Dis jfg, une question que je me pose comme cà (rien à voir avec le débat sur Sainté): tu mets des émoticones au pif dans tes messages ?
Parce que j'essaie de comprendre ton humeur quand je te lis et à moins que tu changes de mimique toutes les 5 secondes, je ne comprends pas trop le ton de tes phrases
La ville de Saint-Etienne
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Re: La ville de Saint-Etienne
Bah c'est esthétique, ça met un peu de couleur... 
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Friteuse normale
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Re: La ville de Saint-Etienne
Jfg en position Kishizo
Re: La ville de Saint-Etienne
http://lessor.fr/2014/12/11/article-du- ... nt-page-1/" onclick="window.open(this.href);return false;
Article du Monde sur Saint-Etienne : la lettre ouverte d'un professeur d'architecture
Jean Michel Dutreuil est architecte, urbaniste et enseignant-chercheur à l’École d’Architecture de Saint-Étienne. Comme de nombreux Stéphanois il a été « sidéré par la légèreté et la violence (des) mots » utilisés par la journaliste du quotidien Le Monde dans son article intitulé « Saint-Etienne, le centre-ville miné par la pauvreté ».
Il a décidé de rédiger une lettre ouverte à la journaliste, que nous reproduisons ici avec son autorisation.
« Madame,
Je ne doute pas, comme certains lecteurs le penseront, que vous soyez venue ici visiter notre cité, je ne doute pas non plus que vous ayez consulté des études socio-économiques sur Saint-Étienne et parcouru une synthèse des statistiques et des données sociales, INSEE ou autre, que vous ayez rencontré sans doute aussi quelques stéphanois « référents » recommandés par vos contacts. Je doute cependant de la pertinence de discernement et d’investigation dont témoigne ce texte, et je ne comprends pas quels sont sont vos objectifs et quelles motivations vous conduisent à dégrader aussi gravement l’image d’une ville et d’une métropole qui avance et quotidiennement travaille à son avenir ?
Il y a des gens qui vivent ici, Madame, et qui vivent bien, sans doute beaucoup mieux que dans bien des villes françaises. Ces gens ne comprennent pas vos propos superficiels de journaliste pressée, traversant sans visiblement comprendre un territoire complexe, inventant à partir de données statistiques une population de « miséreux » vivant dans des taudis et mangeant à la soupe populaire. S’agit-il simplement de légèreté, d’une tentation facile d’effets journalistiques? d’une fascination malsaine pour un l’exotisme de la pauvreté, ou s’agit-il au fond d’une idéologie plus radicale?
Etes-vous consciente, et le journal Le Monde aussi, que vos propos sont très proches de ceux de l’extrême droite et qu’ils nourriront sans aucun doute, les arguments les pires? Il ne manque que l’insécurité dans cette imagerie de bazar et ce très mauvais réalisme social: une somme de lieux communs surannés où les « miséreux » côtoient les taudis, les Kebabs, les « HLM construits à la va-vite » et même Bernard Lavilliers !
Quant au sujet de l’immigration vous convoquez pour légitimer votre propos sur le quartier de Tarentaize les mots d’un jeune concitoyen musulman sur lequel vous aviez déjà écrit dans un état d’esprit qui semblait plus progressiste cependant. L’immigration Madame, n’a pas commencée ici en 1960 mais au XVIIIème siècle. Saint-Étienne a même été dessinée et tracée en 1791 par un jeune immigré italien. La Cité s’honore ainsi de deux siècles d’immigration qui ont fait sa richesse culturelle puis économique; le tissu d’entrepreneurs issus de nos immigrations est considérable. Ce processus d’assimilation et de fusion est le même pour les immigrations du XXème siècle. Saint-Étienne s’honore de son immigration car cette ville est profondément moderne et n’a peur ni de l’avenir ni de l’arrivée de nouveaux concitoyens, cette ville accueille et avance.
La ville dont vous parlez Madame, n’est pas celle que je connais, celle dans laquelle je vis, précisément au centre et dans ce terrible quartier de Jacquard, une ville dans laquelle je travaille depuis 40 ans, comme architecte, urbaniste et comme enseignant-chercheur à l’ENSAE l’École nationale supérieure d’architecture de Saint-Étienne, l’une des meilleures écoles françaises d’architecture, installée précieusement au coeur actif de la Cité, place Jacquard, dans ce que vous considérez comme un quartier miséreux ! Savez vous que sous la direction de l’Epase ce quartier est en pleine requalification ?
