ASSE - poteaux-carres.com

Wilyrah wrote:

Olaf wrote:Tel père tel fils : très bien, malgré la fièvre et les longueurs.

Je te rejoins complètement

Par contre, je suis allé voir A TOUCH OF SIN hier et je ne comprends pas un tel engouement critique. Exceptées quelques qualités de mise en scène, il n'y a rien qui ait capté mon attention, mon intérêt ou ma curiosité dans ce très dispensable et surestimé film chinois.

Je te rejoins (comme évoqué plus tôt) sur la déception de Touch of sin.
Sinon, pas mal de films vus depuis les fêtes de fin d'année.
Une mise à jour sera faite prochainement, et un semblant de distribution de bons points sur cette année 2013 aussi. Ne me reste plus qu'à voir le Scorsese, pour clôturer ce millésime.

Vert|treV wrote:

Wilyrah wrote:

Olaf wrote:Tel père tel fils : très bien, malgré la fièvre et les longueurs.

Je te rejoins complètement

Par contre, je suis allé voir A TOUCH OF SIN hier et je ne comprends pas un tel engouement critique. Exceptées quelques qualités de mise en scène, il n'y a rien qui ait capté mon attention, mon intérêt ou ma curiosité dans ce très dispensable et surestimé film chinois.

Je te rejoins (comme évoqué plus tôt) sur la déception de Touch of sin.
Sinon, pas mal de films vus depuis les fêtes de fin d'année.
Une mise à jour sera faite prochainement, et un semblant de distribution de bons points sur cette année 2013 aussi. Ne me reste plus qu'à voir le Scorsese, pour clôturer ce millésime.

Je me suis fait tombé dessus pour ne pas avoir aimé A touch of sin alors qu'au contraire, je ne comprends pas l'enthousiasme suscité. Je n'ai pas vu ton avis plus développé

Wilyrah wrote:

Vert|treV wrote:

Wilyrah wrote:

Olaf wrote:Tel père tel fils : très bien, malgré la fièvre et les longueurs.

Je te rejoins complètement

Par contre, je suis allé voir A TOUCH OF SIN hier et je ne comprends pas un tel engouement critique. Exceptées quelques qualités de mise en scène, il n'y a rien qui ait capté mon attention, mon intérêt ou ma curiosité dans ce très dispensable et surestimé film chinois.

Je te rejoins (comme évoqué plus tôt) sur la déception de Touch of sin.
Sinon, pas mal de films vus depuis les fêtes de fin d'année.
Une mise à jour sera faite prochainement, et un semblant de distribution de bons points sur cette année 2013 aussi. Ne me reste plus qu'à voir le Scorsese, pour clôturer ce millésime.

Je me suis fait tombé dessus pour ne pas avoir aimé A touch of sin alors qu'au contraire, je ne comprends pas l'enthousiasme suscité. Je n'ai pas vu ton avis plus développé

Ah ben j'en viens et si je suis d'accord sur l'excés de dithyrambes des critiques, ce n'est pas le chef-d'oeuvre escompté, je trouve que ce film est tout sauf dispensable tant il sort des habituelles cartes postales chinoises. Improbable mélange de Loach, Tarantino, Altman et Depardon, il montre un pays et une époque dans toute sa laideur. Des très beaux plans d'endroits moches. Pas un chef-d'oeuvre non, mais un film rare qui change des trucs déjà vus mille fois.
Vive la croissance à deux chiffres ! (Bon, c'est un peu longuet quand même...)

Wilyrah wrote:

Vert|treV wrote:

Wilyrah wrote:

Olaf wrote:Tel père tel fils : très bien, malgré la fièvre et les longueurs.

Je te rejoins complètement

Par contre, je suis allé voir A TOUCH OF SIN hier et je ne comprends pas un tel engouement critique. Exceptées quelques qualités de mise en scène, il n'y a rien qui ait capté mon attention, mon intérêt ou ma curiosité dans ce très dispensable et surestimé film chinois.

