctués de deux victoires à Dallas et Memphis et la saison des Californiens paraissait enfin lancée. Las, bien qu'ayant peu ou proue confirmé leur essor durant les fêtes de fin d'année puis au cours d'un mois de janvier devenu historique pour son soliste Kobe Bryant, les troupes de Phil Jackson éprouvent néanmoins bien des difficultés dès qu'il s'agit d'évoluer loin du Staples Center. Les récents revers concédés à Portland, Phœnix ou Sacramento ont en en témoignaient et le constat est devenu évident depuis le coup d'envoi de leur tournée hivernale.
Les Lakers ont certes su profiter de la déliquescence des Knicks pour l'emporter au Madison Square Garden mais pour le reste le bilan est sévère avec deux faillites, à Detroit et, surtout, à Indiana, et, cette nuit, un revers tout aussi infamant à Charlotte. Des défaites d'autant plus difficiles à encaisser et à justifier que les Pacers et les Bobcats restaient respectivement sur six et treize revers de rang avant de retrouver goût à la victoire grâce à la visite des Californiens. Et les Angelinos ont bel et bien touché le fond en Caroline puisque si les derniers nés de la Ligue sont tant à la rue en ce début d'année, c'est qu'ils doivent composer avec les absences de la plupart de leurs meilleurs éléments: Emeka Okafor, Gerald Wallace, Seam May ou Keith Bogans, tous retenus à l'infirmerie.
A votre bon souvenir...
Un quart temps à pourtant suffi à ces Bobcats B pour faire la différence, les hommes de Bernie Bickerstaff passant 40 points à leurs visiteurs pour démarrer en trombe la rencontre. Avec 15 points de débours à l'issue du premier acte, les Lakers pouvaient bien essayer de s'en remettre à Kobe Bryant pour recoller, la prestation des plus efficaces du meilleur marqueur de la Ligue -35 points à 12 sur 18 aux tirs, 9 rebonds et 5 passes- allait se révéler insuffisante. Car après avoir permis de revenir à deux longueurs à l'entame de la dernière ligne droite, KB8 a été, une fois n'est pas coutume, littéralement muselé dans le dernier quart, l'arrière californien devant en effet se contenter de quatre maigres lancers sur la période.
C'en était fini des chances de retour des Lakers, ses coéquipiers, privés de Lamar Odom, touché aux côtes, étant bien incapables de prendre le relais et d'endiguer la verve de leurs hôtes. Si Chris Mihm et Smush Parker ont une fois encore émargé du lot, avec respectivement 15 et 19 points, la soirée a été particulièrement difficile pour Devean George, auteur d'un piètre 2 sur 9 aux tirs, pour Brian Cook, encore moins en réussite avec un sinistre 1 sur 8 ou Luke Walton, dont le 7 sur 9 aux lancers ne suffit pas à faire oublier son 1 sur 6. A croire que les dirigeants californiens ont misé sur le mauvais cheval au moment de dégraisser l'effectif l'été dernier.
Car si les Lakers en ont été quittes pour un tel revers, ils le doivent à un ancien de la maison en la personne de Jumaine Jones. L'ailier des Bobcats, non content de s'en sortir honorablement en défense sur Kobe Bryant, a en effet livré son meilleur match en carrière, se mettant en effet sur son 31 pour l'occasion avec 31 points à 13 sur 20 et 9 rebonds. Suffisant pour que Phil Jackson reconnaisse à l'issue de la rencontre: "Il s'est entraîné toute la saison dernière avec Kobe, aussi c'est une douce revanche pour lui. On ne savait pas qui il était et quel bon joueur il pouvait être. Et on l'a lâché aux Bobcats." Non sans désormais le regretter...
