ASSE - poteaux-carres.com

Mon Top 10 2013:

10 9 mois ferme
9 Blue Jasmine
8 The hobbit: the desolation of Smaug
7 The grandmaster
6 The place beyond the pines
5 Mandela: the long walk to freedom
4 The butler
3 La vie d'Adele
2 Gravity
1 Inside Llewyn Davis

pitchdobrasil wrote:Je sors d'une avp de Walter Mitty. Gros coup de coeur ! Des images sublimes et un Ben Stiller vraiment très très bon.

Ca vaut quoi versus l'original avec Dany Kaye ?

Matrick wrote:

pitchdobrasil wrote:Je sors d'une avp de Walter Mitty. Gros coup de coeur ! Des images sublimes et un Ben Stiller vraiment très très bon.

Ca vaut quoi versus l'original avec Dany Kaye ?

Désolé, je n'ai pas vu l'original. Ceci dit, c'est a priori une adaptation très libre du premier film plutôt qu'un remake.

Bonsoir mon cher,

Je trouve ça particulièrement amusant de récolter un commentaire comme celui-ci (me taxant d'anti-Scorsese et remettant en question mes efforts d'objectivité) pour le film de Scorsese qui m'a le plus plu depuis… depuis… depuis belle lurette en fait. Si j'avais su ^^

J'ajouterais que ton argumentation prend un coup énorme lorsque tu me soupçonnes de mêler mes opinions politiques à mon avis sur le film… Cela ne me donne guère envie de débattre avec quelqu'un comme toi qui m'accuse visiblement d'être un gauchiste anti-libéral (ou je ne sais quoi) alors qu'il n'accepte simplement pas que quelqu'un qui a plutôt aimé le film émette cependant de vraies réserves.

Ceci dit, pour tenter de répondre un peu à tes remarques et ne pas rentrer dans tes attaques à peine dissimulées, je dois dire que même si le film est plutôt distrayant pendant deux heures (grâce à son énergie et au charisme de Leonardo qui embrasse le rôle avec fulgurance), j'avoue avoir été complètement indifférent vis à vis du personnage - ainsi que de son entourage. Il ne m'a pas touché, pas plus qu'il ne m'a ému ou même agacé. C'est justement là que le bat blesse. On se fiche de ce qui peut bien lui arriver. On ne le déteste pas, on ne se prend pas d'affection pour lui (ce qui aurait été un tour de génie de la part de Scorsese) et il n'exerce ni fascination ni répulsion à nos yeux de spectateur. 'Peut-être n'ai-je pas été suffisamment clair dans mon billet mais, au final, on suit simplement l'histoire d'un pauvre ******* (comme on en trouve à foison dans ce milieu) qui se sert des autres pour faire fortune avant de partir en vrille et d'être rattrapé par ses pêchés.

Voilà pourquoi je trouve qu'en fin de compte le film ne peut pas prendre une aura supplémentaire puisqu'il se contente (c'est le problème des biopics) de raconter l'histoire d'un tracer-escroc bourré de talent et de cocaïne. Je regrette certaines choses, c'est mon droit - que cela te plaise ou non.

Et puisque tu souhaites visiblement un avis de pro-Scorsese qui serait alors plus recevable à tes yeux, alors voilà :

http://persistanceretinienne.over-blog. ... treet.html" onclick="window.open(this.href);return false;

Content néanmoins que tu aies apprécié ton moment de cinéma. L'essentiel est là. Se régaler devant un bon film dans une salle sans imbéciles accros au pop-corn :-)

Pas la peine de vous engueuler...

Je pense que cette forme de neutralité du personnage principal est en fait la grande réussite du film et il me semble donc qu'elle est complètement voulue. Tu as tout a fait raison quand tu dis qu'on ne l'aime pas mais qu'on ne le déteste pas non plus. Tu te laisses sans doute emporter quand tu dis que c'est un c*nnard car ce n'est pas exactement ce que le film montre. Il a ses bons côtés, aussi, et puis, au final, il ne tue personne. Enfin, l'idée du film, c'est de titiller le spectateur sur le mode : sommes-nous au fond meilleur que lui et n'aimerions pas quelque part être à sa place (d'où la scène grossière du gars du FBI dans le métro, pour bien que le spectateur même idiot et inattentif comprenne) ? Alors, n'exagérons rien, cela ne va pas engendrer chez nous de grands bouleversements métaphysiques mais c'est quand même un propos un peu rafraichissant dans le gloubi-boulga christo-socialiste moralisateur ambiant.

