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Lu aujourd'hui sur rugbyrama :

Présentation : Saint-Étienne

Début de nos présentations des clubs du Pro D2 qui reprendra le 28 août prochain avec la formation de Saint-Etienne. Le promu, malgré des moyens limités et un recrutement tardif, tentera de se maintenir mais la tâche s'annonce bien difficile. Aux Stéphanois de surprendre !

LA FICHE

Date de fondation : 1908
Président : Fréderic Baudouin
Entraîneurs : Cédric Chaubeau, Jean-Sébastien Bignat
Stade : Stade de l'Étivallière
Titre : aucun

L'OBJECTIF

"Nous savons qu'on nous prédit une saison catastrophe, déclare Richard McClintock, le manager général du Case. Nous sommes prêts à affronter les tsunamis, les cyclones, les ouragans, les tempêtes, les tornades. Nous avons choisi d'embarquer dans cette aventure. Nous allons la vivre à fond, sans arrière-pensée. Nous allons mordre dans cette compétition à pleines dents. Et arrive ce qui arrivera. Cela aura été, quoiqu'il se passe une expérience fabuleuse." Les mots sont clairs, l'objectif de la saison est de garder cet état d'esprit caractéristique qui a permis au Case une ascension remarquable depuis près de trois ans. Courage, complicité et optimisme sont les maîtres mots des légendaires Verts. Et même si l'objectif du maintien ne semble pas être évoqué, il reste néanmoins une étape importante du parcours des Stéphanois.

OU EN EST LE CLUB ?

Après une place de finaliste du Jean-Prat lors de la saison 2008-2009 de Fédérale 1, le Case a finalement quitté le niveau amateur la saison dernière, en décrochant la seconde place derrière Carcassonne. Le club stéphanois accède ainsi pour la première fois au monde professionnel et inaugure par la même occasion son centre de formation en partenariat avec plusieurs lycées stéphanois. Les premiers matchs amicaux se sont tout de même montrer satisfaisant. En effet, Saint-Etienne s'est imposé par deux fois face à Aix-en-Provence (23-21) et Dijon (32-12) mais s'est incliné face au voisin lyonnais (38-13). Encourageant et...à confirmer.

Le joueur à suivre : Sydney Galopin

Après trois ans passés au sein du LOU Rugby, Sydney a quitté le club pour rejoindre les voisins stéphanois. Le championnat est le même. Les objectifs, eux, diffèrent. Alors qu'il n'était autrefois question que d'ascension en Top 14, aujourd'hui le Case tente le maintien. "C'est vrai que les objectifs sont différents. Á Saint-Étienne, il va falloir voir les choses au jour le jour, voire même match par match. Entre le LOU et nous, ce ne sont pas les mêmes moyens, pas les mêmes structures." La possibilité de rester dans la région a été déterminante pour l'ancien centre lyonnais qui souhaite apporter son expérience du haut niveau de Pro D2. "Notre groupe est là pour jouer le maintien. C'est tout nouveau pour la majorité des joueurs mais je vois déjà qu'ils ont tous un coeur énorme."

La star : Alexandre Péclier

International dans ses plus belles années, puis précieux buteur avec Bourgoin, Alexandre Péclier est aujourd'hui la star de l'équipe de Saint-Étienne. Meilleur réalisateur de Fédérale 1 la saison dernière, Péclier semble s'améliorer en vieillissant. Auteur de 65% des points de son équipe l'an passé, l'ouvreur stéphanois est devenue une véritable icône, un demi-dieu vénéré à l'Étivallière. Il fut en effet décisif lors de la phase finale qui envoya le Case en Pro D2. Le club a la chance de pouvoir compter sur son jeu au pied, son expérience et son indéniable goût de compétiteur.

Mouvements :

Entrées : Lecadre, Ney, Diotallevi, Belhocine (Châlon-sur-Saône) ; Denoyelle, Dridi, Grimaud (Marseilles-Vitrolles) ; Gicolet, Galopin (Lyon) ; Damiani (Biarritz) ; Petre (Bézier) ; Jourdain (Racing-Métro) ; Crozat (Bourgoin-Jallieu) ; Parent, Baron (Perpignan) ; Gwenael (Mazamet) ; Lopez (Mont-de-Marsan) ; Marie (Colomiers) ; Lotito (Grenoble) ; Pautrick (Stade Français).

Sorties : Massot, Bard, Thivend (Vienne) ; Machkhanelli, Udesiani (Mâcon) ; Talle (Grasse) ; Lazar (Aix-en-Provence) ; Etame (Beaurepaire) ; Scaronne (Arrêt).

