Dodeo wrote:Guarin élu meilleur joueur du mois de mars en Superliga !
[Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
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Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Jonathan, on t'aime, on t'adore, ne pars pas, tu es magique!
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Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
http://www.francefootball.fr/#!/news/20 ... teron.html" onclick="window.open(this.href);return false;
Bonne nouvelle pour Dijon (4e de Ligue 2). Patrice Carteron va prolonger son contrat de quatre ans, soit jusqu'au 30 juin 2016. L'entraîneur du club bourguignon était arrivé en juin 2009 en provenance de l'AS Cannes (National) et avait été approché il y a quelques jours par Nancy, à la recherche d'un entraîneur pour remplacer Pablo Correa. (Photo Presse-Sports)
Bonne nouvelle pour Dijon (4e de Ligue 2). Patrice Carteron va prolonger son contrat de quatre ans, soit jusqu'au 30 juin 2016. L'entraîneur du club bourguignon était arrivé en juin 2009 en provenance de l'AS Cannes (National) et avait été approché il y a quelques jours par Nancy, à la recherche d'un entraîneur pour remplacer Pablo Correa. (Photo Presse-Sports)
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Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
moi je vote Carteron à Sainté dans quelques années !
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Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
http://www.footmercato.net/ligue1/trans ... lele_65024" onclick="window.open(this.href);return false;
PSG : Zokora pour remplacer Makélélé ?
Va-t-on assister à un chassé-croisé entre Parisiens et Sévillans ? Hier soir, L’Équipe révélait en effet que le club de Nervion s’intéressait de près au jeune milieu de terrain francilien Adama Touré. Âgé de 19 ans, ce dernier termine son contrat de stagiaire et n’a toujours pas signé de premier contrat professionnel. Ravi à l’idée de pouvoir recruter le Malien à coût zéro, le FC Séville pourrait toutefois laisser filer un membre de son effectif au Paris Saint-Germain.
Selon le journal andalou Estadio Deportivo, les Rouge-et-Bleu auraient en effet la volonté de faire de l’Ivoirien Didier Zokora (30 ans) le successeur de Claude Makélélé. Engagé par les Sévillans en 2009 contre 8 M€, l’ancien Stéphanois s’était rapidement imposé en Espagne. Mais aujourd’hui sa situation a quelque changé. Récemment interrogé son agent avait d’ailleurs avoué qu’en dépit d’un contrat courant jusqu’en 2013, Zokora n’était pas assuré de poursuivre l’aventure au Stade Sanchez Pizjuan.
« Ça fait un an qu’ils recrutent des milieux de terrain. Nous ne savons pas quels plans a le FC Séville. Nous verrons ce qu’il va se passer. » Titularisé à 15 reprises en championnat cette saison, le natif d’Abidjan pourrait être l’une des bonnes affaires du prochain mercato estival. Reste maintenant à savoir s’il sera tenté par un retour en Ligue 1 cinq ans après avoir quitté Saint-Étienne, et surtout si Séville, dont le président Del Nido est réputé dur en affaires, consentira un rabais. Quoi qu’il en soit, si l’intérêt du PSG se confirme, il faudra être attentif car des clubs allemands seraient également sur le coup.
Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Buts de Grax et Bauthéac : la L2, c'est chez nous
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Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
6e but de Bauthéac et Dijon qui passe 2e...old_side wrote:Buts de Grax et Bauthéac : la L2, c'est chez nous
Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Ce serait sympa de le voir avec Cartoche la saison prochaine dans le Chaudron !Denis77 wrote:6e but de Bauthéac et Dijon qui passe 2e...old_side wrote:Buts de Grax et Bauthéac : la L2, c'est chez nous
"Celui qui se perd dans sa passion est moins perdu que celui qui perd sa passion" (Saint-Augustin)
"Allez les Verts !" (Saint-Etienne)
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Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
EffectivementJosé wrote:Ce serait sympa de le voir avec Cartoche la saison prochaine dans le Chaudron !Denis77 wrote:6e but de Bauthéac et Dijon qui passe 2e...old_side wrote:Buts de Grax et Bauthéac : la L2, c'est chez nous
Le problème par contre, c'est que Ribas resterait à Dijon.
Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
pas sur du tout, buisiness is buisinessDenis77 wrote:EffectivementJosé wrote:Ce serait sympa de le voir avec Cartoche la saison prochaine dans le Chaudron !Denis77 wrote:6e but de Bauthéac et Dijon qui passe 2e...old_side wrote:Buts de Grax et Bauthéac : la L2, c'est chez nous
Le problème par contre, c'est que Ribas resterait à Dijon.
Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Zokora a toujours chercher le fric, je le vois mal venir a ParisDenis77 wrote:
http://www.footmercato.net/ligue1/trans ... lele_65024" onclick="window.open(this.href);return false;
PSG : Zokora pour remplacer Makélélé ?
Va-t-on assister à un chassé-croisé entre Parisiens et Sévillans ? Hier soir, L’Équipe révélait en effet que le club de Nervion s’intéressait de près au jeune milieu de terrain francilien Adama Touré. Âgé de 19 ans, ce dernier termine son contrat de stagiaire et n’a toujours pas signé de premier contrat professionnel. Ravi à l’idée de pouvoir recruter le Malien à coût zéro, le FC Séville pourrait toutefois laisser filer un membre de son effectif au Paris Saint-Germain.
Selon le journal andalou Estadio Deportivo, les Rouge-et-Bleu auraient en effet la volonté de faire de l’Ivoirien Didier Zokora (30 ans) le successeur de Claude Makélélé. Engagé par les Sévillans en 2009 contre 8 M€, l’ancien Stéphanois s’était rapidement imposé en Espagne. Mais aujourd’hui sa situation a quelque changé. Récemment interrogé son agent avait d’ailleurs avoué qu’en dépit d’un contrat courant jusqu’en 2013, Zokora n’était pas assuré de poursuivre l’aventure au Stade Sanchez Pizjuan.
« Ça fait un an qu’ils recrutent des milieux de terrain. Nous ne savons pas quels plans a le FC Séville. Nous verrons ce qu’il va se passer. » Titularisé à 15 reprises en championnat cette saison, le natif d’Abidjan pourrait être l’une des bonnes affaires du prochain mercato estival. Reste maintenant à savoir s’il sera tenté par un retour en Ligue 1 cinq ans après avoir quitté Saint-Étienne, et surtout si Séville, dont le président Del Nido est réputé dur en affaires, consentira un rabais. Quoi qu’il en soit, si l’intérêt du PSG se confirme, il faudra être attentif car des clubs allemands seraient également sur le coup.
Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Le fric, c'est chic(o), pas maestro !
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Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
http://www.anciensverts.com/joueur.php? ... m=Jean-Luc" onclick="window.open(this.href);return false;verjess wrote:Ribar et JF Daniel que sont il devenus ?
Jean-Luc Ribar
Retraité du football, il a tenu un magasin de sports à Rennes, puis à Roanne où il a dirigé un magasin de sports pendant 10 ans.
Jeff Daniel
Entraîneur : Menton (DH), Sospel (2ème Div, 2009-2010)
Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
But de Faye avec Chambéry pour leur victoire 1-0 face à Andrezieux.
Dans tous les stades on chantera, le chant des Stéphanois
Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Interview de Popote sur foot365
Football365 prend des nouvelles chaque mardi d'un ancien joueur de L1 retiré des terrains. Invité du « Que deviens-tu » cette semaine : Lionel Potillon, aujourd'hui au service marketing de Saint-Etienne.
Lionel Potillon, que faites-vous actuellement ?
J'ai arrêté le football en 2007 avec Sochaux lorsque nous avions remporté la Coupe de France. Immédiatement, j'ai repris mes études à la faculté de Rouen où j'ai étudié un master de marketing et management du sport professionnel. En parallèle, je suis revenu à Saint-Etienne où j'ai intégré le service marketing et développement du club.
Retrouver le chemin de la faculté n'a-t-il pas été difficile ?
Difficile non, c'était dans mon intérêt. Je m'étais complètement préparé à cela. Ce n'était pas un arrêt brutal et forcé, bien au contraire, c'était mûrement réfléchi. Cela m'a permis de bien me préparer et puis tout au long de ma carrière, je ne voulais pas me couper complètement de la scolarité. J'avais passé un diplôme de relation public-attaché de presse, un diplôme d'assurance, mon brevet d'entraîneur premier et second degré. J'avais fait différentes choses qui me permettait de garder une certaine activité intellectuelle.
En quoi consiste votre tache à Saint-Étienne ?
C'est tout ce qui est merchandising, développement, relations avec les clubs amateurs de la région. Toute la partie événementielle également et une autre communication et organisation. On fait des déplacements ponctuels avec des professionnels et des entreprises commerciales. On fait des visites aussi avec des joueurs, à la mairie et dans les écoles.
Saint-Étienne est votre club de cœur. Une période inoubliable de votre carrière...
