[Basket] Reprise saison NBA
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Reggie Williams à la Draft
Top scoreur de la NCAA, Reggie Williams a décidé de se présenter la Draft NBA. Meilleur marqueur de Division 1 du championnat universitaire la saison dernière, Reggie Williams fera le grand saut vers la NBA le 28 juin prochain. L’ailier du Virginia Military Institute a marqué 28,1 points de moyenne la saison dernière avec notamment 4 matches à plus de 40 unités.
Top scoreur de la NCAA, Reggie Williams a décidé de se présenter la Draft NBA. Meilleur marqueur de Division 1 du championnat universitaire la saison dernière, Reggie Williams fera le grand saut vers la NBA le 28 juin prochain. L’ailier du Virginia Military Institute a marqué 28,1 points de moyenne la saison dernière avec notamment 4 matches à plus de 40 unités.
[quote="Vertdur"]Bouby a fait du bon boulot :wink:[/quote]
[quote="Cmagix"]un but de bouby[/quote]
[quote="billups42"]
C'est bien boubynight.....1er pour les infos[/quote]
[quote="Cmagix"]un but de bouby[/quote]
[quote="billups42"]
C'est bien boubynight.....1er pour les infos[/quote]
Et Dallas - Golden Stateboubynight wrote:Ce soir, Cleveland - Washington
et Spurs - Nuggets
Egalisation dans ces 2 matchs !
Victoires pour Cleveland, San Antonio et Dallas (au fait j'ai fait 3/3 la nuit dernière )
Voir les Bulls mener 2-0 contre le Heat n'a rien d'étonnant. Miami a souffert toute la saison régulière, c'est normal qu'ils soient assez mal en playoffs, surtout que Chicago affiche une belle régularité et un Luol Deng ... :shock:
Sinon LA s'est fait manger tout cru et ça risque fort de continuer ^^
Par contre Toronto a encore une fois bataillé pour l'emporter. A domicile, VC devrait être beaucoup plus efficace, et ça devrait faire 3-1 sans trop forcer
Les rumeurs et infos du jour :
- Rick Carlisle, l'excellent coach des Pacers, ne sera plus sur le banc la saison prochaine. Après une saison en demi-teinte, il a été demis de ses fonctions et pourra soit occuper une autre position dans la franchise, soit partir. Nul doute que pas mal d'équipe seront interessées car Rick Carlisle est un coach déjà expérimenté, élève de Larry Brown, au bilan plutot bon (181-147).
- C'est Marcus Camby qui devrait recevoir le titre de meilleur défenseur. En effet le trophée sera remis samedi, et les trophées sont en général remis le soir d'un match à domicile pour le joueur récompensé. Ce qui est les cas pour Camby ce samedi, mais pas pour Bowen, Wallace ou les autres favoris au titre.
- Larry Brown pourrait remplacer Tony Barone à la tête des Grizzlies
- New Jersey devrait re-signer Mikki Moore
- Rick Carlisle, l'excellent coach des Pacers, ne sera plus sur le banc la saison prochaine. Après une saison en demi-teinte, il a été demis de ses fonctions et pourra soit occuper une autre position dans la franchise, soit partir. Nul doute que pas mal d'équipe seront interessées car Rick Carlisle est un coach déjà expérimenté, élève de Larry Brown, au bilan plutot bon (181-147).
- C'est Marcus Camby qui devrait recevoir le titre de meilleur défenseur. En effet le trophée sera remis samedi, et les trophées sont en général remis le soir d'un match à domicile pour le joueur récompensé. Ce qui est les cas pour Camby ce samedi, mais pas pour Bowen, Wallace ou les autres favoris au titre.
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Que Larry parte à Memphis ça changera rien mais c'est tjs moins pourri qu'à NYvinsanity wrote:Les rumeurs et infos du jour :
- Rick Carlisle, l'excellent coach des Pacers, ne sera plus sur le banc la saison prochaine. Après une saison en demi-teinte, il a été demis de ses fonctions et pourra soit occuper une autre position dans la franchise, soit partir. Nul doute que pas mal d'équipe seront interessées car Rick Carlisle est un coach déjà expérimenté, élève de Larry Brown, au bilan plutot bon (181-147).
- C'est Marcus Camby qui devrait recevoir le titre de meilleur défenseur. En effet le trophée sera remis samedi, et les trophées sont en général remis le soir d'un match à domicile pour le joueur récompensé. Ce qui est les cas pour Camby ce samedi, mais pas pour Bowen, Wallace ou les autres favoris au titre.
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Pour Camby, ce titre est de totue façon une évidence, on voit qu'il gène considérablement Duncan !
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Retour à la normale
Défaits lors de leur entrée en Play-offs, San Antonio et Dallas ont rectifié le tir contre Denver (97-88) et Golden State (112-99). Cleveland, pour sa part, mène 2-0 contre Washington.
Par Guillaume Serres
San Antonio - Denver 97-88
Que de frayeurs pour San Antonio ! Les Spurs l’ont emporté conter Denver pour ce deuxième match de la série, mais une fois de plus les Texans se seront fait peur. C’est donc un grand merci qu’ils peuvent adresser à Tim Duncan, présent au bon moment. Tout avait pourtant mieux commencé. Après un Game 1 relativement insipide, notamment de la part du Big Three, cette fois, les hommes de Popovich prenaient d’entrée les commandes de la partie (24-18). Pour ne plus vraiment les quitter. Car entre la 5e minute du match et la fin, les Spurs sont restés devant. Mais ce fut au prix d’une énorme débauche d’énergie. De retour aux vestiaires avec une avance toute relative (49-41), Tony Parker (20 points, 6 passes) et ses camarades prenaient encore plus le large par la suite. Avec un Ginobili en feu (15 de ses 17 points dans cette deuxième moitié de match, 4 rebonds, 4 passes), San Antonio pouvait s’attendre à une fin de match tranquille.
Sauf que Denver ne l’entendait pas de cette oreille. Et sous l’impulsion du duo Iverson (20 points, 5 passes) – Anthony (26 points, 10 rebonds), les Nuggets recollaient à la marque. Derrière de 14 points à l’entame de la dernière période, Denver recollait à -3 (91-88) ! Les Spurs encaissaient ainsi un 5-16 catastrophique, et il fallait tout le talent de Duncan pour maintenir les Spurs à flots à 27 secondes du buzzer. Le natif des Iles Vierges stoppait l’hémorragie et finalement, Finley (14 points, 7 rebonds) et Parker rentraient leurs derniers lancers-francs pour offrir un précieux succès à SA (97-88). «Aujourd’hui on a été plus agressif. On s’est battu sur tous les ballons. C’est comme cela qu’il faut qu’on évolue à chaque match», se satisfaisait Ginobili. Pas de quoi inquiéter Iverson, pour qui les Nuggets «sont dans une bonne situation. Ce me rassure de voir comment nous avons pu revenir sur eux lors de ce match.» Voilà qui promet pour la suite.
Dallas - Golden State 112-99
Dans le même cas que San Antonio, à savoir défait lors du match 1 de la série à domicile, Dallas n’avait d’autre choix que de mater Golden State. Ce fut fait, mais là aussi, tout ne fut pas simple. Après avoir choisi un 5 de départ «petit» pour contrer les Warriors il y a deux jours, cette fois, coach Avery Johnson revenait à des fondamentaux, ceux qui lui avaient permis de glaner 67 victoires en saison régulière. Mais cela n’avait pas d’effet immédiat à la marque (28-30). Golden State, toujours soutenu par un Stephen Jackson au sommet (30 points, record personnel en Play-offs) continuait de poser de gros soucis à Dallas. Mais il était un peu esseulé pour Oakland. Auteur de 33 points, 14 rebonds et 8 passes lors du premier match, Baron Davis ne trouvait cette fois pas la bonne carburation (13 points, 2 passes).
Les Mavs, pour leur part, ressuscitaient. Jason Terry (28 points), Dirk Nowitzki (23 points, 7 rebonds) et surtout Josh Howard (22 points, 11 rebonds) allaient ainsi coller un 13-2 à leurs adversaires en milieu de 3e période (71-62). Comme en début de match, le manque d’expérience en Play-offs de certains joueurs se payait cash pour l’équipe de Don Nelson qui laissait filer la victoire sans avoir démérité (112-99). «Il a fallu que l’on fasse quelques ajustements après la défaite lors du match 1. Maintenant, c’est à eux de faire ces ajustements pour tenter de nous battre à nouveau», savourait Dirk Nowitski. Mike Pietrus a joué 17 minutes pour 4 points, 1 rebond et 5 fautes.
