Le Zepellin est-il en option, ou est-ce les nouvelles loges VIP ?Punky wrote:Voilà à quoi pourrait ressembler le stade de la Meinau (après rénovation bien sûr) :
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GEOFFROY GUICHARD II
Moderators: Barre transversale, Poteau gauche, Poteau droit, Ligne de but
Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
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Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
Il est là pour anticiper le crash du RCSMatrick wrote:Le Zepellin est-il en option, ou est-ce les nouvelles loges VIP ?Punky wrote:Voilà à quoi pourrait ressembler le stade de la Meinau (après rénovation bien sûr) :
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Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
C'est clair qu'ils auront le plus beau stade de national.Punky wrote:Voilà à quoi pourrait ressembler le stade de la Meinau (après rénovation bien sûr) :
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Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
Lu aujourd'hui dans L'Est Républicain :
Euro 2016 : Nancy est "un candidat solide"
Michel Dufraisse, Laurence Hirsch, Nicolas Holveck et les architectes du stade présentaient ce matin à la FFF le dossier de candidature nancéien à l'Euro 2016. Etape d'importance. Et candidature qualifiée de "bonne".
Prudent ? On le serait à moins. D'autant qu'il ne s'agissait que d'une étape... Sans aller jusqu'à se dire "confiante", la délégation nancéienne s'affichait positive, tout à l'heure, à la sortie de son grand oral devant la FFF. Selon Michel Dufraisse, en charge des grands équipements sportifs de l'agglomération nancéienne, le projet sud lorrain aurait été qualifié de " bonne candidature". "Mais si nous sommes dans le peloton, il s'agit de monter en tête"précisait aussitôt l'élu avec une même prudence.
"Nous avons montré que notre candidature était sérieuse, réfléchie, travaillée. Nous avons détaillé les contrats, montré le niveau d'application et d'avancement de notre dossier. Ils nous ont poussé dans nos derniers retranchement. Mais tout était conforme au cahier des charges. Nous allons encore transmettre quelques éléments". Des points faibles ? "Non, il n'y en a pas. Il y a des points forts comme l'osmose entre l'ASNL et la Communauté urbaine du Grand Nancy".
"Nous sommes dans les clous"commentait également avec le sourire Laurence Hirsch, directrice générale adjointe du Pôle sports, culture, loisirs de l'agglomération." Nous avons détaillé nos atouts, présenté les enjeux des Plaines Rive Droite", un vaste secteur en devenir dans l'agglomération, aux abords du stade.
"Ce stade relativement urbain est un avantage. Il est 30 à mn à pied de la place Stanislas, ce qui le rend très accessible. Il est desservi par la ligne 1 de tram sur pneus et le sera, en 2016, par la ligne 3 de transport en commun en site propre. Nous avons également expliqué avoir l'avantage d'un projet de stade bien avancé avec des architectes qui le connaissent bien pour l'avoir déjà rénové. Enfin, et c'est important, nous avons d'importantes réserves foncières aux abords immédiats du stade".
Une des prochaines étape est fixé au 25 septembre, date à laquelle le Grand Nancy délibérera sur sa candidature officielle. Mais la délégation, qui précédait celle de Metz de quelques hjeures se montrait plutôt détendue à l'issue de son oral.
Ghislain UTARD
**********************************************************************************************************************************
Nancy passe le grand oral
Tout s'enchaîne décidément très vite. Il y avait eu le tour de France des villes candidates, où chacun avait pu dévoiler ses plans au couple présidentiel du football français, Jean-Pierre Escalettes et Frédéric Thiriez. C'était en juin-juillet. A peine deux mois plus tard, la FFF a donc convoqué tous les postulants à un grand oral de contrôle, au 87, boulevard de Grenelle. Les auditions des seize candidats - Nantes, le dix-septième, a jeté l'éponge - ont commencé en début de semaine. Elles s'achèvent aujourd'hui avec les Lorrains, Nancy ayant rendez-vous ce matin à 10 h, juste avant son voisin et concurrent messin, dont les représentants, Carlo Molinari en tête, sont attendus au siège de la maison mère à 14 h.
Cette fois, plus question d'en rester au stade des belles paroles ou des belles intentions. Il va falloir montrer que les dossiers sont viables et qu'ils avancent. La réunion sera scindée en deux, une heure de présentation, puis une heure de questions-réponses. « On va présenter le projet. D'abord l'agrandissement du stade, puis le montage juridique et financier. C'est purement technique », précise Nicolas Holveck, le directeur général de l'ASNL, qui sera accompagné de Michel Dufraisse, le vice-président de la CUGN, de Laurence Hirsch, la responsable de la communication de la Communauté Urbaine, ainsi que des architectes du stade Philippe Thouveny et Thibault Terrible.
« Travaillant de concert et en totale osmose », glisse Michel Dufraisse, la CUGN et l'ASNL n'ont pas chômé depuis le 20 juillet dernier. Sur un plan politique, la collectivité a fixé les dates de délibération qui permettront à la communauté d'autoriser le président à négocier avec l'ASNL pour la mise en place du bail emphytéotique administratif (BEA). Ce sera la semaine prochaine. Une autre délibération est prévue fin décembre, afin d'autoriser le président à signer le fameux BEA, qui fera de l'ASNL le locataire de Marcel-Picot et lui laissera les coudées franches pour mener à bien son projet d'agrandissement. « Vendredi prochain, nous aurons également une autre délibération, lors de laquelle les communes s'engageront à aider Nancy à organiser l'Euro. Puis, le lundi suivant, on délibérera pour poser officiellement la candidature de Nancy », souligne l'élu. Voilà un calendrier qui devrait satisfaire une FFF très à cheval sur l'engagement des pouvoirs publics.