C'est vrai que Saint-Étienne fait partie de ma vie. J'ai toujours aimé, avant d'habiter ici, la ferveur qu'il y a. J'ai toujours dit qu'à la fin de ma carrière, je reviendrai vivre ici, même si à la base, je suis bourguignon et non de Saint-Étienne. Au niveau des mes huit années de footballeur, il y a eu de très bons moments et des plus compliqués aussi, avec notamment l'affaire des faux passeports. Je me souviens aussi de mes différentes blessures, notamment à un genou qui m'avait éloigné des terrains pendant neuf mois. C'est vrai qu'il y a eu des passages compliqués, mais au final, je ne retiens que les points positifs de cette expérience.
Vous auriez aimé finir votre carrière à Saint-Étienne mais ça ne s'est pas fait. Le regrettez-vous ?
Non. Quand j'avais arrêté à Sochaux, je savais que je revenais vivre à Saint Etienne. J'avais déclaré dans un média que si Saint-Étienne avait besoin d'un joueur d'expérience gratuit pendant un an, j'étais prêt à le faire. Malheureusement, l'entraîneur de l'époque Laurent Roussey a estimé ne pas avoir besoin de ce joueur d'expérience, donc cela s'est arrêté là. Mais ça a été complètement oublié de ma part du fait que ce n'était pas du tout quelque que chose de vital pour moi.
« Ronaldinho ? Un artiste »
Puis est arrivé le PSG....
C'était également un très bon moment. Je m'entendais très bien avec Luis Fernandez. Si je suis venu à l'époque à Paris, c'était pour partager une expérience avec un entraîneur tel que lui. Le club en lui-même me convenait parfaitement. J'étais un joueur qui avait besoin de pression, de ferveur médiatique et populaire. A Paris, j'étais gâté parce que c'était comme ça en permanence. J'en avais besoin, contrairement à d'autres joueurs inhibés par ça. L'aventure s'est terminée en queue de poisson dans le sens où Vahid Halilhodzic me fait prolonger quatre ans et dès le lendemain, il me fait comprendre en fait qu'il n'avait pas besoin de moi et qu'il ne comptait pas du tout sur moi. Reynald Denoueix, alors entraîneur de la Real Sociedad, me suivait depuis pas mal de temps, il a souhaité ardemment ma venue, et du coup je suis parti le rejoindre en Espagne.
Pourquoi une telle décision de la part de Vahid Halilhodzic ?
Je ne sais pas. Ce que j'ai pu lire dans la presse, c'est qu'il me considérait, avec Jérôme Leroy, comme un sous-marin de Luis Fernandez, ce qui était absolument faux, bien qu'ayant une très bonne relation avec ce dernier. C'est dommage parce que je pense que l'aventure avec Paris aurait pu continuer et même durer un long moment.
Vous avez côtoyé de grands joueurs au PSG. Lequel vous a le plus marqué ?
Ronaldinho, évidemment. C'est un joueur complètement atypique. Un artiste avec tout ce que cela peut comporter. J'avais souvent l'habitude de dire que je le voyais faire des choses avec une boite de strapping carrée que je ne pourrais pas reproduire avec un ballon. C'était un joueur fabuleux.
Vous êtes ensuite parti en Espagne avec la Real Sociedad...
J'avais absolument demandé à Reynald Denoueix que cela soit un prêt sans option d'achat. C'est-à-dire que j'avais la certitude de revenir après un an. Je ne connaissais absolument pas ce qu'était l'étranger, et étant quelqu'un de familial, quand on part à l'étranger, cela a beaucoup d'incidences sur la vie de tous les jours. Je voulais avoir une première idée avant de m'engager sur une longue échéance. C'est pour cela que je n'ai fait qu'un an, mais cela s'est bien passé. J'étais arrivé en Espagne fin août, il m'a fallu un temps d'adaptation, en plus je m'étais fais une déchirure à la cuisse, mais au final j'ai fait toute la deuxième partie de la saison. Il faut savoir que j'étais en concurrence avec le capitaine historique du club, Agustín Aranzábal, qui avait une quarantaine de sélections en équipe nationale et qui était capitaine depuis de nombreuses années donc c'était loin d'être acquis.
Et donc pourquoi êtes-vous revenu en France ?
Lors de ma négociation pour prolonger, au moment où cela allait se concrétiser, Denoueix a été débarqué, et l'entraîneur qui a suivi était parti sur une autre politique. Les négociations n'ont pas abouti.
Vous avez finalement fini à Sochaux....
