José wrote:... Olympique de Lyon, club con ...
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[Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
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Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
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Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Bof. Blasé après Diakhaté, Gomis...MrManchot wrote:Ça ferait effectivement très mal au culoswaldo wrote:Manquerait plus que ça...
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Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Vous rigolez ou quoi, on est son club formateur, on va toucher quelques centaines d'euros et un abonnement gratuit à OL coiffure dans la transaction.
Jonathan, on t'aime, on t'adore, ne pars pas, tu es magique!
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Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
joliJosé wrote:Dabo vil ?
l'amour du maillot! c'est nous qu'on a les plus beaux!
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Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
On ne dit pas blasé, on dit élargi...Denis77 wrote:Bof. Blasé après Diakhaté, Gomis...MrManchot wrote:Ça ferait effectivement très mal au culoswaldo wrote:Manquerait plus que ça...
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Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Mouhamadou Dabo, l'ancien vert formé à l'ASSE qui a rejoint le FC Séville sans parvenir à s'y imposer, va selon toute vraisemblance revenir en France.
En effet, l'OL devrait officialiser sa venue dans la journée, la presse Espagnole confirme : « Dabo se considère déjà comme un joueur de l’Olympique Lyonnais ».
source EVECT.
vous pouvez déboucher la vaseline.
En effet, l'OL devrait officialiser sa venue dans la journée, la presse Espagnole confirme : « Dabo se considère déjà comme un joueur de l’Olympique Lyonnais ».
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Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Ayé, Dabo est officiellement quenelle.
M.Dabo : « A Lyon pour franchir un pallier »
Rencontre avec la nouvelle recrue lyonnaise Mouhamadou Dabo…
Son arrivée à l’OL
C’est un réel plaisir de venir jouer à l’OL. Cela fait de nombreuses années qu’ils se qualifient pour la Ligue des Champions. Venir à Lyon, pour moi, c’est une opportunité pour franchir un pallier. Il y a mon ami Gomis et j’ai déjà côtoyé Hugo Lloris… J’espère vite m’intégrer dans le groupe. J’espère aussi apporter quelque chose à l’équipe sur le plan humain et sportif.
Son parcours
Je suis venu du Sénégal à l’âge de 14 ans. Je ne connaissais personne. J’étais dans la même chambre au centre de formation que Bafé à Saint Etienne. Nos parents se connaissent, aujourd’hui ce n’est pas un ami mais un frère. Au centre de formation nous avions pleins d’idées en tête pour devenir professionnels. Dieu merci, on a intégré en même temps le groupe professionnel. Je crois au destin, les choses ne se sont pas faites au hasard.
Son poste
Je suis droitier et je peux jouer à gauche aussi. J’attends d’intégrer le groupe et de bien travailler. Je fais confiance au coach et j’essaie de bien m’entraîner de mon côté pour me mettre au service de l’équipe.
Son passage à Séville
Quand j’ai intégré Séville, je suis arrivé dans un pays que je ne connaissais pas. J’ai joué 37 matchs. C’est une bonne satisfaction au niveau individuel. Les années se suivent et ne se ressemble pas. Pour l’instant j’ai emmagasiné beaucoup d’expérience pour me mettre au service de l’OL.
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M.Dabo : « A Lyon pour franchir un pallier »
Rencontre avec la nouvelle recrue lyonnaise Mouhamadou Dabo…
Son arrivée à l’OL
C’est un réel plaisir de venir jouer à l’OL. Cela fait de nombreuses années qu’ils se qualifient pour la Ligue des Champions. Venir à Lyon, pour moi, c’est une opportunité pour franchir un pallier. Il y a mon ami Gomis et j’ai déjà côtoyé Hugo Lloris… J’espère vite m’intégrer dans le groupe. J’espère aussi apporter quelque chose à l’équipe sur le plan humain et sportif.
