[Basket] Reprise saison NBA
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Garnett à la limite, même s'il a tendance à jouer plus PF que Cdjibgreen wrote:C'est pas facile de se retrouver à defendre sur des garnett et des Gasol à 19 ans d'entrée comme ca ...
Mais le pb de Petro n'est pas de contenir ces joueurs, simplement de freiner son implication physique et d'assimiler les règles. Pour celà, il a besoin d'avoir l'assurance de jouer car ça ne vient pas tout de suite, et en plus il a certainement envie de faire trop vite trop bien...
En revanche, TP continue son bon début de saison, avec 23pts à 11/19, 5rbs, 6asts pour 5TO.
TP fait toujours des bons débuts de saison mais il disparait toujours quand arrive les play Off, heureusement que Tim est lào_vert_seas1 wrote:Garnett à la limite, même s'il a tendance à jouer plus PF que Cdjibgreen wrote:C'est pas facile de se retrouver à defendre sur des garnett et des Gasol à 19 ans d'entrée comme ca ...
Mais le pb de Petro n'est pas de contenir ces joueurs, simplement de freiner son implication physique et d'assimiler les règles. Pour celà, il a besoin d'avoir l'assurance de jouer car ça ne vient pas tout de suite, et en plus il a certainement envie de faire trop vite trop bien...
En revanche, TP continue son bon début de saison, avec 23pts à 11/19, 5rbs, 6asts pour 5TO.
* "Pendant que les Gones étaient au cinéma, les Stéphanois niquaient leur femme"
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t'es sur de toi ? moi je crois me rappeler qu'il a totalement loupé son début de saison dernière et qu'il s'était parfaitement repris avant d'etre au niveau en play off. d'ailleurs je crois que ses stats son meilleures en play off qu'en saison régulière. à confirmer par les spécialistes toutefoisRudy wrote:TP fait toujours des bons débuts de saison mais il disparait toujours quand arrive les play Off, heureusement que Tim est lào_vert_seas1 wrote:Garnett à la limite, même s'il a tendance à jouer plus PF que Cdjibgreen wrote:C'est pas facile de se retrouver à defendre sur des garnett et des Gasol à 19 ans d'entrée comme ca ...
Mais le pb de Petro n'est pas de contenir ces joueurs, simplement de freiner son implication physique et d'assimiler les règles. Pour celà, il a besoin d'avoir l'assurance de jouer car ça ne vient pas tout de suite, et en plus il a certainement envie de faire trop vite trop bien...
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J'ai suivi quelques matches des Play Off 2005; aux Spurs, tu enlèves Duncan et Ginobili, t'as plus rien derrière, dès que les matches deviennent "serrés" TP est à la rue!titigreenfan wrote:t'es sur de toi ? moi je crois me rappeler qu'il a totalement loupé son début de saison dernière et qu'il s'était parfaitement repris avant d'etre au niveau en play off. d'ailleurs je crois que ses stats son meilleures en play off qu'en saison régulière. à confirmer par les spécialistes toutefoisRudy wrote:TP fait toujours des bons débuts de saison mais il disparait toujours quand arrive les play Off, heureusement que Tim est lào_vert_seas1 wrote:Garnett à la limite, même s'il a tendance à jouer plus PF que Cdjibgreen wrote:C'est pas facile de se retrouver à defendre sur des garnett et des Gasol à 19 ans d'entrée comme ca ...
Mais le pb de Petro n'est pas de contenir ces joueurs, simplement de freiner son implication physique et d'assimiler les règles. Pour celà, il a besoin d'avoir l'assurance de jouer car ça ne vient pas tout de suite, et en plus il a certainement envie de faire trop vite trop bien...
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Franchement, il y a mieux et plus fort que lui, mais le côté chauvin reprend vite le dessus
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Pas d'ac' avec toi Rudy.Rudy wrote:J'ai suivi quelques matches des Play Off 2005; aux Spurs, tu enlèves Duncan et Ginobili, t'as plus rien derrière, dès que les matches deviennent "serrés" TP est à la rue!titigreenfan wrote:t'es sur de toi ? moi je crois me rappeler qu'il a totalement loupé son début de saison dernière et qu'il s'était parfaitement repris avant d'etre au niveau en play off. d'ailleurs je crois que ses stats son meilleures en play off qu'en saison régulière. à confirmer par les spécialistes toutefoisRudy wrote:TP fait toujours des bons débuts de saison mais il disparait toujours quand arrive les play Off, heureusement que Tim est lào_vert_seas1 wrote:Garnett à la limite, même s'il a tendance à jouer plus PF que Cdjibgreen wrote:C'est pas facile de se retrouver à defendre sur des garnett et des Gasol à 19 ans d'entrée comme ca ...
Mais le pb de Petro n'est pas de contenir ces joueurs, simplement de freiner son implication physique et d'assimiler les règles. Pour celà, il a besoin d'avoir l'assurance de jouer car ça ne vient pas tout de suite, et en plus il a certainement envie de faire trop vite trop bien...
En revanche, TP continue son bon début de saison, avec 23pts à 11/19, 5rbs, 6asts pour 5TO.
Franchement, il y a mieux et plus fort que lui, mais le côté chauvin reprend vite le dessus
D'abord, effectivement, TP ne réussit jamais trop ses débuts de saison et c'est la raison pour laquelle il n'a jamais pu sérieusement prétendre à une apparition au All-Star game (élection en janvier).
Ensuite, si tu regardes les stats en play-offs, TP passe de 14.2pts en moyenne à 16.2pts, ce qui est énorme. Je te rappelle à cette occasion que les play-offs mettent aux prises les meilleures équipes, notamment celles qui défendent le mieux.
Enfin, dire que Duncan est l'élement majeur de SA est à la limite du pléonasme , quant à Manu, il a certes brillé pendant les 2 premiers matchs des Finals, mais honnêtement il n'est pas plus décisif que TP, simplement beaucoup plus spectaculaire (d'où son apparition au All-Star '05).
Et pour finir, si SA est à nouveau champion, ce n'est pas parce que TP est le meilleur PG ou Manu le meilleur SG... mais grâce à l'extraordinaire complémentarité de profil entre ces 2 joueurs et bien sûr l'assurance-vie Duncan.
Meme si TP a été loin d'etre performant en finale, il ne faut pas, surtout pas, oublier son implication defensive. A la fin du match 5 des finals, lorsque les Spurs ont gagné à Detroit grace à un Horry flamboyant en prolongation, la première chose qu'à demandé Popovich en revenant au vestiaire, c'est qui avait defendu sur la dernière possession ... TP.
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Et quelle défense de fou :shock:djibgreen wrote:Meme si TP a été loin d'etre performant en finale, il ne faut pas, surtout pas, oublier son implication defensive. A la fin du match 5 des finals, lorsque les Spurs ont gagné à Detroit grace à un Horry flamboyant en prolongation, la première chose qu'à demandé Popovich en revenant au vestiaire, c'est qui avait defendu sur la dernière possession ... TP.
