[Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Moderators: Barre transversale, Poteau gauche, Poteau droit, Ligne de but
Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Lu hier sur Portugolo.com
Helder Postiga, un parcours du combattant
Helder Postiga, attaquant du Sporting CP et de la sélection nationale, a une carrière tumultueuse. Avec des hauts et des bas, ce joueur a su toujours se relever après de mauvaises performances et effectue actuellement une saison intéressante tant en club qu'en sélection. Retour sur un parcours difficile.
Un temps, un jeune espoir
De son vrai nom Helder Manuel Marques Postiga, ce joueur a débuté sa carrière professionnelle au sein du FC Porto. Déniché par l'actuel meilleur entraîneur au monde, José Mourinho n'a pas hésité à faire de ce jeune joueur un élément essentiel de son effectif. Sa première saison est intéressante. Auteur de 7 buts en 27 matchs, il faut avant tout souligner sa place de titulaire. Très rapidement, on remarque que ce joueur ne sera pas un des plus grands buteurs de l'histoire du football portugais, mais son agilité et sa vivacité en font un attaquant essentiel à toute équipe. Pour sa seconde saison, il remporte le titre de champion du Portugal avec le FC Porto de Mourinho. Avec 13 buts en 31 matchs, il est un grand partisan de ce titre. Pour couronner cette saison, il est alors sélectionné pour l'équipe nationale du Portugal pour la rencontre l'opposant à l'Italie. Le 12 février 2003, il découvre les joies de la sélection.
Le départ prématuré
Fort de ses deux bonnes saisons, Helder Postiga décide malheureusement trop vite de s'aventurer en championnat étranger. Erreur préjudiciable que bon nombre de joueur portugais ont déjà commis, le cas par exemple de Simão Sabrosa, ou encore Quaresma parti trop tôt au FC Barcelone et vite rapatrié. Il décide donc d'intégrer l'effectif du Tottenham. Double mauvais choix : il ne fait pas partie de l'effectif du FC Porto qui remporte la Ligue des Champions en 2004; il ne convainc pas le championnat anglais. Avec 2 buts en 23 matchs, sa prestation est jugée inefficace et la porte de sortie lui est alors grande ouverte. Il retourne donc auprès de son club formateur, le FC Porto. Il effectue alors une saison et demie, mais une mésentente avec le coach Co Adriaanse, entraineur du FC Porto en 2005 le met à l'écart de l'effectif. Nouveau mauvais choix, changer de championnat une nouvelle fois, la Ligue 1. Sous les couleurs de Saint Etienne, Helder Postiga appréciera sa découverte de la Ligue 1 essentiellement sur le banc de touche. Avec 16 matchs et uniquement 2 buts, son passage chez les Verts ne restera pas dans les annales.
Un nouveau départ au Sporting
Après sa saison en Ligue 1, Saint Etienne ne lève pas l'option d'achat suite à l'emprunt. Il réintègre alors le groupe du FC Porto pour la saison 2006-2007. Il effectue une bonne saison, quasiment une des meilleures de sa carrière. 24 matchs en championnat avec un compteur but élevé à 10, 7 matchs en Ligue des Champions et un but inscrit, le bilan de cette saison était plutôt positif. Sous les ordres de Jesualdo Ferreira, l'étincelant Postiga fait son retour. Mais après un début de saison 2007-2008 mitigé, il part à nouveau à l'étranger pour espérer obtenir plus de temps de jeu et intégrer la sélection nationale pour l'Euro 2008. Au Panathinaikos, il passe aussi inaperçu qu'à Saint Etienne. A son retour, le Sporting CP est déterminé à relancer la carrière du joueur et lui accorder une véritable confiance. Il ne vient pas pour faire la doublette de Liedson mais bien pour l'épauler. Sa capacité à jouer au poste de 9.5 lui confère un statut de titulaire assez rapidement au Sporting. Pour sa première saison, il participe à 21 rencontres en championnat et inscrit seulement 5 buts. Il conserve néanmoins la confiance de Paulo Bento. Ses prestations ont du mal à convaincre le public sportinguista. Sa seconde saison à Alvalade n'évolue pas. Même bilan, il affiche beaucoup d'irrégularités qui l'empêche d'être une référence au sein de l'attaque du Sporting CP. Cette saison, Helder Postiga apparaît sous un tout autre visage. Avec 2 buts et 2 passes décisives en 11 matchs, son début de saison est satisfaisant. En Europa League, il inscrit 3 buts en 5 matchs. Rapide, efficace, disponible pour ses coéquipiers, ses prestations lui permettent de retrouver les couleurs de la sélection nationale.
Un va et vient en sélection
En 2003, Helder Postiga découvre donc la sélection nationale, mais sa véritable expérience a été l'Euro 2004 au Portugal. Evènement inoubliable pour le public portugais, Helder Postiga a joué un rôle important dans l'accès à la finale de l'Euro. Qui ne se souvient pas de son entrée en jeu à la 74ème minute de jeu contre l'Angleterre ? Un vif rappel des faits. Quart de finale, l'Angleterre menait au score contre l'équipe hôte de la compétition, le Portugal. Helder Postiga est alors appelé par Luiz Felipe Scolari pour entrer à la place de Luis Figo. Il lui aura fallu 9 minutes de jeu pour égaliser et redonner espoir à tout une nation ! Après de belles prolongations, les deux équipes se départagent aux tirs aux buts avec un Ricardo en grand sauveur. Helder Postiga a également laissé son emprunte. Il est appelé pour tirer le 6ème pénalty. A 22 ans, ce jeune joueur se permet de marquer par une superbe Panenka contre James, le portier anglais. Audace, courage, culot et classe, si ce geste n'avait pas été réussi, l'Angleterre parvenait alors à remporter le match. Auteur de 14 buts en 37 matchs, Helder Postiga est clairement un joueur de sélection. Ses apparitions sous le maillot national ont souvent été décisives. Véritable chouchou de Scolari, il a participé à l'Euro 2004, à la Coupe du Monde 2006 ainsi qu'à l'Euro 2008. Carlos Queiroz l'a très vite écarté et oublié au profit d'un autre profil, celui de Danny. Bon ou mauvais choix, discutable, mais Danny effectuait de belles performances en club, ce qui n'était pas le cas de Postiga. La venue de Paulo Bento à la tête de la sélection lui permet de retrouver ses coéquipiers. Depuis son retour, il enchaîne les bonnes prestations et inscrit même un doublé contre l'actuel Champion du Monde et d'Europe, l'Espagne.
Joueur talentueux, parcours difficile, il faut espérer que cette saison soit décisive pour lui. Son défaut a souvent été ses choix de carrière, son mental fragile, mais ses performances actuelles laissent penser que les irrégularités sont du passé et qu'un Helder Postiga déterminant est de nouveau parmi l'élite du football portugais.
http://portugolo.free.fr" onclick="window.open(this.href);return false;
Helder Postiga, un parcours du combattant
Helder Postiga, attaquant du Sporting CP et de la sélection nationale, a une carrière tumultueuse. Avec des hauts et des bas, ce joueur a su toujours se relever après de mauvaises performances et effectue actuellement une saison intéressante tant en club qu'en sélection. Retour sur un parcours difficile.