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Il y a aussi le catch le 22 septembre a sainté

Défaite du CASE face à l'US Bressane (fédérale 1) 15-23

Lu ce matin dans Sud-Ouest :

Reprise de la Pro D2 vendredi : « Transformer l'essai »

Le vice-président de la Ligue Nationale de Rugby Patrick Wolff évoque les grands enjeux de la 11e saison de Pro D2, qui s'ouvrira vendredi soir. La priorité ? Trouver de nouvelles ressources.

Après dix ans d'existence, le championnat de Pro D2 joue-t-il le rôle espéré ?

En créant la Pro D2, nous avions un doute sur la capacité du rugby professionnel français à faire vivre trente équipes de bon niveau. On avait peur d'être obligé de faire une compétition « open » avec clubs professionnels et amateurs. À l'époque, beaucoup d'équipes n'avaient que 1500 supporters de moyenne dans leurs stades. Si on regarde les chiffres de la saison écoulée, on a des matches à près de 4500 spectateurs de moyenne, des clubs avec des stades de 10 000 places et des taux de remplissages supérieurs à 50%, alors même que Toulon est monté. Donc oui, la Pro D2 joue son rôle.

La Ligue souhaitait aussi faire de la Pro D2 un « vecteur de développement géographique » du rugby. Or les clubs en lice cette année se situent tous au sud d'une ligne qui va de Bordeaux aux Alpes...

C'est vrai, mais rappelons que c'est quelque chose de difficile. J'y ai notamment travaillé dans des villes comme Nantes, Lille, Arras. On s'est rendu compte qu'il fallait des racines, qu'on ne pouvait pas construire quelque chose d'artificiel. En plus, le cœur du rugby est au sud, il faut un changement culturel majeur.

Que pensez-vous de la montée surprise du CA Saint-Etienne ?

Je surveille de très près ce qui se passe dans la région lyonnaise. Il commence à y avoir une densité de clubs, en Top 14 et en Pro D2, qui est intéressante : de là, on pourra regarder vers le nord-est. Quant à Saint-Etienne, ce n'était pas prévisible et ça va être intéressant à suivre : c'est une ville assez grande avec une culture football, une région avec beaucoup de clubs... On attend de voir avec impatience l'affrontement avec Lyon à Gerland !

Est-il possible de favoriser financièrement l'émergence de clubs dans la moitié Nord de la France ?

Non, car il y a une volonté d'équité partagée par tous. Il n'y a pas de solution miracle, on ne va pas passer à une formule à l'américaine avec des franchises ! Non, il faut trouver d'autres solutions, expliquer à des investisseurs qui s'intéressent au rugby, à Rennes, à Nantes ou ailleurs, que c'est le bon moment pour monter une équipe de rugby. Toutefois, il faut prendre son temps : n'allons pas installer le rugby à Lille en le tuant à Narbonne.

La LNR a-t-elle les moyens d'aider l'agglomération de Bordeaux à retrouver un club en Top 14 ?

De manière générale, à Bordeaux comme ailleurs, il faut qu'on arrive à développer suffisamment les droits centraux du rugby pro - marketing, structures, etc - pour que les clubs ne soient plus dépendants des décisions politiques. On a créé une commission économique pour chercher des ressources supplémentaires : ce sera le grand enjeu de cette saison.

Il y a aussi les droits de télévision. Où en est la Pro D2 ?

On a mis les pieds dedans (un match par journée en direct sur Sport +, et neuf dans la saison sur France 3, NDLR), les clubs sont satisfaits et les audiences sont correctes. Maintenant, il faut transformer l'essai et montrer aux chaînes que c'est un produit intéressant.

Le budget moyen en Pro D2 est de 4,79 millions d'euros contre 16,05 en Top 14. Cet écart n'est-il pas trop important ?

Ça rend la marche très élevée. À part dans les cas de Toulon en 2008 et du Racing en 2009, où il y avait suffisamment d'argent pour bâtir une équipe de Top 14 dès l'année de la montée, c'est très difficile à franchir. Il faudrait pouvoir finir la saison plus tôt pour que les promus puissent recruter assez tôt.

Est-ce l'année du LOU ?

Peut-être : les Lyonnais ont recruté les piliers qui leur manquaient. Mais il y a aussi un travail en profondeur qui devrait payer à Pau. Oyonnax a aussi un joli projet et commence à avoir vraiment envie de monter. Il ne faut pas non plus écarter Dax.