Lors de la dernière possession, le ballon échoie à Rip Hamilton, le "Monsieur Adresse" des Pistons, quasiment au coin de la ligne des LF. Celui-ci se retourne, percute TP de l'épaule à la limite de la faute offensive et se dégage pour shooter, mais TP se reprend tellement bien que RIP, lors de son shoot, ne touche même pas le cercle :shock: :shock:
Sachant que le nombre d'airballs shootés par Rip en une saison doit être inférieur ou égal à 2, je vous laisse comprendre la perf' de TP
Parker sur sa lancée
Charlotte Bobcats - San Antonio Spurs : 86-94
Tim Duncan et Tony Parker ont mené leur franchise à la victoire sur le parquet des Bobcats de Charlotte. L'intérieur s'est offert 29 points et 10 rebonds alors que le meneur français est régulier avec 23 points et 6 assists. Des statistiques qui confirment l'emprise des deux leaders des Spurs depuis le début de saison. Malgré beaucoup de pertes de balle et les absences de Mickael Finley et Brent Barry, le champion en titre n'a jamais été inquiété par les Bobcats qui enregistrent leur troisième défaite en cinq matches.
Cleveland Cavaliers - Seattle SuperSonics : 112-85
Les Cavaliers n'ont fait qu'une bouchée des Sonics sous l'impulsion d'un LeBron James des grands jours. L'ailier s'est fendu de 31 points (10 sur 18 aux tirs) avec une maîtrise particulière dans l'exercice des lancers-francs (11/11). Cleveland a été dominateur à l'intérieur avec une marge de 35 rebonds de plus que son adversaire du jour, un record. Johan Pétro n'a pas surnagé, marquant seulement 2 points et captant 2 rebonds en 15 minutes. Il a en plus perdu sa place dans le cinq majeur au bénéfice de Vitaly Potapenko. (ce qu'ils oublient de dire c'est que c'est pas pour ca qu'il a moins jouer, or le plus important, c'est de finir les matches, pas de les commencer).
Indiana Pacers - Miami Heat : 95-90
Dwyane Wade se sent bien seul en l'absence de Shaquille O'Neal, blessé. Malgré des stats de très haut niveau (29 points, 11 rebonds et 6 assists), qui en font le meilleur marqueur, rebondeur et passeur de son équipe, Flash n'a pu empêcher la troisième défaite de Miami en cinq matches. De toute façon, la tâche n'était pas aisée face à des Pacers en grande forme à l'image d'un Ron Artest (24 points, 8 rebonds et 4 assists) qui veut faire oublier sa saison dernière gâchée par une suspension. (ce qu'ils oublient là aussi c'est les 10 pertes de balles de Wade ... :roll: )
Chicago Bulls - Golden State Warriors : 85-84
Après deux victoires à l'extérieur, les Warriors se sont inclinés de justesse sur le parquet des Chicago Bulls. Michael Sweetney a réussi ses deux lancers-francs à six secondes du buzzer, donnant la victoire aux siens. Mickael Piétrus rend une feuille de stats solide avec 13 points en 26 minutes. Un temps de jeu intéressant et plus important que la plupart des joueurs du cinq de départ mis à part les deux vedettes, Davis et Richardson. La franchise de MP présente désormais un bilan de 3 victoires pour deux défaites.
lequipe.fr
Charlotte Bobcats - San Antonio Spurs : 86-94
Tim Duncan et Tony Parker ont mené leur franchise à la victoire sur le parquet des Bobcats de Charlotte. L'intérieur s'est offert 29 points et 10 rebonds alors que le meneur français est régulier avec 23 points et 6 assists. Des statistiques qui confirment l'emprise des deux leaders des Spurs depuis le début de saison. Malgré beaucoup de pertes de balle et les absences de Mickael Finley et Brent Barry, le champion en titre n'a jamais été inquiété par les Bobcats qui enregistrent leur troisième défaite en cinq matches.
Cleveland Cavaliers - Seattle SuperSonics : 112-85
Les Cavaliers n'ont fait qu'une bouchée des Sonics sous l'impulsion d'un LeBron James des grands jours. L'ailier s'est fendu de 31 points (10 sur 18 aux tirs) avec une maîtrise particulière dans l'exercice des lancers-francs (11/11). Cleveland a été dominateur à l'intérieur avec une marge de 35 rebonds de plus que son adversaire du jour, un record. Johan Pétro n'a pas surnagé, marquant seulement 2 points et captant 2 rebonds en 15 minutes. Il a en plus perdu sa place dans le cinq majeur au bénéfice de Vitaly Potapenko. (ce qu'ils oublient de dire c'est que c'est pas pour ca qu'il a moins jouer, or le plus important, c'est de finir les matches, pas de les commencer).
Indiana Pacers - Miami Heat : 95-90
Dwyane Wade se sent bien seul en l'absence de Shaquille O'Neal, blessé. Malgré des stats de très haut niveau (29 points, 11 rebonds et 6 assists), qui en font le meilleur marqueur, rebondeur et passeur de son équipe, Flash n'a pu empêcher la troisième défaite de Miami en cinq matches. De toute façon, la tâche n'était pas aisée face à des Pacers en grande forme à l'image d'un Ron Artest (24 points, 8 rebonds et 4 assists) qui veut faire oublier sa saison dernière gâchée par une suspension. (ce qu'ils oublient là aussi c'est les 10 pertes de balles de Wade ... :roll: )
Chicago Bulls - Golden State Warriors : 85-84
Après deux victoires à l'extérieur, les Warriors se sont inclinés de justesse sur le parquet des Chicago Bulls. Michael Sweetney a réussi ses deux lancers-francs à six secondes du buzzer, donnant la victoire aux siens. Mickael Piétrus rend une feuille de stats solide avec 13 points en 26 minutes. Un temps de jeu intéressant et plus important que la plupart des joueurs du cinq de départ mis à part les deux vedettes, Davis et Richardson. La franchise de MP présente désormais un bilan de 3 victoires pour deux défaites.
lequipe.fr
De la promotion pour Boris Diaw
Boris Diaw est décidément en grande forme en ce début de saison. A tel point que le Français devrait désormais s'installer dans le cinq majeur des Suns. Ainsi en a décidé Mike D'Antoni qui a choisi de titulariser le Tricolore en lieu et place de l'ancien Pacer James Jones. Pour justifier ce réajustement, l'entraîneur de Phœnix a expliqué espérer voir son équipe attaquer les rencontres avec plus de mordant.
Boris Diaw est décidément en grande forme en ce début de saison. A tel point que le Français devrait désormais s'installer dans le cinq majeur des Suns. Ainsi en a décidé Mike D'Antoni qui a choisi de titulariser le Tricolore en lieu et place de l'ancien Pacer James Jones. Pour justifier ce réajustement, l'entraîneur de Phœnix a expliqué espérer voir son équipe attaquer les rencontres avec plus de mordant.
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Je regardais les résumés de match des Suns sur NBA.com, c'est énorme comme Bobo apparait en permanence dans ces "highlights" (les moments forts des matchs), quasiment à égalité avec Nash et Marion qui sont 2 All-Stardjibgreen wrote:De la promotion pour Boris Diaw
Boris Diaw est décidément en grande forme en ce début de saison. A tel point que le Français devrait désormais s'installer dans le cinq majeur des Suns. Ainsi en a décidé Mike D'Antoni qui a choisi de titulariser le Tricolore en lieu et place de l'ancien Pacer James Jones. Pour justifier ce réajustement, l'entraîneur de Phœnix a expliqué espérer voir son équipe attaquer les rencontres avec plus de mordant.