La prochaine fois que vous viendrez ici, passez par la place Jacquard et par notre École nous serons très heureux de vous accueillir et acceptez de rencontrer nos étudiants venus des quatre coins de France ou d’Europe, ou de plus loin encore pour étudiez ici, dans ce lieu, dans cette « capitale de misère » comme vous le dites… Au bout de quelques mois ils ne veulent plus quitter cet enfer!
Ces jeunes gens vous expliqueront de façon précise, dans un style qui ne sera ni misérabiliste, ni approximatif comme vous le faites, mais profond, vif, plein de responsabilité et d’énergie, quelle est la qualité de la vie ici, quelle sont les beautés et les richesses de cette ville, quels sont ses potentiels et ses challenges, quels sont ses projets et ses multiples dynamiques…Ils vous diront aussi comment l’avenir de notre ville et de notre territoire sont au centre de leurs réflexions et de leurs projets. Ils pourront vous conduire aussi à la Cité du Design, à l’École des Beaux Arts, à l’École des Mines, à l’Enise, ou encore à l’Université Jean-Monnet, à l’École Supérieure de Commerce, à Télécom Saint-Étienne, à l’École de la Comédie de Saint-Étienne Centre Dramatique National, etc. Là aussi vous verrez d’autres jeunes gens animés par leurs projets, leurs recherches, l’avenir.
Si vous avez la courtoisie de venir nous saluer je prendrai le temps nécessaire pour vous dire quelle a été l’histoire de cette ville et quelle est sa réalité aujourd’hui, une cité profondément créative, inventive et forte d’une capacité d’adaptation assez inouïe qui lui a permis de se relever en deux siècles des multiples crises, succédant à d’exceptionnelle périodes de prospérité; une ville courageuse et intelligente ! Je vous expliquerai comment ce territoire a fait face il y a 35 ans à la pire conjonction de crises industrielles qu’on puissent imaginer en si peu de temps sur un territoire de cette taille (houillères, sidérurgie, mécanique, rubanerie, armement), sans sombrer dans l’inertie, le fatalisme et la misère, mais en réagissant immédiatement et en régénérant son tissu industriel et économique qui aujourd’hui est plus important qu’avant cette grande crise, aujourd’hui lointaine et oubliée. Je vous dirai comment cette ville est ainsi aujourd’hui riche d’un des plus denses réseaux de pme-pmi Français. Je vous expliquerai également comment quelques universitaires locaux, discrets mais brillants et très actifs, ont réussi avec le soutien des maires successifs à transformer Saint-Étienne en une ville universitaire de plus de 25 000 étudiants, une population en croissance permanente, et un tissu universitaire où fonctionne ici l’ascenseur social comme nul part ailleurs.
Cette ville est discrète, Madame, les Stéphanois n’aiment pas communiquer ou se mettre en avant, ils préfèrent produire et avancer, c’est une ville d’un abord austère et sans doute difficile à cerner rapidement, mais elle est inventive, réactive, conviviale et chaleureuse.
Nous vous pardonnons donc votre légèreté de plume, et espérons que vous saurez repenser à nos réactions sincères et à nos témoignages. Si un jour vous voulez faire une autre chronique sur la diversité urbaine stéphanoise prenez le temps de venir nous voir et de nous connaître et comprendre mieux. »
Article du Monde sur Saint-Etienne : la lettre ouverte d'un professeur d'architecture
Jean Michel Dutreuil est architecte, urbaniste et enseignant-chercheur à l’École d’Architecture de Saint-Étienne. Comme de nombreux Stéphanois il a été « sidéré par la légèreté et la violence (des) mots » utilisés par la journaliste du quotidien Le Monde dans son article intitulé « Saint-Etienne, le centre-ville miné par la pauvreté ».
Il a décidé de rédiger une lettre ouverte à la journaliste, que nous reproduisons ici avec son autorisation.
« Madame,
Je ne doute pas, comme certains lecteurs le penseront, que vous soyez venue ici visiter notre cité, je ne doute pas non plus que vous ayez consulté des études socio-économiques sur Saint-Étienne et parcouru une synthèse des statistiques et des données sociales, INSEE ou autre, que vous ayez rencontré sans doute aussi quelques stéphanois « référents » recommandés par vos contacts. Je doute cependant de la pertinence de discernement et d’investigation dont témoigne ce texte, et je ne comprends pas quels sont sont vos objectifs et quelles motivations vous conduisent à dégrader aussi gravement l’image d’une ville et d’une métropole qui avance et quotidiennement travaille à son avenir ?