Cassell-Brand, duo gagnant
LA qui pleure, LA qui rit. Tandis que la tournée plein est des Lakers tourne au fiasco, celle des Clippers est en passe de rencontrer un joli succès. Les troupes de Mike Dunleavy l'ont certes débutée par un revers à Miami, mais elles se sont depuis joliment rattrapé en s'imposant coup sur coup à Orlando puis Boston pour afficher sept victoires sur leurs huit derniers matches. Et comme l'avant-veille chez le Magic, les Californiens s'en sont remis à leur tandem Sam Casell-Elton Brand pour faire la mordre la poussière aux Celtics 81-98. Cutino Mobley a bien inscrit 18 points, Chris Kaman compilé 14 points et 12 rebonds. Mais tandis que l'intérieur y allait de son devenu habituel double-double avec 30 points à 12 sur 19 aux tirs et 11 rebonds, le double champion NBA époque Rockets se fendait d'une prestation des plus complète, signant 23 points, 8 passes et 6 rebonds et inscrivant, comme à sa bonne habitude, quelques tris primés des plus précieux pour porter l'estocade. Car si les Clippers se sont finalement imposés somme toute aisément, ils le doivent à un 19-3 passé aux Celtics dans la dernière ligne droite et rendant vains les efforts de Wally Szczerbiak, auteur d'un flirt poussé avec le triple-double avec 18 points, 10 passes et 8 rebonds.
Detroit dans le bon rythme
Seuls cadors de sortie cette nuit, les Pistons n'ont pas manqué de conforter leur suprématie sur la Ligue en signant un énième succès, le 39e en 45 matches, cette fois chez les Sixers 80-87. A nouveau privés d'Allen Iverson, les Sixers ont beau avoir opposé une certaine résistance, il aurait fallu plus que les 17 points et 9 rebonds de Chris Webber, les 13 points d'Andre Iguodala, le double-double de Samuel Dalembert, auteur de 10 points et 11 rebonds, leur domination au rebond ou leur probant 52% de réussite aux tirs, pour l'emporter. Car à Detroit, Chauncey Billups a certes connu une soirée sans au rayon adresse, rendant un affreux 3 sur 14 aux tirs pour 7 points, une faillite à peine excusée par ses 14 passes décisives, mais Rip Hamilton et Rasheed Wallace ont assuré l'essentiel avec respectivement 30 et 20 points, Tayshaun Prince complétant le tableau avec 16 points et Detroit faisant valoir sa maîtrise avec seulement 7 pertes de balle contre 16 pour leurs hôtes.
Petro et Seattle prennent la leçon
Soirée ô combien difficile pour les Sonics en général et leurs intérieurs en particulier. Car si les Rockets leur ont donné ainsi la leçon, s'imposant 100-77 au terme d'un match à sens unique, ils le doivent certes au nouveau récital de Tracy McGrady, meilleur marqueur du match avec 36 points, mais également au réveil de Yao Ming. L'intérieur chinois a en effet célébré sa nouvelle titularisation pour le prochain All-Star Game par une prestation solide comme rarement avec 24 points et 14 rebonds à son crédit. La comparaison n'est dès lors guère flatteuse pour les grands du Washington, Robert Swift signant 6 poinst et 7 rebonds en 33 minutes, Nick Collison 4 points et 7 rebonds en 16 minutes et Johan Petro grapillant 2 points à 1 sur 4 aux tirs, 3 rebonds et 2 contres en 19 minutes.
A Toronto la victoire, à New York la bonne affaire ?
Les Knicks n'ont pas fait le déplacement à Toronto pour rien. S'ils ont quitté la Canada avec une défaite de plus dans les valises, les Raptors les enfonçant un peu plus en remportant le duel de cancres 104-90, les New Yorkais sont repartis de Toronto avec un nouveau joueur. Avant d'en découdre le soir, les deux franchises ont en effet conclu un échange envoyant Jalen Rose à New York contre le pivo vétéran Antonio Davis, déjà passé par les Raptors entre 1999 et 2003 avant d'être échangé avec... Jalen Rose pour rejoindre Chicago. Si le pedigree de Jalen Rose, plaide en la faveur des Knicks, l'arrière tournant à 15 points de moyenne en carrière, son profil bien trop similaire à ceux de Jamal Crawford, Quentin Richardson ou Anfernee Hardaway ne devrait guère transfigurer la franchise de New York. Face aux Raptors, c'est d'ailleurs à l'intérieur que les Knicks ont failli en défense pour concéder une quatrième défaite de rang, Chris Bosh s'en donnant à cœur joie pour inscrire 29 points et Morris Petterson et Charlie Villanueva en profitant pour ajouter 21 et 18 points. De quoi rendre anecdotique les 17 points d'Eddy Curry ou les 13 de Q.
