Un film à voir ?................ou à éviter

[Kishizo]

Étant en Irlande actuellement et sans Tv, je suis donc contraint de regarder des films et séries. Ce qui s'avère être formidable. Plutôt que de tenter le hasard et de m'attaquer a des films récents dont on ne connaît pas encore la qualité, je me fies aux classements établis depuis des années par des spécialistes. Je regardes donc petit a petit les films du "classement afi's" avec grand plaisir. Il y a de tout, des années 50 aux 2010. Et qu'un scénario ai 60 ou 10 ans s'il est bon il est bon. Étant de 89 il y a pas mal de vieux films classiques que je n'ai pas vu mais je rattrape mon retard petit a petit.

Its a wonderful Life de capra, le Lauréat etc

Bon choix que de sortir de la dictature de la nouveauté
Rhooo la vie est belle, tu as dû pleurer comme une madeleine
Le Lauréat très en avance sur son temps avec sa cougar prédatrice Mam Robinson


La jambe de Bancroft sur l'affiche ?
Que nenni l'ivrogne Sue Ellen de Dallas

Dans le style et si tu es encore en sevrage de télé, je te conseil Fugitive Kind, le titre français est "L'homme à la peau de serpent" de Sydney Lumet sur un texte de Tennessee Williams.
Face à face culte entre Anna Magnani l'épouse épuisée par une vie sordide et Marlon Brando le jeune rebelle sans un sou mais à l'attraction animale, le marcel tâché par la sueur. Oui c'est un film pour vous Mesdames

Il arrive dans un bled du Mississippi avec son baluchon, sa guitare et son blouson à peau de serpent pour trouver un job. Elle est l'épouse d'un vieux con nard alité et ils tiennent une épicerie. A la fin il ne restera qu'une chose, vous le saurez en voyant le film

Lumet n'est pas un réalisateur d'un énorme talent artistique et c'est très bavard et théâtral mais il y a une ambiance, c'est un film dont on se souvient, une tragédie du bayou.

https://www.youtube.com/watch?v=fIPbcsy6fsI[/video]

Lynch rendra plus tard hommage en couvrant Cage d'une veste à peau de serpent dans Sailor et Lula.
Symbolique de l'insoumission, de la liberté, du choix différent, de la différence...


Très bon également le Lynch
Mais il doit y avoir de belles rousses et de la guigui à boire à profusion dans ton pays d'adoption



Sinon à part le classement de l'Afi, il y a le Bfi du vieux continent :
http://www.bfi.org.uk/news/50-greatest-films-all-time" onclick="window.open(this.href);return false;
L'ami Vertigo est en tête, il vient de dépasser Citizen Kane
Déjà que le Bfi ne place son premier Murnau que cinquième, les amerloques de l'Afi 82ème, autant dire une hérésie
Mais je vais m'arrêter là car je vais être bavard, juste que L01C si tu persistes dans ta curiosité du cinéma tu ne penseras plus être provoquant en parlant du cinéma des années 50 mais tu découvriras que les meilleurs sont Murnau, Fritz Lang, Pabst, Léni, Borzage ... Les années 20
J'ai quarante berges passés et je suis encore en retard donc don't worry !!!

[thieu-thieu]

Revu "Le Monde De Charlie" et "Garden State". Qui sont pour moi deux chefs d'œuvres. Il va de doit qu'il faut regarder ces films en VO pour avoir toutes les émotions nous transporter.

[vertdetahiti]

sérieux les gars , a ceux qui peuvent se le permettre , faites vous plaisir , encore ce soir , depuis un an que je l'ai , un video pro jvc x55 , vous ajoutez un darbee, et croyez moi , vous ne vous en remettrez pas !! je n'ai pas d'action chez jvc mais c'est extraordinaire pour vos films a la maison !! (plus le budget son je sais, ca fait des tunes....)

