ASSE - poteaux-carres.com

NSH wrote:

Calx wrote:

Colibris42 wrote: J'aimais l'époque des clubs qui avait fait le bons recrutement malin /la bande de copains / le Club formateur etc

c'est vrai il y a du mérite a ça
mais pourquoi un club qui a beaucoup de supporters, trouve des sponsors, fait du merchandising ne gagnerait pas plus que les autres.

ce qui est déprimant c'est surtout les magouilles des dirigeants pour avantager tel et tel club

Oui, ce qui est sur c’est qu’on ne lutte plus du tout à armes égales.
On est comme en Formule 1. Le PSG c’est Mercedes, et on demande aux Minardi de lutter contre eux. On n’a quasiment aucune chance de gagner un trophée désormais. On a aussi l’impression que tout est fait pour favoriser les gros (clubs des grands bassins de population).
Ce qui est arrivé à Luzenac il y a quelques années par ex, c’etait une honte absolue, dans l’indifference générale.. complètement oublié depuis malheureusement

Toujours est il que ma grande fierté en tant que stéphanois, c’est que mon club est allé en finale de C1 avec uniquement des joueurs formés au club, hormis le gardien. Avec le foot business, c’est pas prêt de se reproduire de sitôt..

Non formé au club un certain stoppeur argentin également

jassim wrote:

merlin wrote:Fini , l'ASF éliminée ...
Si on passe Dijon , ça serait sympa de tomber contre ces mini-vilains ...
Match au parc OL ?

l'idéal,vous tombez la duchère a balmont avec autorisation de deplacement!

tu viendrais tête de noeud?

Faiseur de Tresses wrote:

Florent wrote:

Colibris42 wrote: Foot business je vous dis. Le foot ressemble de moins en moins à un sport ! C'est du marketing /des magouilles / du pognon /investissements / répressions /liquidation etc

C'est marrant, à un mot près ("répression") c'est strictement les propos que tenait mon grand père quand il parlait de l'asse à la fin des années 70.

Florent, fier de notre passé de mineur et de marketeur.

L'ASSE a été précurseur en France pour beaucoup de chose, y compris le marketing et les transferts ronflants. L'époque des Platini, Rep & co a fait rêvé beaucoup de gosses de l'époque (aujourd'hui devenus grands) mais dans l'esprit c'est la même chose que le foot business de maintenant, à une échelle moindre. Je remarque aussi qu'à l'ASSE ça nous réussit rarement : la présence de Platini a sonné la fin de la période la plus faste du club et a eu pour conséquence une période désastreuse de 30 ans sans titre à végéter entre D1 et D2, parfois au porte du national. Idem pour l'équipe des "millionnaires" qui aurait plombé le club sans interventions de Casino et des pouvoirs publics (avec l'argent du contribuable).

Pardonnez-moi de m'immiscer dans votre altercation virile mais historiquement l'ASSE a en fat été le tout premier club de l'histoire diu football français à être estampillé "club de millionaires qui fausse le championnat avec son budget pharaonique". Et le pire est que ça se passait bien avant le transfert de Johnny Rep. en D2, dans les années 30 -quand la famille Guichard voulait absolument accéder à la D1 le plus vite possible.