Bon, si avec ça on n'a pas donné envie d'aller le voir, je ne sais plus ce qu'il faut faire.

vertigogo wrote:Pas la peine de vous engueuler...

Je pense que cette forme de neutralité du personnage principal est en fait la grande réussite du film et il me semble donc qu'elle est complètement voulue. Tu as tout a fait raison quand tu dis qu'on ne l'aime pas mais qu'on ne le déteste pas non plus. Tu te laisses sans doute emporter quand tu dis que c'est un c*nnard car ce n'est pas exactement ce que le film montre. Il a ses bons côtés, aussi, et puis, au final, il ne tue personne. Enfin, l'idée du film, c'est de titiller le spectateur sur le mode : sommes-nous au fond meilleur que lui et n'aimerions pas quelque part être à sa place (d'où la scène grossière du gars du FBI dans le métro, pour bien que le spectateur même idiot et inattentif comprenne) ? Alors, n'exagérons rien, cela ne va pas engendrer chez nous de grands bouleversements métaphysiques mais c'est quand même un propos un peu rafraichissant dans le blougi-boulga christo-socialiste moralisateur ambiant.

Bon, si avec ça on n'a pas donné envie d'aller le voir, je ne sais plus ce qu'il faut faire.

Ahah oui le terme "*******" est employé ici un peu facilement et synonyme de "petit péteux"

Je trouve que c'est un bon film mais que ce n'est pas un grand film à cause des réserves évoquées. Tant pis si ça fait de moi un spectateur chiant et éternel insatisfait ^^

Je viens de revoir "Duel".
Dingue comment on peut faire un bon film, bien angoissant, avec juste une voiture, un camion et un paysage désertique des USA

vertigogo wrote:c'est quand même un propos un peu rafraichissant dans le blougi-boulga christo-socialiste moralisateur ambiant.

C'est fou comme tu n'arrives pas à décrocher

En fait, même quand on ne lui trouve aucun défaut objectif mais qu'au final, on trouve qu'on a pas "accroché" à un film, est-ce qu'il y a vraiment besoin d'en discuter à base d'arguments tangibles ?
Comme toute oeuvre d'art, la qualité d'un film existe par le biais de celui qui le visionne et parfois on est pas dans l'état d'esprit adéquat ou les conditions ne s'y prêtent pas ou encore il nous manque une expérience personnelle pour l'apprécier.

Je suis totalement resté hermétique au charme de la Ligne Verte, à l'émotion du Majordome, à la poésie de Big fish ou à l'ambiance de Gangs of New-York, par ailleurs considérés comme excellents par la majorité.
Par contre, j'ai été ému aux larmes par Amélie Poulain, j'ai vibré devant la Vie d'Adèle, j'ai accroché à l'Effet Papillon, j'ai frémi devant Kill Bill vol. 2... Des films qui ont connu leur lot d'avis contradictoires.

Y'a t'il une raison sinon que j'ai vu ces films au bon moment, au bon endroit ? Ou qu'ils ont touché ma sensibilité, mes angoisses ?
Est-ce compliqué quand on écrit une critique (sur un blog ou sur un forum) d'admettre qu'une partie de son opinion est totalement subjective et pratiquement inexplicable ?

Dans un tout autre registre, je suis allée voir Albator. Je me suis vraiment régalée. Une animation époustouflante, un Capitaine Corsaire sombre et torturé. Seul bémol, la bande son, un peu molle ...
Pas vu en 3D, j'aime pas ça ...

Danish wrote:En fait, même quand on ne lui trouve aucun défaut objectif mais qu'au final, on trouve qu'on a pas "accroché" à un film, est-ce qu'il y a vraiment besoin d'en discuter à base d'arguments tangibles ?
Comme toute oeuvre d'art, la qualité d'un film existe par le biais de celui qui le visionne et parfois on est pas dans l'état d'esprit adéquat ou les conditions ne s'y prêtent pas ou encore il nous manque une expérience personnelle pour l'apprécier.

