Il y a 1000 facteurs qui orientent un consommateur vers un bien de consommation. Le prix n'est qu'un seul d'entre eux. Mon seul postulat ici (qui relève de l'évidence la plus élémentaire) est de rappeler qu'un prix ne reflète en rien la valeur intrinsèque d'un bien, mais qu'il n'est que le résultat de la rencontre entre l'offre et la demande. Tu emploies un peu plus bas dans ton commentaire l'expression normative de "prix hallucinants" : or, il n'y a justement pas de "prix hallucinant" en soi.puisque c'est le prix et l'absence de contenu du porte-feuilles conjugués qui dirige le consommateur (ça et une mauvaise éducation)
La ville de Saint-Etienne
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Re: La ville de Saint-Etienne
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Re: La ville de Saint-Etienne
Même lorsqu'à produit égal, l'un est 200% plus cher que l'autre, mais qu'il n'est (le burger) qu'une composante dans une panoplie de service (l'offre), et que c'est ce décorum qui l'enveloppe dont le client est demandeur?Marat Izmailov wrote:Il y a 1000 facteurs qui orientent un consommateur vers un bien de consommation. Le prix n'est qu'un seul d'entre eux. Mon seul postulat ici (qui relève de l'évidence la plus élémentaire) est de rappeler qu'un prix ne reflète en rien la valeur intrinsèque d'un bien, mais qu'il n'est que le résultat de la rencontre entre l'offre et la demande. Tu emploies un peu plus bas dans ton commentaire l'expression normative de "prix hallucinants" : or, il n'y a justement pas de "prix hallucinant" en soi.puisque c'est le prix et l'absence de contenu du porte-feuilles conjugués qui dirige le consommateur (ça et une mauvaise éducation)
Le sculpteur Arman sur sa tombe au Père Lachaise : Enfin seul!
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Re: La ville de Saint-Etienne
Que les clients viennent pour le décorum, une ambiance, le sourire de la serveuse, le sentiment d'appartenir à une caste en fréquentant tel endroit (clin d’œil à Olaf et ses adresses) ou la qualité de la nourriture importe peu ; si le prix correspond à la demande, alors il n'est en rien excessif ou "hallucinant". 200% ou 2000% de plus pour le même produit : qu'importe ? Si le chaland est là, pour une raison ou une autre, c'est que le prix correspond au marché. En cela, il est juste.vermeer wrote:Même lorsqu'à produit égal, l'un est 200% plus cher que l'autre, mais qu'il n'est (le burger) qu'une composante dans une panoplie de service (l'offre), et que c'est ce décorum qui l'enveloppe dont le client est demandeur?Marat Izmailov wrote:Il y a 1000 facteurs qui orientent un consommateur vers un bien de consommation. Le prix n'est qu'un seul d'entre eux. Mon seul postulat ici (qui relève de l'évidence la plus élémentaire) est de rappeler qu'un prix ne reflète en rien la valeur intrinsèque d'un bien, mais qu'il n'est que le résultat de la rencontre entre l'offre et la demande. Tu emploies un peu plus bas dans ton commentaire l'expression normative de "prix hallucinants" : or, il n'y a justement pas de "prix hallucinant" en soi.puisque c'est le prix et l'absence de contenu du porte-feuilles conjugués qui dirige le consommateur (ça et une mauvaise éducation)
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Re: La ville de Saint-Etienne
Donc pas d"expression comme "prix exorbitant" ou "hors de prix", il va falloir élaguer dans la littérature. Y compris Van Gaal avec son "a ridiculous amount of money" à propos de Martial n'a pas compris ce qu'est le prix du marché.
Je stoppe ici vu qu'on a un peu perdu de vue le sujet du topic et Saint-Étienne.
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Re: La ville de Saint-Etienne
pour bien connaitre 78, 95 et 93 dans les produits a la consommation (je parle pas de l'immobilier bien sur) pas plus cher qu'a sainté. Après il y a toujours des cas particuliers bien sur, surtout s'il y a de la concurrence dans le secteur.thesnakke wrote:Non, tout dépend de quelle partie de la région parisienne à Saint Denis peut être mais en moyenne les prix sont plus élevés en RP qu'à Sainté après à Paris intramuros j'en parle même pas...Calx wrote:je pense qu'on confond Paris et région parisienne.thesnakke wrote:Le kebab je sais pas mais un café ou une bière entre Sainté et Paris y a pas photo
Re: La ville de Saint-Etienne
Même s'ils n'ont rien de gastro, certains burgers ne sont pas à considérer comme de la malbouffe. Heureusement il n'y a pas que les chaines de fast-food. Au final c'est juste de la viande, du pain, du fromage et une sauce. Si les produits sont bons c'est bon. La gastronomie, la vraie, au final on ne la trouve que dans de très bons restos.Marat Izmailov wrote:On ne peut pas nier que l'offre citée soit en phase avec le marché : la multiplication des kebabs et des burgers le prouve assez. L'économie étant implacable, tout ce qui répond à une demande (même si celle-ci est déplorable) finit par trouver son offre - c'est parfois triste à voir.vermeer wrote:Peut-être parce qu'ils existent tout simplement, répondant à la demande d'une clientèle très diversifiée par une offre opportuniste mais en phase avec le marché .Marat Izmailov wrote: Ces circonstances particulières renforcent mon "équation toute simple" : les prix ne sont que le reflet de la situation du marché à un moment donné. Rien n'est trop cher par nature, l'offre ne fait que s'adapter à la demande. J'essaie simplement d'extraire une donnée relativement objective (un prix) de tout jugement moral.