Ainsi, pendant que la D2 est encore largement semi-professionnelle et fauchée comme les blés, les dirigeants stéphanois sorrtent la caillasse et engagent un entraîneur venu d'Angleterre ainsi que pas mal de recrues de classe internationale dont le goleador yougoslave Ivica Beck et l'international Autrichien Ignaz Tax transféré pour une coquette somme du Servette de Genève ... Tax milieu de terraîn offensif qui deviendra une star, le Platini de son temps.: j'ai lu un article sur un site consacré au Servette expliquant qu'il avait droit à un chant perso de la part du "kop" stéphanois de l'époque :
l"on l'appelle Ignace, Ignace, c'est un fort joli prénom..." tiré d'une chanson à succès de Fernandel.
Tout ça pour dire que les autres clubs de D2 faisaient la gueule mais le président justifiait les dépenses plutôt inconsidèrées par le fait que montée en D1 était vitale pour le club, pour le prestige et le changement de standing bien sûr, mais aussi pour se débarrasser définitivement du rival local encombrant: et solidement implanté dans la cité: les rouges du SC St-Etienne, né de la fusion de plusieurs clubs, qui a également sollicité le passage au professionnalisme au début des années 30 et s'est vu débouté, (sans doute à la suite de magouilles de la famille Guichard) et quii refuse d'abdiquer: il reste amateur mais garde un public fidèle (et finalement presque aussi nombreux que celui du Geoffroy-Guichard des débuts) et surtout un public qui refuse de passer du rouge au vert. Et les rouges résistent bien, .il me semble qie le Sportîng de St-Etienne atteint par exemple encore les 32e de finale de la Coupe de France en 1936.
Donc, l'ASS club de millionaires, c'est ce que disaent déjà les gazettes sportives ddes années 1930. L'ASS tqui tentait aussi bien sûr de débaucher les meilleurs jjoueurs du Sporting dès qu'ils montraient un potentiel sur les terrains amateurs.
Pour Guichard il s'agissait d'atteindre la D1 pour asseoir définitivement la domination des Verts sur la ville. Et malgré leur budget les Verts mirent 4 saisons à rejoindre l'élite. Un peu à l'image du PSG ou de Man City de maintenant qui n'arrivent pas à réussir en LDC malgré toutes les fortunes investies
.
Bon, la morale de cettte histoire est double:
1-l'argent a toujours.mené le monde (et accessoirement le foot)
2-Si Guichard n'avait pas usé de méthodes "radicales" pour promouvoir son club, nous pourrions tous être en train de penser aujourd'hui que "nos Rouges" doivent absolument battre Dijon en coupe pour effacer au moins en partie lla sensation très désagréable laissée par le derby dans nos anus.

Beck venait du FC Sète, une équipe cador à cette époque ...mon grand-père allait les voir jouer au « Bayrou » . Lui et ses copains y allaient en barque depuis leur village de Bouzigues en traversant l’étang de Thau. Il me parlait sans cesse de ce gars et me disait souvent que le club heraultais prêtait des joueurs à l’ASSE naissante ...

Kreuzigue wrote:

Faiseur de Tresses wrote:

Florent wrote:

Colibris42 wrote: Foot business je vous dis. Le foot ressemble de moins en moins à un sport ! C'est du marketing /des magouilles / du pognon /investissements / répressions /liquidation etc

C'est marrant, à un mot près ("répression") c'est strictement les propos que tenait mon grand père quand il parlait de l'asse à la fin des années 70.

Florent, fier de notre passé de mineur et de marketeur.

L'ASSE a été précurseur en France pour beaucoup de chose, y compris le marketing et les transferts ronflants. L'époque des Platini, Rep & co a fait rêvé beaucoup de gosses de l'époque (aujourd'hui devenus grands) mais dans l'esprit c'est la même chose que le foot business de maintenant, à une échelle moindre. Je remarque aussi qu'à l'ASSE ça nous réussit rarement : la présence de Platini a sonné la fin de la période la plus faste du club et a eu pour conséquence une période désastreuse de 30 ans sans titre à végéter entre D1 et D2, parfois au porte du national. Idem pour l'équipe des "millionnaires" qui aurait plombé le club sans interventions de Casino et des pouvoirs publics (avec l'argent du contribuable).

Pardonnez-moi de m'immiscer dans votre altercation virile mais historiquement l'ASSE a en fat été le tout premier club de l'histoire diu football français à être estampillé "club de millionaires qui fausse le championnat avec son budget pharaonique". Et le pire est que ça se passait bien avant le transfert de Johnny Rep. en D2, dans les années 30 -quand la famille Guichard voulait absolument accéder à la D1 le plus vite possible.

