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djibgreen wrote:Cette nuit les Spurs battent Atlanta 103-79 avec 18pts 8ast 3stl de TP
Et les Nets battent les Sonics de Petro qui réalise 6pts 5rbds en 25min

A noter la pauvreté monumentale du jeu des Hawks: aucun joueur n'a plus d' 1 assists.... :shock:

C'est pas pour rien qu'ils sont à 0-7, et c'est pas près de changer :???:

o_vert_seas1 wrote:

djibgreen wrote:Cette nuit les Spurs battent Atlanta 103-79 avec 18pts 8ast 3stl de TP
Et les Nets battent les Sonics de Petro qui réalise 6pts 5rbds en 25min

A noter la pauvreté monumentale du jeu des Hawks: aucun joueur n'a plus d' 1 assists.... :shock:

C'est pas pour rien qu'ils sont à 0-7, et c'est pas près de changer :???:

C'est vrai, et pourtant les Hawks jouent vraiment bien par séquence (+13 après le premier 1/4, 52-52 à la mi-temps). Il y a quand même de l'espoir pour cette équipe, qui compte quand même quelques bons et jeunes joueurs. Le problème est qu'ils sont tous sur les postes 2 et 3. Si Atlanta parvenait à trader un intérieur pour aider le bon mais limité Zaza Pachulia et un meneur pour remplacer le risible Tyronn Lue (quoique le rookie Marvin Williams est plutôt pas mal), il y aurait moyen de gagner des matchs.

Y a de l'espoir, donc, ce qui est plus incertain à Toronto, par exemple... (Vivement que Chris Bosh se barre de là-bas, comme tous les autres bons joueurs passés par le Canada avant lui).

Les Lakers attendent Turiaf

L'intérieur tricolore en est certes toujours à attendre l'avis du corps médical, mais au fur et à mesure que les semaines passent, Ronny Turiaf, dont la carrière avait été menacée par la découverte d'une malformation cardiaque cet été, semble de plus en plus prêt d'un retour chez les Lakers. C'est tout du moins ce qu'a laissé entendre Mitch Kupchak, GM de la franchise californienne, à la presse locale. "On ne s'y attendait pas, mais on doit désormais envisager son retour dès cette saison." a-t-il ainsi expliqué au Daily News.


Et si Ronny retrouvait le sourire ?


Et un signe encourageant supplémentaire... Il faudra certes patienter jusqu'au mois prochain pour savoir si Ronny Turiaf, quatre mois après avoir subi une opération à cœur ouvert, pourra reprendre le chemin des parquets. Mais alors que les médecins avaient dans un premier temps évoqué une année de convalescence, son retour apparaît aujourd'hui de plus en plus patent. A tel point que Mitch Kupchak, interrogé sur l'arrivée d'un éventuel renfort à l'intérieur, de lancer en réponse à la presse californienne: «Il ne faut pas écarter l'hypothèse d'un retour de Ronny Turiaf. C'est notre choix de draft. C'était quelque chose qu'on n'avait pas prévu, mais il faut désormais l'envisager.»

Ses retrouvailles surprise avec les Lakers le mois dernier, à l'occasion de l'ouverture du camp d'entraînement à Hawaï, avaient été un premier signe fort. S'il s'était contenter de séances individuelles pendant que les troupes de Phil Jackson s'escrimaient sur le parquet mitoyen, sa présence avait marqué les esprits. "Je bosse dur tous les jours. Je fais tout ce qui est en mon pouvoir pour pouvoir rejouer un jour," avait-il alors expliqué "Je me sens vivant, c'est fantastique et maintenant je dois prouver qu'on peut se remettre d'une telle blessure."

Depuis Ronny Turiaf s'est fait discret. Revenu à Spokane terminé ses cours à Gonzaga pour valider son diplôme, l'intérieur tricolore attend en effet le verdict des médecins qui l'avaient opéré l'été dernier de sa malformation aortique. Initialement prévue en novembre, la visite de contrôle avec ses chirurgiens a été reportée au mois prochain. Mais l'optimisme est de mise lorsqu'on apprend que le Martiniquais a suivi plusieurs séances d'entraînement avec les Bulldogs, se livrant même à un scrimmage.

Si l'hypothèse de son retour devait prendre corps, les Lakers devraient libérer l'un de leurs quinze joueurs avant le 10 janvier, date à partir de laquelle les contrats deviennent définitifs.

www.sports.fr

Ca fait plaisir, et en plus les Lakers ont bien besoin de monde à l'intérieur. Quelle idée de recruter Kwame Brown quand on a pas un seul intérieur digne de ce nom...