Et en plus il est montré plusieurs fois en train de lancer des alley-oops à Marion comme s'il jouait avec lui depuis des années :shock:
A lire aussi à son sujet la colonne hebdomadaire de Steve Kerr, consultant NBA sur yahoo.com, et qui en fait l'une des excellentes surprises du début de saison (en VO):
http://sports.yahoo.com/nba/news?slug=s ... &type=lgns
Duncan-Parker, duo majeur
Lancés dans une tournée de quatre dates à l'est, les champions en titre enchaînent les succès. Et pour leur troisième victoire de rang, 103-82 face aux Celtics, les Spurs se sont une nouvelle fois appuyés sur le tandem Tim Duncan-Tony Parker, les deux hommes inscrivant 29 et 23 points. Soirée tout aussi faste pour les Pacers et les Sixers, vainqueurs respectifs des Nets 102-90 et des Lakers 85-81 avec notamment 30 points pour Ron Artest et 34 pour Allen Iverson. A l'inverse, les Sonics ont sombré 137-96 chez les Wizards.
Neuf ans que ça dure. Aussi, dire que les Spurs sont devenus la bête noire des Celtics relève du doux euphémisme. Depuis janvier 1997, jamais les joueurs du Massachusetts ne sont en effet parvenus à prendre le meilleur sur les Texans. Une série de 16 défaites consécutives qui coïncide évidemment avec l'arrivée de Tim Duncan à San Antonio à l'été 1997. Et la réussite du double MVP de la Ligue et des Spurs est d'autant plus cruelle pour les Celtics que Boston a longtemps espéré pouvoir drafter l'ancien pensionnaire de Wake Forrest avant de voir San Antonio gagner le gros lot...
Et depuis c'est invariablement la même rengaine. Tony Parker le reconnaissait d'ailleurs après-coup: "C'est toujours la même chose lorsqu'on vient ici. Tim n'y a jamais perdu et moi non plus. Du coup, ça nous donne un surplus de motivation." A tel point que les Texans démarraient la rencontre pied au plancher pour un premier-quart temps à sens unique et leur assurant rapidement plus de dix points d'avance. Dans le sillage de l'inévitable Paul Pierce, seul Celtic à surnager avec 20 points et 10 rebonds, les hôtes de la soirée parvenaient bien à entretenir l'espoir en revenant à trois longueurs à la pause, les hommes de Gregg Popovich remettaient le couvert dès le retour des vestiaires et le troisième quart confinait rapidement à la démonstration.
Bruce Bowen et Manu Ginobili prenaient notamment feu à longue-distance et permettaient aux Texans de s'assurer vingt points d'avance. Le sort de la rencontre était scellé et San Antonio n'avait déjà plus qu'à entretenir l'écart dans le dernier acte. Après deux matches joués en prolongation et deux autres décidés dans les ultimes secondes, les Celtics en étaient quittes pour leur première correction de la saison et pouvaient mesurer la force collective des Texans. Doc Rivers expliquait ainsi: «Il n'y a rien à redire sur ce match. Ils sont une meilleure équipe que nous, exécutent les systèmes à la perfection et étouffent leurs adversaires.» Avant de se montrer positif: "Mais ça ne signifie pas pour autant qu'on est incapable de les battre!" Les 16 dernières rencontres tendent pourtant à prouver le contraire...
Et la tâche des Celtics était cette fois d'autant plus rude que les Texans peuvent s'appuyer sur un combo Tim Duncan-Tony Parker maître de son sujet en ce début de saison. Comme l'avant veille à Charlotte, l'intérieur y est ainsi allé de son habituel double-double avec 29 points et 12 rebonds, se payant même le luxe d'un tir primé, et le meneur tricolore a compilé 23 points à 10 sur 16 aux tirs, 6 rebonds et 6 passes. Bruce Bowen et Manu Ginobili ajoutant 12 et 11 points pour épauler leurs leaders, les absences de Michael Finley et Brent Barry, placés sur l'inactive list sont même passées inaperçues.
Indiana force tranquille
Comme si la verve et l'abattage des Jermaine O'Neal, Ron Artest ou Stephen Jackson ne suffisaient pas. Ron Artest a pourtant livré sa meilleure prestation offensive de la saison avec 30 points à 10 sur 15, Jermaine O'Neal a certes joué sa partition habituelle avec 20 points à 8 sur 17, mais la palme de la soirée revient pourtant à Anthony Johnson, meneur remplaçant appelé à la rescousse après la sortie prématurée de Jamaal Tinsley. Alors qu'il se plaignait récemment d'un temps de jeu trop maigre à son goût Johnson a profité à plein de se 26 minutes de jeu et inscrit 19 points grâce à un réussi 7 sur 8 aux tirs sont un parfait 3 sur 3 à trois points.
Une performance d'autant plus décisive qu'il a notamment inscrit 15 points au cours du troisième acte pour définitivement valider la victoire des siens. Après avoir viré en tête avec douze longueurs d'avance à la pause, un troisième quart à sens unique a en effet permis aux Pacers d'assurer leur cinquième victoire de l'année, la vaine réaction des Nets dans le dernier quart ne leur permettant que de sauver quelques apparences avec un revers concédé 102-90. Jason Kidd et Richard Jefferson à la peine avec 7 et 10 points, les 18 points de Vince Carter à 8 sur 13 ont été bien vains.
Iverson mate Bryant
Ça va de mieux en mieux pour les Sixers. Après avoir ouvert la saison par trois défaites, Philadelphie s'est en effet offert un troisième succès consécutif. Cette fois, les hommes de Marice Cheeks ont pris le dessus sur les Lakers 85-81 et Allen Iverson a remporté son duel d'artificiers face à Kobe Bryant. Alors qu'il tournait jusqu'alors à près de 35 points de moyenne, l'arrière californien a en effet dû se contenter de 17 points à 7 sur 27 aux tirs. A contrario, la gâchette fine des Sixers a non seulement terminé la rencontre avec 34 points à 10 sur 23 au compteur, mais il a également assuré la victoire des siens en inscrivant le panier décisif à quelques secondes de la fin, puis deux lancers-francs après un dernier échec de Kobe Bryant. Andre Iguodala, impeccable en défense sur l'artificier des Lakers tout au long de la rencontre, a ainsi eu le dernier mot et ni les 20 points de Chris Mihm, ni les 16 points et 12 rebonds de Lamar Odom n'ont suffi.
Les invincibles de Detroit
Six victoires en six matches, tel est le bilan immaculé des Pistons en ce début de saison. Après Phoenix et Sacramento, Detroit a en effet conclu son voyage sur la côte ouest par un succès à Portland. Une victoire certes acquise sur le fil, les hommes de Flip Saunders s'imposant 84-81 après avoir été mené tout au long de la première période et ainsi compté sept points de débours à la pause, mais une victoire assurée par la solidité de son meneur Chauncey Billups. Après avoir été le premier artisan du succès ramené la veille de Phœnix, le MVP des Finals 2004 a remis ça en compilant non seulement 21 points et 10 passes mais en enquillant également les deux lancers synonymes de victoires à neuf secondes de la fin de la rencontre. Car Zach Randolph, 21 points et 10 rebonds au compteur, a bien eu le panier de l'égalisation au bout des doigts, mais sa tentative à trois points restait trop courte. Le meneur des Pistons n'a pas été le seul néanmoins à briller puisque Detroit a fait parler son collectif avec les cinq titulaires à plus de dix points. Parmi eux, Rasheed Wallace, pour son troisième match chez son ancienne équipe, a notamment compilé 13 points et 8 rebonds. A noter chez les Blazers les 19 points à 6 sur 6 de juan Dixon en 18 minutes.