« On ne s'occupe pas des autres »
De son côté, l'ASNL a bûché sur le stade et le montage financier. « On va montrer que notre projet répond rigoureusement au cahier des charges fixé par l'UEFA », confie Nicolas Holveck, qui a passé la journée d'hier avec les banquiers qui vont prêter à l'ASNL les 80 millions d'euros nécessaires aux travaux d'agrandissement et d'aménagement du stade Marcel-Picot. « On avance bien », assure, optimiste, le dirigeant nancéien. L'autre aspect important de ce volumineux dossier financier est le partage des garanties bancaires. « On travaille là dessus », ajoute-t-il.
Les examinateurs fédéraux auront un aperçu de ce chantier bien avancé tout à l'heure. « Suivra un mois et demi d'échanges concernant les points en suspens sur la faisabilité et la réalisation des travaux », précise encore Nicolas Holveck. Jusqu'à l'annonce prévue début novembre, par la FFF, des neuf sites qui charpenteront la candidature française pour l'Euro 2016.
A priori, on peut penser que l'une des trois villes candidates dans l'Est de la France (Nancy, Metz et Strasbourg) sera retenue. Mais impossible à ce jour de savoir lequel des trois projets, tous très différents, séduira le jury. « Ce qui nous importe, c'est d'être les meilleurs possibles, sans s'occuper des autres. Pour être retenu, il faudra aller vite et être très efficace », indique le dirigeant de l'ASNL. A commencer par ce matin, boulevard de Grenelle.
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Euro 2016 : Nancy est "un candidat solide"
Michel Dufraisse, Laurence Hirsch, Nicolas Holveck et les architectes du stade présentaient ce matin à la FFF le dossier de candidature nancéien à l'Euro 2016. Etape d'importance. Et candidature qualifiée de "bonne".
Prudent ? On le serait à moins. D'autant qu'il ne s'agissait que d'une étape... Sans aller jusqu'à se dire "confiante", la délégation nancéienne s'affichait positive, tout à l'heure, à la sortie de son grand oral devant la FFF. Selon Michel Dufraisse, en charge des grands équipements sportifs de l'agglomération nancéienne, le projet sud lorrain aurait été qualifié de " bonne candidature". "Mais si nous sommes dans le peloton, il s'agit de monter en tête"précisait aussitôt l'élu avec une même prudence.
"Nous avons montré que notre candidature était sérieuse, réfléchie, travaillée. Nous avons détaillé les contrats, montré le niveau d'application et d'avancement de notre dossier. Ils nous ont poussé dans nos derniers retranchement. Mais tout était conforme au cahier des charges. Nous allons encore transmettre quelques éléments". Des points faibles ? "Non, il n'y en a pas. Il y a des points forts comme l'osmose entre l'ASNL et la Communauté urbaine du Grand Nancy".
"Nous sommes dans les clous"commentait également avec le sourire Laurence Hirsch, directrice générale adjointe du Pôle sports, culture, loisirs de l'agglomération." Nous avons détaillé nos atouts, présenté les enjeux des Plaines Rive Droite", un vaste secteur en devenir dans l'agglomération, aux abords du stade.
"Ce stade relativement urbain est un avantage. Il est 30 à mn à pied de la place Stanislas, ce qui le rend très accessible. Il est desservi par la ligne 1 de tram sur pneus et le sera, en 2016, par la ligne 3 de transport en commun en site propre. Nous avons également expliqué avoir l'avantage d'un projet de stade bien avancé avec des architectes qui le connaissent bien pour l'avoir déjà rénové. Enfin, et c'est important, nous avons d'importantes réserves foncières aux abords immédiats du stade".
Une des prochaines étape est fixé au 25 septembre, date à laquelle le Grand Nancy délibérera sur sa candidature officielle. Mais la délégation, qui précédait celle de Metz de quelques hjeures se montrait plutôt détendue à l'issue de son oral.
Ghislain UTARD
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Nancy passe le grand oral
Tout s'enchaîne décidément très vite. Il y avait eu le tour de France des villes candidates, où chacun avait pu dévoiler ses plans au couple présidentiel du football français, Jean-Pierre Escalettes et Frédéric Thiriez. C'était en juin-juillet. A peine deux mois plus tard, la FFF a donc convoqué tous les postulants à un grand oral de contrôle, au 87, boulevard de Grenelle. Les auditions des seize candidats - Nantes, le dix-septième, a jeté l'éponge - ont commencé en début de semaine. Elles s'achèvent aujourd'hui avec les Lorrains, Nancy ayant rendez-vous ce matin à 10 h, juste avant son voisin et concurrent messin, dont les représentants, Carlo Molinari en tête, sont attendus au siège de la maison mère à 14 h.