Au delà du fait qu'il est francais, c'est vraiment un gars génial. Il a une hargne peu commune, c'est un vrai battant, et c'est vraiment un gentil. Il est unanimement apprécié dans son université à Gonzaga, la preuve c'est qu'ils ont payé une partie de sa convalescence, et qu'il l'a faite à Spokane, sur le campus de l'université de Gonzaga. Et en quelques semaines il a su se faire apprécier des Lakers.

djibgreen wrote:Au delà du fait qu'il est francais, c'est vraiment un gars génial. Il a une hargne peu commune, c'est un vrai battant, et c'est vraiment un gentil. Il est unanimement apprécié dans son université à Gonzaga, la preuve c'est qu'ils ont payé une partie de sa convalescence, et qu'il l'a faite à Spokane, sur le campus de l'université de Gonzaga. Et en quelques semaines il a su se faire apprécier des Lakers.

Oui, ce gars a la particularité de marquer les gens et les esprits là où il passe... alors qu'il est un bon intérieur, mais sans plus (= pas un Duncan ou Garnett non plus).

Bon point, en tout cas, cette volonté qu'il montre à revenir son meilleur niveau pour honorer son contrat. Le scrimmage étant un exercice de situation réelle mais hors compét', s'il y participe, il y a de fortes chances que les médecins le déclarent apte. Maintenant il va devoir remonter la pente de toute façon donc si j'étais GM des Lakers j'attendrai l'année prochaine...

Résultats :

Toronto 115-121 Philadelphia
Charlotte 122-90 Indiana :O:
New Orleans 81-91 Denver
Portland 96-93 Chicago
LA Lakers 97-[/b]92 New York
Golden State (en cours) Milwaukee
Boston 100-113 Seattle
Petro : 2 points (1/3 aux shoots et 0/1 aux lancers), 3 rebonds et 1 balle perdue en 13 minutes + 3 fautes !
Phoenix 103-115 Memphis Boris : 8 points (4/8 aux shoots), 7 rebonds, 7 passes et 4 balles perdues en 26 minutes ! :bravo:

Golden State 87-90 Milwaukee
Mike Pietrus : 18pts (6/9 aux shoots, dont 2/5 à 3pts, et 4/8 aux LF) 4rbds 2ast 3stl 1blk et 2TO en 31min

djibgreen wrote:Golden State 87-90 Milwaukee
Mike Pietrus : 18pts (6/9 aux shoots, dont 2/5 à 3pts, et 4/8 aux LF) 4rbds 2ast 3stl 1blk et 2TO en 31min

A noter que plus ça va, plus Pietrus prend des minutes à Dunleavy. Si ce dernier garde, pour l'instant, sa place dans le cinq, il ne faut pas s'y tromper et souligner que c'est Pietrus qui a le temps de jeu et les stats d'un starter depuis 4 ou 5 matchs.

Karamba wrote:

djibgreen wrote:Golden State 87-90 Milwaukee
Mike Pietrus : 18pts (6/9 aux shoots, dont 2/5 à 3pts, et 4/8 aux LF) 4rbds 2ast 3stl 1blk et 2TO en 31min

A noter que plus ça va, plus Pietrus prend des minutes à Dunleavy. Si ce dernier garde, pour l'instant, sa place dans le cinq, il ne faut pas s'y tromper et souligner que c'est Pietrus qui a le temps de jeu et les stats d'un starter depuis 4 ou 5 matchs.

A noter aussi que si Mike rentrait ses LF, ça éviterai à GS de laisser passer des victoires qui sont à leur portée :evil:

Oui enfin Baron Davis est à 4/21 aux shoots ... :shock:

djibgreen wrote:Oui enfin Baron Davis est à 4/21 aux shoots ... :shock:

Perso j'ai tendance à considérer un LF plus facile qu'un shoot, ce que les stats confirment en général assez bien. Baron a du avoir un "Bruce Bowen" sur le dos toute la soirée ou alors le bras dans le platre...

Cette nuit, victoire des Spurs face à Houston 86-80.

A noter encore une fois le match solide de TP dont voici les stats :
Time played 40:43
Shoot 6-15
LF 5-7
Rbd 1
Assists 8
TO 6 :larmes:
Points 17

greengexois wrote:Cette nuit, victoire des Spurs face à Houston 86-80.

A noter encore une fois le match solide de TP dont voici les stats :
Time played 40:43
Shoot 6-15
LF 5-7
Rbd 1
Assists 8
TO 6 :larmes:
Points 17

D'autant qu'en plus d'être efficace, la confiance aidant sûrement, Parker devient ultra spectaculaire. En témoignent, 2 actions énormes hier :

1. Première possession du match, Tony drive, arrive devant la montagne Yao, feinte la passe pour Nesterovic de manière si rapide que Yao est tout déboussolé (il fait un demi-tour sur lui-même :lol: ) . Tout aussi déboussolé, le mec qui essaie de suivre l'attaque de TP plus un autre qui se met à courir dans le sens de la feinte de TP avant de se rendre compte que Parker vient de marquer 2 points.

