BriKo wrote:Victoire du SEB 90 - 82
yyyeeesss !!!
ça rejoue quand ?
[Basket] Reprise saison NBA
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GreenFloyd
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YesssssssssssssssssssssssssssssssssssBriKo wrote:Victoire du SEB 90 - 82
Que de bonnes nouvelles aujourd'hui.
"Les succès ne justifient pas la philosophie de l’équipe... Le hasard joue un rôle immense. L'important ce ne sont pas les résultats mais le procédé et c'est sur ce procédé qu'il faut juger le travail d'un entraineur" Juanma Lillo
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Encore une belle soirée à la Halle Vacheresse !
http://www.zoom42.fr/actu/ACT_detail.asp?strId=20243
Photos à venir demain.
Quel exploit du SEB !
http://www.zoom42.fr/actu/ACT_detail.asp?strId=20245
http://www.zoom42.fr/actu/ACT_detail.asp?strId=20243
Photos à venir demain.
Quel exploit du SEB !
http://www.zoom42.fr/actu/ACT_detail.asp?strId=20245
La petite interview d'après match d'Adam Hess :
http://www.zoom42.fr/actu/ACT_detail.asp?strId=20272
Et "quelques" photos du match pour revive cette superbe rencontre ainsi que les adieux émouvants du grand Marc Salyers à la Halle Vacheresse :
http://www.zoom42.fr/phototheque/PHO_in ... hotoId=683
http://www.zoom42.fr/actu/ACT_detail.asp?strId=20272
Et "quelques" photos du match pour revive cette superbe rencontre ainsi que les adieux émouvants du grand Marc Salyers à la Halle Vacheresse :
http://www.zoom42.fr/phototheque/PHO_in ... hotoId=683
Turiaf, l'anti-bling-bling
Un an après Tony Parker, champion avec les San Antonio Spurs, un autre Français va goûter aux joies des Finales NBA. L'intérieur des Los Angeles Lakers, Ronny Turiaf, se frottera au Big Three des Boston Celtics, dès jeudi soir, avec des rêves de grandeur pleins la tête. Même si, jusque-là, il a peu joué durant ces play-offs.
Pour tout basketteur, signer chez les Los Angeles Lakers, franchise mythique en NBA, est un rêve. Mais une fois le maillot or sur les épaules se pose un autre problème: comment exister dans l'ombre de la star Kobe Bryant ? Ronny Turiaf a trouvé la réponse en faisant de l'arrière All-Star un allié. Un ami. Et même si l'intérieur français a moins joué en play-offs qu'en saison régulière, il n'entend pas bouder son plaisir avant les Finales qui opposeront la franchise californienne aux Boston Celtics, au meilleur des sept matches.
Avec seulement 9,6 minutes de jeu en moyenne par match depuis le début des phases finales, contre 18,7 minutes le reste de l'année, Turiaf a logiquement vu son rendement baisser (2,1 points, 1,8 rebonds contre 6,6 points, 3,9 rebonds). "Je ne vais pas faire la fine bouche. Bien sûr que j'aimerais jouer plus, mais il y a d'autres joueurs et un coach qui fait ses choix, explique-t-il dans les colonnes de 20 Minutes. C'est à moi de bosser dur pour m'imposer, et j'apprends beaucoup." Comment pourrait-il en être autrement quand un monstre de travail comme Bryant le prend sous son aile et lui enseigne "la persévérance et la perfection" ?
Face aux San Antonio Spurs, en finale de la conférence Ouest, les Lakers n'ont eu besoin que de cinq matches pour en terminer (4-1). Une série qui a permis à Tony Parker, meneur de jeu des Texans, champions NBA l'an passé, de passer le témoin tricolore à son compatriote. "C'est bien pour moi et pour le basket français d'avoir un joueur en Finales NBA. Avec ce succès face aux Spurs, j'arrive presque au sommet de l'Himalaya", lâche-t-il, du haut de ses 2,08 mètres, sur les ondes de RMC. Le prochain obstacle, les Celtics, tombeurs des Detroit Pistons à l'Est (4-2), ne sera pas le plus simple à franchir car la franchise du Massachussetts a terminé la saison régulière en tête des bilans. Mais Turiaf y croit.
