[Basket] Reprise saison NBA
Moderators: Barre transversale, Poteau gauche, Poteau droit, Ligne de but
Match d'un niveau moyen mais d'une incroyable intensité... L'essentiel est dans la victoire en ayant vaincu le leader (handicapé par les blessures tout de même). Merci à Badiane pour avoir sortie Spencer du match à un moment clé en fin de 2 ème quart, il ne s'en ai jamais vraiment remis, espérons pour lui et la chorale qu'il ne sera pas handicapé pour le reste de la saison!
Heureusement que notre duo magique était au sommet de son art (Campbell et Grégory) car nous étions mal barré sinon, et je pense que Rogers est LA pièce qui nous manquait! Finit les passes hasardeuses à la wheeler ou les mauvais choix dans les dernières minutes (on est pas à l'abris d'erreurs mais force est de constater que le meneur de poche assure dans le money time). Sans Rogers, je ne suis pas certain que nous soyons sortie victorieux de ce duel...
Campbell 23 pts 8 rbds pour 24 d'évaluation
Gregory 19 pts 5 rbds pour 22 d'évaluation re
Heureusement que notre duo magique était au sommet de son art (Campbell et Grégory) car nous étions mal barré sinon, et je pense que Rogers est LA pièce qui nous manquait! Finit les passes hasardeuses à la wheeler ou les mauvais choix dans les dernières minutes (on est pas à l'abris d'erreurs mais force est de constater que le meneur de poche assure dans le money time). Sans Rogers, je ne suis pas certain que nous soyons sortie victorieux de ce duel...
Campbell 23 pts 8 rbds pour 24 d'évaluation
Gregory 19 pts 5 rbds pour 22 d'évaluation re
[img]http://www.msb.fr/images/clubs/logo/lemans.jpg[/img]
"Il y a des choses que le temps ne peut cicatriser,
des blessures si profondes,
qu'elles se sont emparées de vous "
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Basket-ball : Contre la Chorale, le troisième refrain fut le bon
Pro A. Le Mans SB-Chorale de Roanne : 75-66. Battus à deux reprises cette saison par les Roannais, les Manceaux ont pris hier soir leur revanche.
Écrasés au match aller dans la Loire, battus de justesse le mois dernier en finale de la Semaine des As, les Sarthois ont enfin mis un terme à leurs déconvenues par au leader du championnat. Mais que ce fut dur ! C'est à l'arraché, après encore beaucoup de fébrilité et de maladresses, et avec un petit coup de pouce de l'arbitrage, que les Manceaux sont venus à bout de leur bête noire. Hier soir, le troisième refrain fut fatal à la Chorale. Tout bon pour le MSB qui poursuit sa belle série !
Un départ catastrophique
Catastrophique, pourtant, le départ des Sarthois ! Face à une formation roannaise bien plus vive et beaucoup plus agressive en défense, les hommes de Vincent Collet ne trouvaient aucune solution offensive. Pris dans la nasse de la Chorale, ils ne pouvaient accéder au panier et leurs tentatives extérieures étaient vouées à l'échec. Lors du premier quart-temps, pas une de leurs sept tentatives au long cours ne fut transformée alors que Marc Salyers, lui, faisait apprécier son adresse au public sarthois. Le MSB perdait de surcroît trois ballons dans les trois premières minutes et le 7-0 encaissé d'entrée n'était nullement illogique.
Suite à une belle réaction de Campbell et à une petite baisse de régime des hommes de Jean-Denys Choulet, le MSB allait revenir à quatre points (14-18) au terme du premier quart-temps. Mais les patrons sur le terrain étaient bien les joueurs de la Loire qui, de surcroît, dominaient le rebond.
Au Mans, on avait toutefois compris que le salut passait par un jeu plus dur en défense. Et lorsque les Sarthois le comprirent, ils perturbèrent un moment les Roannais qui commettaient beaucoup de fautes et s'énervaient quelque peu. Bogavac, Amagou et Campbell en profitaient en transformant tous leurs lancer-francs. Et à la 13e minute, sur une percée de Yannick Bokolo, le MSB passait pour la première fois en tête (25-23 à la 13e).
Mais cette embellie fut de courte durée. Malgré la sortie de Salyers, Roanne faisait une nouvelle fois admirer son adresse à mi-distance. Harper, Niakate et Spencer scoraient à trois points et le MSB se retrouvait à nouveau largué, avec, cette fois, un handicap de huit points à la 19e minute (29-37).
Sermonés durant le repos par leur coach, les Manceaux allaient trouver les ressources pour corriger leurs erreurs. Ils ne se laissaient pas impressionner par un nouveau missile dévastateur de Spencer, et en cinq minutes ils allaient remonter leurs neuf points de handicap et passer pour la seconde fois de la soirée en tête (45-44 à la 26e).
Un « alley hoop » Gregory-Campbell sonna la révolte
Cependant, comme dans le deuxième quart-temps, grâce à leur adresse extérieure et trois paniers primés d'Harper et Niakate, Roanne allait de nouveau reprendre son leader ship (51-55 à la 30e).
Rien n'était perdu mais pour éviter un troisième revers consécutif face à la Chorale, il fallait impérativement la faire déchanter dans les dix dernières minutes. Et ce, en muselant ses artilleurs et en se requinquant au rebond. À la 33e minute, un alley-hoop de Gregory remarquablement négocié par Campbell qui montait très haut et venait écraser le ballon dans le panier roannais, provoquant au passage la cinquième faute de Badiane, fit se lever Antarès. Pour la première fois de la soirée les Manceaux possédaient un bonus de trois points. Mais ensuite, par Nicevic, Koffi et Bogavac, ils gâchèrent des occasions immanquables. Tout bon pour ce diable de Salyers qui transformait son troisième tir primé de la soirée (60-60 à la 37e).
Mais dans la bagarre, les Roannais, de surcroît maltraités par un arbitrage manquant de cohérence, s'étaient énormément dépensés. Depuis longtemps, ils ne pouvaient plus compter sur Soliman, touché à une cheville. Et après Badiane, ils perdaient Pellin sur cinq fautes. Dès lors la lutte devenait inégale. Shawnta Rogers, pas encore au meilleur de sa forme inscrivait, sur lancers francs, ses deux premiers points de la soirée. Et, à l'arraché, le champion de France battait pour la première fois la saison une formation roannaise meurtrie hier soir en Sarthe.
Jean-Claude VIRFEU.
http://www.lemans.maville.com/actu/re/a ... -bon_.html
La feuille de match + la video du match se trouve ici :
http://www.msb.fr/feuille_match.asp?ann ... id_match=6
Pro A. Le Mans SB-Chorale de Roanne : 75-66. Battus à deux reprises cette saison par les Roannais, les Manceaux ont pris hier soir leur revanche.
Écrasés au match aller dans la Loire, battus de justesse le mois dernier en finale de la Semaine des As, les Sarthois ont enfin mis un terme à leurs déconvenues par au leader du championnat. Mais que ce fut dur ! C'est à l'arraché, après encore beaucoup de fébrilité et de maladresses, et avec un petit coup de pouce de l'arbitrage, que les Manceaux sont venus à bout de leur bête noire. Hier soir, le troisième refrain fut fatal à la Chorale. Tout bon pour le MSB qui poursuit sa belle série !
Un départ catastrophique
Catastrophique, pourtant, le départ des Sarthois ! Face à une formation roannaise bien plus vive et beaucoup plus agressive en défense, les hommes de Vincent Collet ne trouvaient aucune solution offensive. Pris dans la nasse de la Chorale, ils ne pouvaient accéder au panier et leurs tentatives extérieures étaient vouées à l'échec. Lors du premier quart-temps, pas une de leurs sept tentatives au long cours ne fut transformée alors que Marc Salyers, lui, faisait apprécier son adresse au public sarthois. Le MSB perdait de surcroît trois ballons dans les trois premières minutes et le 7-0 encaissé d'entrée n'était nullement illogique.
Suite à une belle réaction de Campbell et à une petite baisse de régime des hommes de Jean-Denys Choulet, le MSB allait revenir à quatre points (14-18) au terme du premier quart-temps. Mais les patrons sur le terrain étaient bien les joueurs de la Loire qui, de surcroît, dominaient le rebond.
Au Mans, on avait toutefois compris que le salut passait par un jeu plus dur en défense. Et lorsque les Sarthois le comprirent, ils perturbèrent un moment les Roannais qui commettaient beaucoup de fautes et s'énervaient quelque peu. Bogavac, Amagou et Campbell en profitaient en transformant tous leurs lancer-francs. Et à la 13e minute, sur une percée de Yannick Bokolo, le MSB passait pour la première fois en tête (25-23 à la 13e).
Mais cette embellie fut de courte durée. Malgré la sortie de Salyers, Roanne faisait une nouvelle fois admirer son adresse à mi-distance. Harper, Niakate et Spencer scoraient à trois points et le MSB se retrouvait à nouveau largué, avec, cette fois, un handicap de huit points à la 19e minute (29-37).
Sermonés durant le repos par leur coach, les Manceaux allaient trouver les ressources pour corriger leurs erreurs. Ils ne se laissaient pas impressionner par un nouveau missile dévastateur de Spencer, et en cinq minutes ils allaient remonter leurs neuf points de handicap et passer pour la seconde fois de la soirée en tête (45-44 à la 26e).
Un « alley hoop » Gregory-Campbell sonna la révolte
Cependant, comme dans le deuxième quart-temps, grâce à leur adresse extérieure et trois paniers primés d'Harper et Niakate, Roanne allait de nouveau reprendre son leader ship (51-55 à la 30e).
Rien n'était perdu mais pour éviter un troisième revers consécutif face à la Chorale, il fallait impérativement la faire déchanter dans les dix dernières minutes. Et ce, en muselant ses artilleurs et en se requinquant au rebond. À la 33e minute, un alley-hoop de Gregory remarquablement négocié par Campbell qui montait très haut et venait écraser le ballon dans le panier roannais, provoquant au passage la cinquième faute de Badiane, fit se lever Antarès. Pour la première fois de la soirée les Manceaux possédaient un bonus de trois points. Mais ensuite, par Nicevic, Koffi et Bogavac, ils gâchèrent des occasions immanquables. Tout bon pour ce diable de Salyers qui transformait son troisième tir primé de la soirée (60-60 à la 37e).
Mais dans la bagarre, les Roannais, de surcroît maltraités par un arbitrage manquant de cohérence, s'étaient énormément dépensés. Depuis longtemps, ils ne pouvaient plus compter sur Soliman, touché à une cheville. Et après Badiane, ils perdaient Pellin sur cinq fautes. Dès lors la lutte devenait inégale. Shawnta Rogers, pas encore au meilleur de sa forme inscrivait, sur lancers francs, ses deux premiers points de la soirée. Et, à l'arraché, le champion de France battait pour la première fois la saison une formation roannaise meurtrie hier soir en Sarthe.