Seattle de mal en pis
Rien ne va plus à Seattle. Non content d'enchaîner les défaites, les hommes de Bob Weiss en sont à trois revers consécutifs, les Sonics vont de correction en correction. Après les Grizzlies et les Cavaliers, qui leur avaient passé 25 puis 27 points, c'est ainsi au tour des Wizards d'avoir mis en lumière les carences défensives des derniers demi-finalistes de conférence pour se livrer à un festival offensif et l'emporter 137-96. Gilbert Arenas a évidemment brillé, avec 32 points à 11 sur 16 aux tirs, Antawn Jamison n'a pas été en reste avec 19 points et 11 rebonds, et Caron Butler s'est mis au diapason en compilant 24 points, 6 rebonds et 5 passes en 24 minutes, mais c'est bien la défense de Seattle qui a craqué dans les grandes largeurs avec un 59% de réussite collective concédée à leurs hôtes. De quoi rendre les 17 points de Rashard Lewis et de Ray Allen anecdotiques. Présent dans le cinq lors des trois premiers matches de la saison, puis remisé sur le banc l'avant-veille à Cleveland, Johan Petro n'a, cette fois, pas eu voix au chapitre...
Les Warriors enfoncent New York
Les Knicks et Larry Brown devront encore patienter. Toujours en quête d'une première victoire, les New Yorkais sont en effet repartis bredouilles d'Oakland, y encaissant, face aux Warriors, un cinquième revers consécutif. La franchise de Big Apple a pourtant longtemps pu caresser l'espoir de cette première victoire puisque les hommes de Larry Brown ont notamment compté dix points d'avance dès le premier quart. En pure perte. Golden State est en effet parvenu à faire son retard au retour des vestiaires avant d'arracher la victoire dans les toutes dernières secondes. Un panier décisif d'Adonal Foyle, un rebond crucial de l'intérieur puis une interception de Baron Davis sur Jamal Crawford et le succès des Californiens était validé. Les Knicks n'avaient pourtant pas démérité, en premier lieu la traction arrière Stephon Marbury-Jamal Crawford, sur la sellette depuis le début de la saison, mais auteur pour l'occasion de 22 et 19 points. Mais le dernier mot est néanmoins revenu à des Warriors portés par Jason Richardson, 24 points, Troy Murphy, 19 points et 11 rebonds, ou Baron Davis, 12 points et 12 passes. Quant à Mickael Pietrus, l'ancien Palois a complété le tableau avec 10 points à 3 sur 8 et 4 rebonds en 21 minutes.
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Lancés dans une tournée de quatre dates à l'est, les champions en titre enchaînent les succès. Et pour leur troisième victoire de rang, 103-82 face aux Celtics, les Spurs se sont une nouvelle fois appuyés sur le tandem Tim Duncan-Tony Parker, les deux hommes inscrivant 29 et 23 points. Soirée tout aussi faste pour les Pacers et les Sixers, vainqueurs respectifs des Nets 102-90 et des Lakers 85-81 avec notamment 30 points pour Ron Artest et 34 pour Allen Iverson. A l'inverse, les Sonics ont sombré 137-96 chez les Wizards.
Neuf ans que ça dure. Aussi, dire que les Spurs sont devenus la bête noire des Celtics relève du doux euphémisme. Depuis janvier 1997, jamais les joueurs du Massachusetts ne sont en effet parvenus à prendre le meilleur sur les Texans. Une série de 16 défaites consécutives qui coïncide évidemment avec l'arrivée de Tim Duncan à San Antonio à l'été 1997. Et la réussite du double MVP de la Ligue et des Spurs est d'autant plus cruelle pour les Celtics que Boston a longtemps espéré pouvoir drafter l'ancien pensionnaire de Wake Forrest avant de voir San Antonio gagner le gros lot...
Et depuis c'est invariablement la même rengaine. Tony Parker le reconnaissait d'ailleurs après-coup: "C'est toujours la même chose lorsqu'on vient ici. Tim n'y a jamais perdu et moi non plus. Du coup, ça nous donne un surplus de motivation." A tel point que les Texans démarraient la rencontre pied au plancher pour un premier-quart temps à sens unique et leur assurant rapidement plus de dix points d'avance. Dans le sillage de l'inévitable Paul Pierce, seul Celtic à surnager avec 20 points et 10 rebonds, les hôtes de la soirée parvenaient bien à entretenir l'espoir en revenant à trois longueurs à la pause, les hommes de Gregg Popovich remettaient le couvert dès le retour des vestiaires et le troisième quart confinait rapidement à la démonstration.
Bruce Bowen et Manu Ginobili prenaient notamment feu à longue-distance et permettaient aux Texans de s'assurer vingt points d'avance. Le sort de la rencontre était scellé et San Antonio n'avait déjà plus qu'à entretenir l'écart dans le dernier acte. Après deux matches joués en prolongation et deux autres décidés dans les ultimes secondes, les Celtics en étaient quittes pour leur première correction de la saison et pouvaient mesurer la force collective des Texans. Doc Rivers expliquait ainsi: «Il n'y a rien à redire sur ce match. Ils sont une meilleure équipe que nous, exécutent les systèmes à la perfection et étouffent leurs adversaires.» Avant de se montrer positif: "Mais ça ne signifie pas pour autant qu'on est incapable de les battre!" Les 16 dernières rencontres tendent pourtant à prouver le contraire...
Et la tâche des Celtics était cette fois d'autant plus rude que les Texans peuvent s'appuyer sur un combo Tim Duncan-Tony Parker maître de son sujet en ce début de saison. Comme l'avant veille à Charlotte, l'intérieur y est ainsi allé de son habituel double-double avec 29 points et 12 rebonds, se payant même le luxe d'un tir primé, et le meneur tricolore a compilé 23 points à 10 sur 16 aux tirs, 6 rebonds et 6 passes. Bruce Bowen et Manu Ginobili ajoutant 12 et 11 points pour épauler leurs leaders, les absences de Michael Finley et Brent Barry, placés sur l'inactive list sont même passées inaperçues.
Indiana force tranquille
Comme si la verve et l'abattage des Jermaine O'Neal, Ron Artest ou Stephen Jackson ne suffisaient pas. Ron Artest a pourtant livré sa meilleure prestation offensive de la saison avec 30 points à 10 sur 15, Jermaine O'Neal a certes joué sa partition habituelle avec 20 points à 8 sur 17, mais la palme de la soirée revient pourtant à Anthony Johnson, meneur remplaçant appelé à la rescousse après la sortie prématurée de Jamaal Tinsley. Alors qu'il se plaignait récemment d'un temps de jeu trop maigre à son goût Johnson a profité à plein de se 26 minutes de jeu et inscrit 19 points grâce à un réussi 7 sur 8 aux tirs sont un parfait 3 sur 3 à trois points.