2. Parker prend la balle sur la ligne à 3 points, drive again, pas un intérieur de son équipe dans la raquette, son défenseur a perdu son short sur le premier pas, les 2 autres extérieurs essaient de l'arrêter en tête de raquette, il est trop rapide. Swift et Yao l'attendent et on craint la grosse bâche, Parker se faufile incroyablement entre ces deux monstres et marque d'un mouvement hallucinant tandis que les deux autres ont fait beaucoup de vent avec leurs mains. Swift surtout, qui doit encore se demander par où TP est passé.

Le dernier mot pour Parker

Non content de remporter le duel tricolore face à son frère bleu Boris Diaw, rendant 19 points et 5 rebonds contre 10 points et 5 passes pour l'ancien Palois, Tony Parker a également été décisif dans la victoire des siens, 97-91 face aux Suns, avec quelques actions cruciales dans les dernières secondes. La performance de la soirée est néanmoins à mettre à l'actif de LeBron James, auteur de 36 points et d'un triple-double lors du succès des Cavaliers chez les Sixers 120-123. Enfin, les Mavs ont été les premiers tombeurs des Pistons, 119-82.



Tony Parker est en confiance. "C'est notre joueur le plus constant depuis le début de saison." dit ainsi de lui Gregg Popovich. Fort d'un début de saison particulièrement réussi, avec en point d'orgue 21,5 points de moyenne et un incroyable 55% de réussite, le meneur tricolore affiche de nouvelles certitudes. Steve Nash, MVP de la Ligue, peut désormais en témoigner. Si Tim Duncan et Shawn Marion se sont, comme attendu, livrés à un duel en haute altitude, les deux géants du jeu confirmant leur art consommé du double-double avec 24 points-13 rebonds pour le premier et 22 points-12 rebonds pour son alter ego chez les Suns, les ultimes secondes de la rencontre, le fin du fin, a en effet appartenu aux deux meneurs.

Alors que San Antonio avait pu brièvement se targuer de neuf points d'avance à l'entame du quatrième acte, les Suns avaient alors fait l'essentiel de leur retard pour pointer à une maigre longueur de leurs hôtes avec une minute à jouer. Boris Diaw, de plus en plus gourmand, essayait bien de tirer la couverture à lui, mais l'ancien Palois, égal à lui-même avec ses 10 points à 5 sur 12, 5 passes et 4 rebonds compilés en 35 minutes, manquait le panier synonyme de prise de pouvoir. La réplique n'allait pas se faire attendre. Alors que le système prévu chez les Texans ne parvenait pas à se mettre en place, Tony Parker prenait ses responsabilités et se jouait de la défense de Steve Nash pour marquer d'un tir à trois mètres dans la raquette. Et si le meneur canadien tentait bien de lui répliquait du tac au tac, il ne parvenait pas à se défaire du Tricolore et en était quitte pour un échec rédhibitoire. Un dernier rebond défensif, un ultime lancer-franc et Parker pouvait bien recevoir les félicitations de son entraîneur.

"Le système qu'on a appelé n'a pas fonctionné et il a pris le jeu à son compte. C'est tout lui, confiait ainsi souriant Gregg Popovich, il s'est réveillé au meilleur moment et a fini le travail. Notamment en défense car ses quelques ballons récupérés (ndlr: trois interceptions) ou sa défense sur Steve Nash ont été tout aussi précieuses que son panier." Et avec 19 points à 8 sur 19 aux tirs, 5 rebonds et 3 passes, le Français a rendu une copie conforme à ses standards actuels. De quoi permettre aux Texans de signer un troisième succès consécutif et de conforter leur statut de leader de la conférence ouest. Et ce malgré une belle résistance de leurs visiteurs.

Dans le remake des dernières finales de la conférence ouest, les hommes de Mike D'Antoni ont bien essayé de jouer dans un registre plus défensif qu'à leur habitude, mais la défense texane a eu, encore une fois, le dernier mot. La faute notamment à une belle domination au rebond (54-44 dont 17-8 pour les prises offensives), les Spurs inscrivant ainsi 21 points grâce à des paniers de deuxième chance. "On a perdu en attaque. On a sans doute fait notre meilleur match en défense, mais l'attaque n'a pas suivi malgré notre belle attitude. On a eu quelques opportunités mais on n'a pas su les saisir." regrettait Mike D'Antoni. Et les regrets étaient d'autant plus vifs pour les joueurs de l'Arizona qu'ils ont perdu Leandro Barbosa. Homme en forme du moment à Phoenix, devenu troisième arme offensive de la franchise et intronisé dans le cinq depuis peu, le Brésilien a en effet été sérieusement blesé au genou gauche après un choc avec Manu Ginobili. A la peine avec un bilan de nouveau négatif -quatre victoires pour cinq défaites- les Suns connaissent décidément un début de saison difficile...

Défaite de Golden state face aux Clippers : 113-101 : match moyen de Mike Pietrus : 11 pts à 3/11 (1/6 à 3pts) et 4/4 aux LF, 5 rbds.