En revanche, un jugement moral s'impose : quelle idée, dans le (ou l'un des) pays de la gastronomie, de délier sa bourse pour des burgers, des kebabs ou un hypopomachin ?
Permettant par ailleurs à ladite gastronomie de se nourrir si je puis dire d'influences extérieures, de s'ouvrir et se mêler à d'autres cultures et habitudes culinaires.
Oh, non. L'excellence française profite de la mondialisation. En résumé, l'aristocratie française culinaire profite à plein de la demande des élites raffinées étrangères ; et la malbouffe mondialisée (burgers, kebabs, hipopotruc) profite également à plein de la populace locale. Tout est en ordre. Comme d'habitude.L'idée d'une France qui se meurt dans la mondialisation
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Re: La ville de Saint-Etienne
"Hors de prix" relève d'une appréciation personnelle. J'ai beau juger que les 58 millions d'euros dépensés pour le Balloon Dog de Koons relèvent d'une lubie idiote, la somme en tant que telle n'a rien de ridicule puisqu'il s'est trouvé un acheteur pour la payer. Un prix exorbitant, au regard du marché, est seulement un prix qui ne correspond pas à la demande.vermeer wrote:Donc pas d"expression comme "prix exorbitant" ou "hors de prix", il va falloir élaguer dans la littérature. Y compris Van Gaal avec son "a ridiculous amount of money" à propos de Martial n'a pas compris ce qu'est le prix du marché.
Je stoppe ici vu qu'on a un peu perdu de vue le sujet du topic et Saint-Étienne.
Bon, tu as raison, nous nous éloignons sensiblement du sujet ; mea culpa, j'arrête.
Re: La ville de Saint-Etienne
Tous ça pour 50 cts sur un menu kebab
[i]Rien ne peut nous arrêter, nous les enfants de Sainté ![/i]
Re: La ville de Saint-Etienne
Comme tu le dis, elle profite à une élite pour une élite, comme la culture française qui se propageait largement dans le passé. Pour le commun des mortels (j'exagère à peine), il n'y a plus grand-chose de vraiment français qui s'exporte. Ce n'est pas 3 restau qui se court après qui rattrapent la donne.Marat Izmailov wrote:On ne peut pas nier que l'offre citée soit en phase avec le marché : la multiplication des kebabs et des burgers le prouve assez. L'économie étant implacable, tout ce qui répond à une demande (même si celle-ci est déplorable) finit par trouver son offre - c'est parfois triste à voir.vermeer wrote:Peut-être parce qu'ils existent tout simplement, répondant à la demande d'une clientèle très diversifiée par une offre opportuniste mais en phase avec le marché .Marat Izmailov wrote: Ces circonstances particulières renforcent mon "équation toute simple" : les prix ne sont que le reflet de la situation du marché à un moment donné. Rien n'est trop cher par nature, l'offre ne fait que s'adapter à la demande. J'essaie simplement d'extraire une donnée relativement objective (un prix) de tout jugement moral.
En revanche, un jugement moral s'impose : quelle idée, dans le (ou l'un des) pays de la gastronomie, de délier sa bourse pour des burgers, des kebabs ou un hypopomachin ?
Permettant par ailleurs à ladite gastronomie de se nourrir si je puis dire d'influences extérieures, de s'ouvrir et se mêler à d'autres cultures et habitudes culinaires.
Oh, non. L'excellence française profite de la mondialisation. En résumé, l'aristocratie française culinaire profite à plein de la demande des élites raffinées étrangères ; et la malbouffe mondialisée (burgers, kebabs, hipopotruc) profite également à plein de la populace locale. Tout est en ordre. Comme d'habitude.L'idée d'une France qui se meurt dans la mondialisation
De toutes façons le débat va trop loin que je le voulais: je m'intéresse à la France et à ce qu'elle perd de français dans sa composante populaire. Aux autres de se bouger pour ne pas se faire déborder !
