[Basket] Reprise saison NBA
Moderators: Barre transversale, Poteau gauche, Poteau droit, Ligne de but
C'est à Atlanta qu'on doit bien avoir les boules en ce moment. Ils ont certes récupéré Johnson lors du trade, ce dernier est pas mal, en tout cas dans ses stas de ces deux dernières saisons mais quand on se souvient qu'ils ont laissé aussi leurs deux prochains tours de draft, on peut penser que le départ de Diaw risque de plomber pour quelques années cette franchise.
Au contraire, Phoenix pourra construire à moindre frais une très grosse équipe l'an prochain..
Au contraire, Phoenix pourra construire à moindre frais une très grosse équipe l'an prochain..
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o_vert_seas1
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A noter qu'un des proprios de la franchise avait bloqué pendant un temps le deal car il pensait que Diaw était "bradé"... ("Diaw's play the first month of the season has Suns management looking like geniuses and former Hawks managing partner Steve Belkin looking like he was the only one in the Atlanta camp who knew what he was doing." www.azcentral.com )Karamba wrote:C'est à Atlanta qu'on doit bien avoir les boules en ce moment. Ils ont certes récupéré Johnson lors du trade, ce dernier est pas mal, en tout cas dans ses stas de ces deux dernières saisons mais quand on se souvient qu'ils ont laissé aussi leurs deux prochains tours de draft, on peut penser que le départ de Diaw risque de plomber pour quelques années cette franchise.
Au contraire, Phoenix pourra construire à moindre frais une très grosse équipe l'an prochain..
Les autres proprios l'ont finalement éjecté et le deal a été conclu, mais, s'ils pratiquent un minimum l'autocritique, ils doivent actuellement s'en mordre les dents :twisted:
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o_vert_seas1
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Et hop, bonne nuit des français:
TP et les Spurs vainqueurs du Heat, sous les louanges du coach adverse:
"Despite the strong play of Duncan and Ginobili, Heat coach Stan Van Gundy said the key to the game was Tony Parker. Parker had a season-high 11 assists and scored 14 points as the Spurs shot 47 percent.
"Tony Parker, if you've been watching this year, has just been picking people apart on the pick-and-rolls," Van Gundy said. "We made it a major emphasis and made a decent effort. ... It was tough to contain him tonight." (Yahoo.com)
Bobo et les Suns vainqueurs des GSW (sans Pietrus), avec un double-double fin: 10pts et 10rbds + 5assts
TP et les Spurs vainqueurs du Heat, sous les louanges du coach adverse:
"Despite the strong play of Duncan and Ginobili, Heat coach Stan Van Gundy said the key to the game was Tony Parker. Parker had a season-high 11 assists and scored 14 points as the Spurs shot 47 percent.
"Tony Parker, if you've been watching this year, has just been picking people apart on the pick-and-rolls," Van Gundy said. "We made it a major emphasis and made a decent effort. ... It was tough to contain him tonight." (Yahoo.com)
Bobo et les Suns vainqueurs des GSW (sans Pietrus), avec un double-double fin: 10pts et 10rbds + 5assts
J'ai vu le match, Van Gundy a beau dire que Parker est injouable sur les pick and rolls, il faut bien dire que contre une équipe qui ne défend pas, c'est plus facile de réaliser 11 passes décisives. Que ce soit à l'intérieur (quelle domination de Duncan sur les défenseurs qui se sont succédés pour essayer de l'arrêter !) ou à l'extérieur (Ginobili, Bowen), SA trouvait une position ouverte sur chaque possession.o_vert_seas1 wrote:Et hop, bonne nuit des français:
TP et les Spurs vainqueurs du Heat, sous les louanges du coach adverse:
"Despite the strong play of Duncan and Ginobili, Heat coach Stan Van Gundy said the key to the game was Tony Parker. Parker had a season-high 11 assists and scored 14 points as the Spurs shot 47 percent.
"Tony Parker, if you've been watching this year, has just been picking people apart on the pick-and-rolls," Van Gundy said. "We made it a major emphasis and made a decent effort. ... It was tough to contain him tonight." (Yahoo.com)
Mais comme le dit Van Gundy : "It’s a different world in here. It’s a different world against the Spurs compared to the other teams we’ve played this year.”
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o_vert_seas1
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Sur quelle chaine stp? Tu as le NBA TV League Pass?Karamba wrote:, Van Gundy a beau dire que Parker est injouable sur les pick and rolls, il faut bien dire que contre une équipe qui ne défend pas, c'est plus facile de réaliser 11 passes décisives. Que ce soit à l'intérieur (quelle domination de Duncan sur les défenseurs qui se sont succédés pour essayer de l'arrêter !) ou à l'extérieur (Ginobili, Bowen), SA trouvait une position ouverte sur chaque possession.J'ai vu le match
Quant à la défense du Heat, tu as quand même Zo, qui est leader NBA des contres et qui termine sans en avoir fait un seul. C'est bien le signe que défense ou pas les Spurs étaient clairement au dessus du lot. D'ailleurs quand tu vois Haslem et Zo a 13rbds combinés vs. 16 pour le seul Duncan, tu comprends qui a fait la loi dans le "paint"
Les Spurs en démonstration
Face à une équipe de Miami bien trop orpheline du Shaq, les Spurs n'ont même pas eu besoin de forcer pour signer un cinquième succès consécutif. Portés par la verve de leur Big Three, Tim Duncan et Tony Parker compilant notamment 28 points-16 rebonds et 14 points-11 passes, les champions en titre ont en effet déroulé pour s'imposer 98-84 malgré un Dwyane Wade mis sur son 31 pour l'occasion. Ça va fort également pour les Suns qui s'imposent 110-118 chez leurs rivaux des Warriors avec 10 points et 10 rebonds de Boris Diaw.