Un temps, un jeune espoir
De son vrai nom Helder Manuel Marques Postiga, ce joueur a débuté sa carrière professionnelle au sein du FC Porto. Déniché par l'actuel meilleur entraîneur au monde, José Mourinho n'a pas hésité à faire de ce jeune joueur un élément essentiel de son effectif. Sa première saison est intéressante. Auteur de 7 buts en 27 matchs, il faut avant tout souligner sa place de titulaire. Très rapidement, on remarque que ce joueur ne sera pas un des plus grands buteurs de l'histoire du football portugais, mais son agilité et sa vivacité en font un attaquant essentiel à toute équipe. Pour sa seconde saison, il remporte le titre de champion du Portugal avec le FC Porto de Mourinho. Avec 13 buts en 31 matchs, il est un grand partisan de ce titre. Pour couronner cette saison, il est alors sélectionné pour l'équipe nationale du Portugal pour la rencontre l'opposant à l'Italie. Le 12 février 2003, il découvre les joies de la sélection.
Le départ prématuré
Fort de ses deux bonnes saisons, Helder Postiga décide malheureusement trop vite de s'aventurer en championnat étranger. Erreur préjudiciable que bon nombre de joueur portugais ont déjà commis, le cas par exemple de Simão Sabrosa, ou encore Quaresma parti trop tôt au FC Barcelone et vite rapatrié. Il décide donc d'intégrer l'effectif du Tottenham. Double mauvais choix : il ne fait pas partie de l'effectif du FC Porto qui remporte la Ligue des Champions en 2004; il ne convainc pas le championnat anglais. Avec 2 buts en 23 matchs, sa prestation est jugée inefficace et la porte de sortie lui est alors grande ouverte. Il retourne donc auprès de son club formateur, le FC Porto. Il effectue alors une saison et demie, mais une mésentente avec le coach Co Adriaanse, entraineur du FC Porto en 2005 le met à l'écart de l'effectif. Nouveau mauvais choix, changer de championnat une nouvelle fois, la Ligue 1. Sous les couleurs de Saint Etienne, Helder Postiga appréciera sa découverte de la Ligue 1 essentiellement sur le banc de touche. Avec 16 matchs et uniquement 2 buts, son passage chez les Verts ne restera pas dans les annales.
Un nouveau départ au Sporting
Après sa saison en Ligue 1, Saint Etienne ne lève pas l'option d'achat suite à l'emprunt. Il réintègre alors le groupe du FC Porto pour la saison 2006-2007. Il effectue une bonne saison, quasiment une des meilleures de sa carrière. 24 matchs en championnat avec un compteur but élevé à 10, 7 matchs en Ligue des Champions et un but inscrit, le bilan de cette saison était plutôt positif. Sous les ordres de Jesualdo Ferreira, l'étincelant Postiga fait son retour. Mais après un début de saison 2007-2008 mitigé, il part à nouveau à l'étranger pour espérer obtenir plus de temps de jeu et intégrer la sélection nationale pour l'Euro 2008. Au Panathinaikos, il passe aussi inaperçu qu'à Saint Etienne. A son retour, le Sporting CP est déterminé à relancer la carrière du joueur et lui accorder une véritable confiance. Il ne vient pas pour faire la doublette de Liedson mais bien pour l'épauler. Sa capacité à jouer au poste de 9.5 lui confère un statut de titulaire assez rapidement au Sporting. Pour sa première saison, il participe à 21 rencontres en championnat et inscrit seulement 5 buts. Il conserve néanmoins la confiance de Paulo Bento. Ses prestations ont du mal à convaincre le public sportinguista. Sa seconde saison à Alvalade n'évolue pas. Même bilan, il affiche beaucoup d'irrégularités qui l'empêche d'être une référence au sein de l'attaque du Sporting CP. Cette saison, Helder Postiga apparaît sous un tout autre visage. Avec 2 buts et 2 passes décisives en 11 matchs, son début de saison est satisfaisant. En Europa League, il inscrit 3 buts en 5 matchs. Rapide, efficace, disponible pour ses coéquipiers, ses prestations lui permettent de retrouver les couleurs de la sélection nationale.
Un va et vient en sélection
En 2003, Helder Postiga découvre donc la sélection nationale, mais sa véritable expérience a été l'Euro 2004 au Portugal. Evènement inoubliable pour le public portugais, Helder Postiga a joué un rôle important dans l'accès à la finale de l'Euro. Qui ne se souvient pas de son entrée en jeu à la 74ème minute de jeu contre l'Angleterre ? Un vif rappel des faits. Quart de finale, l'Angleterre menait au score contre l'équipe hôte de la compétition, le Portugal. Helder Postiga est alors appelé par Luiz Felipe Scolari pour entrer à la place de Luis Figo. Il lui aura fallu 9 minutes de jeu pour égaliser et redonner espoir à tout une nation ! Après de belles prolongations, les deux équipes se départagent aux tirs aux buts avec un Ricardo en grand sauveur. Helder Postiga a également laissé son emprunte. Il est appelé pour tirer le 6ème pénalty. A 22 ans, ce jeune joueur se permet de marquer par une superbe Panenka contre James, le portier anglais. Audace, courage, culot et classe, si ce geste n'avait pas été réussi, l'Angleterre parvenait alors à remporter le match. Auteur de 14 buts en 37 matchs, Helder Postiga est clairement un joueur de sélection. Ses apparitions sous le maillot national ont souvent été décisives. Véritable chouchou de Scolari, il a participé à l'Euro 2004, à la Coupe du Monde 2006 ainsi qu'à l'Euro 2008. Carlos Queiroz l'a très vite écarté et oublié au profit d'un autre profil, celui de Danny. Bon ou mauvais choix, discutable, mais Danny effectuait de belles performances en club, ce qui n'était pas le cas de Postiga. La venue de Paulo Bento à la tête de la sélection lui permet de retrouver ses coéquipiers. Depuis son retour, il enchaîne les bonnes prestations et inscrit même un doublé contre l'actuel Champion du Monde et d'Europe, l'Espagne.
Joueur talentueux, parcours difficile, il faut espérer que cette saison soit décisive pour lui. Son défaut a souvent été ses choix de carrière, son mental fragile, mais ses performances actuelles laissent penser que les irrégularités sont du passé et qu'un Helder Postiga déterminant est de nouveau parmi l'élite du football portugais.
http://portugolo.free.fr" onclick="window.open(this.href);return false;
"Celui qui se perd dans sa passion est moins perdu que celui qui perd sa passion" (Saint-Augustin)
"Allez les Verts !" (Saint-Etienne)
"Allez les Verts !" (Saint-Etienne)
Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Merci pour l'article José. Postiga a retenu les leçons du passé,en fin de contrat, il devrait prolonger jusqu'en 2014 avec le Sporting.
