Flamby wrote:Je me suis remater "Les Autres" d'Amenabar avec la belle Nicole Kindman...et j'ai encore trouvé ça excellent (dans le genre nostalgie flippante)
Je l'avais trouvé génial aussi celui-ci. Surtout que je l'avais regardé un soir d'hiver dans une maison perdue en Haute-loire...j'avais vraiment flippé :x :lol: La chute est énorme
Ah Kidman... à une époque elle faisait de vrais films... :sad:
Pourquoi "faisait" ?
Elle joue bien dans l'excellent ALCDM, non ?
Va voir American Gangster par exemple pour te remettre de ta déception.
Nous serons champions de France car nous sommes les premiers, nous serons champions de France car nous sommes les Stéphanois
Le druide wrote:je vous conseille Solaris avec G. Clooney
Comme ça, si quelqu'un le comprend, qu'il me l'explique :lol: :lol: :oops:
Je l'ai vu il y a quelques annees par accident / obligation.... Quelle mauvais souvenir en effet :lol: La nenette qui m'avait traine dans cette galere m'avait assure avoir compris... :lol:
J'ai pas trouvé de topic théatre, alors je poste ici :lol:
Samedi soir, j'ai vu le spectacle de Jean-Luc Epalle et des 3 L à sa salle de la Ric :
...
Ben on s'est bien marré :lol:
Je ne connaissais pas cette salle, ça commence au premier étage avec un kir ou un communard dans une salle bien bourrée,
ça continue au rez de chaussée dans une autre salle où tu peines à t'asseoir sur les sièges tellement ils sont haut, perso avec mes 185 cm mes pieds touchaient à peine par terre :oops:
Et le spectacle est vraiment bien, moitié gaga, moitié chanson, moitié sketchs,
j'ai adoré quand il parle avec l'accent africain en gaga, ça devient dur de suivre :lol:
Revu avec grand plaisir hier : Les bouchers verts, un film danois de 2005. Deux amis ouvrent une boucherie mais le succès commercial n'est pas au rendez-vous. Se retrouvant avec un cadavre sur les bras, ils décident de le faire disparaitre en le vendant sous forme de steaks.
Problème, les clients adorent la nouvelle spécialité de la ville et se ruent vers le magasin. Il faut satisfaire la demande mais la viande commence à manquer....
Zarle wrote:Revu avec grand plaisir hier : Les bouchers verts, un film danois de 2005. Deux amis ouvrent une boucherie mais le succès commercial n'est pas au rendez-vous. Se retrouvant avec un cadavre sur les bras, ils décident de le faire disparaitre en le vendant sous forme de steaks.
Problème, les clients adorent la nouvelle spécialité de la ville et se ruent vers le magasin. Il faut satisfaire la demande mais la viande commence à manquer....
Enorme ce film
[img]http://img28.imageshack.us/img28/796/bansfuy.jpg[/img]
[color=#408080]"Si tu penses que la vie est un distributeur automatique où tu mets de la vertu et que du bonheur ressort, alors, tu seras probablement déçu."[/color]
Je viens de voir "Je suis une légende" et je suis déçu :???:
M'enfin, c'est de ma faute car j'ai vu "Science-fiction" et je me suis fait des (fausses idées).
C'est plus un conte moralisateur et psychologique.
Denis77 wrote:Je viens de voir "Je suis une légende" et je suis déçu :???:
M'enfin, c'est de ma faute car j'ai vu "Science-fiction" et je me suis fait des (fausses idées).
C'est plus un conte moralisateur et psychologique.
Ahhhh ! Moi j'ai adoré ce film. Il est tout simplement énorme ! Enfin ... pour moi quoi
Denis77 wrote:Je viens de voir "Je suis une légende" et je suis déçu :???:
M'enfin, c'est de ma faute car j'ai vu "Science-fiction" et je me suis fait des (fausses idées).
C'est plus un conte moralisateur et psychologique.
Ahhhh ! Moi j'ai adoré ce film. Il est tout simplement énorme ! Enfin ... pour moi quoi
Ben écoute, il se passe quasiment rien dans ce film. Je me demande comment j'ai pu tenir aussi longtemps.