Jean-Claude VIRFEU.
http://www.lemans.maville.com/actu/re/a ... -bon_.html
La feuille de match + la video du match se trouve ici :
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"Il y a des choses que le temps ne peut cicatriser,
des blessures si profondes,
qu'elles se sont emparées de vous "
"Il y a des choses que le temps ne peut cicatriser,
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Le SEB se déplace à Rouen ce soir à 20h pour tenter d'obtenir une 4ème victoire consécutive
Au classement le SEB est 7ème, et donc qualifié pour les playoffs. Reste à savoir si ils seront capable de l'emporter à Rouen (13ème et 2 victoires de retard). Auquel cas le SEB comforterait sa place avant de rencontrer Boulazac la semaine suivante à domicile.
De plus, une victoire ce soir serait quasi synonyme de maintien ...
Au classement le SEB est 7ème, et donc qualifié pour les playoffs. Reste à savoir si ils seront capable de l'emporter à Rouen (13ème et 2 victoires de retard). Auquel cas le SEB comforterait sa place avant de rencontrer Boulazac la semaine suivante à domicile.
De plus, une victoire ce soir serait quasi synonyme de maintien ...
Last edited by vinsanity on 10 Mar 2007, 14:47, edited 1 time in total.
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Je crois que les succès de la Chorale te montent à la têtevinsanity wrote:La Chorale se déplace à Rouen ce soir à 20h pour tenter d'obtenir une 4ème victoire consécutive
Au classement le SEB est 7ème, et donc qualifié pour les playoffs. Reste à savoir si ils seront capable de l'emporter à Rouen (13ème et 2 victoires de retard). Auquel cas le SEB comforterait sa place avant de rencontrer Boulazac la semaine suivante à domicile.
De plus, une victoire ce soir serait quasi synonyme de maintien ...
"On peut rire de tout mais pas avec n'importe qui." Pierre Desproges.
O'Neal en grand format
L'hibernation du Shaq est bel et bien terminée. En atteste le nouveau récital offert par l'intérieur floridien, cette fois face aux Wolves: auteur de 32 points à 13 sur 16, Shaquille O'Neal a en effet porté les siens vers un cinquième succès de rang, 105-91. Soirée faste pour les intérieurs grand format puisque Yao Ming y a été de 24 points et 13 rebonds face à des Nets châtiés 112-91. Enfin, côté français, seul Boris Diaw a terminé la soirée avec le sourire, ses 14 points et 9 rebonds participant au succès étriqué des Suns sur les Hornets 104-103.
Le match
A en croire Shaquille O'Neal, le basket, c'est comme le vélo: ça ne s'oublie pas. C'est tout du moins ainsi que l'intérieur floridien expliquait cette nouvelle démonstration de force offerte face aux Wolves. «Une fois que vous avez appris à faire quelque chose sur un terrain, vous ne le perdez pas. A moins de mourir.» lançait-il ainsi, la cinquième victoire consécutive de ses troupes entérinée. Et à le voir enchaîner bras roulés, tirs en crochet et dunks, l'ancien Laker est plus vivant que jamais.
A tel point que Shaq s'est offert face aux Wolves un nouveau record de points pour la saison. Après s'être mis sur son 31 le week-end dernier pour le choc face aux Pistons ou avoir fait dans l'éclectisme l'avant-veille face aux Bulls avec 24 points, 9 rebonds et 8 passes, l'intérieur floridien a en effet remis le couvert en compilant 32 points et 9 rebonds. Une performance de choix marquée du sceau de l'efficacité puisque Shaquille O'Neal a rendu un réussi 13 sur 16 aux tirs faisant oublier son 6 sur 11 sur la ligne des lancers ou ses six pertes de balle. "Shaq a été incroyable ce soir, reconnaissait d'ailleurs son entraîneur Pat Riley, soulignant il semble être en meilleure forme que jamais et avec plus d'appétit, et pour être honnête, plus d'humilité. Faire ces choses, soir après soir, alors que beaucoup ont douté de lui en dit long sur son envie et sur son talent."
Et ses adversaires d'abonder dans le sens de Pat Riley. A l'image d'un Kevin Garnett, certes auteur de 23 points et 11 rebonds, mais incapable d'enrayer la machine O'Neal: «on ne peut pas lutter quand il est dans de telles dispositions.» Qui plus est lorsque ses lieutenants Eddie Jones et Jason Williams ont décidé de faire oublier l'absence de Dwyane Wade. Avec respectivement 15 points-11 rebonds et 20 points à 9 sur 13 aux tirs, les deux hommes ont en effet dans le ton de la soirée, le Heat terminant la rencontre avec un impressionnant 58% de réussite collective!
De quoi expliquer le match à sens unique, Miami remportant les quatre quart-temps et creusant l'écart au fil de la rencontre grâce, également, au soutien des seconds rôles, Alonzo Mourning et James Posey en tête avec 14 points pour le premier, en 12 minutes, et 10 points pour le second. C'en était évidemment bien trop pour les Wolves puisqu'aux côtés de KG, seuls Ricky Davis, 21 points, et Mark Blount, 17, pouvaient rivaliser en attaque. Défaits lors de sept de leurs derniers matches, les Wolves accusent le coup dans la course à la huitième place de la conférence ouest, avec désormais deux matches de retard sur les Clippers. A l'inverse, le Heat n'est plus qu'à deux matches et demi des Wizards pour le trône le la Division Southeast.
Les Français
Les temps sont durs pour les représentants tricolores outre-Atlantique. Si leurs deux leaders Tony Parker et Boris Diaw semblent en avoir terminé avec leurs blessures, l'un à la hanche, l'autre au dos, le reste de la colonie est en effet bien plus à la peine.
Tout d'abord, au rayon infirmerie, c'est ainsi Ronny Turiaf et Mickael Pietrus qui ont pris le relais, le premier pour, à son tour, des douleurs dorsales, le second pour une vilaine grippe le clouant au lit. De quoi expliquer leurs absences lors des rencontres respectives de leurs équipes: un déplacement à Philadelphie pour les Lakers, avec un revers 108-92 à la clé, le cinquième de rang, et la réception des Clippers pour les Warriors, ces-derniers signant à l'inverse une troisième victoire à la suite, 99-89.
Pour ce qui est de l'absence de Yakhouba Diawara lors du match disputé par ses Nuggets face aux Pistons, il ne s'agit en revanche que d'un choix de l'entraîneur, George Karl s'essayant à de nouvelles formules pour relancer la franchise du Colorado. Tactique perdante puisque Denver, dévoré par la pression défensive des visiteurs, s'est incliné 82-95. Il en est de même pour expliquer la maigre minute à laquelle à eu droit Mickael Gelabale à Boston, ses Sonics s'y abîmant 118-103 et Johan Petro n'étant guère plus gâté avec sept minutes de jeu pour 4 points à 2 sur 2, 1 rebond et... 4 fautes.
Aussi faut-il se tourner vers le taulier Boris Diaw pour trouver trace d'un Frenchie à la fête. Non seulement, ses Suns l'ont emporté, certes non sans frayeur puisque les Hornets ont lutté jusqu'au bout pour ne céder finalement que 104-103, mais l'ancien Palois a également activement participé à ce qui constitue la neuvième victoire de Phoenix sur les dix derniers matches. Avec 14 points à 6 sur 13 aux tirs, 9 rebonds et 5 passes, le capitaine tricolore en a même signé l'un de ses meilleurs matches depuis le début de l'année!
Le joueur
Si Shaquille O'Neal n'en finit plus de briller depuis deux semaines, un autre intérieur, format XXXL entend bien rattraper le temps perdu. Blessé à la jambe fin-décembre et de retour sur les parquets depuis le début de la semaine, Yao Ming n'a pas traîné pour faire parler de lui. Si ses deux première sorties, à Cleveland, puis à Boston, avaient été discrètes, le géant chinois a frappé fort pour ses retrouvailles avec le Toyota Center de Houston: en moins de 30 minutes, Ming a en effet compilé 24 points et 13 rebonds et ainsi permis aux Rockets d'étriller les Nets 112-91. L'intérieur texan n'a toutefois pas été le seul à briller puisque son comparse Tracy McGrady a même été le joueur le plus prolifique de la nuit avec 34 points à 11 sur 25 au compteur.
Derrière, à noter les 31 points d'Andre Iguodala face aux Lakers, le nouveau AI remportant son duel face à Kobe Bryant, bloqué à 30 points, et les Sixers l'emportant 108-92, et les mêmes 31 points d'Al Jefferson lors du succès des Celtics sur les Sonics 118-103.
www.sports.fr
L'hibernation du Shaq est bel et bien terminée. En atteste le nouveau récital offert par l'intérieur floridien, cette fois face aux Wolves: auteur de 32 points à 13 sur 16, Shaquille O'Neal a en effet porté les siens vers un cinquième succès de rang, 105-91. Soirée faste pour les intérieurs grand format puisque Yao Ming y a été de 24 points et 13 rebonds face à des Nets châtiés 112-91. Enfin, côté français, seul Boris Diaw a terminé la soirée avec le sourire, ses 14 points et 9 rebonds participant au succès étriqué des Suns sur les Hornets 104-103.
Le match
A en croire Shaquille O'Neal, le basket, c'est comme le vélo: ça ne s'oublie pas. C'est tout du moins ainsi que l'intérieur floridien expliquait cette nouvelle démonstration de force offerte face aux Wolves. «Une fois que vous avez appris à faire quelque chose sur un terrain, vous ne le perdez pas. A moins de mourir.» lançait-il ainsi, la cinquième victoire consécutive de ses troupes entérinée. Et à le voir enchaîner bras roulés, tirs en crochet et dunks, l'ancien Laker est plus vivant que jamais.
A tel point que Shaq s'est offert face aux Wolves un nouveau record de points pour la saison. Après s'être mis sur son 31 le week-end dernier pour le choc face aux Pistons ou avoir fait dans l'éclectisme l'avant-veille face aux Bulls avec 24 points, 9 rebonds et 8 passes, l'intérieur floridien a en effet remis le couvert en compilant 32 points et 9 rebonds. Une performance de choix marquée du sceau de l'efficacité puisque Shaquille O'Neal a rendu un réussi 13 sur 16 aux tirs faisant oublier son 6 sur 11 sur la ligne des lancers ou ses six pertes de balle. "Shaq a été incroyable ce soir, reconnaissait d'ailleurs son entraîneur Pat Riley, soulignant il semble être en meilleure forme que jamais et avec plus d'appétit, et pour être honnête, plus d'humilité. Faire ces choses, soir après soir, alors que beaucoup ont douté de lui en dit long sur son envie et sur son talent."
Et ses adversaires d'abonder dans le sens de Pat Riley. A l'image d'un Kevin Garnett, certes auteur de 23 points et 11 rebonds, mais incapable d'enrayer la machine O'Neal: «on ne peut pas lutter quand il est dans de telles dispositions.» Qui plus est lorsque ses lieutenants Eddie Jones et Jason Williams ont décidé de faire oublier l'absence de Dwyane Wade. Avec respectivement 15 points-11 rebonds et 20 points à 9 sur 13 aux tirs, les deux hommes ont en effet dans le ton de la soirée, le Heat terminant la rencontre avec un impressionnant 58% de réussite collective!