A mon retour de prêt, je retourne à Paris. Mais Vahid était toujours là et il était hors de question de travailler avec un dictateur, je ne pouvais pas rester. J'ai donc souhaité partir. Guy Lacombe, alors entraîneur de Sochaux et avec qui je m'entendais bien, me suivait depuis pas mal de temps. Il a contacté mes agents. On était sur la même longueur d'onde, cela s'est donc concrétisé très vite.
« Halilhodzic ? Aucun intérêt pour moi »
Vahid Halilhodzic vous a visiblement marqué...
Pour moi c'était impossible de travailler avec lui. On n'avait pas la même conception de la valeur humaine donc c'était impossible. Ce n'était pas une question de travail, c'est juste qu'humainement, Halilhodzic est le genre de personnage qui, pour moi, n'a aucun intérêt.
Le dialogue était difficile...
Vous savez, lorsqu'un entraîneur vous dit à la première réunion : « Ici on est dans une démocratie, mais ça ne sert à rien vu qu'il n'y a que moi qui parle et qui ait raison », vous avez tout compris. Moi j'ai besoin d'un rapport de confiance, ce qui s'est fait avec tous les autres entraîneurs que j'ai eu, que ce soit avec Nouzaret, Denoueix ou Fernandez. Après, qu'il fasse cela avec d'autres joueurs et qui acceptent ce fonctionnement, c'est leur problème, mais avec moi c'était trop compliqué. Pourtant, je ne pense pas être un joueur compliqué, bien au contraire (rires).
Pourquoi avez-vous refusé d'être l'adjoint de Christophe Galtier à Saint-Etienne après votre carrière ?
Je voulais découvrir la face cachée du football, ce qu'on n'imagine pas lorsque l'on est joueur pour ensuite revenir sur le terrain et devenir un bon manager et un bon entraîneur. La proposition était venue trop tôt.
Il n'est pas à exclure de vous voir sur un banc de touche dans le futur ?
C'est même plus qu'envisageable. J'ai passé les diplômes d'entraîneur. Mais je voulais d'abord découvrir l'autre côté du football pour avoir toutes les cartes en main et être le mieux armé.
Vous avez connu de grands stades avec des ambiances énormes. Si vous deviez n'en retenir qu'un, lequel serait-il ?
Je vais aller plus loin. J'ai eu la chance dans ma carrière de jouer à Saint Etienne avec la pression du Chaudron. J'ai eu la chance de jouer à Paris, au Parc des Princes, où c'était la même chose. J'ai également eu la chance d'aller en Espagne où c'était identique car la Real Sociedad est un club basque très populaire, où le foot est quelque chose d'important. Et puis j'ai fini à Sochaux, où l'ambiance était un peu plus fade. Cela reste un petit regret car il y avait un manque de pression et de ferveur.
http://www.football365.fr/quedevienstu/ ... eur-.shtml" onclick="window.open(this.href);return false;
bonne lecture !
Football365 prend des nouvelles chaque mardi d'un ancien joueur de L1 retiré des terrains. Invité du « Que deviens-tu » cette semaine : Lionel Potillon, aujourd'hui au service marketing de Saint-Etienne.
Lionel Potillon, que faites-vous actuellement ?
J'ai arrêté le football en 2007 avec Sochaux lorsque nous avions remporté la Coupe de France. Immédiatement, j'ai repris mes études à la faculté de Rouen où j'ai étudié un master de marketing et management du sport professionnel. En parallèle, je suis revenu à Saint-Etienne où j'ai intégré le service marketing et développement du club.
Retrouver le chemin de la faculté n'a-t-il pas été difficile ?
Difficile non, c'était dans mon intérêt. Je m'étais complètement préparé à cela. Ce n'était pas un arrêt brutal et forcé, bien au contraire, c'était mûrement réfléchi. Cela m'a permis de bien me préparer et puis tout au long de ma carrière, je ne voulais pas me couper complètement de la scolarité. J'avais passé un diplôme de relation public-attaché de presse, un diplôme d'assurance, mon brevet d'entraîneur premier et second degré. J'avais fait différentes choses qui me permettait de garder une certaine activité intellectuelle.
En quoi consiste votre tache à Saint-Étienne ?
C'est tout ce qui est merchandising, développement, relations avec les clubs amateurs de la région. Toute la partie événementielle également et une autre communication et organisation. On fait des déplacements ponctuels avec des professionnels et des entreprises commerciales. On fait des visites aussi avec des joueurs, à la mairie et dans les écoles.
Saint-Étienne est votre club de cœur. Une période inoubliable de votre carrière...