Cleveland - Washington 109-102
Si le premier match de Cleveland s’était avéré relativement aisé, le deuxième a été plus compliqué à gérer. Les Cavs ont en effet dû s’employer pour mater des Wizards bien plus performants que lors du match 1. Dès le premier quart, LeBron James et les siens pouvaient déjà comprendre que le match ne serait pas une partie de plaisir (23-23). Toujours handicapé par les absences, Washington trouvait du réconfort auprès d’Antawn Jamison (31 points, 10 rebonds), mais aussi de son banc avec Brendan Haywood (13 points) et Darius Songaila (13 points, 8 rebonds). Cleveland trouvait alors le salut dans cette première mi-temps par Drew Gooden qui scorait 15 de ses 24 points en 5 minutes (51-48) ! Le choix de Mike Brown de recentrer le jeu sur Gooden du fait de la blessure à la cheville de James était payant.
Au retour des vestiaires, étonnamment, Washington sortait complètement du match. Zydrunas Ilgauskas (16 points ,9 rebonds) et Larry Hughes (19 points, 8 rebonds, 5 passes) s’en donnaient alors à cœur joie (75-63). Mais la grosse erreur aurait été de croire que le match était alors plié. Car il n’en était rien et les Wizards, d’un coup, trouvaient la formule magique. Plus trop dans son match, Cleveland ne voyait pas le danger. Si bien que l’écart fondait comme neige au soleil pour se retrouver à -7 à l’entame de la dernière minute (99-92). Il fallait alors toute la présence d’esprit de LeBron James pour que Cleveland ne s’effondre pas. Avec 13 derniers points dans ce quart, dont 9 dans les ultimes 5 dernières minutes, le All Star sauvait la mise. Jarvis Hayes (5 points, 4 rebonds) amenait Washington aux portes de la prolongation (105-102) mais, finalement, Larry Hugues marquait les 4 derniers points (109-102).
Résultats de la nuit :
San Antonio - Denver 97-88 San Antonio et Denver sont à égalité 1-1
Dallas - Golden State 112-99 Dallas et Golden State sont à égalité 1-1
Cleveland - Washington 109-102 Cleveland mène la série 2-0
Défaits lors de leur entrée en Play-offs, San Antonio et Dallas ont rectifié le tir contre Denver (97-88) et Golden State (112-99). Cleveland, pour sa part, mène 2-0 contre Washington.
Par Guillaume Serres
San Antonio - Denver 97-88
Que de frayeurs pour San Antonio ! Les Spurs l’ont emporté conter Denver pour ce deuxième match de la série, mais une fois de plus les Texans se seront fait peur. C’est donc un grand merci qu’ils peuvent adresser à Tim Duncan, présent au bon moment. Tout avait pourtant mieux commencé. Après un Game 1 relativement insipide, notamment de la part du Big Three, cette fois, les hommes de Popovich prenaient d’entrée les commandes de la partie (24-18). Pour ne plus vraiment les quitter. Car entre la 5e minute du match et la fin, les Spurs sont restés devant. Mais ce fut au prix d’une énorme débauche d’énergie. De retour aux vestiaires avec une avance toute relative (49-41), Tony Parker (20 points, 6 passes) et ses camarades prenaient encore plus le large par la suite. Avec un Ginobili en feu (15 de ses 17 points dans cette deuxième moitié de match, 4 rebonds, 4 passes), San Antonio pouvait s’attendre à une fin de match tranquille.
Sauf que Denver ne l’entendait pas de cette oreille. Et sous l’impulsion du duo Iverson (20 points, 5 passes) – Anthony (26 points, 10 rebonds), les Nuggets recollaient à la marque. Derrière de 14 points à l’entame de la dernière période, Denver recollait à -3 (91-88) ! Les Spurs encaissaient ainsi un 5-16 catastrophique, et il fallait tout le talent de Duncan pour maintenir les Spurs à flots à 27 secondes du buzzer. Le natif des Iles Vierges stoppait l’hémorragie et finalement, Finley (14 points, 7 rebonds) et Parker rentraient leurs derniers lancers-francs pour offrir un précieux succès à SA (97-88). «Aujourd’hui on a été plus agressif. On s’est battu sur tous les ballons. C’est comme cela qu’il faut qu’on évolue à chaque match», se satisfaisait Ginobili. Pas de quoi inquiéter Iverson, pour qui les Nuggets «sont dans une bonne situation. Ce me rassure de voir comment nous avons pu revenir sur eux lors de ce match.» Voilà qui promet pour la suite.
Dallas - Golden State 112-99
Dans le même cas que San Antonio, à savoir défait lors du match 1 de la série à domicile, Dallas n’avait d’autre choix que de mater Golden State. Ce fut fait, mais là aussi, tout ne fut pas simple. Après avoir choisi un 5 de départ «petit» pour contrer les Warriors il y a deux jours, cette fois, coach Avery Johnson revenait à des fondamentaux, ceux qui lui avaient permis de glaner 67 victoires en saison régulière. Mais cela n’avait pas d’effet immédiat à la marque (28-30). Golden State, toujours soutenu par un Stephen Jackson au sommet (30 points, record personnel en Play-offs) continuait de poser de gros soucis à Dallas. Mais il était un peu esseulé pour Oakland. Auteur de 33 points, 14 rebonds et 8 passes lors du premier match, Baron Davis ne trouvait cette fois pas la bonne carburation (13 points, 2 passes).
Les Mavs, pour leur part, ressuscitaient. Jason Terry (28 points), Dirk Nowitzki (23 points, 7 rebonds) et surtout Josh Howard (22 points, 11 rebonds) allaient ainsi coller un 13-2 à leurs adversaires en milieu de 3e période (71-62). Comme en début de match, le manque d’expérience en Play-offs de certains joueurs se payait cash pour l’équipe de Don Nelson qui laissait filer la victoire sans avoir démérité (112-99). «Il a fallu que l’on fasse quelques ajustements après la défaite lors du match 1. Maintenant, c’est à eux de faire ces ajustements pour tenter de nous battre à nouveau», savourait Dirk Nowitski. Mike Pietrus a joué 17 minutes pour 4 points, 1 rebond et 5 fautes.
Cleveland - Washington 109-102
Si le premier match de Cleveland s’était avéré relativement aisé, le deuxième a été plus compliqué à gérer. Les Cavs ont en effet dû s’employer pour mater des Wizards bien plus performants que lors du match 1. Dès le premier quart, LeBron James et les siens pouvaient déjà comprendre que le match ne serait pas une partie de plaisir (23-23). Toujours handicapé par les absences, Washington trouvait du réconfort auprès d’Antawn Jamison (31 points, 10 rebonds), mais aussi de son banc avec Brendan Haywood (13 points) et Darius Songaila (13 points, 8 rebonds). Cleveland trouvait alors le salut dans cette première mi-temps par Drew Gooden qui scorait 15 de ses 24 points en 5 minutes (51-48) ! Le choix de Mike Brown de recentrer le jeu sur Gooden du fait de la blessure à la cheville de James était payant.
Au retour des vestiaires, étonnamment, Washington sortait complètement du match. Zydrunas Ilgauskas (16 points ,9 rebonds) et Larry Hughes (19 points, 8 rebonds, 5 passes) s’en donnaient alors à cœur joie (75-63). Mais la grosse erreur aurait été de croire que le match était alors plié. Car il n’en était rien et les Wizards, d’un coup, trouvaient la formule magique. Plus trop dans son match, Cleveland ne voyait pas le danger. Si bien que l’écart fondait comme neige au soleil pour se retrouver à -7 à l’entame de la dernière minute (99-92). Il fallait alors toute la présence d’esprit de LeBron James pour que Cleveland ne s’effondre pas. Avec 13 derniers points dans ce quart, dont 9 dans les ultimes 5 dernières minutes, le All Star sauvait la mise. Jarvis Hayes (5 points, 4 rebonds) amenait Washington aux portes de la prolongation (105-102) mais, finalement, Larry Hugues marquait les 4 derniers points (109-102).
Résultats de la nuit :
San Antonio - Denver 97-88 San Antonio et Denver sont à égalité 1-1
Dallas - Golden State 112-99 Dallas et Golden State sont à égalité 1-1
Cleveland - Washington 109-102 Cleveland mène la série 2-0
[quote="Vertdur"]Bouby a fait du bon boulot :wink:[/quote]
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Sauf que ça a pas marché au game 2, et sauf que c'est Néné qui défend sur Duncan :lol:boubynight wrote:Pour Camby, ce titre est de totue façon une évidence, on voit qu'il gène considérablement Duncan !