De quoi expliquer le match à sens unique, Miami remportant les quatre quart-temps et creusant l'écart au fil de la rencontre grâce, également, au soutien des seconds rôles, Alonzo Mourning et James Posey en tête avec 14 points pour le premier, en 12 minutes, et 10 points pour le second. C'en était évidemment bien trop pour les Wolves puisqu'aux côtés de KG, seuls Ricky Davis, 21 points, et Mark Blount, 17, pouvaient rivaliser en attaque. Défaits lors de sept de leurs derniers matches, les Wolves accusent le coup dans la course à la huitième place de la conférence ouest, avec désormais deux matches de retard sur les Clippers. A l'inverse, le Heat n'est plus qu'à deux matches et demi des Wizards pour le trône le la Division Southeast.
Les Français
Les temps sont durs pour les représentants tricolores outre-Atlantique. Si leurs deux leaders Tony Parker et Boris Diaw semblent en avoir terminé avec leurs blessures, l'un à la hanche, l'autre au dos, le reste de la colonie est en effet bien plus à la peine.
Tout d'abord, au rayon infirmerie, c'est ainsi Ronny Turiaf et Mickael Pietrus qui ont pris le relais, le premier pour, à son tour, des douleurs dorsales, le second pour une vilaine grippe le clouant au lit. De quoi expliquer leurs absences lors des rencontres respectives de leurs équipes: un déplacement à Philadelphie pour les Lakers, avec un revers 108-92 à la clé, le cinquième de rang, et la réception des Clippers pour les Warriors, ces-derniers signant à l'inverse une troisième victoire à la suite, 99-89.
Pour ce qui est de l'absence de Yakhouba Diawara lors du match disputé par ses Nuggets face aux Pistons, il ne s'agit en revanche que d'un choix de l'entraîneur, George Karl s'essayant à de nouvelles formules pour relancer la franchise du Colorado. Tactique perdante puisque Denver, dévoré par la pression défensive des visiteurs, s'est incliné 82-95. Il en est de même pour expliquer la maigre minute à laquelle à eu droit Mickael Gelabale à Boston, ses Sonics s'y abîmant 118-103 et Johan Petro n'étant guère plus gâté avec sept minutes de jeu pour 4 points à 2 sur 2, 1 rebond et... 4 fautes.
Aussi faut-il se tourner vers le taulier Boris Diaw pour trouver trace d'un Frenchie à la fête. Non seulement, ses Suns l'ont emporté, certes non sans frayeur puisque les Hornets ont lutté jusqu'au bout pour ne céder finalement que 104-103, mais l'ancien Palois a également activement participé à ce qui constitue la neuvième victoire de Phoenix sur les dix derniers matches. Avec 14 points à 6 sur 13 aux tirs, 9 rebonds et 5 passes, le capitaine tricolore en a même signé l'un de ses meilleurs matches depuis le début de l'année!
Le joueur
Si Shaquille O'Neal n'en finit plus de briller depuis deux semaines, un autre intérieur, format XXXL entend bien rattraper le temps perdu. Blessé à la jambe fin-décembre et de retour sur les parquets depuis le début de la semaine, Yao Ming n'a pas traîné pour faire parler de lui. Si ses deux première sorties, à Cleveland, puis à Boston, avaient été discrètes, le géant chinois a frappé fort pour ses retrouvailles avec le Toyota Center de Houston: en moins de 30 minutes, Ming a en effet compilé 24 points et 13 rebonds et ainsi permis aux Rockets d'étriller les Nets 112-91. L'intérieur texan n'a toutefois pas été le seul à briller puisque son comparse Tracy McGrady a même été le joueur le plus prolifique de la nuit avec 34 points à 11 sur 25 au compteur.
Derrière, à noter les 31 points d'Andre Iguodala face aux Lakers, le nouveau AI remportant son duel face à Kobe Bryant, bloqué à 30 points, et les Sixers l'emportant 108-92, et les mêmes 31 points d'Al Jefferson lors du succès des Celtics sur les Sonics 118-103.
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Quelle fin de match entre les Wizards et les Knicks ! :shock: Vraiment intéressante à voir jouer cette équipe des Knicks, capable de tout ...
Les Knicks sont menés de 3pts, 88-85, il reste 23 secondes à jouer. Marbury tente à 3pts et rate, mais Jared Jeffries prend le rebond et passe à Steve Francis qui pénètre et marque avec la faute à 7sec du buzzer ! 88-87 donc, mais Steve Francis, le shooteur le plus adroit aux LF de la ligue cette saison rate sa tentative ... c'est donc quasiment mort pour les Knicks. Washington prend le rebond, un Knick fait la faute et envoi Andrey Blatche (je crois) sur la ligne. Il marque le 2ème. 89-87 et 4sec à jouer, mais tout le terrain à remonter car les Knicks n'ont plus de temps mort.
Steve Francis s'empart de la balle, remonte le terrain à toutes enjambées, et à 1m de la ligne à 3pts il s'élève, toujours en avancant, donc super dur à rentrer comme shoot, avec une main devant lui (Butler je crois), il envoi un espèce de saucisson tout plat qui fait ... filoche au buzzer. Victoire des Knicks 90-89.
Les Knicks sont menés de 3pts, 88-85, il reste 23 secondes à jouer. Marbury tente à 3pts et rate, mais Jared Jeffries prend le rebond et passe à Steve Francis qui pénètre et marque avec la faute à 7sec du buzzer ! 88-87 donc, mais Steve Francis, le shooteur le plus adroit aux LF de la ligue cette saison rate sa tentative ... c'est donc quasiment mort pour les Knicks. Washington prend le rebond, un Knick fait la faute et envoi Andrey Blatche (je crois) sur la ligne. Il marque le 2ème. 89-87 et 4sec à jouer, mais tout le terrain à remonter car les Knicks n'ont plus de temps mort.
Steve Francis s'empart de la balle, remonte le terrain à toutes enjambées, et à 1m de la ligne à 3pts il s'élève, toujours en avancant, donc super dur à rentrer comme shoot, avec une main devant lui (Butler je crois), il envoi un espèce de saucisson tout plat qui fait ... filoche au buzzer. Victoire des Knicks 90-89.
Les Spurs à la douzaine
Les Spurs sont décidément en verve. Et ce n'est pas une formation des Nets en déconfiture qui pouvait interrompre leur série victorieuse: faciles vainqueurs 93-77 avec 19 points de Tony Parker, les Texans en sont ainsi à 12 succès de rang. Les cadors se portent bien puisque les Jazz ont, eux, défait les Hornets pour une sixième victoire à la suite tandis qu'à l'est, les Cavaliers l'ont emporté chez les Bucks ">92-94 avec 32 points de LeBron James. Enfin, tombeurs 89-90 des Wizards, les Knicks font leur retour dans le grand huit de la conférence est.
Le match
Invité à expliquer la série victorieuse de ses Spurs à l'issue du nouveau succès enregistré face aux Nets, Manu Ginobili était bien en peine pour trouver une raison évidente. «C'est difficile à dire, reconnaissait l'Argentin, défensivement, on est bien mieux qu'il y a quelques semaines, on est moins irréguliers. Mais c'est surtout une question de confiance: on met les tirs importants quand il le faut.» Et le champion olympique de savoir de quoi il en retourne puisque c'est grâce à son art consommé pour les fins de match en fanfare que les Texans l'avaient emporté l'avant-veille à Sacramento ou, mardi, à Portland.
Cette fois, pour leur retour à l'ATT Center après une rapide tournée sur la côte pacifique, les hommes de Gregg Popovich n'ont pas eu besoin d'un final renversant pour signer cette douzième victoire collective. Un collectif bien en place, aussi bien offensivement que défensivement, a en effet eu raison à l'usure des banlieusards new yorkais, les hôtes de la soirée enlevant même les quatre quart-temps pour attester de leur domination. Si Vince Carter a bien essayé d'entretenir l'illusion avec ses 17 points à 7 sur 18, si Mikki Moore a confirmé ses bonnes dispositions du moment (20 points inscrits dans la semaine face aux Mavs) avec ses 14 points et 7 rebonds, il en aurait fallu bien plus pour rivaliser avec leurs bourreaux des Finales 2003. D'autant que Jason Kid et Richard Jefferson étaient en panne d'adresse avec respectivement un 3 sur 11 et un 3 sur 10 aux tirs.
A l'inverse, le Big Three texan était vu à son avantage, Tony Parker menant la danse avec 19 points à 8 sur 14 aux tirs, Tim Duncan signant son classique double-double avec 17 points et 13 rebonds et Manu Ginobili suivant avec 12 points malgré une réussite erratique. Et si les Nets étaient furtivement passé en tête à deux minutes de la pause, les trois hommes combinaient pour terminer la première moitié sur un 10-0 et sceller, peu ou proue, le sort de la rencontre.
Les Français
Service minimal pour les Bleus d'Amérique. Seul Tony Parker était en effet sur le pont ce samedi. Une sortie réussie, donc, pour l'ancien Parisien puisque avec ses 19 points à 8 sur 14 aux tirs, ses 6 passes et ses 4 rebonds en 31 minutes, le Français a bien été l'un des premiers artisans de la nouvelle victoire texane.
De quoi inspirer ses compatriotes programmés ce dimanche: Mickael gelabale et Johan Petro avec les Sonics à Toronto ou Yakhouba Diawara avec les Nuggets à Sacramento. Souffrant du dos, l'intérieur des Lakers Ronny Turiaf sera, lui, absent du choc face au Mavericks au Staples Center tandis que Mickael Pietrus, grippé, est, lui, incertain pour le déplacement à Portland.
Les joueurs
Vainqueurs sur le fil des Bucks 92-94, les Cavaliers ont évidemment pu compter sur leur maître à bien jouer LeBron James pour signer un succès qui conforte leur statut de dauphin de la conférence est en terme de bilan. Le prodige de l'Ohio a en effet signé une nouvelle performance de choix, flirtant même avec le triple-double, en rendant 32 points, 8 rebonds et 9 passes. Et King James d'avoir été doublement décisif puisque c'est lui qui a délivré l'offrande décisive à Anderson Varejao pour le layup de la victoire. Michael Redd a bien eu l'occasion d'envoyer les deux équipes en prolongation, mais son tir de la dernière chance est resté trop court et l'artificier des Bucks en est resté à 29 points.
A l'inverse, Steve Francis, en visite avec les Knicks à Washington, a, lui, eu la main chaude jusqu'au bout. Car non seulement l'ancien du Maryland a profité du soutien de dizaines de ses anciens camarades de fac ou de sa grand-mère pour signer l'un de ses meilleurs matches de l'année avec 26 points à 8 sur 19 aux tirs et 7 rebonds, mais c'est bien lui qui a inscrit le tir primé de la victoire à la dernière seconde, les Knicks s'imposant sur le fil 89-90 grâce à cette banderille primée. Et la soirée a été d'autant plus faste pour les hommes de Big Apple que cette victoire, aidée par les 19 points d'Eddy Curry, combinée à la défaite des Nets chez les Spurs permet également aux New Yorkais de rejoindre le Magic à la huitième place de la conférence est et de croire plus que jamais aux playoffs!
