GEOFFROY GUICHARD II
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Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
ça alors. le stade de Nancy, il est tout neuf, et ils veulent déjà le refaire ? très fort.
Jonathan, on t'aime, on t'adore, ne pars pas, tu es magique!
Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
Une petite vidéo du futur Marcel Picot :
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Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
Et pour nous, toujours rien, aucun plan, aucune maquettes, aucunes réalisation 3D...
Je l'aime de moins en moins le maire... Trop mou.
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Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
En parlant du maire de Sainté, il vient d'attaquer la Deutsche Bank :
La Ville de Saint-Etienne attaque une banque
Avant d’être maire de Saint-Etienne (Loire), le socialiste Maurice Vincent était économiste. Une expérience professionnelle qui lui est aujourd’hui utile. En succédant, en mars 2008, à l’UMP Michel Thiollière, il a découvert des finances municipales plombées par des prêts particulièrement toxiques. Il a réussi à négocier avec les banques. Mais pas toutes. Aujourd’hui, il décide d’assigner l’une d’entre elles, la Deutsche Bank, pour faire annuler un prêt de 20 millions d’euros contracté par la précédente équipe municipale, arguant de deux motifs. Le défaut de conseil de la banque, qui n’aurait pas informé les élus des risques encourus. Et l’illégalité de ce contrat, une collectivité n’étant pas autorisée à la spéculation…
Saint-Etienne est la première collectivité en France à attaquer une banque pour ces raisons. Mais elle risque d’être suivie par d’autres. Contractés avant la crise, ces prêts se révélaient très intéressants à court terme. Mais potentiellement explosifs au bout de quelques années, la plupart reposant sur d’imprévisibles variables. C’est le cas de celui obtenu auprès de la Deutsche Bank par Saint-Etienne. Jusqu’ici, son taux d’intérêt était de 4,3 %. Mais, à partir d’avril 2010, il passera à… 24 %.
Le prêt en question, produit financier complexe, pariait sur la parité du franc suisse et de la livre sterling. Pari perdu, cette dernière s’étant effondrée. Coût pour la ville de Saint-Etienne : 3,7 millions d’euros par an. S’il fallait rembourser cette somme par l’impôt, cela représenterait une augmentation de 4 % pour le contribuable stéphanois, qui a déjà vu la fiscalité augmenter de 9 % l’an passé.
L’ancienne équipe municipale avait vu dans ces prêts une solution pour éponger l’impressionnante dette de la ville (380 millions d’euros, soit plus de 2 000 euros par habitant).
De fait, durant des années, les taux de ces prêts étaient inférieurs aux taux fixes des produits classiques. Ce qui a effectivement permis de remonter - un peu - la pente. Le précédent conseil municipal a presque tout misé dessus et, en 2008, avait contracté pour 200 millions d’euros de produits de ce type. Aujourd’hui, la nouvelle équipe socialiste ne souhaite surtout pas dédouaner ses prédécesseurs. Mais elle veut que les banques prennent leur part de responsabilité. Pour Maurice Vincent, «ces produits toxiques n’auraient jamais dû être proposés à des collectivités».
Alice Géraud
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La Ville de Saint-Etienne attaque une banque
Avant d’être maire de Saint-Etienne (Loire), le socialiste Maurice Vincent était économiste. Une expérience professionnelle qui lui est aujourd’hui utile. En succédant, en mars 2008, à l’UMP Michel Thiollière, il a découvert des finances municipales plombées par des prêts particulièrement toxiques. Il a réussi à négocier avec les banques. Mais pas toutes. Aujourd’hui, il décide d’assigner l’une d’entre elles, la Deutsche Bank, pour faire annuler un prêt de 20 millions d’euros contracté par la précédente équipe municipale, arguant de deux motifs. Le défaut de conseil de la banque, qui n’aurait pas informé les élus des risques encourus. Et l’illégalité de ce contrat, une collectivité n’étant pas autorisée à la spéculation…
Saint-Etienne est la première collectivité en France à attaquer une banque pour ces raisons. Mais elle risque d’être suivie par d’autres. Contractés avant la crise, ces prêts se révélaient très intéressants à court terme. Mais potentiellement explosifs au bout de quelques années, la plupart reposant sur d’imprévisibles variables. C’est le cas de celui obtenu auprès de la Deutsche Bank par Saint-Etienne. Jusqu’ici, son taux d’intérêt était de 4,3 %. Mais, à partir d’avril 2010, il passera à… 24 %.