Enfin bref, c'est mérité pour les stats au contre et au rebond. Mais pour la qualité de la défense je reste plus circonspect. Il gène énormément les shooters adverses, mais sa défense sur l'homme laisse franchement à désirer. Bowen le mériterait au moins une fois.
Les Spurs se font peur
Défaits l'avant-veille lors du match d'ouverture, les Spurs n'ont pas fait l'économie de quelques frayeurs lors de leur deuxième manche face aux Nuggets. Longtemps dominateur, San Antonio a en effet tremblé sur la fin sous la menace de leurs visiteurs avant de l'emporter 97-88 avec notamment 22 points de Tim Duncan et 20 de Tony Parker. Il y a du mieux également pour les Mavs, les Texans s'étant ressaisis face aux Warriors pour égaliser à un partout. Enfin, Cleveland a bissé face à Washington 107-102.
Le Big Three a le dernier mot!
C'est peu dire que les Spurs n'ont pas été tendres avec les nerfs de leurs supporters... Solides le plus clair du temps, un départ réussi leur permettant de faire la course en tête au point de compter jusqu'à 17 longueurs d'avance dans le troisième acte, les Texans ont en effet bien frôlé la correctionnelle au cours de l'emballage final. Car ils ont eu beau attaquer cette dernière ligne droite nantis d'une confortable avance de 15 points, ils n'en menaient plus large lorsqu'un tir primé d'Allen Iverson permit aux Nuggets de recoller à seulement trois unités avec 45 secondes à jouer. Mais c'était sans compter sur une ultime banderille de l'inévitable Tim Duncan qui, non content de mener ses troupes avec 22 points à 9 sur 17 aux tirs, 7 rebonds et 5 contres pour son 31e anniversaire, remettait San Antonio sur la voie de la victoire avec un hook-shoot dont il a le secret. Et les visiteurs redevenus muets, Michael Finley puis Tony Parker n'avaient plus qu'à sceller pour de bon ce précieux succès sur la ligne des lancers.
Car après la défaite concédée, dimanche, lors de la manche inaugurale, la victoire était évidemment impérative pour les Texans, au risque, sinon, de se retrouver mener 2-0 avant d'en découdre dans le Colorado pour les deux prochaines rencontres. Les Spurs l'avaient bien compris et attaquaient la rencontre avec la plus grande application, aussi bien en défense qu'en attaque. "On n'avait pas le droit de se manquer, commentait après coup Duncan,on avait manqué d'envie lors du premier match. Cette fois, on a mis l'intensité nécessaire à une rencontre de playoffs et tout le monde a élevé son niveau de jeu et s'est montré impliqué. Il faut continuer ainsi face à une telle équipe." Dominateurs, les hommes de Gregg Popovich viraient ainsi à la pause avec huit longueurs d'avance avant d'enfoncer le clou au retour des vestiaires pour se détacher, semblait-il alors, de façon irrémédiable. Las, il suffit de quelques minutes de relâchement coupable et les Nuggets relançaient le suspense grâce à un 16-5 marqué du sceau du tandem Allen Iverson-Carmelo Athony.
Jusqu'alors, si le second avait été fidèle à ses habitudes, compilant au final 26 points et 10 rebonds, l'ancien Sixer avait été bien plus discret, la faute à une coupable maladresse comme en atteste son 9 sur 25 aux tirs pour 20 points. Pourtant, ses deux tirs primés enquillés au cours des deux dernières minutes ont bien failli être décisifs, plus encore que les 18 points ramassés par Marcus Camby, par ailleurs auteur de 10 points et 3 points, Nene le soutenant à l'intérieur avec 17 points et 7 rebonds. Dans le camp d'en face, les Texans s'en sont, eux, essentiellement remis à leur Big Three.
Dans le sillage de Duncan, la traction arrière franco-argentine Tony Parker-Manu Ginobili s'est en effet distinguée avec respectivement 20 points-6 passes et 17 points, le Français devant toutefois déplorer un petit 6 sur 15 aux tirs et 6 pertes de balle pour l'occasion. Sans conséquence puisque derrière, Michael Finley assurait également pour 14 points et 7 rebonds tandis que les troupes de Gregg Popovich se montraient particulièrement efficaces sur la ligne des lancers avec un réussi 21 sur 23 dans l'exercice, TP y rendant notamment un parfait 8 sur 8. C'en était trop pour les Nuggets qui quittent néanmoins le Texas avec une victoire au compteur avant de retrouver le Pepsi Center. La prochaine rencontre, samedi, s'y annonce d'ores et déjà cruciale...
La réponse des Mavericks
Avery Johnson la tient enfin! Après quatre défaites concédées contre les Warriors depuis l'arrivée de Don Nelson à la tête de la franchise californienne, l'entraîneur des Mavs a en effet décroché son premier succès face à son ancien mentor. Une victoire particulièrement précieuse puisque battu, dimanche, lors de la première manche, Dallas est revenu à hauteur de sa bête noire grâce à son succès 112-99. Le début de rencontre a pourtant donné quelques sueurs froides aux Mavericks et à leurs fans puisque portés par la verve du tandem Stephen Jackson-Monta Ellis, les deux compères enquillant leurs sept premiers tirs et inscrivant 28 des 30 points des leurs lors du premier quart, les Californiens démarraient la rencontre bille en tête pour s'arroger d'emblée huit points d'avance.
Les Texans laissaient toutefois passer l'orage et suivaient le sillage de leur meneur Jason Terry, meilleur marqueur des Mavs avec 28 points, pour virer en tête dès le deuxième acte. Si les hommes de Don Nelson parvenaient bien à rester au contact jusqu'à la pause, atteinte avec seulement deux longueurs de retard, les Warriors cédaient au retour des vestiaires, leurs hôtes prenant en effet dix points d'avance, écart définitif qu'il n'avaient plus qu'à entretenir dans la dernière ligne droite. Ce qui fut fait grâce à l'écot des deux habituels tauliers Dirk Nowitzki et Josh Howard, respectivement auteurs de 23 points et 22 points-11 rebonds. Chez les Warriors, ce sont Stephen Jackson, 30 points, et Monta Ellis, 20, qui ont été les prolifiques. Mickael Pietrus s'est, lui, contenté de 4 points et 1 rebond en 17 minutes.
Gooden, c'est tout bon
Les deuxièmes manches des premiers tours de playoffs face aux Wizards semblent décidément inspirer Drew Gooden. Un an jour pour jour après y avoir compilé 24 points et 16 rebonds, l'ailier-fort des Cavs a en effet remis le couvert avec, cette fois, 24 points et 14 rebonds, Gooden rendant notamment un remarquable 10 sur 13 aux tirs et 19 points au cours de la seule première période. De quoi permettre aux Cavaliers de s'imposer 109-102 et de mener désormais 2-0 face aux troupes de la capitale fédérale. Car pour le reste, en dépit d'une cheville souffreteuse depuis son entorse donnée lors de la rencontre inaugurale, celle-ci le privant de son rayonnement habituel et ayant rendu incertaine sa présence pour ce match 2, LeBron James a assuré 27 points, 8 rebonds et 7 passes, rassurant notamment les siens dans les ultimes minutes alors que les visiteurs avaient ramené l'écart de 15 à 6 points.
C'est en revanche à Larry Hugues qu'est revenu l'honneur d'assurer pour de bon la victoire de Cleveland. L'ancien de la maison Wizards, auteur de 19 points tandis que Zydrunas Ilgauskas complétait le tableau avec 16 points-9 rebonds, a en effet enquillé quatre lancers dans les ultimes secondes pour éteindre les dernières velléités des visiteurs, revenus à trois points à 18 secondes du terme de la rencontre grâce à un tir primé de Jarvis Hayes. A l'instar de DeShawn Stevenson, auteur d'un 3 sur 12 aux tirs, Hayes avait jusque là brillé par sa maladresse avec un rédhibitoire 2 sur 13 aux tirs. Aussi, Antawn Jamison a eu beau se démener avec un 12 sur 14 aux tirs pour 31 points et 10 rebonds et les réservistes assurer pour 38 points avec notamment 13 unités pour Songalia et Haywood, les Wizards sont restés trop court et sont quittes pour un sans-faute à domicile.