Victoire de Seattle face à Sacramento 106-104 : Pas de Petro sur la feuille de match :shock: étrange!!! Aurait ik oublié ses affaires

greengexois wrote:Défaite de Golden state face aux Clippers : 113-101 : match moyen de Mike Pietrus : 11 pts à 3/11 (1/6 à 3pts) et 4/4 aux LF, 5 rbds.

Victoire de Seattle face à Sacramento 106-104 : Pas de Petro sur la feuille de match :shock: étrange!!! Aurait ik oublié ses affaires

Voilà l'explication:
"Johan Petro was in the hospital because of dehydration from the stomach flu" (Yahoo.com) => le p'tit Johan, victime d'une grippe intestinale, a suivi le match depuis son lit d'hôpital...

Bon rétablissement Johan!

Et un 2e français à l'infirmerie :sad: :

"Warriors guard Mickael Pietrus limped to the locker room 4:35 before halftime with a sprained right knee and did not return. He will be examined Tuesday, though he left the arena on crutches and said he could be sidelined as long as six weeks"

Trad rapide: blessé avant la mi-temps, passe des exams aujourd'hui et aurait déclaré du haut de ses béquilles qu'il pourrait manquer les 6 prochaines semaines de compétition.

Sans chauvinisme, coup dur pour les GS Warriors qui commençaient à trouver une bonne alchimie et profiter d'une certaine embellie collective :???:

Johan devrai etre de retour dès le prochain match. Par contre, sal coupe pour Mike et les Warriors ...

Des Spurs royaux

Parker, Duncan. Duncan, Parker... Si ce n'est l'un, c'est l'autre. Dans le sillage de Mike Bibby, auteur de 33 points, les Kings ont eu beau s'essayer à une tentative de come-back dans la dernière ligne droite, les 23 points du meneur français et les 22 points-19 rebonds de son implacable compère ont prévalu jusqu'au bout et permis aux Spurs de ramener une victoire 93-96 de leur déplacement à Sacramento. Côté tricolore, moins de réussite en revanche pour Mickael Pietrus, blessé au genou droit lors du succès des Warriors sur les Nets 100-97.

Aussi beaux qu'ils soient, les Spurs semblent ne pas en avoir fini avec leurs mauvaises habitudes. Très rares défauts apparus dans la cuirasse texane la saison passée, les difficultés parfois rencontrées par les hommes de Gregg Popovich pour valider une victoire paraissant déjà acquise, semblent en effet toujours d'actualités. S'il n'est pas encore question de gâchis majuscules tels ceux connus, il y a un an, face à Toronto ou à Houston, force est de reconnaître que les champions en titre aiment se faire des frayeurs.

Car quatre jours après avoir frémi à l'idée d'un funeste bis repetita face aux Rockets, leurs voisins texans, Tracy McGrady en tête, jouant en effet avec leurs nerfs malgré un débours de 20 points à l'entame du dernier quart, les Spurs se sont cette fois faits une peur bleue à l'occasion de leur visite à l'Arco Arena. Un bleu roi puisque les Kings, après avoir pourtant accusé jusqu'à 17 longueurs de retard au cours du dernier acte, avaient même le panier de l'égalisation au bout des doigts de Mike Bibby. Impérial tout au long du quatrième quart, le meneur de Sacramento y inscrivant notamment 14 de ses 33 points pour ressusciter des Kings tout prêts d'abdiquer, Bibby voyait néanmoins sa tentative de la dernière chance mourir sur l'arceau. La défense conjuguée de Tony Parker et Robert Horry avait réussi à préserver l'essentiel...

Pour autant, certains Texans ne manquaient pas de pointer du doigt ces errances du dernier acte. Ainsi Manu Ginobili de constater "On s'est crus arrivés. On a arrêté de défendre et en attaque, la balle a beaucoup moins circulé que d'habitude. Ça doit nous servir de leçon car on a été heureux que Bibby manque sa tentative à la dernière seconde. Tout peut se passer dans ces cas là." Etrangement, Gregg Popovich s'est montré particulièrement clément à l'égard de ses troupes, préférant insister sur la prestation de Mike Bibby et retenir la nouvelle victoire acquise. Une quatrième consécutive, la septième sur les huit dernières rencontres, qui permet aux Texans de prendre, seuls, les commandes de la conférence ouest avec neuf victoires et deux défaites au compteur.

Les Kings en souffrance

Et l'entraîneur texan est apparu si détendu après coup qu'il n'a pas manqué d'y aller d'une nouvelle salve de compliments à l'endroit de Tony Parker. Meilleur marqueur des siens avec 23 points à 9 sur 16 aux tirs au compteur, dont un joli 5 sur 11 assuré au rayon tirs à mi-distance, TP a certes connu bien des problèmes dans la dernière ligne droite pour endiguer la verve de Mike Bibby ou n'a certes distribué que deux passes pour quatre pertes de balle. Il n'en a pas moins ravi coach Pop. "Ce n'est pas encore Larry bird au niveau de l'adresse extérieure, assurait ainsi ce dernier , mais son tir à mi-distance est de plus en plus consistant. Il a travaillé dur et les progrès sont intéressants."