"Emmerder au maximum, même quelques minutes"
Bosseur de l'ombre cantonné au bout du banc par son coach, Phil Jackson, le Français ne vit que sa troisième saison dans la Ligue nord-américaine depuis son départ de l'université de Gonzaga, à l'été 2005. Et sa trajectoire a croisé celle des poids lourds des raquettes. "Là, j'ai joué contre Duncan, un des mecs que j'admirais quand j'étais à l'Insep. Même si ce n'est que quelques minutes, je me donne à fond et j'essaie de l'emmerder au maximum pour qu'il prenne des shoots difficiles." Jeudi soir, lors du premier match des Finales contre les Celtics, au TD Banknorth Garden de Boston, "il y aura des monuments comme Kevin Garnett. Ce sera chaud !"
Et qui sait, si "Master Zen" lui accorde davantage sa confiance, peut-être Turiaf pourra-t-il jouer des coudes avec Kendrick Perkins et grappiller des minutes à Pau Gasol, titulaire au poste cinq des Lakers ? "On est en Finales NBA, c'est énorme. Seulement, le travail ne s'arrête pas là, il reste une marche à gravir", prévient-il. L'histoire ne retient que les vainqueurs. Tony Parker, triple champion avec San Antonio et MVP des Finales l'an dernier, en sait quelque chose. Alors oui, Ronny Turiaf n'aura pas le même impact que "TP", mais ce n'est pas son rôle, ni son ambition première. Lui veut escalader les échelons, un à un. Et se faire un nom. Cela passe par une bague au doigt. Au rabais diront certains. Il s'en contentera.
www.sports.fr
Un an après Tony Parker, champion avec les San Antonio Spurs, un autre Français va goûter aux joies des Finales NBA. L'intérieur des Los Angeles Lakers, Ronny Turiaf, se frottera au Big Three des Boston Celtics, dès jeudi soir, avec des rêves de grandeur pleins la tête. Même si, jusque-là, il a peu joué durant ces play-offs.
Pour tout basketteur, signer chez les Los Angeles Lakers, franchise mythique en NBA, est un rêve. Mais une fois le maillot or sur les épaules se pose un autre problème: comment exister dans l'ombre de la star Kobe Bryant ? Ronny Turiaf a trouvé la réponse en faisant de l'arrière All-Star un allié. Un ami. Et même si l'intérieur français a moins joué en play-offs qu'en saison régulière, il n'entend pas bouder son plaisir avant les Finales qui opposeront la franchise californienne aux Boston Celtics, au meilleur des sept matches.
Avec seulement 9,6 minutes de jeu en moyenne par match depuis le début des phases finales, contre 18,7 minutes le reste de l'année, Turiaf a logiquement vu son rendement baisser (2,1 points, 1,8 rebonds contre 6,6 points, 3,9 rebonds). "Je ne vais pas faire la fine bouche. Bien sûr que j'aimerais jouer plus, mais il y a d'autres joueurs et un coach qui fait ses choix, explique-t-il dans les colonnes de 20 Minutes. C'est à moi de bosser dur pour m'imposer, et j'apprends beaucoup." Comment pourrait-il en être autrement quand un monstre de travail comme Bryant le prend sous son aile et lui enseigne "la persévérance et la perfection" ?
Face aux San Antonio Spurs, en finale de la conférence Ouest, les Lakers n'ont eu besoin que de cinq matches pour en terminer (4-1). Une série qui a permis à Tony Parker, meneur de jeu des Texans, champions NBA l'an passé, de passer le témoin tricolore à son compatriote. "C'est bien pour moi et pour le basket français d'avoir un joueur en Finales NBA. Avec ce succès face aux Spurs, j'arrive presque au sommet de l'Himalaya", lâche-t-il, du haut de ses 2,08 mètres, sur les ondes de RMC. Le prochain obstacle, les Celtics, tombeurs des Detroit Pistons à l'Est (4-2), ne sera pas le plus simple à franchir car la franchise du Massachussetts a terminé la saison régulière en tête des bilans. Mais Turiaf y croit.