Cette fois, plus question d'en rester au stade des belles paroles ou des belles intentions. Il va falloir montrer que les dossiers sont viables et qu'ils avancent. La réunion sera scindée en deux, une heure de présentation, puis une heure de questions-réponses. « On va présenter le projet. D'abord l'agrandissement du stade, puis le montage juridique et financier. C'est purement technique », précise Nicolas Holveck, le directeur général de l'ASNL, qui sera accompagné de Michel Dufraisse, le vice-président de la CUGN, de Laurence Hirsch, la responsable de la communication de la Communauté Urbaine, ainsi que des architectes du stade Philippe Thouveny et Thibault Terrible.
« Travaillant de concert et en totale osmose », glisse Michel Dufraisse, la CUGN et l'ASNL n'ont pas chômé depuis le 20 juillet dernier. Sur un plan politique, la collectivité a fixé les dates de délibération qui permettront à la communauté d'autoriser le président à négocier avec l'ASNL pour la mise en place du bail emphytéotique administratif (BEA). Ce sera la semaine prochaine. Une autre délibération est prévue fin décembre, afin d'autoriser le président à signer le fameux BEA, qui fera de l'ASNL le locataire de Marcel-Picot et lui laissera les coudées franches pour mener à bien son projet d'agrandissement. « Vendredi prochain, nous aurons également une autre délibération, lors de laquelle les communes s'engageront à aider Nancy à organiser l'Euro. Puis, le lundi suivant, on délibérera pour poser officiellement la candidature de Nancy », souligne l'élu. Voilà un calendrier qui devrait satisfaire une FFF très à cheval sur l'engagement des pouvoirs publics.
« On ne s'occupe pas des autres »
De son côté, l'ASNL a bûché sur le stade et le montage financier. « On va montrer que notre projet répond rigoureusement au cahier des charges fixé par l'UEFA », confie Nicolas Holveck, qui a passé la journée d'hier avec les banquiers qui vont prêter à l'ASNL les 80 millions d'euros nécessaires aux travaux d'agrandissement et d'aménagement du stade Marcel-Picot. « On avance bien », assure, optimiste, le dirigeant nancéien. L'autre aspect important de ce volumineux dossier financier est le partage des garanties bancaires. « On travaille là dessus », ajoute-t-il.
Les examinateurs fédéraux auront un aperçu de ce chantier bien avancé tout à l'heure. « Suivra un mois et demi d'échanges concernant les points en suspens sur la faisabilité et la réalisation des travaux », précise encore Nicolas Holveck. Jusqu'à l'annonce prévue début novembre, par la FFF, des neuf sites qui charpenteront la candidature française pour l'Euro 2016.
A priori, on peut penser que l'une des trois villes candidates dans l'Est de la France (Nancy, Metz et Strasbourg) sera retenue. Mais impossible à ce jour de savoir lequel des trois projets, tous très différents, séduira le jury. « Ce qui nous importe, c'est d'être les meilleurs possibles, sans s'occuper des autres. Pour être retenu, il faudra aller vite et être très efficace », indique le dirigeant de l'ASNL. A commencer par ce matin, boulevard de Grenelle.
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"Celui qui se perd dans sa passion est moins perdu que celui qui perd sa passion" (Saint-Augustin)
"Allez les Verts !" (Saint-Etienne)
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Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
GreenFloyd wrote:oh le jolie stade sans caractére
+ 1000
Nous serons champions de France car nous sommes les premiers, nous serons champions de France car nous sommes les Stéphanois
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Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
Politique sportive / Maurice Vincent maire de Saint-Etienne
L'Euro, le stade et la masse
Pas de grands projets pour le sport stéphanois en dehors de Geoffroy-Guichard
Saint-Étienne métropole présentait hier à Paris son dossier de candidature à l'Euro 2 014. Une bonne nouvelle pour le football stéphanois, pour le sport ligérien en général et pour l'image de la région. C'est Roland Goujon, vice-président de Métropole responsable des grands équipements qui était chargé de cette mission. Normal car cet ami de Michel Platini connaît bien le sujet et ce stade qu'il a vu grandir et se rénover ces dernières années. Son pragmatisme est partagé par Maurice Vincent, son président. Tous deux savent que les finances ne sont pas extensibles.
Est-ce un hasard, si, comme le soulignait le maire de Saint-Étienne hier, lors d'une rencontre avec la presse « Plusieurs villes comme Bordeaux ou Strasbourg s'interrogent sur l'opportunité de construire un nouveau stade, alors que Nantes a tout simplement renoncé à l'Euro ».
Dans le Forez, on a décidé très tôt. Ce sera un réaménagement de l'existant. Le chantier est d'importance, comme son coût « 70 millions dont le financement devra être bouclé en novembre ». On saura alors, en principe la part de l'État, celle des collectivités locales et le montant financé par l'emprunt couvert par les frais de location à l'ASSE ou autres utilisateurs.
Le rugby figurera peut-être parmi ces hôtes, à l'occasion d'un grand match, mais pas le CASE dans l'immédiat. C'est ce qu'on a compris à travers la décision de refuser que se déroule la rencontre de Fédérale 1 face à Béziers cet automne. Hier, Maurice Vincent a argumenté sur le sujet, fort des conseils de ses services techniques. Pas sûr que ce soit un bon choix mais il s'y tient, doutant au passage de la retransmission sur Eurosport, espérée par les dirigeants du club. Le débat est clos après un rappel des efforts consentis pour l'ovale qui voit son stade agrandi.