Sinon, Zokora vient de se prendre 30 000 euros d'amende pour avoir déserté son hôtel en pleine nuit avant le match (perdu 5-0) contre le Barça. Sa petite virée avec Romaric a été filmée par les cameras de surveillance.
http://www.marca.com/2010/12/08/futbol/ ... 97655.html
Sinon, Zokora vient de se prendre 30 000 euros d'amende pour avoir déserté son hôtel en pleine nuit avant le match (perdu 5-0) contre le Barça. Sa petite virée avec Romaric a été filmée par les cameras de surveillance.
http://www.marca.com/2010/12/08/futbol/ ... 97655.html
2005 -->2020
-
- Posts: 7040
- Joined: 24 Jun 2008, 10:01
- Location: On the road
Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Petit quote trouvé sur footmercato.net qui m'a bien fait rirePape Diakhaté a enchaîné les erreurs individuelles. Comme s’il avait voulu être la vedette du DVD « les gestes à éviter pour un défenseur central » visionné dans les centres de formation. Relances imprécises ou carrément ratées, mauvais alignement, sautes de concentration, agressivité mal maîtrisée, il pouvait difficilement faire pire.
"Ils ne savaient pas que c'était impossible, alors ils l'ont fait."
Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Lu dans So Foot.
De retour en Argentine après une saison en demi-teinte à Saint-Etienne, Augusto Fernandez a éprouvé quelques difficultés pour s'adapter à son nouveau club, Velez Sarsfield. Bizuté par ses coéquipiers à cause de "son look d'homosexuel" selon ses propres dires, Augusto a dû encaisser pas mal de blagues lourdes avant d'être enfin accepté au sein se son nouveau vestiaire " Une fois, je me suis ramené avec une chemise à carreaux à l'entraînement. En revenant au vestiaire, ces cons avaient dréssé une table au milieu de la salle avec ma chemise en guise de nappe. Dessus, il y avait du maté, des Thermos, des bouteilles d'eau... Mais bon, je ne vais pas changer mon look pour adopter le leur. Je n'aime pas les tee-shirts et les grosses baskets blanches"
De retour en Argentine après une saison en demi-teinte à Saint-Etienne, Augusto Fernandez a éprouvé quelques difficultés pour s'adapter à son nouveau club, Velez Sarsfield. Bizuté par ses coéquipiers à cause de "son look d'homosexuel" selon ses propres dires, Augusto a dû encaisser pas mal de blagues lourdes avant d'être enfin accepté au sein se son nouveau vestiaire " Une fois, je me suis ramené avec une chemise à carreaux à l'entraînement. En revenant au vestiaire, ces cons avaient dréssé une table au milieu de la salle avec ma chemise en guise de nappe. Dessus, il y avait du maté, des Thermos, des bouteilles d'eau... Mais bon, je ne vais pas changer mon look pour adopter le leur. Je n'aime pas les tee-shirts et les grosses baskets blanches"
2005 -->2020
-
- Posts: 11164
- Joined: 28 Jul 2005, 09:08
- Location: Chardonnay - Pinot Noir, ça cause non ?
Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
D'ailleurs on reconnait très bien Augusto en baskets blanches et T-shirt.thomas99 wrote:Lu dans So Foot.
De retour en Argentine après une saison en demi-teinte à Saint-Etienne, Augusto Fernandez a éprouvé quelques difficultés pour s'adapter à son nouveau club, Velez Sarsfield. Bizuté par ses coéquipiers à cause de "son look d'homosexuel" selon ses propres dires, Augusto a dû encaisser pas mal de blagues lourdes avant d'être enfin accepté au sein se son nouveau vestiaire " Une fois, je me suis ramené avec une chemise à carreaux à l'entraînement. En revenant au vestiaire, ces cons avaient dréssé une table au milieu de la salle avec ma chemise en guise de nappe. Dessus, il y avait du maté, des Thermos, des bouteilles d'eau... Mais bon, je ne vais pas changer mon look pour adopter le leur. Je n'aime pas les tee-shirts et les grosses baskets blanches"
PHALLIC MASTRE
FORT et VERT
Fier d'être un bâtard né dans la Capitale des Taudis.
FORT et VERT
Fier d'être un bâtard né dans la Capitale des Taudis.
-
- Posts: 33932
- Joined: 28 Jul 2005, 10:49
- Location: En bordure de forêt de Fontainebleau
Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
http://www.cahiersdufootball.net/article.php?id=3890" onclick="window.open(this.href);return false;
Julien Sablé (Nice)
Longtemps, on a cru que Julien Sablé serait l'homme d'un seul club. Formé à l'AS Saint-Étienne, avec qui il gagne la Coupe Gambardella en 1998, il débute en L2 la même année et devient un régulier de l'équipe première à dix-huit ans.
En 1999, les Verts retrouvent la L1, Sablé découvre l'élite dans la peau d'un titulaire. Pour deux saisons seulement. En 2001, l'affaire des faux-passeports renvoie le club à l'étage inférieur. Sablé est alors un cadre de l'équipe de France Espoirs de Domenech. Plusieurs clubs de D1 se renseignenent, le joueur choisit de rester à Sainté: "A l’ASSE on comptait sur moi et on tenait à ce que je continue de m’investir pleinement au sein du groupe. Je ne regrette absolument pas d’être resté".
Il compte aussi sur une remontée rapide, mais les Verts restent trois ans en D2: "A l’époque où le club végétait en bas de classement de Ligue 2, j’ai été sollicité par l’OM et j’ai une proposition du LOSC. Mais l’entraîneur (Frédéric Antonetti) a mis son véto, il m’a barré. Sur le moment j’ai trouvé ça un peu douloureux mais après coup j’ai compris que c’était pour mon bien".
"J'ai été faible"
En 2004, Sablé vit sa seconde remontée à Geoffroy-Guichard, il s'installe alors durablement en L1 et goûte à l'Europe, en 2005. Sainté revit mais la saison suivante sera un crève-coeur pour lui comme pour les supporters. Sur le terrain, il est moins bon, dans les coulisses, ses relations se tendent avec le staff et les dirigeants.
Avec le recul, il reconnaissait dans un article de L'Équipe, au début de cette saison, avoir "agi comme un gamin". "À la fin, à Sainté, j'en étais arrivé à me plaindre de choses dérisoires, comme lorsque le président me disait bonjour en ne me regardant pas dans les yeux. Ou alors quand je voyais qu'on recrutait à mon poste. C'était la sensation d'être unique, il ne fallait pas me mettre de la concurrence, j'étais devenu un peu présomptueux".
La rupture est consommée à l'été 2007. Sablé rejoint Lens, après avoir été proche de Marseille, sa ville natale. Dans le Nord, l'adaptation est douloureuse: "J'ai un peu délaissé l'amour du foot. J'ai doublé mon salaire à Lens. Je n'étais pas assez mûr et fort pour conjuguer mon nouveau statut avec la performance. J'aurais voulu être un Didier Deschamps mais je n'en avais pas la capacité ni le vécu. J'ai vu mes limites. Et quand tu t'endors, que tu te reposes sur tes lauriers, que tu t'écartes du terrain, il ne te rate pas. J'ai été faible".