Des playoffs qui s'éloignent, à l'ouest, pour les Wolves. Défaits 99-93 à Atlanta, les Wolves ont en effet concédé une huitième défaite en dix matches et pointent désormais à la douzième place de la conférence à certes, seulement, deux matches et demi du top 8. Kevin Garnett y a beau avoir été de ses 32 points et 11 rebonds, la vedette de Minneapolis a trouvé à qui parler avec un Josh Smith en état de grâce puisque auteur de son meilleur total en carrière avec 32 points à 12 sur 15 aux tirs! Zaza Pachulia a, lui, compilé 16 points et 15 rebonds.
La statistique
Rien ne va plus dans l'Indiana. En atteste la huitième défaite de rang concédée par les Pacers à l'occasion de la réception des Sixers. Emmenés par les 25 points d'Andre Iguodala, les 18 de Willie Green et les 16 d'Andre Miller, les 76ers ont signé un réussi 51% d'adresse collective pour s'imposer 96-100. En l'absence de Jermaine O'Neal, toujours sur le flanc à cause d'un genou souffreteux, Danny Granger et Troy Murphy ont inscrit 18 points chacun en vain, Mike Dunleavy et Ike Diogu suivant avec 17 points. Cette série noire oblige, la plus longue de l'histoire de la franchise depuis 1989, les Pacers sont désormais sous la menace des Knicks et du Magic dans la course aux playoffs, avec un maigre match d'avance.
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Les Spurs sont décidément en verve. Et ce n'est pas une formation des Nets en déconfiture qui pouvait interrompre leur série victorieuse: faciles vainqueurs 93-77 avec 19 points de Tony Parker, les Texans en sont ainsi à 12 succès de rang. Les cadors se portent bien puisque les Jazz ont, eux, défait les Hornets pour une sixième victoire à la suite tandis qu'à l'est, les Cavaliers l'ont emporté chez les Bucks ">92-94 avec 32 points de LeBron James. Enfin, tombeurs 89-90 des Wizards, les Knicks font leur retour dans le grand huit de la conférence est.
Le match
Invité à expliquer la série victorieuse de ses Spurs à l'issue du nouveau succès enregistré face aux Nets, Manu Ginobili était bien en peine pour trouver une raison évidente. «C'est difficile à dire, reconnaissait l'Argentin, défensivement, on est bien mieux qu'il y a quelques semaines, on est moins irréguliers. Mais c'est surtout une question de confiance: on met les tirs importants quand il le faut.» Et le champion olympique de savoir de quoi il en retourne puisque c'est grâce à son art consommé pour les fins de match en fanfare que les Texans l'avaient emporté l'avant-veille à Sacramento ou, mardi, à Portland.
Cette fois, pour leur retour à l'ATT Center après une rapide tournée sur la côte pacifique, les hommes de Gregg Popovich n'ont pas eu besoin d'un final renversant pour signer cette douzième victoire collective. Un collectif bien en place, aussi bien offensivement que défensivement, a en effet eu raison à l'usure des banlieusards new yorkais, les hôtes de la soirée enlevant même les quatre quart-temps pour attester de leur domination. Si Vince Carter a bien essayé d'entretenir l'illusion avec ses 17 points à 7 sur 18, si Mikki Moore a confirmé ses bonnes dispositions du moment (20 points inscrits dans la semaine face aux Mavs) avec ses 14 points et 7 rebonds, il en aurait fallu bien plus pour rivaliser avec leurs bourreaux des Finales 2003. D'autant que Jason Kid et Richard Jefferson étaient en panne d'adresse avec respectivement un 3 sur 11 et un 3 sur 10 aux tirs.
A l'inverse, le Big Three texan était vu à son avantage, Tony Parker menant la danse avec 19 points à 8 sur 14 aux tirs, Tim Duncan signant son classique double-double avec 17 points et 13 rebonds et Manu Ginobili suivant avec 12 points malgré une réussite erratique. Et si les Nets étaient furtivement passé en tête à deux minutes de la pause, les trois hommes combinaient pour terminer la première moitié sur un 10-0 et sceller, peu ou proue, le sort de la rencontre.
Les Français
Service minimal pour les Bleus d'Amérique. Seul Tony Parker était en effet sur le pont ce samedi. Une sortie réussie, donc, pour l'ancien Parisien puisque avec ses 19 points à 8 sur 14 aux tirs, ses 6 passes et ses 4 rebonds en 31 minutes, le Français a bien été l'un des premiers artisans de la nouvelle victoire texane.
De quoi inspirer ses compatriotes programmés ce dimanche: Mickael gelabale et Johan Petro avec les Sonics à Toronto ou Yakhouba Diawara avec les Nuggets à Sacramento. Souffrant du dos, l'intérieur des Lakers Ronny Turiaf sera, lui, absent du choc face au Mavericks au Staples Center tandis que Mickael Pietrus, grippé, est, lui, incertain pour le déplacement à Portland.
Les joueurs
Vainqueurs sur le fil des Bucks 92-94, les Cavaliers ont évidemment pu compter sur leur maître à bien jouer LeBron James pour signer un succès qui conforte leur statut de dauphin de la conférence est en terme de bilan. Le prodige de l'Ohio a en effet signé une nouvelle performance de choix, flirtant même avec le triple-double, en rendant 32 points, 8 rebonds et 9 passes. Et King James d'avoir été doublement décisif puisque c'est lui qui a délivré l'offrande décisive à Anderson Varejao pour le layup de la victoire. Michael Redd a bien eu l'occasion d'envoyer les deux équipes en prolongation, mais son tir de la dernière chance est resté trop court et l'artificier des Bucks en est resté à 29 points.
A l'inverse, Steve Francis, en visite avec les Knicks à Washington, a, lui, eu la main chaude jusqu'au bout. Car non seulement l'ancien du Maryland a profité du soutien de dizaines de ses anciens camarades de fac ou de sa grand-mère pour signer l'un de ses meilleurs matches de l'année avec 26 points à 8 sur 19 aux tirs et 7 rebonds, mais c'est bien lui qui a inscrit le tir primé de la victoire à la dernière seconde, les Knicks s'imposant sur le fil 89-90 grâce à cette banderille primée. Et la soirée a été d'autant plus faste pour les hommes de Big Apple que cette victoire, aidée par les 19 points d'Eddy Curry, combinée à la défaite des Nets chez les Spurs permet également aux New Yorkais de rejoindre le Magic à la huitième place de la conférence est et de croire plus que jamais aux playoffs!
Des playoffs qui s'éloignent, à l'ouest, pour les Wolves. Défaits 99-93 à Atlanta, les Wolves ont en effet concédé une huitième défaite en dix matches et pointent désormais à la douzième place de la conférence à certes, seulement, deux matches et demi du top 8. Kevin Garnett y a beau avoir été de ses 32 points et 11 rebonds, la vedette de Minneapolis a trouvé à qui parler avec un Josh Smith en état de grâce puisque auteur de son meilleur total en carrière avec 32 points à 12 sur 15 aux tirs! Zaza Pachulia a, lui, compilé 16 points et 15 rebonds.
La statistique
Rien ne va plus dans l'Indiana. En atteste la huitième défaite de rang concédée par les Pacers à l'occasion de la réception des Sixers. Emmenés par les 25 points d'Andre Iguodala, les 18 de Willie Green et les 16 d'Andre Miller, les 76ers ont signé un réussi 51% d'adresse collective pour s'imposer 96-100. En l'absence de Jermaine O'Neal, toujours sur le flanc à cause d'un genou souffreteux, Danny Granger et Troy Murphy ont inscrit 18 points chacun en vain, Mike Dunleavy et Ike Diogu suivant avec 17 points. Cette série noire oblige, la plus longue de l'histoire de la franchise depuis 1989, les Pacers sont désormais sous la menace des Knicks et du Magic dans la course aux playoffs, avec un maigre match d'avance.
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Tous les résultats du WE basket dans la Loire :
http://zoom42.fr/actu/ACT_detail.asp?strId=8399
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La march madness qui avait vu Joakim Noah remporté le titre NCAA il y a un an va débuter jeudi !
Un an après, les Gators de Joakim Noah sont encore au top, pour preuve, ils ont été selectionné parmi les 4 meilleures équipes du tournoi faisant figure de favoris( et ne pouvant pas se rencontrer par conséquent avant le final four).
Ils viennent tout juste de remporter le tournoi de leur conférence (SEC) avec près de 20pts d'écart sur leurs adversaires, après avoir souffert en fin de saison (3 défaites lors des 5 derniers matchs), mais leur bilan reste excellent avec 29 victoires et 5 défaites sur l'ensemble de la saison (et notamment une victoire probante face à Ohio State, une autre tête de série du tournoi).
De plus on se souvient qu'il y a un an l'air du mois de mars avait donné des ailes aux Gators de Florida pour survoler le tournoi final. Et les Gators éspèrent bien retrouver ce "momentum" qui pourrait le permettre de glaner un second titre NCAA consécutifs, fait inédit depuis 91-92 avec Duke. Et Joakim Noah, ciblé par les défenses tout au long de la saison espère bien exploser une nouvelle fois au bon moment. D'ailleurs lors du dernier match, la finale du tournoi SEC, il a fait valoir toutes ses qualités (17pts 8rbds 4ast 5stl 4blk).
Du côté francais, on peut aussi noter la présence de Boris Meno, joueur des Davidson Wildcats, qui ont survolé cette saison leur conférence assez faible et devront affronter Maryland dès le premier tour, pas une mince affaire, mais Davidson fait partie des équipes possibles pour être le "cendrillon" de cette édition 2007 (on se souvient du formidable parcours de George Mason qui avait atteint le final four l'an passé !).
Cette édition risque de nous reserver encore bien des surprises. Et pour voir tout ça (en tout ca les 3 premiers tours) vous pouvez vous inscrire ici :
http://www.ncaasports.com/mmod/welcome
C'est gratuit, et vous pourrez voir, en live ou en différé, TOUS les matchs des 3 premiers tour du tournoi.
Un an après, les Gators de Joakim Noah sont encore au top, pour preuve, ils ont été selectionné parmi les 4 meilleures équipes du tournoi faisant figure de favoris( et ne pouvant pas se rencontrer par conséquent avant le final four).
Ils viennent tout juste de remporter le tournoi de leur conférence (SEC) avec près de 20pts d'écart sur leurs adversaires, après avoir souffert en fin de saison (3 défaites lors des 5 derniers matchs), mais leur bilan reste excellent avec 29 victoires et 5 défaites sur l'ensemble de la saison (et notamment une victoire probante face à Ohio State, une autre tête de série du tournoi).
De plus on se souvient qu'il y a un an l'air du mois de mars avait donné des ailes aux Gators de Florida pour survoler le tournoi final. Et les Gators éspèrent bien retrouver ce "momentum" qui pourrait le permettre de glaner un second titre NCAA consécutifs, fait inédit depuis 91-92 avec Duke. Et Joakim Noah, ciblé par les défenses tout au long de la saison espère bien exploser une nouvelle fois au bon moment. D'ailleurs lors du dernier match, la finale du tournoi SEC, il a fait valoir toutes ses qualités (17pts 8rbds 4ast 5stl 4blk).