Le prêt en question, produit financier complexe, pariait sur la parité du franc suisse et de la livre sterling. Pari perdu, cette dernière s’étant effondrée. Coût pour la ville de Saint-Etienne : 3,7 millions d’euros par an. S’il fallait rembourser cette somme par l’impôt, cela représenterait une augmentation de 4 % pour le contribuable stéphanois, qui a déjà vu la fiscalité augmenter de 9 % l’an passé.
L’ancienne équipe municipale avait vu dans ces prêts une solution pour éponger l’impressionnante dette de la ville (380 millions d’euros, soit plus de 2 000 euros par habitant).
De fait, durant des années, les taux de ces prêts étaient inférieurs aux taux fixes des produits classiques. Ce qui a effectivement permis de remonter - un peu - la pente. Le précédent conseil municipal a presque tout misé dessus et, en 2008, avait contracté pour 200 millions d’euros de produits de ce type. Aujourd’hui, la nouvelle équipe socialiste ne souhaite surtout pas dédouaner ses prédécesseurs. Mais elle veut que les banques prennent leur part de responsabilité. Pour Maurice Vincent, «ces produits toxiques n’auraient jamais dû être proposés à des collectivités».
Alice Géraud
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Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
Vincent a trouvé une excuse pour échouer mais on comprend aussi pourquoi la ville ne peut pas se permettre de construire un nouveau stade.
Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
Nuance : Vincent tente de réparer les erreurs commises par son prédécesseur...deiphobos wrote:Vincent a trouvé une excuse pour échouer mais on comprend aussi pourquoi la ville ne peut pas se permettre de construire un nouveau stade.
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Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
Exact aussi mais ces erreurs risquent de l'empêcher de faire ce qu'il veut.Punky wrote:Nuance : Vincent tente de réparer les erreurs commises par son prédécesseur...deiphobos wrote:Vincent a trouvé une excuse pour échouer mais on comprend aussi pourquoi la ville ne peut pas se permettre de construire un nouveau stade.
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Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
Vincent a raison.
Mais les cons dans l'histoire, c'est nous: on est même pas capable de rentrer dans le lard des banques qu'on a sauvé à coup de milliard sans 1 centime d'effacement de dette...
Mais les cons dans l'histoire, c'est nous: on est même pas capable de rentrer dans le lard des banques qu'on a sauvé à coup de milliard sans 1 centime d'effacement de dette...
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Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
Peut-être une momo......
Le 11 novembre, la liste des douze villes de la candidature de la France à l'Euro 2016 seront dévoilées. Seize sites sont en lice et sur les douze stades, trois seront "en réserve". Le président de Saint-Etienne Métropole, le président du Conseil général de la Loire et les présidents de l'ASSE s'étaient donnés rendez-vous au stade avant le derby pour faire le point sur la candidature stéphanoise.
" On a énormément d'atouts. Nous sommes très confiants quant à cette obtention ", a déclaré Roland Goujon, Vice-président de la Communauté d'agglomération en charge des équipements sportifs. " On peut prétendre de façon solide à des matches de qualification et un 8ème de finale. " Le projet de nouveau stade ayant été abandonné, les décideurs se sont rabattus sur un Chaudron rénové. Outre une assiette foncière maîtrisée, faisant l'économie de conflits éventuels (expropriations...) et sécurisant les procédures administratives, les élus mettent en avant une très bonne maîtrise financière du projet, s'appuyant sur une conception-réalisation sous financement public et non public/privé.