Il y a des gens qui vivent ici, Madame, et qui vivent bien, sans doute beaucoup mieux que dans bien des villes françaises. Ces gens ne comprennent pas vos propos superficiels de journaliste pressée, traversant sans visiblement comprendre un territoire complexe, inventant à partir de données statistiques une population de « miséreux » vivant dans des taudis et mangeant à la soupe populaire. S’agit-il simplement de légèreté, d’une tentation facile d’effets journalistiques? d’une fascination malsaine pour un l’exotisme de la pauvreté, ou s’agit-il au fond d’une idéologie plus radicale?
Etes-vous consciente, et le journal Le Monde aussi, que vos propos sont très proches de ceux de l’extrême droite et qu’ils nourriront sans aucun doute, les arguments les pires? Il ne manque que l’insécurité dans cette imagerie de bazar et ce très mauvais réalisme social: une somme de lieux communs surannés où les « miséreux » côtoient les taudis, les Kebabs, les « HLM construits à la va-vite » et même Bernard Lavilliers !
Quant au sujet de l’immigration vous convoquez pour légitimer votre propos sur le quartier de Tarentaize les mots d’un jeune concitoyen musulman sur lequel vous aviez déjà écrit dans un état d’esprit qui semblait plus progressiste cependant. L’immigration Madame, n’a pas commencée ici en 1960 mais au XVIIIème siècle. Saint-Étienne a même été dessinée et tracée en 1791 par un jeune immigré italien. La Cité s’honore ainsi de deux siècles d’immigration qui ont fait sa richesse culturelle puis économique; le tissu d’entrepreneurs issus de nos immigrations est considérable. Ce processus d’assimilation et de fusion est le même pour les immigrations du XXème siècle. Saint-Étienne s’honore de son immigration car cette ville est profondément moderne et n’a peur ni de l’avenir ni de l’arrivée de nouveaux concitoyens, cette ville accueille et avance.
La ville dont vous parlez Madame, n’est pas celle que je connais, celle dans laquelle je vis, précisément au centre et dans ce terrible quartier de Jacquard, une ville dans laquelle je travaille depuis 40 ans, comme architecte, urbaniste et comme enseignant-chercheur à l’ENSAE l’École nationale supérieure d’architecture de Saint-Étienne, l’une des meilleures écoles françaises d’architecture, installée précieusement au coeur actif de la Cité, place Jacquard, dans ce que vous considérez comme un quartier miséreux ! Savez vous que sous la direction de l’Epase ce quartier est en pleine requalification ?
La prochaine fois que vous viendrez ici, passez par la place Jacquard et par notre École nous serons très heureux de vous accueillir et acceptez de rencontrer nos étudiants venus des quatre coins de France ou d’Europe, ou de plus loin encore pour étudiez ici, dans ce lieu, dans cette « capitale de misère » comme vous le dites… Au bout de quelques mois ils ne veulent plus quitter cet enfer!
Ces jeunes gens vous expliqueront de façon précise, dans un style qui ne sera ni misérabiliste, ni approximatif comme vous le faites, mais profond, vif, plein de responsabilité et d’énergie, quelle est la qualité de la vie ici, quelle sont les beautés et les richesses de cette ville, quels sont ses potentiels et ses challenges, quels sont ses projets et ses multiples dynamiques…Ils vous diront aussi comment l’avenir de notre ville et de notre territoire sont au centre de leurs réflexions et de leurs projets. Ils pourront vous conduire aussi à la Cité du Design, à l’École des Beaux Arts, à l’École des Mines, à l’Enise, ou encore à l’Université Jean-Monnet, à l’École Supérieure de Commerce, à Télécom Saint-Étienne, à l’École de la Comédie de Saint-Étienne Centre Dramatique National, etc. Là aussi vous verrez d’autres jeunes gens animés par leurs projets, leurs recherches, l’avenir.
Si vous avez la courtoisie de venir nous saluer je prendrai le temps nécessaire pour vous dire quelle a été l’histoire de cette ville et quelle est sa réalité aujourd’hui, une cité profondément créative, inventive et forte d’une capacité d’adaptation assez inouïe qui lui a permis de se relever en deux siècles des multiples crises, succédant à d’exceptionnelle périodes de prospérité; une ville courageuse et intelligente ! Je vous expliquerai comment ce territoire a fait face il y a 35 ans à la pire conjonction de crises industrielles qu’on puissent imaginer en si peu de temps sur un territoire de cette taille (houillères, sidérurgie, mécanique, rubanerie, armement), sans sombrer dans l’inertie, le fatalisme et la misère, mais en réagissant immédiatement et en régénérant son tissu industriel et économique qui aujourd’hui est plus important qu’avant cette grande crise, aujourd’hui lointaine et oubliée. Je vous dirai comment cette ville est ainsi aujourd’hui riche d’un des plus denses réseaux de pme-pmi Français. Je vous expliquerai également comment quelques universitaires locaux, discrets mais brillants et très actifs, ont réussi avec le soutien des maires successifs à transformer Saint-Étienne en une ville universitaire de plus de 25 000 étudiants, une population en croissance permanente, et un tissu universitaire où fonctionne ici l’ascenseur social comme nul part ailleurs.