Du côté francais, on peut aussi noter la présence de Boris Meno, joueur des Davidson Wildcats, qui ont survolé cette saison leur conférence assez faible et devront affronter Maryland dès le premier tour, pas une mince affaire, mais Davidson fait partie des équipes possibles pour être le "cendrillon" de cette édition 2007 (on se souvient du formidable parcours de George Mason qui avait atteint le final four l'an passé !).
Cette édition risque de nous reserver encore bien des surprises. Et pour voir tout ça (en tout ca les 3 premiers tours) vous pouvez vous inscrire ici :
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C'est gratuit, et vous pourrez voir, en live ou en différé, TOUS les matchs des 3 premiers tour du tournoi.
Pietrus se paie Dallas!
Auteur d'une historique série de 17 victoires consécutives, les Mavs ont connu un coup d'arrêt des plus brutal en s'inclinant chez les Warriors. Lâché par Dirk Nowitzki et Josh Howard, limités à 13 et 11 points, Dallas a en effet sombré 117-100, victime du collectif californien avec six joueurs à plus de dix points parmi lesquels Mickael Pietrus a été le plus productif avec 20 points et 6 rebonds. Soirée réussie pour les Bleus puisque Boris Diaw a signé 15 points lors du succès 103-82 des Suns sur les Rockets. A l'est, aux Nets la belle affaire de la nuit...
Le match
Démentiel calendrier de la Ligue oblige, l'adage voulant que les jours se suivent mais ne se ressemblent pas est vérifié plus souvent qu'à son tour sur les parquets NBA. La confrontation entre des Warriors, victimes d'un coup de froid hivernal risquant de les priver une nouvelle fois de printemps, et des Mavericks, intraitables leaders, en a offert une nouvelle illustration. Alors que dimanche, les premiers avaient sombré 106-87 chez des Blazers, pourtant cancres notoires de la côte pacifique, les seconds avaient en effet offert un nouveau cours magistral, laminant les Lakers au Staples Center 72-108 pour s'offrir un 17e succès consécutif. Aussi, c'est peu dire que les Texans débarquaient à Oakland avec l'étiquette de favoris. Pourtant, la rencontre du lundi a bel et bien donné lieu à une démonstration, mais cette fois avec les Californiens dans le rôle des professeurs et les Texans dans celui des élèves...
Car si le premier quart a été équilibré, les hôtes de la soirée paraissant alors déjà bien décidé à imprimé un rythme effréné en attaque, comme en atteste le 8-0 passé pour débuter la rencontre, la suite des débats a été peu ou proue à sens unique, les doublures texanes profitant tout juste du garbage-time pour sauver quelques apparences. Passés devant pour de bon lors du deuxième acte, au point de s'être octroyés 13 longueurs d'avance à la pause, les Warriors ont si bien maintenu pression défensive et tempo offensif au retour des vestiaires qu'ils ont en effet compté jusqu'à 31 points d'avance à l'entame du dernier acte ! Du jamais vu pour les Mavericks cette année...
Alors que chez les Texans, malgré l'apport de Jason Terry, meilleur marqueur des siens avec 16 unités au compteur, personne n'a jamais semblé en mesure de prendre le relais des habituels leaders Dirk Nowitzki et Josh Howard, défaillants pour le coup avec notamment un 3 sur 11 aux tirs et 7 pertes de balle pour l'Allemand que ne sauraient masquer 13 points et 9 rebonds compilés, et 11 maigres points à 5 sur 11 pour le second, les Warriors ont en revanche signé un chef-d'oeuvre collectif. A croire que Don Nelson, un ancien de la maison Mavericks et mentor de son vis à vis Avery Johnson, sait trouver les mots particulièrement justes dès qu'il s'agit de croiser la route des Texans puisque les troupes d'Oakland en sont à quatre succès à la suite face à Dallas ! Une gageure tant les Mavs dominent la Ligue cette saison.
www.sports.fr
Auteur d'une historique série de 17 victoires consécutives, les Mavs ont connu un coup d'arrêt des plus brutal en s'inclinant chez les Warriors. Lâché par Dirk Nowitzki et Josh Howard, limités à 13 et 11 points, Dallas a en effet sombré 117-100, victime du collectif californien avec six joueurs à plus de dix points parmi lesquels Mickael Pietrus a été le plus productif avec 20 points et 6 rebonds. Soirée réussie pour les Bleus puisque Boris Diaw a signé 15 points lors du succès 103-82 des Suns sur les Rockets. A l'est, aux Nets la belle affaire de la nuit...
Le match
Démentiel calendrier de la Ligue oblige, l'adage voulant que les jours se suivent mais ne se ressemblent pas est vérifié plus souvent qu'à son tour sur les parquets NBA. La confrontation entre des Warriors, victimes d'un coup de froid hivernal risquant de les priver une nouvelle fois de printemps, et des Mavericks, intraitables leaders, en a offert une nouvelle illustration. Alors que dimanche, les premiers avaient sombré 106-87 chez des Blazers, pourtant cancres notoires de la côte pacifique, les seconds avaient en effet offert un nouveau cours magistral, laminant les Lakers au Staples Center 72-108 pour s'offrir un 17e succès consécutif. Aussi, c'est peu dire que les Texans débarquaient à Oakland avec l'étiquette de favoris. Pourtant, la rencontre du lundi a bel et bien donné lieu à une démonstration, mais cette fois avec les Californiens dans le rôle des professeurs et les Texans dans celui des élèves...
Car si le premier quart a été équilibré, les hôtes de la soirée paraissant alors déjà bien décidé à imprimé un rythme effréné en attaque, comme en atteste le 8-0 passé pour débuter la rencontre, la suite des débats a été peu ou proue à sens unique, les doublures texanes profitant tout juste du garbage-time pour sauver quelques apparences. Passés devant pour de bon lors du deuxième acte, au point de s'être octroyés 13 longueurs d'avance à la pause, les Warriors ont si bien maintenu pression défensive et tempo offensif au retour des vestiaires qu'ils ont en effet compté jusqu'à 31 points d'avance à l'entame du dernier acte ! Du jamais vu pour les Mavericks cette année...
Alors que chez les Texans, malgré l'apport de Jason Terry, meilleur marqueur des siens avec 16 unités au compteur, personne n'a jamais semblé en mesure de prendre le relais des habituels leaders Dirk Nowitzki et Josh Howard, défaillants pour le coup avec notamment un 3 sur 11 aux tirs et 7 pertes de balle pour l'Allemand que ne sauraient masquer 13 points et 9 rebonds compilés, et 11 maigres points à 5 sur 11 pour le second, les Warriors ont en revanche signé un chef-d'oeuvre collectif. A croire que Don Nelson, un ancien de la maison Mavericks et mentor de son vis à vis Avery Johnson, sait trouver les mots particulièrement justes dès qu'il s'agit de croiser la route des Texans puisque les troupes d'Oakland en sont à quatre succès à la suite face à Dallas ! Une gageure tant les Mavs dominent la Ligue cette saison.
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Parker montre la voie
Forts d'un Big Three une nouvelle fois bien inspiré, Tony Parker menant la danse avec 25 points tandis que Tim Duncan et Manu Ginobili suivaient avec 19 et 16 points, les Spurs ont conforté leur statut d'équipe la plus intraitable du moment, disposant des Clippers 93-84 pour décrocher une 13 victoire consécutive. A l'est, c'est Miami qui tient le beau rôle comme en atteste leur succès, le septième de rang, 88-86 sur les Jazz, Cleveland et Detroit n'étant pas en reste après s'être imposés 97-101 à Seattle et 121-100 face à Sacramento.
Le match
Les Mavs défaits la veille chez les Warriors, les Spurs sont bien désormais l'équipe la plus chaude du moment avec donc leurs 13 victoires consécutives. Mais à en croire les premiers intéressés, il n'est pas question pour Tim Duncan et consorts d'en rester là. Le double MVP d'expliquer ainsi après le succès décroché face aux Clippers: «Il y a 13 matches de cela, on n'a jamais prétendu qu'il nous fallait une telle série pour retrouver notre collectif. Tout ce qu'on veut, c'est être meilleur en tant qu'équipe, jouer comme on sait le faire afin d'être prêt pour les playoffs, sentir qu'on peut gagner soir après soir. Aussi, doit- continuer sur cette lancée, viser les 14 puis les 15 victoires, juste vouloir gagner le match suivant.» Bucks et Celtics, au programme des Spurs cette semaine, sont prévenus...
Il leur faudra se montrer bien plus agressif que ne l'ont été les Clippers ce mardi à l'ATT Center. En attestent les sept maigres lancers-francs tentés par les Californiens, les hommes de Gregg Popovich faisant une fois n'est pas coutume la différence sur la ligne puisque le 18 sur 23 rendu dans l'exercice a compensé les effets d'une meilleure adresse des visiteurs, auteurs d'un 49% contre 47 pour les Texans. Tony Parker y a montré le bon exemple, son 9 sur 12 aux lancers, couplé à un solide 8 sur 16 dans le champ, lui valant en effet de terminer meilleur marqueur avec 25 points au compteur. Ajoutez-y 22 points inscrits grâce aux 13 pertes de balle coupables des Clippers et le compte de l'autre franchise de L.A. était bon.
Entre un Tim Ducan, égal à lui-même avec ses 19 points et 9 rebonds, et un Manu Ginobili, efficace avec 16 points à 5 sur 8 aux tirs et 7 rebonds, il n'y avait guère de place pour les Clippers à moins de livrer un match plein. Corey Maggette, 17 points-9 rebonds, et Elton Brand, 16 points-10 rebonds, ont bien essayé d'entretenir l'espoir grâce à une belle activité sous les panneaux mais leurs efforts ont été bien insuffisants, les Clippers ne rivalisant que le temps d'un premier écart équilibré. Une flambée de Tim Ducan, une autre de Tony parker, auteur de six points au cours de l'ultime minute avant le passage aux vestiaires, et les Texans étaient devant pour de bon avec dix longueurs d'avance. C'en était trop face à ces Spurs décidément régénérés depuis la coupure du All-Star Game !
Les Français
Euphoriques la veille grâce au tandem made in Béarn Mickael Pietrus-Boris Diaw, la colonie tricolore a cette fois donc pu compter sur son leader Tony Parker pour briller. Auteur de 25 points à 8 sur 16, agrémentés de 5 rebonds et 4 passes, l'ancien Parisien a en effet été le premier artisan du succès des Clippers. Pour le reste, les trois autres Tricolores en action n'ont fait que confirmer la tendance des derniers jours: face aux Pistons, vainqueurs 97-101 à la Key Arena, Mickael Gelabale n'a eu droit qu'à des miettes avec trois minutes de jeu pour un 0 sur 2 aux tirs et Johan Petro a profité de son temps de jeu, 26 minutes, pour se montrer aussi productif que ce week-end avec 10 points à 5 sur 6 aux tirs, 9 rebonds et 3 passes. Quant à Yakhouba Diawara, boudé par son entraîneur George Karl, c'est du banc qu'il a suivi la victoire des siens sur les Blazers 107-99.