Antonetti, alors à Nice, lui tend la main et lui propose de le rejoindre. D'abord sur le banc, il revient peu à peu à un niveau convenable, gagne sa place dans l'effectif niçois et retrouve même le brassard de capitaine au début de cette saison, après la retraite d'Olivier Echouafni. Un rôle qui a longtemps été le sien à Saint-Étienne et qu'il évoquait ainsi sur le site de l'OGCN: "C'est une fierté, mais aussi une responsabilité. Il faut être le liant dans le vestiaire, trouver des mots qui accrochent avant chaque match. J'aime mon équipe et chaque joueur peut compter sur moi sur le terrain comme en dehors. Être capitaine, c'est avant tout le choix d'un coach. Après, il faut réussir à devenir capitaine d'une équipe, à susciter l'adhésion du groupe. Le foot, c'est aussi une histoire de confiance entre joueurs".
Force
Son regard clair comme de l'eau fraîche.
Faiblesse
Il n'y a pas assez de filles dans l'électorat des Cahiers.
Le slogan de campagne
"Assez de truffes, préférez le Sablé de Noël".
Julien Sablé (Nice)
Longtemps, on a cru que Julien Sablé serait l'homme d'un seul club. Formé à l'AS Saint-Étienne, avec qui il gagne la Coupe Gambardella en 1998, il débute en L2 la même année et devient un régulier de l'équipe première à dix-huit ans.
En 1999, les Verts retrouvent la L1, Sablé découvre l'élite dans la peau d'un titulaire. Pour deux saisons seulement. En 2001, l'affaire des faux-passeports renvoie le club à l'étage inférieur. Sablé est alors un cadre de l'équipe de France Espoirs de Domenech. Plusieurs clubs de D1 se renseignenent, le joueur choisit de rester à Sainté: "A l’ASSE on comptait sur moi et on tenait à ce que je continue de m’investir pleinement au sein du groupe. Je ne regrette absolument pas d’être resté".
Il compte aussi sur une remontée rapide, mais les Verts restent trois ans en D2: "A l’époque où le club végétait en bas de classement de Ligue 2, j’ai été sollicité par l’OM et j’ai une proposition du LOSC. Mais l’entraîneur (Frédéric Antonetti) a mis son véto, il m’a barré. Sur le moment j’ai trouvé ça un peu douloureux mais après coup j’ai compris que c’était pour mon bien".
"J'ai été faible"
En 2004, Sablé vit sa seconde remontée à Geoffroy-Guichard, il s'installe alors durablement en L1 et goûte à l'Europe, en 2005. Sainté revit mais la saison suivante sera un crève-coeur pour lui comme pour les supporters. Sur le terrain, il est moins bon, dans les coulisses, ses relations se tendent avec le staff et les dirigeants.
Avec le recul, il reconnaissait dans un article de L'Équipe, au début de cette saison, avoir "agi comme un gamin". "À la fin, à Sainté, j'en étais arrivé à me plaindre de choses dérisoires, comme lorsque le président me disait bonjour en ne me regardant pas dans les yeux. Ou alors quand je voyais qu'on recrutait à mon poste. C'était la sensation d'être unique, il ne fallait pas me mettre de la concurrence, j'étais devenu un peu présomptueux".
La rupture est consommée à l'été 2007. Sablé rejoint Lens, après avoir été proche de Marseille, sa ville natale. Dans le Nord, l'adaptation est douloureuse: "J'ai un peu délaissé l'amour du foot. J'ai doublé mon salaire à Lens. Je n'étais pas assez mûr et fort pour conjuguer mon nouveau statut avec la performance. J'aurais voulu être un Didier Deschamps mais je n'en avais pas la capacité ni le vécu. J'ai vu mes limites. Et quand tu t'endors, que tu te reposes sur tes lauriers, que tu t'écartes du terrain, il ne te rate pas. J'ai été faible".
Antonetti, alors à Nice, lui tend la main et lui propose de le rejoindre. D'abord sur le banc, il revient peu à peu à un niveau convenable, gagne sa place dans l'effectif niçois et retrouve même le brassard de capitaine au début de cette saison, après la retraite d'Olivier Echouafni. Un rôle qui a longtemps été le sien à Saint-Étienne et qu'il évoquait ainsi sur le site de l'OGCN: "C'est une fierté, mais aussi une responsabilité. Il faut être le liant dans le vestiaire, trouver des mots qui accrochent avant chaque match. J'aime mon équipe et chaque joueur peut compter sur moi sur le terrain comme en dehors. Être capitaine, c'est avant tout le choix d'un coach. Après, il faut réussir à devenir capitaine d'une équipe, à susciter l'adhésion du groupe. Le foot, c'est aussi une histoire de confiance entre joueurs".
Force
Son regard clair comme de l'eau fraîche.
Faiblesse
Il n'y a pas assez de filles dans l'électorat des Cahiers.
Le slogan de campagne
"Assez de truffes, préférez le Sablé de Noël".
Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
http://www.express.co.uk/posts/view/216 ... the-Bhoys/
Saturday December 11,2010
CELTIC have offered Guinea international winger Pascal Feindouno a two-year contract.
The 29-year-old had on been trial with the Hoops and has done enough to convince Neil Lennon he is worth a long-term deal.
Feindouno’s representatives are currently in talks with Parkhead chief executive Peter Lawwell, but the two sides are still some way apart.
Celtic have offered a basic package of around £10,000-a-week but the player is looking for double that – the same package he was on in Qatar with Al-Sadd.
Feindouno attracted interest from English Premier League sides Everton, Blackburn and Bolton in the last transfer window and could return there unless Celtic up the ante.
Former Rangers target Feindouno made his name in France with Bordeaux and Saint Etienne, while he also had a loan spell at Lorient.
Saturday December 11,2010
CELTIC have offered Guinea international winger Pascal Feindouno a two-year contract.
The 29-year-old had on been trial with the Hoops and has done enough to convince Neil Lennon he is worth a long-term deal.
Feindouno’s representatives are currently in talks with Parkhead chief executive Peter Lawwell, but the two sides are still some way apart.
Celtic have offered a basic package of around £10,000-a-week but the player is looking for double that – the same package he was on in Qatar with Al-Sadd.
Feindouno attracted interest from English Premier League sides Everton, Blackburn and Bolton in the last transfer window and could return there unless Celtic up the ante.
Former Rangers target Feindouno made his name in France with Bordeaux and Saint Etienne, while he also had a loan spell at Lorient.
2005 -->2020
Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Encore un but pour Mirallas aujourd'hui. Victoire de l'Oympiakos 2-0 contre Atromitos
http://www.youtube.com/watch?v=F99vGUy5Qqg[/video]
http://www.youtube.com/watch?v=F99vGUy5Qqg[/video]
2005 -->2020
Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Les 2 buts de Nacho Piatti avec Lecce, victoire contre Chievo 3-2
http://www.ole.com.ar/futbol-internacio ... 61219.html
http://www.ole.com.ar/futbol-internacio ... 61219.html
2005 -->2020
Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Wallemme-Santini, le début de la fin ?