C'est vrai que c'est une chance en ces temps difficiles rappelés par le maire. Il a parlé de « sport de proximité, de l'école municipale des sports qui a presque triplé ses effectifs, de la mise à disposition d'éducateurs pour le troisième âge, du succès de la création de l'OMS avec ses 140 associations, des subventions aux associations ».
Côté installations, peut-être ira-t-on vers une redistribution, comme avec la halle de la Plaine Achille que l'athlétisme pourrait récupérer. Mais pas de grand projet et, déception, le Palais des spectacles qu'on voulait croire Palais des sports ne le sera pas.
Il est vrai que le Case est en Nationale 1, non dans l'antichambre de la Pro A : « On verra dans quelques années si le basket a besoin d'un tel équipement ». L'heure est à la réflexion, celle de basculer vers Métropole tout le sport professionnel ou appelé à l'être. Maurice Vincent envisage même d'étendre l'idée à tout Loire sud, tout en étant circonspect sur les fusions de clubs.
En fait il ne tient pas à s'immiscer dans la gestion de ceux-ci et surtout pas de l'ASSE « Il y a une équipe dirigeante en place ». Tout ce qu'il souhaite, ce sont des résultats, comme tout supporter. C'est ce qu'il a dit aux joueurs qu'il a croisés cette semaine en leur adressant ses encouragements.
Didier Bigard
St-Etienne bien accueilli
La candidature de Saint-Étienne a été plutôt bien accueillie hier à la fédération où le dossier a été présenté pendant près de deux heures. C'est le sentiment de Roland Goujon qui était accompagné de MM Rochereau, programmiste, Pagat et Fradin. C'est le 13 novembre qu'on connaîtra le choix des villes retenues mais le dossier stéphanois bénéficie d'un vécu, celui de 98 et est déjà bien avancé, grâce au travail « considérable » des services de Métropole.
http://www.leprogres.fr/fr/article/1988 ... masse.html" onclick="window.open(this.href);return false;
L'Euro, le stade et la masse
Pas de grands projets pour le sport stéphanois en dehors de Geoffroy-Guichard
Saint-Étienne métropole présentait hier à Paris son dossier de candidature à l'Euro 2 014. Une bonne nouvelle pour le football stéphanois, pour le sport ligérien en général et pour l'image de la région. C'est Roland Goujon, vice-président de Métropole responsable des grands équipements qui était chargé de cette mission. Normal car cet ami de Michel Platini connaît bien le sujet et ce stade qu'il a vu grandir et se rénover ces dernières années. Son pragmatisme est partagé par Maurice Vincent, son président. Tous deux savent que les finances ne sont pas extensibles.
Est-ce un hasard, si, comme le soulignait le maire de Saint-Étienne hier, lors d'une rencontre avec la presse « Plusieurs villes comme Bordeaux ou Strasbourg s'interrogent sur l'opportunité de construire un nouveau stade, alors que Nantes a tout simplement renoncé à l'Euro ».
Dans le Forez, on a décidé très tôt. Ce sera un réaménagement de l'existant. Le chantier est d'importance, comme son coût « 70 millions dont le financement devra être bouclé en novembre ». On saura alors, en principe la part de l'État, celle des collectivités locales et le montant financé par l'emprunt couvert par les frais de location à l'ASSE ou autres utilisateurs.
Le rugby figurera peut-être parmi ces hôtes, à l'occasion d'un grand match, mais pas le CASE dans l'immédiat. C'est ce qu'on a compris à travers la décision de refuser que se déroule la rencontre de Fédérale 1 face à Béziers cet automne. Hier, Maurice Vincent a argumenté sur le sujet, fort des conseils de ses services techniques. Pas sûr que ce soit un bon choix mais il s'y tient, doutant au passage de la retransmission sur Eurosport, espérée par les dirigeants du club. Le débat est clos après un rappel des efforts consentis pour l'ovale qui voit son stade agrandi.
C'est vrai que c'est une chance en ces temps difficiles rappelés par le maire. Il a parlé de « sport de proximité, de l'école municipale des sports qui a presque triplé ses effectifs, de la mise à disposition d'éducateurs pour le troisième âge, du succès de la création de l'OMS avec ses 140 associations, des subventions aux associations ».
Côté installations, peut-être ira-t-on vers une redistribution, comme avec la halle de la Plaine Achille que l'athlétisme pourrait récupérer. Mais pas de grand projet et, déception, le Palais des spectacles qu'on voulait croire Palais des sports ne le sera pas.
Il est vrai que le Case est en Nationale 1, non dans l'antichambre de la Pro A : « On verra dans quelques années si le basket a besoin d'un tel équipement ». L'heure est à la réflexion, celle de basculer vers Métropole tout le sport professionnel ou appelé à l'être. Maurice Vincent envisage même d'étendre l'idée à tout Loire sud, tout en étant circonspect sur les fusions de clubs.
En fait il ne tient pas à s'immiscer dans la gestion de ceux-ci et surtout pas de l'ASSE « Il y a une équipe dirigeante en place ». Tout ce qu'il souhaite, ce sont des résultats, comme tout supporter. C'est ce qu'il a dit aux joueurs qu'il a croisés cette semaine en leur adressant ses encouragements.
