ASSE - poteaux-carres.com

Le stade de la Mosson complètement dévasté par les intempéries à Montpellier .(si ce n'était que le stade ce ne serait pas trop grave) .
Quand on voit le premier plan d'une des photos , pas de doute on est bien chez Loulou Nicollin

Ulysse42 wrote:haha le film à la gloire de la FIFA fait un méga bide. 24 milions d'€ de budget, et pour le moment 160.000€ de recettes

http://www.lequipe.fr/Football/Actualit ... ide/505008" onclick="window.open(this.href);return false;

Même si je n'irais pas voir ce film (qui doit être aussi neutre que le serment de Tobrouk) comment peut-on balancer 24 millions dans la réalisation et a peu près 10€ dans la promo?
La FIFA semble quand même nul à chier dans pratiquement tout ce qu'elle fait.

Tylith wrote:

Ulysse42 wrote:haha le film à la gloire de la FIFA fait un méga bide. 24 milions d'€ de budget, et pour le moment 160.000€ de recettes

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Même si je n'irais pas voir ce film (qui doit être aussi neutre que le serment de Tobrouk) comment peut-on balancer 24 millions dans la réalisation et a peu près 10€ dans la promo?
La FIFA semble quand même nul à chier dans pratiquement tout ce qu'elle fait.

Blatter a du se dire qu'il était tellement extraordinaire que les gens se battraient pour voir un film à sa gloire.

Quatrième entraîneur en 37 jours pour Watford.

http://www.bbc.com/sport/0/football/29518405" onclick="window.open(this.href);return false;

Ulysse42 wrote:

Tylith wrote:

Ulysse42 wrote:haha le film à la gloire de la FIFA fait un méga bide. 24 milions d'€ de budget, et pour le moment 160.000€ de recettes
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Même si je n'irais pas voir ce film (qui doit être aussi neutre que le serment de Tobrouk) comment peut-on balancer 24 millions dans la réalisation et a peu près 10€ dans la promo?
La FIFA semble quand même nul à chier dans pratiquement tout ce qu'elle fait.

Blatter a du se dire qu'il était tellement extraordinaire que les gens se battraient pour voir un film à sa gloire.

Ca sent le truc louche quand même. 24 millions investis, 160000 de recettes.
Les gars de la FIFA ont beaucoup de défaut mais ce sont de bons financiers.
J'ai du mal à imaginer un tel four sans un intérêt quelconque.

L'intérêt c'est de montrer la FIFA sous un angle héroïque, voir légendaire. Je pense que blatter, sentant la fin proche, voulait surtout rentrer dans la légende. Du coup il s'est dit un film à 24m d'€ de budget (dont 20 fournis par la fifa) avec Tim Roth pour me jouer et depardieu pour faire des entrées c'est à peu près ce qu'il faut. Sauf qu'il a pas compris que depardieu était maintenant comme la FIFA, et ne faisait plus rêver personne, à part en Russie.

Ou comment se mettre de l'argent plein le spoches

Lucy le dernier de besson a couter 40, franchement 24 millions pour faire un film a al gloire de la FIFA je n'y crois pas une seconde

fech42 wrote:Ou comment se mettre de l'argent plein le spoches

Lucy le dernier de besson a couter 40, franchement 24 millions pour faire un film a al gloire de la FIFA je n'y crois pas une seconde

Regarde la casting, et tu y croira. Ils ont tourné avec beaucoup d'acteurs internationaux très connus, et dans beaucoup d'endroits, du coup ça chiffre très vite. Mais bon, quand on sait que le trésor de guerre de la fifa est de 1,4 milliards d'euro avec 72millions d'€ de bénéfices net sur 2013, je me fais pas de soucis pour eux.