Tony Parker n'a évidemment pas été le seul à briller côté texan puisque si les artificiers Manu Ginobili ou Michael Finley n'ont rendu que 12 et 8 points, les intérieurs de San Antonio ont également été vus à leur avantage. Tim Duncan en premier lieu évidemment, l'ancien double MVP de la Ligue ajoutant un solide double-double à sa collection avec 22 points et 19 rebonds. Mais pas seulement. Certes Rasho Nesterovic et Nazr Mohammed n'ont inscrit que 10 et 6 points mais leur performance défensive est à saluer puisque Shareef Abdur-Rahim, et surtout Brad Miller, ont été limités à 11 et 2 points.

Dès lors Bonzi Wells a eu beau compiler 18 points et 14 rebonds, Francisco Garcia inscrire 12 points en remplacement de Peja Stojakovic blessé à la main après l'agression de Danny Fortson, leurs efforts sont restés vains. Et les Kings n'ont pas échappé à une énième défaite, la septième en onze matches. De quoi leur valoir l'avant-dernière place de la rédaction...

Golden State se reprend, Pietrus se blesse

Défaits la veille chez les Clippers, les Warriors n'ont pas traîné pour renouer avec la victoire. Profitant de la visite des Nets, les Californiens ont en effet repris leur marche en avant avec un succès 100-97. Les New Yorkais ont bien tenté, sur le tard, de remettre en cause la suprématie de leurs hôtes mais les efforts conjugués de Richard Jefferson, Nenad Krstic ou Jason Kidd, les trois hommes affichant respectivement 25 points, 21 points-10 rebonds et 15 points-9 rebonds, sont restés vains. La faute notamment à la verve de Derek Fisher dans le quatrième acte. Rare remplaçant à avoir voix au chapitre pour l'occasion, l'ancien Laker a en effet fait admirer son art consommé des fins de match à succès avec 9 de ses 22 points dans la dernière ligne droite.

Jason Richardson confirmant sa verve du moment avec 25 points à 8 sur 15, Troy Murphy assurant son office intérieur en compilant 21 points et 10 rebonds, Baron Davis pouvait bien remettre à plus tard la réconciliation avec son adresse, les Californiens s'en tiraient néanmoins avec une nouvelle victoire et confortaient ainsi leur position dans le peloton de tête. Et Davis, certes à 7 sur 18 aux tirs mais avec 17 points et 8 passes mais, pouvait également se féliciter de la défense sur Jason Kidd, auteur d'une perte de balle rédhibitoire dans les dernières secondes alors que les Nets pouvaient encore espérer un panier à trois points synonyme de prolongation. Et la soirée des New Yorkais, lancés dans une tournée de cinq dates à l'ouest, a été d'autant plus difficile qu'ils ont également perdu Vince Carter, touché à une cuisse.

Et pour les Warriors il pourrait bien s'agir d'une victoire à la Pyrrhus. Mickael Pietrus s'est en effet blessé au genou droit peu avant la pause -il affichait alors 3 points, 2 rebonds et 1 passe en dix minutes- et a dû quitter l'Oakland Arena sur des béquilles. Et alors que le Tricolore devrait passer aujourd'hui des examens complémentaires pour déterminer la gravité de sa blessure, MP2 évoquait d'ores et déjà une absence de six semaines. Un coup dur pour l'ancien Palois qui était en effet de plus en plus pressenti pour obtenir d'ici peu ses galons de titulaire. Pietrus voulait néanmoins se montrer positif: "Les rayons X n'ont rien montré de vraiment mauvais. Ce n'est pas comme si j'allais manquer une année entière. Je n'ai que 23 ans, je vais revenir vite."

Allen Iverson n'est plus seul

Avec 24 points inscrits en première période malgré une grippe naissante, Allen Iverson aurait dû bouder lorsque Maurice Cheeks le cantonna au banc au cours du quatrième acte. Il n'en a rien été et le lutin des Sixers aurait, semble-t-il, bien goûter quelques minutes de repos supplémentaire. "Je ne me sentais pas bien dès l'échauffement, et après la pause ça a été vraiment pénible. Aussi avec le coach on a convenu de me préserver pour le dernier quart mais on n'en a pas eu besoin." expliquait-il a posteriori. Ses coéquipiers avaient en effet fait fi de son absence pour assurer la victoire dès la fin du troisième acte.

Alors qu'Iverson avait assuré l'essentiel du travail avant la pause, le collectif des Sixers prit ainsi le relais et Philadelphie termina avec six joueurs à plus de dix points. Chris Webber et Steven Hunter ont ainsi compilé un double-double chacun avec respectivement 15 points-10 rebonds et 10 points-12 rebonds et les artificiers John Salmons et Andre Iguodala complété le tableau avec 19 et 15 points. De quoi renouer avec la victoire après deux défaites conséctives et renvoyer les jeunes Hornets à leurs chères études malgré les 20 points de David West ou les 17 de JR Smith.