" C'est une candidature réaliste", répète Roland Goujon; " très travaillée, sans fausses promesses", souligne de son côté Bernard Caiazzo, qui doit donner à la France du football, selon Maurice Vincent, "un stade Geoffroy Guichard avec une autre physionomie, un stade du 21e siècle". Willy Sagnol, le parrain de cette candidature, estime pour sa part que le projet est "solide et ambitieux".
D'autres atouts sont mis en exergue. D'abord le savoir-faire de la Loire, indéniable car éprouvé à de nombreuses reprises, dans l'accueil des manifestations footballistiques de grande ampleur: Coupe d'Europe des Nations en 1984; Coupe du Monde 98; Coupe des Confédérations 2003. Mais aussi, et c'est un argument fort en ce début de XXIe siècle, le fait que Geoffroy-Guichard soit équipé depuis 2007 de panneaux photovoltaïques. D'un coût de 70 à 75 millions d'euros TTC, les travaux devraient débuter en 2011 pour s'achever en 2014, en impactant le moins possible sur la fréquentation du stade. Une problématique qui sera déterminante dans le choix, en 2010, du groupement d'entreprises en charge de la conception et réalisation.
http://www.forez-info.com/actualite/div ... looke.html" onclick="window.open(this.href);return false;
le reste de l'article est le même qu'on a déja lu y a 2-3 mois
Le 11 novembre, la liste des douze villes de la candidature de la France à l'Euro 2016 seront dévoilées. Seize sites sont en lice et sur les douze stades, trois seront "en réserve". Le président de Saint-Etienne Métropole, le président du Conseil général de la Loire et les présidents de l'ASSE s'étaient donnés rendez-vous au stade avant le derby pour faire le point sur la candidature stéphanoise.
" On a énormément d'atouts. Nous sommes très confiants quant à cette obtention ", a déclaré Roland Goujon, Vice-président de la Communauté d'agglomération en charge des équipements sportifs. " On peut prétendre de façon solide à des matches de qualification et un 8ème de finale. " Le projet de nouveau stade ayant été abandonné, les décideurs se sont rabattus sur un Chaudron rénové. Outre une assiette foncière maîtrisée, faisant l'économie de conflits éventuels (expropriations...) et sécurisant les procédures administratives, les élus mettent en avant une très bonne maîtrise financière du projet, s'appuyant sur une conception-réalisation sous financement public et non public/privé.
" C'est une candidature réaliste", répète Roland Goujon; " très travaillée, sans fausses promesses", souligne de son côté Bernard Caiazzo, qui doit donner à la France du football, selon Maurice Vincent, "un stade Geoffroy Guichard avec une autre physionomie, un stade du 21e siècle". Willy Sagnol, le parrain de cette candidature, estime pour sa part que le projet est "solide et ambitieux".
D'autres atouts sont mis en exergue. D'abord le savoir-faire de la Loire, indéniable car éprouvé à de nombreuses reprises, dans l'accueil des manifestations footballistiques de grande ampleur: Coupe d'Europe des Nations en 1984; Coupe du Monde 98; Coupe des Confédérations 2003. Mais aussi, et c'est un argument fort en ce début de XXIe siècle, le fait que Geoffroy-Guichard soit équipé depuis 2007 de panneaux photovoltaïques. D'un coût de 70 à 75 millions d'euros TTC, les travaux devraient débuter en 2011 pour s'achever en 2014, en impactant le moins possible sur la fréquentation du stade. Une problématique qui sera déterminante dans le choix, en 2010, du groupement d'entreprises en charge de la conception et réalisation.
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le reste de l'article est le même qu'on a déja lu y a 2-3 mois
Pourtant que la montagne est belle, Comment peut-on s'imaginer En voyant un vol d'hirondelles Que l'automne vient d'arriver ? .............vive l'ardeche.................
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Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
Vu qu'ils ont prévu de refaire tout le toit les panneaux vont sauter.cedric26 wrote: Mais aussi, et c'est un argument fort en ce début de XXIe siècle, le fait que Geoffroy-Guichard soit équipé depuis 2007 de panneaux photovoltaïques.