Denis77 wrote:Je viens de voir "Je suis une légende" et je suis déçu :???:
M'enfin, c'est de ma faute car j'ai vu "Science-fiction" et je me suis fait des (fausses idées).
C'est plus un conte moralisateur et psychologique.
Ahhhh ! Moi j'ai adoré ce film. Il est tout simplement énorme ! Enfin ... pour moi quoi
Ben écoute, il se passe quasiment rien dans ce film. Je me demande comment j'ai pu tenir aussi longtemps.
Moi je trouve qu'il y a trop d'action dans ce film, c'est assez dommage.
Sérieux, le zombie qui lâche ses chiens et reste tranquillou dans son immeuble, n'importe quoi.
Non le plus sympa finalement, c'était la bagarre qui a suivi la fin de la projection lorsque toute la salle est tombée sur les deux petits cons qui comparaient leurs sonneries polyphoniques pendant le film :lol:
Brésil 1970 : la coupe du monde bat son plein et les militaires durcissent le ton. Les parents de Mauro, 12 ans, décident de « partir en vacances » pour fuir la dictature. A Sao Paulo, ils doivent confier leur fils à son grand-père mais celui-ci n’est pas au rendez-vous. Le couple ne s’en inquiète pas et prend la tangente. Le papy ne viendra jamais et Mauro est recueilli par la communauté d’un quartier juif pauliste.
Second film du réalisateur brésilien Cao Hamburger, L’année où mes parents sont partis en vacances narre donc l’histoire de Mauro, gamin de Belo Horizonte, fan de foot comme tout Brésilien qui se respecte, d’un ersatz de Subbuteo, collectionneur invétéré de vignettes pré Panini à l’effigie des joueurs de la Seleçaõ. Expédié malgré lui dans le quartier juif de la mégalopole pauliste, Moishale (surnom éloquent qui lui est donné par ses voisins) y vivra pleinement ce Mondial mexicain marqué par l’absence de ses darons.
Dans un Brésil en pleine période dictatoriale (les militaires prennent le pouvoir en 1964) et alors que la répression s’intensifie, on fait connaissance avec des figures de la contestation, et notamment Italo, étudiant marxiste, un résumé à lui seul de la défiance vis-à-vis du pouvoir en place. Une scène de répression quelque peu irréelle, à laquelle les passants assistent comme s’ils étaient au théâtre, illustre d’ailleurs à sa façon quasi surréaliste la violence dévastatrice du pouvoir totalitaire.
Mais on a beau se battre contre la junte, rien n’y fait, on est Brésilien et on le demeure. Pendant le match Brésil-Tchécoslovaquie, les étudiants révolutionnaires ne savent plus trop où donner de la tête. Qui supporter ? Le Brésil des militaires ou la Tchécoslovaquie communiste ? En découle une douce schizophrénie chez ces marxistes pur sucre, se réjouissant de l’ouverture du score des camarades de l’Est : « C’est toujours ça de pris », mais qui virent hilares lorsque les Auriverde reprennent l’avantage. C’est ce que l’on retrouve également sur la présence conjointe ou non de Pelé et Tostao dans le onze de départ de la sélection brésilienne. Comme si à l’époque ce débat-là importait plus que tout le reste dans le pays de l’“ordem e progresso”. Plus que les libertés élémentaires ; plus que l’absence des siens partis se terrer dans quelque improbable refuge ; plus, enfin, que le manque cruel de perspective d’avenir.
Opium du peuple, le futebol permet avant tout au peuple de l’opium (le pays champion du monde), l’espace d’un match, d’oublier sa misérable condition. Preuve s’il en est le match de quartier entre la communauté juive et son homologue italienne, ou plutôt entre les Juifs et leur gardien noir et les Ritals. Tiens, d’ailleurs parlons-en un instant de ce gardien spectaculaire stoppant tir sur tir. Comment ne pas y voir un clin d’œil appuyé à Zizinho, le gardien de la Seleçao de 1950, bouc émissaire historique de la défaite du Maracana alors qu’un nul aurait suffi pour offrir son premier titre au Brésil, et qui fut le dernier gardien noir des Auriverde jusqu’à Dida. Le gardien, dernier rempart du temple, le seul à ne pas avoir droit à l’erreur sur le terrain. D’ailleurs, le père de Mauro ne répète-t-il pas : « Dans un match de football, tout le monde peut faire une erreur sauf le gardien de but ».