Je te rejoins (comme évoqué plus tôt) sur la déception de Touch of sin.
Sinon, pas mal de films vus depuis les fêtes de fin d'année.
Une mise à jour sera faite prochainement, et un semblant de distribution de bons points sur cette année 2013 aussi. Ne me reste plus qu'à voir le Scorsese, pour clôturer ce millésime.

Je me suis fait tombé dessus pour ne pas avoir aimé A touch of sin alors qu'au contraire, je ne comprends pas l'enthousiasme suscité. Je n'ai pas vu ton avis plus développé

C'était 3 pages en arrière.
C'est pas non plus du développement maousse
Bon allez, puisque c'est toi qui le demande, petit copié collé


- A touch of sin de Jia Zhang Ke avec notamment Wu Jiang, Wang Baoqiang, Zhao Tao.

Film prometteur sur le papier avec à travers les parcours de 4 personnages (sur 4 segments différents sans vraiment de rapport entre eux) dans la Chine d'aujourd'hui, une photographie bien préoccupante de la société chinoise (chômage, précarité, corruption, violence, etc...).
Problème majeur, je ne suis pas parvenu à maintenir mon attention ni mon intérêt, la faute à un rythme plutôt lent et beaucoup de longueurs, malgré une réalisation juste. Bref, je me suis pas mal emmerdé.
Dommage.


On se demande d'ailleurs, si tu n'aurais pas lorgné sur ma copie, en y regardant de plus près.

Vert|treV wrote:

Wilyrah wrote:

Vert|treV wrote:

Wilyrah wrote:

Olaf wrote:Tel père tel fils : très bien, malgré la fièvre et les longueurs.

Je te rejoins complètement

Par contre, je suis allé voir A TOUCH OF SIN hier et je ne comprends pas un tel engouement critique. Exceptées quelques qualités de mise en scène, il n'y a rien qui ait capté mon attention, mon intérêt ou ma curiosité dans ce très dispensable et surestimé film chinois.

Je te rejoins (comme évoqué plus tôt) sur la déception de Touch of sin.
Sinon, pas mal de films vus depuis les fêtes de fin d'année.
Une mise à jour sera faite prochainement, et un semblant de distribution de bons points sur cette année 2013 aussi. Ne me reste plus qu'à voir le Scorsese, pour clôturer ce millésime.

Je me suis fait tombé dessus pour ne pas avoir aimé A touch of sin alors qu'au contraire, je ne comprends pas l'enthousiasme suscité. Je n'ai pas vu ton avis plus développé

C'était 3 pages en arrière.
C'est pas non plus du développement maousse
Bon allez, puisque c'est toi qui le demande, petit copié collé


- A touch of sin de Jia Zhang Ke avec notamment Wu Jiang, Wang Baoqiang, Zhao Tao.

Film prometteur sur le papier avec à travers les parcours de 4 personnages (sur 4 segments différents sans vraiment de rapport entre eux) dans la Chine d'aujourd'hui, une photographie bien préoccupante de la société chinoise (chômage, précarité, corruption, violence, etc...).
Problème majeur, je ne suis pas parvenu à maintenir mon attention ni mon intérêt, la faute à un rythme plutôt lent et beaucoup de longueurs, malgré une réalisation juste. Bref, je me suis pas mal emmerdé.
Dommage.


On se demande d'ailleurs, si tu n'aurais pas lorgné sur ma copie, en y regardant de plus près.

Ah tu ne peux pas savoir comme ça fait du bien de lire cet avis. Ressenti identique.

Merci à toi et Dodo, ça me soulage, je me sentais ignare.

Pas mal de films vus ces 4 dernières semaines, avec des sentiments divers.
La flemme de m'étendre, donc je vais tenter (et réussir) de faire court


- Suzanne de Katell Quillévéré : Drame familial sur une vingtaine d'années, bien interprété (Forestier, Damiens et Haenel), bien fichu, émouvant. Pas aussi prenant que j'aurais souhaité, mais vaut le détour.

- Le géant égoïste de Clio Barnard : Encore un drame, sur l'enfance, dur et un poil trop misérabiliste, pas inintéressant, mais le traitement ne m'a pas fait vibré, et l'interprétation si peu. Déception.