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Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
chuuuuuuuuuuuuuuuuuuuutStef wrote:Vu qu'ils ont prévu de refaire tout le toit les panneaux vont sauter.cedric26 wrote: Mais aussi, et c'est un argument fort en ce début de XXIe siècle, le fait que Geoffroy-Guichard soit équipé depuis 2007 de panneaux photovoltaïques.
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Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
cedric26 wrote: " On a énormément d'atouts. Nous sommes très confiants quant à cette obtention "
Ouai, ben on l'auras pas lol.
ça me rappelle l'échec de Saint-Etienne 2013 (capitale de la culture).
"Quand je rêve que je baise, je me réveille toujours trop tôt! Alors que je me réveille toujours trop tard quand je rêve que je pisse" Le Sneiper
Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
C'est marrant mais + un politique sur-vend son projet, plus j'ai du mal à croire à sa crédibilité.Mick wrote:cedric26 wrote: " On a énormément d'atouts. Nous sommes très confiants quant à cette obtention "
Ouai, ben on l'auras pas lol.
ça me rappelle l'échec de Saint-Etienne 2013 (capitale de la culture).
Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
les panneaux peuvent très bien être démontés et réinstallés sur la nouvelle toiture...GreenFloyd wrote:chuuuuuuuuuuuuuuuuuuuutStef wrote:Vu qu'ils ont prévu de refaire tout le toit les panneaux vont sauter.cedric26 wrote: Mais aussi, et c'est un argument fort en ce début de XXIe siècle, le fait que Geoffroy-Guichard soit équipé depuis 2007 de panneaux photovoltaïques.
Hello
Is there anybody in there
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Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
la vill eest endettée jusqu'au cou et ils parlent de refaire un stade
Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
Lu dans Le Midi Libre :
Pourquoi Montpellier est hors-jeu
Une candidature pour la forme et pour la com’ mais qui ne repose sur aucune réalité sérieuse. La Fédération française de football dévoilera, le 11 novembre prochain, la liste des douze stades - dont trois en réserve - retenus pour la candidature du pays à l’organisation de l’Euro 2016. Même si les collectivités locales tentent encore d’entretenir le suspense, Montpellier ne figurera pas dans cette sélection. La Ville et l’Agglo ont entretenu une annonce sans que la candidature repose sur une réalité sérieuse de sélection.
Une candidature pour la forme et pour la com’ mais qui ne repose sur aucune réalité sérieuse. La Fédération française de football dévoilera, le 11 novembre prochain, la liste des douze stades - dont trois en réserve - retenus pour la candidature du pays à l’organisation de l’Euro 2016. Même si les collectivités locales tentent encore d’entretenir le suspense, Montpellier ne figurera pas dans cette sélection. L’accueil de la Coupe du monde 1998 puis du Mondial de rugby en 2007 n’ont pas suffi à imposer la ville comme un site incontournable pour ce genre d’événements sportifs internationaux. Dommage. A la décharge des responsables de l’Agglo - propriétaire de La Mosson - et de la Ville, les critères financiers dans ce contexte de crise n’ont probablement jamais pesé aussi lourd dans les dossiers. Au point de justifier une simple candidature de forme dénuée d’une réelle volonté politique ? Tour d’horizons des raisons pour lesquelles Montpellier ne pouvait espérer mieux dans cette partie.
1 Un dossier remis tardivement à la Fédération française
15 juillet 2009 : le patron de la fédération débarque à Montpellier dans le cadre d’un tour de France des villes qui lui ont adressé une lettre d’intentions, un an plus tôt. A sa grande surprise, aucun dossier complet de la candidature montpelliéraine ne lui a été remis... Une remarque qui a le mérite de faire accélérer les choses mais, à cette époque, la FFF dispose déjà d’une idée assez précise de la valeur des candidatures qui lui ont été soumises.