[veryvel]

Lumet n'est pas un réalisateur d'un énorme talent artistique et c'est très bavard et théâtral mais il y a une ambiance, c'est un film dont on se souvient, une tragédie du bayou.

Je n'ai pas tout vu mais deux de ses films sont parmi mes préférés:

Douze hommes en colère et Un après-midi de chien.

[Vert|treV]

Lumet n'est pas un réalisateur d'un énorme talent artistique et c'est très bavard et théâtral mais il y a une ambiance, c'est un film dont on se souvient, une tragédie du bayou.

Je n'ai pas tout vu mais deux de ses films sont parmi mes préférés:

Douze hommes en colère et Un après-midi de chien.

Dans les autres films qui m'ont bien ou beaucoup plus aussi de Lumet (parmi la poignée que j'ai vus), je citerai aussi Serpico, A bout de course (avec River Phoenix), Contre-enquête (avec un Nick Nolte formidable) et 7h58, ce samedi là (son dernier, je crois)

[Vert|treV]

3 films vus fin mars, début avril :

Her de Spike Jonze avec Joaquin Phoenix, Amy Adams et (la voix de) Scarlett Johansson entre autres.

Un gars un peu paumé qui ne se remet pas d'une rupture, renaît à la vie par la connexion à un programme informatique et sa voix, capable de sentiments et de ressentir les choses. L'idée est intéressante, mais malgré tout le talent de Phoenix, je n'y ai pas cru et je suis resté aussi froid à cette histoire que le monde de ce futur proche qui nous est décrit.

Braddock America, documentaire français de Jean-Loïc Portron et Gabriella Kessler.

Ou comment une ville jadis florissante, fournisseur principal en acier des Etats-Unis a subi de plein fouet la désindustrialisation. Entre images d'archives de ce passé heureux et révolu et témoignages de ceux qui restent, encore sans se résigner et tentent de surmonter cette crise, le film nous montre des gens dignes, solidaires, refusant de baisser les bras et de quitter cette ville, leur ville. Instructif et émouvant.


La belle vie de Jean Denizot avec Zacharie Chasseriaud, Solène Rigot, Nicolas Bouchaud et Jules Pelissier.

Inspiré de faits réels, la vie de 2 jeunes garçons enlevés et élevés par leur père pendant 11 ans.
Très joliment filmé et bien interprété (notamment par les 4 acteurs cités ci-dessus et plus particulièrement Zacharie Chasseriaud, celui par qui on ressent l'histoire), l'histoire d'un père aimant et protecteur qui entraine ses fils dans une cavale sans fin, faite de rebonds incessants, de planques, et du désir de stabilité et d'émancipation des fils qui affleure. Une belle et émouvante ballade bucolique.

[Kishizo]

sérieux les gars , a ceux qui peuvent se le permettre , faites vous plaisir , encore ce soir , depuis un an que je l'ai , un video pro jvc x55 , vous ajoutez un darbee, et croyez moi , vous ne vous en remettrez pas !! je n'ai pas d'action chez jvc mais c'est extraordinaire pour vos films a la maison !! (plus le budget son je sais, ca fait des tunes....)

J'ai le video pro mais pas la barbie
Je découvre ce petit appareil qui booste la qualité de l'image on ne sait trop comment
C'est plug and play ?

Au passage petit coup de gueule sur les diffuseurs d'images pourquoi les appareils ne sont pas correctement calibrés en usine ? C'est difficile à faire techniquement ou alors les marques sont contentes de voir prospérer des topics de centaines de pages dans lesquels les utilisateurs échangent leurs réglages.
Je n'aime pas mettre les mains dans le camboui et si je le fais le résultat risque d'être pire.
Quand je mets un film depuis mon ordi portable sur une télé et que je compare les deux images la dominante de couleur n'est pas la même, telle marque du rouge l'autre du vert encore que ça j'aime
Pareil lorsque je visionne mes photos, si je prends une jeune tahitienne en string rouge sur la plage il peut ressortir rose à l'écran