Y a-t-il quelque chose à reprocher à la Pro D2 ?

C'est un avis personnel, mais ce serait bien que les clubs alignent un maximum de jeunes joueurs français. On me dit que c'est plus simple d'acheter un étranger, mais c'est une facilité apparente.

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Lu hier sur zoom42 :

Une tribune couverte pour le Case Rugby

C'est le cadeau de la Ville de Saint-Etienne pour le Case Rugby qui évoluera cette année en Pro D2 (l'antichambre de l'élite du Top14): une tribune couverte au stade de l'Etivallière de 1 200 places. Cette tribune d'un coût total de 200 000 euros doit être opérationnelle le 18 septembre pour la rencontre Case Rugby/Tarbes PR 65. Mais les travaux ont pris du retard…

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Lu ce matin dans La Dépêche du Midi : Sainté a le plus petit budget de la pro-D2 (2,03 M€).

14 des 16 entraîneurs de pro D2 pronostiquent la relégation du CASE-Rugy alors que le LOU est annoncé champion à l'unanimité...
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José wrote:Lu ce matin dans La Dépêche du Midi : Sainté a le plus petit budget de la pro-D2 (2,03 M€).

Et je crois que depuis plus de je ne sais combien d'année, le plus petit budget est toujours descendu en F1

La Pro D2 en 3D

Le CA Saint-Etienne va vivre de l'intérieur l'expérience du rugby professionnel

Le CASE ne sait pas tenir en place. Il s'était donné cinq ans pour faire son apprentissage en Fédérale 1, en connaître les rouages, se préparer à tourner la page de l'amateurisme. Avant de rentrer de plain-pied dans le monde professionnel. Un seul lui a suffi. Après trois saisons seulement passées en Fédérale 3 et deux en Fédérale 2. De plus en plus vite. Cela s'est produit au terme d'un printemps de folie, auréolé d'un titre de vice-champion de France. Doublé simplement par Carcassonne, déjà demi-finaliste l'année précédente.

Voilà donc les Casistes parés à débarquer dans cet univers de la Pro D2, la petite sœur du Top 14. Une galaxie qui n'était visible jusqu'à présent qu'à travers le petit écran. Cette année, Saint-Etienne va vivre cette aventure de l'intérieur, en trois dimensions. Il ne sera pas nécessaire d'être équipé de lunettes spéciales. Tout sera réel. Le parc des sports de l'Etivallière, qui se refait actuellement une beauté pour accueillir plus dignement son public, servira de toile de fond à ce spectacle tant attendu. Quant aux quatre superproductions annoncées - les trois derbies et la réception de Bordeaux-Bègles - elles se dérouleront en version Imax à Geoffroy-Guichard. A commencer par la venue d'Oyonnax, une des superstars du générique, le samedi 4 septembre à 15 heures. Une semaine après l'ouverture de la chasse aux Colverts à Albi.

Quoi qu'on en dise, les Stéphanois vont être les bêtes curieuses de ce début de saison. En témoignent, leurs deux programmations télévisées lors des trois premières journées. Une ville de foot qui vient mettre son grain de sable sous les ballons ovales, cela attise la curiosité. La bande-annonce diffusée par Eurosport en novembre dernier, pour la réception de Béziers à Andrézieux-Bouthéon, a porté ses fruits. Tout comme celle en juin face à Bourg-en-Bresse, en demi-finale aller dans le Chaudron, avec la colère du ciel en guise d'effets spéciaux.

Certes, ces nouveaux verts ne feront jamais oublier les anciens ou ombrage aux actuels, ceux du ballon rond. Loin d'eux cette idée d'ailleurs. Tout juste réclament-ils un minimum de reconnaissance. En s'amusant ou s'agaçant - selon les humeurs - des moyens et des conditions précaires qui les entourent. C'en est devenu une marque de fabrique, l'esprit gitan évoqué tant de fois la saison dernière. Même les nouveaux joueurs s'en imprègnent déjà. Ils sont vingt-deux cette année, venus enrichir l'effectif. Indispensable pour espérer rivaliser à cet échelon et obtenir ce maintien qu'on lui dit impossible avec son tout petit budget d'à peine 2 millions d'euros. Pour y parvenir malgré tout, il faudra faire en sorte de laisser au minimum deux adversaires derrière soi au classement au moment du clap de fin du trentième épisode. La réalisation est en place, aux acteurs de continuer à nous faire rêver.