Le bi-hebdomadaire France-Football évoque aujourd’hui, un nouvel épisode peu glorieux de la vie du RC Lens si celui-ci venait à être confirmé. En effet, d’après des échos venus de plusieurs entraîneurs de Ligue 1, Jean-Guy Wallemme et son adjoint Jacques Santini ne s’adresseraient plus le bonjour. Si tel est vraiment le cas, on imagine mal comment le Racing va pouvoir s’en sortir, si entre-eux les décideurs n’arrivent déjà pas à s’accorder…
http://www.lensois.com" onclick="window.open(this.href);return false;
Le bi-hebdomadaire France-Football évoque aujourd’hui, un nouvel épisode peu glorieux de la vie du RC Lens si celui-ci venait à être confirmé. En effet, d’après des échos venus de plusieurs entraîneurs de Ligue 1, Jean-Guy Wallemme et son adjoint Jacques Santini ne s’adresseraient plus le bonjour. Si tel est vraiment le cas, on imagine mal comment le Racing va pouvoir s’en sortir, si entre-eux les décideurs n’arrivent déjà pas à s’accorder…
http://www.lensois.com" onclick="window.open(this.href);return false;
"Celui qui se perd dans sa passion est moins perdu que celui qui perd sa passion" (Saint-Augustin)
"Allez les Verts !" (Saint-Etienne)
"Allez les Verts !" (Saint-Etienne)
Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Ça étonne vraiment quelqu'un?José wrote:Wallemme-Santini, le début de la fin ?
Le bi-hebdomadaire France-Football évoque aujourd’hui, un nouvel épisode peu glorieux de la vie du RC Lens si celui-ci venait à être confirmé. En effet, d’après des échos venus de plusieurs entraîneurs de Ligue 1, Jean-Guy Wallemme et son adjoint Jacques Santini ne s’adresseraient plus le bonjour. Si tel est vraiment le cas, on imagine mal comment le Racing va pouvoir s’en sortir, si entre-eux les décideurs n’arrivent déjà pas à s’accorder…
http://www.lensois.com" onclick="window.open(this.href);return false;
"Les succès ne justifient pas la philosophie de l’équipe... Le hasard joue un rôle immense. L'important ce ne sont pas les résultats mais le procédé et c'est sur ce procédé qu'il faut juger le travail d'un entraineur" Juanma Lillo
Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
A t'on échappé à ce scénario chez nous ?Sorbiers wrote:Ça étonne vraiment quelqu'un?José wrote:Wallemme-Santini, le début de la fin ?
Le bi-hebdomadaire France-Football évoque aujourd’hui, un nouvel épisode peu glorieux de la vie du RC Lens si celui-ci venait à être confirmé. En effet, d’après des échos venus de plusieurs entraîneurs de Ligue 1, Jean-Guy Wallemme et son adjoint Jacques Santini ne s’adresseraient plus le bonjour. Si tel est vraiment le cas, on imagine mal comment le Racing va pouvoir s’en sortir, si entre-eux les décideurs n’arrivent déjà pas à s’accorder…
http://www.lensois.com" onclick="window.open(this.href);return false;
Dans tous les stades on chantera, le chant des Stéphanois
Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Feindouno a refusé le Celtic
http://www.dailyrecord.co.uk/football/s ... -22800478/
Pascal Feindouno turns down deal at Celtic but reject Morten Rasmussen set to return
Dec 22 2010 By Craig Swan
PASCAL FEINDOUNO last night revealed he has turned down a contract at Celtic - as Danish outcast Morten Rasmussen gets set to land back on the doorstep at Parkhead.
The Guinean attacker had been training with Neil Lennon's side after he was released by Qatar club Al-Sadd last month.
But Feindouno claims he has been unable to agree terms on a move to Glasgow and returned to Qatar to await further offers in the transfer window.
He said: "I enjoyed training at Celtic, they are a great club with some good players, but I couldn't accept their offer at this point.
"I'm back in Qatar training and hoping to get something in a top league in Europe soon."
The 29-year-old former St Etienne attacker joined Al-Sadd for £6.5million in 2008 after he had been linked with Premier League giants Liverpool but won't be joining Celtic.
In an additional headache, Lennon will have Rasmussen back in the fold next month with German outfit Mainz ready to end his loan.
Bruchwegstadion boss Thomas Tuchel is considering the striker's future during the Bundesliga's winter break and could end the stay of the Dane in order to reduce the size of his squad.
Tuchel has guided Mainz to second place at the midway point of the campaign but is aware some members of his squad are not part of his plans.
He said: "If your squad has 28 players you can't satisfy them all. One of these players might be Morten."
http://www.dailyrecord.co.uk/football/s ... -22800478/
Pascal Feindouno turns down deal at Celtic but reject Morten Rasmussen set to return
Dec 22 2010 By Craig Swan
PASCAL FEINDOUNO last night revealed he has turned down a contract at Celtic - as Danish outcast Morten Rasmussen gets set to land back on the doorstep at Parkhead.
The Guinean attacker had been training with Neil Lennon's side after he was released by Qatar club Al-Sadd last month.
But Feindouno claims he has been unable to agree terms on a move to Glasgow and returned to Qatar to await further offers in the transfer window.
He said: "I enjoyed training at Celtic, they are a great club with some good players, but I couldn't accept their offer at this point.
"I'm back in Qatar training and hoping to get something in a top league in Europe soon."
The 29-year-old former St Etienne attacker joined Al-Sadd for £6.5million in 2008 after he had been linked with Premier League giants Liverpool but won't be joining Celtic.
In an additional headache, Lennon will have Rasmussen back in the fold next month with German outfit Mainz ready to end his loan.
Bruchwegstadion boss Thomas Tuchel is considering the striker's future during the Bundesliga's winter break and could end the stay of the Dane in order to reduce the size of his squad.
Tuchel has guided Mainz to second place at the midway point of the campaign but is aware some members of his squad are not part of his plans.
He said: "If your squad has 28 players you can't satisfy them all. One of these players might be Morten."
2005 -->2020
Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Il en devient pathétique le féfé ....
-
- Posts: 33932
- Joined: 28 Jul 2005, 10:49
- Location: En bordure de forêt de Fontainebleau
Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
http://www.sofoot.com/video-la-passe-pu ... -news.html" onclick="window.open(this.href);return false;
Video : La passe putain !
N’est pas Zlatan Ibrahimovic qui veut. L’Argentin de Lecce, Ignacio Piatti, n’a rien compris au sens originel de Noël. Les notions de partage, de communion, d’élégance… D’où cette addition égoïste de dribbles approximatifs, pour terminer les pieds dans le gardien et la gueule dans la pelouse.
Piatti se ridiculise cinq minutes avant l’ouverture du score de Naples à la 83ème minute, suffisante pour gagner le match.
Video : La passe putain !
N’est pas Zlatan Ibrahimovic qui veut. L’Argentin de Lecce, Ignacio Piatti, n’a rien compris au sens originel de Noël. Les notions de partage, de communion, d’élégance… D’où cette addition égoïste de dribbles approximatifs, pour terminer les pieds dans le gardien et la gueule dans la pelouse.