Ainsi, pendant que la D2 est encore largement semi-professionnelle et fauchée comme les blés, les dirigeants stéphanois sorrtent la caillasse et engagent un entraîneur venu d'Angleterre ainsi que pas mal de recrues de classe internationale dont le goleador yougoslave Ivica Beck et l'international Autrichien Ignaz Tax transféré pour une coquette somme du Servette de Genève ... Tax milieu de terraîn offensif qui deviendra une star, le Platini de son temps.: j'ai lu un article sur un site consacré au Servette expliquant qu'il avait droit à un chant perso de la part du "kop" stéphanois de l'époque :
l"on l'appelle Ignace, Ignace, c'est un fort joli prénom..." tiré d'une chanson à succès de Fernandel.
Tout ça pour dire que les autres clubs de D2 faisaient la gueule mais le président justifiait les dépenses plutôt inconsidèrées par le fait que montée en D1 était vitale pour le club, pour le prestige et le changement de standing bien sûr, mais aussi pour se débarrasser définitivement du rival local encombrant: et solidement implanté dans la cité: les rouges du SC St-Etienne, né de la fusion de plusieurs clubs, qui a également sollicité le passage au professionnalisme au début des années 30 et s'est vu débouté, (sans doute à la suite de magouilles de la famille Guichard) et quii refuse d'abdiquer: il reste amateur mais garde un public fidèle (et finalement presque aussi nombreux que celui du Geoffroy-Guichard des débuts) et surtout un public qui refuse de passer du rouge au vert. Et les rouges résistent bien, .il me semble qie le Sportîng de St-Etienne atteint par exemple encore les 32e de finale de la Coupe de France en 1936.
Donc, l'ASS club de millionaires, c'est ce que disaent déjà les gazettes sportives ddes années 1930. L'ASS tqui tentait aussi bien sûr de débaucher les meilleurs jjoueurs du Sporting dès qu'ils montraient un potentiel sur les terrains amateurs.
Pour Guichard il s'agissait d'atteindre la D1 pour asseoir définitivement la domination des Verts sur la ville. Et malgré leur budget les Verts mirent 4 saisons à rejoindre l'élite. Un peu à l'image du PSG ou de Man City de maintenant qui n'arrivent pas à réussir en LDC malgré toutes les fortunes investies
.
Bon, la morale de cettte histoire est double:
1-l'argent a toujours.mené le monde (et accessoirement le foot)
2-Si Guichard n'avait pas usé de méthodes "radicales" pour promouvoir son club, nous pourrions tous être en train de penser aujourd'hui que "nos Rouges" doivent absolument battre Dijon en coupe pour effacer au moins en partie lla sensation très désagréable laissée par le derby dans nos anus.

Merci de cet éclairage intéressant (vraiment)

Mais en fait fdt et moi on était d accord.

En fait, on est une grande famille, on est tous d accord entre nous !

Sauf parfois quand yapeno ou yapaspeno

Kreuzigue wrote:

Faiseur de Tresses wrote:

Florent wrote:

Colibris42 wrote: Foot business je vous dis. Le foot ressemble de moins en moins à un sport ! C'est du marketing /des magouilles / du pognon /investissements / répressions /liquidation etc

C'est marrant, à un mot près ("répression") c'est strictement les propos que tenait mon grand père quand il parlait de l'asse à la fin des années 70.

Florent, fier de notre passé de mineur et de marketeur.

L'ASSE a été précurseur en France pour beaucoup de chose, y compris le marketing et les transferts ronflants. L'époque des Platini, Rep & co a fait rêvé beaucoup de gosses de l'époque (aujourd'hui devenus grands) mais dans l'esprit c'est la même chose que le foot business de maintenant, à une échelle moindre. Je remarque aussi qu'à l'ASSE ça nous réussit rarement : la présence de Platini a sonné la fin de la période la plus faste du club et a eu pour conséquence une période désastreuse de 30 ans sans titre à végéter entre D1 et D2, parfois au porte du national. Idem pour l'équipe des "millionnaires" qui aurait plombé le club sans interventions de Casino et des pouvoirs publics (avec l'argent du contribuable).

Pardonnez-moi de m'immiscer dans votre altercation virile mais historiquement l'ASSE a en fat été le tout premier club de l'histoire diu football français à être estampillé "club de millionaires qui fausse le championnat avec son budget pharaonique". Et le pire est que ça se passait bien avant le transfert de Johnny Rep. en D2, dans les années 30 -quand la famille Guichard voulait absolument accéder à la D1 le plus vite possible.