Cette ville est discrète, Madame, les Stéphanois n’aiment pas communiquer ou se mettre en avant, ils préfèrent produire et avancer, c’est une ville d’un abord austère et sans doute difficile à cerner rapidement, mais elle est inventive, réactive, conviviale et chaleureuse.
Nous vous pardonnons donc votre légèreté de plume, et espérons que vous saurez repenser à nos réactions sincères et à nos témoignages. Si un jour vous voulez faire une autre chronique sur la diversité urbaine stéphanoise prenez le temps de venir nous voir et de nous connaître et comprendre mieux. »
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Friteuse normale
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Re: La ville de Saint-Etienne
J'ai pas l'habitude ni l'envie de cracher sur notre ville, mais c'est vrai que cette largeur minuscule a l'air assez unique. C'est logique vu la topographie de la ville, mais c'est souvent problématique.BriKo wrote:ces rames ont été adaptées aux caractéristiques spécifiques de Saint-Etienne, notamment une largeur de caisse de seulement 2,15 mètres.
Je sais qu'à Strasbourg, j'avais été sidéré de la largeur des trams, et ça doit sûrement être plus pratique. Bon après on ne gagnerait pas vraiment au change, leurs trams sont moches et personne ne monte dedans.
Re: La ville de Saint-Etienne
Au fait les nouveaux trams feraient 33m, contre 23m actuellement... à moins d'une erreur, ça va faire des sacrés changements au niveau de la capacité ou de la longueur des quais.
Re: La ville de Saint-Etienne
Oui les quais vont êtres adaptés aux nouvelles rames.Fourina wrote:Au fait les nouveaux trams feraient 33m, contre 23m actuellement... à moins d'une erreur, ça va faire des sacrés changements au niveau de la capacité ou de la longueur des quais.
Re: La ville de Saint-Etienne
Briko : la ville ne compte pas 25.000 étudiants si l'on parle du monde universitaire mais environ 14.000, j'y bosse !!!
Pour la Fac de Médecine par ex, bcp d'inscrits en 1er année, environ 800...
mais sa réputation n'est pas terrible du tout au niveau des résultats....cela m'était rapporté par des étudiants eux mêmes......classement dans les profondeurs des facs françaises
Les IUT marchent pas mal, ainsi que l'école d'ingénieurs de TELECOM, et le Pôle Optique Vision....
Je confirme aussi que pas mal d'étudiants étrangers n'apprécient que modérément la ville, les asiatiques par ex la trouvent sale.....Nous sommes "compétitifs" sur les prix concernant les étrangers car encore une fois ils choisissent souvent Paris, le sud (Aix, Montpellier...)voire Lyon......pour leurs études dans le supérieur Français
Pour la Fac de Médecine par ex, bcp d'inscrits en 1er année, environ 800...
mais sa réputation n'est pas terrible du tout au niveau des résultats....cela m'était rapporté par des étudiants eux mêmes......classement dans les profondeurs des facs françaises
Les IUT marchent pas mal, ainsi que l'école d'ingénieurs de TELECOM, et le Pôle Optique Vision....
Je confirme aussi que pas mal d'étudiants étrangers n'apprécient que modérément la ville, les asiatiques par ex la trouvent sale.....Nous sommes "compétitifs" sur les prix concernant les étrangers car encore une fois ils choisissent souvent Paris, le sud (Aix, Montpellier...)voire Lyon......pour leurs études dans le supérieur Français
Re: La ville de Saint-Etienne
Je n'ai fait que relayer un articlejfg wrote:Briko : la ville ne compte pas 25.000 étudiants si l'on parle du monde universitaire mais environ 14.000, j'y bosse !!!
Pour la Fac de Médecine par ex, bcp d'inscrits en 1er année, environ 800...
mais sa réputation n'est pas terrible du tout au niveau des résultats....cela m'était rapporté par des étudiants eux mêmes......classement dans les profondeurs des facs françaises
Les IUT marchent pas mal, ainsi que l'école d'ingénieurs de TELECOM, et le Pôle Optique Vision....