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Re: La ville de Saint-Etienne
Tu me vois soulagé parce que, de même que "hors de prix", "prix hallucinants" relevait aussi d'une appréciation personnelle.Marat Izmailov wrote:"Hors de prix" relève d'une appréciation personnelle. J'ai beau juger que les 58 millions d'euros dépensés pour le Balloon Dog de Koons relèvent d'une lubie idiote, la somme en tant que telle n'a rien de ridicule puisqu'il s'est trouvé un acheteur pour la payer. Un prix exorbitant, au regard du marché, est seulement un prix qui ne correspond pas à la demande.vermeer wrote:Donc pas d"expression comme "prix exorbitant" ou "hors de prix", il va falloir élaguer dans la littérature. Y compris Van Gaal avec son "a ridiculous amount of money" à propos de Martial n'a pas compris ce qu'est le prix du marché.
Je stoppe ici vu qu'on a un peu perdu de vue le sujet du topic et Saint-Étienne.
Bon, tu as raison, nous nous éloignons sensiblement du sujet ; mea culpa, j'arrête.
OK je sors.
Le sculpteur Arman sur sa tombe au Père Lachaise : Enfin seul!
Re: La ville de Saint-Etienne
J'enchéris sur sur seb4282 : le problème du burger, c'est qu'il a été rendu célèbre par des "restos" pourris. Or un bon burger, ça n'est jamais que la version contemporaine du steak-frites tellement typique en France que Barthes lui a dédié un article de ses Mythologies.
http://www.alavantgout.com/roland-barth ... es-frites/
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Avec le burger, au lieu d'avoir le pain à côté, tu l'as autour de ta viande. Y a plus qu'à mettre du bleu et de la moutarde à la place du cheddar et du ketchup américains, et hop ! le tour est jouéComme le vin, le bifteck est, en France, élément de base, nationalisé plus encore que socialisé : il figure dans tous les décors de la vie alimentaire
(...)
c’est un bien français (circonscrit, il est vrai, aujourd’hui par l’invasion des steaks américains). Comme pour le vin, pas de contrainte alimentaire qui ne fasse rêver le Français de bifteck. A peine à l’étranger, la nostalgie s’en déclare, le bifteck est ici paré d’une vertu supplémentaire d’élégance, car dans la complication apparente des cuisines exotiques, c’est une nourriture qui joint, pense-t-on, la succulence à la simplicité. National, il suit la cote des valeurs patriotiques
(...)
Associé communément aux frites, le bifteck leur transmet son lustre national : la frite est nostalgique et patriote comme le bifteck. Match nous a appris qu’après l’armistice indochinois, « le général de Castries pour son premier repas demanda des pommes de terre frites » (...) l’appel du général n’était certes pas un vulgaire réflexe matérialiste, mais un épisode rituel d’approbation de l’ethnie française retrouvée. Le général connaissait bien notre symbolique nationale, il savait que la frite est le signe alimentaire de la « francité ».
Re: La ville de Saint-Etienne
Surtout qu'il n'y a même pas d'Hippopotamus à Sainté...Diablo wrote:Tous ça pour 50 cts sur un menu kebab
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Re: La ville de Saint-Etienne
Rip hippo de la place Dorian !
Re: La ville de Saint-Etienne
Et aussi RIP celui de la place MarengoSerge Karamazov wrote:Rip hippo de la place Dorian !
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Re: La ville de Saint-Etienne
Donc finalement c'est que ça ne correspondait plus à la demande. Ensuite est-ce un bien ou un mal pour les stéphanois d'un point de vue moral.......Danish wrote:Et aussi RIP celui de la place MarengoSerge Karamazov wrote:Rip hippo de la place Dorian !
Et je suis d'accord avec Seb, j'ai savouré de très bons burgers.
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Re: La ville de Saint-Etienne
Il y a des hippos partout mais pas à Sainté. Idem pour les macdos. Il n'y a vraiment rien comme ailleurs ^^
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Re: La ville de Saint-Etienne
Un mcdo va ouvrir à côté de la gare d'ici peu.Serge Karamazov wrote:Il y a des hippos partout mais pas à Sainté. Idem pour les macdos. Il n'y a vraiment rien comme ailleurs ^^
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Re: La ville de Saint-Etienne
Oui j'ai vu ca. Mais cote centre ville rien de rien. Un mal pour un bien penseront certains.