Hummmm la belle enculade....

http://www.lequipe.fr/Football/Actualit ... and/505414

Mais non ça ne favorise pas du tout les lyonnais.....

ben non puisque le retour aura lieu à mtp..sauf s'il y a des inondations à nouveau

Platoche wrote:Hummmm la belle enculade....

http://www.lequipe.fr/Football/Actualit ... and/505414

Mais non ça ne favorise pas du tout les lyonnais.....

Ils reçoivent 3 fois et dans 6 mois lyon jouera 3 matchs de suite à l’extérieur donc bon pas de quoi s'enflammer

Pour le coup, geste plutôt sympa des Lyonnais qui auraient très bien pu demander à jouer sur terrain neutre (et garder le retour à Gerland, bien sûr).

Il doit y avoir un sacré lien d'amour homosexuel entre les 2 clubs, il faudrait se pencher sur la question (mais pas trop).

Bon ok je me suis enflammé....

Pour ceux qui s'intéresse à la ligue des champions, sachez que le système de désignation des têtes de séries va changer.

A partir de 2015-2016, les têtes de séries seront... les champions des pays.

Source : http://www.lequipe.fr/Football/Actualit ... lue/505506

Voilà qui mérite un petit potin non ?
http://www.lequipe.fr/Football/Actualit ... nte/505468" onclick="window.open(this.href);return false;
http://www.lequipe.fr/Football/Actualit ... ita/505525" onclick="window.open(this.href);return false;

La dernière de notre zozo...
Voilà ce qui arrive quand on reprend les infos de RMC.

http://www.lequipe.fr/Football/Actualit ... zzo/505599" onclick="window.open(this.href);return false;

Les chiffres sont frappants... mais frappés d'imprécision. Dans notre journal, jeudi, Bernard Caïazzo, vice-président de l'UCPF, le syndicat des clubs, affirmait: «Quand un club français rentre 100 euros de recettes, 73 euros repartent à l’État, alors qu’il y a quatre ans, c’était 60 euros et que dans aucun autre pays européen ça ne dépasse 40 euros.» Que signifient ces chiffres? La comparaison européenne est-elle fiable? Le président du conseil de surveillance de l'AS Saint-Etienne nous a expliqué qu'il a repris des données citées il y a quelques jours sur RMC par l'économiste du sport Pascal Perri. Consultant économique pour la radio et intervenant dans l'émission Les Grandes Gueules, celui-ci nous a précisé que Bernard Caïazzo avait mal interprété son raisonnement, confondant «recettes des clubs» et «prélèvements sur les salaires». Mais il fait, comme lui, le constat que le football français est clairement moins bien loti que ses voisins européens en matière de charges et de fiscalité.
«Ce que j'ai dit à l'antenne n'a rien à voir avec les recettes des clubs mais concerne le revenu des joueurs. Dans mon livre Ne tirez pas sur le foot*, j'ai montré que le taux moyen des prélèvements sociaux et fiscaux sur un salaire de footbaleur représente 73% du salaire brut chargé. Un salaire annuel de 500 000 euros, proche de la moyenne, coûte au club 1 321 735 euros, alors que le même salaire en Angleterre revient à 934 821 euros et en Allemagne à 912 986. Si on parle recettes et dépenses, il y a un déséquilibre évident, lié en partie à ces charges, M. Caïazzo a raison.»
Livre blanc

Pascal Perri poursuit: «L'augmentation des prélèvements sur le revenu des footballeurs de 60% à 73% en quatre ans s'explique par deux facteurs: la taxe à 75%, payée par l'entreprise, et surtout l'augmentation de la masse salariale, donc de la part de la fiscalité et des contributions sociales.» Autre économiste consulté par L'Equipe.fr, Jacques Saurel confirme les calculs de son confrère et le différentiel important entre la France et ses voisins. L'UCPF elle-même publiera «dans quinze jours, trois semaines» un livre blanc sur la perte de compétitivité des clubs français. Cet outil de lobbying s'appuie notamment sur une étude du cabinet Eversheds qui actualise les coûts comparés d'un joueur dans le Big 5. En 2013, elle concluait déjà que «les clubs français sont fortement désavantagés par rapport aux autres clubs européens».

merlin wrote:La dernière de notre zozo...
Voilà ce qui arrive quand on reprend les infos de RMC.