Un choc? Quel choc? Entre une formation du Heat brinquebalante en l'absence de sa poutre maîtresse Shaquille O'Neal et des Spurs, superbes de certitudes dans le sillage de leurs leaders, le choc au sommet, affiche pressentie des prochaines Finals, tout du moins au moment du coup d'envoi de la saison, a tourné court. Il y a bien eu un premier quart équilibré ou une esquisse de prise de pouvoir des Floridiens à l'entame du second acte pour faire croire à un duel aux effluves printaniers, mais pour le reste, la rencontre a en effet confiné à une démonstration des champions en titre.
Car à peine Antoine Walker avait-il retrouvé le chemin du panier après son terrible fanny rapporté de Los Angeles il y a deux jours, permettant ainsi aux siens de mettre le nez à la fenêtre au début du deuxième acte en passant devant 19-20, que les Texans répliquaient par un 18-5 initié par un Tim Duncan des grands soirs, auteur de 11 points sur la série. Une série aussi impitoyable que rédhibitoire pour des Floridiens bien incapables par la suite d'inquiéter sérieusement leurs hôtes d'un soir. Après avoir viré à la pause avec 17 longueurs d'avance, les Texans n'avaient déjà plus en effet qu'à entretenir l'écart au retour des vestiaires. Les hommes de Gregg Popovich s'acquittèrent longtemps parfaitement de leur tâche avant un baroud d'honneur cosignés Dwyane Wade et Udonis Haslem à l'entame du money-time, Tim Duncan et Manu Ginobili devant alors remettre un coup de collier pour les deux dernières minutes après un rapproché à sept longueurs des Floridiens.
Duncan, Ginobili. Ginobili, Duncan... Les deux hommes ont bien été les deux principaux artisans de la victoire texane. Non contents de valider définitivement ce cinquième succès consécutif en inscrivant les douze derniers points des leurs, les deux all-star ont en effet terminé avec une ligne de statistiques particulièrement ronflante avec 27 points à 10 sur 16 aux tirs pour l'Argentin et 28 points à 11 sur 18, 16 rebonds et 4 contres pour le double MVP. Du travail de champions."J'ai juste eu la chance de mettre des paniers au début pour jouer en confiance, expliquait après coup un Manu Ginobili transfiguré après une série de prestations quelconques, après, comme on avait décidé de jouer le plus possible à l'intérieur, j'ai essayé d'attaquer le cercle un peu plus souvent que je ne l'avais fait lors des derniers matches."
Parker au diapason
Appuyant là où ça fait mal, les deux all-star ont pleinement participé au festival texan sous les panneaux, les Spurs profitant en effet de l'absence de Shaquille O'Neal pour y faire bombance avec 54 points inscrits dans la peinture contre 22 pour des visiteurs plus portés sur le tir de barrage à longue distance. Avec plus ou moins de réussite puisque si Dwyane Wade s'en est sorti avec un honorable 8 sur 20 aux tirs pour porter beau du haut de ses 31 points, 10 passes et 6 rebonds, ses acolytes artificiers n'en finissent plus de manquer la cible. De Jason Kapono, 5 points à 2 sur 8, à Jason Williams, 9 points à 2 sur 7, en passant par l'inévitable et épouvantable Antoine Walker, certes seul autre Floridien à émarger à plus dix points mais au prix d'un peu inspiré 3 sur 15 aux tirs. Intraitable mur texan...
Un axe fort Ginobili-Duncan très... fort. Une défense imperturbable, le Heat devant se contenter d'un faiblard 36% de réussite, il n'en fallait pas plus pour permettre à San Antonio de savourer une nouvelle victoire, la quinzième en 18 matches. Pour autant, si Michael Finley n'a guère été en réussite, si Robert Horry ou Nazr Mohammed ont été discrets, le troisième élément du Big Three texan n'a pas manqué de répondre présent à l'appel du choc. Tony Parker n'a certes rendu qu'un petit 14 points à 5 sur 11 aux tirs au regard de ses moyennes affichées depuis le début de saison, 20,9 points à 55% de réussite, mais le Français n'en a pas moins été l'une des clés de la démonstration texane.