Je confirme aussi que pas mal d'étudiants étrangers n'apprécient que modérément la ville, les asiatiques par ex la trouvent sale.....Nous sommes "compétitifs" sur les prix concernant les étrangers car encore une fois ils choisissent souvent Paris, le sud (Aix, Montpellier...)voire Lyon......pour leurs études dans le supérieur Français
Re: La ville de Saint-Etienne
Concernant la fac de médecine c'est complètement faux. Elle a une bonne réputation et des inscriptions en première année au delà des 1000 étudiants. Il y a tellement de demande que l'université pense à les limités lors des prochaines années.
Re: La ville de Saint-Etienne
certes beaucoup d'inscrits en 1er année et la fac déménage à Nord d'ici février mars.
Tu sais aussi que la 1er année ne veut strictement rien dire, sur les 1.000que tu annonces, les 3/4 comme ailleurs vont dégager.....c'est l'année de fac la plus sélective qui soit, il y a même des bac pro qui sont inscrits !!!
Je me suis tjrs d'ailleurs demandé pourquoi autant d'inscrits en 1er année qui n'ont strictement rien à y faire
Concernant la réputation de Médecine ST Etienne, je te confirme que plusieurs étudiants reçus m'ont indiqué cela
Je précise juste que je ne bosse pas directement à la Fac de Médecine mais que j'en cotoie de par mon job, c'est que juste certains de ces étudiants m'ont indiqué cela, vrai faux ? entre les 2 ! suis pas non plus un spécialiste
http://www.letudiant.fr/etudes/fac/mede ... l-ecn.html" onclick="window.open(this.href);return false;
Tu sais aussi que la 1er année ne veut strictement rien dire, sur les 1.000que tu annonces, les 3/4 comme ailleurs vont dégager.....c'est l'année de fac la plus sélective qui soit, il y a même des bac pro qui sont inscrits !!!
Je me suis tjrs d'ailleurs demandé pourquoi autant d'inscrits en 1er année qui n'ont strictement rien à y faire
Concernant la réputation de Médecine ST Etienne, je te confirme que plusieurs étudiants reçus m'ont indiqué cela
Je précise juste que je ne bosse pas directement à la Fac de Médecine mais que j'en cotoie de par mon job, c'est que juste certains de ces étudiants m'ont indiqué cela, vrai faux ? entre les 2 ! suis pas non plus un spécialiste
http://www.letudiant.fr/etudes/fac/mede ... l-ecn.html" onclick="window.open(this.href);return false;
Re: La ville de Saint-Etienne
Merci pour ce moment de franche rigolade. Hôpital, charité, tout ça tout ça ...jfg wrote: Je confirme aussi que pas mal d'étudiants étrangers n'apprécient que modérément la ville, les asiatiques par ex la trouvent sale.....Nous sommes "compétitifs" sur les prix concernant les étrangers car encore une fois ils choisissent souvent Paris, le sud (Aix, Montpellier...)voire Lyon......pour leurs études dans le supérieur Français
Re: La ville de Saint-Etienne
Ce n'est certes pas le meilleur CHU de France, bien que certains services soient de notoriété nationale (Neurologie, Cardiologie) voire internationale (Chirurgie cardio-vasculaire) et l'enseignement dispensé est de moindre qualité qu'à Paris par exemple mais comment fais tu pour attirer de grands pontes dans chacune des spécialités à Saint-Etienne quand Grenoble, Clermont et Lyon sont des centres de référence pour diverses pathologies depuis plusieurs années.jfg wrote:certes beaucoup d'inscrits en 1er année et la fac déménage à Nord d'ici février mars.
Tu sais aussi que la 1er année ne veut strictement rien dire, sur les 1.000que tu annonces, les 3/4 comme ailleurs vont dégager.....c'est l'année de fac la plus sélective qui soit, il y a même des bac pro qui sont inscrits !!!
Je me suis tjrs d'ailleurs demandé pourquoi autant d'inscrits en 1er année qui n'ont strictement rien à y faire
Concernant la réputation de Médecine ST Etienne, je te confirme que plusieurs étudiants reçus m'ont indiqué cela
Je précise juste que je ne bosse pas directement à la Fac de Médecine mais que j'en cotoie de par mon job, c'est que juste certains de ces étudiants m'ont indiqué cela, vrai faux ? entre les 2 ! suis pas non plus un spécialiste
http://www.letudiant.fr/etudes/fac/mede ... l-ecn.html" onclick="window.open(this.href);return false;
D'autre part, permets moi de contester la valeur de ce classement qui est établit chaque année. Il faut savoir que même le dernier à l'internat est assuré d'avoir un poste. Ce n'est pas Cardiologie à Paris mais plutôt Médecine Générale à Limoges, Marseille ou Besançon par exemple. Or, tandis qu'à Paris, Marseille, Toulouse les élèves ont tous l'ambition de devenir de grands pontes spécialistes, à Saint-Etienne nombreux ont la vocation de la Médecine Générale qui ne nécessite pas forcément un bon classement. Renseigne toi sur les modalités du concours de l'internat, et tu te rendras compte que les moins bien classés ne sont pas forcément les moins bons médecins.