Didier Bigard
St-Etienne bien accueilli
La candidature de Saint-Étienne a été plutôt bien accueillie hier à la fédération où le dossier a été présenté pendant près de deux heures. C'est le sentiment de Roland Goujon qui était accompagné de MM Rochereau, programmiste, Pagat et Fradin. C'est le 13 novembre qu'on connaîtra le choix des villes retenues mais le dossier stéphanois bénéficie d'un vécu, celui de 98 et est déjà bien avancé, grâce au travail « considérable » des services de Métropole.
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Pourtant que la montagne est belle, Comment peut-on s'imaginer En voyant un vol d'hirondelles Que l'automne vient d'arriver ? .............vive l'ardeche.................
Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
Lu ce matin dans L'Est Républicain :
Les atouts du projet nancéien
La rénovation et l'agrandissement de Marcel-Picot regorgent d'idées novatrices. Les concepteurs nancéiens ont pensé à tout.
Certes, même transformé et agrandi, Marcel-Picot ne pourra pas lutter avec les stades neufs qui doivent sortir de terre à Nice, Bordeaux, Lyon, Lille ou Colombes. En revanche, dans la catégorie des enceintes rénovées, il risque bien d'obtenir la palme d'or, tant le projet nancéien regorge d'idées novatrices dans des domaines aussi divers que l'utilisation de l'espace, le confort, la haute technologie ou le développement durable.
Pas étonnant que la commission fédérale « grands stades » ait été séduite par ce qu'elle a découvert vendredi matin. Xavier Daniel, son président, Pascal Simonin, l'ancien directeur du Stade de France, et Odile Lanceau, l'un des piliers de la FFF, ont unanimement reconnu la grande qualité de l'équipement imaginé par les architectes nancéiens. « On va très loin dans la démarche de la nouveauté, avec le souci de respecter scrupuleusement le cahier des charges de l'UEFA. Pour un stade de niveau 2 qui va être rénové, c'est unique », insiste Nicolas Holveck qui planche sur le projet depuis un an et demi.
Avec son toit rétractable et sa pelouse synthétique, le futur stade Marcel-Picot s'inscrira totalement dans la veine des enceintes du 21e siècle. Avec plusieurs avantages à la clé, comme celui d'éviter les matches remis pour cause de terrain gelé ou les assistances clairsemées pour cause d'intempéries. La couverture et le toit permettront aussi d'atténuer les nuisances sonores. « On a tenu compte des désagréments occasionnés aux riverains. Ainsi, toute la structure sera préfabriquée en usine. Les travaux effectués au stade se limiteront à la pose. Cela limitera aussi les nuisances », explique le directeur général de l'ASNL. Pas question d'exclure la question énergétique. Des cellules photovoltaïques garniront le nouveau chapeau de Marcel-Picot.
Un soin tout particulier sera apporté au confort des utilisateurs avec de nombreux espaces détente et vidéo, aux étages bien sûr, où de larges coursives permettront de suivre la rencontre tout en sirotant un rafraîchissement, mais aussi dans la fameuse rue sous Hazotte, totalement aménagée pour en faire un vrai centre de vie, qui s'étendra sous tout le stade. Toute la partie réservée aux officiels a été également repensée : vestiaires des joueurs et des arbitres modernisés, création d'une salle pour les contrôles antidopage, d'une zone mixte aux normes UEFA. Les médias auront droit à leur étage réservé. Les VIP aussi.
Un parking supplémentaire verra le jour derrière la tribune Piantoni, portant la capacité de stationnement à 4.000 emplacements. Avec le stade Raymond Petit et les terrains annexes, le périmètre de Marcel-Picot constitue également un autre atout de l'équipement nancéien. « On dispose d'une emprise foncière suffisante pour accueillir tout ce que demande l'UEFA, notamment les régies », souligne Nicolas Holveck. Pas le moindre des avantages quand on sait quelle importance l'instance dirigée par Michel Platini accorde à ce type de gros détails.
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Les atouts du projet nancéien
La rénovation et l'agrandissement de Marcel-Picot regorgent d'idées novatrices. Les concepteurs nancéiens ont pensé à tout.
Certes, même transformé et agrandi, Marcel-Picot ne pourra pas lutter avec les stades neufs qui doivent sortir de terre à Nice, Bordeaux, Lyon, Lille ou Colombes. En revanche, dans la catégorie des enceintes rénovées, il risque bien d'obtenir la palme d'or, tant le projet nancéien regorge d'idées novatrices dans des domaines aussi divers que l'utilisation de l'espace, le confort, la haute technologie ou le développement durable.
Pas étonnant que la commission fédérale « grands stades » ait été séduite par ce qu'elle a découvert vendredi matin. Xavier Daniel, son président, Pascal Simonin, l'ancien directeur du Stade de France, et Odile Lanceau, l'un des piliers de la FFF, ont unanimement reconnu la grande qualité de l'équipement imaginé par les architectes nancéiens. « On va très loin dans la démarche de la nouveauté, avec le souci de respecter scrupuleusement le cahier des charges de l'UEFA. Pour un stade de niveau 2 qui va être rénové, c'est unique », insiste Nicolas Holveck qui planche sur le projet depuis un an et demi.