Et pas seulement pour ses 11 passes décisives, record personnel sur la saison battu. Stan Vain Gundy expliquait ainsi à l'issue de la rencontre: "Tony Parker, si vous regardez depuis le début de saison, parvient toujours à jouer le pick and roll, soit pour lui, soit pour ses coéquipiers. On a mis l'accent dessus et on a fait un effort particulier en défense. Mais c'était encore dur de le contenir ce soir." La voix de l'entraîneur floridien pourrait bien être acquise à l'ancien Parisien dans la course au All-Star Game...
Les Suns sur le grand huit
Et un qui fait huit. Les Warriors l'ont appris à leurs dépens, les Suns sont bel et bien inarrêtables depuis deux semaines. La franchise de l'Arizona l'a confirmé en s'imposant 110-118 sur le parquet de son rival de la Division Pacific, glanant ainsi un huitième succès consécutif et revenant dans les rétroviseurs des Clippers, des Mavs ou des Grizzlies, tous lancés aux trousses des Spurs. Une performance d'autant plus significative qu'obtenue en dépit d'un mauvais passage à l'entame du dernier acte, leurs hôtes en profitant pour virer en tête au cœur du money-time après avoir pourtant accusé jusqu'à huit points de retard quelques minutes auparavant.
Mais Steve Nash et Shawn Marion veillaient et en manquaient pas l'occasion de remettre les Suns en tête dans la foulée. Les deux hommes ont d'ailleurs été, une fois encore, les deux principaux artisans de cette nouvelle victoire avec respectivement 28 points-12 passes et 27 points-14 rebonds, mais le collectif de Phœnix a également parlé, les doublures Raja Bell et Kurt Thomas ajoutant 19 points et 16 points-18 rebonds et Boris Diaw y allant de son double-double. Malgré un problème de fautes l'ayant limité à 22 minutes, l'ancien Palois a en effet compilé 10 points à 5 sur 8, 10 rebonds et 5 passes, signant au passage un dunk au parfum de panier de la victoire à trente secondes de la fin de la rencontre.
Côté californien, malgré un solide 48% de réussite collective et une prestation impeccable de Baron Davis, l'ancien Hornet inscrivant 28 points en dépit d'un petit 3 sur 11 aux tirs tandis que Mike Dunleavy et Jason Richardson ajoutaient 21 et 17 points, cette défaite sonne comme un coup d'arrêt, les Warriors courant toujours en effet après une victoire référence.
www.sports.fr
Face à une équipe de Miami bien trop orpheline du Shaq, les Spurs n'ont même pas eu besoin de forcer pour signer un cinquième succès consécutif. Portés par la verve de leur Big Three, Tim Duncan et Tony Parker compilant notamment 28 points-16 rebonds et 14 points-11 passes, les champions en titre ont en effet déroulé pour s'imposer 98-84 malgré un Dwyane Wade mis sur son 31 pour l'occasion. Ça va fort également pour les Suns qui s'imposent 110-118 chez leurs rivaux des Warriors avec 10 points et 10 rebonds de Boris Diaw.
Un choc? Quel choc? Entre une formation du Heat brinquebalante en l'absence de sa poutre maîtresse Shaquille O'Neal et des Spurs, superbes de certitudes dans le sillage de leurs leaders, le choc au sommet, affiche pressentie des prochaines Finals, tout du moins au moment du coup d'envoi de la saison, a tourné court. Il y a bien eu un premier quart équilibré ou une esquisse de prise de pouvoir des Floridiens à l'entame du second acte pour faire croire à un duel aux effluves printaniers, mais pour le reste, la rencontre a en effet confiné à une démonstration des champions en titre.
Car à peine Antoine Walker avait-il retrouvé le chemin du panier après son terrible fanny rapporté de Los Angeles il y a deux jours, permettant ainsi aux siens de mettre le nez à la fenêtre au début du deuxième acte en passant devant 19-20, que les Texans répliquaient par un 18-5 initié par un Tim Duncan des grands soirs, auteur de 11 points sur la série. Une série aussi impitoyable que rédhibitoire pour des Floridiens bien incapables par la suite d'inquiéter sérieusement leurs hôtes d'un soir. Après avoir viré à la pause avec 17 longueurs d'avance, les Texans n'avaient déjà plus en effet qu'à entretenir l'écart au retour des vestiaires. Les hommes de Gregg Popovich s'acquittèrent longtemps parfaitement de leur tâche avant un baroud d'honneur cosignés Dwyane Wade et Udonis Haslem à l'entame du money-time, Tim Duncan et Manu Ginobili devant alors remettre un coup de collier pour les deux dernières minutes après un rapproché à sept longueurs des Floridiens.
Duncan, Ginobili. Ginobili, Duncan... Les deux hommes ont bien été les deux principaux artisans de la victoire texane. Non contents de valider définitivement ce cinquième succès consécutif en inscrivant les douze derniers points des leurs, les deux all-star ont en effet terminé avec une ligne de statistiques particulièrement ronflante avec 27 points à 10 sur 16 aux tirs pour l'Argentin et 28 points à 11 sur 18, 16 rebonds et 4 contres pour le double MVP. Du travail de champions."J'ai juste eu la chance de mettre des paniers au début pour jouer en confiance, expliquait après coup un Manu Ginobili transfiguré après une série de prestations quelconques, après, comme on avait décidé de jouer le plus possible à l'intérieur, j'ai essayé d'attaquer le cercle un peu plus souvent que je ne l'avais fait lors des derniers matches."