- Rêves d'or de Diego Quemada-Diez : le périple âpre de 3 jeunes ados pour quitter le Guatemala vers la terre promise américaine. Joli film, avec une réflexion sur les frontières qui cloisonnent le monde, et 3 jeunes interprètes très justes. Film touchant, mais sombre. Encore un drame, oui.

- La désolation de Smaug de Peter Jackson : 2h40 qui passent sans ennui. Quelques entorses, quelques rajouts aussi (l'elfe femelle, Legolas ??), mais le spectacle est au rendez-vous et l'esprit de Tolkien n'est pas trahi une seule seconde. J'ai apprécié le voyage. Très bon film de divertissement.

- The lunchbox de Ritesh Batra avec Irrfan Khan, Nimrat Kaur ( ) et Nawazuddin Siddiqui (découvert dans le diptyque Gangs of Wasseypur, l'an dernier) dans les rôles principaux. Une chronique sentimentalo-culinaire dans Bombay entre une jeune femme délaissée et un homme veuf, comptable aux portes de la retraite, avec aussi les interventions réjouissantes et émouvantes de son successeur. Superbes interprètes, exotisme, délicatesse et un charme fou qui fait mouche. Conquis, je suis.

- Tel père, tel fils de Hirokazu Koreeda avec Masaharu Fukuyama, Machiko Ono, Lily Franky et Yoko Maki et Keita Ninomiya dans les rôles principaux. 2 familles se retrouvent bouleversées en apprenant que leurs garçons respectifs ont été échangés à la naissance....après 6 ans. Interprétation sans faille, subtilité de traitement, rapport de classes, questionnement sur la paternité. Profond, émouvant, très beau.

- Le loup de Wall Street de Martin Scorsese avec Leonardo DiCaprio, Jonah Hill, Margot Robbie, Matthew McConaughey, Kyle Chandler dans les rôles principaux. Comme Wilyrah, je suis un peu resté sur ma faim quand même. Il y a trop de longueurs, malgré le rythme de certaines séquences, l'antipathie du "héros" n'aidant pas à trouver de véritable intérêt à son parcours. On rit pas mal, et on est aussi souvent consterné devant tant de vide où tout n'est basé que sur la sacro-sainte trinité fric-drogue-sexe. Scorsese filme l'outrance jusqu'à l'écoeurement, ça tchatche beaucoup, la caméra épouse cette histoire cocaïnée plutôt brillamment, mais tout ça est un peu vain et tourne un peu à vide. Je comprends bien que c'est le sujet qui veut ça, mais on va dire que le sujet ne m'est pas spécialement passionnant. Di Caprio est brillant bien sûr comme d'habitude (même si parfois il est trop dans la performance je trouve) de même que McConaughey (rôle trop court). Margot Robbie est plutôt jolie, mais bon l'interprétation n'est pas à tomber par terre. A voir quand même, ça vaut le détour, mais les derniers Scorsese à m'avoir véritablement scotché datent de 2004 et 2005 (Aviator et No direction home). Je me demande si le Marty est encore capable de me faire ressentir des trucs forts, au final.

mais les derniers Scorsese à m'avoir véritablement scotché datent de 2004 et 2005 (Aviator et No direction home

Shutter island gros !
Quand même !

Vu hier :
Guillaume et les garçons, à table ! : A force d'en entendre du bien, j'ai fini par dépasser l'absence d'envie de voir un film sur-vendu et avec une si piètre bande annonce. Le contenu final est beaucoup plus fin et subtil que ce que je craignais ; si on rigole pas si souvent que ça, on sourit très souvent. C'est à la fois drôle, touchant et profond ; un excellent film. Comme quoi, à partir du pitch commun à plein de films français pourris ("une personne issue de la haute bourgeoisie et qui bénéficie de conditions de vie magnifiques est malheureuse dans sa vie et rencontre plein de tourments psychologiques, oh là là"), on peut aboutir à une oeuvre de qualité.

R : La mode du cinéma scandinave a dû prendre de l'ampleur, pour qu'on nous rapatrie des films vieux de 4 ans. C'est prenant, ça passe vite, c'est efficace mais...au final, grosse impression de déjà-vu. Difficile de faire original dans les films consacrés au milieu carcéral. Les fans du genre devraient apprécier.