VIVE LA FRANCE!!!!!

Extraordinaire soirée pour les francais de la NBA :

T. Parker 25:53 11-13 à 2pts 4-6 aux LF 5 rbds 6 assists et 2TO soit 26 pts

lors de la victoire aisee des Spurs sur les warriors 113-89 (66-36 à la mi-temps)

Super soirée pour Bobo : joueur du match lors de la victoire des Suns sur les Rockets 100-88: il a joué poste 5 :shock:

35 mn pour 17 pts à 7/10 à 2pts, 3-6 aux LF, 10rbds et 6 assists.

greengexois wrote:VIVE LA FRANCE!!!!!

Extraordinaire soirée pour les francais de la NBA :

T. Parker 25:53 11-13 à 2pts 4-6 aux LF 5 rbds 6 assists et 2TO soit 26 pts

lors de la victoire aisee des Spurs sur les warriors 113-89 (66-36 à la mi-temps)

Super soirée pour Bobo : joueur du match lors de la victoire des Suns sur les Rockets 100-88: il a joué poste 5 :shock:

35 mn pour 17 pts à 7/10 à 2pts, 3-6 aux LF, 10rbds et 6 assists.

Quelle stat de malade :shock:

Ca doit être que des layups, ce n'est pas possible autrement, il a raté autant de paniers que de LF en 2 fois plus de tentatives :shock: :shock: :shock:

greengexois wrote:VIVE LA FRANCE!!!!!

Extraordinaire soirée pour les francais de la NBA :

T. Parker 25:53 11-13 à 2pts 4-6 aux LF 5 rbds 6 assists et 2TO soit 26 pts

lors de la victoire aisee des Spurs sur les warriors 113-89 (66-36 à la mi-temps)

Super soirée pour Bobo : joueur du match lors de la victoire des Suns sur les Rockets 100-88: il a joué poste 5 :shock:

35 mn pour 17 pts à 7/10 à 2pts, 3-6 aux LF, 10rbds et 6 assists.

Quelle stat de malade :shock:

Ca doit être que des layups, ce n'est pas possible autrement, il a raté autant de paniers que de LF en 2 fois plus de tentatives :shock: :shock: :shock:

Les Bleus en haut de l'affiche

Mickael Pietrus sur le flanc à cause d'une entorse au genou, Boris Diaw et Tony Parker ont brillé pour trois et porté haut les couleurs du basket tricolore ce mercredi. A Houston, Boris Diaw a ainsi tout d'abord dignement célébré son intronisation dans le cinq de Phœnix avec 17 points à 7 sur 10 et 10 rebonds, les Suns en profitant pour s'imposer 88-100. Plus tard dans la nuit, Tony Parker a, quant à lui, mené les Spurs à une facile victoire 89-113 chez les Warriors, TP y signant un exceptionnel 11 sur 13 aux tirs pour 26 points en seulement 26 minutes...



Tony Parker semble décidément particulièrement goûter le bon air san franciscain en général et les confrontations avec les Warriors de son ami Baron Davis en particulier. Après avoir battu son record de points en carrière face à ces mêmes Californiens au printemps dernier, le Français profitant alors d'un match en double-prolongation et de l'absence de Duncan et Ginobili pour porter sa marque référence à 35 points, le meneur texan s'est en effet fendu d'un nouveau festival à l'occasion la visite semestrielle des champions en titre à l'Oakland Arena. Mais si Baron Davis avait pu également apprécier la précédente joute, l'ancien Hornet rendant coup pour coup ou plutôt panier pour panier pour terminer avec 38 points au compteur, pas sûr que le plaisir ait été cette fois partagé.

Au lendemain d'un déjeuner partagé par les deux frères de mène, le festin offert par TP a en en effet tourné à l'indigestion pour le Baron. Non seulement le passage au révélateur texan a confirmé ses actuelles carences offensives, ses 6 points à 2 sur 9 faisant à peine tâche comparés aux 16 points de moyenne à 33% affichés depuis le début de saison, mais force est également de constater que sa défense a été tout autant malmenée. Car comme bon nombre de ses confrères, Baron Davis a en effet dû courber l'échine face à la verve automnale de Tony Parker. Avec 26 points en 26 minutes et un remarquable 11 sur 13 aux tirs pour aller avec ses 6 passes et ses 5 rebonds, le Tricolore a bel et bien livré un récital dans la lignée de ses 21,5 points de moyenne à 55% de réussite. Baron Davis ne pouvait, après coup, que constater les dégâts: "Rien n'a fonctionné pour nous ce soir, mais le mérite leur en revient. Ils nous ont étouffé des deux côtés du terrain et on a été incapable de rivaliser. Tony a été particulièrement efficace et il a su autant jouer sa carte personnelle que faire jouer les autres. Il a vraiment fait un grand match."

