[Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
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Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Je ne pense pas que ce soit un oubli de Toto. Il parle des joueurs récemment transférés.
"Celui qui se perd dans sa passion est moins perdu que celui qui perd sa passion" (Saint-Augustin)
"Allez les Verts !" (Saint-Etienne)
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Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Exact, j'ai loupé ce mot.José wrote:
Je ne pense pas que ce soit un oubli de Toto. Il parle des joueurs récemment transférés.
Enfin, ça m'a donné l'occasion de reparler de Samy qui semble très apprécié à Ostende (j'ai cru comprendre que le terme "maestro" lui avait même été donné lors de son dernier match).
Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Content pour Samy, qui mériterait peut-être de jouer à un échelon supérieur (le D2 belge, ça équivaut à mon avis au national).DenisLePoulpeDu77 wrote:Exact, j'ai loupé ce mot.José wrote:
Je ne pense pas que ce soit un oubli de Toto. Il parle des joueurs récemment transférés.
Enfin, ça m'a donné l'occasion de reparler de Samy qui semble très apprécié à Ostende (j'ai cru comprendre que le terme "maestro" lui avait même été donné lors de son dernier match).
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Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Intéressant papier sur Coupet lu aujourd'hui sur So Foot :
Coupet, la grande classe
Crépuscule joyeux et classieux pour Greg. La fin de carrière arrive, mais pas question de faire la gueule et d’en vouloir à la terre entière. Pas question non plus de pourrir Edel, celui-là même qui est devenu titulaire à sa place. Au contraire. Greg pousse Edel à devenir plus grand. Un passage de témoin exemplaire…
La dure fin des gardiens de buts
Comme si c’était hier… Ce mercredi 8 novembre 1979, en 8ème aller de Coupe de l’UEFA, St-Etienne reçoit les Grecs de l’Aris Salonique. Match fastoche que les Verts prennent par le bon bout avec un but de Platoche à la 14ème. Sainté déroule jusqu’à cette 35ème où le gardien de l’ASSE, le Yougoslave Ivan Curkovic, relâche un ballon qui profite à Sermrzidis. Egalisation, 1-1. Stupeur à Geoffroy Guichard : en coupes d’Europe et à dom, le Chaudron est un sanctuaire où les Verts ne perdent jamais et même où se faire remonter et égaliser est inouï… Mais le malaise est ailleurs : la boulette de Curko, idole du Peuple Vert, apparaît comme un signe avant-coureur du déclin inexorable de l’indéboulonnable Curko (Ivan n’a raté que 3 matchs depuis son arrivée en 1972). Le choc reste « intérieur » chez les supporters. D’autant plus que Sainté atomise quand même l’Aris 4-1. Après le match, Curko élude très maladroitement son erreur et plaide le mal pour le bien : grâce à bourde, ses coéquipiers se sont réveillés et à 1-1 ils sont repartis du bon pied… Curko se ment à lui-même et il le sait. A 35 ans, il sait que la fin approche. Mais il ne se résout pas à « lâcher l’affaire ». Orgueil, fierté, peur d’arrêter… Un truc vieux comme le monde : l’angoisse de la fin de carrière. Chez les gardiens, cette angoisse est pire que chez les joueurs de champs puisque que la fin ne s’opère que rarement de façon douce. Elle intervient quand on n’est « moins décisif ». Plus cruel : c’est à l’occasion de bourdes, de boulettes, de ratés bien visibles que la (petite) mort frappe très fort à la porte. Et là, il faut se faire une raison… Dans la douleur.
Stéphanois, franc et loyal
Ivan Curkovic finira cette saison 1979-1980 décevante pour les Verts, seulement troisièmes malgré Platoche, Rep et Zimako. Curko est reconduit pour la saison suivante. Mais il est mis en concurrence avec le jeune Jean Castaneda, 23 ans, qui a grandi dans l’ombre de Curko. Ce dernier a déjà beaucoup appris à son cadet et il s’apprête à lui passer le flambeau. Le 5 août 1980, après une défaite inattendue à Bastia (1-2), lors de la troisième journée de championnat, le grand Curko comprend que tout est fini pour lui. Le match d’après, Castaneda est titulaire : Sainté écrase Nancy 4-1 et cinglera vers son dixième titre de champion de France. Ivan Curkovic jouera le jeu en aidant et conseillant lui-même son jeune successeur. Meurtri mais loyal. La classe… Curko sera du staff des Bleus d’Hidalgo au Mundial 1982, préparateur des gardiens. Fin de l’histoire… Curkovic, Coupet, même histoire ? Un peu, oui : Saint-Etienne, c’est depuis toujours un club « d’hommes vrais ». Le Stéphanois ne ment pas, ne triche pas, ne dissimule pas. Herbin, Jacquet, Larqué, Santini, Sagnol, Coupet : un langage direct et franc. Que ça plaise ou non. Honnêteté et loyauté, droit dans les yeux et droit dans ses bottes. Greg Coupet, c’est lui aussi cet ADN « vert » de la franchise et de la loyauté.