"Emmerder au maximum, même quelques minutes"
Bosseur de l'ombre cantonné au bout du banc par son coach, Phil Jackson, le Français ne vit que sa troisième saison dans la Ligue nord-américaine depuis son départ de l'université de Gonzaga, à l'été 2005. Et sa trajectoire a croisé celle des poids lourds des raquettes. "Là, j'ai joué contre Duncan, un des mecs que j'admirais quand j'étais à l'Insep. Même si ce n'est que quelques minutes, je me donne à fond et j'essaie de l'emmerder au maximum pour qu'il prenne des shoots difficiles." Jeudi soir, lors du premier match des Finales contre les Celtics, au TD Banknorth Garden de Boston, "il y aura des monuments comme Kevin Garnett. Ce sera chaud !"
Et qui sait, si "Master Zen" lui accorde davantage sa confiance, peut-être Turiaf pourra-t-il jouer des coudes avec Kendrick Perkins et grappiller des minutes à Pau Gasol, titulaire au poste cinq des Lakers ? "On est en Finales NBA, c'est énorme. Seulement, le travail ne s'arrête pas là, il reste une marche à gravir", prévient-il. L'histoire ne retient que les vainqueurs. Tony Parker, triple champion avec San Antonio et MVP des Finales l'an dernier, en sait quelque chose. Alors oui, Ronny Turiaf n'aura pas le même impact que "TP", mais ce n'est pas son rôle, ni son ambition première. Lui veut escalader les échelons, un à un. Et se faire un nom. Cela passe par une bague au doigt. Au rabais diront certains. Il s'en contentera.
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cette nuit, la NBA va prendre un sacré coup de vieux avec le début du duel Boston Celtics - Los Angeles Lakers en finale. Une confrontation qui attise bien des souvenirs dans la mémoires des plus anciens, et fait rêver les plus jeunes de vivre une telle rivalité.
Au total, les deux équipes se sont rencontrées pas moins de 10 fois en finale NBA entre 1959 et 1987. Au total, les hommes en vert ont remporté 8 des 10 confrontations. La fin des années 80 a notamment été le lieu de 3 finales restées dans les annales, en 83-84, 84-85 et 86-87. ces trois finales ont donné lieu à un duel entre deux des plus grands joueurs de l'histoire : Larry Bird et Magic Johnson.
Mais cette rivalité va bien au-delà du basket, puisqu'elle symbolise aussi un affrontement entre "working class grit" et "hollywood glitz", et même pour certains entre Noirs et Blancs. Couplée à l'avènement de Jordan quelques années plus tard, cette rivalité à contribuer au renouveau de la NBA. Et en 2008, ce grand classique du basket est de retour ... attention les yeux.
Au total, les deux équipes se sont rencontrées pas moins de 10 fois en finale NBA entre 1959 et 1987. Au total, les hommes en vert ont remporté 8 des 10 confrontations. La fin des années 80 a notamment été le lieu de 3 finales restées dans les annales, en 83-84, 84-85 et 86-87. ces trois finales ont donné lieu à un duel entre deux des plus grands joueurs de l'histoire : Larry Bird et Magic Johnson.
Mais cette rivalité va bien au-delà du basket, puisqu'elle symbolise aussi un affrontement entre "working class grit" et "hollywood glitz", et même pour certains entre Noirs et Blancs. Couplée à l'avènement de Jordan quelques années plus tard, cette rivalité à contribuer au renouveau de la NBA. Et en 2008, ce grand classique du basket est de retour ... attention les yeux.