Piatti se ridiculise cinq minutes avant l’ouverture du score de Naples à la 83ème minute, suffisante pour gagner le match.
Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
http://www.francefootball.fr/FF/breves2 ... glais.html
Arrivé à Arsenal l'été dernier en provenance de Séville, Sébastien Squillaci a été épinglé par les supporters anglais lors d'un vote massif organisé par le très sérieux Guardian. Le défenseur central français fait partie du pire onze de la première partie de saison 2010-2011.
L'ancien Stéphanois Ilunga (West Ham) est également présent. Elu joueur le plus prometteur de l'année 2010 par Tuttosport, Balotelli (Manchester City) mène l'attaque de cette équipe «de rêve» avec Torres (l'un des trois joueurs de Liverpool) et le Français Louis Saha, qui n'a plus marqué depuis presque un an avec Everton. (Photo Presse-Sports)
Le pire onze de 2010-2011... pour l'instant
Gomes (Tottenham) - Johnson (Liverpool), Squillaci (Arsenal), Stearman (Wolves), Ilunga (West Ham) - Ireland (Aston Villa), Cattermole (Sunderland), J.Cole (Liverpool) - Balotelli (Manchester City), Torres (Liverpool), Saha (Everton).
Arrivé à Arsenal l'été dernier en provenance de Séville, Sébastien Squillaci a été épinglé par les supporters anglais lors d'un vote massif organisé par le très sérieux Guardian. Le défenseur central français fait partie du pire onze de la première partie de saison 2010-2011.
L'ancien Stéphanois Ilunga (West Ham) est également présent. Elu joueur le plus prometteur de l'année 2010 par Tuttosport, Balotelli (Manchester City) mène l'attaque de cette équipe «de rêve» avec Torres (l'un des trois joueurs de Liverpool) et le Français Louis Saha, qui n'a plus marqué depuis presque un an avec Everton. (Photo Presse-Sports)
Le pire onze de 2010-2011... pour l'instant
Gomes (Tottenham) - Johnson (Liverpool), Squillaci (Arsenal), Stearman (Wolves), Ilunga (West Ham) - Ireland (Aston Villa), Cattermole (Sunderland), J.Cole (Liverpool) - Balotelli (Manchester City), Torres (Liverpool), Saha (Everton).
2005 -->2020
-
- Posts: 33932
- Joined: 28 Jul 2005, 10:49
- Location: En bordure de forêt de Fontainebleau
Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Il y a du beau monde dans cette liste...thomas99 wrote:http://www.francefootball.fr/FF/breves2 ... glais.html
Arrivé à Arsenal l'été dernier en provenance de Séville, Sébastien Squillaci a été épinglé par les supporters anglais lors d'un vote massif organisé par le très sérieux Guardian. Le défenseur central français fait partie du pire onze de la première partie de saison 2010-2011.
L'ancien Stéphanois Ilunga (West Ham) est également présent. Elu joueur le plus prometteur de l'année 2010 par Tuttosport, Balotelli (Manchester City) mène l'attaque de cette équipe «de rêve» avec Torres (l'un des trois joueurs de Liverpool) et le Français Louis Saha, qui n'a plus marqué depuis presque un an avec Everton. (Photo Presse-Sports)
Le pire onze de 2010-2011... pour l'instant
Gomes (Tottenham) - Johnson (Liverpool), Squillaci (Arsenal), Stearman (Wolves), Ilunga (West Ham) - Ireland (Aston Villa), Cattermole (Sunderland), J.Cole (Liverpool) - Balotelli (Manchester City), Torres (Liverpool), Saha (Everton).
Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
2005 -->2020
-
- Posts: 33932
- Joined: 28 Jul 2005, 10:49
- Location: En bordure de forêt de Fontainebleau
Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
A noter un but de Yoann Folly ce jour pour Aberdeen
http://www.videosdebuts.com/matchs/hibe ... -2010.html" onclick="window.open(this.href);return false;
http://www.videosdebuts.com/matchs/hibe ... -2010.html" onclick="window.open(this.href);return false;
Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Interview de Vincent Hognon sur le site off de Nancy
http://www.asnl.net/58/toute_l_actualit ... /fiche/920
Après avoir raccroché les crampons, beaucoup de footballeurs professionnels deviennent consultants pour la télévision ou entraîneurs. Vincent Hognon a opté pour cette deuxième solution et apprend toutes les ficelles de son nouveau métier avec les U19 du club.
Devenir entraîneur après avoir été joueur professionnel, c’est la logique ?
J’adore le foot et voulais vraiment rester dans ce milieu. J’ai commenté quelques matchs sur Foot + la saison dernière mais c’est trop éloigné du terrain. Je préférais devenir entraîneur. Je cherchais donc un club et comme un poste s’est libéré avec le départ de Laurent Bonadei, on me l’a proposé. En ce moment, c’est difficile dans le milieu du foot et il faut saisir les opportunités. Je n’ai pas hésité une seconde. Et puis, c’est plus facile d’arriver dans un club où l’on connaît déjà tout le monde. Il m’a juste fallu demander une dérogation car je n’ai pas encore le volet théorique du DEF. Je dois passer l’examen en fin de saison.
L’ASNL a beaucoup changé pendant tes huit saisons passées à St-Etienne et à Nice ?
Pas forcément car j’ai retrouvé beaucoup de personnes et l’ambiance est toujours aussi familiale. En revanche, le club a vraiment progressé au niveau des infrastructures et nous offre d’excellentes conditions de travail. C’est largement supérieur à ce que j’ai connu à Nice par exemple. Durant ces années, l’ASNL s’est aussi installée en L1. Cela signifie davantage d’exigence sur les jeunes joueurs qui doivent maintenant être formés pour jouer au plus haut niveau.
Quand on débute sa carrière, est ce qu’on a déjà une idée du type d’entraîneur que l’on souhaite devenir ou est ce que l’on cherche, on tâtonne pour trouver sa voie ?
Au niveau du management, je suis quelqu’un qui parle beaucoup au cours des séances ou des matchs. C’est quelque chose qui est venu naturellement au fil de ma carrière car j’étais plutôt timide au début.
Et au niveau du style de jeu ?
Au centre de formation, nous devons d’abord respecter des critères communs à toutes les équipes et sommes obligés de passer en revue les différents systèmes de jeu pour que les gamins ne soient jamais perdus. Ils doivent être prêts et connaître leurs missions quelle que soit l’organisation tactique. Ensuite, dans ce que tu leur demandes, tu peux quand même imposer ton style. J’étais défenseur et j’aime bien quand on s’appuie sur une base solide. Mais, avec des jeunes en formation comme ici, on ne doit jamais fermer le jeu. Parfois, on peut être forcé à défendre parce que le match est difficile mais on doit toujours demander aux joueurs de s’exprimer. C’est notre politique à l’ASNL.
Tu échanges beaucoup avec les autres entraîneurs du club ?