Parker au diapason
Appuyant là où ça fait mal, les deux all-star ont pleinement participé au festival texan sous les panneaux, les Spurs profitant en effet de l'absence de Shaquille O'Neal pour y faire bombance avec 54 points inscrits dans la peinture contre 22 pour des visiteurs plus portés sur le tir de barrage à longue distance. Avec plus ou moins de réussite puisque si Dwyane Wade s'en est sorti avec un honorable 8 sur 20 aux tirs pour porter beau du haut de ses 31 points, 10 passes et 6 rebonds, ses acolytes artificiers n'en finissent plus de manquer la cible. De Jason Kapono, 5 points à 2 sur 8, à Jason Williams, 9 points à 2 sur 7, en passant par l'inévitable et épouvantable Antoine Walker, certes seul autre Floridien à émarger à plus dix points mais au prix d'un peu inspiré 3 sur 15 aux tirs. Intraitable mur texan...
Un axe fort Ginobili-Duncan très... fort. Une défense imperturbable, le Heat devant se contenter d'un faiblard 36% de réussite, il n'en fallait pas plus pour permettre à San Antonio de savourer une nouvelle victoire, la quinzième en 18 matches. Pour autant, si Michael Finley n'a guère été en réussite, si Robert Horry ou Nazr Mohammed ont été discrets, le troisième élément du Big Three texan n'a pas manqué de répondre présent à l'appel du choc. Tony Parker n'a certes rendu qu'un petit 14 points à 5 sur 11 aux tirs au regard de ses moyennes affichées depuis le début de saison, 20,9 points à 55% de réussite, mais le Français n'en a pas moins été l'une des clés de la démonstration texane.
Et pas seulement pour ses 11 passes décisives, record personnel sur la saison battu. Stan Vain Gundy expliquait ainsi à l'issue de la rencontre: "Tony Parker, si vous regardez depuis le début de saison, parvient toujours à jouer le pick and roll, soit pour lui, soit pour ses coéquipiers. On a mis l'accent dessus et on a fait un effort particulier en défense. Mais c'était encore dur de le contenir ce soir." La voix de l'entraîneur floridien pourrait bien être acquise à l'ancien Parisien dans la course au All-Star Game...
Les Suns sur le grand huit
Et un qui fait huit. Les Warriors l'ont appris à leurs dépens, les Suns sont bel et bien inarrêtables depuis deux semaines. La franchise de l'Arizona l'a confirmé en s'imposant 110-118 sur le parquet de son rival de la Division Pacific, glanant ainsi un huitième succès consécutif et revenant dans les rétroviseurs des Clippers, des Mavs ou des Grizzlies, tous lancés aux trousses des Spurs. Une performance d'autant plus significative qu'obtenue en dépit d'un mauvais passage à l'entame du dernier acte, leurs hôtes en profitant pour virer en tête au cœur du money-time après avoir pourtant accusé jusqu'à huit points de retard quelques minutes auparavant.
Mais Steve Nash et Shawn Marion veillaient et en manquaient pas l'occasion de remettre les Suns en tête dans la foulée. Les deux hommes ont d'ailleurs été, une fois encore, les deux principaux artisans de cette nouvelle victoire avec respectivement 28 points-12 passes et 27 points-14 rebonds, mais le collectif de Phœnix a également parlé, les doublures Raja Bell et Kurt Thomas ajoutant 19 points et 16 points-18 rebonds et Boris Diaw y allant de son double-double. Malgré un problème de fautes l'ayant limité à 22 minutes, l'ancien Palois a en effet compilé 10 points à 5 sur 8, 10 rebonds et 5 passes, signant au passage un dunk au parfum de panier de la victoire à trente secondes de la fin de la rencontre.
Côté californien, malgré un solide 48% de réussite collective et une prestation impeccable de Baron Davis, l'ancien Hornet inscrivant 28 points en dépit d'un petit 3 sur 11 aux tirs tandis que Mike Dunleavy et Jason Richardson ajoutaient 21 et 17 points, cette défaite sonne comme un coup d'arrêt, les Warriors courant toujours en effet après une victoire référence.
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o_vert_seas1
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Djib, la photo prise juste avant celle tirée de sport.fr est impressionnante :
"Miami Heat defender Michael Doleac (51) pulls down San Antonio Spurs guard Tony Parker (9) of France, from behind during the third quarter in San Antonio, Wednesday, Dec. 7, 2005. Doleac was ejected for the foul. Heat guard Dwyane Wade (3) is at left." :shock:
C'est ce genre d'actions qui fait réaliser que pour un point guard frêle comme TP, il faut plus que de la vitesse et de l'adresse pour aller défier les pivots, il faut aussi du courage!
