D'autant que Vincent a rappelé qu'à partir d'un certain moment, les lois sur les appels d'offres et autres interdisaient à un tiers comme l'ASSE de participer aux réunions.la buse wrote:L'attitude des dirigeants est tout simplement ridicule.
Les pouvoirs publics injectent 60 millions dans la rénovation du stade, ce qui est déjà très criticable au vu des finances de l'agglomération, et ils trouvent encore le moyen de râler.
Je n'approuve pas spécialement le choix qui a été fait en tant que contribuable, mais en tant que dirigeant/locataire je trouve leur réaction très malvenue et politicienne.
Des querelles de ce type ne pourront durablement empoisonner les relations entre les élus locaux et le club.
GEOFFROY GUICHARD II
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pitchdobrasil
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Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
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la dodo lé la
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Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
Mercier était déjà au gouvernement, à l'aménagement du territoire non ?l'As de Saint-Etienne wrote:Sinon, c'est Aulasse qui doit être content : Mercier qui est rentré au gouvernement, c'est bien un extrème-pro-quenelland, non ?
En tout cas, entre la réforme de la procédure pénale et les idées de l'autre *** de président qui veut mettre des jurés en correctionnelle avec des moyens toujours aussi ridicules dans la Justice, je ne pense pas qu'il ait le temps de triper sur d'Aulasse et son club
Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
Là, je suis moins sûr...pitchdobrasil wrote:D'autant que Vincent a rappelé qu'à partir d'un certain moment, les lois sur les appels d'offres et autres interdisaient à un tiers comme l'ASSE de participer aux réunions.la buse wrote:L'attitude des dirigeants est tout simplement ridicule.
Les pouvoirs publics injectent 60 millions dans la rénovation du stade, ce qui est déjà très criticable au vu des finances de l'agglomération, et ils trouvent encore le moyen de râler.
Je n'approuve pas spécialement le choix qui a été fait en tant que contribuable, mais en tant que dirigeant/locataire je trouve leur réaction très malvenue et politicienne.
Des querelles de ce type ne pourront durablement empoisonner les relations entre les élus locaux et le club.
Par contre, si la Ville investit dans un projet qui va augmenter les recettes d'exploitation du stade, il est normal qu'elle veuille une plus grosse part du plus gros gâteau. On peut seulement regretter que la Mairie ait opté pour un projet peu ambitieux et que le club n'ait pas trouvé les moyens de financer par ailleurs un projet plus ambitieux.
Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
Une petite photo du projet Eiffage :
Agent immobilier sur la région lyonnaise.
Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
J'espère que les balcons en kop du projet retenu ne seront pas du même genre, on dirait les virages de Gerland (une des raisons d'ailleurs pourquoi ça sonne creux à Lyon).
PS pour ta signature Punky : tu es agent immo sur Lyon ?
PS pour ta signature Punky : tu es agent immo sur Lyon ?
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TitusPullo77
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Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
http://www.leprogres.fr/fr/sports/footb ... yer-calme-(presque" onclick="window.open(this.href);return false;)-le-jeu.html
Rénovation de Geoffroy-Guichard
Romeyer calme (presque) le jeu
Le président du Directoire de l'ASSE dit vouloir mettre fin à la polémique. Mais l'entretient
Chasser le naturel, il revient au galop. C'est l'image qu'a donnée Roland Romeyer hier matin. Au départ, tout partait d'un bon sentiment. « Il y a un sujet sensible à Saint-Etienne, le chaudron. Dès qu'on y touche, ça devient dangereux. Le club avait le projet de faire un stade neuf. Saint-Etienne Métropole a décidé une rénovation mais tout le monde veut l'Euro 2016 et nous travaillerons en collaboration ».
À l'arrivée, le discours s'est musclé, après un rappel des faits vu du côté du club : « On entend tout et n'importe quoi. On s'était mis autour d'une table avec Métropole. On avait fait part de nos souhaits. Ça se passait bien, puis à un moment, on nous a dit, il faut faire une coupe sombre, plus de restaurant, de musée, de billetterie. J'avais désigné Stéphane Tessier pour nous représenter aux réunions d'information. On nous a demandé ce que le club pourrait payer comme redevance, pour établir le montage financier mais sans qu'on sache de quels moyens nous disposerions ».
Le président de l'ASSE évoque là le nombre de places VIP « On ne connaissait pas le projet jusqu'au 18 octobre et quand j'ai compris que le choix était effectif, j'ai manifesté mon mécontentement. »
La colère est encore vive et Roland Romeyer entend la partager avec Bernard Caïazzo « Nous étions d'accord, nous avons signé les courriers ensemble ». Était-il besoin de le rappeler ?
Depuis les choses vont mieux. Du moins, c'est ce qui ressort d'un passage plus paisible de cette conférence de presse : « On s'est vu lundi avec Métropole. On a pu connaître le projet en détail. Il y a quand même eu une écoute, on a pu s'exprimer et on a le sentiment de pouvoir travailler. On ne peut pas tout modifier mais il peut y avoir des améliorations substantielles. On a, tous, le même but, l'Euro. Au delà, nous souhaitons avoir un outil de travail mais avec Métropole et le Conseil général, nous arriverons tous ensemble à ce que Geoffroy-Guichard soit retenu. Nous sommes sur le même bateau. Je veux mettre fin à toute polémique. L'objectif est de trouver des solutions ».
Tout irait donc bien ? Pas tout à fait. « Le projet est évolutif, oui, mais c'est mieux de prévoir. Il y aura un musée, nous dit-on. Mais où et comment ? Si construction il y a, il faudra un nouvel appel d'offres. Je trouve cela ridicule… On supprime le terrain annexe et je lis que les pros ne l'ont presque jamais utilisé, mais il n'y a pas que les pros à l'ASSE. On a aussi des jeunes ».
Suit un autre cheval de bataille, chevauché également par Gilles Artigues, élu de l'opposition au maire : « Il y a un grave problème à l'Etrat où la dérogation dont nous bénéficions pour la CFA prend fin en juin. Il faut mettre le stade aux normes et ce n'est pas nous qui allons mettre 1,7 million pour cela, alors que nous ne sommes pas propriétaires. »
Un peu comme pour Geoffroy-Guichard donc dont on comprend que le projet de rénovation retenu n'est pas celui pour lequel penchait Roland Romeyer : « Ce stade, on le prendra comme il est. Ce sera toujours mieux qu'aujourd'hui. Heureusement d'ailleurs qu'il sera mieux avec 57 millions investis ». Le musée revint alors sur le tapis « Je sais qu'on bassine Maurice Vincent avec ça mais combien de villes aimeraient avoir un club comme l'ASSE ? » Suit un regard vers les autres où c'est toujours mieux « à Lille, il y aura un stade d'exception et Nice aura un beau stade ». Roland Romeyer évoque même celui, restauré de Nancy, même s'il a répété « On ne fait pas du neuf avec du vieux ». Qu'il se console. Nice et Nancy n'auront que 35 000 places. Et il aura fallu près de 20 ans pour que les Lillois entrevoient leur nouveau stade. Le nouveau Grimponprez-Jooris devait initialement être livré en 2002.