Je suis totalement resté hermétique au charme de la Ligne Verte, à l'émotion du Majordome, à la poésie de Big fish ou à l'ambiance de Gangs of New-York, par ailleurs considérés comme excellents par la majorité.
Par contre, j'ai été ému aux larmes par Amélie Poulain, j'ai vibré devant la Vie d'Adèle, j'ai accroché à l'Effet Papillon, j'ai frémi devant Kill Bill vol. 2... Des films qui ont connu leur lot d'avis contradictoires.

Y'a t'il une raison sinon que j'ai vu ces films au bon moment, au bon endroit ? Ou qu'ils ont touché ma sensibilité, mes angoisses ?
Est-ce compliqué quand on écrit une critique (sur un blog ou sur un forum) d'admettre qu'une partie de son opinion est totalement subjective et pratiquement inexplicable ?

Tout à fait. Très belle réponse Danish. Il y a toujours cette part de subjectivité inexplicable, même lorsqu'on s'attelle à développer son ressenti, à l'analyser. Je pense qu'une partie de subjectivité fait qu'on aime intensément un film ou pas. Après, il y a aussi les défauts que l'on peut observer objectivement, froidement, intellectuellement. Cette phrase est un lieu commun mais effectivement l'art est sujet à interprétation et à subjectivité. C'est inévitable et je ne vais pas chercher à imposer aux autres ma pensée. Je l'exprime, telle que je la ressens. Mon propos appuie ma vérité, non pas LA vérité. Il y a parfois un peu d'humeur et des commentaires, ça fait partie du jeu. Je ne pense pas que Scorsese dorme mal cette nuit à cause de mes mots.

Néanmoins ce Loup de Wall Street souffre de certains défauts (sa longueur, ses interminables scènes de bureau, sa dernière heure, les vociférations de tous ces personnages qui finissent par épuiser au lieu d'amuser, ce schéma classique indéfectible de la plupart des biopics…), et j'estime que très objectivement je peux émettre ces réserves sans forcément remettre en question d'autres belles qualités de réalisation, de scénario ou d'interprétation que je cite également. Forcément, quand il s'agit d'un auteur de la réputation de Scorsese, on se montre exigeant. Peut être qu'il en est ressorti davantage de critiques négatives que de points positifs (je l'admets) et c'est ce qui a révolté Balbo alors que je ne remettais pas en question son droit d'avoir beaucoup apprécié le film.

Ce que je n'apprécie en revanche pas du tout sont ses sous-entendus explicites particulièrement désagréables et ses remarques limite insultantes. C'est facile de me tomber dessus, je ne suis qu'un amateur - je fais ça par passion et par loisir - qui prend même la peine de venir répondre et d'essayer de débattre tandis que celui-ci ne se gêne pas pour me descendre. Je ne veux pas jouer à la victime mais c'est franchement lassant. J'aimerais être le sale con pédant qu'il semble décrire, ça me faciliterait la tâche.

Ma "critique" ne visait personne spécifiquement, malgré le petit côté provoc que j'entretiens par amusement avec certains amis blogueurs que ça titille. Ses reproches et ses attaques en revanche m'étaient directement destinées. Balbo ne me connait pas et s'est senti probablement visé lorsque j'ai parlé d'admirateurs béats*. Malheureusement, je ne pensais pas à lui (je ne le connais pas) et malgré ses réponses particulièrement désagréables et condescendantes, j'estime qu'il est visiblement un mec futé capable de faire la part des choses. Dommage qu'il me fasse ce procès d'intention avec autant de mépris.

J'exprime ce que je pense dans un maladroit mélange d'objectivité, de franchise et de subjectivité. Visiblement, certains ne le comprennent pas. Ainsi, j'éviterais désormais de poster mes liens ici et éviterais d'entrer dans des débats stériles puisque je perds mon temps avec des mecs qui ont simplement envie de me rentrer dedans. C'est dommage car je me régale de lire les avis d'Olaf, VertTrev et d'autres. Nous avons la chance d'avoir de nombreux potonautes très intéressants ici.


* je n'ai pas vu le terme "débile" dans les synonymes de ce mot.

valie wrote:Dans un tout autre registre, je suis allée voir Albator. Je me suis vraiment régalée. Une animation époustouflante, un Capitaine Corsaire sombre et torturé. Seul bémol, la bande son, un peu molle ...
Pas vu en 3D, j'aime pas ça ...