Une performance d'autant plus décisive qu'il a notamment inscrit 15 points au cours du troisième acte pour définitivement valider la victoire des siens. Après avoir viré en tête avec douze longueurs d'avance à la pause, un troisième quart à sens unique a en effet permis aux Pacers d'assurer leur cinquième victoire de l'année, la vaine réaction des Nets dans le dernier quart ne leur permettant que de sauver quelques apparences avec un revers concédé 102-90. Jason Kidd et Richard Jefferson à la peine avec 7 et 10 points, les 18 points de Vince Carter à 8 sur 13 ont été bien vains.
Iverson mate Bryant
Ça va de mieux en mieux pour les Sixers. Après avoir ouvert la saison par trois défaites, Philadelphie s'est en effet offert un troisième succès consécutif. Cette fois, les hommes de Marice Cheeks ont pris le dessus sur les Lakers 85-81 et Allen Iverson a remporté son duel d'artificiers face à Kobe Bryant. Alors qu'il tournait jusqu'alors à près de 35 points de moyenne, l'arrière californien a en effet dû se contenter de 17 points à 7 sur 27 aux tirs. A contrario, la gâchette fine des Sixers a non seulement terminé la rencontre avec 34 points à 10 sur 23 au compteur, mais il a également assuré la victoire des siens en inscrivant le panier décisif à quelques secondes de la fin, puis deux lancers-francs après un dernier échec de Kobe Bryant. Andre Iguodala, impeccable en défense sur l'artificier des Lakers tout au long de la rencontre, a ainsi eu le dernier mot et ni les 20 points de Chris Mihm, ni les 16 points et 12 rebonds de Lamar Odom n'ont suffi.
Les invincibles de Detroit
Six victoires en six matches, tel est le bilan immaculé des Pistons en ce début de saison. Après Phoenix et Sacramento, Detroit a en effet conclu son voyage sur la côte ouest par un succès à Portland. Une victoire certes acquise sur le fil, les hommes de Flip Saunders s'imposant 84-81 après avoir été mené tout au long de la première période et ainsi compté sept points de débours à la pause, mais une victoire assurée par la solidité de son meneur Chauncey Billups. Après avoir été le premier artisan du succès ramené la veille de Phœnix, le MVP des Finals 2004 a remis ça en compilant non seulement 21 points et 10 passes mais en enquillant également les deux lancers synonymes de victoires à neuf secondes de la fin de la rencontre. Car Zach Randolph, 21 points et 10 rebonds au compteur, a bien eu le panier de l'égalisation au bout des doigts, mais sa tentative à trois points restait trop courte. Le meneur des Pistons n'a pas été le seul néanmoins à briller puisque Detroit a fait parler son collectif avec les cinq titulaires à plus de dix points. Parmi eux, Rasheed Wallace, pour son troisième match chez son ancienne équipe, a notamment compilé 13 points et 8 rebonds. A noter chez les Blazers les 19 points à 6 sur 6 de juan Dixon en 18 minutes.
Seattle de mal en pis
Rien ne va plus à Seattle. Non content d'enchaîner les défaites, les hommes de Bob Weiss en sont à trois revers consécutifs, les Sonics vont de correction en correction. Après les Grizzlies et les Cavaliers, qui leur avaient passé 25 puis 27 points, c'est ainsi au tour des Wizards d'avoir mis en lumière les carences défensives des derniers demi-finalistes de conférence pour se livrer à un festival offensif et l'emporter 137-96. Gilbert Arenas a évidemment brillé, avec 32 points à 11 sur 16 aux tirs, Antawn Jamison n'a pas été en reste avec 19 points et 11 rebonds, et Caron Butler s'est mis au diapason en compilant 24 points, 6 rebonds et 5 passes en 24 minutes, mais c'est bien la défense de Seattle qui a craqué dans les grandes largeurs avec un 59% de réussite collective concédée à leurs hôtes. De quoi rendre les 17 points de Rashard Lewis et de Ray Allen anecdotiques. Présent dans le cinq lors des trois premiers matches de la saison, puis remisé sur le banc l'avant-veille à Cleveland, Johan Petro n'a, cette fois, pas eu voix au chapitre...
Les Warriors enfoncent New York
Les Knicks et Larry Brown devront encore patienter. Toujours en quête d'une première victoire, les New Yorkais sont en effet repartis bredouilles d'Oakland, y encaissant, face aux Warriors, un cinquième revers consécutif. La franchise de Big Apple a pourtant longtemps pu caresser l'espoir de cette première victoire puisque les hommes de Larry Brown ont notamment compté dix points d'avance dès le premier quart. En pure perte. Golden State est en effet parvenu à faire son retard au retour des vestiaires avant d'arracher la victoire dans les toutes dernières secondes. Un panier décisif d'Adonal Foyle, un rebond crucial de l'intérieur puis une interception de Baron Davis sur Jamal Crawford et le succès des Californiens était validé. Les Knicks n'avaient pourtant pas démérité, en premier lieu la traction arrière Stephon Marbury-Jamal Crawford, sur la sellette depuis le début de la saison, mais auteur pour l'occasion de 22 et 19 points. Mais le dernier mot est néanmoins revenu à des Warriors portés par Jason Richardson, 24 points, Troy Murphy, 19 points et 11 rebonds, ou Baron Davis, 12 points et 12 passes. Quant à Mickael Pietrus, l'ancien Palois a complété le tableau avec 10 points à 3 sur 8 et 4 rebonds en 21 minutes.
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A Diaw la victoire
En panne d'adresse, Boris Diaw n'a pas brillé plus que de coutume face à Golden State, le Tricolore se contentant de faire admirer sa polyvalence avec 8 points, 12 rebonds et 5 passes, mais l'homme à tout faire des Suns a bien eu le dernier mot dans son duel face à Mickael Pietrus. Malgré les 16 points et 9 rebonds du Guadeloupéen, les Warriors se sont en effet inclinés 101-86 en Arizona. Défaite également pour les Spurs, les Texans chutant à Washington 110-95 et Gilbert Arenas remportant le duel de meneurs avec 43 points contre 23 pour Tony Parker.
Les temps ont décidément changé depuis leur arrivée dans la Ligue. Alors que les retrouvailles des deux anciens Palois n'avaient jusqu'alors guère d'intérêt sportif, leurs équipes navigant le plus souvent dans les profondeurs du classement et les intéressés n'étant d'ailleurs pas toujours conviés à la noce, les rencontres entre Boris Diaw et Mickael Pietrus dépassent désormais le seul cadre du basket franchouillard. Le passage du premier des Hawks aux Suns et l'émergence des Warriors aidant, il fleure même comme un parfum de playoffs autour de leurs oppositions.
Le constat est d'autant plus plaisant que les deux hommes pourraient également postuler à quelque honneur individuel en fin d'année, qui, au titre de joueur ayant le plus progressé, qui, à celui de meilleur sixième homme. Après un départ en fanfare du Californien, auteur de 20 points lors du match d'ouverture, Boris Diaw semble pour l'heure avoir pris une longueur d'avance sur son compatriote. Car s'il tarde toujours à affoler les compteurs en attaque, le caméléon des Suns n'en finit plus en effet de séduire son staff technique par sa polyvalence. Et les suiveurs de la franchise comme les fans -en atteste le sondage auprès des internautes du site de la franchise l'élisant bonne pioche de l'intersaison- sont tout autant sous le charme. Tant pis pour le manque de fiabilité de son tir extérieur...