Son parcours
Je suis venu du Sénégal à l’âge de 14 ans. Je ne connaissais personne. J’étais dans la même chambre au centre de formation que Bafé à Saint Etienne. Nos parents se connaissent, aujourd’hui ce n’est pas un ami mais un frère. Au centre de formation nous avions pleins d’idées en tête pour devenir professionnels. Dieu merci, on a intégré en même temps le groupe professionnel. Je crois au destin, les choses ne se sont pas faites au hasard.
Son poste
Je suis droitier et je peux jouer à gauche aussi. J’attends d’intégrer le groupe et de bien travailler. Je fais confiance au coach et j’essaie de bien m’entraîner de mon côté pour me mettre au service de l’équipe.
Son passage à Séville
Quand j’ai intégré Séville, je suis arrivé dans un pays que je ne connaissais pas. J’ai joué 37 matchs. C’est une bonne satisfaction au niveau individuel. Les années se suivent et ne se ressemble pas. Pour l’instant j’ai emmagasiné beaucoup d’expérience pour me mettre au service de l’OL.
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"Celui qui se perd dans sa passion est moins perdu que celui qui perd sa passion" (Saint-Augustin)
"Allez les Verts !" (Saint-Etienne)
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Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
On a le droit de signer à Lyon pendant le ramadan ?
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Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
On n' a pas le droit de signer à Lyon. C'est la base.vertigogo wrote:On a le droit de signer à Lyon pendant le ramadan ?
l'amour du maillot! c'est nous qu'on a les plus beaux!
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Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Bonne chance à Mouhamadou ! Dabo est meilleur que Reveillère.
Jonathan, on t'aime, on t'adore, ne pars pas, tu es magique!
Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Heureusement que Ghoulam est meilleur que Dabo, la morale est sauve.osvaldopiazzolla wrote:Bonne chance à Mouhamadou ! Dabo est meilleur que Reveillère.
Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Vu le nombre que les villains nous piquent,
vivement qu'on pique aussi tous nos jeunes avec Parkinson,
l'antidote étant dans les corn flakes à l'Etrat,
et si ils se barrent, tant pis pour eux
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[i][size=50]Je suis Charlie[/size][/i]
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Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
POSTIGA À SARAGOSSE. L’attaquant du Sporting Portugal, Helder Postiga, s’est engagé avec Saragosse. Agé de 29 ans, l’international était arrivé en 2008 à Lisbonne mais se retrouvait barré par les recrutements de Jeffren et Bojinov. Montant du transfert: 2,5 millions d’euros.
eurosport.fr
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[img]http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/2/2f/Roma_flag.svg/60px-Roma_flag.svg.png[/img]
Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Mouhamadou DABO "Il y a pas mal de temps que je voulais venir à Lyon mais ça n'avait pas pu se faire. C'est un club qui véhicule des aspects positifs sur le plan footballistique et sur le plan humain."
J'ai vomi
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Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Bah Dabo n'est pas stéphanois d'origine. Et il n'a jamais fait de déclaration démontrant qu'il refléchissait comme un stéphanois de souche, notamment vis à vis de Lyon.BriKo wrote:Mouhamadou DABO "Il y a pas mal de temps que je voulais venir à Lyon mais ça n'avait pas pu se faire. C'est un club qui véhicule des aspects positifs sur le plan footballistique et sur le plan humain."
J'ai vomi
Comme Gomis après tout. Pas de quoi vomir.
Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Dabo : «Jouer un grand rôle à l'OL»
Débarqué du FC Séville pour quatre ans et un million d'euros afin de doubler les postes dans les couloirs, Mouhamadou Dabo a bien l'intention de montrer sa valeur. Il sera en concurrence directe avec Anthony Reveillère et Aly Cissokho.
Mouhamadou, après deux tentatives avortées, vous rejoignez finalement l'OL …
Mouhamadou Dabo : Oui. C'est un grand plaisir pour moi. Depuis douze ans, ce club est toujours parvenu à se qualifier pour la Ligue des Champions et pour moi qui n'aie jamais joué cette compétition, c'est une grande satisfaction. Je franchis vraiment un palier en signant à Lyon.