C'est vrai que Saint-Étienne fait partie de ma vie. J'ai toujours aimé, avant d'habiter ici, la ferveur qu'il y a. J'ai toujours dit qu'à la fin de ma carrière, je reviendrai vivre ici, même si à la base, je suis bourguignon et non de Saint-Étienne. Au niveau des mes huit années de footballeur, il y a eu de très bons moments et des plus compliqués aussi, avec notamment l'affaire des faux passeports. Je me souviens aussi de mes différentes blessures, notamment à un genou qui m'avait éloigné des terrains pendant neuf mois. C'est vrai qu'il y a eu des passages compliqués, mais au final, je ne retiens que les points positifs de cette expérience.
Vous auriez aimé finir votre carrière à Saint-Étienne mais ça ne s'est pas fait. Le regrettez-vous ?
Non. Quand j'avais arrêté à Sochaux, je savais que je revenais vivre à Saint Etienne. J'avais déclaré dans un média que si Saint-Étienne avait besoin d'un joueur d'expérience gratuit pendant un an, j'étais prêt à le faire. Malheureusement, l'entraîneur de l'époque Laurent Roussey a estimé ne pas avoir besoin de ce joueur d'expérience, donc cela s'est arrêté là. Mais ça a été complètement oublié de ma part du fait que ce n'était pas du tout quelque que chose de vital pour moi.
« Ronaldinho ? Un artiste »
Puis est arrivé le PSG....
C'était également un très bon moment. Je m'entendais très bien avec Luis Fernandez. Si je suis venu à l'époque à Paris, c'était pour partager une expérience avec un entraîneur tel que lui. Le club en lui-même me convenait parfaitement. J'étais un joueur qui avait besoin de pression, de ferveur médiatique et populaire. A Paris, j'étais gâté parce que c'était comme ça en permanence. J'en avais besoin, contrairement à d'autres joueurs inhibés par ça. L'aventure s'est terminée en queue de poisson dans le sens où Vahid Halilhodzic me fait prolonger quatre ans et dès le lendemain, il me fait comprendre en fait qu'il n'avait pas besoin de moi et qu'il ne comptait pas du tout sur moi. Reynald Denoueix, alors entraîneur de la Real Sociedad, me suivait depuis pas mal de temps, il a souhaité ardemment ma venue, et du coup je suis parti le rejoindre en Espagne.
Pourquoi une telle décision de la part de Vahid Halilhodzic ?
Je ne sais pas. Ce que j'ai pu lire dans la presse, c'est qu'il me considérait, avec Jérôme Leroy, comme un sous-marin de Luis Fernandez, ce qui était absolument faux, bien qu'ayant une très bonne relation avec ce dernier. C'est dommage parce que je pense que l'aventure avec Paris aurait pu continuer et même durer un long moment.
Vous avez côtoyé de grands joueurs au PSG. Lequel vous a le plus marqué ?
Ronaldinho, évidemment. C'est un joueur complètement atypique. Un artiste avec tout ce que cela peut comporter. J'avais souvent l'habitude de dire que je le voyais faire des choses avec une boite de strapping carrée que je ne pourrais pas reproduire avec un ballon. C'était un joueur fabuleux.
Vous êtes ensuite parti en Espagne avec la Real Sociedad...
J'avais absolument demandé à Reynald Denoueix que cela soit un prêt sans option d'achat. C'est-à-dire que j'avais la certitude de revenir après un an. Je ne connaissais absolument pas ce qu'était l'étranger, et étant quelqu'un de familial, quand on part à l'étranger, cela a beaucoup d'incidences sur la vie de tous les jours. Je voulais avoir une première idée avant de m'engager sur une longue échéance. C'est pour cela que je n'ai fait qu'un an, mais cela s'est bien passé. J'étais arrivé en Espagne fin août, il m'a fallu un temps d'adaptation, en plus je m'étais fais une déchirure à la cuisse, mais au final j'ai fait toute la deuxième partie de la saison. Il faut savoir que j'étais en concurrence avec le capitaine historique du club, Agustín Aranzábal, qui avait une quarantaine de sélections en équipe nationale et qui était capitaine depuis de nombreuses années donc c'était loin d'être acquis.
Et donc pourquoi êtes-vous revenu en France ?
Lors de ma négociation pour prolonger, au moment où cela allait se concrétiser, Denoueix a été débarqué, et l'entraîneur qui a suivi était parti sur une autre politique. Les négociations n'ont pas abouti.
Vous avez finalement fini à Sochaux....