"Miami Heat defender Michael Doleac (51) pulls down San Antonio Spurs guard Tony Parker (9) of France, from behind during the third quarter in San Antonio, Wednesday, Dec. 7, 2005. Doleac was ejected for the foul. Heat guard Dwyane Wade (3) is at left." :shock:
C'est ce genre d'actions qui fait réaliser que pour un point guard frêle comme TP, il faut plus que de la vitesse et de l'adresse pour aller défier les pivots, il faut aussi du courage!
Les Spurs dérapent
Fort de ses six succès consécutifs, San Antonio a connu une sortie de route inattendue en s'inclinant à Atlanta. Après un début de match prometteur, les Texans se sont effondrés dans la dernière ligne droite pour s'incliner 94-84 malgré les 20 points de Tony Parker. Coup d'arrêt également pour Phœnix après neuf victoire de rang avec un revers 101-91 chez les Clippers, les Californiens en profitant pour se repositionner sur le podium de la conférence ouest derrière Dallas, beau dauphin des Spurs après leur succès 103-94 face à Boston.
A défaut de faire dans la quantité, les Hawks ont décidé de faire de la qualité. Car si Atlanta reste toujours englué à la dernière place de la Ligue avec trois maigres victoires pour seize défaites, la franchise de Géorgie peut néanmoins se targuer de s'être offert le scalp de deux des cadors de la Ligue puisqu'après avoir surpris les Pacers dans leur antre le mois dernier, les hommes de Mike Woodson ont scellé un nouveau succès de prestige, cette fois face aux champions en titre en personne. Gregg Popovich n'a que modérément apprécié la plaisanterie. Les Texans, solides leaders de la conférence ouest, battus par les Hawks, cancres notoires de la Ligue, l'entraîneur texan a de quoi voir rouge...
Le premier quart, à l'avantage des Texans, a pourtant longtemps laissé croire à un nouveau succès de San Antonio face à Atlanta, le vingtième en 22 matches face aux cancres de la NBA, les Spurs faisant ainsi la course en tête jusqu'à l'entame de la dernière ligne droite. Les Spurs pourront toujours se réfugier derrière l'excuse de la fatigue née d'un deuxième match en deux jours et du déplacement matinal entre San Antonio et Atlanta. Toujours est-il que les Texans s'effondraient dans la dernière ligne droite et que les Hawks terminaient sur un 25-13 rédhibitoire pour les champions en titre défaits 94-84. Et ce malgré les 20 points à 8 sur 18 aux tirs de Tony Parker, Tim Duncan et Manu Ginobili ajoutant respectivement un modeste 12 points-10 rebonds et un plus efficace 17 points-10 rebonds. Chez les Hawks, le premier bourreau des Texans s'appelle Joe Johnson, auteur de 22 points, Zaur Pachulia le secondant avec 19 points et 13 rebonds.
Coup d'arrêt pour les Suns
Après neuf succès de rang, Phœnix espérait bien poursuivre sa belle série lors du duel au sommet de la Division Atlantic chez les Clippers. En vain. Les Californiens ont confirmé leurs belles dispositions en s'imposant 101-91 avec notamment 27 points, 13 rebonds et 6 passes d'Elton Brand, 25 points de Cutino Mobley et 24 points de Sam Cassell. Suffisant pour prendre le dessus sur les joueurs d'Arizona emmenés par l'habituel tandem Shawn Marion et Steve Nash, les deux hommes terminant avec respectivement 20 points à 9 sur 14 et 16 points et 11 passes. Quant à Boris Diaw, le Français a connu une soirée difficile avec un piètre 3 sur 11 aux tirs pour 7 points, 5 rebonds et 3 passes.
Les Wolves passent la cinquième
Rechute pour les troupes de Phil Jackson. Après leurs quatre victoires consécutives, une série leur ayant permis de rééquilibrer leur bilan, les Lakers sont tombés chez les Wolves, autre équipe en forme de la conférence ouest avec désormais cinq succès consécutifs. Une large défaite 95-82 concédée en dépit des 35 points de Kobe Bryant à 11 sur 20 aux tirs, Kevin Garnett répliquant du tac au tac avec 30 points et 8 rebonds et Wally Szczerbiak jouant les fidèles lieutenants en ajoutant 25 points à 10 sur 15 aux tirs. Dominateurs au rebond, les Wolves, forts de leur 49% de réussite, ont également pu compter sur les seconds rôles pour faire la différence à l'image de Marko Jaric et Trenton Hassell, auteurs respectifs de 12 et 13 points.