Le prix des projos est de plus en plus démocratique et les appareils toujours meilleurs, Jvc est du très bon, mais le résultat peut-être également très satisfaisant avec des marques plus abordables. Quelques trucs à savoir par contre avant de sauter le pas, il faut tenir compte des contraintes de sa pièce et comment l'intégrer : projo fixé au plafond ou sur une étagère, également s'il peut être déporté du centre de l'écran ou doit être impérativement dans l'axe.
Un placement à l'avant ou au fond de la pièce, distance entre le projo et le mur pour connaître la taille d'image possible en fonction de l'appareil. Les projos n'offrent pas tous la même modularité.
Rien d'insurmontable, il faut juste y penser avant et l'intégrer dans son choix tout autant que la qualité pure de l'appareil.

Et pour le son, le budget spécial n'est pas impératif.
Lorsque j'ai eu mon premier projo j'avais déjà ma chaîne hifi toute rutilante et zou ma poule, c'est toujours elle qui fait le boulot. Le multicanal ne me manque pas, je suis habitué à ma qualité de son, avoir du multicanal pour dire d'en avoir et écouter de la bouillasse sonore

Dans une pièce dédiée plus grande que la mienne et avec une ouverture de crédit no limit je dis pas.
Mais au lieu d'acheter des packs multicanaux de merde existe t il encore un vendeur de surface spécialisée pour conseiller un bon petit système stéréo à prix équivalent ?
Ce gars là sera mon copaing

[Kishizo]

Lumet n'est pas un réalisateur d'un énorme talent artistique et c'est très bavard et théâtral mais il y a une ambiance, c'est un film dont on se souvient, une tragédie du bayou.

Je n'ai pas tout vu mais deux de ses films sont parmi mes préférés:

Douze hommes en colère et Un après-midi de chien.

Dans les autres films qui m'ont bien ou beaucoup plus aussi de Lumet (parmi la poignée que j'ai vus), je citerai aussi Serpico, A bout de course (avec River Phoenix), Contre-enquête (avec un Nick Nolte formidable) et 7h58, ce samedi là (son dernier, je crois)

Belle filmographie, nous sommes déjà trois et on cite des films différents.
Un petit lien du ciné club de caen qui fait du beau boulot sur le net cinéphile :
http://www.cineclubdecaen.com/realisat/lumet/lumet.htm" onclick="window.open(this.href);return false;

The offence avec Sean Connery en contre emploi me tente, il ne me semble pas l'avoir vu.

J'apprends que Lumet a commencé par le théatre et je comprends mieux pourquoi il y a tant d'adaptations de pièces dans sa filmographie.

Hop une scène extraite d'un après midi de chien :
https://www.youtube.com/watch?v=jC-6LkJ0NwY[/video]

