NomDeStade wrote:Après dans les trucs étonnants, si effectivement, Garcia avait en tête un arrière gauche (le joueur grec), je comprends pas qu'on n'est pas foncé. (si c'était abordable)
Pourquoi tu crois qu'on l'a pas fait ?
Je suppose qu'on est tous d'accord que c'est qu'il demande c'est ce qu'on lui a promis pour qu'il puisse mettre en place les choses pour lesquelles on l'a pris. Vous me suivez ?

Comme disent d'autres, il est là pour mettre en place un projet, du professionnalisme, un style de jeu. Ça vient par recruter sur profil, pas sur opportunité, sans les bons profils, c'est pas la même chose, etc. Tout ça, tout ça.
Mais vous croyez qu'au club on ne le sait pas ou qu'on l'aurait menti et qu'on l'a pris en fait pour autre chose ? Vous croyez que le club ne veut pas donner à Oscar ce qu'il demande ? Genre, il dit "je veux ce type de latéral gauche, voilà quelques joueurs qui en correspondent, mais si vous trouvez d'autres, je regarde volontiers". Et Rocheteau lui dit "ouais, ouais, on verra tout ça" et derrière on contacte personne et on mise tout sur MBengué ?
Moi, je crois que le fonctionnement au club est plutôt standard. Rocheteau, Wantier et Oscar ont fait une liste des cibles pour chaque poste identifié par le coach. Une liste composée des propositions d'Oscar et de Wantier (et des agents, pourquoi pas), mais filtrée en fonction de nos moyens et ordonnée en fonction des préférences d'Oscar. Et donc maintenant le club essaye de conclure nom après nom sur chaque liste. Ça prend du temps, ça réussi pas à chaque fois, etc. Un mercato standard. Est-ce qu'un club avec plus des moyens ou plus de professionalisme peut faire plus vite ? Très probablement. Est-ce que l'ASSE d'aujourd'hui le peut ? Très certainement pas, à mon avis - oui, le club doit s'améliorer. Non - ça se passe pas du jour au lendemain.
Je ne crois pas que c'est une question de vouloir, mais de pouvoir, donner à Oscar ce qu'il demande. Tout ce que j'espère c'est qu'on finira par y arriver, même si bien plus tard que ce qu'il aurait aimé. Mais comme on dit, vieux motard que jamais.