Quand Greg Coupet décline
On ne va pas refaire ici l’immense carrière de Greg, le Vert passé chez les Gones, puis par l’Atletico Madrid et arrivé au PSG il y a deux ans. Greg est en train de passer la main… « Je suis numéro 2 », a-t-il déclaré hier, allusion au fait que c’est bel et bien son concurrent, le « jeune » Edel (24 ans) qui lui a désormais succédé. Sauf accident d’Apoula, Greg ne jouera plus que les matchs de coupes de France et de la Ligue, comme mercredi soir à Gerland où il a été (presque) parfait. A bientôt 38 ans, Greg Coupet ne veut pas se mentir à soi et aux autres. Son contrat de deux ans s’achève en juin 2011, soit à la fin de la saison. Et sans doute la fin de sa carrière tout court… Une fin qu’il souhaite en pente douce.
Le 28 novembre dernier, il s’était fracturé la cheville gauche au Parc contre l’AJ Auxerre. Une longue absence de 5 mois qui a entamé son indestructible esprit de compétiteur. Et puis, sportivement, il y a eu les deux défaites qui font mal, en début de championnat, fin août : à domicile contre Bordeaux (1-2) et puis surtout à Sochaux (1-3) où sa responsabilité était clairement engagée sur aux moins deux buts… Chez les gardiens, la fin ne s’opère que rarement de façon douce. Elle intervient quand on est « moins décisif ». Plus cruel : c’est à l’occasion de bourdes, de boulettes, de ratés bien visibles que la (petite) mort frappe très fort à la porte. Et là, il faut se faire une raison… Dans la douleur. Dans la douleur ? Non ! Avec Greg, ça ne se passera pas dans la douleur.
Greg transmet le relais à Apoula
Bien sûr, intérieurement, Greg Coupet va vivre les moments difficiles de la fin de parcours. Sauf que Greg est un gars formidable qui ne se ment pas et ne ment pas aux autres : oui, c’est bientôt fini, mais pas question de faire la gueule, de faire de la provoc devant les journalistes, de plomber le vestiaire, de demander des comptes au coach, de mener une guerre d’usure avec Edel, d’en appeler aux supporters qui l’adorent ! Grégory Coupet est un gentleman stéphanois : loyauté et honnêteté avant tout. Loyauté envers lui-même qui a le courage de s’autoproclamer « numéro 2 », au grand dam de Kombouaré. Avant le match à Lyon, Antoine s’interrogeait sur les motivations encore réelles ou non de Coupet : « Greg a une mentalité exceptionnelle. Il sait qu’aujourd’hui Edel est meilleur que lui. Il est content de le voir enchaîner les bons matches, il le pousse à donner le meilleur de lui-même. Mais il faut qu’il vienne le titiller davantage ».
Tout faux, Antoine ! Sur l’affaire, Greg a un coup d’avance sur toi. Greg a encore l’envie mais « trop d’envie » pourrait désormais déstabiliser un Edel en énormes progrès mais encore fragile psychologiquement. Inutile de mettre la pression sur Edel, surtout après le 3-2 encaissé au Parc contre l’AJA… Laisse faire Greg, Antoine : entre Greg et Apoula, c’est une histoire de gardiens, un truc que toi, Antoine, tu ne maîtrises pas. Greg est exemplaire : depuis sa blessure et même quand il est revenu dans les buts parisiens, il n’a cessé d’aider Edel à grandir en le prenant sous son aile. Depuis qu’Edel est passé Numéro 1, c’est pareil. Encouragements, conseils, soutien inconditionnel avant et après les matchs, gros boulot en commun à l’entraînement et partage de son immense expérience. Tout une riche assistance prodiguée et poursuivie depuis que Apoula est devenu titulaire.
Coupet vs Barthez 2006
Greg entend faire passer le flambeau de la façon la plus profitable à son cadet et au club. Honnêteté et loyauté. Un monstre d’exemplarité… Le PSG peut se féliciter de compter dans ses rangs des Coupet, Makélélé et Giuly. Des « anciens » qui transmettent les valeurs basiques du parfait professionnel, loyal à son club. Pas « d’esprit de sacrifice » chez Greg. Plutôt sens des responsabilités, sens de la continuité et de la pérennité du club : le club passe avant tout, avant les petits intérêts perso ou égoïstes qui pourrissent souvent les fins de carrière d’immenses joueurs. Le Raul vieillissant et de moins en moins performant avait foutu la zone dans le vestiaire du Real, s’accrochant pathétiquement à son statut d’ex-grand gloire de la Maison Blanche. A la Juve, un Del Piero en déclin revendique un poste et des prérogatives dans le jeu qu’il peut de moins en moins assumer, mettant la pression sur le coach (forcément moins légitime qu’Alessandro, idole du peuple juventino) et dépréciant le jeu des bianconeri. Idem à la Roma où un autre Grandiosso, ce sacré Totti, plombe le club en se prévalant de son statut de sénateur qu’il pensait être éternel…
Merci à Grégory Coupet de ne servir « que » les intérêts du club avant tout. Il y autre chose qui explique la « noblesse » de coeur et d’esprit de Coupet : l’esprit de compétition. A condition que ladite compétition soit franche et « loyale ». Allusion à l’épisode Coupet-Barthez de 2006…Greg avait livré un duel homérique avec Barthez avant le Mondial 2006. Après une super saison avec l’OL, Greg considérait qu’il devait devenir le numéro 1, à la place du Chauve : « La hiérarchie est faite pour être bouleversée », clamait-il… Finalement, c’est Barthez que Ray Strange avait choisi. A la grande fureur de Grégory, dégoûté des passe-droit accordées à Fabien (il refusait de faire les escalade, etc..) et des coteries internes aux Bleus (Barthez avait le soutien « indirect » de Zidane). D’où l’épisode de la fuite en voiture de Tignes…
Chapeau, Greg !