Ainsi, pendant que la D2 est encore largement semi-professionnelle et fauchée comme les blés, les dirigeants stéphanois sorrtent la caillasse et engagent un entraîneur venu d'Angleterre ainsi que pas mal de recrues de classe internationale dont le goleador yougoslave Ivica Beck et l'international Autrichien Ignaz Tax transféré pour une coquette somme du Servette de Genève ... Tax milieu de terraîn offensif qui deviendra une star, le Platini de son temps.: j'ai lu un article sur un site consacré au Servette expliquant qu'il avait droit à un chant perso de la part du "kop" stéphanois de l'époque :
l"on l'appelle Ignace, Ignace, c'est un fort joli prénom..." tiré d'une chanson à succès de Fernandel.
Tout ça pour dire que les autres clubs de D2 faisaient la gueule mais le président justifiait les dépenses plutôt inconsidèrées par le fait que montée en D1 était vitale pour le club, pour le prestige et le changement de standing bien sûr, mais aussi pour se débarrasser définitivement du rival local encombrant: et solidement implanté dans la cité: les rouges du SC St-Etienne, né de la fusion de plusieurs clubs, qui a également sollicité le passage au professionnalisme au début des années 30 et s'est vu débouté, (sans doute à la suite de magouilles de la famille Guichard) et quii refuse d'abdiquer: il reste amateur mais garde un public fidèle (et finalement presque aussi nombreux que celui du Geoffroy-Guichard des débuts) et surtout un public qui refuse de passer du rouge au vert. Et les rouges résistent bien, .il me semble qie le Sportîng de St-Etienne atteint par exemple encore les 32e de finale de la Coupe de France en 1936.
Donc, l'ASS club de millionaires, c'est ce que disaent déjà les gazettes sportives ddes années 1930. L'ASS tqui tentait aussi bien sûr de débaucher les meilleurs jjoueurs du Sporting dès qu'ils montraient un potentiel sur les terrains amateurs.
Pour Guichard il s'agissait d'atteindre la D1 pour asseoir définitivement la domination des Verts sur la ville. Et malgré leur budget les Verts mirent 4 saisons à rejoindre l'élite. Un peu à l'image du PSG ou de Man City de maintenant qui n'arrivent pas à réussir en LDC malgré toutes les fortunes investies
.
Bon, la morale de cettte histoire est double:
1-l'argent a toujours.mené le monde (et accessoirement le foot)
2-Si Guichard n'avait pas usé de méthodes "radicales" pour promouvoir son club, nous pourrions tous être en train de penser aujourd'hui que "nos Rouges" doivent absolument battre Dijon en coupe pour effacer au moins en partie lla sensation très désagréable laissée par le derby dans nos anus.

Je ne connaissais pas cette histoire de club rouge et je trouve que ça résonne bien avec la thèse du ludovic lestrelin comme quoi le foot en france a longtemps été municipal malgré le professionalisme (c'est à dire dépendant largement des subventions d'une ville) et que ça explique (à de rares exceptions près) que en france, contrairement au reste de l'europe, il y a un seul club par ville qui survit au long du XXe siècle.

LE MARQUIS wrote:

jassim wrote:

merlin wrote:Fini , l'ASF éliminée ...
Si on passe Dijon , ça serait sympa de tomber contre ces mini-vilains ...
Match au parc OL ?

l'idéal,vous tombez la duchère a balmont avec autorisation de deplacement!

tu viendrais tête de noeud?

evidemment, les quartiers c'est pas les gens du stade.vaulx duchere ou minguettes même avec un parcage de 2000 pelos ce serait très tendu pour vous

jassim wrote:

LE MARQUIS wrote:

jassim wrote:

merlin wrote:Fini , l'ASF éliminée ...
Si on passe Dijon , ça serait sympa de tomber contre ces mini-vilains ...
Match au parc OL ?

l'idéal,vous tombez la duchère a balmont avec autorisation de deplacement!

tu viendrais tête de noeud?