La belle affaire des Sixers
Soirée faste pour Philadelphie. Vainqueur la veille face aux Bobcats, les Sixers ont remis le couvert chez les Nets, leurs premiers concurrents en tête de la Division Atlantic. Emmenés par un Allen Iverson fidèle à lui-même, c'est à dire innarêtable, le meilleur marqueur de la Ligue se fendant pour l'occasion de 42 points à 15 sur 28 aux tirs et 12 passes, les Sixers l'ont en effet emportés 95-107 et ont ainsi récupéré la première place de la Division. Mais Iverson n'a pas été le seul à briller côté Sixers puisque si Chris Webber a dû se contenter de 13 points pour aller avec ses 9 rebonds et 7 passes, Kyle Korver a signé un édifiant 10 sur 11 aux tirs pour 25 points. De quoi rendre vains aussi bien les 26 points, 11 rebonds et 7 passes de Richard Jefferson que les 26 points de Vince Carter ou les 14 points et 9 passes de Jason Kidd.
www.sports.fr
Johan Petro est de retour ... mais perd
Le jeune Johan Petro est enfn de retour sur les parquets NBA, après avoir joué 4min hier, il a cette fois eut droit à 6min sur le parquet. Six petites minutes ou il fait preuve d'une belle efficacité avec 3pts et 3rbds. Pas loin des rendement des autres interieurs des Sonics dans un temps nettement plus important ... Cependant Seattle s'est incliné 123-104 face à Sacramento.
Washington 111-118 Chicago
Orlando 94-83 Denver
Atlanta 94-84 San Antonio
New Jersey 95-107 Philadelphie
Charlotte 103-111 Toronto
Minnesota 95-82 LA Lakers
Indiana 80-66 Memphis
Dallas 103-94 Boston
Milwaukee 111-105 Cleveland
Seattle 104-123 Sacramento
LA Clippers 101-91 Phoenix
Fort de ses six succès consécutifs, San Antonio a connu une sortie de route inattendue en s'inclinant à Atlanta. Après un début de match prometteur, les Texans se sont effondrés dans la dernière ligne droite pour s'incliner 94-84 malgré les 20 points de Tony Parker. Coup d'arrêt également pour Phœnix après neuf victoire de rang avec un revers 101-91 chez les Clippers, les Californiens en profitant pour se repositionner sur le podium de la conférence ouest derrière Dallas, beau dauphin des Spurs après leur succès 103-94 face à Boston.
A défaut de faire dans la quantité, les Hawks ont décidé de faire de la qualité. Car si Atlanta reste toujours englué à la dernière place de la Ligue avec trois maigres victoires pour seize défaites, la franchise de Géorgie peut néanmoins se targuer de s'être offert le scalp de deux des cadors de la Ligue puisqu'après avoir surpris les Pacers dans leur antre le mois dernier, les hommes de Mike Woodson ont scellé un nouveau succès de prestige, cette fois face aux champions en titre en personne. Gregg Popovich n'a que modérément apprécié la plaisanterie. Les Texans, solides leaders de la conférence ouest, battus par les Hawks, cancres notoires de la Ligue, l'entraîneur texan a de quoi voir rouge...
Le premier quart, à l'avantage des Texans, a pourtant longtemps laissé croire à un nouveau succès de San Antonio face à Atlanta, le vingtième en 22 matches face aux cancres de la NBA, les Spurs faisant ainsi la course en tête jusqu'à l'entame de la dernière ligne droite. Les Spurs pourront toujours se réfugier derrière l'excuse de la fatigue née d'un deuxième match en deux jours et du déplacement matinal entre San Antonio et Atlanta. Toujours est-il que les Texans s'effondraient dans la dernière ligne droite et que les Hawks terminaient sur un 25-13 rédhibitoire pour les champions en titre défaits 94-84. Et ce malgré les 20 points à 8 sur 18 aux tirs de Tony Parker, Tim Duncan et Manu Ginobili ajoutant respectivement un modeste 12 points-10 rebonds et un plus efficace 17 points-10 rebonds. Chez les Hawks, le premier bourreau des Texans s'appelle Joe Johnson, auteur de 22 points, Zaur Pachulia le secondant avec 19 points et 13 rebonds.
Coup d'arrêt pour les Suns
Après neuf succès de rang, Phœnix espérait bien poursuivre sa belle série lors du duel au sommet de la Division Atlantic chez les Clippers. En vain. Les Californiens ont confirmé leurs belles dispositions en s'imposant 101-91 avec notamment 27 points, 13 rebonds et 6 passes d'Elton Brand, 25 points de Cutino Mobley et 24 points de Sam Cassell. Suffisant pour prendre le dessus sur les joueurs d'Arizona emmenés par l'habituel tandem Shawn Marion et Steve Nash, les deux hommes terminant avec respectivement 20 points à 9 sur 14 et 16 points et 11 passes. Quant à Boris Diaw, le Français a connu une soirée difficile avec un piètre 3 sur 11 aux tirs pour 7 points, 5 rebonds et 3 passes.
Les Wolves passent la cinquième
Rechute pour les troupes de Phil Jackson. Après leurs quatre victoires consécutives, une série leur ayant permis de rééquilibrer leur bilan, les Lakers sont tombés chez les Wolves, autre équipe en forme de la conférence ouest avec désormais cinq succès consécutifs. Une large défaite 95-82 concédée en dépit des 35 points de Kobe Bryant à 11 sur 20 aux tirs, Kevin Garnett répliquant du tac au tac avec 30 points et 8 rebonds et Wally Szczerbiak jouant les fidèles lieutenants en ajoutant 25 points à 10 sur 15 aux tirs. Dominateurs au rebond, les Wolves, forts de leur 49% de réussite, ont également pu compter sur les seconds rôles pour faire la différence à l'image de Marko Jaric et Trenton Hassell, auteurs respectifs de 12 et 13 points.