D.B
Rénovation de Geoffroy-Guichard
Romeyer calme (presque) le jeu
Le président du Directoire de l'ASSE dit vouloir mettre fin à la polémique. Mais l'entretient
Chasser le naturel, il revient au galop. C'est l'image qu'a donnée Roland Romeyer hier matin. Au départ, tout partait d'un bon sentiment. « Il y a un sujet sensible à Saint-Etienne, le chaudron. Dès qu'on y touche, ça devient dangereux. Le club avait le projet de faire un stade neuf. Saint-Etienne Métropole a décidé une rénovation mais tout le monde veut l'Euro 2016 et nous travaillerons en collaboration ».
À l'arrivée, le discours s'est musclé, après un rappel des faits vu du côté du club : « On entend tout et n'importe quoi. On s'était mis autour d'une table avec Métropole. On avait fait part de nos souhaits. Ça se passait bien, puis à un moment, on nous a dit, il faut faire une coupe sombre, plus de restaurant, de musée, de billetterie. J'avais désigné Stéphane Tessier pour nous représenter aux réunions d'information. On nous a demandé ce que le club pourrait payer comme redevance, pour établir le montage financier mais sans qu'on sache de quels moyens nous disposerions ».
Le président de l'ASSE évoque là le nombre de places VIP « On ne connaissait pas le projet jusqu'au 18 octobre et quand j'ai compris que le choix était effectif, j'ai manifesté mon mécontentement. »
La colère est encore vive et Roland Romeyer entend la partager avec Bernard Caïazzo « Nous étions d'accord, nous avons signé les courriers ensemble ». Était-il besoin de le rappeler ?
Depuis les choses vont mieux. Du moins, c'est ce qui ressort d'un passage plus paisible de cette conférence de presse : « On s'est vu lundi avec Métropole. On a pu connaître le projet en détail. Il y a quand même eu une écoute, on a pu s'exprimer et on a le sentiment de pouvoir travailler. On ne peut pas tout modifier mais il peut y avoir des améliorations substantielles. On a, tous, le même but, l'Euro. Au delà, nous souhaitons avoir un outil de travail mais avec Métropole et le Conseil général, nous arriverons tous ensemble à ce que Geoffroy-Guichard soit retenu. Nous sommes sur le même bateau. Je veux mettre fin à toute polémique. L'objectif est de trouver des solutions ».
Tout irait donc bien ? Pas tout à fait. « Le projet est évolutif, oui, mais c'est mieux de prévoir. Il y aura un musée, nous dit-on. Mais où et comment ? Si construction il y a, il faudra un nouvel appel d'offres. Je trouve cela ridicule… On supprime le terrain annexe et je lis que les pros ne l'ont presque jamais utilisé, mais il n'y a pas que les pros à l'ASSE. On a aussi des jeunes ».
Suit un autre cheval de bataille, chevauché également par Gilles Artigues, élu de l'opposition au maire : « Il y a un grave problème à l'Etrat où la dérogation dont nous bénéficions pour la CFA prend fin en juin. Il faut mettre le stade aux normes et ce n'est pas nous qui allons mettre 1,7 million pour cela, alors que nous ne sommes pas propriétaires. »
Un peu comme pour Geoffroy-Guichard donc dont on comprend que le projet de rénovation retenu n'est pas celui pour lequel penchait Roland Romeyer : « Ce stade, on le prendra comme il est. Ce sera toujours mieux qu'aujourd'hui. Heureusement d'ailleurs qu'il sera mieux avec 57 millions investis ». Le musée revint alors sur le tapis « Je sais qu'on bassine Maurice Vincent avec ça mais combien de villes aimeraient avoir un club comme l'ASSE ? » Suit un regard vers les autres où c'est toujours mieux « à Lille, il y aura un stade d'exception et Nice aura un beau stade ». Roland Romeyer évoque même celui, restauré de Nancy, même s'il a répété « On ne fait pas du neuf avec du vieux ». Qu'il se console. Nice et Nancy n'auront que 35 000 places. Et il aura fallu près de 20 ans pour que les Lillois entrevoient leur nouveau stade. Le nouveau Grimponprez-Jooris devait initialement être livré en 2002.
D.B
Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
La réaction de Patrick Guillou sur le blog officiel des élus du groupe municipal d'opposition de la Ville de Saint-Etienne "Union pour l'avenir des Stéphanois" :
Geoffroy-Guichard : on ne gagne jamais à décider seul
A Saint-Etienne, le football est un véritable fait social et un secteur économique à part entière. A cet égard, nous sommes favorables à une modernisation du stade Geoffroy-Guichard. Nous aurions apprécié que la rénovation soit fédératrice, portée par tous, et surtout que cette enceinte rénovée symbolise les valeurs stéphanoises, à savoir dynamisme et solidarité. Or, à ce que l’on a pu voir et lire ces dernières semaines, on en est loin.
Une rénovation sans réelle concertation
Nous ne pouvons que regretter que l’ASSE, l’exploitant exclusif du stade, que le Conseil général de la Loire, l’un des principaux partenaires financiers, et que les différents groupes de supporters, gardiens du temple vert, n’aient pas été concertés, ni associés au choix. Que ce soit l’ASSE (développement d’un complexe multi-usage, diversification de revenus annexes du stade), le Conseil général (musée…) ou les groupes de supporters (esprit des kops, sectorisation…), tous ont fait part de leurs souhaits, de leurs desiderata à inclure dans le cahier des charges. Mais aucun n’a été écouté. Tous ont le sentiment, au final, de ne pas avoir travaillé en « équipe » avec Saint-Etienne Métropole sur un projet pourtant si essentiel pour notre territoire. Car au-delà de l’aspect purement architectural, la rénovation de Geoffroy-Guichard, c’est l’opportunité de développer l’économie locale, de créer de l’emploi et d’avoir cet équipement comme élément de redynamisation du tissu urbain. Geoffroy-Guichard symbole d’une ville moderne, dynamique et tournée vers l’avenir. Nous-mêmes, en tant qu’élus municipaux et communautaires à Saint-Etienne Métropole, n’avons été associés à aucun moment au projet. Les seules fois où il y a eu « débat », c’était à notre initiative suite aux questions que nous posions.
Un projet qui ne suscite pas l’adhésion
Sans concertation, difficile de susciter l’adhésion. Les chaises vides des Présidents de l’ASSE et du Président du Conseil général de la Loire, lors de la présentation officielle du projet de rénovation, en sont la parfaite illustration. Le choix de M. Vincent ne répond ni aux attentes du club, ni à ceux des supporters et partenaires. Personne ne comprend pourquoi 3 angles seulement sur les 4 seront fermés ? Personne ne comprend, non plus, que le musée des Verts, demandé et attendu de tous, n’ait pas été inclus dans le projet de rénovation ?
58 M€ pour 5.000 places
Lorsqu’on le regarde de près, le projet choisi par M. Vincent donne l’impression d’un ni fait ni à faire, avec 3 angles sur 4 fermés, d’un énième rafistolage qui peut paraître excessivement cher compte tenu de la version minimaliste des aménagements envisagés. M. Vincent parle d’ailleurs d’une rénovation « pour 20 ans »… seulement ! 58 M€ pour passer le stade de 35.000 à 40.000 places, c’est-à-dire pour l’agrandir de 5.000 places seulement, cela fait cher la place. A ce propos, l’arrivée de capitaux privés aurait pu permettre un projet plus ambitieux… Un pari audacieux alliant aménagement de l’environnement, intérêts économiques et infrastructure sportive de qualité.