Des Warriors maladroits
Car sa prestation face aux Warriors n'a fait qu'entretenir son image. Nouvel homme à tout bien faire des Suns, l'ancien Hawk a ainsi compilé 8 points, 12 rebonds et 5 passes décisives en 30 minutes, mais n'a rendu qu'un piètre 2 sur 8 aux tirs, manquant notamment ses quatre tentatives à mi-distance. Rageant. Et les deux points de suture reçus au-dessus de l'œil gauche après un choc avec Derek Fisher n'expliquent pas tout. Si, comme attendu, le Tricolore est bien de plus en plus audacieux en attaque, son séduisant 50% de réussite affiché depuis le début de saison n'est dû essentiellement qu'à sa force de pénétration.
Force de pénétration, qualité dont n'est évidemment pas dépourvu Mickael Pietrus. Mais s'il a bien tenté d'alterner tirs extérieurs et paniers près du cercle, le Guadeloupéen n'a guère été plus en réussite que son comparse de l'équipe de France. En atteste notamment son 1 sur 5 rendu derrière l'arc. Pour autant, MP2 a finalement flirté avec le double-double en terminant avec 16 point à 5 sur 13 et 9 rebonds au compteur. Il en aurait néanmoins fallu plus pour empêcher les Suns de décrocher leur première victoire à domicile après trois échecs. La faute notamment à la faillite de Jason Richardson au tir, l'arrière californien rendant 11 points à 5 sur 19. Et si Baron Davis a bien terminé meilleur marqueur des siens avec 23 points, sa doublure Derek Fisher en inscrivant 16, son 7 sur 19 aux tirs n'a pas aidé. De quoi expliquer en partie le rédhibitoire 36% d'adresse collective rendu par les hommes de Mike Montgomery.
Leurs hôtes de la soirée n'en demandaient pas tant. Et après avoir laisser échapper la victoire à trois reprises après avoir pourtant compté plus de dix points d'avance après la pause, les Suns ont pu assurer l'essentiel dans le sillage de leur tandem labellisé all-star. Avec respectivement 22 points-15 rebonds et 18 points-10 passes, Shawn Marion et Steve Nash ont en effet été les deux principaux architectes du succès de Phœnix. Les deux hommes n'ont néanmoins pas été les seuls à briller puisque Raja Bell et Leandro Barbosa, ce-dernier ayant eu droit aux honneurs du cinq de départ pour l'occasion, ont ajouté 20 et 19 points.
De quoi pouvoir savourer à sa juste mesure la 100e victoire de Mike D'Antoni à la tête des Suns. Et Shawn Marion d'affirmer ainsi après-coup: "On en avait besoin. C'est un pas dans la bonne direction. Ça va nous rassurer pour la suite. Notre attitude dans le dernier quart est prometteuse, en particulier notre intensité défensive. Il en faut d'autres." Les prochains adversaires des Suns sont prévenus...
En panne d'adresse, Boris Diaw n'a pas brillé plus que de coutume face à Golden State, le Tricolore se contentant de faire admirer sa polyvalence avec 8 points, 12 rebonds et 5 passes, mais l'homme à tout faire des Suns a bien eu le dernier mot dans son duel face à Mickael Pietrus. Malgré les 16 points et 9 rebonds du Guadeloupéen, les Warriors se sont en effet inclinés 101-86 en Arizona. Défaite également pour les Spurs, les Texans chutant à Washington 110-95 et Gilbert Arenas remportant le duel de meneurs avec 43 points contre 23 pour Tony Parker.
Les temps ont décidément changé depuis leur arrivée dans la Ligue. Alors que les retrouvailles des deux anciens Palois n'avaient jusqu'alors guère d'intérêt sportif, leurs équipes navigant le plus souvent dans les profondeurs du classement et les intéressés n'étant d'ailleurs pas toujours conviés à la noce, les rencontres entre Boris Diaw et Mickael Pietrus dépassent désormais le seul cadre du basket franchouillard. Le passage du premier des Hawks aux Suns et l'émergence des Warriors aidant, il fleure même comme un parfum de playoffs autour de leurs oppositions.
Le constat est d'autant plus plaisant que les deux hommes pourraient également postuler à quelque honneur individuel en fin d'année, qui, au titre de joueur ayant le plus progressé, qui, à celui de meilleur sixième homme. Après un départ en fanfare du Californien, auteur de 20 points lors du match d'ouverture, Boris Diaw semble pour l'heure avoir pris une longueur d'avance sur son compatriote. Car s'il tarde toujours à affoler les compteurs en attaque, le caméléon des Suns n'en finit plus en effet de séduire son staff technique par sa polyvalence. Et les suiveurs de la franchise comme les fans -en atteste le sondage auprès des internautes du site de la franchise l'élisant bonne pioche de l'intersaison- sont tout autant sous le charme. Tant pis pour le manque de fiabilité de son tir extérieur...
Des Warriors maladroits
Car sa prestation face aux Warriors n'a fait qu'entretenir son image. Nouvel homme à tout bien faire des Suns, l'ancien Hawk a ainsi compilé 8 points, 12 rebonds et 5 passes décisives en 30 minutes, mais n'a rendu qu'un piètre 2 sur 8 aux tirs, manquant notamment ses quatre tentatives à mi-distance. Rageant. Et les deux points de suture reçus au-dessus de l'œil gauche après un choc avec Derek Fisher n'expliquent pas tout. Si, comme attendu, le Tricolore est bien de plus en plus audacieux en attaque, son séduisant 50% de réussite affiché depuis le début de saison n'est dû essentiellement qu'à sa force de pénétration.
Force de pénétration, qualité dont n'est évidemment pas dépourvu Mickael Pietrus. Mais s'il a bien tenté d'alterner tirs extérieurs et paniers près du cercle, le Guadeloupéen n'a guère été plus en réussite que son comparse de l'équipe de France. En atteste notamment son 1 sur 5 rendu derrière l'arc. Pour autant, MP2 a finalement flirté avec le double-double en terminant avec 16 point à 5 sur 13 et 9 rebonds au compteur. Il en aurait néanmoins fallu plus pour empêcher les Suns de décrocher leur première victoire à domicile après trois échecs. La faute notamment à la faillite de Jason Richardson au tir, l'arrière californien rendant 11 points à 5 sur 19. Et si Baron Davis a bien terminé meilleur marqueur des siens avec 23 points, sa doublure Derek Fisher en inscrivant 16, son 7 sur 19 aux tirs n'a pas aidé. De quoi expliquer en partie le rédhibitoire 36% d'adresse collective rendu par les hommes de Mike Montgomery.
Leurs hôtes de la soirée n'en demandaient pas tant. Et après avoir laisser échapper la victoire à trois reprises après avoir pourtant compté plus de dix points d'avance après la pause, les Suns ont pu assurer l'essentiel dans le sillage de leur tandem labellisé all-star. Avec respectivement 22 points-15 rebonds et 18 points-10 passes, Shawn Marion et Steve Nash ont en effet été les deux principaux architectes du succès de Phœnix. Les deux hommes n'ont néanmoins pas été les seuls à briller puisque Raja Bell et Leandro Barbosa, ce-dernier ayant eu droit aux honneurs du cinq de départ pour l'occasion, ont ajouté 20 et 19 points.