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Bowen a à ces cotés des mecs qui savent défendre (Ginobili, Duncan, Oberto, Barry)...qui sait défendre chez les nuggets avec Camby à part peut-être Blake ! Il tient la défense sur ces épaules !vinsanity wrote:Sauf que ça a pas marché au game 2, et sauf que c'est Néné qui défend sur Duncan :lol:boubynight wrote:Pour Camby, ce titre est de totue façon une évidence, on voit qu'il gène considérablement Duncan !
Enfin bref, c'est mérité pour les stats au contre et au rebond. Mais pour la qualité de la défense je reste plus circonspect. Il gène énormément les shooters adverses, mais sa défense sur l'homme laisse franchement à désirer. Bowen le mériterait au moins une fois.
Les Spurs se font peur
Défaits l'avant-veille lors du match d'ouverture, les Spurs n'ont pas fait l'économie de quelques frayeurs lors de leur deuxième manche face aux Nuggets. Longtemps dominateur, San Antonio a en effet tremblé sur la fin sous la menace de leurs visiteurs avant de l'emporter 97-88 avec notamment 22 points de Tim Duncan et 20 de Tony Parker. Il y a du mieux également pour les Mavs, les Texans s'étant ressaisis face aux Warriors pour égaliser à un partout. Enfin, Cleveland a bissé face à Washington 107-102.
Le Big Three a le dernier mot!
C'est peu dire que les Spurs n'ont pas été tendres avec les nerfs de leurs supporters... Solides le plus clair du temps, un départ réussi leur permettant de faire la course en tête au point de compter jusqu'à 17 longueurs d'avance dans le troisième acte, les Texans ont en effet bien frôlé la correctionnelle au cours de l'emballage final. Car ils ont eu beau attaquer cette dernière ligne droite nantis d'une confortable avance de 15 points, ils n'en menaient plus large lorsqu'un tir primé d'Allen Iverson permit aux Nuggets de recoller à seulement trois unités avec 45 secondes à jouer. Mais c'était sans compter sur une ultime banderille de l'inévitable Tim Duncan qui, non content de mener ses troupes avec 22 points à 9 sur 17 aux tirs, 7 rebonds et 5 contres pour son 31e anniversaire, remettait San Antonio sur la voie de la victoire avec un hook-shoot dont il a le secret. Et les visiteurs redevenus muets, Michael Finley puis Tony Parker n'avaient plus qu'à sceller pour de bon ce précieux succès sur la ligne des lancers.
Car après la défaite concédée, dimanche, lors de la manche inaugurale, la victoire était évidemment impérative pour les Texans, au risque, sinon, de se retrouver mener 2-0 avant d'en découdre dans le Colorado pour les deux prochaines rencontres. Les Spurs l'avaient bien compris et attaquaient la rencontre avec la plus grande application, aussi bien en défense qu'en attaque. "On n'avait pas le droit de se manquer, commentait après coup Duncan,on avait manqué d'envie lors du premier match. Cette fois, on a mis l'intensité nécessaire à une rencontre de playoffs et tout le monde a élevé son niveau de jeu et s'est montré impliqué. Il faut continuer ainsi face à une telle équipe." Dominateurs, les hommes de Gregg Popovich viraient ainsi à la pause avec huit longueurs d'avance avant d'enfoncer le clou au retour des vestiaires pour se détacher, semblait-il alors, de façon irrémédiable. Las, il suffit de quelques minutes de relâchement coupable et les Nuggets relançaient le suspense grâce à un 16-5 marqué du sceau du tandem Allen Iverson-Carmelo Athony.
Jusqu'alors, si le second avait été fidèle à ses habitudes, compilant au final 26 points et 10 rebonds, l'ancien Sixer avait été bien plus discret, la faute à une coupable maladresse comme en atteste son 9 sur 25 aux tirs pour 20 points. Pourtant, ses deux tirs primés enquillés au cours des deux dernières minutes ont bien failli être décisifs, plus encore que les 18 points ramassés par Marcus Camby, par ailleurs auteur de 10 points et 3 points, Nene le soutenant à l'intérieur avec 17 points et 7 rebonds. Dans le camp d'en face, les Texans s'en sont, eux, essentiellement remis à leur Big Three.
Dans le sillage de Duncan, la traction arrière franco-argentine Tony Parker-Manu Ginobili s'est en effet distinguée avec respectivement 20 points-6 passes et 17 points, le Français devant toutefois déplorer un petit 6 sur 15 aux tirs et 6 pertes de balle pour l'occasion. Sans conséquence puisque derrière, Michael Finley assurait également pour 14 points et 7 rebonds tandis que les troupes de Gregg Popovich se montraient particulièrement efficaces sur la ligne des lancers avec un réussi 21 sur 23 dans l'exercice, TP y rendant notamment un parfait 8 sur 8. C'en était trop pour les Nuggets qui quittent néanmoins le Texas avec une victoire au compteur avant de retrouver le Pepsi Center. La prochaine rencontre, samedi, s'y annonce d'ores et déjà cruciale...
La réponse des Mavericks
Avery Johnson la tient enfin! Après quatre défaites concédées contre les Warriors depuis l'arrivée de Don Nelson à la tête de la franchise californienne, l'entraîneur des Mavs a en effet décroché son premier succès face à son ancien mentor. Une victoire particulièrement précieuse puisque battu, dimanche, lors de la première manche, Dallas est revenu à hauteur de sa bête noire grâce à son succès 112-99. Le début de rencontre a pourtant donné quelques sueurs froides aux Mavericks et à leurs fans puisque portés par la verve du tandem Stephen Jackson-Monta Ellis, les deux compères enquillant leurs sept premiers tirs et inscrivant 28 des 30 points des leurs lors du premier quart, les Californiens démarraient la rencontre bille en tête pour s'arroger d'emblée huit points d'avance.
Les Texans laissaient toutefois passer l'orage et suivaient le sillage de leur meneur Jason Terry, meilleur marqueur des Mavs avec 28 points, pour virer en tête dès le deuxième acte. Si les hommes de Don Nelson parvenaient bien à rester au contact jusqu'à la pause, atteinte avec seulement deux longueurs de retard, les Warriors cédaient au retour des vestiaires, leurs hôtes prenant en effet dix points d'avance, écart définitif qu'il n'avaient plus qu'à entretenir dans la dernière ligne droite. Ce qui fut fait grâce à l'écot des deux habituels tauliers Dirk Nowitzki et Josh Howard, respectivement auteurs de 23 points et 22 points-11 rebonds. Chez les Warriors, ce sont Stephen Jackson, 30 points, et Monta Ellis, 20, qui ont été les prolifiques. Mickael Pietrus s'est, lui, contenté de 4 points et 1 rebond en 17 minutes.
Gooden, c'est tout bon
Les deuxièmes manches des premiers tours de playoffs face aux Wizards semblent décidément inspirer Drew Gooden. Un an jour pour jour après y avoir compilé 24 points et 16 rebonds, l'ailier-fort des Cavs a en effet remis le couvert avec, cette fois, 24 points et 14 rebonds, Gooden rendant notamment un remarquable 10 sur 13 aux tirs et 19 points au cours de la seule première période. De quoi permettre aux Cavaliers de s'imposer 109-102 et de mener désormais 2-0 face aux troupes de la capitale fédérale. Car pour le reste, en dépit d'une cheville souffreteuse depuis son entorse donnée lors de la rencontre inaugurale, celle-ci le privant de son rayonnement habituel et ayant rendu incertaine sa présence pour ce match 2, LeBron James a assuré 27 points, 8 rebonds et 7 passes, rassurant notamment les siens dans les ultimes minutes alors que les visiteurs avaient ramené l'écart de 15 à 6 points.
C'est en revanche à Larry Hugues qu'est revenu l'honneur d'assurer pour de bon la victoire de Cleveland. L'ancien de la maison Wizards, auteur de 19 points tandis que Zydrunas Ilgauskas complétait le tableau avec 16 points-9 rebonds, a en effet enquillé quatre lancers dans les ultimes secondes pour éteindre les dernières velléités des visiteurs, revenus à trois points à 18 secondes du terme de la rencontre grâce à un tir primé de Jarvis Hayes. A l'instar de DeShawn Stevenson, auteur d'un 3 sur 12 aux tirs, Hayes avait jusque là brillé par sa maladresse avec un rédhibitoire 2 sur 13 aux tirs. Aussi, Antawn Jamison a eu beau se démener avec un 12 sur 14 aux tirs pour 31 points et 10 rebonds et les réservistes assurer pour 38 points avec notamment 13 unités pour Songalia et Haywood, les Wizards sont restés trop court et sont quittes pour un sans-faute à domicile.