2 Un cahier des charges à remplir très, très exigeant
Des places d’une assise de 60 cm au lieu de 50 cm... De quatre à six studios télés, un système de vidéosurveillance avec caméras couleurs, plus de 10 000 m2 de salons ou espaces VIP... C’est peu de dire que le cahier des charges des équipements imposé par l’UEFA au pays organisateur a douché certains enthousiasmes. A Montpellier, c’est surtout l’exigence de disposer d’un stade entièrement couvert qui apparaît rédhibitoire. La tribune Aigoual, construite pour le Mondial 1998, pouvant difficilement être surmontée d’un toit...
3 La Mosson, une rénovation à quel prix ?
Les exigences de l’UEFA imposeraient donc une rénovation profonde de La Mosson. Trois ans à peine après le lifting (5 M€) opéré pour la Coupe du monde de rugby. A Toulouse, une étude précise a évalué le montant d’une rénovation du Stadium - d’une capacité équivalente à La Mosson - à 54 M€. En moyenne, la transformation des sites candidats à l’accueil de l’Euro approche les 70 M€. Une somme rondelette à laquelle le projet montpelliérain devrait donc ajouter le coût de la couverture de la tribune Aigoual. Lourd. « Nous nous engageons à condition que l’État, comme il l’a promis, prenne financièrement en charge les travaux de réfection », indiquait-on, en septembre, à l’Agglo. Problème : le gouvernement a annoncé qu’une enveloppe globale de 150 M€ serait mobilisée pour la modernisation des bâtiments retenus. Au début du mois, nos confrères de L’Équipe, citant un document interne de la FFF, indiquaient que le dossier montpelliérain ne serait pas retenu, faute d’un projet non « abouti ».
4 Des villes concurrentes sont plus en avance
Les villes candidates qui pourraient être en concurrence avec Montpellier pour "rentrer" dans la liste des douze ont déjà pris quelques longueurs d’avance et sont fidèles au timing espéré par la fédération. A Saint-Étienne, notamment, la rénovation du stade a été votée par les élus de la Métropole. A Toulouse, le maire Pierre Cohen s’est également engagé à lancer celle du Stadium. A Strasbourg, l’important aménagement de La Meinau a également reçu l’approbation politique. A Nancy, enfin, c’est le club locataire, l’ASNL, qui a décidé de porter l’investissement (80 M€). Seul le dossier lensois semble en retrait... en raison, en particulier, de l’édification voisine du nouveau stade de Lille.
Guy TRUBUIL
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Pourquoi Montpellier est hors-jeu
Une candidature pour la forme et pour la com’ mais qui ne repose sur aucune réalité sérieuse. La Fédération française de football dévoilera, le 11 novembre prochain, la liste des douze stades - dont trois en réserve - retenus pour la candidature du pays à l’organisation de l’Euro 2016. Même si les collectivités locales tentent encore d’entretenir le suspense, Montpellier ne figurera pas dans cette sélection. La Ville et l’Agglo ont entretenu une annonce sans que la candidature repose sur une réalité sérieuse de sélection.
Une candidature pour la forme et pour la com’ mais qui ne repose sur aucune réalité sérieuse. La Fédération française de football dévoilera, le 11 novembre prochain, la liste des douze stades - dont trois en réserve - retenus pour la candidature du pays à l’organisation de l’Euro 2016. Même si les collectivités locales tentent encore d’entretenir le suspense, Montpellier ne figurera pas dans cette sélection. L’accueil de la Coupe du monde 1998 puis du Mondial de rugby en 2007 n’ont pas suffi à imposer la ville comme un site incontournable pour ce genre d’événements sportifs internationaux. Dommage. A la décharge des responsables de l’Agglo - propriétaire de La Mosson - et de la Ville, les critères financiers dans ce contexte de crise n’ont probablement jamais pesé aussi lourd dans les dossiers. Au point de justifier une simple candidature de forme dénuée d’une réelle volonté politique ? Tour d’horizons des raisons pour lesquelles Montpellier ne pouvait espérer mieux dans cette partie.