L'image 72 a été piratée. :evil:vinsanity wrote:Et "quelques" photos du match pour revive cette superbe rencontre ainsi que les adieux émouvants du grand Marc Salyers à la Halle Vacheresse :
http://www.zoom42.fr/phototheque/PHO_in ... hotoId=683
Sus aux sarthois. :evil:
Je n'ai vécu que par écran interposé l'hommage de Vacheresse à Salyers, et c'était déjà très émouvant. Peux-tu nous le raconter de l'intérieur, Vince ?
Et bien, déjà, lors de sa sortie à quelques secondes de la fin du match, il a reçu un vibrante ovation et a salué le public (photo 153). Ensuite, les joueurs sont retournés aux vestiaires et quasiment tout le monde est resté en place à l'appel du speaker qui annonçait cet hommage à Salyers.Karamba wrote:L'image 72 a été piratée. :evil:vinsanity wrote:Et "quelques" photos du match pour revive cette superbe rencontre ainsi que les adieux émouvants du grand Marc Salyers à la Halle Vacheresse :
http://www.zoom42.fr/phototheque/PHO_in ... hotoId=683
Sus aux sarthois. :evil:
Je n'ai vécu que par écran interposé l'hommage de Vacheresse à Salyers, et c'était déjà très émouvant. Peux-tu nous le raconter de l'intérieur, Vince ?
Ensuite, des bénévoles de la Chorale sont venus installer la bannière qui trônera désormais au plafond de la halle (à côté de bannières représentant les titres du club, photo 157, installés aussi pour l'occasion).
Les roannais sont donc revenu pour un tour d'honneur, et Marc Salyers, sorti en dernier des vestiaires, a alors de nouveau fait vibrer la Halle (photo 163). Les joueurs se sont ensuite réunis près de la bannière (photos 166 et 167) pour honorer leur coéquipier.
Marc est ensuite allé avec le président Brochot tiré la ficelle qui retenait la bannière et a semblé assez ému de voir ça (photos 168 à 171). Il a salué le public pendant plusieurs minutes avant de refaire un tour d'honneur. Au passage il a même tapé la bise à la supportrice emblématique de la Chorale, une blonde qui portait des oreilles bleu/blanc/rouge sur la tête en euroleague, et que les caméras de sport + nous montrait à chaque fois. Tu dois voir de qui je veux parler Karamba.
Il a dit un petit mot au micro, en anglais, que je n'ai pas compris, en terminant par un "merci beaucoup" avec une voix et un accent qui a fait chaviré ma chère et tendre :lol:
Voilà, c'est un peu difficile à faire vivre de l'intérieur, mais c'était vraiment un beau moment même si ça transparait pas forcément dans mes mots :lol:
Merci vinsanity.
Pour faire suite à mon précédent message, je me balladais avec mes pompes trouées dans un Adidas Store et j'ai craqué sur la paire collector Celtics sortie par Adidas pour la Finale et intitulée "Instinct II Low NBA Rivalry".
:oops:
Qu'elles sont belles ! :aime2: Je vais garder mes troués pour sortir et j'utilise les nouvelles comme pantoufles.
Pour faire suite à mon précédent message, je me balladais avec mes pompes trouées dans un Adidas Store et j'ai craqué sur la paire collector Celtics sortie par Adidas pour la Finale et intitulée "Instinct II Low NBA Rivalry".
:oops:
Qu'elles sont belles ! :aime2: Je vais garder mes troués pour sortir et j'utilise les nouvelles comme pantoufles.
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Nancy est le premier qualifié pour la finale de Pro A ce soir, après sa victoire sur l'ASVEL 104 à 89. Le SLUC disputera dimanche prochain sa quatrième finale consécutive. Demain la chorale cherchera à rejoindre les Lorrains face au Mans.
Sinon les Celtics ont aussi remporté la première manche des finales NBA hier, en dominant les Lakers 98 à 88 au garden. Fallait le dire quand même.
Sinon les Celtics ont aussi remporté la première manche des finales NBA hier, en dominant les Lakers 98 à 88 au garden.
Fallait le dire quand même.-
GreenFloyd
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