La saison de L1 2015/2016

[Galcian]

Les pauvres sont en train de se prendre ^^

[Ellestin]

je pense pas qu'ils vont se ratatiner plus que ça du jour au lendemain non plus. Ils ont hélas largement le capital joueurs pour briguer le podium même avec un leadership de niveau DH et un jeu affreux.

[Fourina]

Ce Genesio a du faire un travail de longue haleine (...), passer sous le bureau d'aulas pendant toutes ces années... ça gagne ! Ca doit être la principale qualité pour entrer à l'ol.

[lemâtru]

je pense pas qu'ils vont se ratatiner plus que ça du jour au lendemain non plus. Ils ont hélas largement le capital joueurs pour briguer le podium même avec un leadership de niveau DH et un jeu affreux.

+1

[Tylith]

Parfait ce changement, le choix de Genesio va conforter certains lyonnais dans leur idées que tout est de la faute des recrues et de Fournier.
Que Tolisso, Ferri et Gonalons continu à nous offrir des prestations de haut standing comme ils le font depuis ce début de saison.

[Arcade]

on est devenu célèbre à une époque où le club était parmis les plus riches du championnat avec une dimension marketing que n'avait aucun autre club français.

J'ai toujours lu au contraire que la période du premier titre, où celle des années 70- coïncidaient avec une période creuse côté finances. Des sources?

Je suis aussi curieux de connaître la "dimension marketing" même à l'époque de l'équipe dite "des millionnaires", ou à celle du premier titre.

(on est donc bien d'accord qu'il ne faut pas me répondre sur la période post-glasgow...)

La dimension marketing de l'équipe des millionnaires était quasi nulle en effet, et surtout limitée au journaux locaux.
En 1957, très peu de présence médiatique également. Les regards étaient surtout portés sur Reims, Lille, Nice et les clubs parisiens. Il faut voir aussi qu'il n'était pas évident d'envoyer des reporters à Saint-Etienne (difficilement accessible depuis Paris) donc la couverture sportive des rencontres était généralement faite de textes sans images, qui aidait peu à la popularisation des équipes.
Les titres ont changé cà bien évidemment.

Merci à Castorp et Danish de rétablir un peu de vérité. C'est lassant à la fin de lire toujours les mêmes "légendes urbaines", ou plutôt footballistiques. Un seul exemple pour éviter de faire trop long : en 78, Dominique Bathenay part au PSG pour 8 Millions de francs, alors que l'ASSE lui avait proposé 4 Millions (au-delà c'était impossible pour le club). Alors pour un club de millionnaires c'est tout de même curieux (petit rappel, Bathenay n'avait que 24 ans).

[rouge]

on est devenu célèbre à une époque où le club était parmis les plus riches du championnat avec une dimension marketing que n'avait aucun autre club français.

J'ai toujours lu au contraire que la période du premier titre, où celle des années 70- coïncidaient avec une période creuse côté finances. Des sources?

Je suis aussi curieux de connaître la "dimension marketing" même à l'époque de l'équipe dite "des millionnaires", ou à celle du premier titre.

(on est donc bien d'accord qu'il ne faut pas me répondre sur la période post-glasgow...)

La dimension marketing de l'équipe des millionnaires était quasi nulle en effet, et surtout limitée au journaux locaux.
En 1957, très peu de présence médiatique également. Les regards étaient surtout portés sur Reims, Lille, Nice et les clubs parisiens. Il faut voir aussi qu'il n'était pas évident d'envoyer des reporters à Saint-Etienne (difficilement accessible depuis Paris) donc la couverture sportive des rencontres était généralement faite de textes sans images, qui aidait peu à la popularisation des équipes.
Les titres ont changé cà bien évidemment.

Merci à Castorp et Danish de rétablir un peu de vérité. C'est lassant à la fin de lire toujours les mêmes "légendes urbaines", ou plutôt footballistiques. Un seul exemple pour éviter de faire trop long : en 78, Dominique Bathenay part au PSG pour 8 Millions de francs, alors que l'ASSE lui avait proposé 4 Millions (au-delà c'était impossible pour le club). Alors pour un club de millionnaires c'est tout de même curieux (petit rappel, Bathenay n'avait que 24 ans).