Avec le recul, Greg a sûrement du apprendre de cette expérience de 2006, éprouvante et destructrice. Donc, pas besoin d’entamer une guerre d’usure avec Edel, une guerre qu’il aurait facilement gagnée, même en étant pas bon sur le terrain. Surtout, Coupet a sûrement admis après coup qu’il avait perdu son duel avec Barthez parce que Barthez était le plus fort « mentalement » : c’est fabien qui a battu Greg à l’usure au stage de Tignes… Que ce fut avec Barthez chez les bleus et que ce soit avec Edel au PSG actuellement, Greg a fait le même constat objectif : les deux sont « meilleurs » que lui. Dur à avaler, dur à accepter, mais il faut s’y résoudre. Dans la rage et la fureur (et l’impuissance) à Tignes en 2006, et dans l’apaisement constructif aujourd’hui au Camp des Loge. Edel (comme Castaneda avec Curkovic) a eu la chance immense d’avoir eu Coupet comme prédécesseur. Epargné par un conflit d’ego qui aurait tourné en sa défaveur, Edel a évolué plus sereinement et il se révèle cette saison match après match. « Je ne me projette pas sur le championnat », déclarait encore Greg, hier. Façon de dire : « A toi de jouer, Apoula ! Maintenant, c’est ton tour ! L’avenir c’est toi, la vie t’appartient ! ». Chapeau, Greg. La super classe.
Chérif Ghemmour
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Coupet, la grande classe
Crépuscule joyeux et classieux pour Greg. La fin de carrière arrive, mais pas question de faire la gueule et d’en vouloir à la terre entière. Pas question non plus de pourrir Edel, celui-là même qui est devenu titulaire à sa place. Au contraire. Greg pousse Edel à devenir plus grand. Un passage de témoin exemplaire…
La dure fin des gardiens de buts
Comme si c’était hier… Ce mercredi 8 novembre 1979, en 8ème aller de Coupe de l’UEFA, St-Etienne reçoit les Grecs de l’Aris Salonique. Match fastoche que les Verts prennent par le bon bout avec un but de Platoche à la 14ème. Sainté déroule jusqu’à cette 35ème où le gardien de l’ASSE, le Yougoslave Ivan Curkovic, relâche un ballon qui profite à Sermrzidis. Egalisation, 1-1. Stupeur à Geoffroy Guichard : en coupes d’Europe et à dom, le Chaudron est un sanctuaire où les Verts ne perdent jamais et même où se faire remonter et égaliser est inouï… Mais le malaise est ailleurs : la boulette de Curko, idole du Peuple Vert, apparaît comme un signe avant-coureur du déclin inexorable de l’indéboulonnable Curko (Ivan n’a raté que 3 matchs depuis son arrivée en 1972). Le choc reste « intérieur » chez les supporters. D’autant plus que Sainté atomise quand même l’Aris 4-1. Après le match, Curko élude très maladroitement son erreur et plaide le mal pour le bien : grâce à bourde, ses coéquipiers se sont réveillés et à 1-1 ils sont repartis du bon pied… Curko se ment à lui-même et il le sait. A 35 ans, il sait que la fin approche. Mais il ne se résout pas à « lâcher l’affaire ». Orgueil, fierté, peur d’arrêter… Un truc vieux comme le monde : l’angoisse de la fin de carrière. Chez les gardiens, cette angoisse est pire que chez les joueurs de champs puisque que la fin ne s’opère que rarement de façon douce. Elle intervient quand on n’est « moins décisif ». Plus cruel : c’est à l’occasion de bourdes, de boulettes, de ratés bien visibles que la (petite) mort frappe très fort à la porte. Et là, il faut se faire une raison… Dans la douleur.
Stéphanois, franc et loyal
Ivan Curkovic finira cette saison 1979-1980 décevante pour les Verts, seulement troisièmes malgré Platoche, Rep et Zimako. Curko est reconduit pour la saison suivante. Mais il est mis en concurrence avec le jeune Jean Castaneda, 23 ans, qui a grandi dans l’ombre de Curko. Ce dernier a déjà beaucoup appris à son cadet et il s’apprête à lui passer le flambeau. Le 5 août 1980, après une défaite inattendue à Bastia (1-2), lors de la troisième journée de championnat, le grand Curko comprend que tout est fini pour lui. Le match d’après, Castaneda est titulaire : Sainté écrase Nancy 4-1 et cinglera vers son dixième titre de champion de France. Ivan Curkovic jouera le jeu en aidant et conseillant lui-même son jeune successeur. Meurtri mais loyal. La classe… Curko sera du staff des Bleus d’Hidalgo au Mundial 1982, préparateur des gardiens. Fin de l’histoire… Curkovic, Coupet, même histoire ? Un peu, oui : Saint-Etienne, c’est depuis toujours un club « d’hommes vrais ». Le Stéphanois ne ment pas, ne triche pas, ne dissimule pas. Herbin, Jacquet, Larqué, Santini, Sagnol, Coupet : un langage direct et franc. Que ça plaise ou non. Honnêteté et loyauté, droit dans les yeux et droit dans ses bottes. Greg Coupet, c’est lui aussi cet ADN « vert » de la franchise et de la loyauté.