Oui, mais…
Oui, nous voulons que Geoffroy-Guichard soit retenu parmi les stades qui accueilleront l’Euro 2016 de foot, comme ce fut le cas en 1984 puis lors des Coupes du Monde de football en 1998 et de rugby en 2007.
Oui, nous sommes favorables à une rénovation de Geoffroy-Guichard, mais à la condition que ce soit une modernisation du stade, c’est-à-dire qu’il ne serve pas uniquement deux fois par mois, comme c’est le cas actuellement, mais qu’il soit un lieu de vie au quotidien (restaurants, crèche, cinéma, commerces, résidences…). Alors oui à une modernisation de Geoffroy-Guichard. L’objectif prioritaire, voir crucial, aurait dû être de proposer une installation comparable (peut-être pas en capacité mais en modernité et potentialité) aux exemples étrangers. Nous sommes loin du compte…
Patrick Guillou
http://ensemblepoursaintetienne.wordpress.com/" onclick="window.open(this.href);return false;
Geoffroy-Guichard : on ne gagne jamais à décider seul
A Saint-Etienne, le football est un véritable fait social et un secteur économique à part entière. A cet égard, nous sommes favorables à une modernisation du stade Geoffroy-Guichard. Nous aurions apprécié que la rénovation soit fédératrice, portée par tous, et surtout que cette enceinte rénovée symbolise les valeurs stéphanoises, à savoir dynamisme et solidarité. Or, à ce que l’on a pu voir et lire ces dernières semaines, on en est loin.
Une rénovation sans réelle concertation
Nous ne pouvons que regretter que l’ASSE, l’exploitant exclusif du stade, que le Conseil général de la Loire, l’un des principaux partenaires financiers, et que les différents groupes de supporters, gardiens du temple vert, n’aient pas été concertés, ni associés au choix. Que ce soit l’ASSE (développement d’un complexe multi-usage, diversification de revenus annexes du stade), le Conseil général (musée…) ou les groupes de supporters (esprit des kops, sectorisation…), tous ont fait part de leurs souhaits, de leurs desiderata à inclure dans le cahier des charges. Mais aucun n’a été écouté. Tous ont le sentiment, au final, de ne pas avoir travaillé en « équipe » avec Saint-Etienne Métropole sur un projet pourtant si essentiel pour notre territoire. Car au-delà de l’aspect purement architectural, la rénovation de Geoffroy-Guichard, c’est l’opportunité de développer l’économie locale, de créer de l’emploi et d’avoir cet équipement comme élément de redynamisation du tissu urbain. Geoffroy-Guichard symbole d’une ville moderne, dynamique et tournée vers l’avenir. Nous-mêmes, en tant qu’élus municipaux et communautaires à Saint-Etienne Métropole, n’avons été associés à aucun moment au projet. Les seules fois où il y a eu « débat », c’était à notre initiative suite aux questions que nous posions.
Un projet qui ne suscite pas l’adhésion
Sans concertation, difficile de susciter l’adhésion. Les chaises vides des Présidents de l’ASSE et du Président du Conseil général de la Loire, lors de la présentation officielle du projet de rénovation, en sont la parfaite illustration. Le choix de M. Vincent ne répond ni aux attentes du club, ni à ceux des supporters et partenaires. Personne ne comprend pourquoi 3 angles seulement sur les 4 seront fermés ? Personne ne comprend, non plus, que le musée des Verts, demandé et attendu de tous, n’ait pas été inclus dans le projet de rénovation ?
58 M€ pour 5.000 places
Lorsqu’on le regarde de près, le projet choisi par M. Vincent donne l’impression d’un ni fait ni à faire, avec 3 angles sur 4 fermés, d’un énième rafistolage qui peut paraître excessivement cher compte tenu de la version minimaliste des aménagements envisagés. M. Vincent parle d’ailleurs d’une rénovation « pour 20 ans »… seulement ! 58 M€ pour passer le stade de 35.000 à 40.000 places, c’est-à-dire pour l’agrandir de 5.000 places seulement, cela fait cher la place. A ce propos, l’arrivée de capitaux privés aurait pu permettre un projet plus ambitieux… Un pari audacieux alliant aménagement de l’environnement, intérêts économiques et infrastructure sportive de qualité.
Oui, mais…
Oui, nous voulons que Geoffroy-Guichard soit retenu parmi les stades qui accueilleront l’Euro 2016 de foot, comme ce fut le cas en 1984 puis lors des Coupes du Monde de football en 1998 et de rugby en 2007.
Oui, nous sommes favorables à une rénovation de Geoffroy-Guichard, mais à la condition que ce soit une modernisation du stade, c’est-à-dire qu’il ne serve pas uniquement deux fois par mois, comme c’est le cas actuellement, mais qu’il soit un lieu de vie au quotidien (restaurants, crèche, cinéma, commerces, résidences…). Alors oui à une modernisation de Geoffroy-Guichard. L’objectif prioritaire, voir crucial, aurait dû être de proposer une installation comparable (peut-être pas en capacité mais en modernité et potentialité) aux exemples étrangers. Nous sommes loin du compte…
Patrick Guillou
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"Celui qui se perd dans sa passion est moins perdu que celui qui perd sa passion" (Saint-Augustin)
"Allez les Verts !" (Saint-Etienne)
"Allez les Verts !" (Saint-Etienne)
Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
C'est de l'opposition politique donc on sait ce que ça implique... mais c'est vrai que l'attitude de la Mairie laisse dubitatif. Sait-on par exemple si les groupes de supporters ont été consultés ? En repensant au projet avec le balcon séparé dans le Kop, je me dis que si ce projet là avait été choisi, ça aurait été la révolution dans les tribunes.
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deiphobos
Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
Bonne idée un cinéma de plein air à Geoffroy Guichard 
Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
Le problème pour l'Etrat a l'air d'être un réel merdier !
"Moi Saint-Etienne c'est mon pays, c'est ma raison de vivre ..."
Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
et on va mettre quoi dans ce musée ? tous les trophées importants du club sont la propriété de loulou Nicolin alors on aura de belles photos, les trophées de ligue 2 et basta. Je trouve ça vraiment très léger, pour ne pas dire merdique
Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
je trouvais le projet plutôt sympa (angles non bouchés donc possibilité d'agrandir encore dans le futur, vrai stade à l'anglaise avec 4 tribunes indépendantes), mais maintenant que je vois ce qu'ils comptaient faire des kops je suis très content que ce projet n'ai pas été retenu. Comment animer une tribune découpée en 3 morceaux ?Punky wrote:Une petite photo du projet Eiffage :
Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
Punky wrote:Une petite photo du projet Eiffage :
je suis très friand de ces photos des différents projets, si vous en avez d'autres merci de partager :-)-
deiphobos
Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
Bien vu.leblais42 wrote:et on va mettre quoi dans ce musée ? tous les trophées importants du club sont la propriété de loulou Nicolin alors on aura de belles photos, les trophées de ligue 2 et basta. Je trouve ça vraiment très léger, pour ne pas dire merdique
Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
Lu sur le blog "Plat du pied, sécurité"
Euro 2016: une bonne affaire pour le BTP (1/2)
Vinci, Eiffage, ou Bouygues? Les trois géants du béton se régalent d’avance de l’organisation de l’Euro 2016 par la France. Une dizaine de stades seront rénovés ou sortiront carrément de terre. PDPS passe au crible ce jackpot. Première partie.