On a un grand bureau collectif et cela favorise cet échange. Il y a des joueurs qui s’entraînent avec un coach et jouent le week-end avec un autre. On est donc forcé d’évoquer le contenu de la semaine. On parle aussi avec le directeur de l’école, l’animatrice, le médecin ou les kinés. Cela aide pour prendre ses marques. Cela a été de toute façon assez vite pour moi car, même si je garde encore un peu l’âme d’un joueur, j’étais prêt à devenir entraîneur. C’est un métier complètement différent qui occupe à plein temps. Même quand je suis chez moi et que je regarde la télévision, je continue à réfléchir à ce que je pourrais améliorer dans mes séances. Il faut vraiment être passionné car on ne peut pas exercer ce job à 50%.
Il y a beaucoup de choses qui ne s’apprennent pas dans les livres ?
Surtout de gérer un groupe et de cerner ses personnalités. Il faut sans cesse s’adapter car cela reste des adolescents. C’est une période importante qui demande un gros travail psychologique. Il faut leur imposer de la rigueur tout en les laissant respirer un peu car leurs journées sont très chargées avec les entraînements et les heures de cours. Ce n’est pas facile de trouver le juste milieu.
Si tu devais t’inspirer d’une caractéristique de chacun des entraîneurs qui t’ont dirigé en pro ?
La rigueur, l’état d’esprit et tout l’aspect défensif de Lazlo Bölöni. Il était très performant dans ces domaines. Ce n’est pas un hasard si nous n’avons encaissé que 23 buts en 42 matchs lors de la saison 1995/1996. Élie Baup est davantage psychologue. Il cerne parfaitement le profil du joueur et s’adapte en conséquence. Cela m’a donné beaucoup de confiance. Enfin, j’ai beaucoup appris tactiquement avec Frédéric Antonetti. Avec lui, il y avait cette solidité mais aussi toujours la recherche du jeu.
Ton passé de joueur est donc aujourd’hui précieux pour débuter cette nouvelle carrière…
Je m’inspire des choses positives mais aussi des défauts de mes anciens entraîneurs. À la fin d’une carrière pro, tu sais ce que les joueurs ne supportent pas. J’utilise aussi beaucoup les exercices qu’ils m’ont appris en adaptant les exigences. Ceux où j’ai pris beaucoup de plaisir, il n’y a pas de raison que les gamins n’en prennent pas. Je me souviens aussi de ceux que je n’aimais pas du tout. On en parlait entre nous dans le vestiaire et, concernant les exercices techniques ou tactiques, il y avait très souvent unanimité. On était tous pour ou contre.
Comme parfois Pablo Correa ou Paul Fischer, il t’arrive de participer à certains exercices ?
Quand il manque un joueur, je fais le nombre. Le terrain me manque un peu mais j’ai toujours mal au genou. C’est la vieillesse (rires). Et plus que le jeu, c’est la compétition qui me procurait un maximum de plaisir. Je retrouve un peu cela sur le banc même si on ne joue pas forcément la gagne au centre de formation. On doit tout de même leur inculquer cette envie de gagner mais toujours avec la manière.
Ce poste d’entraîneur des U19, c’est la meilleure école avant d’entraîner une équipe professionnelle ?
Je n’en sais rien. J’apprends le métier et ne sais pas jusqu’où je vais aller. Aujourd’hui, je m’éclate mais je ne sais pas combien de temps cela va durer. Je n’ai pas de plan de carrière. Je me découvre et je suis très bien là. Me connaissant, je pense que j’aurais peut-être un jour envie d’aller entraîner des seniors mais je ne sais pas à quel niveau…
http://www.asnl.net/58/toute_l_actualit ... /fiche/920
Après avoir raccroché les crampons, beaucoup de footballeurs professionnels deviennent consultants pour la télévision ou entraîneurs. Vincent Hognon a opté pour cette deuxième solution et apprend toutes les ficelles de son nouveau métier avec les U19 du club.
Devenir entraîneur après avoir été joueur professionnel, c’est la logique ?
J’adore le foot et voulais vraiment rester dans ce milieu. J’ai commenté quelques matchs sur Foot + la saison dernière mais c’est trop éloigné du terrain. Je préférais devenir entraîneur. Je cherchais donc un club et comme un poste s’est libéré avec le départ de Laurent Bonadei, on me l’a proposé. En ce moment, c’est difficile dans le milieu du foot et il faut saisir les opportunités. Je n’ai pas hésité une seconde. Et puis, c’est plus facile d’arriver dans un club où l’on connaît déjà tout le monde. Il m’a juste fallu demander une dérogation car je n’ai pas encore le volet théorique du DEF. Je dois passer l’examen en fin de saison.
L’ASNL a beaucoup changé pendant tes huit saisons passées à St-Etienne et à Nice ?
Pas forcément car j’ai retrouvé beaucoup de personnes et l’ambiance est toujours aussi familiale. En revanche, le club a vraiment progressé au niveau des infrastructures et nous offre d’excellentes conditions de travail. C’est largement supérieur à ce que j’ai connu à Nice par exemple. Durant ces années, l’ASNL s’est aussi installée en L1. Cela signifie davantage d’exigence sur les jeunes joueurs qui doivent maintenant être formés pour jouer au plus haut niveau.
Quand on débute sa carrière, est ce qu’on a déjà une idée du type d’entraîneur que l’on souhaite devenir ou est ce que l’on cherche, on tâtonne pour trouver sa voie ?
Au niveau du management, je suis quelqu’un qui parle beaucoup au cours des séances ou des matchs. C’est quelque chose qui est venu naturellement au fil de ma carrière car j’étais plutôt timide au début.
Et au niveau du style de jeu ?
Au centre de formation, nous devons d’abord respecter des critères communs à toutes les équipes et sommes obligés de passer en revue les différents systèmes de jeu pour que les gamins ne soient jamais perdus. Ils doivent être prêts et connaître leurs missions quelle que soit l’organisation tactique. Ensuite, dans ce que tu leur demandes, tu peux quand même imposer ton style. J’étais défenseur et j’aime bien quand on s’appuie sur une base solide. Mais, avec des jeunes en formation comme ici, on ne doit jamais fermer le jeu. Parfois, on peut être forcé à défendre parce que le match est difficile mais on doit toujours demander aux joueurs de s’exprimer. C’est notre politique à l’ASNL.
Tu échanges beaucoup avec les autres entraîneurs du club ?
On a un grand bureau collectif et cela favorise cet échange. Il y a des joueurs qui s’entraînent avec un coach et jouent le week-end avec un autre. On est donc forcé d’évoquer le contenu de la semaine. On parle aussi avec le directeur de l’école, l’animatrice, le médecin ou les kinés. Cela aide pour prendre ses marques. Cela a été de toute façon assez vite pour moi car, même si je garde encore un peu l’âme d’un joueur, j’étais prêt à devenir entraîneur. C’est un métier complètement différent qui occupe à plein temps. Même quand je suis chez moi et que je regarde la télévision, je continue à réfléchir à ce que je pourrais améliorer dans mes séances. Il faut vraiment être passionné car on ne peut pas exercer ce job à 50%.
Il y a beaucoup de choses qui ne s’apprennent pas dans les livres ?