La statistique
Indiana est au plus mal. Défaits 86-81 chez les Wolves, les Pacers en sont en effet désormais à dix défaites consécutives, série noire que n'avait plus connue la franchise depuis 18 saisons! De quoi se retrouver en passe d'être boutés hors du grand huit de la conférence est, les Nets, vainqueurs des Hornets, leur étant passés devant et les Knicks revenus à leur hauteur à la huitième place avec 29 victoires et 34 défaites. Face à Minnesota, les Pacers ont pourtant fait la course en tête, comptant même jusqu'à 14 points d'avance, mais ils ont été victime d'un terrible trou noir dans le dernier quart, y encaissant un 28-14 synonyme de nouvelle défaite. Jamaal Tinsley a eu beau battre son record de points en carrière avec 37 unités à 13 sur 26, agrémentés de 6 rebonds et 6 passes, l'absence de Jermaine O'Neal a une nouvelle fois été trop préjudiciable. En attestent les 30 points et 9 rebonds compilés par Kevin Garnett, les jeunes Randy Foye et Rashard McCants l'épaulant avec 16 et 12 points.
Les joueurs
Si la performance du meneur des Pacers Jamaal Tinsley est restée vaine, ses 37 points records ne suffisant pas à réconcilier Indiana avec la victoire, Allen Iverson, lui aussi auteur d'un véritable récital, a connu plus de succès. Il leur a certes finalement fallu s'employer pour préserver la victoire, et ce face à des Blazers pourtant cancres notoires de la conférence ouest, mais les Nuggets ont bien eu le dernier mot en l'emportant 107-99 après avoir compté 18 longueurs d'avance à la pause. Et si Carmelo Anthony n'a pas été en reste avec ses 29 points et 8 rebonds, la palme de l'éclectisme revient donc à Allen Iverson, auteur de 31 points, 10 passes, 6 rebonds et 5 interceptions pour l'occasion. De quoi permettre aux Nuggets de présenter désormais un bilan à l'équilibre et rester ainsi à l'abri des Clippers ou des Warriors à la lutte pour le dernier strapontin pour les playoffs à l'ouest.
A souligner dans le même genre les 24 points, 8 rebonds et 6 passes compilés par Chris Webber lors du succès de ses Pistons, 97-101 chez les Sonics, ou les 26 points-17 rebonds d'un Josh Smith décidément en verve, ses Hawks en profitant pour s'imposer 104-92 sur les Sixers.
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Forts d'un Big Three une nouvelle fois bien inspiré, Tony Parker menant la danse avec 25 points tandis que Tim Duncan et Manu Ginobili suivaient avec 19 et 16 points, les Spurs ont conforté leur statut d'équipe la plus intraitable du moment, disposant des Clippers 93-84 pour décrocher une 13 victoire consécutive. A l'est, c'est Miami qui tient le beau rôle comme en atteste leur succès, le septième de rang, 88-86 sur les Jazz, Cleveland et Detroit n'étant pas en reste après s'être imposés 97-101 à Seattle et 121-100 face à Sacramento.
Le match
Les Mavs défaits la veille chez les Warriors, les Spurs sont bien désormais l'équipe la plus chaude du moment avec donc leurs 13 victoires consécutives. Mais à en croire les premiers intéressés, il n'est pas question pour Tim Duncan et consorts d'en rester là. Le double MVP d'expliquer ainsi après le succès décroché face aux Clippers: «Il y a 13 matches de cela, on n'a jamais prétendu qu'il nous fallait une telle série pour retrouver notre collectif. Tout ce qu'on veut, c'est être meilleur en tant qu'équipe, jouer comme on sait le faire afin d'être prêt pour les playoffs, sentir qu'on peut gagner soir après soir. Aussi, doit- continuer sur cette lancée, viser les 14 puis les 15 victoires, juste vouloir gagner le match suivant.» Bucks et Celtics, au programme des Spurs cette semaine, sont prévenus...
Il leur faudra se montrer bien plus agressif que ne l'ont été les Clippers ce mardi à l'ATT Center. En attestent les sept maigres lancers-francs tentés par les Californiens, les hommes de Gregg Popovich faisant une fois n'est pas coutume la différence sur la ligne puisque le 18 sur 23 rendu dans l'exercice a compensé les effets d'une meilleure adresse des visiteurs, auteurs d'un 49% contre 47 pour les Texans. Tony Parker y a montré le bon exemple, son 9 sur 12 aux lancers, couplé à un solide 8 sur 16 dans le champ, lui valant en effet de terminer meilleur marqueur avec 25 points au compteur. Ajoutez-y 22 points inscrits grâce aux 13 pertes de balle coupables des Clippers et le compte de l'autre franchise de L.A. était bon.
Entre un Tim Ducan, égal à lui-même avec ses 19 points et 9 rebonds, et un Manu Ginobili, efficace avec 16 points à 5 sur 8 aux tirs et 7 rebonds, il n'y avait guère de place pour les Clippers à moins de livrer un match plein. Corey Maggette, 17 points-9 rebonds, et Elton Brand, 16 points-10 rebonds, ont bien essayé d'entretenir l'espoir grâce à une belle activité sous les panneaux mais leurs efforts ont été bien insuffisants, les Clippers ne rivalisant que le temps d'un premier écart équilibré. Une flambée de Tim Ducan, une autre de Tony parker, auteur de six points au cours de l'ultime minute avant le passage aux vestiaires, et les Texans étaient devant pour de bon avec dix longueurs d'avance. C'en était trop face à ces Spurs décidément régénérés depuis la coupure du All-Star Game !
Les Français
Euphoriques la veille grâce au tandem made in Béarn Mickael Pietrus-Boris Diaw, la colonie tricolore a cette fois donc pu compter sur son leader Tony Parker pour briller. Auteur de 25 points à 8 sur 16, agrémentés de 5 rebonds et 4 passes, l'ancien Parisien a en effet été le premier artisan du succès des Clippers. Pour le reste, les trois autres Tricolores en action n'ont fait que confirmer la tendance des derniers jours: face aux Pistons, vainqueurs 97-101 à la Key Arena, Mickael Gelabale n'a eu droit qu'à des miettes avec trois minutes de jeu pour un 0 sur 2 aux tirs et Johan Petro a profité de son temps de jeu, 26 minutes, pour se montrer aussi productif que ce week-end avec 10 points à 5 sur 6 aux tirs, 9 rebonds et 3 passes. Quant à Yakhouba Diawara, boudé par son entraîneur George Karl, c'est du banc qu'il a suivi la victoire des siens sur les Blazers 107-99.
La statistique
Indiana est au plus mal. Défaits 86-81 chez les Wolves, les Pacers en sont en effet désormais à dix défaites consécutives, série noire que n'avait plus connue la franchise depuis 18 saisons! De quoi se retrouver en passe d'être boutés hors du grand huit de la conférence est, les Nets, vainqueurs des Hornets, leur étant passés devant et les Knicks revenus à leur hauteur à la huitième place avec 29 victoires et 34 défaites. Face à Minnesota, les Pacers ont pourtant fait la course en tête, comptant même jusqu'à 14 points d'avance, mais ils ont été victime d'un terrible trou noir dans le dernier quart, y encaissant un 28-14 synonyme de nouvelle défaite. Jamaal Tinsley a eu beau battre son record de points en carrière avec 37 unités à 13 sur 26, agrémentés de 6 rebonds et 6 passes, l'absence de Jermaine O'Neal a une nouvelle fois été trop préjudiciable. En attestent les 30 points et 9 rebonds compilés par Kevin Garnett, les jeunes Randy Foye et Rashard McCants l'épaulant avec 16 et 12 points.
Les joueurs
Si la performance du meneur des Pacers Jamaal Tinsley est restée vaine, ses 37 points records ne suffisant pas à réconcilier Indiana avec la victoire, Allen Iverson, lui aussi auteur d'un véritable récital, a connu plus de succès. Il leur a certes finalement fallu s'employer pour préserver la victoire, et ce face à des Blazers pourtant cancres notoires de la conférence ouest, mais les Nuggets ont bien eu le dernier mot en l'emportant 107-99 après avoir compté 18 longueurs d'avance à la pause. Et si Carmelo Anthony n'a pas été en reste avec ses 29 points et 8 rebonds, la palme de l'éclectisme revient donc à Allen Iverson, auteur de 31 points, 10 passes, 6 rebonds et 5 interceptions pour l'occasion. De quoi permettre aux Nuggets de présenter désormais un bilan à l'équilibre et rester ainsi à l'abri des Clippers ou des Warriors à la lutte pour le dernier strapontin pour les playoffs à l'ouest.
A souligner dans le même genre les 24 points, 8 rebonds et 6 passes compilés par Chris Webber lors du succès de ses Pistons, 97-101 chez les Sonics, ou les 26 points-17 rebonds d'un Josh Smith décidément en verve, ses Hawks en profitant pour s'imposer 104-92 sur les Sixers.
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Je vous conseille de jeter un oeil aux highlights historiques présent sur le site officiel de la NCAA, au même endroit que pour voir les matchs (à partir de demain soir) :La march madness qui avait vu Joakim Noah remporté le titre NCAA il y a un an va débuter jeudi !
Un an après, les Gators de Joakim Noah sont encore au top, pour preuve, ils ont été selectionné parmi les 4 meilleures équipes du tournoi faisant figure de favoris( et ne pouvant pas se rencontrer par conséquent avant le final four).
Ils viennent tout juste de remporter le tournoi de leur conférence (SEC) avec près de 20pts d'écart sur leurs adversaires, après avoir souffert en fin de saison (3 défaites lors des 5 derniers matchs), mais leur bilan reste excellent avec 29 victoires et 5 défaites sur l'ensemble de la saison (et notamment une victoire probante face à Ohio State, une autre tête de série du tournoi).
De plus on se souvient qu'il y a un an l'air du mois de mars avait donné des ailes aux Gators de Florida pour survoler le tournoi final. Et les Gators éspèrent bien retrouver ce "momentum" qui pourrait le permettre de glaner un second titre NCAA consécutifs, fait inédit depuis 91-92 avec Duke. Et Joakim Noah, ciblé par les défenses tout au long de la saison espère bien exploser une nouvelle fois au bon moment. D'ailleurs lors du dernier match, la finale du tournoi SEC, il a fait valoir toutes ses qualités (17pts 8rbds 4ast 5stl 4blk).
Du côté francais, on peut aussi noter la présence de Boris Meno, joueur des Davidson Wildcats, qui ont survolé cette saison leur conférence assez faible et devront affronter Maryland dès le premier tour, pas une mince affaire, mais Davidson fait partie des équipes possibles pour être le "cendrillon" de cette édition 2007 (on se souvient du formidable parcours de George Mason qui avait atteint le final four l'an passé !).