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[quote="Vertdur"]Bouby a fait du bon boulot :wink:[/quote]
[quote="Cmagix"]un but de bouby[/quote]
[quote="billups42"]
C'est bien boubynight.....1er pour les infos[/quote]
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Pas d'accord du tout. Camby c'est un controleur aérien, il gène les tirs adverses. Mais sur l'homme il est très loin du niveau d'un Ben Wallace par exemple. C'est pas une question du reste de l'équipe pour Bowen. C'est le meilleur défenseur extérieur de la NBA, et de loin (surtout avec le déclin d'Artest). C'est un vrai chien de garde, un pur défenseur, qui lâche pas son joueur d'une semelle pendant 48min. C'est pas un hasard si à chaque fois il se coltine le scoreur adverse et à chaque fois celui-ci voit son pourcentage et ses stats diminuer. Deux exemples : 15ppg contre SA pour Melo cette saison, et 17.5 pour Vince Carter. D'ailleurs pour Melo ça tourne autour de 15ppg en carrière contre SA ...boubynight wrote:Bowen a à ces cotés des mecs qui savent défendre (Ginobili, Duncan, Oberto, Barry)...qui sait défendre chez les nuggets avec Camby à part peut-être Blake ! Il tient la défense sur ces épaules !vinsanity wrote:Sauf que ça a pas marché au game 2, et sauf que c'est Néné qui défend sur Duncan :lol:boubynight wrote:Pour Camby, ce titre est de totue façon une évidence, on voit qu'il gène considérablement Duncan !
Enfin bref, c'est mérité pour les stats au contre et au rebond. Mais pour la qualité de la défense je reste plus circonspect. Il gène énormément les shooters adverses, mais sa défense sur l'homme laisse franchement à désirer. Bowen le mériterait au moins une fois.
Duncan est un bien meilleur défenseur que Camby. Il a une lecture du jeu nettement meilleure, et c'est grace à cette lecture du jeu qu'il défend aussi bien. D'ailleurs si Camby était un bon défenseur sur l'homme, c'est pas Néné qui serait au marquage de Duncan durant cette série ...
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Je suis pas d'accord avec toi...pourquoi sur le dernier match Melo et Iverson marquent plus de 25 pts chacun !vinsanity wrote:Pas d'accord du tout. Camby c'est un controleur aérien, il gène les tirs adverses. Mais sur l'homme il est très loin du niveau d'un Ben Wallace par exemple. C'est pas une question du reste de l'équipe pour Bowen. C'est le meilleur défenseur extérieur de la NBA, et de loin (surtout avec le déclin d'Artest). C'est un vrai chien de garde, un pur défenseur, qui lâche pas son joueur d'une semelle pendant 48min. C'est pas un hasard si à chaque fois il se coltine le scoreur adverse et à chaque fois celui-ci voit son pourcentage et ses stats diminuer. Deux exemples : 15ppg contre SA pour Melo cette saison, et 17.5 pour Vince Carter. D'ailleurs pour Melo ça tourne autour de 15ppg en carrière contre SA ...boubynight wrote:Bowen a à ces cotés des mecs qui savent défendre (Ginobili, Duncan, Oberto, Barry)...qui sait défendre chez les nuggets avec Camby à part peut-être Blake ! Il tient la défense sur ces épaules !vinsanity wrote:Sauf que ça a pas marché au game 2, et sauf que c'est Néné qui défend sur Duncan :lol:boubynight wrote:Pour Camby, ce titre est de totue façon une évidence, on voit qu'il gène considérablement Duncan !
Enfin bref, c'est mérité pour les stats au contre et au rebond. Mais pour la qualité de la défense je reste plus circonspect. Il gène énormément les shooters adverses, mais sa défense sur l'homme laisse franchement à désirer. Bowen le mériterait au moins une fois.
Duncan est un bien meilleur défenseur que Camby. Il a une lecture du jeu nettement meilleure, et c'est grace à cette lecture du jeu qu'il défend aussi bien. D'ailleurs si Camby était un bon défenseur sur l'homme, c'est pas Néné qui serait au marquage de Duncan durant cette série ...
Et tu trouves que Nene défend bien sur Duncan ! lol
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Bah au premier match il a bien défendu en tout cas. C'est toi qui le soulignais dans ton premier message que Camby avait considérablement géné Duncan :lol: , or, je sais pas si tu as eut l'occasion de voir les matchs, mais dans les deux rencontres c'est Néné qui a défendu sur Duncan, pas Camby. :lol:boubynight wrote:Je suis pas d'accord avec toi...pourquoi sur le dernier match Melo et Iverson marquent plus de 25 pts chacun !vinsanity wrote:Pas d'accord du tout. Camby c'est un controleur aérien, il gène les tirs adverses. Mais sur l'homme il est très loin du niveau d'un Ben Wallace par exemple. C'est pas une question du reste de l'équipe pour Bowen. C'est le meilleur défenseur extérieur de la NBA, et de loin (surtout avec le déclin d'Artest). C'est un vrai chien de garde, un pur défenseur, qui lâche pas son joueur d'une semelle pendant 48min. C'est pas un hasard si à chaque fois il se coltine le scoreur adverse et à chaque fois celui-ci voit son pourcentage et ses stats diminuer. Deux exemples : 15ppg contre SA pour Melo cette saison, et 17.5 pour Vince Carter. D'ailleurs pour Melo ça tourne autour de 15ppg en carrière contre SA ...boubynight wrote:Bowen a à ces cotés des mecs qui savent défendre (Ginobili, Duncan, Oberto, Barry)...qui sait défendre chez les nuggets avec Camby à part peut-être Blake ! Il tient la défense sur ces épaules !vinsanity wrote:Sauf que ça a pas marché au game 2, et sauf que c'est Néné qui défend sur Duncan :lol:boubynight wrote:Pour Camby, ce titre est de totue façon une évidence, on voit qu'il gène considérablement Duncan !
Enfin bref, c'est mérité pour les stats au contre et au rebond. Mais pour la qualité de la défense je reste plus circonspect. Il gène énormément les shooters adverses, mais sa défense sur l'homme laisse franchement à désirer. Bowen le mériterait au moins une fois.
Duncan est un bien meilleur défenseur que Camby. Il a une lecture du jeu nettement meilleure, et c'est grace à cette lecture du jeu qu'il défend aussi bien. D'ailleurs si Camby était un bon défenseur sur l'homme, c'est pas Néné qui serait au marquage de Duncan durant cette série ...
Et tu trouves que Nene défend bien sur Duncan ! lol
D'ailleurs, que ce soit dans le Game 1 ou 2, Duncan a pas fait d'énormes stats, pas les stats qu'il a aligné l'an passé en playoffs en particulier dans la série contre Dallas.
Pour ce quie est de Melo et AI, ils marquent plus de 25pts chacun parce qu'ils prennent 25 shoots chacun ! :lol: Regarde les pourcentages aussi, Melo à 8/21 ca fait 38% alors qu'il est pas loin de 50% sur la saison, et AI à 9/25 ça fait 36% alors qu'il est à 45% sur la saison. C'est pas sur un match qu'il faut juger de la défense de Bowen. Ca fait des années que son coach loue ses qualités tout comme l'ensemble des managers de la ligue ... je te cite un article sur lui pendant les finals 2005 :
L'importance de Bowen se fait certainement moins sentir en saison régulière, mais en playoffs, quand chaque défense est décisive, il sait être là. Et tu verras que Iverson ou Melo vont souffrir pendant les 3 matchs à venir.Bowen has played eight full seasons in the NBA and never averaged double figures. A journeyman's number. Yet the Spurs would not think of facing the Pistons without him.
His gig is defense. Taking on men who've made millions by scoring. Not stopping them, because no one can. But controlling them, harassing them, making them labor.
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Totalement d'ac' avec Vinsanity sur staxion!
A mon avis, le fait que Nenê défende sur Duncan plutôt que Camby tient à son poids quasi équivalent à celui de TD, ce qui lui permet de moins se fatiguer que Camby et de moins reculer à l'impact pour ne pas laisser TD s'approcher trop du cercle. En plus, c'est bien pratique d'avoir un "second couteau" pour mettre des coups et prendre les fautes, ainsi qu'un des meilleurs blockers en 2e niveau de défense si le 1er est dépassé.