Surtout de gérer un groupe et de cerner ses personnalités. Il faut sans cesse s’adapter car cela reste des adolescents. C’est une période importante qui demande un gros travail psychologique. Il faut leur imposer de la rigueur tout en les laissant respirer un peu car leurs journées sont très chargées avec les entraînements et les heures de cours. Ce n’est pas facile de trouver le juste milieu.
Si tu devais t’inspirer d’une caractéristique de chacun des entraîneurs qui t’ont dirigé en pro ?
La rigueur, l’état d’esprit et tout l’aspect défensif de Lazlo Bölöni. Il était très performant dans ces domaines. Ce n’est pas un hasard si nous n’avons encaissé que 23 buts en 42 matchs lors de la saison 1995/1996. Élie Baup est davantage psychologue. Il cerne parfaitement le profil du joueur et s’adapte en conséquence. Cela m’a donné beaucoup de confiance. Enfin, j’ai beaucoup appris tactiquement avec Frédéric Antonetti. Avec lui, il y avait cette solidité mais aussi toujours la recherche du jeu.
Ton passé de joueur est donc aujourd’hui précieux pour débuter cette nouvelle carrière…
Je m’inspire des choses positives mais aussi des défauts de mes anciens entraîneurs. À la fin d’une carrière pro, tu sais ce que les joueurs ne supportent pas. J’utilise aussi beaucoup les exercices qu’ils m’ont appris en adaptant les exigences. Ceux où j’ai pris beaucoup de plaisir, il n’y a pas de raison que les gamins n’en prennent pas. Je me souviens aussi de ceux que je n’aimais pas du tout. On en parlait entre nous dans le vestiaire et, concernant les exercices techniques ou tactiques, il y avait très souvent unanimité. On était tous pour ou contre.
Comme parfois Pablo Correa ou Paul Fischer, il t’arrive de participer à certains exercices ?
Quand il manque un joueur, je fais le nombre. Le terrain me manque un peu mais j’ai toujours mal au genou. C’est la vieillesse (rires). Et plus que le jeu, c’est la compétition qui me procurait un maximum de plaisir. Je retrouve un peu cela sur le banc même si on ne joue pas forcément la gagne au centre de formation. On doit tout de même leur inculquer cette envie de gagner mais toujours avec la manière.
Ce poste d’entraîneur des U19, c’est la meilleure école avant d’entraîner une équipe professionnelle ?
Je n’en sais rien. J’apprends le métier et ne sais pas jusqu’où je vais aller. Aujourd’hui, je m’éclate mais je ne sais pas combien de temps cela va durer. Je n’ai pas de plan de carrière. Je me découvre et je suis très bien là. Me connaissant, je pense que j’aurais peut-être un jour envie d’aller entraîner des seniors mais je ne sais pas à quel niveau…
2005 -->2020
Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
http://globoesporte.globo.com/futebol/t ... entiu.html
En vacances à Paris, Araujo Ilan règle ses comptes sur radio Gaucha
"A l'extérieur, l'International est une chose. A l'intérieur, c'est totalement différent.Je me suis fait opérer du pied car je n'étais pas utilisé. Avant cela j'étais tout le temps disponible, même pour le Grénal (derby gaucho entre l'Internacional et Grêmio) alors que l'entraineur a affirmé que j'étais blessé. Il a menti.
Je n'ai jamais eu l'occasion de joueur devant notre public. Je me suis senti très frustré, cette saison aurait pû être très positive pour moi. Dans ces circonstances, je regrette d'avoir refusé d'autres clubs. En contact avec Sao Paulo, j'ai choisi l'Inter avec pour objectif le mondial des clubs, c'est ce qui a fait la différence"
N'ayant toujours pas reçu officiellement la confirmation de son licenciement, il devrait être de retour le 5 janvier au club.
En vacances à Paris, Araujo Ilan règle ses comptes sur radio Gaucha
"A l'extérieur, l'International est une chose. A l'intérieur, c'est totalement différent.Je me suis fait opérer du pied car je n'étais pas utilisé. Avant cela j'étais tout le temps disponible, même pour le Grénal (derby gaucho entre l'Internacional et Grêmio) alors que l'entraineur a affirmé que j'étais blessé. Il a menti.
Je n'ai jamais eu l'occasion de joueur devant notre public. Je me suis senti très frustré, cette saison aurait pû être très positive pour moi. Dans ces circonstances, je regrette d'avoir refusé d'autres clubs. En contact avec Sao Paulo, j'ai choisi l'Inter avec pour objectif le mondial des clubs, c'est ce qui a fait la différence"
N'ayant toujours pas reçu officiellement la confirmation de son licenciement, il devrait être de retour le 5 janvier au club.
2005 -->2020
Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Camara ministre !
Source : 20minutes.fr
http://www.20minutes.fr/article/644840/ ... rts-guinee" onclick="window.open(this.href);return false;Titi Camara ministre des sports en Guinée
FOOT - L'ancien attaquant de l'OM fait désormais partie du gouvernement guinéen...
On se souvient surtout de Titi Camara comme un attaquant rapide mais extrêmement maladroit. Ancien de l’OM ou encore de Liverpool, voilà désormais le garçon ministre des sports de la Guinée. Un juste retour pour Camara, qui s’est impliqué de manière importante dans la campagne du nouveau président guinéen, Alpha Condé.
L’objectif pour lui est désormais de rester en place plus de trois mois, le temps qu’il lui avait fallu pour se faire virer du job de sélectionneur de l’équipe nationale de Guinée.
Source : 20minutes.fr
Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Cf. potin d'hier matin : http://www.poteaux-carres.com/potin-B39 ... istre.html" onclick="window.open(this.href);return false;
"Celui qui se perd dans sa passion est moins perdu que celui qui perd sa passion" (Saint-Augustin)
"Allez les Verts !" (Saint-Etienne)
"Allez les Verts !" (Saint-Etienne)
-
- Posts: 7040
- Joined: 24 Jun 2008, 10:01
- Location: On the road
Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
La honte la momoVert95 wrote:Camara ministre !http://www.20minutes.fr/article/644840/ ... rts-guinee" onclick="window.open(this.href);return false;Titi Camara ministre des sports en Guinée
FOOT - L'ancien attaquant de l'OM fait désormais partie du gouvernement guinéen...
On se souvient surtout de Titi Camara comme un attaquant rapide mais extrêmement maladroit. Ancien de l’OM ou encore de Liverpool, voilà désormais le garçon ministre des sports de la Guinée. Un juste retour pour Camara, qui s’est impliqué de manière importante dans la campagne du nouveau président guinéen, Alpha Condé.
L’objectif pour lui est désormais de rester en place plus de trois mois, le temps qu’il lui avait fallu pour se faire virer du job de sélectionneur de l’équipe nationale de Guinée.
Source : 20minutes.fr
"Ils ne savaient pas que c'était impossible, alors ils l'ont fait."
Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Houhhhhhhh, la honte , pris en flagrant délit de non-lecture de potins.......José wrote:Cf. potin d'hier matin : http://www.poteaux-carres.com/potin-B39 ... istre.html" onclick="window.open(this.href);return false;