En 2016, la France accueillera l’Euro. Une bonne occasion de rénover (1) les plus grands stades du pays, en le faisant passer sur le compte de “l’intérêt général”. Ça devrait coûter au total 1,7 milliard d’euros. L’Etat donnera seulement 150 millions d’euros. Le reste est à la charge des collectivités locales, pour le plus grand bonheur des grandes boîtes de BTP (Bouygues, Vinci, Eiffage…), qui vont non seulement remplir leurs carnets de commandes pour les six ans à venir, mais aussi, dans la plupart des cas, gérer commercialement les enceintes pendant 30 ans. La clé de ce juteux business: le fameux “Partenariat public-privé” (PPP), qui assure au bâtisseur une redevance, ainsi que l’exploitation du site. Premier volet, les constructions.
BORDEAUX -> Construction -> 165 millions -> Eiffage, Bouygues ou Vinci
Le vieux Parc Lescure (aujourd’hui Stade Jacques Chaban-Delmas) se fissure de partout. Il est donc temps d’en changer, assure le maire de la ville, Alain Juppé. Le “meilleur d’entre nous” a lancé un appel d’offres pour construire d’ici quatre ans une nouvelle enceinte de 43.000 places, en vue de l’Euro 2016. Une condition pour les candidats: ne pas dépasser les 165 millions d’euros.
Le plan de financement est précis: 20 millions pour l’Etat, 15 millions chacun pour la ville, la communauté urbaine et le conseil régional d’Aquitaine, et surtout 100 millions à la charge des Girondins de Bordeaux, qui auront valeur de loyer. Le constructeur jouira pendant 30 ans de l’exploitation du joyau (ce qui lui assure des recettes en installant par exemple des commerces dans le stade), qu’il devra également entretenir. Au terme de cette concession, le bien reviendra à la ville de Bordeaux.
Trois mastodontes du BTP sont en concurrence: Vinci, Eiffage et Bouygues. Ils doivent présenter leurs devis le 7 décembre. Alain Juppé souhaite conserver le nom de Chaban pour le futur stade, mais il reconnaît que ce pourrait être difficile. Le coût du projet est tel que l’arrivée d’un partenaire commercial comme sponsor pourrait être nécessaire, à l’image du stade du Mans, baptisé “MMArena”.
NICE -> construction -> 245 millions d’euros -> Vinci (pressenti)
Nice, cinquième ville de France au nombre d’habitants, possède l’avant-dernière affluence de la Ligue 1. Ce n’est pas faute d’avoir un public motivé. Son vieux stade du Ray, construit en 1927, est complètement désuet. Pour l’Euro 2016, la municipalité drivée par le motodidacte Christian Estrosi a décidé de se doter d’un “Olympic Nice Stadium” (sic) dont le coût devrait atteindre 245 millions d’euros.
La forme du PPP a été retenue pour boucler le financement de l’appareil multifonctionnel, au toit en bois. Vinci est “pressenti” pour la construction (200 millions d’euros), selon les mots de l’ex-ministre de l’Industrie. Les subventions publiques oscillent, selon les prévisions, entre 45 et 75 millions d’euros. Le reste sera à la charge du numéro un mondial du BTP, qui assurera l’exploitation du joyau, pourra procéder à une opération de “naming”, et recevra une redevance annuelle de la municipalité pendant 30 ans.
Livrable en 2013, l’enceinte devrait compter 35.000 places. L’opposition socialiste et communiste à la mairie de Nice a vivement critiqué le coût du futur stade, “surdimensionné”, et “poule aux oeufs d’or” pour le futur exploitant.
LILLE -> Construction -> 324 millions -> Eiffage
Le “Grand Stade Lille Métropole” n’est pas une blague. Depuis le temps qu’on en entend parler, on commençait à douter de son existence. Mais non, Martine Aubry a posé la première pierre il y a un mois. C’est le projet le plus avancé: le nouveau stade de 50.283 places, avec “toiture mobile”, sera livré en juillet en 2012. La patronne des socialistes a eu recours à un partenariat public-privé (PPP) pour le financer. C’est Elisa, une filiale d’Eiffage, qui exploitera le stade pendant 31 ans, avant qu’il ne devienne la propriété de la communauté urbaine de Lille.
La construction à proprement parler coûtera 324 millions dont seulement 75 millions à la charge du secteur public (Etat + Région). Le reste est apporté par le groupe immobilier (60 millions) et des emprunts bancaires. En échange, la communauté urbaine versera dix millions d’euros par an pendant 31 ans. Soit 310 millions d’euros. Ajoutez à cela les recettes commerciales d’Eiffage pendant cette longue période, et vous aurez un deal très juteux pour la boîte de BTP.
LYON -> Construction -> 450 millions d’euros -> à définir
Rien que son nom fait flipper: “OL Land”. Dans les rêves de Jean-Michel Aulas, voici comment se déroulerait un banal samedi après-midi de 2014. 15h: vous appelez “OL Taxis” pour rejoindre le Grand Stade à Décines, en banlieue lyonnaise. Sur place, passage par “OL Coiffures”, avant d’aller se faire un petit ciné Pathé et de dîner dans une brasserie. 21h: coup d’envoi du match. L’idée: faire du stade (qui pourrait être “namé”) un lieu de consommation global, dont l’exploitation serait uniquement gérée par OL Groupe. Le club, soutenu par le maire socialiste de Lyon Gérard Collomb, a mis en place une intense stratégie de lobbying (matérialisée notamment par ce site) pour qu’une nouvelle enceinte de 60.000 places sorte de terre d’ici 2013.
Mais JMA rencontre de nombreux obstacles: hostilité des associations de riverains, réserves sur l’impact environnemental du projet, opposition au financement public des travaux d’infrastructures de transports (au moins 180 millions d’euros) pour un outil dont la gestion et les bénéfices seront privatisés. Pour l’heure, le dépôt du permis de construire, prévu au premier trimestre de 2011, paraît encore bien illusoire. Quant à l’autre hypothèse, garder Gerland, le club s’y oppose. Cela représenterait selon lui une perte substantielle de revenus, puisque le stade appartiendrait toujours à la municipalité.
(1) C’est même une obligation de l’Uefa, qui impose au pays organisateur deux stades de plus de 50.000 places, trois de plus de 40.000 et quatre de plus de 30 000 places (avec, à chaque fois, 7 à 8% de capacité supplémentaire liée aux tribunes officielles ou à la presse). On connaîtra les neuf stades retenus sur les onze candidats en mai 2011.
Jérôme Lefilliâtre et Sydney Maréval
http://blog.slate.fr/plat-du-pied-securite/" onclick="window.open(this.href);return false;
Euro 2016: une bonne affaire pour le BTP (1/2)
Vinci, Eiffage, ou Bouygues? Les trois géants du béton se régalent d’avance de l’organisation de l’Euro 2016 par la France. Une dizaine de stades seront rénovés ou sortiront carrément de terre. PDPS passe au crible ce jackpot. Première partie.