Vu également. J'ai bien aimé également l'aspect visuel et l'ambiance plutôt sombre du film. Cependant, j'ai été déçu dans l'ensemble par le scénario et la réalisation. Les motivations de certains personnages et notamment le principal, sont parfois assez floues. Tout cela fait que l'on ne comprend pas toujours le déroulement de l'action et l'intérêt de tels ou tels scènes. Bref plutôt déçu et frustré car il y a de bonnes idées, mais mal exploitées selon moi.

balbo wrote:@Wilryah,
Tu vas faire pleurer dans les chaumières. Mon propos ne faisait que répondre à ton propre article sur ton blog, mais apparemment tu aimes entretenir la dualité entre ton personnage du bleu du miroir et celui de Wilryah pour pouvoir jouer à la victime ici vu que la majorité des gens ne prendront pas la peine de lire ton article, chose que moi j'ai faite (tu vois, je n'ai aucun a priori sur toi et je ne te demande pas d'aimer les même films que moi, au contraire j'étais intéressé par lire ton avis pour voir ce qui ne t'avais pas plu car je sais faire preuve d'ouverture d'esprit). Peut-être devrais-tu le relire toi-même, si tu veux voir de la "condescendance" et du "mépris" tu seras servi. C'est là le point de départ, c'est marrant de venir parler de "débat" par la suite comme si cet article hautain et péteux n'existait pas. Ton blog est peut-etre très bien par ailleurs, pas la peine de faire le beauseigne, je ne m'interesse pas assez au cinéma pour lire tous tes articles de façon régulière donc je n'en sais rien.

Par ailleurs, je pense qu'entre l'admirateur béat*, le blasé qui pète plus que son cul et le mec qui n'a pas aimé un film parce que sa copine l'a largué la veille (en général pas le genre de mec qui se pose en critique de ciné derrière), je pense qu'il y a un éventail de personnalités assez large pour que le critique objectif et dénoué d'a priori (sur le film qu'il veut voir plutôt que sur le film qu'il va voir) puisse trouver confortablement sa place.

*tu remarqueras que j'avais mis "sous-entendu" et non pas "synonyme"

Merci pour cette éloquente leçon, professeur Balbo. J'ai beaucoup à apprendre de toi, à commencer par le respect. Le blasé péteux te souhaite malgré tout une bonne année 2014 (avec beaucoup de victoires des verts). Tu m'auras appris l'humilité et je n'aurais cesse d'y penser ce soir à minuit au moment de choisir ma bonne résolution. Sur ce, je te laisse, je retourne épancher ma prétention et ma dualité sur d'autres supports

PS : Je ne posterais pas mon bilan 2013 ici, je risquerais de passer encore pour un prétentieux frustré qui n'a pas eu sa place aux Cahiers du Cinéma avec un tel TOP… Ceux que ça intéresse sauront où le trouver. Et c'est bien là l'essentiel

Au final, pour revenir au sujet, quels sont les films qui vous ont marqué en 2013 ?

balbo wrote:

Wilyrah wrote:Au final, pour revenir au sujet, quels sont les films qui vous ont marqué en 2013 ?

Tiens, je vois que tu as effacé ton insulte
Je te rassure, je l'avais vu... Mais tu peux continuer à jouer au gentil garçon ici

Une insulte est une parole qui offense, nuance.
Le lien que j'avais mis de notre cher JJ était ce qu'on appelle un geste déplacé.
Mais comme ce n'est pas Noël, je me suis ravisé car je ne souhaitais finalement pas te faire ce cadeau.

Maintenant, sois gentil, arrête de me faire chier et évite de prendre le volant ce soir si tu as trop bu.

Gros coups de coeur:
La Vie d'Adèle
Zero Dark Thirty

Réussites:
Django Unchained
Insaisissables
Flight
Gravity
Jappeloup
Jeune et Jolie
Le Casse-tête chinois
Le loup de Wall Street

Déceptions:
Gatsby le Magnifique
Lincoln
Le Majordome

Danish wrote:Gros coups de coeur:
La Vie d'Adèle
Zero Dark Thirty

Réussites:
Django Unchained
Insaisissables
Flight
Gravity
Jappeloup
Jeune et Jolie
Le Casse-tête chinois
Le loup de Wall Street

Déceptions:
Gatsby le Magnifique
Lincoln
Le Majordome

Je n'ai pas vu le LINCOLN de Spielberg, j'en ai entendu du bien comme du mal.
Je suis passé volontairement à côté de Jappeloup (le sujet ne me branchait pas).
J'avoue en revanche avoir été excessivement déçu par le Klapisch.
Enfin, je partage un de tes gros coups de coeur, comme tu le sais peut être déjà

balbo wrote:

Wilyrah wrote:

balbo wrote:

Wilyrah wrote:Au final, pour revenir au sujet, quels sont les films qui vous ont marqué en 2013 ?