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La chorale de Roanne n'a toujours pas retrouvé sa voix, puisque l'équipe du nord de la Loire concède ce soir une nouvelle défaite sur son parquet face à Bourg (70-77). C'est greengexois qui va être content.
il semble que la chorale est bien du mal à trouver son second souffle et à se remettre du renvoi de Akins.
En nationale 1:
Feurs poursuit sa descente aux enfers en concédant son dixième revers de rang à Challans 88-68
Visiblement, la venue d'un nouvel ailier ne porte pas vraiment ses fruits. Il faut dire que les enfants du forez souffre d'un gros point faible au poste de meneur.
Saint-Chamond en revanche poursuit son redressement en remportant dans sa salle face à Liévin son quatrième succès consécutif (73-63) :p
Les arrivées de l'ancien coach du SEB Michel Perrin, et de Robert Laslo (qui aurait dû signer au SEB cette été) s'avère payante pour l'instant.
il semble que la chorale est bien du mal à trouver son second souffle et à se remettre du renvoi de Akins.
En nationale 1:
Feurs poursuit sa descente aux enfers en concédant son dixième revers de rang à Challans 88-68
Visiblement, la venue d'un nouvel ailier ne porte pas vraiment ses fruits. Il faut dire que les enfants du forez souffre d'un gros point faible au poste de meneur.
Saint-Chamond en revanche poursuit son redressement en remportant dans sa salle face à Liévin son quatrième succès consécutif (73-63) :p
Les arrivées de l'ancien coach du SEB Michel Perrin, et de Robert Laslo (qui aurait dû signer au SEB cette été) s'avère payante pour l'instant.
Indiana se souvient
En souffrance depuis le début de la année, Indiana a retrouvé le sourire. Oubliés leur série noire de six défaites de rang, les blessures et le cas Ron Artest: après avoir étrillé les Lakers, les Pacers ont en effet battu les Pistons, magnifiques leaders de la Ligue mais surtout rivaux honnis, l'emportant 93-85 avec notamment 20 points de Stephen Jackson. A l'ouest, Dallas, onzième succès consécutif aidant, 110-91 face à Seattle, a rejoint San Antonio en tête. Boris Diaw et Mike Pietrus ont joué -plutôt bien: 12 points et 11 points-10 rebonds- et gagné...
Les Mavs au galop
Rien, ni personne ne semble pouvoir arrêter les Mavs. Et surtout pas les Sonics! Au lendemain de son lourd revers concédé chez les Rockets, Seattle a en effet de nouveau bu la tasse à l'occasion de son déplacement chez les voisins de Dallas, les Texans signant un onzième succès consécutif en l'emportant 110-91. Entre un Ray Allen bloqué à 17 points, un Rashard Lewis aux abonnés absents avec un terrible 1 sur 11 aux tirs et des seconds rôles guère plus inspirés, Johan Petor faisant ainsi de la figuration avec 2 points et 2 rebonds en 10 minutes, les joueurs du Washington n'ont pas pesé lourd, les Mavs pouvant notamment se réfugier derrière la verve de Josh Howard ou de Jason Terry, respectivement 23 et 22 points pour l'emporter. Grâce à cette victoire Dallas est revenu à hauteur de San Antonio en tête de la conférence ouest.