Comment se fait-il que vous n'ayez pas signé à Lyon il y a un an quand vous arriviez en fin de contrat ? Les dirigeants lyonnais étaient moins intéressés ?
Mouhamadou Dabo : Je ne sais pas. En tout cas, cela ne s'est pas fait. J'ai pris la décision d'aller à Séville il y a un an. Je ne regrette rien. J'ai bien l'intention de jouer un grand rôle à l'Olympique Lyonnais. Il y a un beau challenge dans ce club.
Quel souvenir garderez-vous de votre passage à Séville ?
Mouhamadou Dabo : J'ai joué 24 matches en championnat. L'Espagne est un championnat particulier avec un effectif élargi où le turn-over fonctionne à plein régime. Pour ma première année, j'ai quand même joué 37 matches et cela reste une grande satisfaction individuelle.
Savez-vous sur quel côté Rémi Garde compte vous utiliser ?
Mouhamadou Dabo : J'ai eu le coach. Il sait que je peux jouer à gauche ou à droite. Après, c'est à moi de travailler pour faire aussi bien sinon mieux que la concurrence. Après, ce sera au coach de décider…
Bafétimbi Gomis a-t-il joué un petit rôle dans votre arrivée ?
Mouhamadou Dabo : Il a joué un grand rôle même si je ne suis pas venu ici pour Bafé mais pour ma carrière. Cependant, plus qu'un ami, Bafé est comme un frère pour moi. Nous avons partagé notre chambre au centre de formation de Saint-Etienne et on a débuté presque en même temps en équipe première. C'est facile pour moi de venir dans une équipe où je connais déjà pas mal de monde. Il y a Bafé mais j'ai aussi côtoyé Hugo Lloris, Yoann Gourcuff en équipe de France Espoirs. Cela va faciliter mon adaptation.
A Lyon, Anthony Reveillère et Aly Cissokho n'avaient pas vraiment de concurrence jusqu'à votre arrivée…
Mouhamadou Dabo : Je ne viens pas pour les bousculer mais dans un club, il est aussi important d'avoir une concurrence saine. Moi, je suis là pour ça ! Après ce sera au coach de décider. Dans tous les grands clubs, c'est pareil : il y a de la concurrence. Si on aime vraiment ce qu'on fait, on est prêt à l'affronter.
Vous êtes un ancien Stéphanois. Comment abordez-vous l'accueil des supporters lyonnais ?
Mouhamadou Dabo : Je ne suis pas venu de Saint-Etienne directement. Peut-être que cela a atténué les choses. Je ne sais pas la surprise qu'ils vont me réserver. Je suis lyonnais à 100% et j'espère que Bafé m'expliquera comment il a conquis Gerland (sourire).
Et concernant le public forézien ?
Mouhamadou Dabo : Quand on aime ce qu'on fait, on est prêt à affronter toutes les difficultés de la vie. C'est un match de 90 minutes. Si on est fort mentalement, on peut tenir même dans un contexte difficile.
Avez-vous regardé la date du derby ?
Mouhamadou Dabo : Oui. C'est vers la fin du mois d'octobre, c'est ça ? (ndlr : le 29 octobre)
Propos recueillis par Paolo Biggeri, notre correspondant à Lyon
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Débarqué du FC Séville pour quatre ans et un million d'euros afin de doubler les postes dans les couloirs, Mouhamadou Dabo a bien l'intention de montrer sa valeur. Il sera en concurrence directe avec Anthony Reveillère et Aly Cissokho.
Mouhamadou, après deux tentatives avortées, vous rejoignez finalement l'OL …
Mouhamadou Dabo : Oui. C'est un grand plaisir pour moi. Depuis douze ans, ce club est toujours parvenu à se qualifier pour la Ligue des Champions et pour moi qui n'aie jamais joué cette compétition, c'est une grande satisfaction. Je franchis vraiment un palier en signant à Lyon.