C'est rigolo Lumet fait de cette scène, une scène de spectacle, un match de boxe.
La banque en est les coulisses, le long couloir l'entrée de l'artiste, son coach lui glisse les dernières consignes, l'adversaire en reçoit de son côté également. Et le rideau se lève la porte vitrée s'ouvre sur un Al Pacino hésitant tout penaud agitant un mouchoir blanc. De son côté le flic interprété par Charles Durning (en anecdote d'actualité au passage il a débarqué en Normandie) se sent en position de force et tout en montrant les muscles fait celui qui veut négocier. Tout en retenant ses gars de trop se rapprocher il montre à Al Pacino les tireurs sur les toits un peu comme les éclairagistes du spectacle mais ils ne tiennent pas des projo mais des flingues.
Puis il fait un panoramique qui nous fait découvrir l'assistance du spectacle comme si on était les yeux de Pacino et qui renforce le grotesque de la disproportion entre le danger de notre paumé d'Al et le déploiement de force enface. Ils sont placés par groupes, les flics, les spectateurs, les journalistes, ceux des balcons, un peu comme un orchestre.
Al Pacino possède très peu de zone de trottoir, il est acculé dans les cordes, le flic a le dessus à ce moment.
Et puis Al en piétinant va écarter sans en avoir l'air progressivement sa zone tout en reprenant la conduite de la discussion, pourquoi ils se rapprochent ? non c'est lui qui sort de plus en plus et prend le dessus, "je ne veux pas d'un flicaillon" il avance ils reculent...
Et puis il va porter l'uppercut en se mettant une partie du public de son côté en haranguant la foule avec des Attica faisant référence aux émeutes dans une prison qui s'était terminées dans un bain de sang ce qui avait été reproché à la police.
La scène devient plus large puisque le public prend part et des flics doivent se retourner pour contrôler la foule. Al vient de gagner le combat les flics reculent lui avance.
Une petite coupure avec les proches d'Al pour accentuer le grotesque, puisque non il ne fait pas partie du grand banditisme, et en même temps pour nous faire suivre l'évènement par le biais de la télé et lui conférer cette importance démesurée
Retour sur Al qui n'agite plus du tout son petit drapeau blanc de la même manière qu'à son entrée.
Capitulation du flic qui tend la main et Al qui l'accepte magnanime. L'otage est interviewé puis refuse de prendre la poudre d'escampette mais souhaite retourner dans la banque, rire du public.
Lumet se moque d'Al, de la police, des médias tout le monde en prend pour son grade, les caporaux sont les pires

[Tylith]

Il y'a quelques jours était diffusé sur Canal plus un docu-fiction appelé "La coupe du monde disparue".
Ouvrage loufoque et drôle s'imaginant que la quatrième coupe du monde de 1942 aurait en fait bien eu lieu sous l'impulsion d'un bien étrange personnage le comte Von Otz.

C'est très réussi et on se laisse prendre à cette histoire haute en couleur, j'en conseille chaudement le visionnage.

[Matrick]

J'ai vu hier soir Le jour le plus long à la télé,
pour info, c'est rigolo, ils ont pompé la musique du film sur l'air de "Nous serons champion de France car nous sommes stéphanois"
Les Verts sont vraiment partout

[riflebird]

Tiens en parlant d'invasion, dans le dernier Tom Cruise, Edge of Tomorow, la France se fait envahir a nouveau mais cette fois par des extra terrestres très méchants et particulierement machiavéliques.
Fort heureusement, le monde se coalise sous le leadership anglo-saxon pour sauver la planète et anéantir la menace. Comme il y a 70 ans aujourdhui les "General Inductees du futur" traversent la Manche pour en découdre tandis que Tom et Émily blunt sont pris dans un "jour sans fin" palpitant pour éviter la boucherie sur la plage et remporter la victoire finale.

Astucieux et distrayant.

[___]

J'ai vu hier soir Le jour le plus long à la télé,
pour info, c'est rigolo, ils ont pompé la musique du film sur l'air de "Nous serons champion de France car nous sommes stéphanois"
Les Verts sont vraiment partout

Tu dit n'imp, cé l'1verse, té tro un boloss !

[Vert|treV]

J'ai vu hier soir Le jour le plus long à la télé,
pour info, c'est rigolo, ils ont pompé la musique du film sur l'air de "Nous serons champion de France car nous sommes stéphanois"
Les Verts sont vraiment partout

[Beau Seigne !]

Bien que déjà évoqué par ailleurs, Django Unchained - http://youtu.be/t23Huo3DsKc" onclick="window.open(this.href);return false; - je viens enfin de le voir, un vrai plaisir.
Du Tarantino pur jus où son perfectionnisme viscéral ne déçoit pas : une histoire, un super héros, de l'humour, les lenteurs habituelles où par ex. Waltz excelle avec des rappels d'Inglorious Basterds mais aussi à la version des années 60, quelques scènes dérangeantes, une happy end, et un fond musical imprégné de la griffe de Morricone.