Phœnix et Diaw au diapason
Soirée faste pour les Suns et Boris Diaw. Tandis que les joueurs de l'Arizona signaient une troisième victoire consécutive en l'emportant 118-101 face aux Bulls, Shawn Marion et Steve Nash montrant comme à leur bonne habitude le bon exemple avec 26 points et 11 rebonds pour l'intérieur à tout bien faire et 21 points et 7 passes pour le meneur canadien, le tricolore donnait un nouvel exemple de sa polyvalence en flirtant une fois encore avec le triple-double. L'ancien Palois a en effet profité à plein de ses 42 minutes de jeu, les transformant en 11 points à 5 sur 10, 12 rebonds et 7 passes. Chez les Bulls à noter les 39 points de Ben Gordon.
Les Warriors brillent enfin, Pietrus en profite
Après deux revers consécutifs, les Californiens restant sur sept défaites en dix matches, les Warriors ont frappé fort pour se réconcilier avec la victoire. Pour le retour de Jason Richardson, auteur pour l'occasion de 23 points, Golden State a étrillé Minnesota 109-77, Troy Murphy confirmant ses bonnes dispositions avec 20 points et 8 rebonds. Les deux hommes n'ont pas été les seuls à briller puisque Mike Pietrus maintenu dans le cinq de départ malgré le retour de Richardson a inscrit 17 points à 5 sur 10 aux tirs et 4 rebonds. Côté Wolves, Kevin Garnett a compilé 15 points et 11 rebonds.
Les Lakers en classe éco...
Le road-trip des Lakers est en passe de tourner au cauchemar. Il y a bien eu un succès au Madison Square Garden pour sauver quelques apparences, mais les hommes de Phil Jackson en sont en effet désormais à quatre défaites en cinq matches. Après avoir perdu la veille chez des Bobcats pourtant à l'agonie, les Californiens ont cette fois baissé pavillon chez les Hornets, s'inclinant 106-90 malgré les 35 points à 13 sur 26 aux tirs, 6 rebonds et 5 passes de Kobe Bryant. Mais en l'absence de Lamar Odom, touché aux côtes, seul Devean George a su efficacement l'épauler avec ses 21 points. Insuffisant face au collectif des Hornets, six joueurs émargeant à plus de dix points, dont Desmond Mason, meilleur marqueur des siens avec 21 points et le rookie prodige Chris Paul, qui rend 19 points, 13 passes et 7 rebonds.
www.sports.fr
En souffrance depuis le début de la année, Indiana a retrouvé le sourire. Oubliés leur série noire de six défaites de rang, les blessures et le cas Ron Artest: après avoir étrillé les Lakers, les Pacers ont en effet battu les Pistons, magnifiques leaders de la Ligue mais surtout rivaux honnis, l'emportant 93-85 avec notamment 20 points de Stephen Jackson. A l'ouest, Dallas, onzième succès consécutif aidant, 110-91 face à Seattle, a rejoint San Antonio en tête. Boris Diaw et Mike Pietrus ont joué -plutôt bien: 12 points et 11 points-10 rebonds- et gagné...
Les Mavs au galop
Rien, ni personne ne semble pouvoir arrêter les Mavs. Et surtout pas les Sonics! Au lendemain de son lourd revers concédé chez les Rockets, Seattle a en effet de nouveau bu la tasse à l'occasion de son déplacement chez les voisins de Dallas, les Texans signant un onzième succès consécutif en l'emportant 110-91. Entre un Ray Allen bloqué à 17 points, un Rashard Lewis aux abonnés absents avec un terrible 1 sur 11 aux tirs et des seconds rôles guère plus inspirés, Johan Petor faisant ainsi de la figuration avec 2 points et 2 rebonds en 10 minutes, les joueurs du Washington n'ont pas pesé lourd, les Mavs pouvant notamment se réfugier derrière la verve de Josh Howard ou de Jason Terry, respectivement 23 et 22 points pour l'emporter. Grâce à cette victoire Dallas est revenu à hauteur de San Antonio en tête de la conférence ouest.