La belle affaire des Sixers
Soirée faste pour Philadelphie. Vainqueur la veille face aux Bobcats, les Sixers ont remis le couvert chez les Nets, leurs premiers concurrents en tête de la Division Atlantic. Emmenés par un Allen Iverson fidèle à lui-même, c'est à dire innarêtable, le meilleur marqueur de la Ligue se fendant pour l'occasion de 42 points à 15 sur 28 aux tirs et 12 passes, les Sixers l'ont en effet emportés 95-107 et ont ainsi récupéré la première place de la Division. Mais Iverson n'a pas été le seul à briller côté Sixers puisque si Chris Webber a dû se contenter de 13 points pour aller avec ses 9 rebonds et 7 passes, Kyle Korver a signé un édifiant 10 sur 11 aux tirs pour 25 points. De quoi rendre vains aussi bien les 26 points, 11 rebonds et 7 passes de Richard Jefferson que les 26 points de Vince Carter ou les 14 points et 9 passes de Jason Kidd.
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Johan Petro est de retour ... mais perd
Le jeune Johan Petro est enfn de retour sur les parquets NBA, après avoir joué 4min hier, il a cette fois eut droit à 6min sur le parquet. Six petites minutes ou il fait preuve d'une belle efficacité avec 3pts et 3rbds. Pas loin des rendement des autres interieurs des Sonics dans un temps nettement plus important ... Cependant Seattle s'est incliné 123-104 face à Sacramento.
Washington 111-118 Chicago
Orlando 94-83 Denver
Atlanta 94-84 San Antonio
New Jersey 95-107 Philadelphie
Charlotte 103-111 Toronto
Minnesota 95-82 LA Lakers
Indiana 80-66 Memphis
Dallas 103-94 Boston
Milwaukee 111-105 Cleveland
Seattle 104-123 Sacramento
LA Clippers 101-91 Phoenix
En attendant le derby je vous propose cette vidéo absolument enormissime ...
http://s64.yousendit.com/d.aspx?id=2BH8 ... VX2PUU5TGU
J'me la passe en boucle tellement c'est bon
edit : Noooooonn le lien est mort
Je vais l'uploader ... http://djibgreen.free.fr/The%20Art%20of%20War.wmv
Elle sera pas en ligne avant 30min par contre ...
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Last edited by vinsanity on 11 Dec 2005, 15:59, edited 1 time in total.
Je suis sur que tu l'a passé au moins 25 fois :twisted: :twisted:djibgreen wrote:En attendant le derby je vous propose cette vidéo absolument enormissime ...
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J'me la passe en boucle tellement c'est bon
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Ouaip, je sais j'ai vu, d'ailleurs j'ai édité
C'est pas de moi le lien, je l'ai trouvé sur un autre forum http://www.basketinforum.com/
Je la ré-upload, parce que ca vaut vraiment le coup
C'est pas de moi le lien, je l'ai trouvé sur un autre forum http://www.basketinforum.com/
Je la ré-upload, parce que ca vaut vraiment le coup
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o_vert_seas1
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o_vert_seas1
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Lu sur nba.com :
NEW YORK, Dec. 13, 2005 – NBA Europe Live presented by EA SPORTS™ will feature the Los Angeles Clippers, Philadelphia 76ers, Phoenix Suns, and the 2005 NBA Champion San Antonio Spurs conducting training camps in October 2006 and competing against top European basketball clubs in seven European cities in five countries, the NBA and Euroleague Basketball announced today. Each of the four NBA teams will be based in a different European city during the first week of October. The 76ers will hold training camp in Barcelona, Spain and take part in an exhibition game against Winterthur FC Barcelona at the Palau Sant Jordi. The Suns will conduct training camp in Treviso, Italy at La Ghirada, a state-of the-art training center one hour north of Venice, and will play a game against Virtus Lottomatica Roma in Rome at PalaLottomatica on Oct. 6. The Spurs will travel to Lyon, France, for training camp and play a game against the French team Adecco ASVEL Lyon-Villeurbanne at the Astroballe on Oct. 5. The team will then travel to Paris for a game against two-time Euroleague Basketball Champions Maccabi Elite Tel Aviv at the Paris-Bercy on Oct. 8.The Clippers will travel to Moscow for training camp at the Universal Sport Hall CSKA and play games against CSKA Moscow and Unics Kazan Oct. 6-8. NBA Europe Live presented by EA SPORTS™ will conclude with a tournament at the Kölnarena in Cologne, Germany. The tournament will feature games between the 76ers and the Suns and the 2005-06 Euroleague Basketball Champion vs. the Euroleague Basketball runner-up on Oct. 10. The finale will feature matchups on Oct. 11 between the winners and the runners-up of each game. Information on ticket sales for each game of the tour will be announced at a later date.