Quand Greg Coupet décline
On ne va pas refaire ici l’immense carrière de Greg, le Vert passé chez les Gones, puis par l’Atletico Madrid et arrivé au PSG il y a deux ans. Greg est en train de passer la main… « Je suis numéro 2 », a-t-il déclaré hier, allusion au fait que c’est bel et bien son concurrent, le « jeune » Edel (24 ans) qui lui a désormais succédé. Sauf accident d’Apoula, Greg ne jouera plus que les matchs de coupes de France et de la Ligue, comme mercredi soir à Gerland où il a été (presque) parfait. A bientôt 38 ans, Greg Coupet ne veut pas se mentir à soi et aux autres. Son contrat de deux ans s’achève en juin 2011, soit à la fin de la saison. Et sans doute la fin de sa carrière tout court… Une fin qu’il souhaite en pente douce.
Le 28 novembre dernier, il s’était fracturé la cheville gauche au Parc contre l’AJ Auxerre. Une longue absence de 5 mois qui a entamé son indestructible esprit de compétiteur. Et puis, sportivement, il y a eu les deux défaites qui font mal, en début de championnat, fin août : à domicile contre Bordeaux (1-2) et puis surtout à Sochaux (1-3) où sa responsabilité était clairement engagée sur aux moins deux buts… Chez les gardiens, la fin ne s’opère que rarement de façon douce. Elle intervient quand on est « moins décisif ». Plus cruel : c’est à l’occasion de bourdes, de boulettes, de ratés bien visibles que la (petite) mort frappe très fort à la porte. Et là, il faut se faire une raison… Dans la douleur. Dans la douleur ? Non ! Avec Greg, ça ne se passera pas dans la douleur.
Greg transmet le relais à Apoula
Bien sûr, intérieurement, Greg Coupet va vivre les moments difficiles de la fin de parcours. Sauf que Greg est un gars formidable qui ne se ment pas et ne ment pas aux autres : oui, c’est bientôt fini, mais pas question de faire la gueule, de faire de la provoc devant les journalistes, de plomber le vestiaire, de demander des comptes au coach, de mener une guerre d’usure avec Edel, d’en appeler aux supporters qui l’adorent ! Grégory Coupet est un gentleman stéphanois : loyauté et honnêteté avant tout. Loyauté envers lui-même qui a le courage de s’autoproclamer « numéro 2 », au grand dam de Kombouaré. Avant le match à Lyon, Antoine s’interrogeait sur les motivations encore réelles ou non de Coupet : « Greg a une mentalité exceptionnelle. Il sait qu’aujourd’hui Edel est meilleur que lui. Il est content de le voir enchaîner les bons matches, il le pousse à donner le meilleur de lui-même. Mais il faut qu’il vienne le titiller davantage ».
Tout faux, Antoine ! Sur l’affaire, Greg a un coup d’avance sur toi. Greg a encore l’envie mais « trop d’envie » pourrait désormais déstabiliser un Edel en énormes progrès mais encore fragile psychologiquement. Inutile de mettre la pression sur Edel, surtout après le 3-2 encaissé au Parc contre l’AJA… Laisse faire Greg, Antoine : entre Greg et Apoula, c’est une histoire de gardiens, un truc que toi, Antoine, tu ne maîtrises pas. Greg est exemplaire : depuis sa blessure et même quand il est revenu dans les buts parisiens, il n’a cessé d’aider Edel à grandir en le prenant sous son aile. Depuis qu’Edel est passé Numéro 1, c’est pareil. Encouragements, conseils, soutien inconditionnel avant et après les matchs, gros boulot en commun à l’entraînement et partage de son immense expérience. Tout une riche assistance prodiguée et poursuivie depuis que Apoula est devenu titulaire.
Coupet vs Barthez 2006
Greg entend faire passer le flambeau de la façon la plus profitable à son cadet et au club. Honnêteté et loyauté. Un monstre d’exemplarité… Le PSG peut se féliciter de compter dans ses rangs des Coupet, Makélélé et Giuly. Des « anciens » qui transmettent les valeurs basiques du parfait professionnel, loyal à son club. Pas « d’esprit de sacrifice » chez Greg. Plutôt sens des responsabilités, sens de la continuité et de la pérennité du club : le club passe avant tout, avant les petits intérêts perso ou égoïstes qui pourrissent souvent les fins de carrière d’immenses joueurs. Le Raul vieillissant et de moins en moins performant avait foutu la zone dans le vestiaire du Real, s’accrochant pathétiquement à son statut d’ex-grand gloire de la Maison Blanche. A la Juve, un Del Piero en déclin revendique un poste et des prérogatives dans le jeu qu’il peut de moins en moins assumer, mettant la pression sur le coach (forcément moins légitime qu’Alessandro, idole du peuple juventino) et dépréciant le jeu des bianconeri. Idem à la Roma où un autre Grandiosso, ce sacré Totti, plombe le club en se prévalant de son statut de sénateur qu’il pensait être éternel…
Merci à Grégory Coupet de ne servir « que » les intérêts du club avant tout. Il y autre chose qui explique la « noblesse » de coeur et d’esprit de Coupet : l’esprit de compétition. A condition que ladite compétition soit franche et « loyale ». Allusion à l’épisode Coupet-Barthez de 2006…Greg avait livré un duel homérique avec Barthez avant le Mondial 2006. Après une super saison avec l’OL, Greg considérait qu’il devait devenir le numéro 1, à la place du Chauve : « La hiérarchie est faite pour être bouleversée », clamait-il… Finalement, c’est Barthez que Ray Strange avait choisi. A la grande fureur de Grégory, dégoûté des passe-droit accordées à Fabien (il refusait de faire les escalade, etc..) et des coteries internes aux Bleus (Barthez avait le soutien « indirect » de Zidane). D’où l’épisode de la fuite en voiture de Tignes…
Chapeau, Greg !