En 1981 nous avions le premier budget de D1

[___]

C'est pas une histoire de "qui est premier", mais une histoire de proportion. Ca m'étonnerait qu'en 81 le budget de l'ASSE est été le double du deuxième budget, et le quadruple du quatrième.

De plus, si à l'époque l'ASSE avait mettons 100 millions de francs de budget, mais en intégrant l'inflation, on aurait abouti à un niveau ridicule aujourd'hui, en tout cas rien qui puisse permettre de justifier à soi seul la main mise que s'est créée en un tour de main le PSG.

[vertveine]

Avec un peu de chance Genesio va rapidement recuperer Fekir. Les resultats devraient repartir. Avec un peu de chance Aulas mettra en avant son choix gagnant et prolongera son coach pour 2 ans...

je pense pas qu'ils vont se ratatiner plus que ça du jour au lendemain non plus. Ils ont hélas largement le capital joueurs pour briguer le podium même avec un leadership de niveau DH et un jeu affreux.

[merlin]

Je viens de lire le potin sur le championnat des tribunes (toujours aussi naze ce "championnat" d'ailleurs) et j'ai une question : c'est quoi les générations Y et Z (catégorie nouveaux publics) ?

[merlin]

Sacré palmarès le Genésio

Le natif du 7e arrondissement de la capitale des Gaules a endossé deux fois dans sa carrière le costume d'entraîneur principal. A Villefranche-sur-Saône, entre 1999 et 2001, il a fait descendre le club de CFA (4e division) en Division d'Honneur (6e division). Depuis, le club est remonté en CFA et n'a jamais enregistré de pire classement que ceux connus sous son ère.

A Besançon, en 2004, Génésio a été licencié après cinq mois seulement passés à la tête de l'équipe. Laquelle est descendue, en fin de saison, de National en CFA. Pas vraiment le profil d'un "coach en réussite constante depuis quelques temps" qu'Aulas nous confiait rechercher le 4 décembre dernier...

http://www.eurosport.fr/football/ligue- ... tory.shtml

Quand tu rêves de Ancelotti ou Favre , et que tu trouves Bruno au pied du sapin, le choc doit être rude ...

[Riquet le vert]

quand Galtier à pris la place de Perrin c'était le même cas que Génésio avec Fournier.
On connaît la suite.... alors prudence avec Génésio même si j'espère qu'il va couler le club

[Galcian]

Sacré palmarès le Genésio

Le natif du 7e arrondissement de la capitale des Gaules a endossé deux fois dans sa carrière le costume d'entraîneur principal. A Villefranche-sur-Saône, entre 1999 et 2001, il a fait descendre le club de CFA (4e division) en Division d'Honneur (6e division). Depuis, le club est remonté en CFA et n'a jamais enregistré de pire classement que ceux connus sous son ère.

A Besançon, en 2004, Génésio a été licencié après cinq mois seulement passés à la tête de l'équipe. Laquelle est descendue, en fin de saison, de National en CFA. Pas vraiment le profil d'un "coach en réussite constante depuis quelques temps" qu'Aulas nous confiait rechercher le 4 décembre dernier...

http://www.eurosport.fr/football/ligue- ... tory.shtml

Quand tu rêves de Ancelotti ou Favre , et que tu trouves Bruno au pied du sapin, le choc doit être rude ...

Page précédente, un twittos lyonnais a fait un résume de sa carrière. C'est assez jubilatoire ^^

[Pilou]

quand Galtier à pris la place de Perrin c'était le même cas que Génésio avec Fournier.

Pas tout a fait pareil. Galtier, ca faisait quelques mois qu'Alain Perrin le mettait en avant, il l'envoyait en conferences de presse, etc. Je me souviens m'etais fait la remarque "en voila un qui va bientot partir pour un poste de principal". Je m'attendais pas que ca soit Perrin qui parte et Galtier qui le remplace, mais j'etais pas loin. Et Perrin meme a confirme ce ressenti en declarant apres la demission que c'est normal que Galtier le remplace, qu'ils s'entendent bien, qu'il le preparait pour ca, etc.