evidemment, les quartiers c'est pas les gens du stade.vaulx duchere ou minguettes même avec un parcage de 2000 pelos ce serait très tendu pour vous

bla bla bla bla derrière un clavier

il est encore là, l'autre quenelle ?
z-ont vraiment pas d'amis, chez les pisse-froid, faut croire !

vous connaissez aussi bien lyon que nous vu que la plupart y vivent, des milliers de stef'en train d'insulter lyon dans une cité c'est cocktail explosif et oui sayé je me casse

jassim wrote:vous connaissez aussi bien lyon que nous vu que la plupart y vivent, des milliers de stef'en train d'insulter lyon dans une cité c'est cocktail explosif et oui sayé je me casse

RE bla bla bla bla derrière un clavier

comme pour samedi vous avez surement du avoir un empêchement ouaf ouaf...

osvaldopiazzolla wrote:

Kreuzigue wrote:

Faiseur de Tresses wrote:

Florent wrote:

Colibris42 wrote: Foot business je vous dis. Le foot ressemble de moins en moins à un sport ! C'est du marketing /des magouilles / du pognon /investissements / répressions /liquidation etc

C'est marrant, à un mot près ("répression") c'est strictement les propos que tenait mon grand père quand il parlait de l'asse à la fin des années 70.

Florent, fier de notre passé de mineur et de marketeur.

L'ASSE a été précurseur en France pour beaucoup de chose, y compris le marketing et les transferts ronflants. L'époque des Platini, Rep & co a fait rêvé beaucoup de gosses de l'époque (aujourd'hui devenus grands) mais dans l'esprit c'est la même chose que le foot business de maintenant, à une échelle moindre. Je remarque aussi qu'à l'ASSE ça nous réussit rarement : la présence de Platini a sonné la fin de la période la plus faste du club et a eu pour conséquence une période désastreuse de 30 ans sans titre à végéter entre D1 et D2, parfois au porte du national. Idem pour l'équipe des "millionnaires" qui aurait plombé le club sans interventions de Casino et des pouvoirs publics (avec l'argent du contribuable).

Pardonnez-moi de m'immiscer dans votre altercation virile mais historiquement l'ASSE a en fat été le tout premier club de l'histoire diu football français à être estampillé "club de millionaires qui fausse le championnat avec son budget pharaonique". Et le pire est que ça se passait bien avant le transfert de Johnny Rep. en D2, dans les années 30 -quand la famille Guichard voulait absolument accéder à la D1 le plus vite possible.

Ainsi, pendant que la D2 est encore largement semi-professionnelle et fauchée comme les blés, les dirigeants stéphanois sorrtent la caillasse et engagent un entraîneur venu d'Angleterre ainsi que pas mal de recrues de classe internationale dont le goleador yougoslave Ivica Beck et l'international Autrichien Ignaz Tax transféré pour une coquette somme du Servette de Genève ... Tax milieu de terraîn offensif qui deviendra une star, le Platini de son temps.: j'ai lu un article sur un site consacré au Servette expliquant qu'il avait droit à un chant perso de la part du "kop" stéphanois de l'époque :
l"on l'appelle Ignace, Ignace, c'est un fort joli prénom..." tiré d'une chanson à succès de Fernandel.
Tout ça pour dire que les autres clubs de D2 faisaient la gueule mais le président justifiait les dépenses plutôt inconsidèrées par le fait que montée en D1 était vitale pour le club, pour le prestige et le changement de standing bien sûr, mais aussi pour se débarrasser définitivement du rival local encombrant: et solidement implanté dans la cité: les rouges du SC St-Etienne, né de la fusion de plusieurs clubs, qui a également sollicité le passage au professionnalisme au début des années 30 et s'est vu débouté, (sans doute à la suite de magouilles de la famille Guichard) et quii refuse d'abdiquer: il reste amateur mais garde un public fidèle (et finalement presque aussi nombreux que celui du Geoffroy-Guichard des débuts) et surtout un public qui refuse de passer du rouge au vert. Et les rouges résistent bien, .il me semble qie le Sportîng de St-Etienne atteint par exemple encore les 32e de finale de la Coupe de France en 1936.
Donc, l'ASS club de millionaires, c'est ce que disaent déjà les gazettes sportives ddes années 1930. L'ASS tqui tentait aussi bien sûr de débaucher les meilleurs jjoueurs du Sporting dès qu'ils montraient un potentiel sur les terrains amateurs.
Pour Guichard il s'agissait d'atteindre la D1 pour asseoir définitivement la domination des Verts sur la ville. Et malgré leur budget les Verts mirent 4 saisons à rejoindre l'élite. Un peu à l'image du PSG ou de Man City de maintenant qui n'arrivent pas à réussir en LDC malgré toutes les fortunes investies
.
Bon, la morale de cettte histoire est double:
1-l'argent a toujours.mené le monde (et accessoirement le foot)
2-Si Guichard n'avait pas usé de méthodes "radicales" pour promouvoir son club, nous pourrions tous être en train de penser aujourd'hui que "nos Rouges" doivent absolument battre Dijon en coupe pour effacer au moins en partie lla sensation très désagréable laissée par le derby dans nos anus.