En 2016, la France accueillera l’Euro. Une bonne occasion de rénover (1) les plus grands stades du pays, en le faisant passer sur le compte de “l’intérêt général”. Ça devrait coûter au total 1,7 milliard d’euros. L’Etat donnera seulement 150 millions d’euros. Le reste est à la charge des collectivités locales, pour le plus grand bonheur des grandes boîtes de BTP (Bouygues, Vinci, Eiffage…), qui vont non seulement remplir leurs carnets de commandes pour les six ans à venir, mais aussi, dans la plupart des cas, gérer commercialement les enceintes pendant 30 ans. La clé de ce juteux business: le fameux “Partenariat public-privé” (PPP), qui assure au bâtisseur une redevance, ainsi que l’exploitation du site. Premier volet, les constructions.
BORDEAUX -> Construction -> 165 millions -> Eiffage, Bouygues ou Vinci
Le vieux Parc Lescure (aujourd’hui Stade Jacques Chaban-Delmas) se fissure de partout. Il est donc temps d’en changer, assure le maire de la ville, Alain Juppé. Le “meilleur d’entre nous” a lancé un appel d’offres pour construire d’ici quatre ans une nouvelle enceinte de 43.000 places, en vue de l’Euro 2016. Une condition pour les candidats: ne pas dépasser les 165 millions d’euros.
Le plan de financement est précis: 20 millions pour l’Etat, 15 millions chacun pour la ville, la communauté urbaine et le conseil régional d’Aquitaine, et surtout 100 millions à la charge des Girondins de Bordeaux, qui auront valeur de loyer. Le constructeur jouira pendant 30 ans de l’exploitation du joyau (ce qui lui assure des recettes en installant par exemple des commerces dans le stade), qu’il devra également entretenir. Au terme de cette concession, le bien reviendra à la ville de Bordeaux.
Trois mastodontes du BTP sont en concurrence: Vinci, Eiffage et Bouygues. Ils doivent présenter leurs devis le 7 décembre. Alain Juppé souhaite conserver le nom de Chaban pour le futur stade, mais il reconnaît que ce pourrait être difficile. Le coût du projet est tel que l’arrivée d’un partenaire commercial comme sponsor pourrait être nécessaire, à l’image du stade du Mans, baptisé “MMArena”.
NICE -> construction -> 245 millions d’euros -> Vinci (pressenti)
Nice, cinquième ville de France au nombre d’habitants, possède l’avant-dernière affluence de la Ligue 1. Ce n’est pas faute d’avoir un public motivé. Son vieux stade du Ray, construit en 1927, est complètement désuet. Pour l’Euro 2016, la municipalité drivée par le motodidacte Christian Estrosi a décidé de se doter d’un “Olympic Nice Stadium” (sic) dont le coût devrait atteindre 245 millions d’euros.
La forme du PPP a été retenue pour boucler le financement de l’appareil multifonctionnel, au toit en bois. Vinci est “pressenti” pour la construction (200 millions d’euros), selon les mots de l’ex-ministre de l’Industrie. Les subventions publiques oscillent, selon les prévisions, entre 45 et 75 millions d’euros. Le reste sera à la charge du numéro un mondial du BTP, qui assurera l’exploitation du joyau, pourra procéder à une opération de “naming”, et recevra une redevance annuelle de la municipalité pendant 30 ans.
Livrable en 2013, l’enceinte devrait compter 35.000 places. L’opposition socialiste et communiste à la mairie de Nice a vivement critiqué le coût du futur stade, “surdimensionné”, et “poule aux oeufs d’or” pour le futur exploitant.
LILLE -> Construction -> 324 millions -> Eiffage
Le “Grand Stade Lille Métropole” n’est pas une blague. Depuis le temps qu’on en entend parler, on commençait à douter de son existence. Mais non, Martine Aubry a posé la première pierre il y a un mois. C’est le projet le plus avancé: le nouveau stade de 50.283 places, avec “toiture mobile”, sera livré en juillet en 2012. La patronne des socialistes a eu recours à un partenariat public-privé (PPP) pour le financer. C’est Elisa, une filiale d’Eiffage, qui exploitera le stade pendant 31 ans, avant qu’il ne devienne la propriété de la communauté urbaine de Lille.
La construction à proprement parler coûtera 324 millions dont seulement 75 millions à la charge du secteur public (Etat + Région). Le reste est apporté par le groupe immobilier (60 millions) et des emprunts bancaires. En échange, la communauté urbaine versera dix millions d’euros par an pendant 31 ans. Soit 310 millions d’euros. Ajoutez à cela les recettes commerciales d’Eiffage pendant cette longue période, et vous aurez un deal très juteux pour la boîte de BTP.
LYON -> Construction -> 450 millions d’euros -> à définir
Rien que son nom fait flipper: “OL Land”. Dans les rêves de Jean-Michel Aulas, voici comment se déroulerait un banal samedi après-midi de 2014. 15h: vous appelez “OL Taxis” pour rejoindre le Grand Stade à Décines, en banlieue lyonnaise. Sur place, passage par “OL Coiffures”, avant d’aller se faire un petit ciné Pathé et de dîner dans une brasserie. 21h: coup d’envoi du match. L’idée: faire du stade (qui pourrait être “namé”) un lieu de consommation global, dont l’exploitation serait uniquement gérée par OL Groupe. Le club, soutenu par le maire socialiste de Lyon Gérard Collomb, a mis en place une intense stratégie de lobbying (matérialisée notamment par ce site) pour qu’une nouvelle enceinte de 60.000 places sorte de terre d’ici 2013.
Mais JMA rencontre de nombreux obstacles: hostilité des associations de riverains, réserves sur l’impact environnemental du projet, opposition au financement public des travaux d’infrastructures de transports (au moins 180 millions d’euros) pour un outil dont la gestion et les bénéfices seront privatisés. Pour l’heure, le dépôt du permis de construire, prévu au premier trimestre de 2011, paraît encore bien illusoire. Quant à l’autre hypothèse, garder Gerland, le club s’y oppose. Cela représenterait selon lui une perte substantielle de revenus, puisque le stade appartiendrait toujours à la municipalité.
(1) C’est même une obligation de l’Uefa, qui impose au pays organisateur deux stades de plus de 50.000 places, trois de plus de 40.000 et quatre de plus de 30 000 places (avec, à chaque fois, 7 à 8% de capacité supplémentaire liée aux tribunes officielles ou à la presse). On connaîtra les neuf stades retenus sur les onze candidats en mai 2011.
Jérôme Lefilliâtre et Sydney Maréval
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"Celui qui se perd dans sa passion est moins perdu que celui qui perd sa passion" (Saint-Augustin)
"Allez les Verts !" (Saint-Etienne)
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Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
Euro 2016: au petit bonheur du BTP (2/2)
Deuxième volet de notre série sur les bâtisseurs des stades de l’Euro 2016, organisé par la France. Aujourd’hui, zoom sur les rénovations prévues, de la meilleure exploitation commerciale du Parc des Princes au couvrement du Vélodrome. Les rénovations.