Comment se fait-il que vous n'ayez pas signé à Lyon il y a un an quand vous arriviez en fin de contrat ? Les dirigeants lyonnais étaient moins intéressés ?
Mouhamadou Dabo : Je ne sais pas. En tout cas, cela ne s'est pas fait. J'ai pris la décision d'aller à Séville il y a un an. Je ne regrette rien. J'ai bien l'intention de jouer un grand rôle à l'Olympique Lyonnais. Il y a un beau challenge dans ce club.
Quel souvenir garderez-vous de votre passage à Séville ?
Mouhamadou Dabo : J'ai joué 24 matches en championnat. L'Espagne est un championnat particulier avec un effectif élargi où le turn-over fonctionne à plein régime. Pour ma première année, j'ai quand même joué 37 matches et cela reste une grande satisfaction individuelle.
Savez-vous sur quel côté Rémi Garde compte vous utiliser ?
Mouhamadou Dabo : J'ai eu le coach. Il sait que je peux jouer à gauche ou à droite. Après, c'est à moi de travailler pour faire aussi bien sinon mieux que la concurrence. Après, ce sera au coach de décider…
Bafétimbi Gomis a-t-il joué un petit rôle dans votre arrivée ?
Mouhamadou Dabo : Il a joué un grand rôle même si je ne suis pas venu ici pour Bafé mais pour ma carrière. Cependant, plus qu'un ami, Bafé est comme un frère pour moi. Nous avons partagé notre chambre au centre de formation de Saint-Etienne et on a débuté presque en même temps en équipe première. C'est facile pour moi de venir dans une équipe où je connais déjà pas mal de monde. Il y a Bafé mais j'ai aussi côtoyé Hugo Lloris, Yoann Gourcuff en équipe de France Espoirs. Cela va faciliter mon adaptation.
A Lyon, Anthony Reveillère et Aly Cissokho n'avaient pas vraiment de concurrence jusqu'à votre arrivée…
Mouhamadou Dabo : Je ne viens pas pour les bousculer mais dans un club, il est aussi important d'avoir une concurrence saine. Moi, je suis là pour ça ! Après ce sera au coach de décider. Dans tous les grands clubs, c'est pareil : il y a de la concurrence. Si on aime vraiment ce qu'on fait, on est prêt à l'affronter.
Vous êtes un ancien Stéphanois. Comment abordez-vous l'accueil des supporters lyonnais ?
Mouhamadou Dabo : Je ne suis pas venu de Saint-Etienne directement. Peut-être que cela a atténué les choses. Je ne sais pas la surprise qu'ils vont me réserver. Je suis lyonnais à 100% et j'espère que Bafé m'expliquera comment il a conquis Gerland (sourire).
Et concernant le public forézien ?
Mouhamadou Dabo : Quand on aime ce qu'on fait, on est prêt à affronter toutes les difficultés de la vie. C'est un match de 90 minutes. Si on est fort mentalement, on peut tenir même dans un contexte difficile.
Avez-vous regardé la date du derby ?
Mouhamadou Dabo : Oui. C'est vers la fin du mois d'octobre, c'est ça ? (ndlr : le 29 octobre)
Propos recueillis par Paolo Biggeri, notre correspondant à Lyon
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"Allez les Verts !" (Saint-Etienne)
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Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
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où on reparle d'ech chergui.
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Jonathan, on t'aime, on t'adore, ne pars pas, tu es magique!
Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
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Perquis rejoint Obraniak.
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Blood brothers in the stormy night with a vow to defend
No retreat no surrender
No retreat no surrender
Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Tain Perquis international , ça m'en bouche un coinhuck wrote:http://www.lequipe.fr/Football/breves20 ... alite.html
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Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
ça fait 4 ans qu'il est suivi par la Pologne et que l'équipe nationale de Pologne voulait le sélectionner donc rien de nouveau pour ma part
La vida tombola
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Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
un interview de Gelson, content d'être retourné en Angleterre mais qui ne dit mot sur Sté...