Enfin, concernant la première année, sache qu'à Saint-Etienne l'ambiance y est excellente. Les doublants sont dans un amphi qui leur est réservé afin qu'il ne dérangent pas les primants comme c'est le cas dans 80% des facultés de France. Voila pourquoi de nombreux lyonnais, grenoblois ou clermontois viennent à Saint-Etienne car durant la première année l'ambiance y est bien meilleure qu'ailleurs. Après le nombre de reçus donc la difficulté est comme à Lyon ou Grenoble, c'est à dire 13-14% ( Numerus à 140 à Saint-Etienne pour environ 1100 inscrits).
Re: La ville de Saint-Etienne
Je le redis, c'était juste le ressenti de quelques étudiants..........
Concernant le top du médical à Sainté, j'ai eu affaire il y a bien longtemps de cela au Professeur Barral, éminent spécialiste de la chirurgie réparatrice vasculaire....sans lui :
donc je connais un peu là aussi, en plus c'est un homme simple, très apprécié de ses étudiants, il doit être proche de la retraite et passe peu à peu la main, renommée mondiale c'est vrai
Concernant le top du médical à Sainté, j'ai eu affaire il y a bien longtemps de cela au Professeur Barral, éminent spécialiste de la chirurgie réparatrice vasculaire....sans lui :
donc je connais un peu là aussi, en plus c'est un homme simple, très apprécié de ses étudiants, il doit être proche de la retraite et passe peu à peu la main, renommée mondiale c'est vrai
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Friteuse normale
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Re: La ville de Saint-Etienne
@Jfg : A mon avis, les facs et écoles à Sainté (tous domaines) sont pour la plupart au moins dans la bonne moyenne, sinon plutôt dans le haut du panier dans leur domaine. Je te blâme pas, mais quelques étudiants étrangers ou pas ne sont clairement pas représentatifs de ce que sont ces écoles réellement. D'ailleurs, rien que le fait de voir autant d'étudiants étrangers à Sainté est une bonne chose, car ça montre qu'on a quand même un certain rayonnement, et qu'en étant étouffés par BLL et Grenoble au niveau régional c'est déjà pas si mal d'arriver à survivre aux niveaux nationaux et internationaux.
La preuve : J'ai pour projet d'intégrer une école d'ingénieur, si possible directement après le bac (en CPI) et même s'il y a des chances que ça évolue d'ici le bac j'ai clairement identifié deux écoles qui m'intéressaient : Télécom St-Étienne et l'INSA Lyon, et chacune a des arguments à faire valoir. Alors certes y'a aussi l'ENISE qui se casse la gueule d'année en année et ça se voit, mais il ne faut pas s'arrêter là concernant le potentiel étudiant de Sainté
La preuve : J'ai pour projet d'intégrer une école d'ingénieur, si possible directement après le bac (en CPI) et même s'il y a des chances que ça évolue d'ici le bac j'ai clairement identifié deux écoles qui m'intéressaient : Télécom St-Étienne et l'INSA Lyon, et chacune a des arguments à faire valoir. Alors certes y'a aussi l'ENISE qui se casse la gueule d'année en année et ça se voit, mais il ne faut pas s'arrêter là concernant le potentiel étudiant de Sainté
KirmiziMavi wrote:Nous devrions et ne devrions pas manger cheval. Ceci est très important.
Re: La ville de Saint-Etienne
juste pour ma gouverne, tu en connais les causes ?Super Friteuse wrote:@Jfg : A mon avis, les facs et écoles à Sainté (tous domaines) sont pour la plupart au moins dans la bonne moyenne, sinon plutôt dans le haut du panier dans leur domaine. Je te blâme pas, mais quelques étudiants étrangers ou pas ne sont clairement pas représentatifs de ce que sont ces écoles réellement. D'ailleurs, rien que le fait de voir autant d'étudiants étrangers à Sainté est une bonne chose, car ça montre qu'on a quand même un certain rayonnement, et qu'en étant étouffés par BLL et Grenoble au niveau régional c'est déjà pas si mal d'arriver à survivre aux niveaux nationaux et internationaux.