Avec le recul, Greg a sûrement du apprendre de cette expérience de 2006, éprouvante et destructrice. Donc, pas besoin d’entamer une guerre d’usure avec Edel, une guerre qu’il aurait facilement gagnée, même en étant pas bon sur le terrain. Surtout, Coupet a sûrement admis après coup qu’il avait perdu son duel avec Barthez parce que Barthez était le plus fort « mentalement » : c’est fabien qui a battu Greg à l’usure au stage de Tignes… Que ce fut avec Barthez chez les bleus et que ce soit avec Edel au PSG actuellement, Greg a fait le même constat objectif : les deux sont « meilleurs » que lui. Dur à avaler, dur à accepter, mais il faut s’y résoudre. Dans la rage et la fureur (et l’impuissance) à Tignes en 2006, et dans l’apaisement constructif aujourd’hui au Camp des Loge. Edel (comme Castaneda avec Curkovic) a eu la chance immense d’avoir eu Coupet comme prédécesseur. Epargné par un conflit d’ego qui aurait tourné en sa défaveur, Edel a évolué plus sereinement et il se révèle cette saison match après match. « Je ne me projette pas sur le championnat », déclarait encore Greg, hier. Façon de dire : « A toi de jouer, Apoula ! Maintenant, c’est ton tour ! L’avenir c’est toi, la vie t’appartient ! ». Chapeau, Greg. La super classe.
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Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Avec un peu de chance, on le verra en 1ère div belge la saison prochaineJosé wrote:Content pour Samy, qui mériterait peut-être de jouer à un échelon supérieur (le D2 belge, ça équivaut à mon avis au national).DenisLePoulpeDu77 wrote:Exact, j'ai loupé ce mot.José wrote:
Je ne pense pas que ce soit un oubli de Toto. Il parle des joueurs récemment transférés.
Enfin, ça m'a donné l'occasion de reparler de Samy qui semble très apprécié à Ostende (j'ai cru comprendre que le terme "maestro" lui avait même été donné lors de son dernier match).
Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Dans le Dauphiné Libéré du jour : Grenoble a contacté Rothen, mais Grax est dans le viseur (profil intéressant )
Dans tous les stades on chantera, le chant des Stéphanois
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Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Jusqu'au fin fond du National, ils nous prendront nos bouletspatavo 26 wrote:Dans le Dauphiné Libéré du jour : Grenoble a contacté Rothen, mais Grax est dans le viseur (profil intéressant )
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Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
En parlant de ça quelqu'un sait il ce que devient l'ombre jaune: MatsuiDenisLePoulpeDu77 wrote:Jusqu'au fin fond du National, ils nous prendront nos bouletspatavo 26 wrote:Dans le Dauphiné Libéré du jour : Grenoble a contacté Rothen, mais Grax est dans le viseur (profil intéressant )
[b]L'important c'est l'essentiel.JJ 17/01/12[/b]
Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Il a été prêté à Tom Tomsk (Sibérie) jusqu'en novembre.dragonvert43 wrote:En parlant de ça quelqu'un sait il ce que devient l'ombre jaune: MatsuiDenisLePoulpeDu77 wrote:Jusqu'au fin fond du National, ils nous prendront nos bouletspatavo 26 wrote:Dans le Dauphiné Libéré du jour : Grenoble a contacté Rothen, mais Grax est dans le viseur (profil intéressant )
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Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
C'est vraiment le nom du club?José wrote:Il a été prêté à Tom Tomsk (Sibérie) jusqu'en novembre.dragonvert43 wrote:En parlant de ça quelqu'un sait il ce que devient l'ombre jaune: MatsuiDenisLePoulpeDu77 wrote:Jusqu'au fin fond du National, ils nous prendront nos bouletspatavo 26 wrote:Dans le Dauphiné Libéré du jour : Grenoble a contacté Rothen, mais Grax est dans le viseur (profil intéressant )
Quelle ascension vertigineuse pour sa carrière
Question ombre,lui non plus doit pas être emmerdé par le soleil
Hein José
merci pour les renseignements
[b]L'important c'est l'essentiel.JJ 17/01/12[/b]
Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
et tomsk est 11 eme sur 16 equipesdragonvert43 wrote:C'est vraiment le nom du club?José wrote:Il a été prêté à Tom Tomsk (Sibérie) jusqu'en novembre.dragonvert43 wrote:En parlant de ça quelqu'un sait il ce que devient l'ombre jaune: MatsuiDenisLePoulpeDu77 wrote:Jusqu'au fin fond du National, ils nous prendront nos bouletspatavo 26 wrote:Dans le Dauphiné Libéré du jour : Grenoble a contacté Rothen, mais Grax est dans le viseur (profil intéressant )
Quelle ascension vertigineuse pour sa carrière
Question ombre,lui non plus doit pas être emmerdé par le soleil
Hein José
merci pour les renseignements
la fiche de matsui:
http://www.football.tomsk.ru/index.php? ... nfo&id=139" onclick="window.open(this.href);return false;
saint-etienne en russe: ????-?????