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Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Lu aujourd'hui dans Paris-Normandie :
Vincent leur donne des ailes
National Décisif lors des deux derniers matches, Stephen Vincent a porté le FC Rouen vers le succès grâce à sa vitesse et à l'intelligence de ses appels. Portrait.
La vitesse vous manque ? Faites appel à Stephen Vincent. Le « petit TGV » porte bien le surnom donné par ses partenaires de jeu lors de ses jeunes années sur les pelouses de la région parisienne. Il va vite, très vite, trop vite même souvent pour son adversaire. Les défenseurs de Nîmes et de Martigues peuvent en témoigner. Le natif de Neuilly-sur-Marne leur a fait mal, très mal. Directement impliqué sur trois des quatre dernières réalisations du FC Rouen, l'ailier gauche, arrivé cet été du Paris FC, a permis aux Diables rouges de décoller et de s'installer sur le podium dès la 4e journée de championnat et après trois victoires de rang. A l'image de son milieu offensif gauche, le FCR est passé sur très haut débit après une première sortie un peu plus terne face à Besançon (0-0).
« Je n'étais pas satisfait de moi, avoue sans détours Stephen Vincent. L'équipe n'avait pas donné son meilleur ce soir-là mais moi non plus. Je savais que je pouvais mieux faire. » Remplaçant contre le Red Star (2-1) lors de la deuxième journée, le Francilien a profité de la blessure d'Anthony Moura-Komenan pour faire son retour dans le onze de départ dès la journée suivante à Nîmes (1-2). Un retour gagnant et, surtout, convaincant. A l'origine de l'égalisation de Mendy grâce à une frappe puissante que le gardien gardois n'a pu que repousser dans les pieds de son compère du milieu puis buteur décisif après un enchaînement contrôle en pleine course-frappe magnifique, Stephen Vincent avait éclaboussé la rencontre de tout son talent. Le résultat d'une très bonne semaine d'entraînement mais aussi d'une discussion productive avec Eric Garcin, son entraîneur.
« Créer l'incertitude »
« Après Besançon, le coach m'avait demandé de jouer un peu plus en profondeur, détaille celui passé par le centre de formation de l'AS Saint-Etienne. Il souhaitait également que je travaille plus mes appels. » Qu'il les varie surtout, n'hésitant pas à les faire vers l'intérieur. « Il avait tendance à trop fermer alors qu'il fait de très bons appels vers l'intérieur et que, comme il va à 2 000 km/h, il peut être très chiant pour son défenseur qui ne saura plus s'il va déborder ou rentrer, explique Eric Garcin. C'est quelqu'un qui peut créer beaucoup d'incertitudes et, chez un défenseur, l'incertitude, c'est synonyme de danger. »
En plus de varier les appels de balle, Stephen Vincent permute donc également beaucoup avec Mendy et Zerdab, ses compères du milieu. Droitier naturel mais à l'aise avec son pied gauche, l'ancien joueur de Gueugnon et de l'AS Cannes en profite pour se balader sur toute la largeur du terrain. « C'est un plus, c'est sûr mais je reste encore très perfectible au niveau du pied gauche, sourit-il. Après, c'est certain que ça nous permet de pas mal échanger nos positions avec Zahir (Zerdab) et JP (Mendy). Le but est de créer du mouvement et des décalages. Offensivement, le coach nous laisse assez libre tant que, défensivement, on respecte les consignes. » Charge ensuite à eux de « créer » et de faire décoller le FCR. Ce que fait très bien Stephen Vincent depuis deux matches. A l'image d'une célèbre boisson énergisante, c'est lui qui, en ce moment, donne des ailes aux Diables rouges…
Matthias Rogier
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Vincent leur donne des ailes
National Décisif lors des deux derniers matches, Stephen Vincent a porté le FC Rouen vers le succès grâce à sa vitesse et à l'intelligence de ses appels. Portrait.