Olaf wrote:Vu hier :
R : La mode du cinéma scandinave a dû prendre de l'ampleur, pour qu'on nous rapatrie des films vieux de 4 ans. C'est prenant, ça passe vite, c'est efficace mais...au final, grosse impression de déjà-vu. Difficile de faire original dans les films consacrés au milieu carcéral. Les fans du genre devraient apprécier.

Assez d'accord avec toi. Film ressorti après l'accueil positif de Northwest et Hijacking.

le loup de wall street : de grosses barres de rire grâce à leo di caprio et mathew mac conaughey, et une furieuse envie de me taper des putes, et des maxi-poutrasses de blanquette à la sortie du film. Ou les deux à la fois. Geeet the Luuuuuudes!!

Tiens au fait ceux qui connaissent, et pour ceux qui ne connaissent pas, vla un petit gar qui assure :
http://www.youtube.com/watch?v=U7RXkaWJtso[/video]

En séjour à l’hôpital, je me suis regardé CASABLANCA. Excellent film ma foi, je m'attendais à moins bien que cà. Il n'a pas beaucoup vieilli ce film et le scénario est très prenant, avec son choix moral décisif sur la fin (quoiqu'un peu trop happy-end à mon gout)

Et ce soir, il passait VIRGIN SUICIDES sur Arte. C'était... étrange comme film. Très beau, poétique et qui laisse plus de questions en suspens qu'il n'y répond. Quelqu'un a une explication rationnelle à la fin ?

Petit (et tardif) regard dans le rétroviseur de 2013

Coups de coeur

Mud
Ultimo Elvis
Alabama Monroe


Films marquants et réussites

Lincoln
La fille du 14 juillet
Wadjda
Tel père tel fils
Just the wind
La vie d'Adèle
Omar
Heimat
Inside Llewyn Davis
Django unchained
The lunchbox
Shokuzai


Ca en fait 15, mais quelques autres aussi ont su me charmer d'une manière ou d'une autre (Ilo Ilo, Gimme the loot, La désolation de Smaug, Au bout du conte, Zero dark thirty,...)

La grosse daube de l'année

L'écume des jours

Tiens, j'ai revu hier le 3ème Batman de Nolan.
Un truc m'a frappé et j'aimerais bien connaître le point de vue de ceux ici qui sont plus pointus que moi en matière de technique de réalisation, c'est la filiation avec Michaël Mann.

Ce qui distingue le DKR des autres blockbusters sur les superhéros me semble le fait que la narration, l'ambiance, les plans sont dans la droite ligne des polars. Et Nolan me semble emprunter un grand nombre de "techniques" typiques du style Mann : les très légers mouvements latéraux de caméra, l'utilisation de la steady, le découpage des plans, les dialogues pouvant se poursuivre hors champ, certains "décadrages", une façon d'éclairer... Même la façon de montrer le professionalisme extrême des personnages.

Petit exemple :
- comparez la façon dont sont tournées les scènes du braquage de la banque dans Heat et la prise d'otage à la bourse dans le DKR.
- idem pour la fusillade de Heat et la scène de guerre civile (après la charge)
- la scène de la boîte de nuit de Miami Vice et celle de l'infiltration de Batman et Catwoman.

Des avis ?

Bon, visiblement, j'étais en mode Captain Obvious...

http://nilesfilmfiles.blogspot.fr/2010/ ... opher.html" onclick="window.open(this.href);return false;

Nolan a souvent précisé en interviews avoir voulu filmer Gotham d'une façon proche de la vision de LA par Mann dans Heat.

pitchdobrasil wrote:Bon, visiblement, j'étais en mode Captain Obvious...

http://nilesfilmfiles.blogspot.fr/2010/ ... opher.html" onclick="window.open(this.href);return false;

Nolan a souvent précisé en interviews avoir voulu filmer Gotham d'une façon proche de la vision de LA par Mann dans Heat.

J'ai adoré ce film Heat.