A mon retour de prêt, je retourne à Paris. Mais Vahid était toujours là et il était hors de question de travailler avec un dictateur, je ne pouvais pas rester. J'ai donc souhaité partir. Guy Lacombe, alors entraîneur de Sochaux et avec qui je m'entendais bien, me suivait depuis pas mal de temps. Il a contacté mes agents. On était sur la même longueur d'onde, cela s'est donc concrétisé très vite.
« Halilhodzic ? Aucun intérêt pour moi »
Vahid Halilhodzic vous a visiblement marqué...
Pour moi c'était impossible de travailler avec lui. On n'avait pas la même conception de la valeur humaine donc c'était impossible. Ce n'était pas une question de travail, c'est juste qu'humainement, Halilhodzic est le genre de personnage qui, pour moi, n'a aucun intérêt.
Le dialogue était difficile...
Vous savez, lorsqu'un entraîneur vous dit à la première réunion : « Ici on est dans une démocratie, mais ça ne sert à rien vu qu'il n'y a que moi qui parle et qui ait raison », vous avez tout compris. Moi j'ai besoin d'un rapport de confiance, ce qui s'est fait avec tous les autres entraîneurs que j'ai eu, que ce soit avec Nouzaret, Denoueix ou Fernandez. Après, qu'il fasse cela avec d'autres joueurs et qui acceptent ce fonctionnement, c'est leur problème, mais avec moi c'était trop compliqué. Pourtant, je ne pense pas être un joueur compliqué, bien au contraire (rires).
Pourquoi avez-vous refusé d'être l'adjoint de Christophe Galtier à Saint-Etienne après votre carrière ?
Je voulais découvrir la face cachée du football, ce qu'on n'imagine pas lorsque l'on est joueur pour ensuite revenir sur le terrain et devenir un bon manager et un bon entraîneur. La proposition était venue trop tôt.
Il n'est pas à exclure de vous voir sur un banc de touche dans le futur ?
C'est même plus qu'envisageable. J'ai passé les diplômes d'entraîneur. Mais je voulais d'abord découvrir l'autre côté du football pour avoir toutes les cartes en main et être le mieux armé.
Vous avez connu de grands stades avec des ambiances énormes. Si vous deviez n'en retenir qu'un, lequel serait-il ?
Je vais aller plus loin. J'ai eu la chance dans ma carrière de jouer à Saint Etienne avec la pression du Chaudron. J'ai eu la chance de jouer à Paris, au Parc des Princes, où c'était la même chose. J'ai également eu la chance d'aller en Espagne où c'était identique car la Real Sociedad est un club basque très populaire, où le foot est quelque chose d'important. Et puis j'ai fini à Sochaux, où l'ambiance était un peu plus fade. Cela reste un petit regret car il y avait un manque de pression et de ferveur.
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bonne lecture !
Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Stéphane Santini ne sera pas reconduit à la tête de l'équipe 1 d'Andrézieux l'an prochain.
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"Les succès ne justifient pas la philosophie de l’équipe... Le hasard joue un rôle immense. L'important ce ne sont pas les résultats mais le procédé et c'est sur ce procédé qu'il faut juger le travail d'un entraineur" Juanma Lillo
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Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
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Citony : «C'est triste !»
Le FC Gueugnon a été déclaré en liquidation judiciaire le 8 avril. Les huit dernières journées du National se disputeront donc sans lui. Arrivé chez les Forgerons en janvier, Mickaël Citony se dit aujourd'hui «au chômage plus tôt que prévu.» (Photo Presse-Sports)
«On s'y attendait.» Vendredi dernier, quand le Tribunal de commerce de Mâcon a prononcé la liquidation judiciaire du FC Gueugnon, Mickaël Citony et ses coéquipiers n'étaient pas surpris. «On s'en doutait depuis une ou deux semaines, assure le milieu de 30 ans. Après la grève (NDLR. Les joueurs avaient cessé le travail, le 23 mars), on sentait qu'il ne nous restait plus beaucoup de temps. C'est vraiment triste. Le FC Gueugnon a une histoire, un palmarès (champion de France de D2 en 1979 ; la Coupe de la Ligue 2000), des infrastructures dignes de la Ligue 2... C'est malheureux.»
En arrivant fin janvier en provenance de Beauvais après avoir soigné une «vilaine blessure à une cheville pendant un an», Mickaël Citony n'imaginait pas vivre une telle «catastrophe.» «Avant de signer, je savais que la situation n'était pas évidente. Mais honnêtement, je ne pensais pas que le club mettrait la clé sous la porte en pleine saison. Très vite, j'ai vite compris que ça allait être très compliqué. Le groupe était marqué. Pour beaucoup de joueurs, les fins de mois étaient financièrement difficiles et toutes les histoires en coulisse nous usaient. Tous ces soucis nous ont marqués mentalement. Alors sur le terrain, c'était difficile d'être totalement concerné.»