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Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Ca a de la gueule Sainté en russe...callaghan wrote:et tomsk est 11 eme sur 16 equipesdragonvert43 wrote:C'est vraiment le nom du club?José wrote:Il a été prêté à Tom Tomsk (Sibérie) jusqu'en novembre.dragonvert43 wrote:En parlant de ça quelqu'un sait il ce que devient l'ombre jaune: MatsuiDenisLePoulpeDu77 wrote:Jusqu'au fin fond du National, ils nous prendront nos bouletspatavo 26 wrote:Dans le Dauphiné Libéré du jour : Grenoble a contacté Rothen, mais Grax est dans le viseur (profil intéressant )
Quelle ascension vertigineuse pour sa carrière
Question ombre,lui non plus doit pas être emmerdé par le soleil
Hein José
merci pour les renseignements
la fiche de matsui:
http://www.football.tomsk.ru/index.php? ... nfo&id=139" onclick="window.open(this.href);return false;
saint-etienne en russe: ????-?????
pôv Daï même en district il est pas bon
[b]L'important c'est l'essentiel.JJ 17/01/12[/b]
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Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Un rapport avec Tomsk Tomsk Club ?
http://www.youtube.com/watch?v=HN1t5qdBUzs" onclick="window.open(this.href);return false;
http://www.youtube.com/watch?v=HN1t5qdBUzs" onclick="window.open(this.href);return false;
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Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
DenisLePoulpeDu77 wrote:Un rapport avec Tomsk Tomsk Club ?
http://www.youtube.com/watch?v=HN1t5qdBUzs" onclick="window.open(this.href);return false;
bizarre moi je voyais un pti brun avec sa frangine blonde: Nana je crois
j'ai du confondre
[b]L'important c'est l'essentiel.JJ 17/01/12[/b]
Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Lu ce man dans Le Progrès :
Stéphane Hernandez : "« L'ASSE peut viser haut »
Désormais à Chambéry, l'ancien Stéphanois livre son dernier challenge et évoque son club formateur.
Stéphane, racontez-nous ce retour dans le Forez et cette qualification...
Ce n'était pas un grand match mais je suis content d'être revenu à Veauche, où j'habitais. Après, pour ce qui est du jeu, on a assuré l'essentiel en marquant d'entrée et avant la mi-temps. Veauche a très bien réagi et même tiré sur le poteau. Mais on aurait pu enfoncer le clou par la suite.
À 31 ans, cette arrivée à Chambéry peut-elle être considérée comme un tremplin ou, au contraire, s'annoncer comme la fin d'une carrière ?
Dans ma tête, mon parcours pro est fini et ce n'est pas du tout une frustration, j'avais peu de contacts. Chambéry est un club familial et très sérieux. Nous possédons un bon groupe qui travaille dans une superbe ambiance et cela fait plaisir.
Vous n'êtes pas arrivé en terrain inconnu, en côtoyant Malick Faye (prêté par l'ASSE) et David Guion, votre entraîneur.
J'ai connu David quand il s'occupait des jeunes à l'ASSE. C'est un coach qui veut tenter de professionnaliser Chambéry. Il programme quatre à cinq entraînements hebdomadaires. Ca ne me change pas trop.
Il y a un joli challenge à relever, à savoir, faire monter le club en CFA.
C'est l'objectif fixé en début de saison. Avec ce bon début de championnat (4e), nous pouvons rivaliser. Seulement, la concurrence sera rude avec Andrézieux et Montceau. Il faudra accrocher le bon wagon. Mais on ne se prend pas la tête
Pour en venir à l'ASSE, votre club formateur, quel regard portez-vous sur lui actuellement ?
Je n'ai pas cessé de les suivre depuis mon départ (en 2005). Cette quatrième place ne m'étonne qu'à moitié. Malgré leurs deux derniers exercices, je n'ai jamais douté. Avec l'arrivée de Battles ainsi que les retours de Landrin et de Loïc (Perrin ndlr), le groupe est mieux encadré. Cela ne peut que faire du bien à l'effectif, qui est en adéquation avec son entraîneur. Christophe Galtier fait du bon boulot et ses qualités humaines ont l'air d'avoir fait l'unanimité au sein de l'équipe.
Pensez-vous que l'équipe tiendra cette cadence ?
Même si les trois derniers matches ont été un peu décevants en termes de résultats, je crois qu'elle peut aller haut. Mais les gros vont finir par se réveiller.