Je ne connaissais pas cette histoire de club rouge et je trouve que ça résonne bien avec la thèse du ludovic lestrelin comme quoi le foot en france a longtemps été municipal malgré le professionalisme (c'est à dire dépendant largement des subventions d'une ville) et que ça explique (à de rares exceptions près) que en france, contrairement au reste de l'europe, il y a un seul club par ville qui survit au long du XXe siècle.

Interessant

Il y a des sources d'explication sur cette singularité "municipale" ?

Très classe les caniches

"Lille ne laissera pas sa part de recettes au FC Sète"

http://footballclub34.fr/le-losc-ne-lai ... c-sete-34/

Max wrote:Très classe les caniches

"Lille ne laissera pas sa part de recettes au FC Sète"

http://footballclub34.fr/le-losc-ne-lai ... c-sete-34/

- Bonsoir à tous. Voilà, je m'appelle Gérard et j'ai contracté un emprunt de 50M€. Si vous souhaitez m'aider à le rembourser, n'hésitez pas.


(un vieux tweet de WinamaxSport)

Max wrote:Très classe les caniches

"Lille ne laissera pas sa part de recettes au FC Sète"

http://footballclub34.fr/le-losc-ne-lai ... c-sete-34/

Max wrote:Très classe les caniches

"Lille ne laissera pas sa part de recettes au FC Sète"

http://footballclub34.fr/le-losc-ne-lai ... c-sete-34/

bon club de merde dans la lignée de nos voisins.

guinnesstime wrote:

Max wrote:Très classe les caniches

"Lille ne laissera pas sa part de recettes au FC Sète"

http://footballclub34.fr/le-losc-ne-lai ... c-sete-34/

bon club de merde dans la lignée de nos voisins.

Quel club de merde. En espérant que le karma s'occupe bientôt d'eux.

Josh Maja de Sunderland va signer à Bordeaux

https://www.lequipe.fr/Football/Actuali ... aux/980672

Ca ressemble à une bonne pioche

Thomi wrote:

guinnesstime wrote:

Max wrote:Très classe les caniches

"Lille ne laissera pas sa part de recettes au FC Sète"

http://footballclub34.fr/le-losc-ne-lai ... c-sete-34/

bon club de merde dans la lignée de nos voisins.

Quel club de merde. En espérant que le karma s'occupe bientôt d'eux.

J'ai pas souvenir que l'ol est déjà fait ce coup là aux clubs amateurs ?

D'ailleurs à Sainté on a toujours laissé la recette ?

Pole Emploi wrote:

Thomi wrote:

guinnesstime wrote:

Max wrote:Très classe les caniches

"Lille ne laissera pas sa part de recettes au FC Sète"

http://footballclub34.fr/le-losc-ne-lai ... c-sete-34/

bon club de merde dans la lignée de nos voisins.

Quel club de merde. En espérant que le karma s'occupe bientôt d'eux.

J'ai pas souvenir que l'ol est déjà fait ce coup là aux clubs amateurs ?

D'ailleurs à Sainté on a toujours laissé la recette ?