[Vert|treV]

Vu il y a une grosse quinzaine ces 2 films :

-May in the summer film américano-jordanien de et avec Cherien Dabis (charmante), Hiam Abbass, Alia Shawkat, Nadine Malouf, et Bill Pullman (?!!) dans les rôles principaux.

Joli "petit" film sur la relation mère-fille(s), sur la double culture, sur le mariage mixte, avec de belles images de Ammam, bien interprété et qu'on suit avec plaisir et sans ennui. Les séquences de jogging sont.......bien foutues.


- My Sweet Pepper Land de Hiner Saleem, avec Golshifteh Farahani et Korkmaz Arslan dans les rôles principaux.

Sorte de western kurde, aux frontières floues entre l'Irak, l'Iran et la Turquie, avec son shérif taiseux à la John Wayne, sa beauté fatale et rebelle (et institutrice), et son méchant caïd local qui règne en toute impunité avec ses sbires sur la région. Tourné dans de superbes paysages, et saupoudré d'humour à la western spaghetti, et formidablement servi par ses 2 (beaux) interprètes vedettes. Très belle découverte.

[Borotj42]

Je poste là mais je ne suis peut être pas au bon endroit.
Mardi soir sur Arte le docu : "sport, le revers de la médaille" était très intéressant.
IL est sur Arte+7 pour ceux qui veulent le voir !

Pour la partie foot, Papin et Gattuso s'exprime ainsi que d'anciens joueurs du championnat d'Italie, on voit très clairement que le dopage dans le foot n'est pas une illusion mais une réalité !! ça va permettre de prendre un peu de recul sur cette CDM 2014...

[Corto]

Je poste là mais je ne suis peut être pas au bon endroit.
Mardi soir sur Arte le docu : "sport, le revers de la médaille" était très intéressant.
IL est sur Arte+7 pour ceux qui veulent le voir !

Pour la partie foot, Papin et Gattuso s'exprime ainsi que d'anciens joueurs du championnat d'Italie, on voit très clairement que le dopage dans le foot n'est pas une illusion mais une réalité !! ça va permettre de prendre un peu de recul sur cette CDM 2014...

Il y a d'ailleurs un passage ou la voix Off dit un truc comme çà :
"Mais le dopage ne concerne pas que le championnat italien. En France aussi le dopage existe : à Saint-Etienne (ave une photo des 70's), etc..."
Y'a déjà eu des cas avérés chez nous ? Des témoignages ? Révélations ou autres ?

[Borotj42]

Je poste là mais je ne suis peut être pas au bon endroit.
Mardi soir sur Arte le docu : "sport, le revers de la médaille" était très intéressant.
IL est sur Arte+7 pour ceux qui veulent le voir !

Pour la partie foot, Papin et Gattuso s'exprime ainsi que d'anciens joueurs du championnat d'Italie, on voit très clairement que le dopage dans le foot n'est pas une illusion mais une réalité !! ça va permettre de prendre un peu de recul sur cette CDM 2014...

Il y a d'ailleurs un passage ou la voix Off dit un truc comme çà :
"Mais le dopage ne concerne pas que le championnat italien. En France aussi le dopage existe : à Saint-Etienne (ave une photo des 70's), etc..."
Y'a déjà eu des cas avérés chez nous ? Des témoignages ? Révélations ou autres ?

Ils expliquent grosso modo que tout le foot est dopé depuis les années 1960... pas que l'Italie ou la France.
Mais c'est intéressant aussi d'écouter ce qu'ils disent sur un tas d'autres choses que le dopage (les chocs à la tête à répétition, les suicides de sportifs après leur carrière... et le fric que génére le sport business qu'on ne peut plus considérer comme du loisirs à proprement parlé mais comme une économie qui pèse 3% de l'économie mondiale... pourquoi de grandes marques qui n'ont rien à voir avec le sport s'associe à celui ci (marque de bagnole, de sodas, de bains de bouches...) le reportage entier est super intéressant !