PARIS -> Rénovation du Parc des Princes -> 100 millions -> Vinci
Officiellement, rien n’est fait. La mairie de Paris, propriétaire du Parc, doit rendre sa décision à la fin de l’année ou début 2011. Officieusement, tout est joué. C’est le groupement Colony Capital (actionnaire majoritaire du PSG) – PSG – Vinci qui dirigera le chantier, prévu lors de la saison 2012-2013. Normal, c’est le seul candidat en lice. L’autre prétendant à la rénovation était Jacky Lorenzetti, président du Racing Métro 92 et ancien boss de Foncia, mais son projet a été retoqué par la mairie de Paris. Car ce n’est pas seulement la rénovation du stade qui est en jeu: le bail signé avec la Sese (Société d’exploitation Sports-Evénements, dont Colony Capital possède 95%), qui gère le Parc, arrive à échéance en 2014. La ville doit donc en même temps renouveler la concession de l’antre parisienne.
Dans cette optique, le trio Bazin-Leproux-Vinci apparaissait comme le candidat naturel. Il va donc très certainement signer un bail emphytéotique avec Delanoë, afin de bénéficier de la jouissance commerciale du stade, pour une durée de 18 à 99 ans. Une perspective très alléchante: dans ce domaine, le Parc est sous-exploité, malgré son énorme potentiel. Le développement économique du Parc n’était-il pas la motivation première du fonds d’investissement qu’est Colony Capital, lorsqu’il a racheté le naufrage sportif et économique qu’était le PSG?
MARSEILLE -> Rénovation du Vélodrome -> 267 millions -> Bouygues
Bientôt, au Vélodrome, on ne sera plus trempé les soirs de pluie et frigorifié les jours de mistral. La maison de l’OM va se doter en 2014 d’un toit (incomplet) et passer de 58 à 67.000 places assises. A travers sa filiale GFC Construction, Bouygues a remporté le marché pour un montant de 267 millions d’euros, supportés à 67% par la ville de Marseille, le reste étant apporté par l’Etat et les collectivités locales de la Région. Il ne sera pas concédé à Bouygues mais restera un équipement municipal. Là encore, pour assumer le financement, Jean-Claude Gaudin envisage de sponsoriser le nom de l’enceinte.
SAINT-ETIENNE -> rénovation de Geoffroy-Guichard -> 58 millions d’euros -> à définir
Pas de nouveau stade pour la cité du Forez. Le choix a été fait de conserver et rénover le Chaudron, une enceinte atypique, à l’anglaise. Trois des quatre angles seront fermés à l’issue des travaux, qui doivent débuter en 2011, et durer trois ans. La capacité d’accueil devrait passer à 40.000 places, contre 35.000 actuellement. Un choix qui paraît raisonnable pour cette ville de taille moyenne, et dont les performances sportives ces deux dernières décennies sont en retrait.
Le financement des 58 millions d’euros de travaux devrait se faire uniquement sur fonds publics (8 millions d’euros pour l’Etat, 20 millions pour le conseil régional et le conseil général, le reste pour Saint-Etienne métropole). En contrepartie, la redevance demandée à l’ASSE, utilisatrice du stade, sera revue à la hausse. Concernant les travaux, les procédures d’appel d’offres n’ont pas commencé.
LENS -> rénovation de Félix Bollaert -> 110 millions d’euros -> à définir
Lens, the place to be en ce début de 21ème siècle. La métropole pas-de-calaisienne, qui possèdera son Louvre en 2012, pourrait doubler la mise en étant choisie parmi les neuf villes qui accueilleront l’Euro. La rénovation du stade devrait coûter 111 millions d’euros, dont 50 seraient financés par l’État, la Région, le Département et la Communaupole Lens-Liévin (CALL). Pour le reste, charge à Gervais Martel, le président-patron de presse, de trouver des investisseurs. Sa nouvelle enceinte – qui pourra accueillir 45.000 Ch’tis – devrait continuer à entendre résonner les Corons.
TOULOUSE -> rénovation du Stadium -> 54 millions d’euros -> à définir
Le moins que l’on puisse dire, c’est que l’Euro 2016 ne passionne pas les foules du côté de la Haute-Garonne. Le “Petit Wembley” fait partie des douze stades pré-sélectionnés pour accueillir la compétition, mais il a besoin d’un lifting pour espérer figurer dans la liste finale. De 35.000 places, sa capacité d’accueil passerait à 40.000 personnes. Des sièges plus confortables devraient être aussi être installés. Le tout pour une facture estimée à 54 millions, à laquelle l’Etat ne participerait que minoritairement.
Mais la municipalité toulousaine ne semble pas encore franchement décidée à mettre la main au porte-monnaie boucler le tour de table. Et autant dire qu’avec des arguments aussi puissants que celui du président de la Ligue Midi-Pyrénées de football, Michel Charrançon, la partie n’est pas gagnée: “On ne se pose pas la question de savoir si l’argent public est bien utilisé quand on refait la façade du Capitole ou que l’on repeint la Tour Eiffel. À ce compte-là, pourquoi réaliser une ligne de tramway jusqu’à Blagnac alors qu’on peut y aller à vélo?”
NANCY -> Rénovation de Marcel Picot -> 70 millions -> à désigner
En 2014, la capacité du stade où a débuté Michel Platini sera portée de 20 à 35.000 places, pour un montant de 70 millions d’euros. La somme sera entièrement payée par l’AS Nancy Lorraine, et remboursée sur 30 ans. Le club va signer un bail emphytéotique avec la communauté urbaine, ce qui lui donnera la quasi propriété à long terme de la nouvelle enceinte. Concernant les travaux, les procédures d’appel d’offres n’ont pas commencé.
STADE DE FRANCE -> Rénovation -> 10 millions -> Vinci et Bouygues
La perle du Mondial 98 est le plus moderne des stades français. Pas besoin donc de le transformer. Quelques travaux de rénovation étaient déjà en cours avant que la France soit désignée pour accueillir l’Euro 2016, de l’ordre de 10 millions d’euros. Bouygues et Vinci s’en occupent, en tant qu’actionnaires du consortium qui gère le SDF.
Jérôme Lefilliâtre et Sydney Maréval
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Deuxième volet de notre série sur les bâtisseurs des stades de l’Euro 2016, organisé par la France. Aujourd’hui, zoom sur les rénovations prévues, de la meilleure exploitation commerciale du Parc des Princes au couvrement du Vélodrome. Les rénovations.
PARIS -> Rénovation du Parc des Princes -> 100 millions -> Vinci
Officiellement, rien n’est fait. La mairie de Paris, propriétaire du Parc, doit rendre sa décision à la fin de l’année ou début 2011. Officieusement, tout est joué. C’est le groupement Colony Capital (actionnaire majoritaire du PSG) – PSG – Vinci qui dirigera le chantier, prévu lors de la saison 2012-2013. Normal, c’est le seul candidat en lice. L’autre prétendant à la rénovation était Jacky Lorenzetti, président du Racing Métro 92 et ancien boss de Foncia, mais son projet a été retoqué par la mairie de Paris. Car ce n’est pas seulement la rénovation du stade qui est en jeu: le bail signé avec la Sese (Société d’exploitation Sports-Evénements, dont Colony Capital possède 95%), qui gère le Parc, arrive à échéance en 2014. La ville doit donc en même temps renouveler la concession de l’antre parisienne.