Sinon pour Bowen, c'est un défenseur rare. Il n'aura peut-être jamais le titre de meilleur défenseur de la Ligue (c'est dur d'avoir ce titre sans un nombre conséquents de rebonds et de contres), mais TOUS les gros scoreurs (James, Arenas, Kobe, Allen, Carmello, AI) seront soulagés le jour où il raccrochera. C'est un peu un Gattuso du basket : on stigmatise les fautes, mais avant tout il y a un engagement physique intense et une profonde intelligence de jeu. Personne ne sort des écrans plus vite que lui, personne ne se dédouble plus rapidement sur les pick&roll, et je n'ai connaissance d'aucune video sur laquelle il se ferait soit postériser soit "ankle-breaker".
A mon avis, le fait que Nenê défende sur Duncan plutôt que Camby tient à son poids quasi équivalent à celui de TD, ce qui lui permet de moins se fatiguer que Camby et de moins reculer à l'impact pour ne pas laisser TD s'approcher trop du cercle. En plus, c'est bien pratique d'avoir un "second couteau" pour mettre des coups et prendre les fautes, ainsi qu'un des meilleurs blockers en 2e niveau de défense si le 1er est dépassé.
Sinon pour Bowen, c'est un défenseur rare. Il n'aura peut-être jamais le titre de meilleur défenseur de la Ligue (c'est dur d'avoir ce titre sans un nombre conséquents de rebonds et de contres), mais TOUS les gros scoreurs (James, Arenas, Kobe, Allen, Carmello, AI) seront soulagés le jour où il raccrochera. C'est un peu un Gattuso du basket : on stigmatise les fautes, mais avant tout il y a un engagement physique intense et une profonde intelligence de jeu. Personne ne sort des écrans plus vite que lui, personne ne se dédouble plus rapidement sur les pick&roll, et je n'ai connaissance d'aucune video sur laquelle il se ferait soit postériser soit "ankle-breaker".
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Monta Ellis élu MIP
Monta Ellis a été élu Most Improved Player, joueur ayant le plus progressé sur une saison. Boris Diaw connaît son successeur au titre de MIP, joueur ayant le plus progressé sur une saison. Il s'agit de l'arrière de Golden State, Monta Ellis
Monta Ellis a été élu Most Improved Player, joueur ayant le plus progressé sur une saison. Boris Diaw connaît son successeur au titre de MIP, joueur ayant le plus progressé sur une saison. Il s'agit de l'arrière de Golden State, Monta Ellis
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Les Lakers y croient
Grâce une nouvelle fois à un super Bryant, les Lakers ont dominé Phoenix (95-89). Detroit pour sa part file vers la qualification alors que Houston a complètement déjoué.
Par Guillaume Serres
L.A Lakers- Phoenix 95-89
Thanks Kobe ! Comme souvent cette saison, les Lakers peuvent dire un grand merci à KB24. Bryant a en effet réalisé un festival cette nuit pour permettre aux Lakers de toujours croire en la qualification. Mais c’est en fait toute l’équipe de Phil Jackson qu’il faut féliciter car les Californiens ont réalisé un match complet. Malgré une entame poussive (17-31) face à Amare Stoudemire (24 points, 10 rebonds) et Leandro Barbosa (20 points) notamment, les Lakers y ont toujours cru. Dès le deuxième quart, la situation évoluait en leur faveur. Avec un Odom au four et au moulin (18 points, 16 rebonds) et un Kwame Brown enfin au niveau (19 points, record personnel en Play-offs), L.A restait en course à la pause (48-51). Et si Steve Nash (10 points, 13 assists) et Shawn Marion (10 points) permettaient à Phoenix de rester temporairement en tête, le dernier quart allait leur être fatal. Déjà chaud comme la braise (30 points jusqu’ici), Kobe Bryant allait couler à lui seul l’équipe de Mike d’Antoni. D’abord sur un shoot à trois points (83-75) à 9’55 du buzzer, puis sur un lay-up inspiré à 3’29 du terme (89-84). A chaque fois, Bryant enfonçait ainsi des Suns qui espéraient revenir. Et si les joueurs de l’Arizona parvenaient à leurs fins (89-89) à 2’03 de la fin, c’était là leurs derniers paniers. Odom et Bryant marquaient par la suite pour offrir un précieux succès aux leurs (95-89). Auteur de 15 points en tout lors du Game 2, Bryant fait donc autant dans ce dernier quart temps, pour finalement compiler 45 points, 6 passes, 6 rebonds. Boris Diaw a lui joué 24 minutes pour 8 points, 3 rebonds et 5 passes. Prochain match à venir, toujours au Staples Center, dimanche, avec l’optique pour Los Angeles d’égaliser à 2-2.
Orlando - Detroit 77-93
Après deux actes «relativement» faciles, Detroit effectuait son premier déplacement en Floride. Et les Pistons n’ont pas fait de détails. Motivés à l’idée de passer tranquillement ce premier tour et donc s’accorder un peu plus de repos que certains potentiels futurs adversaires, les partenaires de Rasheed Wallace ont parfaitement fait le boulot. Pourtant, tout n’avait pas si mal commencé pour le Magic. Mais dès la fin du premier quart, les choses se compliquaient. Detroit marquait les 6 derniers points (23-23) et allait prendre l’ascendant sur son adversaire. Si Richard Hamilton semblait pour la première fois de la série hors du coup (10 points à 2/11), les Pistons trouvaient du réconfort auprès de Prince (23 points, 7 rebonds, 5 passes), Billups (21 points, 6 rebonds) et Rasheed Wallace (15 points, 6 rebonds), auteurs à eux trois d’un 8/11 derrière l’arc. Detroit passait donc la pause en tête (42-48). La suite allait confirmer la suprématie du dernier finaliste de la conférence Est. Car petit à petit, malgré un Jameer Nelson des grands soirs (27 points, 4 passes), les Floridiens s’éteignaient. Auteur de 19 points dans le quart précédent, Dwight Howard (11 points, 12 rebonds) et ses hommes ne faisaient pas mieux dans le 3e (61-71). Cette fois, l’écart était rédhibitoire. Bien présents lors des deux premiers matches, Grant Hill (8 points, 6 rebonds) et Hedo Turkoglu (10 points, 7 rebonds), ne pouvaient stopper Detroit cette nuit. Au final, les Pistons font donc un grand pas vers la qualification avec cette troisième victoire en trois matches (77-93) et pourraient plier la série dès la prochaine sortie, prévue dans la nuit de samedi.
Utah - Houston 81-67
Houston avait jusque-là trouvé la clé pour se défaire d’Utah. Mais cette nuit, la donne à complètement changé. Et dans les grandes largeurs s’il vous plaît. Dix minutes passées sans marquer le moindre point, 19 ballons perdus, 21/64 au shoot, soit 32% de réussite, les chiffres parlent d’eux-mêmes. Utah n’a donc pas eu à forcer son talent. Dès l’entame, Carlos Boozer (22 points, 12 passes) démontrait tout son talent. Il était accompagné dans sa tâche par Deron Williams (11 points, 7 rebonds, 8 passes). 23-17 au terme du premier quart (avec 13 des 17 points de McGrady), le même écart à la pause (48-42), tout semblait encore possible à l’entame de la deuxième moitié du match. C’est alors que Yao Ming (26 points, 14 rebonds) et les Rockets sortaient complètement du match. Mais paradoxalement, le Jazz n’en profitait pas tant que cela. Le spectacle n’était clairement pas au rendez-vous, et si Utah terminait la troisième période par un 7-1, la marque, elle, ne s’enflammait pas (61-52). La fin du match n’était guère plus enthousiasmante. Gordan Giricek (10 points) et Matt Harpring (13 points, 7 rebonds) y allaient de leur apport et Utah n’avait pas à forcer pour l’emporter (81-67). Auteur de 25 points sur la deuxième mi-temps, soit autant que dans le seul deuxième quart, Houston a complètement déjoué. Il lui faudra vite réagir pour ne pas se retrouver en mauvaise posture au terme du Game 4, samedi.
Résultats de la nuit :
L.A Lakers - Phoenix 95-89 Phoenix mène la série 2-1
Utah - Houston 81-67 Houston mène la série 2-1
Orlando - Detroit 77-93 Detroit mène la série 3-0
Grâce une nouvelle fois à un super Bryant, les Lakers ont dominé Phoenix (95-89). Detroit pour sa part file vers la qualification alors que Houston a complètement déjoué.