1 Un dossier remis tardivement à la Fédération française
15 juillet 2009 : le patron de la fédération débarque à Montpellier dans le cadre d’un tour de France des villes qui lui ont adressé une lettre d’intentions, un an plus tôt. A sa grande surprise, aucun dossier complet de la candidature montpelliéraine ne lui a été remis... Une remarque qui a le mérite de faire accélérer les choses mais, à cette époque, la FFF dispose déjà d’une idée assez précise de la valeur des candidatures qui lui ont été soumises.
2 Un cahier des charges à remplir très, très exigeant
Des places d’une assise de 60 cm au lieu de 50 cm... De quatre à six studios télés, un système de vidéosurveillance avec caméras couleurs, plus de 10 000 m2 de salons ou espaces VIP... C’est peu de dire que le cahier des charges des équipements imposé par l’UEFA au pays organisateur a douché certains enthousiasmes. A Montpellier, c’est surtout l’exigence de disposer d’un stade entièrement couvert qui apparaît rédhibitoire. La tribune Aigoual, construite pour le Mondial 1998, pouvant difficilement être surmontée d’un toit...
3 La Mosson, une rénovation à quel prix ?
Les exigences de l’UEFA imposeraient donc une rénovation profonde de La Mosson. Trois ans à peine après le lifting (5 M€) opéré pour la Coupe du monde de rugby. A Toulouse, une étude précise a évalué le montant d’une rénovation du Stadium - d’une capacité équivalente à La Mosson - à 54 M€. En moyenne, la transformation des sites candidats à l’accueil de l’Euro approche les 70 M€. Une somme rondelette à laquelle le projet montpelliérain devrait donc ajouter le coût de la couverture de la tribune Aigoual. Lourd. « Nous nous engageons à condition que l’État, comme il l’a promis, prenne financièrement en charge les travaux de réfection », indiquait-on, en septembre, à l’Agglo. Problème : le gouvernement a annoncé qu’une enveloppe globale de 150 M€ serait mobilisée pour la modernisation des bâtiments retenus. Au début du mois, nos confrères de L’Équipe, citant un document interne de la FFF, indiquaient que le dossier montpelliérain ne serait pas retenu, faute d’un projet non « abouti ».
4 Des villes concurrentes sont plus en avance
Les villes candidates qui pourraient être en concurrence avec Montpellier pour "rentrer" dans la liste des douze ont déjà pris quelques longueurs d’avance et sont fidèles au timing espéré par la fédération. A Saint-Étienne, notamment, la rénovation du stade a été votée par les élus de la Métropole. A Toulouse, le maire Pierre Cohen s’est également engagé à lancer celle du Stadium. A Strasbourg, l’important aménagement de La Meinau a également reçu l’approbation politique. A Nancy, enfin, c’est le club locataire, l’ASNL, qui a décidé de porter l’investissement (80 M€). Seul le dossier lensois semble en retrait... en raison, en particulier, de l’édification voisine du nouveau stade de Lille.
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Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
sur lequipe.fr :
Foot - Euro 2016
Rennes renonce
Après le retrait de Nantes début septembre, c'est au tour de la ville de Rennes de renoncer à accueillir l'Euro 2016 «faute de garantie de financement de l'Etat». «Nous ne maintenons pas notre candidature», a déclaré le maire (PS) Daniel Delaveau en soulignant que «les contraintes imposées par l'UEFA étaient fortes, au-delà même du raisonnable». Les travaux nécessaires pour augmenter la capacité du stade rennais de 5.500 places se chiffrent à 36 millions d'euros, selon une étude de faisabilité publiée en septembre.