De quoi pouvoir savourer à sa juste mesure la 100e victoire de Mike D'Antoni à la tête des Suns. Et Shawn Marion d'affirmer ainsi après-coup: "On en avait besoin. C'est un pas dans la bonne direction. Ça va nous rassurer pour la suite. Notre attitude dans le dernier quart est prometteuse, en particulier notre intensité défensive. Il en faut d'autres." Les prochains adversaires des Suns sont prévenus...
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Je suis en train de regarder le match Sonics@Raptors ...
Bilan sur Petro :
Positif :
- Il est très actif aux rebonds, il en grapille pas mal
- Il défend vraiment bien, son adversaire direct ne peut jamais shooter tranquille
- Il court beaucoup, il est souvent le premier en contre attaque
- Son équipe fait l'ecart alors qu'il est sur le terrain, et Bosh a pas marqué un point tant qu'il lui collait aux basques
Negatif :
- Nul à chier aux LF, sur les 2 que j'ai vu, l'un était presque air-ball trop court, et le second était vraiment pas aligné par rapport au panier
- En attaque il voit pas le ballon
L'action qui résumé tout :
Il prend un rebond offensif, il tente un bras roulé, trop long, il prend son propre rebond, et refait quasi le meme bras roulé, trop long ...
Bilan sur Petro :
Positif :
- Il est très actif aux rebonds, il en grapille pas mal
- Il défend vraiment bien, son adversaire direct ne peut jamais shooter tranquille
- Il court beaucoup, il est souvent le premier en contre attaque
- Son équipe fait l'ecart alors qu'il est sur le terrain, et Bosh a pas marqué un point tant qu'il lui collait aux basques
Negatif :
- Nul à chier aux LF, sur les 2 que j'ai vu, l'un était presque air-ball trop court, et le second était vraiment pas aligné par rapport au panier
- En attaque il voit pas le ballon
L'action qui résumé tout :
Il prend un rebond offensif, il tente un bras roulé, trop long, il prend son propre rebond, et refait quasi le meme bras roulé, trop long ...
Victoire finale pour Seattle ... ouf
126-121
3pts à 1/6 aux tirs et 1/6 aux LF 10rbds 5ftes et 1TO pour Petro, le tout en 35 minutes de jeu :shock: à peu près
C'est une performance encourageante, surtout que dans la partie du match que j'ai vu, c-a-d la 2ème mi-temps, les Raptors ont pas beaucoup marqué dans la peinture, et il a relativement bien contenu Chris Bosh.
Seattle et Petro au rebond
Certes, il ne s'agissait en face que des Raptors, cancres de la Ligue toujours à la recherche de leur première victoire, mais le succès décroché in extremis 126-121 à leurs dépens met évidemment du baume au cœur à des Sonics secoués par les trois corrections reçues cette semaine. Et si Rashard Lewis, auteur de 41 points à 12 sur 20 aux tirs, a été le principal artisan de la victoire, Johan Petro a célébré son retour dans le cinq majeur par une belle présence au rebond (10 rebonds) faisant oublier sa maladresse aux tirs (3 points à 1 sur 6).
www.sports.fr
126-121
3pts à 1/6 aux tirs et 1/6 aux LF 10rbds 5ftes et 1TO pour Petro, le tout en 35 minutes de jeu :shock: à peu près
C'est une performance encourageante, surtout que dans la partie du match que j'ai vu, c-a-d la 2ème mi-temps, les Raptors ont pas beaucoup marqué dans la peinture, et il a relativement bien contenu Chris Bosh.
Seattle et Petro au rebond
Certes, il ne s'agissait en face que des Raptors, cancres de la Ligue toujours à la recherche de leur première victoire, mais le succès décroché in extremis 126-121 à leurs dépens met évidemment du baume au cœur à des Sonics secoués par les trois corrections reçues cette semaine. Et si Rashard Lewis, auteur de 41 points à 12 sur 20 aux tirs, a été le principal artisan de la victoire, Johan Petro a célébré son retour dans le cinq majeur par une belle présence au rebond (10 rebonds) faisant oublier sa maladresse aux tirs (3 points à 1 sur 6).
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A part battre son record de rebonds et être dans le 5 majeur, Petro n'a pas beaucoup aidé son équipe pour la gagne!djibgreen wrote:Victoire finale pour Seattle ... ouf
126-121
3pts à 1/6 aux tirs et 1/6 aux LF 10rbds 5ftes et 1TO pour Petro, le tout en 35 minutes de jeu :shock: à peu près
C'est une performance encourageante, surtout que dans la partie du match que j'ai vu, c-a-d la 2ème mi-temps, les Raptors ont pas beaucoup marqué dans la peinture, et il a relativement bien contenu Chris Bosh.
Seattle et Petro au rebond
Certes, il ne s'agissait en face que des Raptors, cancres de la Ligue toujours à la recherche de leur première victoire, mais le succès décroché in extremis 126-121 à leurs dépens met évidemment du baume au cœur à des Sonics secoués par les trois corrections reçues cette semaine. Et si Rashard Lewis, auteur de 41 points à 12 sur 20 aux tirs, a été le principal artisan de la victoire, Johan Petro a célébré son retour dans le cinq majeur par une belle présence au rebond (10 rebonds) faisant oublier sa maladresse aux tirs (3 points à 1 sur 6).
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Il manque quand même de constance en attaque mais on va dire qu'il est jeune et qu'il progressera encore, mais attention à ne pas nous faire un Moisio
* "Pendant que les Gones étaient au cinéma, les Stéphanois niquaient leur femme"
T'as vu le match ?Rudy wrote:A part battre son record de rebonds et être dans le 5 majeur, Petro n'a pas beaucoup aidé son équipe pour la gagne!
Honnetement quand il était sur le terrain, les Raptors ont très peu marqué dans la raquette. Ils ont fait le trou dans le 3èmeQT alors qu'il était sur le terrain, en prenant plus de 15pts d'avance. Quand Fortson est rentré, l'ecart est redescendu à 8pts ... Après on peut pas le rendre responsable de la defense sur les postes exterieurs qui a été catastrophique en 4èmeQT. :lol:
TAF.djibgreen wrote:T'as vu le match ?Rudy wrote:A part battre son record de rebonds et être dans le 5 majeur, Petro n'a pas beaucoup aidé son équipe pour la gagne!
Honnetement quand il était sur le terrain, les Raptors ont très peu marqué dans la raquette. Ils ont fait le trou dans le 3èmeQT alors qu'il était sur le terrain, en prenant plus de 15pts d'avance. Quand Fortson est rentré, l'ecart est redescendu à 8pts ... Après on peut pas le rendre responsable de la defense sur les postes exterieurs qui a été catastrophique en 4èmeQT. :lol:
Et puis, c'est certain que de voir son pivot prendre 10 rebonds n'est d'aucune utilité pour gagner un match de basket...
J'ai pas vu le match mais un simple coup d'oeil surt les stats me laisse penser que Petro a beaucoup plus défendu qu'il n'a attaqué et qu'il l'a fait plutôt bien.