Dans cette optique, le trio Bazin-Leproux-Vinci apparaissait comme le candidat naturel. Il va donc très certainement signer un bail emphytéotique avec Delanoë, afin de bénéficier de la jouissance commerciale du stade, pour une durée de 18 à 99 ans. Une perspective très alléchante: dans ce domaine, le Parc est sous-exploité, malgré son énorme potentiel. Le développement économique du Parc n’était-il pas la motivation première du fonds d’investissement qu’est Colony Capital, lorsqu’il a racheté le naufrage sportif et économique qu’était le PSG?
MARSEILLE -> Rénovation du Vélodrome -> 267 millions -> Bouygues
Bientôt, au Vélodrome, on ne sera plus trempé les soirs de pluie et frigorifié les jours de mistral. La maison de l’OM va se doter en 2014 d’un toit (incomplet) et passer de 58 à 67.000 places assises. A travers sa filiale GFC Construction, Bouygues a remporté le marché pour un montant de 267 millions d’euros, supportés à 67% par la ville de Marseille, le reste étant apporté par l’Etat et les collectivités locales de la Région. Il ne sera pas concédé à Bouygues mais restera un équipement municipal. Là encore, pour assumer le financement, Jean-Claude Gaudin envisage de sponsoriser le nom de l’enceinte.
SAINT-ETIENNE -> rénovation de Geoffroy-Guichard -> 58 millions d’euros -> à définir
Pas de nouveau stade pour la cité du Forez. Le choix a été fait de conserver et rénover le Chaudron, une enceinte atypique, à l’anglaise. Trois des quatre angles seront fermés à l’issue des travaux, qui doivent débuter en 2011, et durer trois ans. La capacité d’accueil devrait passer à 40.000 places, contre 35.000 actuellement. Un choix qui paraît raisonnable pour cette ville de taille moyenne, et dont les performances sportives ces deux dernières décennies sont en retrait.
Le financement des 58 millions d’euros de travaux devrait se faire uniquement sur fonds publics (8 millions d’euros pour l’Etat, 20 millions pour le conseil régional et le conseil général, le reste pour Saint-Etienne métropole). En contrepartie, la redevance demandée à l’ASSE, utilisatrice du stade, sera revue à la hausse. Concernant les travaux, les procédures d’appel d’offres n’ont pas commencé.
LENS -> rénovation de Félix Bollaert -> 110 millions d’euros -> à définir
Lens, the place to be en ce début de 21ème siècle. La métropole pas-de-calaisienne, qui possèdera son Louvre en 2012, pourrait doubler la mise en étant choisie parmi les neuf villes qui accueilleront l’Euro. La rénovation du stade devrait coûter 111 millions d’euros, dont 50 seraient financés par l’État, la Région, le Département et la Communaupole Lens-Liévin (CALL). Pour le reste, charge à Gervais Martel, le président-patron de presse, de trouver des investisseurs. Sa nouvelle enceinte – qui pourra accueillir 45.000 Ch’tis – devrait continuer à entendre résonner les Corons.
TOULOUSE -> rénovation du Stadium -> 54 millions d’euros -> à définir
Le moins que l’on puisse dire, c’est que l’Euro 2016 ne passionne pas les foules du côté de la Haute-Garonne. Le “Petit Wembley” fait partie des douze stades pré-sélectionnés pour accueillir la compétition, mais il a besoin d’un lifting pour espérer figurer dans la liste finale. De 35.000 places, sa capacité d’accueil passerait à 40.000 personnes. Des sièges plus confortables devraient être aussi être installés. Le tout pour une facture estimée à 54 millions, à laquelle l’Etat ne participerait que minoritairement.
Mais la municipalité toulousaine ne semble pas encore franchement décidée à mettre la main au porte-monnaie boucler le tour de table. Et autant dire qu’avec des arguments aussi puissants que celui du président de la Ligue Midi-Pyrénées de football, Michel Charrançon, la partie n’est pas gagnée: “On ne se pose pas la question de savoir si l’argent public est bien utilisé quand on refait la façade du Capitole ou que l’on repeint la Tour Eiffel. À ce compte-là, pourquoi réaliser une ligne de tramway jusqu’à Blagnac alors qu’on peut y aller à vélo?”
NANCY -> Rénovation de Marcel Picot -> 70 millions -> à désigner
En 2014, la capacité du stade où a débuté Michel Platini sera portée de 20 à 35.000 places, pour un montant de 70 millions d’euros. La somme sera entièrement payée par l’AS Nancy Lorraine, et remboursée sur 30 ans. Le club va signer un bail emphytéotique avec la communauté urbaine, ce qui lui donnera la quasi propriété à long terme de la nouvelle enceinte. Concernant les travaux, les procédures d’appel d’offres n’ont pas commencé.
STADE DE FRANCE -> Rénovation -> 10 millions -> Vinci et Bouygues
La perle du Mondial 98 est le plus moderne des stades français. Pas besoin donc de le transformer. Quelques travaux de rénovation étaient déjà en cours avant que la France soit désignée pour accueillir l’Euro 2016, de l’ordre de 10 millions d’euros. Bouygues et Vinci s’en occupent, en tant qu’actionnaires du consortium qui gère le SDF.
Jérôme Lefilliâtre et Sydney Maréval
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Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
La Buse, je te rejoins tout à faitpitchdobrasil wrote:Pas sûr qu'il y reste longtemps...l'As de Saint-Etienne wrote:Sinon, c'est Aulasse qui doit être content : Mercier qui est rentré au gouvernement, c'est bien un extrème-pro-quenelland, non ?
http://www.lyoncapitale.fr/lyoncapitale ... honexpress" onclick="window.open(this.href);return false;
Avant il y avait le Satobus toutes les 20 mn qui te laissait pour 8 € à Grange-Blanche ou ailleurs, mais bon je descendais à Grange-Blanche et finissait à pied en 5 minutes,
Mainant il y a leur tram de merde toutes les 30 mn qui pour 13 € te laisse à Part-Dieu et démerde toi ensuite, les billets combinés n'étant toujours pas disponibles.
Sans compter que ça déstabilise fortement le tram normal de ceux qui bossent à Meyzieu, celui-ci devant désormais s'arrêter et attendre dans les stations faites pour pour laisser passer l'autre.
Oh, coincidence, ce nouveau tram passe à proximité du futur OL Land
Alors Mercier, la guillotinne direct,
faut pas déconner non plus,
là ce sont nos sous qu'ils donnent à leurs pôtes même pas carrés
Edit : et surtout il y a une gare à Satolas et cinq ou six à Lyon et une voie ferrée entre les deux, complètement con de ne ppas l'utiliser
[i][size=50]Je suis Charlie[/size][/i]
Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
Merci José pour ces articles très intéressants.
Le truc qui aurait été bien à mon goût, c'est que le club devienne propriétaire du stade.
Là aussi, nous manquons de poids et pleurons contre sainté Métropole mais l'ASSE est désormais un société privée... qu'elle s'assume !
Le truc qui aurait été bien à mon goût, c'est que le club devienne propriétaire du stade.
Là aussi, nous manquons de poids et pleurons contre sainté Métropole mais l'ASSE est désormais un société privée... qu'elle s'assume !
Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
Je vois deux raisons pour lesquelles ça ne se fera pas :hcatteau wrote:Merci José pour ces articles très intéressants.