Avec son toit rétractable et sa pelouse synthétique, le futur stade Marcel-Picot s'inscrira totalement dans la veine des enceintes du 21e siècle. Avec plusieurs avantages à la clé, comme celui d'éviter les matches remis pour cause de terrain gelé ou les assistances clairsemées pour cause d'intempéries. La couverture et le toit permettront aussi d'atténuer les nuisances sonores. « On a tenu compte des désagréments occasionnés aux riverains. Ainsi, toute la structure sera préfabriquée en usine. Les travaux effectués au stade se limiteront à la pose. Cela limitera aussi les nuisances », explique le directeur général de l'ASNL. Pas question d'exclure la question énergétique. Des cellules photovoltaïques garniront le nouveau chapeau de Marcel-Picot.
Un soin tout particulier sera apporté au confort des utilisateurs avec de nombreux espaces détente et vidéo, aux étages bien sûr, où de larges coursives permettront de suivre la rencontre tout en sirotant un rafraîchissement, mais aussi dans la fameuse rue sous Hazotte, totalement aménagée pour en faire un vrai centre de vie, qui s'étendra sous tout le stade. Toute la partie réservée aux officiels a été également repensée : vestiaires des joueurs et des arbitres modernisés, création d'une salle pour les contrôles antidopage, d'une zone mixte aux normes UEFA. Les médias auront droit à leur étage réservé. Les VIP aussi.
Un parking supplémentaire verra le jour derrière la tribune Piantoni, portant la capacité de stationnement à 4.000 emplacements. Avec le stade Raymond Petit et les terrains annexes, le périmètre de Marcel-Picot constitue également un autre atout de l'équipement nancéien. « On dispose d'une emprise foncière suffisante pour accueillir tout ce que demande l'UEFA, notamment les régies », souligne Nicolas Holveck. Pas le moindre des avantages quand on sait quelle importance l'instance dirigée par Michel Platini accorde à ce type de gros détails.
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"Celui qui se perd dans sa passion est moins perdu que celui qui perd sa passion" (Saint-Augustin)
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Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
Gné, ils veulent refaire le stade de colombes
Si ils pouvaient faire passer une loi comme pour les restos, interdiction de fumer dans un stade je serais le 1er ravit............. Car hier entre les clopes et le chichon dans le kop nord............. je n'en pouvais plus envie de vomir.....
En sentant mes habits je sents l'odeur du tabac froid.......... beurk...............
Si ils pouvaient faire passer une loi comme pour les restos, interdiction de fumer dans un stade je serais le 1er ravit............. Car hier entre les clopes et le chichon dans le kop nord............. je n'en pouvais plus envie de vomir.....
En sentant mes habits je sents l'odeur du tabac froid.......... beurk...............
Pourtant que la montagne est belle, Comment peut-on s'imaginer En voyant un vol d'hirondelles Que l'automne vient d'arriver ? .............vive l'ardeche.................
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Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
je viens d'apprendre ça aussicedric26 wrote: Gné, ils veulent refaire le stade de colombes
Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
Colombes ..... ce n'est pas pour le Racing Métro qu'ils envisagent de réaménager ce stade ?GreenFloyd wrote:je viens d'apprendre ça aussicedric26 wrote: Gné, ils veulent refaire le stade de colombes
Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
Football – Euro 2016
Des matches de l'Euro 2016 à Puteaux ?La rédaction - RMC.fr, le 26/08/2009
En marge de l’inauguration d’une tribune du stade Yves-Du-Manoir, la secrétaire d'Etat aux Sports, Rama Yade, a déclaré que le futur stade du Racing Métro serait inclus dans le dossier de candidature française à l'organisation de l'Euro 2016.
Le Racing-Métro, promu cette saison en Top 14, a inauguré mercredi la nouvelle tribune de son stade Yves-Du-Manoir de Colombes, qui porte la capacité de l'enceinte à 14 000 places. La direction du club francilien a toutefois réaffirmé à cette occasion sa volonté de construire un stade de plus de 30 000 places à Nanterre, d'ici 2011. Le site actuellement à l'étude est situé sur la commune de Nanterre, mais appartient à la ville de Puteaux. Et ce stade sera inclus dans le dossier de candidature française à l'organisation de l'Euro 2016 de football, a déclaré la secrétaire d'Etat aux Sports, Rama Yade, présente à Colombes pour l’inauguration de cette tribune de 5000 places.
Le Racing-Métro accueillera Bayonne samedi à Yves-Du-Manoir, pour son premier match à domicile depuis sa remontée en Top 14.
http://www.rmc.fr/edito/sport/87499/des ... mcpremiere" onclick="window.open(this.href);return false;
Elle est conseillere municipale de l'opposition à Colombes, le maire étant de gauche... elle espere gagner des voix comme sa peut-être......
Des matches de l'Euro 2016 à Puteaux ?La rédaction - RMC.fr, le 26/08/2009
En marge de l’inauguration d’une tribune du stade Yves-Du-Manoir, la secrétaire d'Etat aux Sports, Rama Yade, a déclaré que le futur stade du Racing Métro serait inclus dans le dossier de candidature française à l'organisation de l'Euro 2016.