Par Guillaume Serres
L.A Lakers- Phoenix 95-89
Thanks Kobe ! Comme souvent cette saison, les Lakers peuvent dire un grand merci à KB24. Bryant a en effet réalisé un festival cette nuit pour permettre aux Lakers de toujours croire en la qualification. Mais c’est en fait toute l’équipe de Phil Jackson qu’il faut féliciter car les Californiens ont réalisé un match complet. Malgré une entame poussive (17-31) face à Amare Stoudemire (24 points, 10 rebonds) et Leandro Barbosa (20 points) notamment, les Lakers y ont toujours cru. Dès le deuxième quart, la situation évoluait en leur faveur. Avec un Odom au four et au moulin (18 points, 16 rebonds) et un Kwame Brown enfin au niveau (19 points, record personnel en Play-offs), L.A restait en course à la pause (48-51). Et si Steve Nash (10 points, 13 assists) et Shawn Marion (10 points) permettaient à Phoenix de rester temporairement en tête, le dernier quart allait leur être fatal. Déjà chaud comme la braise (30 points jusqu’ici), Kobe Bryant allait couler à lui seul l’équipe de Mike d’Antoni. D’abord sur un shoot à trois points (83-75) à 9’55 du buzzer, puis sur un lay-up inspiré à 3’29 du terme (89-84). A chaque fois, Bryant enfonçait ainsi des Suns qui espéraient revenir. Et si les joueurs de l’Arizona parvenaient à leurs fins (89-89) à 2’03 de la fin, c’était là leurs derniers paniers. Odom et Bryant marquaient par la suite pour offrir un précieux succès aux leurs (95-89). Auteur de 15 points en tout lors du Game 2, Bryant fait donc autant dans ce dernier quart temps, pour finalement compiler 45 points, 6 passes, 6 rebonds. Boris Diaw a lui joué 24 minutes pour 8 points, 3 rebonds et 5 passes. Prochain match à venir, toujours au Staples Center, dimanche, avec l’optique pour Los Angeles d’égaliser à 2-2.
Orlando - Detroit 77-93
Après deux actes «relativement» faciles, Detroit effectuait son premier déplacement en Floride. Et les Pistons n’ont pas fait de détails. Motivés à l’idée de passer tranquillement ce premier tour et donc s’accorder un peu plus de repos que certains potentiels futurs adversaires, les partenaires de Rasheed Wallace ont parfaitement fait le boulot. Pourtant, tout n’avait pas si mal commencé pour le Magic. Mais dès la fin du premier quart, les choses se compliquaient. Detroit marquait les 6 derniers points (23-23) et allait prendre l’ascendant sur son adversaire. Si Richard Hamilton semblait pour la première fois de la série hors du coup (10 points à 2/11), les Pistons trouvaient du réconfort auprès de Prince (23 points, 7 rebonds, 5 passes), Billups (21 points, 6 rebonds) et Rasheed Wallace (15 points, 6 rebonds), auteurs à eux trois d’un 8/11 derrière l’arc. Detroit passait donc la pause en tête (42-48). La suite allait confirmer la suprématie du dernier finaliste de la conférence Est. Car petit à petit, malgré un Jameer Nelson des grands soirs (27 points, 4 passes), les Floridiens s’éteignaient. Auteur de 19 points dans le quart précédent, Dwight Howard (11 points, 12 rebonds) et ses hommes ne faisaient pas mieux dans le 3e (61-71). Cette fois, l’écart était rédhibitoire. Bien présents lors des deux premiers matches, Grant Hill (8 points, 6 rebonds) et Hedo Turkoglu (10 points, 7 rebonds), ne pouvaient stopper Detroit cette nuit. Au final, les Pistons font donc un grand pas vers la qualification avec cette troisième victoire en trois matches (77-93) et pourraient plier la série dès la prochaine sortie, prévue dans la nuit de samedi.
Utah - Houston 81-67
Houston avait jusque-là trouvé la clé pour se défaire d’Utah. Mais cette nuit, la donne à complètement changé. Et dans les grandes largeurs s’il vous plaît. Dix minutes passées sans marquer le moindre point, 19 ballons perdus, 21/64 au shoot, soit 32% de réussite, les chiffres parlent d’eux-mêmes. Utah n’a donc pas eu à forcer son talent. Dès l’entame, Carlos Boozer (22 points, 12 passes) démontrait tout son talent. Il était accompagné dans sa tâche par Deron Williams (11 points, 7 rebonds, 8 passes). 23-17 au terme du premier quart (avec 13 des 17 points de McGrady), le même écart à la pause (48-42), tout semblait encore possible à l’entame de la deuxième moitié du match. C’est alors que Yao Ming (26 points, 14 rebonds) et les Rockets sortaient complètement du match. Mais paradoxalement, le Jazz n’en profitait pas tant que cela. Le spectacle n’était clairement pas au rendez-vous, et si Utah terminait la troisième période par un 7-1, la marque, elle, ne s’enflammait pas (61-52). La fin du match n’était guère plus enthousiasmante. Gordan Giricek (10 points) et Matt Harpring (13 points, 7 rebonds) y allaient de leur apport et Utah n’avait pas à forcer pour l’emporter (81-67). Auteur de 25 points sur la deuxième mi-temps, soit autant que dans le seul deuxième quart, Houston a complètement déjoué. Il lui faudra vite réagir pour ne pas se retrouver en mauvaise posture au terme du Game 4, samedi.
Résultats de la nuit :
L.A Lakers - Phoenix 95-89 Phoenix mène la série 2-1
Utah - Houston 81-67 Houston mène la série 2-1
Orlando - Detroit 77-93 Detroit mène la série 3-0
[quote="Vertdur"]Bouby a fait du bon boulot :wink:[/quote]
[quote="Cmagix"]un but de bouby[/quote]
[quote="billups42"]
C'est bien boubynight.....1er pour les infos[/quote]
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Les managers votent Nowitzki
Alors qu’il faudra attendre encore quelques jours pour connaître le nom du MVP de la saison régulière, les patrons des franchises ont déjà choisi leur lauréat. Dirk Nowitzki a les faveurs des General Managers des équipes NBA. Dans une enquête menée par NBA.com, l’ailier allemand récolte le plus grands nombres de voix auprès des patrons des franchises dans la course au titre de MVP de la saison régulière. La star des Mavs (24,6 points, 8,9 rebonds de moyenne) devance le double tenant du titre, Steve Nash et Kobe Bryant.
Alors qu’il faudra attendre encore quelques jours pour connaître le nom du MVP de la saison régulière, les patrons des franchises ont déjà choisi leur lauréat. Dirk Nowitzki a les faveurs des General Managers des équipes NBA. Dans une enquête menée par NBA.com, l’ailier allemand récolte le plus grands nombres de voix auprès des patrons des franchises dans la course au titre de MVP de la saison régulière. La star des Mavs (24,6 points, 8,9 rebonds de moyenne) devance le double tenant du titre, Steve Nash et Kobe Bryant.
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Les prochains matches :Green Floyd wrote:merci et bravo le SEB!!!!vinsanity wrote:Victoire du SEB à Nantes ce soir 78-70 !
du coup le maintien est assuré pour Poitiers
et demain je vais au match ça va etre la féte
- à domicile contre...Poitiers.
- à l'extérieur contre l'ogre vichyssois.
Faudra gagner contre Poitiers parce que Vichy...
Il est possible que Vichy soit démobilisé étant donné qu'ils ont déjà assuré leur première place. Avec les playoffs tout proche, il pourraient bien faire tourner.OlivierRouayal77 wrote:Les prochains matches :Green Floyd wrote:merci et bravo le SEB!!!!vinsanity wrote:Victoire du SEB à Nantes ce soir 78-70 !
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exact, j'compte sur vous pour le CR du prochain matchOlivierRouayal77 wrote:Les prochains matches :Green Floyd wrote:merci et bravo le SEB!!!!vinsanity wrote:Victoire du SEB à Nantes ce soir 78-70 !
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Le trône floridien vacille
Miami a perdu pour la troisième fois consécutive face à Chicago (96-104) et n’a désormais plus le droit à l’erreur. Dans les autres rencontres, New Jersey, emmené par un Kidd époustouflant, et surtout Golden State ont repris l’avantage.