Si si l'OL l'a fait à Epinal il y a 2 ou 3 saisons…. et pourtant Aulas avait annoncé avant le match qu'il laisserait la recette...

comp88 wrote:

Pole Emploi wrote:

Thomi wrote:

guinnesstime wrote:

Max wrote:Très classe les caniches

"Lille ne laissera pas sa part de recettes au FC Sète"

http://footballclub34.fr/le-losc-ne-lai ... c-sete-34/

bon club de merde dans la lignée de nos voisins.

Quel club de merde. En espérant que le karma s'occupe bientôt d'eux.

J'ai pas souvenir que l'ol est déjà fait ce coup là aux clubs amateurs ?

D'ailleurs à Sainté on a toujours laissé la recette ?

Si si l'OL l'a fait à Epinal il y a 2 ou 3 saisons…. et pourtant Aulas avait annoncé avant le match qu'il laisserait la recette...

Exact ! C'était en 2013.
https://www.foot01.com/equipe/ol/ol-aul ... -om,273829

Max wrote:Josh Maja de Sunderland va signer à Bordeaux

https://www.lequipe.fr/Football/Actuali ... aux/980672

Ca ressemble à une bonne pioche

Et encore un gros maquignon de plus qui se présente sur le marché aux bestiaux des "jeunes à fort potentiel". Le trading de joueurs ça me débecte : on achète des jeunes un peu partout et dans le lot il y en aura bien un qui percera et qui nous permettra de rentabiliser l'achat des autres et de faire une plus value.
Pour en revenir à ce gars ça sent peut être la bonne pioche mais surtout le gros coup de poker.

Thomi wrote:

guinnesstime wrote:

Max wrote:Très classe les caniches

"Lille ne laissera pas sa part de recettes au FC Sète"

http://footballclub34.fr/le-losc-ne-lai ... c-sete-34/

bon club de merde dans la lignée de nos voisins.

Quel club de merde. En espérant que le karma s'occupe bientôt d'eux.

Ca veut dire surtout 2 choses :

- Soit c'est vraiment des rats
- Soit ils sont tellement dans une future merde financière qu'un euro est un euro

thesnakke wrote:

Thomi wrote:

guinnesstime wrote:

Max wrote:Très classe les caniches

"Lille ne laissera pas sa part de recettes au FC Sète"

http://footballclub34.fr/le-losc-ne-lai ... c-sete-34/

bon club de merde dans la lignée de nos voisins.

Quel club de merde. En espérant que le karma s'occupe bientôt d'eux.

Ca veut dire surtout 2 choses :

- Soit c'est vraiment des rats
- Soit ils sont tellement dans une future merde financière qu'un euro est un euro

Soit y a eu une super mauvaise ambiance sur la pelouse entre les joueurs ou les staffs. Galtier n'a pas salué l'entraineur adverse à la fin du match, ceci étant peut être un début d'explication.

Florent wrote:

osvaldopiazzolla wrote:

Kreuzigue wrote:

Faiseur de Tresses wrote:

Florent wrote:

Colibris42 wrote: Foot business je vous dis. Le foot ressemble de moins en moins à un sport ! C'est du marketing /des magouilles / du pognon /investissements / répressions /liquidation etc

C'est marrant, à un mot près ("répression") c'est strictement les propos que tenait mon grand père quand il parlait de l'asse à la fin des années 70.

Florent, fier de notre passé de mineur et de marketeur.

L'ASSE a été précurseur en France pour beaucoup de chose, y compris le marketing et les transferts ronflants. L'époque des Platini, Rep & co a fait rêvé beaucoup de gosses de l'époque (aujourd'hui devenus grands) mais dans l'esprit c'est la même chose que le foot business de maintenant, à une échelle moindre. Je remarque aussi qu'à l'ASSE ça nous réussit rarement : la présence de Platini a sonné la fin de la période la plus faste du club et a eu pour conséquence une période désastreuse de 30 ans sans titre à végéter entre D1 et D2, parfois au porte du national. Idem pour l'équipe des "millionnaires" qui aurait plombé le club sans interventions de Casino et des pouvoirs publics (avec l'argent du contribuable).