Insolents de réussite

Et puisque le Français n'a pas été le seul à briller, Tim Duncan rendant ainsi 19 points à 8 sur 12 aux tirs et 12 rebonds, Nazr Mohammed signant également un double-double avec 10 points-10 rebonds et les artificiers Manu Ginobili et Bruce Bowen inscrivant respectivement 14 et 12 points à 50% de réussite, la rencontre a rapidement confiné à la démonstration. Le ton était ainsi donné dès le premier quart avec des Spurs surfant sur un irréel 74% de réussite pour prendre rapidement dix longueurs d'avance et le deuxième acte vira carrément à l'humiliation lorsque la défense des champions en titre se mit au diapason de son attaque. Les Spurs infligeaient alors un terrible 30-18 pour atteindre la pause nantis de 30 points d'avance.

Et avant d'être prématurément remisé sur le banc par un Gregg Popovich sous le charme mais néanmoins précautionneux, Parker prit juste le temps d'enfoncer le clou au retour des vestiaires avec neuf points en quatre minutes. Le sort de la rencontre était cette fois définitivement scellé et les hôtes de la soirée ne purent que sauver quelques apparences dans le dernier quart, les réservistes texans faisant alors tomber l'adresse collective à un édifiant 55% de réussite.

Et tandis que le rookie Ike Diogu a fait ses premiers pas dans la Ligue pour l'occasion, sa blessure à la main n'étant plus qu'un mauvais souvenir, Troy Murphy a bien été le seul à émarger dans le marasme californien. Avec 27 points à 8 sur 13 l'intérieur des Warriors a certes surnagé mais n'a évidemment pu ni endiguer la verve des Texans, ni masquer la maladresse de ses coéquipiers, Jason Richardson, Mike Dunleavy ou Derek Fisher, 6 sur 26 aux tirs à eux trois, s'étant en effet mis au diapason de Baron Davis. En fait, il n'a tout simplement pu faire oublier l'implacable supériorité des champions en titre...

Diaw bien dans son cinq

Boris Diaw à la fête pour son retour dans le cinq.Boris Diaw à la fête pour son retour dans le cinq.
Comme attendu depuis la blessure de Leandro Barbosa, l'expérience Jim Jackson de la veille n'ayant pas été concluante aux yeux de Mike D'Antoni, Boris Diaw a donc eu droit aux honneurs du cinq majeur. Et si sa première titularisation, il y a quinze jours face aux Pistons, ne semblait pas avoir convaincu son entraîneur, alors désireux de voir son équipe attaquer les rencontres bille en tête, la prestation cette fois offerte par l'ancien Palois à l'occasion du déplacement chez les Rockets devrait finir de lever les derniers doutes quant à son nouveau statut.

Car si le succès 100-88 de Phœnix, le second en deux jours après la victoire conclue dans la douleur face à Toronto, a été une œuvre collective, six joueurs émargeant à plus de dix points et, surtout, les Suns terminant avec 33 passes décisives pour 38 paniers, Boris Diaw n'a pas été le dernier à briller. Et pas seulement parce que le Français a parfois été utilisé en défense dans la raquette face au géant chinois Yao Ming, l'ancien Palois s'en tirant à son avantage en parvenant à éloigner son vis à vis du cercle. Steve Nash et Shawn Marion ont beau y avoir été de leurs habituels double-doubles, avec 15 points-14 passes pour le meneur canadien et 19 points-12 rebonds pour son compère, Boris Diaw les a imités et a concilié, une fois n'est pas coutume, éclectisme et efficacité. Non content de noircir toutes les colonnes de sa ligne statistiques avec 17 points, 10 rebonds, 6 passes, 2 contres et 2 interceptions pour aucune perte de balle, l'ancien Palois a également signé un remarquable 7 sur 10 aux tirs qui ravissait son entraîneur.

"Boris a vraiment été très fort ce soir. Il a fait tout ce qu'il sait si bien faire, a été présent des deux côtés du parquet et n'a eu que très peu de déchets. Il a toujours fait les bons choix et ce qui nous fait vraiment plaisir, c'est qu'il ose de plus en plus de choses et prend confiance en son tir." confiait ainsi Mike D'Antoni à l'issue de la rencontre. Et le coach de Phœnix pouvait avoir d'autant plus le sourire que ses ouailles ont livré une prestation sans fausse note pour enfoncer un peu plus des Rockets en souffrance. Nash, Marion ou Diaw n'ont ainsi pas été les seuls à se mettre en évidence puisque James Jones et Jim Jackson, 19 et 11 points, ont participé à la réconciliation des Suns avec leur adresse extérieure. Alors qu'il restaient sur un 8 sur 42 sur les deux derniers matches, les joueurs de l'Arizona ont en effet rendu un 14 sur 27 dans l'exercice rédhibitoire pour leurs hôtes.