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Re: La ville de Saint-Etienne
Serge Karamazov wrote:Il y a des hippos partout mais pas à Sainté. Idem pour les macdos. Il n'y a vraiment rien comme ailleurs ^^
"Nous sommes en 50 avant Jésus-Christ. Toute la Gaule est occupée par les Romains... Toutes? Non! Un petit village d'irréductibles Gaulois résiste encore et toujours à l'envahisseur."
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Re: La ville de Saint-Etienne
Laissez mcdo en dehors. en centre (enfin à trefilerie ) ya speed burger ça suffit amplementSerge Karamazov wrote:Oui j'ai vu ca. Mais cote centre ville rien de rien. Un mal pour un bien penseront certains.
Re: La ville de Saint-Etienne
Si tu veux trouver un bon burger, je te laisse t'éloigner du centre ville vers le good dogs à coté du parc de l'europe ou génération crousty à montplaisir! Les burgers maisons y sont bien meilleurs que ceux du futur mac do de chateaucreuxElGuaje7 wrote:Laissez mcdo en dehors. en centre (enfin à trefilerie ) ya speed burger ça suffit amplementSerge Karamazov wrote:Oui j'ai vu ca. Mais cote centre ville rien de rien. Un mal pour un bien penseront certains.
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Re: La ville de Saint-Etienne
Qu'un burger puisse être bon, soit. Qu'un burger puisse être francisé, soit. Qu'un burger puisse ne pas relever de la malbouffe, soit. Mais qu'une passion du burger s'empare du pays d'Escoffier, que la quintessence d'un bon repas pour le quidam de la classe moyenne française passe par le burger, que les brasseries parisiennes en fassent leur plat d'appel : il y a un véritable problème. Rien que le mot "burger" devrait rebuter les enfants de ce pays, décidément bien ingrats.Olaf wrote:J'enchéris sur sur seb4282 : le problème du burger, c'est qu'il a été rendu célèbre par des "restos" pourris. Or un bon burger, ça n'est jamais que la version contemporaine du steak-frites tellement typique en France que Barthes lui a dédié un article de ses Mythologies.
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Avec le burger, au lieu d'avoir le pain à côté, tu l'as autour de ta viande. Y a plus qu'à mettre du bleu et de la moutarde à la place du cheddar et du ketchup américains, et hop ! le tour est jouéComme le vin, le bifteck est, en France, élément de base, nationalisé plus encore que socialisé : il figure dans tous les décors de la vie alimentaire
(...)
c’est un bien français (circonscrit, il est vrai, aujourd’hui par l’invasion des steaks américains). Comme pour le vin, pas de contrainte alimentaire qui ne fasse rêver le Français de bifteck. A peine à l’étranger, la nostalgie s’en déclare, le bifteck est ici paré d’une vertu supplémentaire d’élégance, car dans la complication apparente des cuisines exotiques, c’est une nourriture qui joint, pense-t-on, la succulence à la simplicité. National, il suit la cote des valeurs patriotiques
(...)
Associé communément aux frites, le bifteck leur transmet son lustre national : la frite est nostalgique et patriote comme le bifteck. Match nous a appris qu’après l’armistice indochinois, « le général de Castries pour son premier repas demanda des pommes de terre frites » (...) l’appel du général n’était certes pas un vulgaire réflexe matérialiste, mais un épisode rituel d’approbation de l’ethnie française retrouvée. Le général connaissait bien notre symbolique nationale, il savait que la frite est le signe alimentaire de la « francité ».
Re: La ville de Saint-Etienne
Jean-Louis Debré à Saint-Etienne aujourd'hui.
Re: La ville de Saint-Etienne
Mes burgers se font avec ciabatta, 250gr de bœuf haché premier choix, du bacon, de la salade, des oignons, et de la fourme d'Ambert. Et tout ça à Bangkok je vous prie, accompagné de patates rissolés dans la graisse de canard du sud ouest. (bon par contre il ne faut pas se soucier du bilan carbone).
M'enfin il me tarde quand même de rentrer pour faire la tournée des kebabs quand même, c'est fou comme ça manque Et il m'a été murmuré que le Ribouldingue allait (avais?) rouvrir, et ça c'est une grande bonne nouvelle
M'enfin il me tarde quand même de rentrer pour faire la tournée des kebabs quand même, c'est fou comme ça manque Et il m'a été murmuré que le Ribouldingue allait (avais?) rouvrir, et ça c'est une grande bonne nouvelle
Heureux qui comme Ulysse a fait un beau voyage. Heureux qui comme Ulysse a vu 100 paysages, et puis a retrouvé, après maintes traversées, le pays des vertes années. Par un petit matin d'été, quand le soleil vous chante au cœur qu'elle est belle la liberté
Re: La ville de Saint-Etienne
Sinon, un troisième Mary's va ouvrir dans la galerie Dorian (la fnac).
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