Elle pourrait bien accrocher les cadors et pourquoi pas, finir dans le top 5. L'effectif paraît limité en quantité mais Galtier fait confiance aux jeunes. Je suis d'ailleurs agréablement surpris de leurs prestations. Si l'osmose est bonne, si Payet, Matuidi et Perrin sont en forme, ça peut le faire.
Que retenez-vous de vos huit saisons chez les Verts ?
La montée en L1 avec Fred Antonetti (en 2004) ponctuée du titre de champion de France. C'était la saison la plus aboutie personnellement. Ma plus grande déception reste la demi-finale de coupe de la Ligue perdue cette même année contre Sochaux (3-2 après prolongation). Je n'oublierai jamais « Sainté », surtout avec ce public fabuleux.
Recueilli par Geoffrey Fleury
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Stéphane Hernandez : "« L'ASSE peut viser haut »
Désormais à Chambéry, l'ancien Stéphanois livre son dernier challenge et évoque son club formateur.
Stéphane, racontez-nous ce retour dans le Forez et cette qualification...
Ce n'était pas un grand match mais je suis content d'être revenu à Veauche, où j'habitais. Après, pour ce qui est du jeu, on a assuré l'essentiel en marquant d'entrée et avant la mi-temps. Veauche a très bien réagi et même tiré sur le poteau. Mais on aurait pu enfoncer le clou par la suite.
À 31 ans, cette arrivée à Chambéry peut-elle être considérée comme un tremplin ou, au contraire, s'annoncer comme la fin d'une carrière ?
Dans ma tête, mon parcours pro est fini et ce n'est pas du tout une frustration, j'avais peu de contacts. Chambéry est un club familial et très sérieux. Nous possédons un bon groupe qui travaille dans une superbe ambiance et cela fait plaisir.
Vous n'êtes pas arrivé en terrain inconnu, en côtoyant Malick Faye (prêté par l'ASSE) et David Guion, votre entraîneur.
J'ai connu David quand il s'occupait des jeunes à l'ASSE. C'est un coach qui veut tenter de professionnaliser Chambéry. Il programme quatre à cinq entraînements hebdomadaires. Ca ne me change pas trop.
Il y a un joli challenge à relever, à savoir, faire monter le club en CFA.
C'est l'objectif fixé en début de saison. Avec ce bon début de championnat (4e), nous pouvons rivaliser. Seulement, la concurrence sera rude avec Andrézieux et Montceau. Il faudra accrocher le bon wagon. Mais on ne se prend pas la tête
Pour en venir à l'ASSE, votre club formateur, quel regard portez-vous sur lui actuellement ?
Je n'ai pas cessé de les suivre depuis mon départ (en 2005). Cette quatrième place ne m'étonne qu'à moitié. Malgré leurs deux derniers exercices, je n'ai jamais douté. Avec l'arrivée de Battles ainsi que les retours de Landrin et de Loïc (Perrin ndlr), le groupe est mieux encadré. Cela ne peut que faire du bien à l'effectif, qui est en adéquation avec son entraîneur. Christophe Galtier fait du bon boulot et ses qualités humaines ont l'air d'avoir fait l'unanimité au sein de l'équipe.
Pensez-vous que l'équipe tiendra cette cadence ?
Même si les trois derniers matches ont été un peu décevants en termes de résultats, je crois qu'elle peut aller haut. Mais les gros vont finir par se réveiller.
Elle pourrait bien accrocher les cadors et pourquoi pas, finir dans le top 5. L'effectif paraît limité en quantité mais Galtier fait confiance aux jeunes. Je suis d'ailleurs agréablement surpris de leurs prestations. Si l'osmose est bonne, si Payet, Matuidi et Perrin sont en forme, ça peut le faire.
Que retenez-vous de vos huit saisons chez les Verts ?
La montée en L1 avec Fred Antonetti (en 2004) ponctuée du titre de champion de France. C'était la saison la plus aboutie personnellement. Ma plus grande déception reste la demi-finale de coupe de la Ligue perdue cette même année contre Sochaux (3-2 après prolongation). Je n'oublierai jamais « Sainté », surtout avec ce public fabuleux.
Recueilli par Geoffrey Fleury
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"Celui qui se perd dans sa passion est moins perdu que celui qui perd sa passion" (Saint-Augustin)
"Allez les Verts !" (Saint-Etienne)
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Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
yavait un papier sur Ben dans la pravda de dimanche (que je lis en retard )
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[img]http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/2/2f/Roma_flag.svg/60px-Roma_flag.svg.png[/img]
Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Stop ou encore pour Alex ?