Cette édition risque de nous reserver encore bien des surprises. Et pour voir tout ça (en tout ca les 3 premiers tours) vous pouvez vous inscrire ici :
http://www.ncaasports.com/mmod/welcome
C'est gratuit, et vous pourrez voir, en live ou en différé, TOUS les matchs des 3 premiers tour du tournoi
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Y'en a quelques uns qui filent des frissons
Une fois que vous aurez ouvert le pop-up ou on voit la vidéo vous pourrez remarquer le petit icone "boss button" pour cacher le lecteur pour ceux qui sont au boulot :lol: parce que là-bas c'est un évènement incontournable pour tout ceux qui ont fréquenté ces universités et soutiennent avec ardeur leurs couleurs. Même bien des années après. (oui oui j'aime bien m'auto-quoter et poster tout seul depuis 4 jours)
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Les premiers résultats de la Marsh Madness:
Midwest
Maryland (4) - Davidson (13) 82-70
9 pts, 9 rebonds pour le français Boris Meno qui jouait à Davidson.
Il avait 11 pts 8.1 rebonds en 26 minutes sur l'année.
East
Boston College (7) - Texas Tech (10) 84-75
Kaba Daye le français n'a pas joué.
C'est un Freshman qui a joué 2,4 min par match pour 1,3 pts et 0,3 rebonds et 0,2 passes lors de la saison.
South
Louisville (6) - Stanford (11) 78-58
Le 4ème français (avec Noah) joue à Creighton, c'est un sénior qui a des stats de 1 pt, 0,8 rebonds en 5,7 minutes par matchs.
J'en ai peu etre raté ...
Il y'a par exemple le demi frère de Diaw mais il est sénégalais.
Midwest
Maryland (4) - Davidson (13) 82-70
9 pts, 9 rebonds pour le français Boris Meno qui jouait à Davidson.
Il avait 11 pts 8.1 rebonds en 26 minutes sur l'année.
East
Boston College (7) - Texas Tech (10) 84-75
Kaba Daye le français n'a pas joué.
C'est un Freshman qui a joué 2,4 min par match pour 1,3 pts et 0,3 rebonds et 0,2 passes lors de la saison.
South
Louisville (6) - Stanford (11) 78-58
Le 4ème français (avec Noah) joue à Creighton, c'est un sénior qui a des stats de 1 pt, 0,8 rebonds en 5,7 minutes par matchs.
J'en ai peu etre raté ...
Il y'a par exemple le demi frère de Diaw mais il est sénégalais.
Last edited by Nicovert78 on 15 Mar 2007, 19:45, edited 1 time in total.
Pas de surprise pour le moment ... et en ce moment y'a 4 matchs à suivre en live sur le lien donné plus haut
Phoenix mate les Mavs
Les Suns ont eu raison de Dallas mercredi dans le choc de la Ligue nord-américaine. Alors qu'ils comptaient encore 15 points de retard à l'entame du dernier quart-temps, les coéquipiers de Boris Diaw (4 points) ont fini en trombe pour finalement s'imposer après deux prolongations (129-127, a.p) dans le Texas. Steve Nash (32-16 passes) et Amare Stoudemire (41 points-10 rebonds) ont été les rois d'une soirée folle qui aurait tout aussi bien pu sourire aux Mavs de la star Dirk Nowitzki (30 points-16 rebonds) bien épaulée par Jerry Stackhouse (33 points).
Le match:
Amare Stoudemire, de plus en plus fort, a envoyé un message aux leaders de la Ligue.Amare Stoudemire, de plus en plus fort, a envoyé un message aux leaders de la Ligue.
Un match de basket n'est jamais perdu. Les Suns en ont fait encore une fois la démonstration mercredi en renversant une situation qui semblait pourtant désespérée. Après avoir pris le large à la fin du premier quart-temps (32-16), les Suns ont ensuite pris l'eau lors des deux périodes suivantes, concédant ainsi 73 points en 24 minutes, pour se retrouver à 15 longueurs (76-91) des Texans avant d'entamer le dernier quart-temps. C'est à ce moment précis que les hommes de Mike d'Antoni ont commencé leur folle remontée en entamant notamment la dernière période par un 8-0 annonciateur d'une fin en trombe.
A partir de là, les 20 525 privilégiés de l'American Airlines Center allaient en prendre plein les yeux. Les actions de folie se succédaient d'un côté à l'autre du parquet et les hommes forts de chacune des deux franchises prenaient les destinées de leur équipe entre leurs mains. Chez les locaux, Dirk Nowitzki, comme toujours, mais aussi Jerry Stackouse, qui avait retrouvé ses jambes de 20 ans mercredi, prenaient les affaires en main pour répondre aux shoots extérieurs et aux pénétrations d'un Steve Nash déchaîné. Le double MVP des deux dernières saisons régulières recevait un précieux coup de main de son pivot Amare Stoudemire totalement inarrêtable à l'intérieur (41 points au final avec un faramineux 16 sur 19 au tir !). Les deux formations se rendaient coups pour coups et ne parvenaient pas à se départager dans le temps réglementaire (111-111). Le bouillant public texan allait donc avoir droit à du rab pour son plus grand bonheur.
Malgré Stackhouse...
Et plutôt deux fois qu'une. A l'issue de la première prolongation, les deux meilleures équipes de la saison étaient encore au coude à coude (121-121). Dans une ambiance électrique toute acquise à la cause des Mavs, Phoenix parvenait toutefois à faire la décision dans les ultimes instants de la seconde prolongation grâce notamment à Steve Nash (32 points-16 passes), impérial dans le final. Dans les rangs des leaders de la conférence Ouest, Dirk Nowitzki avait rendu sa copie presque habituelle (30 points-16 rebonds) tandis que Jerry Stackhouse, avec ses 33 points, venait de signer son record personnel depuis trois saisons qu'il porte les couleurs de Dallas.
"C'était une vraie atmosphère de play-offs, confiait Amare Stoudemire après coup. Les deux équipes ont joué avec une haute intensité. Les deux ont été dans le match jusqu'à la fin. Nous voulions vraiment gagner mais aussi améliorer notre bilan pour nous rapprocher d'eux." Avec encore 19 matches à disputer et un bilan de 50 victoires pour 14 défaites, les Suns auront toutefois bien du mal à revenir sur Dallas à qui il reste 18 rencontres à jouer. Bien qu'ils viennent de perdre deux matches de suite, une première depuis leur 0-4 initial en novembre, les finalistes 2006 semblent bien accrochés à leur fauteuil de leader avec leurs 52 succès pour seulement 11 revers.
Le Français:
Malgré les 10 matches au programme la nuit dernière, Boris Diaw était le seul Français à fouler les parquets. L'ailier des Suns, s'il a connu la victoire dans le match au sommet face à Dallas, n'a pas vraiment brillé, se contentant de 4 points (à 2 sur 4) et 2 passes décisives en 20 minutes. Ses quatre fautes prises assez vite ne l'ont, il est vrai, pas aidé à passer plus de temps sur le terrain.
La stat:
Indiana et encore Indiana. A nouveau défaits, cette fois-ci dans leur salle face aux Wizards (96-112), les Pacers ont aligné une onzième défaite de rang mercredi soir. Désormais bouté hors des huit premières places de la conférence Est, Indiana n'est plus qu'à une défaite d'égaler le triste record du club de la plus longue série sans victoire. Il faut pour cela remonter à la saison 1988-1989 pour voir la franchise perdre 12 matches consécutifs. Pourtant, contre Washington, Jermaine O'Neal avait effectué son retour après avoir dû couper pour soigner une blessure au genou. Mais les 24 points et 7 rebonds de J.O n'ont pas suffi à remettre sur les bons rails la formation de Rick Carlisle qui tentera, samedi face aux Hawks, de mettre fin à cette interminable descente aux enfers.
www.sports.fr
Phoenix mate les Mavs
Les Suns ont eu raison de Dallas mercredi dans le choc de la Ligue nord-américaine. Alors qu'ils comptaient encore 15 points de retard à l'entame du dernier quart-temps, les coéquipiers de Boris Diaw (4 points) ont fini en trombe pour finalement s'imposer après deux prolongations (129-127, a.p) dans le Texas. Steve Nash (32-16 passes) et Amare Stoudemire (41 points-10 rebonds) ont été les rois d'une soirée folle qui aurait tout aussi bien pu sourire aux Mavs de la star Dirk Nowitzki (30 points-16 rebonds) bien épaulée par Jerry Stackhouse (33 points).
Le match:
Amare Stoudemire, de plus en plus fort, a envoyé un message aux leaders de la Ligue.Amare Stoudemire, de plus en plus fort, a envoyé un message aux leaders de la Ligue.
Un match de basket n'est jamais perdu. Les Suns en ont fait encore une fois la démonstration mercredi en renversant une situation qui semblait pourtant désespérée. Après avoir pris le large à la fin du premier quart-temps (32-16), les Suns ont ensuite pris l'eau lors des deux périodes suivantes, concédant ainsi 73 points en 24 minutes, pour se retrouver à 15 longueurs (76-91) des Texans avant d'entamer le dernier quart-temps. C'est à ce moment précis que les hommes de Mike d'Antoni ont commencé leur folle remontée en entamant notamment la dernière période par un 8-0 annonciateur d'une fin en trombe.
A partir de là, les 20 525 privilégiés de l'American Airlines Center allaient en prendre plein les yeux. Les actions de folie se succédaient d'un côté à l'autre du parquet et les hommes forts de chacune des deux franchises prenaient les destinées de leur équipe entre leurs mains. Chez les locaux, Dirk Nowitzki, comme toujours, mais aussi Jerry Stackouse, qui avait retrouvé ses jambes de 20 ans mercredi, prenaient les affaires en main pour répondre aux shoots extérieurs et aux pénétrations d'un Steve Nash déchaîné. Le double MVP des deux dernières saisons régulières recevait un précieux coup de main de son pivot Amare Stoudemire totalement inarrêtable à l'intérieur (41 points au final avec un faramineux 16 sur 19 au tir !). Les deux formations se rendaient coups pour coups et ne parvenaient pas à se départager dans le temps réglementaire (111-111). Le bouillant public texan allait donc avoir droit à du rab pour son plus grand bonheur.
Malgré Stackhouse...
Et plutôt deux fois qu'une. A l'issue de la première prolongation, les deux meilleures équipes de la saison étaient encore au coude à coude (121-121). Dans une ambiance électrique toute acquise à la cause des Mavs, Phoenix parvenait toutefois à faire la décision dans les ultimes instants de la seconde prolongation grâce notamment à Steve Nash (32 points-16 passes), impérial dans le final. Dans les rangs des leaders de la conférence Ouest, Dirk Nowitzki avait rendu sa copie presque habituelle (30 points-16 rebonds) tandis que Jerry Stackhouse, avec ses 33 points, venait de signer son record personnel depuis trois saisons qu'il porte les couleurs de Dallas.