[___]

- My Sweet Pepper Land de Hiner Saleem, avec Golshifteh Farahani et Korkmaz Arslan dans les rôles principaux.

Sorte de western kurde, aux frontières floues entre l'Irak, l'Iran et la Turquie, avec son shérif taiseux à la John Wayne, sa beauté fatale et rebelle (et institutrice), et son méchant caïd local qui règne en toute impunité avec ses sbires sur la région. Tourné dans de superbes paysages, et saupoudré d'humour à la western spaghetti, et formidablement servi par ses 2 (beaux) interprètes vedettes. Très belle découverte.

Quelques longueurs, mais globalement L'instrument de musique de la fille est exceptionnel. Rien que pour ça, ça valait le coup.

[Vert|treV]

Pas mal d'autres films vus ces 2-3 dernières semaines, j'y reviendrais un peu plus tard, mais là j'ai juste envie de dire du bien du dernier en date vu jeudi, d'autant plus qu'il ne sera pas longtemps sur les écrans, je suppose.

Xenia, film grec de Panos H. Koutras avec Kostas Nikouli, Nikos Gelia, Aggelos Papadimitriou, Yannis Stankoglou et Marissa Triandafyllidou dans les rôles principaux.

Etrange film, qui raconte la quête de 2 frères "apatrides" (mi-albanais, mi-grecs) dans la Grèce actuelle entre réalisme (crise, xénophobie, etc...) et onirisme (très jolie séquence de la barque, Dido), avec des basculements improbables entre moments très émouvants et moments drôles, voire complètement loufoques.
Il y a beaucoup de rythme (malgré quelques légères longueurs parfois, mais rien de grave), il y a beaucoup de fraîcheur, et les 2 acteurs (complètement amateurs) qui jouent les 2 héros sont parfaits et très attachants. Ils m'ont beaucoup ému (j'avoue avoir eu les yeux mouillés), notamment Kostas Nikouli dans le rôle du jeune frère homosexuel de 16 ans, d'un naturel sidérant, qui fait jaillir des émotions opposées d'une scène à l'autre.

Petit coup de coeur (d'artichaut)

[Vert|treV]

Une mise à jour s'impose.

1ère partie

Chronologiquement :

- Les drôles de poissons-chats, film mexicain de Claudia Sainte-Luce avec Ximena Ayala, Lisa Owen, Sonia Franco, Wendy Guillén, Andrea Baeza, Alejandro Ramírez-Muñez dans les rôles principaux.

Ce film avait tout pour me plaire, mais au final je suis sorti déçu. Malgré l'interprétation irréprochable notamment des 2 actrices principales, la réalisatrice maintient trop de distance avec l'histoire et ses personnages, pour que la greffe prenne totalement.


- X-men : days of future past de Bryan Singer avec Hugh Jackman, James McAvoy, Michael Fassbender, Jennifer Lawrence dans les rôles principaux.

L'idée de situer l'action dans un futur sombre (très sombre même, le futur) et de revenir dans le passé, aux origines du mal pour rendre l'espoir n'est pas une mauvaise idée. Néanmoins, je n'ai pas été conquis. Le déploiement des effets spéciaux pour signifier la noirceur du monde et la multiplication des personnages ne m'a pas vraiment convaincu (rôles de Ian McKellen et Patrick Stewart plus comme figurants, prestation de Omar Sy sans intérêt). J'avais trouvé le précédent bien meilleur, moins confus. Néanmoins, rien que pour la scène d'évasion de Magnéto avec Quicksilver dans le rôle du dribbleur du temps (magnifique scène d'une poésie et d'une drôlerie superbes), le film vaut le coup d'être vu.


- Black coal, film chinois de Yi'nan Diao avec Fan Liao, Lun-mei Gwei, Xue-bing Wang dans les rôles principaux.