Apres, je suppose que Genesio a une mission tres simple: resouder le groupe pour tenir la barraque jusqu'a l'ete, quand ils vont vendre ceux qu'ils peuvent et ils vont demarrer un nouveau cycle avec un nouvel entraineur.

[Pilou]

Je viens de lire le potin sur le championnat des tribunes (toujours aussi naze ce "championnat" d'ailleurs) et j'ai une question : c'est quoi les générations Y et Z (catégorie nouveaux publics) ?

Generation Y: nes apres 1980, generation Z: nes apres 2000 (parfois apres 1995).

En general ces termes sont utilises par les sociologues comme des cliches: les Y sont tres a l'aise avec tout ce qui est informatique/electronique et les Z sont tres connectes (tres social media). Moi, je suis generation X et j'appele tout ca: "des jeunes", ca me va mieux comme cliche

[pascal425]

Genesio est évidement pris en intérim en attendant THE entraîneur .
Mais n'oubliez jamais que les vilains ne sont jamais morts tel le Phénix , je suis certain qu'ils vont être surmotivés pour le derby .

[Huracan]

Je viens de lire le potin sur le championnat des tribunes (toujours aussi naze ce "championnat" d'ailleurs) et j'ai une question : c'est quoi les générations Y et Z (catégorie nouveaux publics) ?

Generation Y: nes apres 1980, generation Z: nes apres 2000 (parfois apres 1995).

En general ces termes sont utilises par les sociologues comme des cliches: les Y sont tres a l'aise avec tout ce qui est informatique/electronique et les Z sont tres connectes (tres social media). Moi, je suis generation X et j'appele tout ca: "des jeunes", ca me va mieux comme cliche

La signification de la génération Y vient en fait des jeunes qui sont toujours avec leurs écouteurs dans les oreils, et ça forme un Y du coup

[Arcade]

on est devenu célèbre à une époque où le club était parmis les plus riches du championnat avec une dimension marketing que n'avait aucun autre club français.

J'ai toujours lu au contraire que la période du premier titre, où celle des années 70- coïncidaient avec une période creuse côté finances. Des sources?

Je suis aussi curieux de connaître la "dimension marketing" même à l'époque de l'équipe dite "des millionnaires", ou à celle du premier titre.

(on est donc bien d'accord qu'il ne faut pas me répondre sur la période post-glasgow...)

La dimension marketing de l'équipe des millionnaires était quasi nulle en effet, et surtout limitée au journaux locaux.
En 1957, très peu de présence médiatique également. Les regards étaient surtout portés sur Reims, Lille, Nice et les clubs parisiens. Il faut voir aussi qu'il n'était pas évident d'envoyer des reporters à Saint-Etienne (difficilement accessible depuis Paris) donc la couverture sportive des rencontres était généralement faite de textes sans images, qui aidait peu à la popularisation des équipes.
Les titres ont changé cà bien évidemment.

Merci à Castorp et Danish de rétablir un peu de vérité. C'est lassant à la fin de lire toujours les mêmes "légendes urbaines", ou plutôt footballistiques. Un seul exemple pour éviter de faire trop long : en 78, Dominique Bathenay part au PSG pour 8 Millions de francs, alors que l'ASSE lui avait proposé 4 Millions (au-delà c'était impossible pour le club). Alors pour un club de millionnaires c'est tout de même curieux (petit rappel, Bathenay n'avait que 24 ans).

En 1981 nous avions le premier budget de D1

Vous me soûlez la gueule avec vos légendes urbaines puisées à des sources partisanes et nauséabondes !
Lecteurs assidus de "PIF Gadget" et de "Merding France Football" allez faire vos petites saletés ailleurs !