Le Racing-Métro, promu cette saison en Top 14, a inauguré mercredi la nouvelle tribune de son stade Yves-Du-Manoir de Colombes, qui porte la capacité de l'enceinte à 14 000 places. La direction du club francilien a toutefois réaffirmé à cette occasion sa volonté de construire un stade de plus de 30 000 places à Nanterre, d'ici 2011. Le site actuellement à l'étude est situé sur la commune de Nanterre, mais appartient à la ville de Puteaux. Et ce stade sera inclus dans le dossier de candidature française à l'organisation de l'Euro 2016 de football, a déclaré la secrétaire d'Etat aux Sports, Rama Yade, présente à Colombes pour l’inauguration de cette tribune de 5000 places.
Le Racing-Métro accueillera Bayonne samedi à Yves-Du-Manoir, pour son premier match à domicile depuis sa remontée en Top 14.
http://www.rmc.fr/edito/sport/87499/des ... mcpremiere" onclick="window.open(this.href);return false;
Elle est conseillere municipale de l'opposition à Colombes, le maire étant de gauche... elle espere gagner des voix comme sa peut-être......
Pourtant que la montagne est belle, Comment peut-on s'imaginer En voyant un vol d'hirondelles Que l'automne vient d'arriver ? .............vive l'ardeche.................
Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
Colombes étant un stade olympique c'est une bonne chose qu'il soit rénové.
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Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
assez d'accord, et c'est bien d'avoir plusieurs stades importants à Parisdeiphobos wrote:Colombes étant un stade olympique c'est une bonne chose qu'il soit rénové.
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Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
Sur le site de l'équipe, on apprend le nom des villes qui seraient retenues :
http://www.lequipe.fr/Football/breves20 ... aient.html
Et les villes retenues seraient...
La candidature française à l'Euro 2016 se précise. D'ici un mois et demi, mi-novembre au plus tard, la Fédération va annoncer les douze villes retenues pour accueillir l'événement. Un document confidentiel de la FFF, que L'Equipe s'est procuré, laisse peu de mystère sur les sites retenus. Ainsi, huit enceintes seraient d'ores et déjà confirmés. Celles qui sont à rénover: le Stade Vélodrome de Marseille, La Meinau de Strasbourg et le Parc des Princes. Celles qui sont à construire: les Grand Stade de Nice, Bordeaux et Lille ainsi que l'OL Land de Lyon. Huitième et dernier stade confirmé, le Stade de France.
Quatre autres sites sont en concurrence pour une place, tandis que les trois recalés se contenteront d'une rôle de réserviste: le Stadium de Toulouse, le stade Félix-Bollaert de Lens, le stade Marcel-Picot de Nancy et le stade Geoffroy Guichard de Saint-Etienne. Ces enceintes seront rénovées si la France obtient l'organisation du Championnat d'Europe aux dépends de l'Italie, la Turquie et la candidature jointe de la Suède et de la Norvège. En revanche, Montpellier, Metz, Rennes et le projet de nouveau stade des Hauts-de-Seine du Racing-Métro à Puteaux devraient être exclus.
http://www.lequipe.fr/Football/breves20 ... aient.html
Et les villes retenues seraient...
La candidature française à l'Euro 2016 se précise. D'ici un mois et demi, mi-novembre au plus tard, la Fédération va annoncer les douze villes retenues pour accueillir l'événement. Un document confidentiel de la FFF, que L'Equipe s'est procuré, laisse peu de mystère sur les sites retenus. Ainsi, huit enceintes seraient d'ores et déjà confirmés. Celles qui sont à rénover: le Stade Vélodrome de Marseille, La Meinau de Strasbourg et le Parc des Princes. Celles qui sont à construire: les Grand Stade de Nice, Bordeaux et Lille ainsi que l'OL Land de Lyon. Huitième et dernier stade confirmé, le Stade de France.
Quatre autres sites sont en concurrence pour une place, tandis que les trois recalés se contenteront d'une rôle de réserviste: le Stadium de Toulouse, le stade Félix-Bollaert de Lens, le stade Marcel-Picot de Nancy et le stade Geoffroy Guichard de Saint-Etienne. Ces enceintes seront rénovées si la France obtient l'organisation du Championnat d'Europe aux dépends de l'Italie, la Turquie et la candidature jointe de la Suède et de la Norvège. En revanche, Montpellier, Metz, Rennes et le projet de nouveau stade des Hauts-de-Seine du Racing-Métro à Puteaux devraient être exclus.
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Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
Perso je trouve la position de la ville de Nantes assez réaliste et adaptée à la situation, à partir du moment où ils savent qu'ils auront peu de matchs et en plus de moindre intérêt avec des équipes moins cotés. Ils ont décidés de se retirer.
Concernant GG, je pense que l'on a très peu de chance d'être retenu, mais bon si ça peu nous permettre d'avoir un stade rénové pourquoi pas, pour le reste ça va couter bcp d'argent pour 2/3 matchs de pacotilles !
Concernant GG, je pense que l'on a très peu de chance d'être retenu, mais bon si ça peu nous permettre d'avoir un stade rénové pourquoi pas, pour le reste ça va couter bcp d'argent pour 2/3 matchs de pacotilles !
ça s'passssssssssssssssse comme çaaaaaaaaaaa à l'ASSE !!!
Le 20 avril 2013 vainqueur CdL
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Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
Logique hélas. On aurait du faire un nouveau stade, pour avoir une chance d'être sélectionné. Je serai vraiment dégoûté, si la France est retenue et que l'Euro ne passe pas par Sainté. Je me rappellerai toute ma vie de la fête dans les rues stéphanoises en 98.