En l'absence de Tracy McGrady, Derek Anderson a certes rendu une jolie copie avec 23 points à 9 sur 16 et 9 rebonds, mais l'ancien Blazer a été bien trop esseulé. Et ce ne sont pas les 11 points et 12 rebonds de Stromile Swift qui ont suffi à faire oublier, notamment, la discrétion de Yao Ming, 8 points et 8 rebonds, ou la maladresse de Juwan Howard et David Wesley, 4 points à 2 sur 8 et 7 à 2 sur 9. Aussi, relégués à dix longueurs dès la première période, les Texans ont bien été incapables de menacer leurs visiteurs au retour des vestiaires et n'ont jamais été en mesure, la faute notamment à un faiblard 41% de réussite, d'éviter une cinquième défaite consécutive. Un nouveau revers qui les condamne toujours à la dernière place de la conférence ouest avec seulement 3 victoires au compteur.

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Je confirme pour la defense de Bob sur Yao, assez impressionnant, il l'a éteint complètement, alors que le gars lui rend facile 20cm :lol:

Diaw à pas de géant

Boris Diaw est décidément un garçon plein de ressources. Habitué, polyvalence oblige, à évoluer sur les postes un à quatre, l'ancien Palois a ajouté, face aux Rockets, une corde à son arc avec une titularisation en qualité de pivot au cœur de la raquette des Suns. Et l'essai a été particulièrement concluant puisque non content de compiler 17 points et 10 rebonds, le Tricolore a réussi à contrarier Yao Ming en personne. Boris Diaw n'en finit plus de s'épanouir au soleil de l'Arizona...

Jusqu'où ira-t-il ? Mike D'Antoni, qui n'a de cesse de répéter son admiration pour le jeune homme, est bien incapable de lui fixer des limites. "C'est un joueur définitivement déroutant, expliquait ainsi l'entraîneur des Suns à l'issue de la victoire des siens à Houston,il a un quotient basket vraiment remarquable, ce qui lui confère un pouvoir d'adaptation particulièrement hors-norme." L'ancien coach de Trévise sait de quoi il parler. Trois mois après avoir envisagé dans un premier temps d'en faire la doublure de Steve Nash à la mène puis, depuis trois semaines, de l'utiliser comme l'homme à tout bien faire sur les postes trois et quatre, vient en effet d'en faire son nouveau titulaire en tant que pivot.

Pressenti pour intégrer le cinq majeur des Suns depuis le week-end dernier et la blessure de Leandro Barbosa, Boris Diaw a donc effectivement eu droit aux honneurs d'une titularisation. Non pas au soutien du meneur canadien, mais au cœur de la raquette des derniers finalistes de conférence, et ce face au plus grands de tous, tout du moins en taille, le géant chinois Yao Ming. Le différentiel de taille était en effet éloquent, Boris Diaw lui rendant en effet 23 points. Quelques jours après avoir compulsé le dossier Tim Duncan lors de sa visite chez son ami Tony Parker, l'ancien Palois voyait encore plus haut et pouvait lâcher, dans un sourire, "J'essaie de me faire tous les plus grands de la Ligue."

Car Boris Diaw pouvait bien avoir le sourire à l'issue de sa nouvelle démonstration d'éclectisme. Non seulement le Tricolore avait célébré cette intronisation dans le cinq par un double-double (17 points et 10 rebonds), teinté d'une belle réussite (7 sur 10 aux tirs), mais il avait également été à tel point efficace en défense, bien aidé d'un Shawn Marion fidèle à lui-même, que Yao Ming, écœuré de devoir composer avec un chien de garde si mobile et si rapide et de se voir tant éloigner du cercle, en était quitte pour vois sa série de 55 matches consécutifs à plus de dix points s'interrompre. Et tant pis pour maman et papa présents dans les gradins du Toyota Center.

Mais une telle prestation, toute réussie qu'elle ait été, ne suffirait pas à traduire la nouvelle dimension prise par Boris Diaw depuis son arrivée dans l'Arizona. Son intégration est en effet si réussie que le Tricolore, dont le nom circule parfois parmi ceux des candidats au titre de Most Improved Player (ndlr: joueur ayant le plus progressé), a rejoint un club très fermé, ceux des Kevin Garnett, Lamar Odom, Brad Miller, Steve Francis ou Jason Kidd, valeurs références en matière d'éclectisme et très rares joueurs à émarger à plus de 10 points, 5 rebonds et 5 passes de moyenne. Avec ses 10 points, 6 rebonds et 5,7 passes, Boris Diaw est dans les clous et prend un plaisir non dissimulé. "C'est comme cela que je conçois le basket, comme cela qu'on doit jouer pour que tout le monde y trouve son compte, soufflait-il ainsi à l'issue de la rencontre face aux Rockets, tout le monde court en même temps, tout le monde est collectif et tout le monde est impliqué pour marquer." Un jeu d'enfant...