Pardonnez-moi de m'immiscer dans votre altercation virile mais historiquement l'ASSE a en fat été le tout premier club de l'histoire diu football français à être estampillé "club de millionaires qui fausse le championnat avec son budget pharaonique". Et le pire est que ça se passait bien avant le transfert de Johnny Rep. en D2, dans les années 30 -quand la famille Guichard voulait absolument accéder à la D1 le plus vite possible.

Ainsi, pendant que la D2 est encore largement semi-professionnelle et fauchée comme les blés, les dirigeants stéphanois sorrtent la caillasse et engagent un entraîneur venu d'Angleterre ainsi que pas mal de recrues de classe internationale dont le goleador yougoslave Ivica Beck et l'international Autrichien Ignaz Tax transféré pour une coquette somme du Servette de Genève ... Tax milieu de terraîn offensif qui deviendra une star, le Platini de son temps.: j'ai lu un article sur un site consacré au Servette expliquant qu'il avait droit à un chant perso de la part du "kop" stéphanois de l'époque :
l"on l'appelle Ignace, Ignace, c'est un fort joli prénom..." tiré d'une chanson à succès de Fernandel.
Tout ça pour dire que les autres clubs de D2 faisaient la gueule mais le président justifiait les dépenses plutôt inconsidèrées par le fait que montée en D1 était vitale pour le club, pour le prestige et le changement de standing bien sûr, mais aussi pour se débarrasser définitivement du rival local encombrant: et solidement implanté dans la cité: les rouges du SC St-Etienne, né de la fusion de plusieurs clubs, qui a également sollicité le passage au professionnalisme au début des années 30 et s'est vu débouté, (sans doute à la suite de magouilles de la famille Guichard) et quii refuse d'abdiquer: il reste amateur mais garde un public fidèle (et finalement presque aussi nombreux que celui du Geoffroy-Guichard des débuts) et surtout un public qui refuse de passer du rouge au vert. Et les rouges résistent bien, .il me semble qie le Sportîng de St-Etienne atteint par exemple encore les 32e de finale de la Coupe de France en 1936.
Donc, l'ASS club de millionaires, c'est ce que disaent déjà les gazettes sportives ddes années 1930. L'ASS tqui tentait aussi bien sûr de débaucher les meilleurs jjoueurs du Sporting dès qu'ils montraient un potentiel sur les terrains amateurs.
Pour Guichard il s'agissait d'atteindre la D1 pour asseoir définitivement la domination des Verts sur la ville. Et malgré leur budget les Verts mirent 4 saisons à rejoindre l'élite. Un peu à l'image du PSG ou de Man City de maintenant qui n'arrivent pas à réussir en LDC malgré toutes les fortunes investies
.
Bon, la morale de cettte histoire est double:
1-l'argent a toujours.mené le monde (et accessoirement le foot)
2-Si Guichard n'avait pas usé de méthodes "radicales" pour promouvoir son club, nous pourrions tous être en train de penser aujourd'hui que "nos Rouges" doivent absolument battre Dijon en coupe pour effacer au moins en partie lla sensation très désagréable laissée par le derby dans nos anus.

Je ne connaissais pas cette histoire de club rouge et je trouve que ça résonne bien avec la thèse du ludovic lestrelin comme quoi le foot en france a longtemps été municipal malgré le professionalisme (c'est à dire dépendant largement des subventions d'une ville) et que ça explique (à de rares exceptions près) que en france, contrairement au reste de l'europe, il y a un seul club par ville qui survit au long du XXe siècle.

Interessant

Il y a des sources d'explication sur cette singularité "municipale" ?

Ya une iinterview de lui sur le sujet. je me souviens plus dans quoi exactement mais c'est à propos de la sempiternelle question "mépourquoiyakunclubaparis" .

Ensuite mon interprétation à deux francs sans vérifier ni rien ni rien est que le professionalisme en France a été interrompu par la guerre et remplacé par une politique de sport amateur pétainiste très régionaliste. Pas impossible qu'à la libération, on soit resté dans une méfiance et un encadrement du professionalisme par les municipalités (surtout en contexte de fort pouvoir électoral communiste)