Par Vincent Duchesne
Miami – Chicago 96-104
«Croyez-moi, cette série peut très vite tourner en notre faveur. Quand tout semble parfois plié, cela peut n’être que le début». Pat Riley avait beau tenter d’entretenir l’illusion après le deuxième revers consécutif à Chicago, Miami est un bel et bien un champion aux pieds d’argile tout proche de la sortie. Dans son American Airlines Arena, le Heat a une nouvelle fois mordu la poussière face au duo de choc Ben Gordon (27 points, 5 rebonds)-Luol Deng (24 points, 11 rebonds, 3 passes décisives). Et la franchise floridienne a de quoi avoir des regrets puisqu’elle menait de 7 points à la pause (52-45). Malgré le réveil de Dwyane Wade, meilleur marqueur de la rencontre avec 28 points et auteur de 9 rebonds, et un Shaquille O’Neal enfin maître dans la raquette (23 points, 13 rebonds), Miami ne résistait pas à la machine Bulls et explosait même en plein vol dans un quatrième quart temps à sens unique (32-20) pour finalement s’incliner avec les honneurs (104-96). Un troisième revers consécutif qui met désormais le champion en titre dans une position fort inconfortable. Désormais, la bande à Riley n’a plus le droit à l’erreur !
New Jersey – Toronto 102-89
On le disait incertain, handicapé par une douleur au genou. Info ou intox ? La question est en droit d’être posée après le festival Jason Kidd la nuit dernière au Continental Airlines Arena. A lui tout seul, il a écœuré les Canadiens en réalisant un triple-double magistral (16 points, 16 rebonds, 19 passes décisives). Face à un tel phénomène, que pouvait bien espérer Toronto ? Et bien pas grand-chose. Surtout quand à ses côtés se trouve un Vince Carter à la main chaude (37 points à 15/23 au tir). Tant et si bien que dès le premier quart-temps (31-19), la messe semblait déjà dite, les Raptors prenant le bouillon dans la foulée pour rejoindre les vestiaires avec un débours de 19 points (58-39). T.J. Ford (27 points, 8 passes décisives) tentait bien de sonner la révolte au début du troisième acte. Seul problème, ses partenaires, eux, à l’image d’un Chris Bosh que l’on a connu plus inspiré (11 points à 3/10 au tir) ne répondaient plus. New Jersey n’avait plus qu’à colmater tranquillement les mini-fissures pour terminer la rencontre sans trembler (102-89). Si l’incertitude plane concernant cette série, New Jersey a frappé un grand coup vendredi soir.
Golden State – Dallas 109-91
L’un des grands favoris si ce n’est LE favori à la victoire finale va devoir cravacher beaucoup plus qu’il ne l’imaginait pour se défaire de Golden State. Après avoir rétabli l’équilibre mercredi, revoilà les Mavericks menés après leur défaite la nuit dernière sur le parquet des Warriors (109-91). Le grand responsable se nomme Jason Richardson, meilleur marqueur du match avec 30 points au compteur. Mais, et cela devient une fâcheuse habitude, les Texans ne peuvent s’en prendre qu'à eux-même vu le départ plus que moyen (29-20 après le premier quart temps) des partenaires de Nowitzki (20 points, 12 rebonds). Un retard que les Mavs ne parviendront finalement jamais à réduire, Baron Davis (24 points, 5 passes décisives), Stephen Jackson (16 points, 8 rebonds, 6 passes décisives) mais également le tout nouveau MIP Monta Ellis (14 points) se chargeant de mater la possible révolte de la franchise texane, l’écart atteignant son paroxysme dans le troisième quart temps sur un lancer-franc de Mike Pietrus (82-61), le seul point du Frenchy durant la rencontre en 20 minutes ! Dallas prenait l’eau de toutes parts et chutait assez lourdement (109-91). Pour Pietrus, un match à oublier sur le plan personnel (1 point, 5 rebonds, 4 fautes, 3 ballons perdus).
Résultats de la nuit :
Miami - Chicago 96-104 Chicago mène la série 3-0
New Jersey – Toronto 102-89 New Jersey mène la série 2-1
Golden State - Dallas 109-91 Golden State mène la série 2-1
Miami a perdu pour la troisième fois consécutive face à Chicago (96-104) et n’a désormais plus le droit à l’erreur. Dans les autres rencontres, New Jersey, emmené par un Kidd époustouflant, et surtout Golden State ont repris l’avantage.
Par Vincent Duchesne
Miami – Chicago 96-104
«Croyez-moi, cette série peut très vite tourner en notre faveur. Quand tout semble parfois plié, cela peut n’être que le début». Pat Riley avait beau tenter d’entretenir l’illusion après le deuxième revers consécutif à Chicago, Miami est un bel et bien un champion aux pieds d’argile tout proche de la sortie. Dans son American Airlines Arena, le Heat a une nouvelle fois mordu la poussière face au duo de choc Ben Gordon (27 points, 5 rebonds)-Luol Deng (24 points, 11 rebonds, 3 passes décisives). Et la franchise floridienne a de quoi avoir des regrets puisqu’elle menait de 7 points à la pause (52-45). Malgré le réveil de Dwyane Wade, meilleur marqueur de la rencontre avec 28 points et auteur de 9 rebonds, et un Shaquille O’Neal enfin maître dans la raquette (23 points, 13 rebonds), Miami ne résistait pas à la machine Bulls et explosait même en plein vol dans un quatrième quart temps à sens unique (32-20) pour finalement s’incliner avec les honneurs (104-96). Un troisième revers consécutif qui met désormais le champion en titre dans une position fort inconfortable. Désormais, la bande à Riley n’a plus le droit à l’erreur !
New Jersey – Toronto 102-89
On le disait incertain, handicapé par une douleur au genou. Info ou intox ? La question est en droit d’être posée après le festival Jason Kidd la nuit dernière au Continental Airlines Arena. A lui tout seul, il a écœuré les Canadiens en réalisant un triple-double magistral (16 points, 16 rebonds, 19 passes décisives). Face à un tel phénomène, que pouvait bien espérer Toronto ? Et bien pas grand-chose. Surtout quand à ses côtés se trouve un Vince Carter à la main chaude (37 points à 15/23 au tir). Tant et si bien que dès le premier quart-temps (31-19), la messe semblait déjà dite, les Raptors prenant le bouillon dans la foulée pour rejoindre les vestiaires avec un débours de 19 points (58-39). T.J. Ford (27 points, 8 passes décisives) tentait bien de sonner la révolte au début du troisième acte. Seul problème, ses partenaires, eux, à l’image d’un Chris Bosh que l’on a connu plus inspiré (11 points à 3/10 au tir) ne répondaient plus. New Jersey n’avait plus qu’à colmater tranquillement les mini-fissures pour terminer la rencontre sans trembler (102-89). Si l’incertitude plane concernant cette série, New Jersey a frappé un grand coup vendredi soir.
Golden State – Dallas 109-91
L’un des grands favoris si ce n’est LE favori à la victoire finale va devoir cravacher beaucoup plus qu’il ne l’imaginait pour se défaire de Golden State. Après avoir rétabli l’équilibre mercredi, revoilà les Mavericks menés après leur défaite la nuit dernière sur le parquet des Warriors (109-91). Le grand responsable se nomme Jason Richardson, meilleur marqueur du match avec 30 points au compteur. Mais, et cela devient une fâcheuse habitude, les Texans ne peuvent s’en prendre qu'à eux-même vu le départ plus que moyen (29-20 après le premier quart temps) des partenaires de Nowitzki (20 points, 12 rebonds). Un retard que les Mavs ne parviendront finalement jamais à réduire, Baron Davis (24 points, 5 passes décisives), Stephen Jackson (16 points, 8 rebonds, 6 passes décisives) mais également le tout nouveau MIP Monta Ellis (14 points) se chargeant de mater la possible révolte de la franchise texane, l’écart atteignant son paroxysme dans le troisième quart temps sur un lancer-franc de Mike Pietrus (82-61), le seul point du Frenchy durant la rencontre en 20 minutes ! Dallas prenait l’eau de toutes parts et chutait assez lourdement (109-91). Pour Pietrus, un match à oublier sur le plan personnel (1 point, 5 rebonds, 4 fautes, 3 ballons perdus).
Résultats de la nuit :
Miami - Chicago 96-104 Chicago mène la série 3-0
New Jersey – Toronto 102-89 New Jersey mène la série 2-1
Golden State - Dallas 109-91 Golden State mène la série 2-1
[quote="Vertdur"]Bouby a fait du bon boulot :wink:[/quote]
[quote="Cmagix"]un but de bouby[/quote]
[quote="billups42"]
C'est bien boubynight.....1er pour les infos[/quote]
[quote="Cmagix"]un but de bouby[/quote]
[quote="billups42"]
C'est bien boubynight.....1er pour les infos[/quote]
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