Mercredi prochain, le président de la FFF Jean-Pierre Escalettes, le directeur général de la FFF Jacques Lambert et le président de la LFP Frédéric Thiriez, dévoileront les 12 villes retenues. A savoir que 15 sites restent désormais en lice (9 stades titulaires et trois de réserve) : Nice, Marseille, Montpellier, Toulouse, Bordeaux, Saint-Etienne, Lyon, Lille, Lens, Strasbourg, Nancy, Metz, le Parc des Princes à Paris, le Stade de France à Saint-Denis et le stade des Hauts-de-Seine à Colombes. (Avec AFP)
Foot - Euro 2016
Rennes renonce
Après le retrait de Nantes début septembre, c'est au tour de la ville de Rennes de renoncer à accueillir l'Euro 2016 «faute de garantie de financement de l'Etat». «Nous ne maintenons pas notre candidature», a déclaré le maire (PS) Daniel Delaveau en soulignant que «les contraintes imposées par l'UEFA étaient fortes, au-delà même du raisonnable». Les travaux nécessaires pour augmenter la capacité du stade rennais de 5.500 places se chiffrent à 36 millions d'euros, selon une étude de faisabilité publiée en septembre.
Mercredi prochain, le président de la FFF Jean-Pierre Escalettes, le directeur général de la FFF Jacques Lambert et le président de la LFP Frédéric Thiriez, dévoileront les 12 villes retenues. A savoir que 15 sites restent désormais en lice (9 stades titulaires et trois de réserve) : Nice, Marseille, Montpellier, Toulouse, Bordeaux, Saint-Etienne, Lyon, Lille, Lens, Strasbourg, Nancy, Metz, le Parc des Princes à Paris, le Stade de France à Saint-Denis et le stade des Hauts-de-Seine à Colombes. (Avec AFP)
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Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
Et, comment ça se fait qu'on ait toujours pas de rendu en image de synthèse de la rénovation du stade? Trop tôt encore?
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Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
On sait également que Montpellier est HJ (la municipalité maintient sa candidature que pour la forme), même chose pour le stade des Hauts-de-Seine à Colombes. Nancy, Metz et Strasbourg : les trois stades ne seront pas tous choisis (trop près géographiquement parlant). Geoffroy Guichard sera donc dans les 12. Maintenant, être réserviste ne représente pas beaucoup d'intérêt. Il faut être dans les 9 et ça risque d'être très compliqué.SiempreVerde wrote:sur lequipe.fr :
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Rennes renonce
Après le retrait de Nantes début septembre, c'est au tour de la ville de Rennes de renoncer à accueillir l'Euro 2016 «faute de garantie de financement de l'Etat». «Nous ne maintenons pas notre candidature», a déclaré le maire (PS) Daniel Delaveau en soulignant que «les contraintes imposées par l'UEFA étaient fortes, au-delà même du raisonnable». Les travaux nécessaires pour augmenter la capacité du stade rennais de 5.500 places se chiffrent à 36 millions d'euros, selon une étude de faisabilité publiée en septembre.
Mercredi prochain, le président de la FFF Jean-Pierre Escalettes, le directeur général de la FFF Jacques Lambert et le président de la LFP Frédéric Thiriez, dévoileront les 12 villes retenues. A savoir que 15 sites restent désormais en lice (9 stades titulaires et trois de réserve) : Nice, Marseille, Montpellier, Toulouse, Bordeaux, Saint-Etienne, Lyon, Lille, Lens, Strasbourg, Nancy, Metz, le Parc des Princes à Paris, le Stade de France à Saint-Denis et le stade des Hauts-de-Seine à Colombes. (Avec AFP)
Nice, Marseille, Bordeaux, Lyon, Lille, Paris, Saint-Denis et un club parmi Nancy, Metz Strasbourg seront de la partie. Ca fait 8. Pour moi, la dernière place se jouera entre Toulouse, Lens, Saint-Etienne et les deux restants parmi Nancy, Metz et Strasbourg.
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Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
Sachant que Montpellier n'y croit même pas, que le stade de Colombes ne sera probablement pas retenu (3 stades dans un rayon de 10 km ça fait un peu beaucoup) et que Starsbourg, Nancy et Metz ne seront pas retenus tous les 3 ça voudrait dire que GG est sûr d'être dans les 12. Soit les 9 titulaires:SiempreVerde wrote: A savoir que 15 sites restent désormais en lice (9 stades titulaires et trois de réserve) : Nice, Marseille, Montpellier, Toulouse, Bordeaux, Saint-Etienne, Lyon, Lille, Lens, Strasbourg, Nancy, Metz, le Parc des Princes à Paris, le Stade de France à Saint-Denis et le stade des Hauts-de-Seine à Colombes. (Avec AFP)
Nice, Marseille, Toulouse, Bordeaux, Lyon, Lille, Strasbourg, Parc des Princes à Paris, le Stade de France
Et les 3 réservistes:
Nancy, GG, Lens.
Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
strasbourg sera retenu ou pas , y'a un pb dans ton message, non?Stef wrote:Sachant que Montpellier n'y croit même pas, que le stade de Colombes ne sera probablement pas retenu (3 stades dans un rayon de 10 km ça fait un peu beaucoup) et que Starsbourg, Nancy et Metz ne seront pas retenus tous les 3 ça voudrait dire que GG est sûr d'être dans les 12. Soit les 9 titulaires:SiempreVerde wrote: A savoir que 15 sites restent désormais en lice (9 stades titulaires et trois de réserve) : Nice, Marseille, Montpellier, Toulouse, Bordeaux, Saint-Etienne, Lyon, Lille, Lens, Strasbourg, Nancy, Metz, le Parc des Princes à Paris, le Stade de France à Saint-Denis et le stade des Hauts-de-Seine à Colombes. (Avec AFP)
Nice, Marseille, Toulouse, Bordeaux, Lyon, Lille, Strasbourg, Parc des Princes à Paris, le Stade de France
Et les 3 réservistes:
Nancy, GG, Lens.
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Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
Ce que je voulais dire c'est qu'entre Strasbourg, Nancy et Metz il devrait y avoir un titulaire, un réserviste et un éliminé. J'ai mis Strasbourg en favori pour être titulaire mais ça n'engage que moi.callaghan wrote:strasbourg sera retenu ou pas , y'a un pb dans ton message, non?Stef wrote:Sachant que Montpellier n'y croit même pas, que le stade de Colombes ne sera probablement pas retenu (3 stades dans un rayon de 10 km ça fait un peu beaucoup) et que Starsbourg, Nancy et Metz ne seront pas retenus tous les 3 ça voudrait dire que GG est sûr d'être dans les 12. Soit les 9 titulaires:SiempreVerde wrote: A savoir que 15 sites restent désormais en lice (9 stades titulaires et trois de réserve) : Nice, Marseille, Montpellier, Toulouse, Bordeaux, Saint-Etienne, Lyon, Lille, Lens, Strasbourg, Nancy, Metz, le Parc des Princes à Paris, le Stade de France à Saint-Denis et le stade des Hauts-de-Seine à Colombes. (Avec AFP)
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Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
Je te rejoins sur le : un titulaire, un réserviste et un éliminé. Maintenant, le projet de Nancy est très avancé et plutôt costaud. Des maquettes et une vidéo du nouveau Marcel Picot circulent déjà. Même si Strasbourg a de bonnes chances, Nancy pourrait tirer son épingle du jeu et être choisi.Stef wrote: Ce que je voulais dire c'est qu'entre Strasbourg, Nancy et Metz il devrait y avoir un titulaire, un réserviste et un éliminé. J'ai mis Strasbourg en favori pour être titulaire mais ça n'engage que moi.
Agent immobilier sur la région lyonnaise.
Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
Je ne vois pas les stades de Toulouse et de Bordeaux être retenus en même temps.
Les deux villes sont trop proches l'une de l'autre. De plus, je pense qu'elles sont trop excentrées géographiquement du centre de l'Europe pour être choisies toutes les deux.
Les deux villes sont trop proches l'une de l'autre. De plus, je pense qu'elles sont trop excentrées géographiquement du centre de l'Europe pour être choisies toutes les deux.
Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
On peut dire alors la même chose de Lyon et de Saint-Etienne.Mavsoul wrote:Je ne vois pas les stades de Toulouse et de Bordeaux être retenus en même temps.
Les deux villes sont trop proches l'une de l'autre. De plus, je pense qu'elles sont trop excentrées géographiquement du centre de l'Europe pour être choisies toutes les deux.
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