La bande-annonce et l'histoire m'avait fait saliver.
Hélas, la salive m'a manqué au fur et à mesure que le film avançait. Une fois de plus je n'ai pu maintenir mon intérêt sur la durée (copyright "A touch of Sin"). Les plans sont travaillés, bien foutus, la vision sombre de la Chine est toujours là, mais qu'est-ce que c'est mou et confus. Je me suis perdu en route. (peut-être à revoir dans de meilleures dispositions)


- The homesman de et avec Tommy Lee Jones, et aussi Hilary Swank.

Pas aussi emballé que j'aurais aimé (j'avais beaucoup aimé son Trois enterrements), avec ce western âpre et sans fard. Les 2 acteurs principaux sont bons chacun dans leur style (mention spéciale quand même à TLJ pour son rôle à la fois drôle et émouvant, Hilary Swank étant parfaite en vieille fille forte, humaine et intrépide), avec de beaux moments et une réalisation soignée. Ca manque peut-être un peu de rythme et de consistance parfois.

[___]

Ca fait longtemps tiens ! Bon hier, c'était sortie familiale pour voir Qu'est-ce qu'on a fait au bon dieu. C'est conforme à ce à quoi on pouvait s'attendre : des clichés, des bons sentiments qui dégoulinent, des ficelles grosses comme les câbles du Brooklyn Bridge, du rire pas toujours fin, mais du rire quand même, ça détend et ça passe vite. Par contre, qu'est-ce que les acteurs sont moyens... Franchement, ils pourraient faire un effort. A part Chantal Lauby, excellente.

[dimi]

Ca fait longtemps tiens ! Bon hier, c'était sortie familiale pour voir Qu'est-ce qu'on a fait au bon dieu. C'est conforme à ce à quoi on pouvait s'attendre : des clichés, des bons sentiments qui dégoulinent, des ficelles grosses comme les câbles du Brooklyn Bridge, du rire pas toujours fin, mais du rire quand même, ça détend et ça passe vite. Par contre, qu'est-ce que les acteurs sont moyens... Franchement, ils pourraient faire un effort. A part Chantal Lauby, excellente.

perso j'ai pas aimé du tout , j attendais la fin avec impatience

[steph1933]

Ca fait longtemps tiens ! Bon hier, c'était sortie familiale pour voir Qu'est-ce qu'on a fait au bon dieu. C'est conforme à ce à quoi on pouvait s'attendre : des clichés, des bons sentiments qui dégoulinent, des ficelles grosses comme les câbles du Brooklyn Bridge, du rire pas toujours fin, mais du rire quand même, ça détend et ça passe vite. Par contre, qu'est-ce que les acteurs sont moyens... Franchement, ils pourraient faire un effort. A part Chantal Lauby, excellente.

perso j'ai pas aimé du tout , j attendais la fin avec impatience

Pareil, pas terrible... Mais je n'en attendais rien, donc je n'ai pas été déçu.

[Dodo]

Black coal, film chinois de Yi'nan Diao avec Fan Liao, Lun-mei Gwei, Xue-bing Wang dans les rôles principaux.

La bande-annonce et l'histoire m'avait fait saliver.
Hélas, la salive m'a manqué au fur et à mesure que le film avançait. Une fois de plus je n'ai pu maintenir mon intérêt sur la durée (copyright "A touch of Sin"). Les plans sont travaillés, bien foutus, la vision sombre de la Chine est toujours là, mais qu'est-ce que c'est mou et confus. Je me suis perdu en route. (peut-être à revoir dans de meilleures dispositions)

Un peu le même sentiment sur Black coal que je viens de voir. Je me suis aussi un peu perdu en route (la ressemblance de 2 personnages ?). J'avais trouvé A touch of sin plus consistant (bien que paradoxalement plus mou ).
Reste une atmosphère, quelques beaux plans, mais un scénar qd même pas follement original.
Au passage, vu l'excellent leçons d'harmonie. Paysages kazakhs, tripes d'agneau à l'air, parcours initiatique, vengeance froide. Très beau film, limite parfait.