"C'était une vraie atmosphère de play-offs, confiait Amare Stoudemire après coup. Les deux équipes ont joué avec une haute intensité. Les deux ont été dans le match jusqu'à la fin. Nous voulions vraiment gagner mais aussi améliorer notre bilan pour nous rapprocher d'eux." Avec encore 19 matches à disputer et un bilan de 50 victoires pour 14 défaites, les Suns auront toutefois bien du mal à revenir sur Dallas à qui il reste 18 rencontres à jouer. Bien qu'ils viennent de perdre deux matches de suite, une première depuis leur 0-4 initial en novembre, les finalistes 2006 semblent bien accrochés à leur fauteuil de leader avec leurs 52 succès pour seulement 11 revers.
Le Français:
Malgré les 10 matches au programme la nuit dernière, Boris Diaw était le seul Français à fouler les parquets. L'ailier des Suns, s'il a connu la victoire dans le match au sommet face à Dallas, n'a pas vraiment brillé, se contentant de 4 points (à 2 sur 4) et 2 passes décisives en 20 minutes. Ses quatre fautes prises assez vite ne l'ont, il est vrai, pas aidé à passer plus de temps sur le terrain.
La stat:
Indiana et encore Indiana. A nouveau défaits, cette fois-ci dans leur salle face aux Wizards (96-112), les Pacers ont aligné une onzième défaite de rang mercredi soir. Désormais bouté hors des huit premières places de la conférence Est, Indiana n'est plus qu'à une défaite d'égaler le triste record du club de la plus longue série sans victoire. Il faut pour cela remonter à la saison 1988-1989 pour voir la franchise perdre 12 matches consécutifs. Pourtant, contre Washington, Jermaine O'Neal avait effectué son retour après avoir dû couper pour soigner une blessure au genou. Mais les 24 points et 7 rebonds de J.O n'ont pas suffi à remettre sur les bons rails la formation de Rick Carlisle qui tentera, samedi face aux Hawks, de mettre fin à cette interminable descente aux enfers.
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Les premiers résultats de la Marsh Madness:
Midwest
1er tour
Wisconsin (2) - Texas A&M (15) 76-63
Oregon (3) - Miami (Ohio) (14) 58-56
Maryland (4) - Davidson (13) 82-70
Butler (5) - Old Dominion (12) 57-46
Notre Dame (6) - Winthrop (11) 64-74
UNLV (7) - Georgia Tech (10) 67-63
West
Barrage d'ouverture
Niagara (16) - Florida A&M (16) 77-69
1er tour
UCLA (2) - Weber State (15) 70-42
Pittsburg (3) - Wright State (14) 79-58
Duke (6) - Virginia Commonwealth (11) 77-79
Indiana (7) - Gonzaga (10) 70-57
East
1er tour
North Carolina (1) - Eastern Kentucky (16) 86-65
Georgetown (2) - Belmont (15) 80-55
Washington State (3) - Oral Roberts (14) 70-54
Vanderbilt (6) - George Washington (11) 77-44
Boston College (7) - Texas Tech (10) 84-75
Marquette (8) - Michigan State (9) 49-61
South
1er tour
Ohio State (1) - Central Connecticut State (16) 78-57
Memphis (2) - North Texas (15) 73-58
Texas A&M (3) - Pennsylvania (14) 68-52
Virginia (4) - Albany (13) 84-57
Tennessee (5) - Long Beach State (12) 121-86
Louisville (6) - Stanford (11) 78-58
Nevada (7) - Creighton (10) 77-71 ap.
Brigham (8) - Xavier (9) 77-79
Les français engagés:
-Joachim Noah n'a pas encore joué face à Jackson State.
-Boris Meno a perdu avec Davidson avec 9 pts, 9 rebonds pour le français. Il avait 11 pts 8.1 rebonds en 26 minutes sur l'année.
-Kaba Daye a gagné avec Boston college sans jouer. C'est un Freshman qui a joué 2,4 min par match pour 1,3 pts et 0,3 rebonds et 0,2 passes lors de la saison.
-Manny Gakou a perdu avec Creighton (10) face à Nevada (7) avec 2pts en 2 minutes pour seul stats, c'est un sénior qui a des stats de 1 pt, 0,8 rebonds en 5,7 minutes par matchs à la saison.
J'en ai peu etre raté ...
Il y'a par exemple le demi frère de Diaw mais il est sénégalais, ou peu etre d'autres ayant le double nationalité mais moins connu que Noah.[/b]
Midwest
1er tour
Wisconsin (2) - Texas A&M (15) 76-63
Oregon (3) - Miami (Ohio) (14) 58-56
Maryland (4) - Davidson (13) 82-70
Butler (5) - Old Dominion (12) 57-46
Notre Dame (6) - Winthrop (11) 64-74
UNLV (7) - Georgia Tech (10) 67-63
West
Barrage d'ouverture
Niagara (16) - Florida A&M (16) 77-69
1er tour
UCLA (2) - Weber State (15) 70-42
Pittsburg (3) - Wright State (14) 79-58
Duke (6) - Virginia Commonwealth (11) 77-79
Indiana (7) - Gonzaga (10) 70-57
East
1er tour
North Carolina (1) - Eastern Kentucky (16) 86-65
Georgetown (2) - Belmont (15) 80-55
Washington State (3) - Oral Roberts (14) 70-54
Vanderbilt (6) - George Washington (11) 77-44
Boston College (7) - Texas Tech (10) 84-75
Marquette (8) - Michigan State (9) 49-61
South
1er tour
Ohio State (1) - Central Connecticut State (16) 78-57
Memphis (2) - North Texas (15) 73-58
Texas A&M (3) - Pennsylvania (14) 68-52
Virginia (4) - Albany (13) 84-57
Tennessee (5) - Long Beach State (12) 121-86
Louisville (6) - Stanford (11) 78-58
Nevada (7) - Creighton (10) 77-71 ap.
Brigham (8) - Xavier (9) 77-79
Les français engagés:
-Joachim Noah n'a pas encore joué face à Jackson State.
-Boris Meno a perdu avec Davidson avec 9 pts, 9 rebonds pour le français. Il avait 11 pts 8.1 rebonds en 26 minutes sur l'année.
-Kaba Daye a gagné avec Boston college sans jouer. C'est un Freshman qui a joué 2,4 min par match pour 1,3 pts et 0,3 rebonds et 0,2 passes lors de la saison.
-Manny Gakou a perdu avec Creighton (10) face à Nevada (7) avec 2pts en 2 minutes pour seul stats, c'est un sénior qui a des stats de 1 pt, 0,8 rebonds en 5,7 minutes par matchs à la saison.
J'en ai peu etre raté ...
Il y'a par exemple le demi frère de Diaw mais il est sénégalais, ou peu etre d'autres ayant le double nationalité mais moins connu que Noah.[/b]
Last edited by Nicovert78 on 16 Mar 2007, 23:01, edited 20 times in total.
Je suit pas du tout en dehors de Meno et Noah, les deux ayant un temps de jeu significatif alors je sais pas du tout :dontknow: :oops:
L'année dernière on pouvait regarder le match en entier même le lendemain matin, mais cette année on a droit à "this content is not availabale for viwing outside of the United States"
Pareil pour les highlights
Washington State (3) a battu Oral Roberts (14) 70 à 54
Sinon Pau reçoit le Maccabi en ce moment même et Pau est mené 50-47 en début de 3èmeQT. Encore une grosse perf de Ricardo Greer qui explose littéralement depuis qu'il a été replacé en ailier fort par Herbert (10pts 8rbds 4ast).
L'année dernière on pouvait regarder le match en entier même le lendemain matin, mais cette année on a droit à "this content is not availabale for viwing outside of the United States"
Pareil pour les highlights
Washington State (3) a battu Oral Roberts (14) 70 à 54
Sinon Pau reçoit le Maccabi en ce moment même et Pau est mené 50-47 en début de 3èmeQT. Encore une grosse perf de Ricardo Greer qui explose littéralement depuis qu'il a été replacé en ailier fort par Herbert (10pts 8rbds 4ast).
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gros temps de jeu pour les joueurs françaisvinsanity wrote:Sinon Pau reçoit le Maccabi en ce moment même et Pau est mené 50-47 en début de 3èmeQT. Encore une grosse perf de Ricardo Greer qui explose littéralement depuis qu'il a été replacé en ailier fort par Herbert (10pts 8rbds 4ast).
"On peut rire de tout mais pas avec n'importe qui." Pierre Desproges.
Bah oui, quand mêmegreentotti wrote:gros temps de jeu pour les joueurs françaisvinsanity wrote:Sinon Pau reçoit le Maccabi en ce moment même et Pau est mené 50-47 en début de 3èmeQT. Encore une grosse perf de Ricardo Greer qui explose littéralement depuis qu'il a été replacé en ailier fort par Herbert (10pts 8rbds 4ast).
13min pour D'Almeida
12 pour Ferchaud
9 pour Mahinmi
4 pour Fauthoux ^^
Le tout pour 9pts au total :lol:
Par contre je comprend que dalle au live de l'euroleague depuis tout à l'heure, il doit bugger :lol:
J'vous met les dernières actions (lire de bas en haut) :
Bon bref au final 89-89 donc on aura droit à une prolongation :lol:Bynum Willian replaces
Sharp Derrick
Sharp Derrick (Maccabi Elite T.A.)
made free throw (89-89)
Sharp Derrick (Maccabi Elite T.A.)
made free throw (89-88)
Miles Aaron (EB Pau-Orthez)
made jumper (89-87)
Sharp Derrick replaces
Bynum Willian
Miles Aaron (EB Pau-Orthez)
offensive rebound (2.)
Miles Aaron (EB Pau-Orthez)
missed free throw
Miles Aaron (EB Pau-Orthez)
made free throw (87-87)
Wright Michael replaces
Ferchaud Cedric
Greer Ricardo replaces
Johnsen Britton
Jeretin Goran (Maccabi Elite T.A.)
foul (3.)
Miles Aaron (EB Pau-Orthez)
foul against (3.)
Felix Noel replaces
Green Yaniv
Ferchaud Cedric replaces
Greer Ricardo
Bynum Willian replaces
Sharp Derrick
Sharp Derrick (Maccabi Elite T.A.)
foul against (2.)
Greer Ricardo (EB Pau-Orthez)
foul (2.)
Sharp Derrick (Maccabi Elite T.A.)
made free throw (86-87)
Sharp Derrick (Maccabi Elite T.A.)
missed free throw
Johnsen Britton replaces
Wright Michael
Sharp Derrick replaces
Felix Noel
Harrison Clint (EB Pau-Orthez)
made free throw (86-86)
Harrison Clint (EB Pau-Orthez)
made free throw (85-86)
Felix Noel replaces
Sharp Derrick
Green Yaniv replaces
Eliyahu Lior
Harrison Clint (EB Pau-Orthez)
foul against (5.)
Eliyahu Lior (Maccabi Elite T.A.)
foul (5.)
EB Pau-Orthez timeout
EB Pau-Orthez timeout
EB Pau-Orthez timeout
Jasaitis Simas replaces
Bynum Willian
Harrison Clint (EB Pau-Orthez)
foul (4.)
Sharp Derrick (Maccabi Elite T.A.)
foul against (1.)
Jeretin Goran replaces
Green Yaniv
40. min