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la saison du CASE sera très très difficile c'est clair ... Un minimum de moyens est forcément nécessaire à partir de l'échelon Pro D2 ... mais de tout coeur avec ce club (en passant un coucou à ceux qui ont joué au Hand sous ces mêmes couleurs !! )

Dire que si on empile 2 Ndaw, ca fait le plus gros budget du rugby de Pro D2 ... incroyable

Et que 1 Ndaw a lui tout seul, represente 2x le budget du CASE ...

José wrote:14 des 16 entraîneurs de pro D2 pronostiquent la relégation du CASE-Rugy alors que le LOU est annoncé champion à l'unanimité...
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Tout ça parce que le retour du LOU a été constaté dans les Pyrénées.
Ces journalistes sont vraiment des brebis galeuses!

deadken wrote:

José wrote:14 des 16 entraîneurs de pro D2 pronostiquent la relégation du CASE-Rugy alors que le LOU est annoncé champion à l'unanimité...
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Tout ça parce que le retour du LOU a été constaté dans les Pyrénées.
Ces journalistes sont vraiment des brebis galeuses!

La solution :

guinnesstime wrote:

deadken wrote:

José wrote:14 des 16 entraîneurs de pro D2 pronostiquent la relégation du CASE-Rugy alors que le LOU est annoncé champion à l'unanimité...
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Tout ça parce que le retour du LOU a été constaté dans les Pyrénées.
Ces journalistes sont vraiment des brebis galeuses!

La solution :

Un berger sans glace. Tu as raison, c'est bientôt l'heure de l'apéro!

deadken wrote:

guinnesstime wrote:

deadken wrote:

José wrote:14 des 16 entraîneurs de pro D2 pronostiquent la relégation du CASE-Rugy alors que le LOU est annoncé champion à l'unanimité...
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Tout ça parce que le retour du LOU a été constaté dans les Pyrénées.
Ces journalistes sont vraiment des brebis galeuses!

La solution :

Un berger sans glace. Tu as raison, c'est bientôt l'heure de l'apéro!

Il est corse ?

Henry Broncan (Albi) : « J’ai du respect pour Saint-Etienne »

"Hisser le rugby au haut niveau dans ses terres totalement dédiées au football, c’est de l’apostolat. J’ai beaucoup de respect pour cette équipe, pour l’exploit qu’elle a réalisé de s’imposer au pays du football. J’ai pu constater qu’il s’agit d’une équipe très soudée, sans complexe et qui a recruté de très bons joueurs qui ont toute leur place dans le rugby professionnel. Rappelons- nous que Saint-Etienne sort d’une spirale de succès et n’a rien à perdre. Albi sort d’une spirale de défaites. Il faut sortir de cette spirale pour retrouver le chemin de la victoire."

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Pour l'instant, Albi mène 23-6.
Oops!

Défaite du CASE à Albi, 45-19.

D'après le Progrès ils espèrent faire 10 000 personnes pour le match de Samedi à GG.

guinnesstime wrote:

deadken wrote:

José wrote:14 des 16 entraîneurs de pro D2 pronostiquent la relégation du CASE-Rugy alors que le LOU est annoncé champion à l'unanimité...
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Tout ça parce que le retour du LOU a été constaté dans les Pyrénées.
Ces journalistes sont vraiment des brebis galeuses!

La solution :

Bon et Sebastien, il devient quoi ?

CASE-Oyonnax cet après-midi dans le Chaudron et en direct sur Sport + : http://www.sport-tv.org/article-sam-04- ... 57330.html" onclick="window.open(this.href);return false;

Narbonne-CASE dimanche 12 septembre en direct sur France 3 : http://www.pyreneesinfosport.fr/index.p ... &Itemid=14" onclick="window.open(this.href);return false;

Assez incroyable pour être signalé :

"Pour cette rencontre, la première diffusée à la TV (Sport+ dès 15h), les verts du ballon ovale arriveront au stade à pied depuis le restaurant "Le Chaudront vert". Nous vous demanderons de bien vouloir les aclamer à leur arrivée (prévue autour de 13h30)."

Lu sur le site du case, j'espere qu'il y aura beaucoup de monde.

Les rugbymens vont boire un coup avant de jouer le match

En tout cas je serais au match et j'espère une bonne petite ambiance !!

demonstration des oyonnaxiens en terre stéphanoise (47-7) avec 6 essais à 1

callaghan wrote:demonstration des oyonnaxiens en terre stéphanoise (47-7) avec 6 essais à 1

Aie !