Pas forcément d'accord avec toi sur certains points.latornade wrote:C’est parce que le chef de rayon livre s’occupe également des croquettes pour chiens, qu’il n’a aucune compétence en la matière, que le bouquin de ton amie il s’en bat les cacahuètes mais que pour être poli avec une cliente il a renvoyé ça le plus loin possible (il aurait pu lui dire Bruxelles que ça aurait été pareil). Que vraisemblablement ce supermarché (comme la plupart) non pas de rayon régionaliste. Que quand ils en ont un, c’est géré éventuellement par la centrale d’achat région ne serait-ce que pour vérifier l’enregistrement de l’ouvrage, jamais par la centrale nationale pour un magasin (tu comprendras facilement pourquoi), sinon par le magasin lui-même si son directeur est un passionné ou si il s’agit d’un Cultura ou d’une Fnac après que l’éditeur se soit référencé en ligne et qu’il ait enregistré l’ouvrage en ligne avec envoi du livre dématérialisé (genre PDF).GreenPeace wrote:quel teasing !osvaldopiazzolla wrote:c'est quoi ? c'est quoi ?latornade wrote:Que des fois tout se tient avec ces exemples incroyables que vous êtes bien aimable de me fournir sur « l’absurdité de ce monde régi par une rationalisation financière ubuesque et destructrice »GreenPeace wrote:
Je comprends pas l'intention de ce copier/coller...
Mais je peux par contre t’expliquer la vraie raison du pourquoi les 5 exemplaires partent à Paris avant de revenir en magasin.
Attention je ne dis pas que c'est logique mais c'est la réalité. L'exemple des bouquins s'appelle la centralisation, oui oui je ne rigole pas.
Pour que le bouquin soit référencé, il faut l'aval du siège: les achats. Dans les G.S.A ou G.S.B aucune latitude ou presque est laissée aux régions.
Seul le siège décide. Pour une simple raison, les marges arrières. Bien sur dans le cas de l'amie du poto il n'en existera pas. Mais la procédure est ainsi et ne peut être déviée ou contournée. Et ceci quel que soit le référencement. Même si le produit est régional.