Phœnix et Diaw au diapason
Soirée faste pour les Suns et Boris Diaw. Tandis que les joueurs de l'Arizona signaient une troisième victoire consécutive en l'emportant 118-101 face aux Bulls, Shawn Marion et Steve Nash montrant comme à leur bonne habitude le bon exemple avec 26 points et 11 rebonds pour l'intérieur à tout bien faire et 21 points et 7 passes pour le meneur canadien, le tricolore donnait un nouvel exemple de sa polyvalence en flirtant une fois encore avec le triple-double. L'ancien Palois a en effet profité à plein de ses 42 minutes de jeu, les transformant en 11 points à 5 sur 10, 12 rebonds et 7 passes. Chez les Bulls à noter les 39 points de Ben Gordon.
Les Warriors brillent enfin, Pietrus en profite
Après deux revers consécutifs, les Californiens restant sur sept défaites en dix matches, les Warriors ont frappé fort pour se réconcilier avec la victoire. Pour le retour de Jason Richardson, auteur pour l'occasion de 23 points, Golden State a étrillé Minnesota 109-77, Troy Murphy confirmant ses bonnes dispositions avec 20 points et 8 rebonds. Les deux hommes n'ont pas été les seuls à briller puisque Mike Pietrus maintenu dans le cinq de départ malgré le retour de Richardson a inscrit 17 points à 5 sur 10 aux tirs et 4 rebonds. Côté Wolves, Kevin Garnett a compilé 15 points et 11 rebonds.
Les Lakers en classe éco...
Le road-trip des Lakers est en passe de tourner au cauchemar. Il y a bien eu un succès au Madison Square Garden pour sauver quelques apparences, mais les hommes de Phil Jackson en sont en effet désormais à quatre défaites en cinq matches. Après avoir perdu la veille chez des Bobcats pourtant à l'agonie, les Californiens ont cette fois baissé pavillon chez les Hornets, s'inclinant 106-90 malgré les 35 points à 13 sur 26 aux tirs, 6 rebonds et 5 passes de Kobe Bryant. Mais en l'absence de Lamar Odom, touché aux côtes, seul Devean George a su efficacement l'épauler avec ses 21 points. Insuffisant face au collectif des Hornets, six joueurs émargeant à plus de dix points, dont Desmond Mason, meilleur marqueur des siens avec 21 points et le rookie prodige Chris Paul, qui rend 19 points, 13 passes et 7 rebonds.
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Nan, on leur a pas dit que c'était du football AMERICAIN, donc ce sera Charles Bietry et Daniel Lauclerq
On est pas dans la mouise sérieux ...
Seattle défie Pittsburgh au Superbowl

Le stade de Detroit où a lieu dimanche 5 février le 40e Superbowl
agrandir la photo
DETROIT (AFP) - Les Seattle Seahawks affrontent les Pittsburgh Steelers et leur jeune et talentueux meneur Ben Roethlisberger pour leur première participation au Superbowl, la finale du football américain, dimanche à Detroit (Michigan).
Pour la 40e fois, le Superbowl réunit le temps d'un dimanche les deux meilleures équipes de la saison autour d'un événement unique par son audience, son spectacle à la mi-temps et ses publicités télévisées hors de prix, tournées pour l'occasion.
Vainqueurs des deux dernières éditions, les New England Patriots, éliminés en play-off, sont spectateurs d'un match très attendu, sous haute sécurité.
Constituée en 1976, la franchise de Seattle atteint pour la première fois de son histoire cette finale. Mieux, les Seahawks - un nom créé à partir des mots faucon (hawk) et mer (sea) - n'avaient même jamais remporté de match de play-off avant cette année.
Mais en 2006, tout semble différent pour la ville de l'Etat de Washington. Meilleure équipe de la Conférence Nationale lors de la saison régulière, avec un bilan de 13 victoires et 3 défaites, les coéquipiers du quarterback Matt Hasselbeck comptent dans leur rang le MVP (meilleur joueur) de la saison, Shaun Alexander. Un joueur capable de courses aussi longues qu'efficaces avec le ballon en main ou pour récupérer le ballon propulsé par Hasselbeck.