Tiens, je vois que tu as effacé ton insulte
Je te rassure, je l'avais vu... Mais tu peux continuer à jouer au gentil garçon ici

Une insulte est une parole qui offense, nuance.
Le lien que j'avais mis de notre cher JJ était ce qu'on appelle un geste déplacé.
Mais comme ce n'est pas Noël, je me suis ravisé car je ne souhaitais finalement pas te faire ce cadeau.

Maintenant, sois gentil, arrête de me faire chier et évite de prendre le volant ce soir si tu as trop bu.

Mr le roi de la sémantique est trop bon. Joueuses Pâques à toi aussi. Un conseil, ne va pas au ciné ce soir, ça te met de mauvaise humeur on dirait.

Arrêtons là, veux tu ? Je salue au passage ta belle répartie, confirmant que tu n'es pas un idiot, loin de là.
Je te présente sincèrement mes excuses si je t'ai blessé. Je ne te cacherai pas que ça a été ton cas mais ça ne vaut pas le coup de se prendre la tête comme des Boulogne Boys (à la différence près que ceux-là sont analphabètes). Passons à autre chose, revenons au vrai sujet de conversation de ce topic si tu y es disposé

J'arrive un peu tard pour te souhaiter bon courage, Wilyrah, mais le cœur y est En tout cas, je suis preneur de ton top, parce que j'ai pas le réflexe d'aller sur ton site. Et tant pis pour les pas contents obsessionnels !

Olaf wrote:J'arrive un peu tard pour te souhaiter bon courage, Wilyrah, mais le cœur y est En tout cas, je suis preneur de ton top, parce que j'ai pas le réflexe d'aller sur ton site. Et tant pis pour les pas contents obsessionnels !

Ahah merci

Le voilà. Très curieux de connaître le tien. J'imagine d'ailleurs qu'il devrait y avoir quelques similarités.

Comme ça, à la va vite, mes meilleurs films de 2013:

Rush
Mud
The place beyond the pine
Snowpiercer
Pacific rim
Stocker
Gravity
Le loup de wall street

Grosse déception de l'année :
Only god forgives

Oh, juste en passant, quelques films vu cette année...

My way home : radical et beau, surtout la 1ere partie
Shokuzaï : bien, surtout la 1ere partie, un peu déçu par le final, en dessous de Cure du même Kurosawa
(en fait je dois surtout aimer les 1eres parties)
La Grande Belleza : bon et beau, désenchanté à souhait, pas aussi grand qu'espéré mais grand quand même
Le passé : bien bien, alambiqué à souhait
Michael Kohlhaas : très très beau, un poil longuet
Le pouvoir : intéressant
Mud : déçu, mais beau, ou l'inverse. Loin de Take shelter du même Nichols.
Les sept samourais : restauré en version compléte alors inédite, chef d'oeuvre.
Rashômon : moins bon que le précédent du même Kurosawa (l'autre, pas celui du début), mais fait partie de l'histoire.

Voilà, c'était juste histoire de mettre un peu d'huile sur le feu

El Couramiaud wrote:Comme ça, à la va vite, mes meilleurs films de 2013:

Rush
Mud
The place beyond the pine
Snowpiercer
Pacific rim
Stocker
Gravity
Le loup de wall street

Grosse déception de l'année :
Only god forgives

J'ai l'impression que Mud ressort beaucoup à en croire vos tops, ceux lu un peu partout et le sondage actuellement en cours sur mon site. Certains lui ont préféré Take Shelter, j'avoue pour ma part avoir préféré ce très surprenant Mud animé d'une fougue sauvage ravissante.

Moi j'ai vu beaucoup de daubes en 2013.

deadken wrote:Moi j'ai vu beaucoup de daubes en 2013.

Ceci ressemble fortement à une confession des daubes-addict anonymes

Malheureusement, je dois en faire le triste constat également.