Plus qu’un film sur le football ou la junte militaire inique qui court des 60’s aux 80’s, L’année où mes parents sont partis en vacances évoque surtout l’absence et le déracinement. Il nous montre Mauro coincé entre son bonheur lié au parcours du Brésil et à la découverte de ses nouveaux amis (particulièrement son alter ego féminin Hanna), et l’attente fébrile de ses parents lui ayant promis de le récupérer pour la Coupe du Monde. Leur retard devient encore plus insoutenable lors des matchs de la Seleçao, qui même s’ils permettent d’une part de s’extraire de cette solitude sans fin, lui remémorent d’autre part la promesse qui lui a été faite.
Ce film rappelle enfin le Papa est en voyage d’affaires de Kusturica, où dans la Yougoslavie de 1952 un père est lui aussi absent à cause de ses aspirations rebelles, laissant sa famille derrière lui, loin du camp de travail où il est consigné. Pour ne pas inquiéter les enfants et alerter les voisins, on prétend que le paternel est en « voyage d’affaires ». Business ou vacance(s) des parents, deux mêmes façons finalement, dans l’ex-Yougoslavie comme au Brésil, de dealer avec ses propres peurs et celle de sa descendance…
Pablo René-Worms
L’année où mes parents sont partis en vacances de Cao Hamburger.
Vu ce soir, le dernier Ken Loach, "It's a free world". Tout en ironie désabusée doublée d'une critique sans voile des dérives du libéralisme à outrance et l'exploitation sans honte de la misère sociale. Ou quand les pauvres s'en prennent aux pauvres pour la sacro sainte réussite personnelle. D'une tristesse.......et d'une vérité toute froide.
Interprétation excellente et notamment de l'actrice principale.
Un bon cru 2008, mais dur à encaisser malgré tout.
Nous serons champions de France car nous sommes les premiers, nous serons champions de France car nous sommes les Stéphanois
Vert|treV wrote:Vu ce soir, le dernier Ken Loach, "It's a free world". Tout en ironie désabusée doublée d'une critique sans voile des dérives du libéralisme à outrance et l'exploitation sans honte de la misère sociale. Ou quand les pauvres s'en prennent aux pauvres pour la sacro sainte réussite personnelle. D'une tristesse.......et d'une vérité toute froide.
Interprétation excellente et notamment de l'actrice principale.
Un bon cru 2008, mais dur à encaisser malgré tout.
l'interet de se film réside surtout dans le fait que ken loach passe de "l'autre côté", cad côté patron, et vu son point de vue toujours très vrai sur le monde d'aujourd'hui, le film doit être comme toujours à voir, je le note dans mes tablettes.
deadken wrote:Et le dernier Sean Penn? Quelqu'un l'a t'il vu?
C'est prévu
C'est le prochain sur la liste
Il a l'air très prometteur, pour peu qu'on aime les road-movie et les quêtes de soi.
A priori film à voir absolument, toutes les critiques sont excellentes (charlie, l'express, .... et meme télérama c pour dire !), je me tate pour aller voir ce film ou ken loach ...
dis nous vite tes sentiments quand tu l'auras vu
deadken wrote:Et le dernier Sean Penn? Quelqu'un l'a t'il vu?
C'est prévu
C'est le prochain sur la liste
Il a l'air très prometteur, pour peu qu'on aime les road-movie et les quêtes de soi.
A priori film à voir absolument, toutes les critiques sont excellentes (charlie, l'express, .... et meme télérama c pour dire !), je me tate pour aller voir ce film ou ken loach ...
dis nous vite tes sentiments quand tu l'auras vu
le film de Ken Loach "it's a free world" est à voir, de la critique sociale, une présentation du libéralisme sauvage à l'anglo saxonne et de ses dérives.... ses thèmes habituels bien sur.... mais le "mur" libéral est de plus en plus difficile à combattre et à abattre
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