«On est obligé d'avoir peur pour la suite»
Aujourd'hui, l'ancien Stéphanois et ses coéquipiers sont «au chômage plus tôt que prévu». Ils attendent le rendez-vous avec le liquidateur judiciaire, programmé le 19 avril, pour toucher leurs salaires dus : ils ne sont plus payés depuis février. Malgré tout, Mickaël Citony, resté à Gueugnon, continue de s'entraîner «tous les jours avec Mathieu Blanc (défenseur de 24 ans) et Julien Berthomier (gardien de 20 ans, prêté cette saison à Gueugnon par Nice).» Mais son avenir est pour l'heure «flou.»
«Tous les Championnats sont en cours. Il faut attendre un ou deux mois pour y voir plus clair. J'ai 30 ans. Je peux jouer encore quatre ou cinq ans à haut niveau. J'espère réussir à trouver un point de chute, qu'un club pense à moi. Mais vu le contexte actuel, on est obligé d'avoir peur pour la suite. Il faudra saisir toutes les opportunités.» - G.C.
Citony : «C'est triste !»
Le FC Gueugnon a été déclaré en liquidation judiciaire le 8 avril. Les huit dernières journées du National se disputeront donc sans lui. Arrivé chez les Forgerons en janvier, Mickaël Citony se dit aujourd'hui «au chômage plus tôt que prévu.» (Photo Presse-Sports)
«On s'y attendait.» Vendredi dernier, quand le Tribunal de commerce de Mâcon a prononcé la liquidation judiciaire du FC Gueugnon, Mickaël Citony et ses coéquipiers n'étaient pas surpris. «On s'en doutait depuis une ou deux semaines, assure le milieu de 30 ans. Après la grève (NDLR. Les joueurs avaient cessé le travail, le 23 mars), on sentait qu'il ne nous restait plus beaucoup de temps. C'est vraiment triste. Le FC Gueugnon a une histoire, un palmarès (champion de France de D2 en 1979 ; la Coupe de la Ligue 2000), des infrastructures dignes de la Ligue 2... C'est malheureux.»
En arrivant fin janvier en provenance de Beauvais après avoir soigné une «vilaine blessure à une cheville pendant un an», Mickaël Citony n'imaginait pas vivre une telle «catastrophe.» «Avant de signer, je savais que la situation n'était pas évidente. Mais honnêtement, je ne pensais pas que le club mettrait la clé sous la porte en pleine saison. Très vite, j'ai vite compris que ça allait être très compliqué. Le groupe était marqué. Pour beaucoup de joueurs, les fins de mois étaient financièrement difficiles et toutes les histoires en coulisse nous usaient. Tous ces soucis nous ont marqués mentalement. Alors sur le terrain, c'était difficile d'être totalement concerné.»
«On est obligé d'avoir peur pour la suite»
Aujourd'hui, l'ancien Stéphanois et ses coéquipiers sont «au chômage plus tôt que prévu». Ils attendent le rendez-vous avec le liquidateur judiciaire, programmé le 19 avril, pour toucher leurs salaires dus : ils ne sont plus payés depuis février. Malgré tout, Mickaël Citony, resté à Gueugnon, continue de s'entraîner «tous les jours avec Mathieu Blanc (défenseur de 24 ans) et Julien Berthomier (gardien de 20 ans, prêté cette saison à Gueugnon par Nice).» Mais son avenir est pour l'heure «flou.»
«Tous les Championnats sont en cours. Il faut attendre un ou deux mois pour y voir plus clair. J'ai 30 ans. Je peux jouer encore quatre ou cinq ans à haut niveau. J'espère réussir à trouver un point de chute, qu'un club pense à moi. Mais vu le contexte actuel, on est obligé d'avoir peur pour la suite. Il faudra saisir toutes les opportunités.» - G.C.
Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Lu ce matin dans Le Progrès :
Ilan s’entraîne avec la CFA
« Je suis revenu à la maison », déclarait Ilan en février. Le Brésilien, à la recherche d’un club depuis son départ de l’Internacional de Porte Alegre fin 2010, habite toujours Saint-Etienne. Depuis deux mois, il se rend tous les matins au centre d’entraînement de l’ASSE à L’Etrat. Non pas pour saluer ses anciens équipiers mais pour participer aux séances d’entraînement de l’équipe de CFA dirigée par Jean-Philippe Primard. Ilan s’entretient au quotidien et se dit prêt à relever un nouveau challenge la saison prochaine. « J’ai quelques contacts intéressants, à l’étranger, notamment en Angleterre, pas en France pour l’instant. Les discussions ne se concrétiseront pas avant la fin du championnat. » Ilan, qui a évolué à West Ham durant six mois la saison dernière devrait à nouveau, traverser la Manche en juin prochain.
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Ilan s’entraîne avec la CFA
« Je suis revenu à la maison », déclarait Ilan en février. Le Brésilien, à la recherche d’un club depuis son départ de l’Internacional de Porte Alegre fin 2010, habite toujours Saint-Etienne. Depuis deux mois, il se rend tous les matins au centre d’entraînement de l’ASSE à L’Etrat. Non pas pour saluer ses anciens équipiers mais pour participer aux séances d’entraînement de l’équipe de CFA dirigée par Jean-Philippe Primard. Ilan s’entretient au quotidien et se dit prêt à relever un nouveau challenge la saison prochaine. « J’ai quelques contacts intéressants, à l’étranger, notamment en Angleterre, pas en France pour l’instant. Les discussions ne se concrétiseront pas avant la fin du championnat. » Ilan, qui a évolué à West Ham durant six mois la saison dernière devrait à nouveau, traverser la Manche en juin prochain.
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"Celui qui se perd dans sa passion est moins perdu que celui qui perd sa passion" (Saint-Augustin)
"Allez les Verts !" (Saint-Etienne)
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Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Lu aujourd'hui sur RMC :
Hasek pourrait reprendre du service
En vue de la saison prochaine, l'ancien entraîneur de Strasbourg et de Saint-Etienne serait pressenti pour succéder à Josef Hickersberger à la tête du club d'Al-Wahda à Abu Dhabi (Émirats arabes unis). En 2009, l’actuel président de la Fédération tchèque de football, Ivan Hasek avait remporté le championnat des Emirats avec la formation d'Al-Ahli Dubaï.
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Hasek pourrait reprendre du service
En vue de la saison prochaine, l'ancien entraîneur de Strasbourg et de Saint-Etienne serait pressenti pour succéder à Josef Hickersberger à la tête du club d'Al-Wahda à Abu Dhabi (Émirats arabes unis). En 2009, l’actuel président de la Fédération tchèque de football, Ivan Hasek avait remporté le championnat des Emirats avec la formation d'Al-Ahli Dubaï.
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Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
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Montpellier piste El Zhar
19/04/2011 - 12 h 07
À la recherche de munitions offensives pour la saison prochaine, Montpellier prospecte jusqu’en Grèce. Et selon le quotidien local Sport Day, les Héraultais auraient une piste sérieuse.
Un recruteur du MHSC était en effet présent ce dimanche pour assister à la rencontre PAOK Salonique-Kerkyra (2-0) et aurait particulièrement apprécier la performance de l’international marocain Nabil El Zhar (24 ans).
Montpellier piste El Zhar
19/04/2011 - 12 h 07
À la recherche de munitions offensives pour la saison prochaine, Montpellier prospecte jusqu’en Grèce. Et selon le quotidien local Sport Day, les Héraultais auraient une piste sérieuse.
Un recruteur du MHSC était en effet présent ce dimanche pour assister à la rencontre PAOK Salonique-Kerkyra (2-0) et aurait particulièrement apprécier la performance de l’international marocain Nabil El Zhar (24 ans).
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Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
La Juve Mene 2-0 a la mi-temps (double de Del Piero)face Catania et le Gonz va effectuer la seconde periode.
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Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
A noter que le Gonz joue sur le cote gauche car c est Maxi Lopez qui est dans l axe
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Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
superbe passe decisive du Gonz a l instant et reduction du score par Gomez. 2-1 pour la Juve et il reste environ 10 minutes.
"L'amour, c'est un sport. Surtout s'il y en a un des deux qui ne veut pas."
Jean Yanne.
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Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
egalisation a la 95 eme sur un coup franc Platinien de Lodi et Catania arrache le match nul a Turin.
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Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Les dirigeants de l'Opérario Futbol club (de l'Etat du Mato grosso) viennent d'annoncer la signature d'Alex Dias avec l'objectif de remporter le tournoi vétéran de la Gazeta de Futbol Masterhttp://www.youtube.com/watch?v=TySTS9xi_jc pour la neuvième fois.
http://www.gazetadigital.com.br/conteud ... ria/272890
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