Le truc qui aurait été bien à mon goût, c'est que le club devienne propriétaire du stade.
Là aussi, nous manquons de poids et pleurons contre sainté Métropole mais l'ASSE est désormais un société privée... qu'elle s'assume !
1) le club n'a pas de fonds pour construire un nouveau stade ou racheter l'ancien (et les supporters sont globalement contre l'apport de fonds privés comme par le "naming").
2) Je pense que c'est surtout une volonté de la municipalité. Sans GG, la mairie n'a plus beaucoup d'aura médiatique. Conserver la propriété du stade lui permet de rester impliquer dans les projets du club qui sont pour eux une bonne source de voix pour les élections.
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deiphobos
Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
Pour le 2) un bel exemple est le musée.Mavsoul wrote:Je vois deux raisons pour lesquelles ça ne se fera pas :hcatteau wrote:Merci José pour ces articles très intéressants.
Le truc qui aurait été bien à mon goût, c'est que le club devienne propriétaire du stade.
Là aussi, nous manquons de poids et pleurons contre sainté Métropole mais l'ASSE est désormais un société privée... qu'elle s'assume !
1) le club n'a pas de fonds pour construire un nouveau stade ou racheter l'ancien (et les supporters sont globalement contre l'apport de fonds privés comme par le "naming").
2) Je pense que c'est surtout une volonté de la municipalité. Sans GG, la mairie n'a plus beaucoup d'aura médiatique. Conserver la propriété du stade lui permet de rester impliquer dans les projets du club qui sont pour eux une bonne source de voix pour les élections.
Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
le musée vide ou on aura rien a montrer tu veux diredeiphobos wrote:Pour le 2) un bel exemple est le musée.Mavsoul wrote:Je vois deux raisons pour lesquelles ça ne se fera pas :hcatteau wrote:Merci José pour ces articles très intéressants.
Le truc qui aurait été bien à mon goût, c'est que le club devienne propriétaire du stade.
Là aussi, nous manquons de poids et pleurons contre sainté Métropole mais l'ASSE est désormais un société privée... qu'elle s'assume !
1) le club n'a pas de fonds pour construire un nouveau stade ou racheter l'ancien (et les supporters sont globalement contre l'apport de fonds privés comme par le "naming").
2) Je pense que c'est surtout une volonté de la municipalité. Sans GG, la mairie n'a plus beaucoup d'aura médiatique. Conserver la propriété du stade lui permet de rester impliquer dans les projets du club qui sont pour eux une bonne source de voix pour les élections.
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TitusPullo77
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Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
Peut-être que mr poubelle voudra bien nous louer nos trophéesleblais42 wrote:le musée vide ou on aura rien a montrer tu veux diredeiphobos wrote:Pour le 2) un bel exemple est le musée.Mavsoul wrote:Je vois deux raisons pour lesquelles ça ne se fera pas :hcatteau wrote:Merci José pour ces articles très intéressants.
Le truc qui aurait été bien à mon goût, c'est que le club devienne propriétaire du stade.
Là aussi, nous manquons de poids et pleurons contre sainté Métropole mais l'ASSE est désormais un société privée... qu'elle s'assume !
1) le club n'a pas de fonds pour construire un nouveau stade ou racheter l'ancien (et les supporters sont globalement contre l'apport de fonds privés comme par le "naming").
2) Je pense que c'est surtout une volonté de la municipalité. Sans GG, la mairie n'a plus beaucoup d'aura médiatique. Conserver la propriété du stade lui permet de rester impliquer dans les projets du club qui sont pour eux une bonne source de voix pour les élections.
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deiphobos
Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
Ce que je veux dire c'est que le musée est un enjeux politique pour la mairie (qu'il soit vide ou plein).leblais42 wrote:le musée vide ou on aura rien a montrer tu veux diredeiphobos wrote:Pour le 2) un bel exemple est le musée.Mavsoul wrote:Je vois deux raisons pour lesquelles ça ne se fera pas :hcatteau wrote:Merci José pour ces articles très intéressants.
Le truc qui aurait été bien à mon goût, c'est que le club devienne propriétaire du stade.
Là aussi, nous manquons de poids et pleurons contre sainté Métropole mais l'ASSE est désormais un société privée... qu'elle s'assume !
1) le club n'a pas de fonds pour construire un nouveau stade ou racheter l'ancien (et les supporters sont globalement contre l'apport de fonds privés comme par le "naming").
2) Je pense que c'est surtout une volonté de la municipalité. Sans GG, la mairie n'a plus beaucoup d'aura médiatique. Conserver la propriété du stade lui permet de rester impliquer dans les projets du club qui sont pour eux une bonne source de voix pour les élections.
Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
surtout que cet enfoiré (de vilain) ne peut pas blairer sainté, à se demander pourquoi il a acquis tous ces trophées, sans doute une profonde jalousie de ce que M. Rocher a réussi ici, peut être simplement pour nous faire chierDenisLePoulpeDu77 wrote:Peut-être que mr poubelle voudra bien nous louer nos trophéesleblais42 wrote:le musée vide ou on aura rien a montrer tu veux diredeiphobos wrote:Pour le 2) un bel exemple est le musée.Mavsoul wrote:Je vois deux raisons pour lesquelles ça ne se fera pas :hcatteau wrote:Merci José pour ces articles très intéressants.
Le truc qui aurait été bien à mon goût, c'est que le club devienne propriétaire du stade.
Là aussi, nous manquons de poids et pleurons contre sainté Métropole mais l'ASSE est désormais un société privée... qu'elle s'assume !
1) le club n'a pas de fonds pour construire un nouveau stade ou racheter l'ancien (et les supporters sont globalement contre l'apport de fonds privés comme par le "naming").
2) Je pense que c'est surtout une volonté de la municipalité. Sans GG, la mairie n'a plus beaucoup d'aura médiatique. Conserver la propriété du stade lui permet de rester impliquer dans les projets du club qui sont pour eux une bonne source de voix pour les élections.
Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
je suis bien d'accord, un musée vide ne peut qu'être un enjeu politique, financièrement si il n'y a rien à montrer je ne penses pas que ça fonctionne.deiphobos wrote:Ce que je veux dire c'est que le musée est un enjeux politique pour la mairie (qu'il soit vide ou plein).leblais42 wrote:le musée vide ou on aura rien a montrer tu veux diredeiphobos wrote:Pour le 2) un bel exemple est le musée.Mavsoul wrote:Je vois deux raisons pour lesquelles ça ne se fera pas :hcatteau wrote:Merci José pour ces articles très intéressants.
Le truc qui aurait été bien à mon goût, c'est que le club devienne propriétaire du stade.
Là aussi, nous manquons de poids et pleurons contre sainté Métropole mais l'ASSE est désormais un société privée... qu'elle s'assume !
1) le club n'a pas de fonds pour construire un nouveau stade ou racheter l'ancien (et les supporters sont globalement contre l'apport de fonds privés comme par le "naming").
2) Je pense que c'est surtout une volonté de la municipalité. Sans GG, la mairie n'a plus beaucoup d'aura médiatique. Conserver la propriété du stade lui permet de rester impliquer dans les projets du club qui sont pour eux une bonne source de voix pour les élections.