En face, les Steelers (du mot steel, acier, spécialité de Pittsburgh en Pennsylvanie) ont de nombreux arguments, eux qui visent à égaler le plus grand nombre de victoires au Superbowl, après 4 succès. Le premier s'appelle Ben Roethlisberger. Pour sa deuxième saison professionnelle, le quarterback de 23 ans est le deuxième plus jeune joueur de l'histoire à atteindre le Superbowl à ce poste clé.

Mais au-delà de sa précocité, "Big Ben" impressionne surtout par sa façon de jouer.
A un poste surexposé où les joueurs ont tendance à fuir les contacts adverses, Roethlisberger profite de son physique inusité à cette place (110 kg, 1,93 m) pour conserver la balle en cas de nécessité. Un peu comme si au rugby, le demi de mêlée franchissait le premier rideau défensif adverse constitué de premières lignes.
Aidés par Jerome Bettis, une armoire à glace de 33 ans surnommée le "Bus" capable de défoncer n'importe quelle défense, Pittsburgh a largement les moyens de briser le rêve de Seattle. Après un début de saison hésitant, les Steelers restent sur 7 succès consécutifs dont 3 succès à l'extérieur en play-off, une première dans la NFL (National Football League).
Partie intégrante du Superbowl et tout aussi attendu que le match, le concert de la mi-temps a été confié aux Rolling Stones, alors que le public -et les organisateurs- a encore à l'esprit le sein entrevu de Janet Jackson en 2004 et la polémique qui avait suivi le show.
Les dix derniers vainqueurs du Superbowl, la finale du Championnat professionnel de football américain:
2005: New England
2004: New England
2003: Tampa Bay
2002: New England
2001: Baltimore
2000: St-Louis
1999: Denver
1998: Denver
1997: Green Bay
1996: Dallas
Yahoo!

On est pas dans la mouise sérieux ...
Seattle défie Pittsburgh au Superbowl

Le stade de Detroit où a lieu dimanche 5 février le 40e Superbowl
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DETROIT (AFP) - Les Seattle Seahawks affrontent les Pittsburgh Steelers et leur jeune et talentueux meneur Ben Roethlisberger pour leur première participation au Superbowl, la finale du football américain, dimanche à Detroit (Michigan).
Pour la 40e fois, le Superbowl réunit le temps d'un dimanche les deux meilleures équipes de la saison autour d'un événement unique par son audience, son spectacle à la mi-temps et ses publicités télévisées hors de prix, tournées pour l'occasion.
Vainqueurs des deux dernières éditions, les New England Patriots, éliminés en play-off, sont spectateurs d'un match très attendu, sous haute sécurité.
Constituée en 1976, la franchise de Seattle atteint pour la première fois de son histoire cette finale. Mieux, les Seahawks - un nom créé à partir des mots faucon (hawk) et mer (sea) - n'avaient même jamais remporté de match de play-off avant cette année.
Mais en 2006, tout semble différent pour la ville de l'Etat de Washington. Meilleure équipe de la Conférence Nationale lors de la saison régulière, avec un bilan de 13 victoires et 3 défaites, les coéquipiers du quarterback Matt Hasselbeck comptent dans leur rang le MVP (meilleur joueur) de la saison, Shaun Alexander. Un joueur capable de courses aussi longues qu'efficaces avec le ballon en main ou pour récupérer le ballon propulsé par Hasselbeck.

En face, les Steelers (du mot steel, acier, spécialité de Pittsburgh en Pennsylvanie) ont de nombreux arguments, eux qui visent à égaler le plus grand nombre de victoires au Superbowl, après 4 succès. Le premier s'appelle Ben Roethlisberger. Pour sa deuxième saison professionnelle, le quarterback de 23 ans est le deuxième plus jeune joueur de l'histoire à atteindre le Superbowl à ce poste clé.

Mais au-delà de sa précocité, "Big Ben" impressionne surtout par sa façon de jouer.