Cette nuit, à noter la victoire du Heat marquée par le retour véritable du Shaq (30 points) et celle des Spurs, après OT contre les Clippers, avec de nouveau un Parker décisif (25 points ; 7 passes) alors que Duncan réussit un match de mamouth (27 points ; 22 rebonds). En ce qui concerne, l'affrontement Warriors-Sonics (110-107 OT), Pietrus est toujours sur l'IL alors que Petro enregistre un nouveau DNP...
NEW YORK, Dec. 13, 2005 – NBA Europe Live presented by EA SPORTS™ will feature the Los Angeles Clippers, Philadelphia 76ers, Phoenix Suns, and the 2005 NBA Champion San Antonio Spurs conducting training camps in October 2006 and competing against top European basketball clubs in seven European cities in five countries, the NBA and Euroleague Basketball announced today. Each of the four NBA teams will be based in a different European city during the first week of October. The 76ers will hold training camp in Barcelona, Spain and take part in an exhibition game against Winterthur FC Barcelona at the Palau Sant Jordi. The Suns will conduct training camp in Treviso, Italy at La Ghirada, a state-of the-art training center one hour north of Venice, and will play a game against Virtus Lottomatica Roma in Rome at PalaLottomatica on Oct. 6. The Spurs will travel to Lyon, France, for training camp and play a game against the French team Adecco ASVEL Lyon-Villeurbanne at the Astroballe on Oct. 5. The team will then travel to Paris for a game against two-time Euroleague Basketball Champions Maccabi Elite Tel Aviv at the Paris-Bercy on Oct. 8.The Clippers will travel to Moscow for training camp at the Universal Sport Hall CSKA and play games against CSKA Moscow and Unics Kazan Oct. 6-8. NBA Europe Live presented by EA SPORTS™ will conclude with a tournament at the Kölnarena in Cologne, Germany. The tournament will feature games between the 76ers and the Suns and the 2005-06 Euroleague Basketball Champion vs. the Euroleague Basketball runner-up on Oct. 10. The finale will feature matchups on Oct. 11 between the winners and the runners-up of each game. Information on ticket sales for each game of the tour will be announced at a later date.
Cette nuit, à noter la victoire du Heat marquée par le retour véritable du Shaq (30 points) et celle des Spurs, après OT contre les Clippers, avec de nouveau un Parker décisif (25 points ; 7 passes) alors que Duncan réussit un match de mamouth (27 points ; 22 rebonds). En ce qui concerne, l'affrontement Warriors-Sonics (110-107 OT), Pietrus est toujours sur l'IL alors que Petro enregistre un nouveau DNP...
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o_vert_seas1
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C'était tactique pour qu'ils fassent faute sur lui et pas sur un autre à 12sec de la fino_vert_seas1 wrote:Certes, mais aussi 3/13 aux LF, et surtout il en était à 1/11 avant de rentrer ses 2 derniers à 12sec de la fin qui envoient les Spurs en OT :???:
et là poum!22 rebonds, c'est Rodmanesque :shock:
Effectivement, il est heureux que Dream Tim ait encore ce défaut dans son jeu, sans quoi il serait absolument innarêtable. Lui et SA, avec...o_vert_seas1 wrote:Certes, mais aussi 3/13 aux LF, et surtout il en était à 1/11 avant de rentrer ses 2 derniers à 12sec de la fin qui envoient les Spurs en OT :???:Karamba wrote:Duncan réussit un match de mamouth (27 points ; 22 rebonds)
Si les Spurs rentraient tous leurs LF ils seraient quasiment invincibles
A part ça, Ron Artest est sur le point d'être transféré puisque ce bon Ron-Ron a cru bon de déclarer à la presse qu'il en avait marre de l'Indiana et qu'à partir de maintenant, les Pacers seraient bien meilleurs sans lui. Une nouvelle déclaration ridicule qui n'a pas beaucoup plu à ses dirigeants qui ont décidé de le mettre au repos pour les trois prochains matchs en espérant lui trouver un point de chute pendant ce temps-là.
Selon insidehoops, la piste la plus chaude serait NY. Les Knicks ont besoin d'un SF, Artest a déclaré que dans un monde parfait, il se verrait jouer à Big Apple, sa ville natale. En échange, Isaiah Thomas pourrait proposer un package de rookies et de sophomores comprenant Channing Frye, Nate Robinson, David Lee et Trevor Ariza.
La phrase qui résume le mieux cette affaire vient de Al Harrington : "If I was in his position, there's no way I'd ever want to leave Indiana. No way in the world. To have the opportunity he had there and to be on a winning team, too? That's a no-brainer."
D'ailleurs, voir un échange sec Artest-Harrington est aussi une possibilité car le Hawk est le seul joueur de la League dont les caractéristiques et le salaire sont sensiblement identiques aux références de Artest. Et franchement, ça me ferait vraiment marrer de voir Artest se débattre à Atlanta. Plus qu'à NY, en tout cas...
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o_vert_seas1
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