Platoche wrote:

pitchdobrasil wrote:Bon, visiblement, j'étais en mode Captain Obvious...

http://nilesfilmfiles.blogspot.fr/2010/ ... opher.html" onclick="window.open(this.href);return false;

Nolan a souvent précisé en interviews avoir voulu filmer Gotham d'une façon proche de la vision de LA par Mann dans Heat.

J'ai adoré ce film Heat.

12 minutes de virtuosité, c'est cadeau :
(Ne pas cliquer si vous n'avez jamais vu le film!)
http://vimeo.com/60954124" onclick="window.open(this.href);return false;

12 minutes de virtuosité, c'est cadeau :
(Ne pas cliquer si vous n'avez jamais vu le film!)
http://vimeo.com/60954124" onclick="window.open(this.href);return false;

Putain énorme ! ça faisait bien depuis la sortie du film en salle que je n'avais pas vue la scène, et c'est abusé comment celle ci m'a rappelé GTA V !
Mais alors A-BU-Sé !
De la gueule des protagonistes, aux armes, aux tchatches utilisés, à l'intérieur de la banque, au décor de guerre de rue avec les voitures de flic qui se font démontés, TOUT a été resucé dans GTA V. Même la petite musique d'accompagnement a été resucé niveau genre.
Ils pourraient porter plainte pour plagia que ça n'en serait aucunement indécent !

En tout cas merci pour cette piqure de rappel l'ami !
Assurément un grand film !

J'ai vu les nominations pour les César 2014.
Je trouve vraiment ridicule que Adèle Exarchopoulos ne soit pas nominée pour la meilleure actrice, alors qu'on ne voit qu'elle du début à la fin du film.

Vert|treV wrote:J'ai vu les nominations pour les César 2014.
Je trouve vraiment ridicule que Adèle Exarchopoulos ne soit pas nominée pour la meilleure actrice, alors qu'on ne voit qu'elle du début à la fin du film.

Complètement d'accord avec toi !

Et la nomination de Léa Seydoux en tant que meilleure actrice est justement ridicule. C'est le point faible du fin et la voilà nominée dans la catégorie phare.

Wilyrah wrote:

Vert|treV wrote:J'ai vu les nominations pour les César 2014.
Je trouve vraiment ridicule que Adèle Exarchopoulos ne soit pas nominée pour la meilleure actrice, alors qu'on ne voit qu'elle du début à la fin du film.

Complètement d'accord avec toi !

Et la nomination de Léa Seydoux en tant que meilleure actrice est justement ridicule. C'est le point faible du fin et la voilà nominée dans la catégorie phare.

Je me doutais bien que tu serais de cet avis.
Du coup j'espère un césar pour Sandrine Kiberlain ou alors Bérénice Bejo ou alors Sara Forestier (pas vu les films des autres compétitrices).

Sinon, j'aimerais bien un césar pour Vincent Macaigne (la fille du 14 juillet).

Vu La vie rêvée de Walter Mitty. Un film léger et divertissant qui passe très vite, et très bien. Très bon moment de cinéma

Vu Twelve Years a Slave. Y a pas à dire, Steve McQueen, il sait faire du ciné. Pas forcément grand fan de la musique (ça donne un côté larmoyant un peu inutile, trouvè-je), mais pour le reste...quelques scènes vraiment marquantes. Et il y a des choses à en tirer pour aujourd'hui...

Olaf wrote:Vu Twelve Years a Slave. Y a pas à dire, Steve McQueen, il sait faire du ciné. Pas forcément grand fan de la musique (ça donne un côté larmoyant un peu inutile, trouvè-je), mais pour le reste...quelques scènes vraiment marquantes. Et il y a des choses à en tirer pour aujourd'hui...

On est d'accord.

Wilyrah wrote:

Olaf wrote:Vu Twelve Years a Slave. Y a pas à dire, Steve McQueen, il sait faire du ciné. Pas forcément grand fan de la musique (ça donne un côté larmoyant un peu inutile, trouvè-je), mais pour le reste...quelques scènes vraiment marquantes. Et il y a des choses à en tirer pour aujourd'hui...

On est d'accord.

C'est vrai.
Après, je m'attendais peut-être ) plus dur aussi ca ne m'a pas bouleversé. Disons que je m'attendais à ce qui arrive.