A un poste surexposé où les joueurs ont tendance à fuir les contacts adverses, Roethlisberger profite de son physique inusité à cette place (110 kg, 1,93 m) pour conserver la balle en cas de nécessité. Un peu comme si au rugby, le demi de mêlée franchissait le premier rideau défensif adverse constitué de premières lignes.
Aidés par Jerome Bettis, une armoire à glace de 33 ans surnommée le "Bus" capable de défoncer n'importe quelle défense, Pittsburgh a largement les moyens de briser le rêve de Seattle. Après un début de saison hésitant, les Steelers restent sur 7 succès consécutifs dont 3 succès à l'extérieur en play-off, une première dans la NFL (National Football League).
Partie intégrante du Superbowl et tout aussi attendu que le match, le concert de la mi-temps a été confié aux Rolling Stones, alors que le public -et les organisateurs- a encore à l'esprit le sein entrevu de Janet Jackson en 2004 et la polémique qui avait suivi le show.
Les dix derniers vainqueurs du Superbowl, la finale du Championnat professionnel de football américain:
2005: New England
2004: New England
2003: Tampa Bay
2002: New England
2001: Baltimore
2000: St-Louis
1999: Denver
1998: Denver
1997: Green Bay
1996: Dallas
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NFL - Superbowl : Et de cinq pour Pittsburgh
Pittsburgh a remporté son cinquième Superbowl en battant Seattle 21 à 10, dimanche à Détroit. Par ce succès, les Steelers rejoignent Dallas et San Francisco comme équipe la plus titrée, après leurs succès en 1975, 1976, 1979 et 1980. Emmenés par Ben Roethlisberger, le plus jeune quarterback à gagner le titre (23 ans), les Steelers ont construit leur succès dans cette finale du championnat de football américain en se montrant solide en défense en première période avant de faire la différence offensivement en seconde.
D'entrée de jeu, les Seahawks de Seattle pour leur premier Superbowl prenaient les choses en main en monopolisant longuement le ballon. L'équipe défensive des Steelers tenait cependant et Seattle se contentait d'un simple coup de pied pour prendre l'avantage (3-0 à la 15e), juste avant la fin du premier quart-temps.Mais leur inefficacité offensive, malgré la présence de Shaun Alexander, meilleur joueur de la saison (28 touchdowns en une saison), les exposait à un contre. Ce qui se produisit à 1 min 55 de la pause. Placé à un moins de deux mètres de la ligne d'en-but, «Big Ben» Roethlisberger se jetait lui-même pour inscrire le premier touchdown, validé après un visionnage consciencieux des arbitres.
Après le concert des Stones, les Métallos se détachent
22 secondes après l'entracte assuré par les Rolling Stones, les Métallos de Pittsburgh se détachaient avec un nouveau touchdown de Parker. Loin d'être abattu, les Seahawks, équipe N.1 de la Conférence Nationale lors de la saison régulière, pensaient avoir fait le plus difficile en revenant avec un touchdown de Stevens (14-10 à la 39e). Mais une interception, suivie d'un troisième touchdown, de Ward (52e), élu meilleur joueur du match, scellait la rencontre qui désignait les successeurs des New England Patriots, vainqueurs les deux dernières saisons et faisait entrer Pittsburgh dans la légende du sport américain.
Pittsburgh a remporté son cinquième Superbowl en battant Seattle 21 à 10, dimanche à Détroit. Par ce succès, les Steelers rejoignent Dallas et San Francisco comme équipe la plus titrée, après leurs succès en 1975, 1976, 1979 et 1980. Emmenés par Ben Roethlisberger, le plus jeune quarterback à gagner le titre (23 ans), les Steelers ont construit leur succès dans cette finale du championnat de football américain en se montrant solide en défense en première période avant de faire la différence offensivement en seconde.