Agent immobilier sur la région lyonnaise.
Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
si tu as besoin de ce cirque pour être heureux je te plains sincèrementPunky wrote:Logique hélas. On aurait du faire un nouveau stade, pour avoir une chance d'être sélectionné. Je serai vraiment dégoûté, si la France est retenue et que l'Euro ne passe pas par Sainté. Je me rappellerai toute ma vie de la fête dans les rues stéphanoises en 98.
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Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
T'etait a Ste a ce moment la ? Si c'etait le cas, tu as du etre horrifie des voir tous ces gens heureux dans la rueBigbizoo wrote:si tu as besoin de ce cirque pour être heureux je te plains sincèrementPunky wrote:Logique hélas. On aurait du faire un nouveau stade, pour avoir une chance d'être sélectionné. Je serai vraiment dégoûté, si la France est retenue et que l'Euro ne passe pas par Sainté. Je me rappellerai toute ma vie de la fête dans les rues stéphanoises en 98.
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Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
Oula, toi, tu vas te faire des copains très vite avec ce genre d'intervention...Bigbizoo wrote:si tu as besoin de ce cirque pour être heureux je te plains sincèrementPunky wrote:Logique hélas. On aurait du faire un nouveau stade, pour avoir une chance d'être sélectionné. Je serai vraiment dégoûté, si la France est retenue et que l'Euro ne passe pas par Sainté. Je me rappellerai toute ma vie de la fête dans les rues stéphanoises en 98.
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Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
Attendons de voir qui va être choisi parmi les 4, mais si Sainté ne devait pas être sélectionnée, je trouverai ça logique... Le projet de rénovation de GG est tout sauf ambitieux, tout en étant coûteux, et situé tout près de BLL où là il y aura un grand stade. Pour pouvoir retenir Sainté, il aurait fallu un stade plus moderne et surtout avec une plus grosse capacité que les 41000 espérées.
Mais bon, le choix définitif n'est pas encore fait apparemment... Alors attendons !
Mais bon, le choix définitif n'est pas encore fait apparemment... Alors attendons !
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Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
c'est dans la logique des choses.Fallait pas toucher à GG, beaucoup ici ont crié au scandale sur la construction d'un nouveau stade....et bien pas de nouveau stade, pas d'Euro voilà la réponse apparemment mais si rien n'est encore officiel
vert un jour vert toujours
Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
Un état français au bord de la faillite, des collectivités locales exsangues, peu de partenaire privés voulant investir ...
Pourquoi la ville de Saint-Etienne devrait être retenue ? pour l'histoire du club ?? malheureusement pour nous, cela date désormais de plus de 30 ans ...
Perso, cela ne me fera ni chaud ni froid de voir un Euro sans Sainté ... Encore faut-il que la France soit choisie pour l'organisation.
De plus, les sifflets nourris envers les Bleus à GG n'aideront sans doute pas notre candidature.
Pourquoi la ville de Saint-Etienne devrait être retenue ? pour l'histoire du club ?? malheureusement pour nous, cela date désormais de plus de 30 ans ...
Perso, cela ne me fera ni chaud ni froid de voir un Euro sans Sainté ... Encore faut-il que la France soit choisie pour l'organisation.
De plus, les sifflets nourris envers les Bleus à GG n'aideront sans doute pas notre candidature.
Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
Selon l'équipe, Nancy avec un projet de nouveau stade n'est pas plus retenu que Saint Etienne avec un projet de rénovation : un projet de nouveau stade n'est donc pas forcément synonyme de stade retenu.hcatteau wrote:Un état français au bord de la faillite, des collectivités locales exsangues, peu de partenaire privés voulant investir ...
Pourquoi la ville de Saint-Etienne devrait être retenue ? pour l'histoire du club ?? malheureusement pour nous, cela date désormais de plus de 30 ans ...
Perso, cela ne me fera ni chaud ni froid de voir un Euro sans Sainté ... Encore faut-il que la France soit choisie pour l'organisation.
De plus, les sifflets nourris envers les Bleus à GG n'aideront sans doute pas notre candidature.
De toutes façon, nouveau stade ou rénovation, il fallait des moyens que la SEM était incapable de fournir.
Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
Nancy (comme Metz d'ailleurs) n'est pas très loin de Strasbourg, qui a un projet de rénovation visiblement plus ambitieux. C'est une situation assez similaire à la notre au final... Sur une zone où plusieurs villes sont candidates, on retient la plus ambitieuse... Logique.deiphobos wrote:Selon l'équipe, Nancy avec un projet de nouveau stade n'est pas plus retenu que Saint Etienne avec un projet de rénovation : un projet de nouveau stade n'est donc pas forcément synonyme de stade retenu.hcatteau wrote:Un état français au bord de la faillite, des collectivités locales exsangues, peu de partenaire privés voulant investir ...
Pourquoi la ville de Saint-Etienne devrait être retenue ? pour l'histoire du club ?? malheureusement pour nous, cela date désormais de plus de 30 ans ...
Perso, cela ne me fera ni chaud ni froid de voir un Euro sans Sainté ... Encore faut-il que la France soit choisie pour l'organisation.
De plus, les sifflets nourris envers les Bleus à GG n'aideront sans doute pas notre candidature.
De toutes façon, nouveau stade ou rénovation, il fallait des moyens que la SEM était incapable de fournir.