[Greenwood]

Je viens de lire le potin sur le championnat des tribunes (toujours aussi naze ce "championnat" d'ailleurs) et j'ai une question : c'est quoi les générations Y et Z (catégorie nouveaux publics) ?

Generation Y: nes apres 1980, generation Z: nes apres 2000 (parfois apres 1995).

En general ces termes sont utilises par les sociologues comme des cliches: les Y sont tres a l'aise avec tout ce qui est informatique/electronique et les Z sont tres connectes (tres social media). Moi, je suis generation X et j'appele tout ca: "des jeunes", ca me va mieux comme cliche

Et c'est là que Papy Ozzy, Guiness, moi et qq autres se rendent enfin compte qu'on est de la génération A voire B....

[rouge]

C'est pas une histoire de "qui est premier", mais une histoire de proportion. Ca m'étonnerait qu'en 81 le budget de l'ASSE est été le double du deuxième budget, et le quadruple du quatrième.

De plus, si à l'époque l'ASSE avait mettons 100 millions de francs de budget, mais en intégrant l'inflation, on aurait abouti à un niveau ridicule aujourd'hui, en tout cas rien qui puisse permettre de justifier à soi seul la main mise que s'est créée en un tour de main le PSG.

On avait le premier budget derrière il y avait le PSG
C'est sur que le QSG n'a pas eu de precedent

[rouge]

on est devenu célèbre à une époque où le club était parmis les plus riches du championnat avec une dimension marketing que n'avait aucun autre club français.

J'ai toujours lu au contraire que la période du premier titre, où celle des années 70- coïncidaient avec une période creuse côté finances. Des sources?

Je suis aussi curieux de connaître la "dimension marketing" même à l'époque de l'équipe dite "des millionnaires", ou à celle du premier titre.

(on est donc bien d'accord qu'il ne faut pas me répondre sur la période post-glasgow...)

La dimension marketing de l'équipe des millionnaires était quasi nulle en effet, et surtout limitée au journaux locaux.
En 1957, très peu de présence médiatique également. Les regards étaient surtout portés sur Reims, Lille, Nice et les clubs parisiens. Il faut voir aussi qu'il n'était pas évident d'envoyer des reporters à Saint-Etienne (difficilement accessible depuis Paris) donc la couverture sportive des rencontres était généralement faite de textes sans images, qui aidait peu à la popularisation des équipes.
Les titres ont changé cà bien évidemment.

Merci à Castorp et Danish de rétablir un peu de vérité. C'est lassant à la fin de lire toujours les mêmes "légendes urbaines", ou plutôt footballistiques. Un seul exemple pour éviter de faire trop long : en 78, Dominique Bathenay part au PSG pour 8 Millions de francs, alors que l'ASSE lui avait proposé 4 Millions (au-delà c'était impossible pour le club). Alors pour un club de millionnaires c'est tout de même curieux (petit rappel, Bathenay n'avait que 24 ans).

En 1981 nous avions le premier budget de D1

Vous me soûlez la gueule avec vos légendes urbaines puisées à des sources partisanes et nauséabondes !
Lecteurs assidus de "PIF Gadget" et de "Merding France Football" allez faire vos petites saletés ailleurs !

Mes sources Pif gadget miroir du football t'aurai pas pu lire vu le nivo prévisible de ton quotient intellectuel

[ozzy]

Je viens de lire le potin sur le championnat des tribunes (toujours aussi naze ce "championnat" d'ailleurs) et j'ai une question : c'est quoi les générations Y et Z (catégorie nouveaux publics) ?

Generation Y: nes apres 1980, generation Z: nes apres 2000 (parfois apres 1995).

En general ces termes sont utilises par les sociologues comme des cliches: les Y sont tres a l'aise avec tout ce qui est informatique/electronique et les Z sont tres connectes (tres social media). Moi, je suis generation X et j'appele tout ca: "des jeunes", ca me va mieux comme cliche

Et c'est là que Papy Ozzy, Guiness, moi et qq autres se rendent enfin compte qu'on est de la génération A voire B....

tu as raison ... la 1ère génération ... celle dont tout le monde fait référence et qu"on n'ose pas contre-dire du fait que .... c'était toujours mieux avant.