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Les chiffres sont frappants... mais frappés d'imprécision. Dans notre journal, jeudi, Bernard Caïazzo, vice-président de l'UCPF, le syndicat des clubs, affirmait: «Quand un club français rentre 100 euros de recettes, 73 euros repartent à l’État, alors qu’il y a quatre ans, c’était 60 euros et que dans aucun autre pays européen ça ne dépasse 40 euros.» Que signifient ces chiffres? La comparaison européenne est-elle fiable? Le président du conseil de surveillance de l'AS Saint-Etienne nous a expliqué qu'il a repris des données citées il y a quelques jours sur RMC par l'économiste du sport Pascal Perri. Consultant économique pour la radio et intervenant dans l'émission Les Grandes Gueules, celui-ci nous a précisé que Bernard Caïazzo avait mal interprété son raisonnement, confondant «recettes des clubs» et «prélèvements sur les salaires». Mais il fait, comme lui, le constat que le football français est clairement moins bien loti que ses voisins européens en matière de charges et de fiscalité.
«Ce que j'ai dit à l'antenne n'a rien à voir avec les recettes des clubs mais concerne le revenu des joueurs. Dans mon livre Ne tirez pas sur le foot*, j'ai montré que le taux moyen des prélèvements sociaux et fiscaux sur un salaire de footbaleur représente 73% du salaire brut chargé. Un salaire annuel de 500 000 euros, proche de la moyenne, coûte au club 1 321 735 euros, alors que le même salaire en Angleterre revient à 934 821 euros et en Allemagne à 912 986. Si on parle recettes et dépenses, il y a un déséquilibre évident, lié en partie à ces charges, M. Caïazzo a raison.»
Livre blanc

Pascal Perri poursuit: «L'augmentation des prélèvements sur le revenu des footballeurs de 60% à 73% en quatre ans s'explique par deux facteurs: la taxe à 75%, payée par l'entreprise, et surtout l'augmentation de la masse salariale, donc de la part de la fiscalité et des contributions sociales.» Autre économiste consulté par L'Equipe.fr, Jacques Saurel confirme les calculs de son confrère et le différentiel important entre la France et ses voisins. L'UCPF elle-même publiera «dans quinze jours, trois semaines» un livre blanc sur la perte de compétitivité des clubs français. Cet outil de lobbying s'appuie notamment sur une étude du cabinet Eversheds qui actualise les coûts comparés d'un joueur dans le Big 5. En 2013, elle concluait déjà que «les clubs français sont fortement désavantagés par rapport aux autres clubs européens».

Ces gens là me font vomir.
En cas de révolution, ils finiront bien placés en têtes d'épingles, vivement que ça pète qu'on en soit débarrassés.

merlin wrote:La dernière de notre zozo...
Voilà ce qui arrive quand on reprend les infos de RMC.


Pascal Perri poursuit: «L'augmentation des prélèvements sur le revenu des footballeurs de 60% à 73% en quatre ans s'explique par deux facteurs: la taxe à 75%, payée par l'entreprise, et surtout l'augmentation de la masse salariale, donc de la part de la fiscalité et des contributions sociales.»

normalement non, avec notre salary cap on devrait pas avoir une augmentation.
des clubs comme l'OM et l'OL l'ont meme largement baissé.

je sais qu'on est passé d'un deficit de 39M€ a 200M€ mais malheureusement on ne connait pas les clubs.

Ce déficit vient essentiellement du fait que l'uefa ne reconnait pas le sponsoring du psg par la banque du qatar, il est probablement bien en dessous de ce qui est annoncé même s'il a augmenté.