Aaron Williams : 2 points, 1/4
Matt Bonner : 2 points, 1/4
M'enfin, entre son attaque bidon sur Parker à laquelle 3 personnes lui ont répondu, fort bien, par ailleurs et sa tentative, manquée, d'essayer de nous faire croire que Mauresmo et Pierce n'étaient fortes que quand les meilleures n'étaient pas là, je commence à penser que Rudy ne supporte pas très bien de voir les autres réussir.
Sinon, je sors de 15 jours de NBA+, à raison de deux matchs par nuit, et ça fait bien plaisir. Les matchs sont dans l'ensemble très bons pour un mois de novembre en NBA, il n'y a aucune équipe complètement à la ramasse (sauf peut-être Toronto), les gros sont déjà là (sauf Miami mais le Heat joue à 7 pour l'instant), les Frenchies sont tous bons, vivement ma prochaine cure de NBA car la saison risque d'être passionante.
Mais non suis une caille-ra et je mérite un coup de Karcher!Karamba wrote:TAF.djibgreen wrote:T'as vu le match ?Rudy wrote:A part battre son record de rebonds et être dans le 5 majeur, Petro n'a pas beaucoup aidé son équipe pour la gagne!
Honnetement quand il était sur le terrain, les Raptors ont très peu marqué dans la raquette. Ils ont fait le trou dans le 3èmeQT alors qu'il était sur le terrain, en prenant plus de 15pts d'avance. Quand Fortson est rentré, l'ecart est redescendu à 8pts ... Après on peut pas le rendre responsable de la defense sur les postes exterieurs qui a été catastrophique en 4èmeQT. :lol:
Et puis, c'est certain que de voir son pivot prendre 10 rebonds n'est d'aucune utilité pour gagner un match de basket...
J'ai pas vu le match mais un simple coup d'oeil surt les stats me laisse penser que Petro a beaucoup plus défendu qu'il n'a attaqué et qu'il l'a fait plutôt bien.
Aaron Williams : 2 points, 1/4
Matt Bonner : 2 points, 1/4
M'enfin, entre son attaque bidon sur Parker à laquelle 3 personnes lui ont répondu, fort bien, par ailleurs et sa tentative, manquée, d'essayer de nous faire croire que Mauresmo et Pierce n'étaient fortes que quand les meilleures n'étaient pas là, je commence à penser que Rudy ne supporte pas très bien de voir les autres réussir.
Sinon, je sors de 15 jours de NBA+, à raison de deux matchs par nuit, et ça fait bien plaisir. Les matchs sont dans l'ensemble très bons pour un mois de novembre en NBA, il n'y a aucune équipe complètement à la ramasse (sauf peut-être Toronto), les gros sont déjà là (sauf Miami mais le Heat joue à 7 pour l'instant), les Frenchies sont tous bons, vivement ma prochaine cure de NBA car la saison risque d'être passionante.
Le match je l'ai vu, et juste un constat avec mon esprit critique habituel Petro n'a pas de bonnes mains en attaque, il lui manque encore de la technique du vrai pivot pour au moins taquiner les autres!
Quant à Parker, son vis-àvis lui met 43 points (Arenas) en plus de la défaite de son équipe (bah oui Tim pas en forme :roll: ) et vous trouvez le moyen d'encenser Tony :shock: sous prétexte qu'il a mis 23 points.
L'idolatrie franchouarde me gave, grave! :roll:
Pour MAuresmo, c'est pareil! elle ne gagne jamais rien mais les Masters sans les meilleures, ben voilà, on l'envoie sur la lune :roll: Rloand Garros l'année prochaine, les mêmes la trouveront nulle! :twisted:
* "Pendant que les Gones étaient au cinéma, les Stéphanois niquaient leur femme"
En ce qui concerne ta première phrase, j'ai beau :gratte:, je ne comprends pas. Mais, bon.Rudy wrote:Mais non suis une caille-ra et je mérite un coup de Karcher!Karamba wrote:TAF.djibgreen wrote:T'as vu le match ?Rudy wrote:A part battre son record de rebonds et être dans le 5 majeur, Petro n'a pas beaucoup aidé son équipe pour la gagne!
Honnetement quand il était sur le terrain, les Raptors ont très peu marqué dans la raquette. Ils ont fait le trou dans le 3èmeQT alors qu'il était sur le terrain, en prenant plus de 15pts d'avance. Quand Fortson est rentré, l'ecart est redescendu à 8pts ... Après on peut pas le rendre responsable de la defense sur les postes exterieurs qui a été catastrophique en 4èmeQT. :lol:
Et puis, c'est certain que de voir son pivot prendre 10 rebonds n'est d'aucune utilité pour gagner un match de basket...
J'ai pas vu le match mais un simple coup d'oeil surt les stats me laisse penser que Petro a beaucoup plus défendu qu'il n'a attaqué et qu'il l'a fait plutôt bien.
Aaron Williams : 2 points, 1/4
Matt Bonner : 2 points, 1/4
M'enfin, entre son attaque bidon sur Parker à laquelle 3 personnes lui ont répondu, fort bien, par ailleurs et sa tentative, manquée, d'essayer de nous faire croire que Mauresmo et Pierce n'étaient fortes que quand les meilleures n'étaient pas là, je commence à penser que Rudy ne supporte pas très bien de voir les autres réussir.
Sinon, je sors de 15 jours de NBA+, à raison de deux matchs par nuit, et ça fait bien plaisir. Les matchs sont dans l'ensemble très bons pour un mois de novembre en NBA, il n'y a aucune équipe complètement à la ramasse (sauf peut-être Toronto), les gros sont déjà là (sauf Miami mais le Heat joue à 7 pour l'instant), les Frenchies sont tous bons, vivement ma prochaine cure de NBA car la saison risque d'être passionante.
Le match je l'ai vu, et juste un constat avec mon esprit critique habituel Petro n'a pas de bonnes mains en attaque, il lui manque encore de la technique du vrai pivot pour au moins taquiner les autres!
Quant à Parker, son vis-àvis lui met 43 points (Arenas) en plus de la défaite de son équipe (bah oui Tim pas en forme :roll: ) et vous trouvez le moyen d'encenser Tony :shock: sous prétexte qu'il a mis 23 points.
L'idolatrie franchouarde me gave, grave! :roll:
Pour MAuresmo, c'est pareil! elle ne gagne jamais rien mais les Masters sans les meilleures, ben voilà, on l'envoie sur la lune :roll: Rloand Garros l'année prochaine, les mêmes la trouveront nulle! :twisted:
Sur Petro, personne n'a dit qu'il était un pivot dominant, non plus. Son poste est peut-être le plus dur en NBA, combien de bons pivots dans la League? Combien d'équipes jouant avec un 4 en 5? Nous parlons ici d'un rookie à l'expérience limitée en Europe, qui s'entraine avec les règles NBA depuis 4 mois et qui a joué moins de 10 matchs de NBA. Compte tenu de tout cela plus du fait que Petro est plus défenseur qu'attaquant, dire A part battre son record de rebonds et être dans le 5 majeur, Petro n'a pas beaucoup aidé son équipe pour la gagne! est ridicule.
Sur Parker, tu n'avais pas parlé d'un match mais tu nous disais qu'il était toujours bon en début de saison (ce qui est faux, on l'a vu) et nul en PO (ce qui l'est encore plus).
Sur le Masters, j'ai dû louper une de tes réponses, quelles sont les meilleures joueuses qui manquaient à l'appel, déjà?