[Latornade]

on est devenu célèbre à une époque où le club était parmis les plus riches du championnat avec une dimension marketing que n'avait aucun autre club français.

J'ai toujours lu au contraire que la période du premier titre, où celle des années 70- coïncidaient avec une période creuse côté finances. Des sources?

Je suis aussi curieux de connaître la "dimension marketing" même à l'époque de l'équipe dite "des millionnaires", ou à celle du premier titre.

(on est donc bien d'accord qu'il ne faut pas me répondre sur la période post-glasgow...)

La dimension marketing de l'équipe des millionnaires était quasi nulle en effet, et surtout limitée au journaux locaux.
En 1957, très peu de présence médiatique également. Les regards étaient surtout portés sur Reims, Lille, Nice et les clubs parisiens. Il faut voir aussi qu'il n'était pas évident d'envoyer des reporters à Saint-Etienne (difficilement accessible depuis Paris) donc la couverture sportive des rencontres était généralement faite de textes sans images, qui aidait peu à la popularisation des équipes.
Les titres ont changé cà bien évidemment.

Merci à Castorp et Danish de rétablir un peu de vérité. C'est lassant à la fin de lire toujours les mêmes "légendes urbaines", ou plutôt footballistiques. Un seul exemple pour éviter de faire trop long : en 78, Dominique Bathenay part au PSG pour 8 Millions de francs, alors que l'ASSE lui avait proposé 4 Millions (au-delà c'était impossible pour le club). Alors pour un club de millionnaires c'est tout de même curieux (petit rappel, Bathenay n'avait que 24 ans).

C'est tout ce que tu as trouvé pour détruire une légende urbaine ? Un transfert que nous n'aurions pas pu assurer. Whaou. T'as raison de passer aux dénigrement soupoudrer d'insultes par la suite, tu es un peu léger.

[Vermeer]

C'est pas une histoire de "qui est premier", mais une histoire de proportion. Ca m'étonnerait qu'en 81 le budget de l'ASSE est été le double du deuxième budget, et le quadruple du quatrième.

De plus, si à l'époque l'ASSE avait mettons 100 millions de francs de budget, mais en intégrant l'inflation, on aurait abouti à un niveau ridicule aujourd'hui, en tout cas rien qui puisse permettre de justifier à soi seul la main mise que s'est créée en un tour de main le PSG.

La loi de Zipf appliquée au foot.
Parfois étonnant comment chacun adapte le curseur de ce qui est admissible en fonction de la situation à l'instant T de son club de coeur. Et je ne prétends pas y échapper. Ni rien justifier. Juste savourer en attendant des lendemains qui déchantent et qui viendront bien assez vite.

[Sempre Sainté]

C'est pas une histoire de "qui est premier", mais une histoire de proportion. Ca m'étonnerait qu'en 81 le budget de l'ASSE est été le double du deuxième budget, et le quadruple du quatrième.

De plus, si à l'époque l'ASSE avait mettons 100 millions de francs de budget, mais en intégrant l'inflation, on aurait abouti à un niveau ridicule aujourd'hui, en tout cas rien qui puisse permettre de justifier à soi seul la main mise que s'est créée en un tour de main le PSG.

La loi de Zipf appliquée au foot.
Parfois étonnant comment chacun adapte le curseur de ce qui est admissible en fonction de la situation à l'instant T de son club de coeur. Et je ne prétends pas y échapper. Ni rien justifier. Juste savourer en attendant des lendemains qui déchantent et qui viendront bien assez vite.

Sans deconner Vermeer avec un petit peu de recul et sans parti pris, tu arrives à "savourer" la suprématie parisienne?
Perso que mon club de cœur gagne tout sans opposition, sans plus aucun plaisir de lutte sportive, dans un cimetière alors que ce stade était bouillant, etc... Je suis pas convaincu que je prenne mon pied.
D'autant plus que vue de l'extérieur ce club ne fait envie à personne.