D'entrée de jeu, les Seahawks de Seattle pour leur premier Superbowl prenaient les choses en main en monopolisant longuement le ballon. L'équipe défensive des Steelers tenait cependant et Seattle se contentait d'un simple coup de pied pour prendre l'avantage (3-0 à la 15e), juste avant la fin du premier quart-temps.Mais leur inefficacité offensive, malgré la présence de Shaun Alexander, meilleur joueur de la saison (28 touchdowns en une saison), les exposait à un contre. Ce qui se produisit à 1 min 55 de la pause. Placé à un moins de deux mètres de la ligne d'en-but, «Big Ben» Roethlisberger se jetait lui-même pour inscrire le premier touchdown, validé après un visionnage consciencieux des arbitres.
Après le concert des Stones, les Métallos se détachent
22 secondes après l'entracte assuré par les Rolling Stones, les Métallos de Pittsburgh se détachaient avec un nouveau touchdown de Parker. Loin d'être abattu, les Seahawks, équipe N.1 de la Conférence Nationale lors de la saison régulière, pensaient avoir fait le plus difficile en revenant avec un touchdown de Stevens (14-10 à la 39e). Mais une interception, suivie d'un troisième touchdown, de Ward (52e), élu meilleur joueur du match, scellait la rencontre qui désignait les successeurs des New England Patriots, vainqueurs les deux dernières saisons et faisait entrer Pittsburgh dans la légende du sport américain.
A noter la piètre prestation du commentateur de France 2 (c'était choupin, je crois) hier soir.
Je comprends pas ce manque de professionnalisme. Quand tu sais que tu vas commenter le superbowl, tu te penches un peu sur le sujet et en quelques semaines t'es globalement au parfum même si tu maîtrises pas forcément toutes les subtilités.
Là, le mec s'enthousiasmait sur les "super passes" que le QB faisait pour ses coureurs (en gros, de la main à la main), annonçait des gains faramineux alors que les gars gagnaient 1 ou 2 yd (ben, oui, au snap le QB recule d'abord !) et connaissait pas les pénalités de base tel que le holding.
Bref, ça mérite un :roll:
Je comprends pas ce manque de professionnalisme. Quand tu sais que tu vas commenter le superbowl, tu te penches un peu sur le sujet et en quelques semaines t'es globalement au parfum même si tu maîtrises pas forcément toutes les subtilités.
Là, le mec s'enthousiasmait sur les "super passes" que le QB faisait pour ses coureurs (en gros, de la main à la main), annonçait des gains faramineux alors que les gars gagnaient 1 ou 2 yd (ben, oui, au snap le QB recule d'abord !) et connaissait pas les pénalités de base tel que le holding.
Bref, ça mérite un :roll:
Qu'il qualifiait à chaque fois de "passes canons" ! :lol: :lol:Vertigogo wrote:A noter la piètre prestation du commentateur de France 2 (c'était choupin, je crois) hier soir.
Je comprends pas ce manque de professionnalisme. Quand tu sais que tu vas commenter le superbowl, tu te penches un peu sur le sujet et en quelques semaines t'es globalement au parfum même si tu maîtrises pas forcément toutes les subtilités.
Là, le mec s'enthousiasmait sur les "super passes" que le QB faisait pour ses coureurs (en gros, de la main à la main), annonçait des gains faramineux alors que les gars gagnaient 1 ou 2 yd (ben, oui, au snap le QB recule d'abord !) et connaissait pas les pénalités de base tel que le holding.
Bref, ça mérite un :roll:
Sinon +1 sur l'ensemble.
Agent immobilier sur la région lyonnaise.
J'aurai pensé que ce serai pire ... moi qui m'y connait pas grand chose, j'ai pas trouvé ca trop horrible, et surtout, on a pas eut droit aux "quart arrière" pour Quaterback, ou à une vague traduction de touchdown, comme ce qui se fait dans pas mal de films.
J'avais misé sur les Steelers avec +7.5 ...
Par ailleurs merci Briko pour m'avoir donner envie de jouer sur betandwin ...
Ca marche bien
J'avais misé sur les Steelers avec +7.5 ...
Par ailleurs merci Briko pour m'avoir donner envie de jouer sur betandwin ...

Ca marche bien