Tylith wrote:Ce déficit vient essentiellement du fait que l'uefa ne reconnait pas le sponsoring du psg par la banque du qatar, il est probablement bien en dessous de ce qui est annoncé même s'il a augmenté.

c'est un rapport de la DNCG. Elle prend en compte également le non sponsoring du PSG?

Tient, en partance vers la Syrie ?

Punky wrote:Voilà qui mérite un petit potin non ?
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Nicolita devrait récupérer facilement ses sous avec dommages et intérêts,
même s'il était caution dans la location du logement, le FCN n'a pas le droit de bloquer un salaire comme ça !

la buse wrote:

merlin wrote:La dernière de notre zozo...
Voilà ce qui arrive quand on reprend les infos de RMC.

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Les chiffres sont frappants... mais frappés d'imprécision. Dans notre journal, jeudi, Bernard Caïazzo, vice-président de l'UCPF, le syndicat des clubs, affirmait: «Quand un club français rentre 100 euros de recettes, 73 euros repartent à l’État, alors qu’il y a quatre ans, c’était 60 euros et que dans aucun autre pays européen ça ne dépasse 40 euros.» Que signifient ces chiffres? La comparaison européenne est-elle fiable? Le président du conseil de surveillance de l'AS Saint-Etienne nous a expliqué qu'il a repris des données citées il y a quelques jours sur RMC par l'économiste du sport Pascal Perri. Consultant économique pour la radio et intervenant dans l'émission Les Grandes Gueules, celui-ci nous a précisé que Bernard Caïazzo avait mal interprété son raisonnement, confondant «recettes des clubs» et «prélèvements sur les salaires». Mais il fait, comme lui, le constat que le football français est clairement moins bien loti que ses voisins européens en matière de charges et de fiscalité.
«Ce que j'ai dit à l'antenne n'a rien à voir avec les recettes des clubs mais concerne le revenu des joueurs. Dans mon livre Ne tirez pas sur le foot*, j'ai montré que le taux moyen des prélèvements sociaux et fiscaux sur un salaire de footbaleur représente 73% du salaire brut chargé. Un salaire annuel de 500 000 euros, proche de la moyenne, coûte au club 1 321 735 euros, alors que le même salaire en Angleterre revient à 934 821 euros et en Allemagne à 912 986. Si on parle recettes et dépenses, il y a un déséquilibre évident, lié en partie à ces charges, M. Caïazzo a raison.»
Livre blanc

Pascal Perri poursuit: «L'augmentation des prélèvements sur le revenu des footballeurs de 60% à 73% en quatre ans s'explique par deux facteurs: la taxe à 75%, payée par l'entreprise, et surtout l'augmentation de la masse salariale, donc de la part de la fiscalité et des contributions sociales.» Autre économiste consulté par L'Equipe.fr, Jacques Saurel confirme les calculs de son confrère et le différentiel important entre la France et ses voisins. L'UCPF elle-même publiera «dans quinze jours, trois semaines» un livre blanc sur la perte de compétitivité des clubs français. Cet outil de lobbying s'appuie notamment sur une étude du cabinet Eversheds qui actualise les coûts comparés d'un joueur dans le Big 5. En 2013, elle concluait déjà que «les clubs français sont fortement désavantagés par rapport aux autres clubs européens».

Ces gens là me font vomir.
En cas de révolution, ils finiront bien placés en têtes d'épingles, vivement que ça pète qu'on en soit débarrassés.

En même temps, constater froidement que les charges désavantagent les clubs français par rapport aux autres dans le foot-business actuel, ça me semble être une évidence. Personnellement, je trouve ces charges normales, et je trouve aussi que nos voisins devraient en faire de même. Donc non, je ne tiens pas un discours libéral comme celui de Caïazzo, mais le constat en lui-même qu'il énonce est juste. A chacun d'en tirer ses conclusions ensuite...

Le PSG ca devient vraiment n'importe quoi...