La vitesse vous manque ? Faites appel à Stephen Vincent. Le « petit TGV » porte bien le surnom donné par ses partenaires de jeu lors de ses jeunes années sur les pelouses de la région parisienne. Il va vite, très vite, trop vite même souvent pour son adversaire. Les défenseurs de Nîmes et de Martigues peuvent en témoigner. Le natif de Neuilly-sur-Marne leur a fait mal, très mal. Directement impliqué sur trois des quatre dernières réalisations du FC Rouen, l'ailier gauche, arrivé cet été du Paris FC, a permis aux Diables rouges de décoller et de s'installer sur le podium dès la 4e journée de championnat et après trois victoires de rang. A l'image de son milieu offensif gauche, le FCR est passé sur très haut débit après une première sortie un peu plus terne face à Besançon (0-0).
« Je n'étais pas satisfait de moi, avoue sans détours Stephen Vincent. L'équipe n'avait pas donné son meilleur ce soir-là mais moi non plus. Je savais que je pouvais mieux faire. » Remplaçant contre le Red Star (2-1) lors de la deuxième journée, le Francilien a profité de la blessure d'Anthony Moura-Komenan pour faire son retour dans le onze de départ dès la journée suivante à Nîmes (1-2). Un retour gagnant et, surtout, convaincant. A l'origine de l'égalisation de Mendy grâce à une frappe puissante que le gardien gardois n'a pu que repousser dans les pieds de son compère du milieu puis buteur décisif après un enchaînement contrôle en pleine course-frappe magnifique, Stephen Vincent avait éclaboussé la rencontre de tout son talent. Le résultat d'une très bonne semaine d'entraînement mais aussi d'une discussion productive avec Eric Garcin, son entraîneur.
« Créer l'incertitude »
« Après Besançon, le coach m'avait demandé de jouer un peu plus en profondeur, détaille celui passé par le centre de formation de l'AS Saint-Etienne. Il souhaitait également que je travaille plus mes appels. » Qu'il les varie surtout, n'hésitant pas à les faire vers l'intérieur. « Il avait tendance à trop fermer alors qu'il fait de très bons appels vers l'intérieur et que, comme il va à 2 000 km/h, il peut être très chiant pour son défenseur qui ne saura plus s'il va déborder ou rentrer, explique Eric Garcin. C'est quelqu'un qui peut créer beaucoup d'incertitudes et, chez un défenseur, l'incertitude, c'est synonyme de danger. »
En plus de varier les appels de balle, Stephen Vincent permute donc également beaucoup avec Mendy et Zerdab, ses compères du milieu. Droitier naturel mais à l'aise avec son pied gauche, l'ancien joueur de Gueugnon et de l'AS Cannes en profite pour se balader sur toute la largeur du terrain. « C'est un plus, c'est sûr mais je reste encore très perfectible au niveau du pied gauche, sourit-il. Après, c'est certain que ça nous permet de pas mal échanger nos positions avec Zahir (Zerdab) et JP (Mendy). Le but est de créer du mouvement et des décalages. Offensivement, le coach nous laisse assez libre tant que, défensivement, on respecte les consignes. » Charge ensuite à eux de « créer » et de faire décoller le FCR. Ce que fait très bien Stephen Vincent depuis deux matches. A l'image d'une célèbre boisson énergisante, c'est lui qui, en ce moment, donne des ailes aux Diables rouges…
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"Celui qui se perd dans sa passion est moins perdu que celui qui perd sa passion" (Saint-Augustin)
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Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
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En phase de reprise depuis son arrivée au Toulouse FC mi-juillet, Emmanuel Rivière (cheville) va mieux. L'attaquant de 21 ans a participé, ce mardi, à sa première séance collective avec les Violets.
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