La preuve : J'ai pour projet d'intégrer une école d'ingénieur, si possible directement après le bac (en CPI) et même s'il y a des chances que ça évolue d'ici le bac j'ai clairement identifié deux écoles qui m'intéressaient : Télécom St-Étienne et l'INSA Lyon, et chacune a des arguments à faire valoir. Alors certes y'a aussi l'ENISE qui se casse la gueule d'année en année et ça se voit, mais il ne faut pas s'arrêter là concernant le potentiel étudiant de Sainté
Hello
Is there anybody in there
Is there anybody in there
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Friteuse normale
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Re: La ville de Saint-Etienne
Concernant les causes, je ne saurais pas te dire. Peut-être que la spécialisation au tout début rebute certains ou que la situation géographique de l'ENISE à l'intérieur de la ville n'aide pas, mais quand les profs et les internautes que j'ai lus en parlent en mal c'est surtout à cause de la cote très basse et du niveau d'exigence apparement faible. C'est peut-être faux ou exagéré, mais venant de profs ça me surprendrait qu'ils disent des choses vraiment exagérées ou des jugements à l'emporte-pièce.Echoes_42 wrote:juste pour ma gouverne, tu en connais les causes ?Super Friteuse wrote:@Jfg : A mon avis, les facs et écoles à Sainté (tous domaines) sont pour la plupart au moins dans la bonne moyenne, sinon plutôt dans le haut du panier dans leur domaine. Je te blâme pas, mais quelques étudiants étrangers ou pas ne sont clairement pas représentatifs de ce que sont ces écoles réellement. D'ailleurs, rien que le fait de voir autant d'étudiants étrangers à Sainté est une bonne chose, car ça montre qu'on a quand même un certain rayonnement, et qu'en étant étouffés par BLL et Grenoble au niveau régional c'est déjà pas si mal d'arriver à survivre aux niveaux nationaux et internationaux.
La preuve : J'ai pour projet d'intégrer une école d'ingénieur, si possible directement après le bac (en CPI) et même s'il y a des chances que ça évolue d'ici le bac j'ai clairement identifié deux écoles qui m'intéressaient : Télécom St-Étienne et l'INSA Lyon, et chacune a des arguments à faire valoir. Alors certes y'a aussi l'ENISE qui se casse la gueule d'année en année et ça se voit, mais il ne faut pas s'arrêter là concernant le potentiel étudiant de Sainté
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Poteau droit
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Re: La ville de Saint-Etienne
La journaliste du Monde s'explique suite à la polémique suscitée par son article : http://www.lemonde.fr/societe/video/201 ... _3224.html" onclick="window.open(this.href);return false;
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Gonzalo Sanogo
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Re: La ville de Saint-Etienne
Je me demande si tu n'as pas été mon prof de droit à une époque. Les initiales de ton pseudo correspondent en tout cas, c'est ce qui m'a mis la puce à l'oreille par rapport à ce même prof qui utilisait lui aussi souvent ses initiales... Je sais pas combien de personnes bossant à l'université ont pour initiales jfg mais doit pas y en avoir des masses !jfg wrote:Briko : la ville ne compte pas 25.000 étudiants si l'on parle du monde universitaire mais environ 14.000, j'y bosse !!!
Bref lettre sympathique de ce prof d'archi mais quand il parle d'une population en pleine croissance à Sainté, j'avoue que j'ai du mal à suivre son raisonnement.
Mort au topic politique
Re: La ville de Saint-Etienne
Je pense qu'il parle de la population étudiante... moi aussi ça m'a interloqué.
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Gonzalo Sanogo
- Posts: 5474
- Joined: 23 Aug 2005, 09:36
Re: La ville de Saint-Etienne
En parlant d'études je découvre que l'ESC Saint-Etienne qui avait réussi l'exploit de perdre le grade de master (cas unique en france) est devenu une succursalle de l'EM Lyon qui y propose un programme Bac + 4.
Mort au topic politique
Re: La ville de Saint-Etienne
Ce serait en tout cas cohérent avec le personnage. Plutot que de louer les mérites de la fac de droit, qui est une des meilleures de france, on préfère casser la fac de medecine qui est juste dans la moyenne haute..
Mais c'est précisément parce que la fac de droit est réputée pour son excellence qu'il n'est pas possible que jfg y soit enseignant.
Mais c'est précisément parce que la fac de droit est réputée pour son excellence qu'il n'est pas possible que jfg y soit enseignant.
Re: La ville de Saint-Etienne
Sérieux, ils sont sympas les arguments de jfg. J'aime beaucoup.