Après une défaite 2-1 en Copa Rio qui leur ôte tout espoir de qualification, les dirigeants de l'America RJ ont décidé de faire le menage en résiliant les contrats de 8 joueurs afin de préparer la saison 2011. A 38 piges, Alex Dias fait partie de la charrette des bannis et est désormais libre de tout contrat.
http://www.america-rj.com.br/noticias/n ... hp?id=1438
Après une défaite 2-1 en Copa Rio qui leur ôte tout espoir de qualification, les dirigeants de l'America RJ ont décidé de faire le menage en résiliant les contrats de 8 joueurs afin de préparer la saison 2011. A 38 piges, Alex Dias fait partie de la charrette des bannis et est désormais libre de tout contrat.
http://www.america-rj.com.br/noticias/n ... hp?id=1438
2005 -->2020
Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Victoire de l'Olympiacos 5-0 ce soir avec un doublé de Kevin Mirallas
http://www.youtube.com/watch?v=vA5Wwi_7 ... r_embedded[/video]
http://www.youtube.com/watch?v=Il3WN1SI ... r_embedded[/video]
http://www.youtube.com/watch?v=vA5Wwi_7 ... r_embedded[/video]
http://www.youtube.com/watch?v=Il3WN1SI ... r_embedded[/video]
2005 -->2020
Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Sont tombés raides dingues de Mirallas en Grece, il est en Une quasi quotidiennement
A priori la levée de son option d'achat est d'ores et déjà acquise
http://www.gavros.gr/default.aspx?id=89382&nt=151&pn=0
A priori la levée de son option d'achat est d'ores et déjà acquise
http://www.gavros.gr/default.aspx?id=89382&nt=151&pn=0
2005 -->2020
Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
une bonne nouvellethomas99 wrote:Sont tombés raides dingues de Mirallas en Grece, il est en Une quasi quotidiennement
A priori la levée de son option d'achat est d'ores et déjà acquise
http://www.gavros.gr/default.aspx?id=89382&nt=151&pn=0
Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Je vois pas en quoi. Ce mec là était bon AVANT et APRES être passé à l'ASSE. Y'a peut-être des questions à se poser, non ?? Ses 2 années stéphanoises ont correspondu à une hécatombe de blessures. Conséquence : il a été déplacé par Perrin à un poste qui n'était pas le sien.green wrote:une bonne nouvellethomas99 wrote:Sont tombés raides dingues de Mirallas en Grece, il est en Une quasi quotidiennement
A priori la levée de son option d'achat est d'ores et déjà acquise
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Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
on peut même rajouter : pour mettre Bergessio à la place.macrik wrote:Conséquence : il a été déplacé par Perrin à un poste qui n'était pas le sien.
Jonathan, on t'aime, on t'adore, ne pars pas, tu es magique!
Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
pour renflouer les caisses, son niveau c'est autre chose. De toute façon dans le dispositif de Galtier il n'aurait servi a rienmacrik wrote:Je vois pas en quoi. Ce mec là était bon AVANT et APRES être passé à l'ASSE. Y'a peut-être des questions à se poser, non ?? Ses 2 années stéphanoises ont correspondu à une hécatombe de blessures. Conséquence : il a été déplacé par Perrin à un poste qui n'était pas le sien.green wrote:une bonne nouvellethomas99 wrote:Sont tombés raides dingues de Mirallas en Grece, il est en Une quasi quotidiennement
A priori la levée de son option d'achat est d'ores et déjà acquise
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Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Je ne suis pas sûr que les Lillois seraient totalement d'accord avec toi. Ils gardent l'image d'une tête de c... très inconstante. Un Marin à la mentalité douteuse, quoi...macrik wrote:Je vois pas en quoi. Ce mec là était bon AVANT et APRES être passé à l'ASSE. Y'a peut-être des questions à se poser, non ?? Ses 2 années stéphanoises ont correspondu à une hécatombe de blessures. Conséquence : il a été déplacé par Perrin à un poste qui n'était pas le sien.green wrote:une bonne nouvellethomas99 wrote:Sont tombés raides dingues de Mirallas en Grece, il est en Une quasi quotidiennement
A priori la levée de son option d'achat est d'ores et déjà acquise
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"Galtier est enlisé dans ses idées et mourira avec !"
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Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Villa cible Bafé Gomis
Gérard Houllier aurait fait de Bafétimbi Gomis sa priorité pour remplacer John Carew, annoncé sur le départ.
John Carew n’est plus en odeur de sainteté à Aston Villa. Le géant norvégien, libre à la fin de la saison, se serait vexé quand Gérard Houllier lui a demandé de choisir entre une prolongation et un transfert au prochain mercato… Le manager des Villans s’est donc mis en quête de son remplaçant. Il aurait d’ailleurs jeté son dévolu sur le Lyonnais Bafétimbi Gomis. Et ce avec un chèque d’un peu plus de 10 millions d’euros pour tenter de séduire ses anciens employeurs… Bafétimbi Gomis a marqué deux fois en Ligue 1 cette saison (12 matches).
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Gérard Houllier aurait fait de Bafétimbi Gomis sa priorité pour remplacer John Carew, annoncé sur le départ.
John Carew n’est plus en odeur de sainteté à Aston Villa. Le géant norvégien, libre à la fin de la saison, se serait vexé quand Gérard Houllier lui a demandé de choisir entre une prolongation et un transfert au prochain mercato… Le manager des Villans s’est donc mis en quête de son remplaçant. Il aurait d’ailleurs jeté son dévolu sur le Lyonnais Bafétimbi Gomis. Et ce avec un chèque d’un peu plus de 10 millions d’euros pour tenter de séduire ses anciens employeurs… Bafétimbi Gomis a marqué deux fois en Ligue 1 cette saison (12 matches).
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"Celui qui se perd dans sa passion est moins perdu que celui qui perd sa passion" (Saint-Augustin)
"Allez les Verts !" (Saint-Etienne)
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