Donc les chinois n'aiment pas la ville et veulent se barrer, mais à côté de ça ils rachètent toutes les pas de porte en ville ( perso j'en ai vu qu'un pour l'instant, rue de la République. Et puis, incroyable, des gens très sympas).
Les arabes qui bossent pas et qui trainent dans les rues ils font chier. Mais dès qu'ils se sortent les doigts du cul et montent leur business-un kebab par exemple-ils font chier aussi...
Jfg, quelque part j'admire ta persévérance.
Donc les chinois n'aiment pas la ville et veulent se barrer, mais à côté de ça ils rachètent toutes les pas de porte en ville ( perso j'en ai vu qu'un pour l'instant, rue de la République. Et puis, incroyable, des gens très sympas).
Les arabes qui bossent pas et qui trainent dans les rues ils font chier. Mais dès qu'ils se sortent les doigts du cul et montent leur business-un kebab par exemple-ils font chier aussi...
Jfg, quelque part j'admire ta persévérance.
Re: La ville de Saint-Etienne
Sans dénigrer Télécom Sainté si tu as le choix va à l'INSA sans hésiter une seconde je connais bien le milieux des écoles d'ingénieurs et j'ai été aussi du côté recruteur crois moi L'INSA de Lyon est bien mieux cotée.Super Friteuse wrote:@Jfg : A mon avis, les facs et écoles à Sainté (tous domaines) sont pour la plupart au moins dans la bonne moyenne, sinon plutôt dans le haut du panier dans leur domaine. Je te blâme pas, mais quelques étudiants étrangers ou pas ne sont clairement pas représentatifs de ce que sont ces écoles réellement. D'ailleurs, rien que le fait de voir autant d'étudiants étrangers à Sainté est une bonne chose, car ça montre qu'on a quand même un certain rayonnement, et qu'en étant étouffés par BLL et Grenoble au niveau régional c'est déjà pas si mal d'arriver à survivre aux niveaux nationaux et internationaux.
La preuve : J'ai pour projet d'intégrer une école d'ingénieur, si possible directement après le bac (en CPI) et même s'il y a des chances que ça évolue d'ici le bac j'ai clairement identifié deux écoles qui m'intéressaient : Télécom St-Étienne et l'INSA Lyon, et chacune a des arguments à faire valoir. Alors certes y'a aussi l'ENISE qui se casse la gueule d'année en année et ça se voit, mais il ne faut pas s'arrêter là concernant le potentiel étudiant de Sainté
D'ailleurs tout le monde fait un flan de toutes les écoles de Sainté mais parle très peu des Mines qui est de loin l'établissement d'enseignement supérieur le plus prestigieux et même l'une des école si ce n'est l'école d'ingénieur la plus haut classée de toute la région.
Re: La ville de Saint-Etienne
Oui, c'est vrai, c'est un gros oubli. Quand à la lettre de l'architecte, effectivement il parle de la population étudiante et elle est à mon humble avis plutôt bien foutue.thesnakke wrote:Sans dénigrer Télécom Sainté si tu as le choix va à l'INSA sans hésiter une seconde je connais bien le milieux des écoles d'ingénieurs et j'ai été aussi du côté recruteur crois moi L'INSA de Lyon est bien mieux cotée.Super Friteuse wrote:@Jfg : A mon avis, les facs et écoles à Sainté (tous domaines) sont pour la plupart au moins dans la bonne moyenne, sinon plutôt dans le haut du panier dans leur domaine. Je te blâme pas, mais quelques étudiants étrangers ou pas ne sont clairement pas représentatifs de ce que sont ces écoles réellement. D'ailleurs, rien que le fait de voir autant d'étudiants étrangers à Sainté est une bonne chose, car ça montre qu'on a quand même un certain rayonnement, et qu'en étant étouffés par BLL et Grenoble au niveau régional c'est déjà pas si mal d'arriver à survivre aux niveaux nationaux et internationaux.
La preuve : J'ai pour projet d'intégrer une école d'ingénieur, si possible directement après le bac (en CPI) et même s'il y a des chances que ça évolue d'ici le bac j'ai clairement identifié deux écoles qui m'intéressaient : Télécom St-Étienne et l'INSA Lyon, et chacune a des arguments à faire valoir. Alors certes y'a aussi l'ENISE qui se casse la gueule d'année en année et ça se voit, mais il ne faut pas s'arrêter là concernant le potentiel étudiant de Sainté
D'ailleurs tout le monde fait un flan de toutes les écoles de Sainté mais parle très peu des Mines qui est de loin l'établissement d'enseignement supérieur le plus prestigieux et même l'une des école si ce n'est l'école d'ingénieur la plus haut classée de toute la région.