[Basket] Reprise saison NBA
Moderators: Barre transversale, Poteau gauche, Poteau droit, Ligne de but
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En effet, quelle surprise que cette victoire du SEB à Saint-Quentin. Cette équipe est vraiment déroutante, à l'image notamment de Julien Doreau et Bobby Dixon qui enchainent les bonnes performances et matchs de m.... Dommage que la formation de Thinet manque de constance, car les playoffs étaient largement jouables cette année.vinsanity wrote:Ouaip, Roanne s'est fait atomiser à Besançon 90-74 contre une équipe très motivée. La Chorale était semble-t-il complètement amorphe. Une défaite qui risque de couter très cher :sad:
Par contre excellente surprise avec le SEB qui s'impose à Saint Quentin avec autorité
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:non: les playoffs sont largement jouables cette annéeEl Couramiaud wrote:En effet, quelle surprise que cette victoire du SEB à Saint-Quentin. Cette équipe est vraiment déroutante, à l'image notamment de Julien Doreau et Bobby Dixon qui enchainent les bonnes performances et matchs de m.... Dommage que la formation de Thinet manque de constance, car les playoffs étaient largement jouables cette année.vinsanity wrote:Ouaip, Roanne s'est fait atomiser à Besançon 90-74 contre une équipe très motivée. La Chorale était semble-t-il complètement amorphe. Une défaite qui risque de couter très cher :sad:
Par contre excellente surprise avec le SEB qui s'impose à Saint Quentin avec autorité
"On peut rire de tout mais pas avec n'importe qui." Pierre Desproges.
J'suis pas du tout d'accord. Bobby Dixon fait preuve d'une certaine constance depuis un certain temps, et en dehors de son match complètement loupé face à Cholet en Coupe de France (voir contre Limoges, mais il marque quand même 17pts au milieu du naufrage collectif et selon les observateurs il tenait l'équipe à bout de bras), il fait preuve d'une superbe constance depuis la reception de Nantes . En effet, celà fait 11 matchs qu'il n'est pas passé en dessous des 14 d'éval. Alors autant en début de saison son inconstance était réelle, autant maintenant ...El Couramiaud wrote:En effet, quelle surprise que cette victoire du SEB à Saint-Quentin. Cette équipe est vraiment déroutante, à l'image notamment de Julien Doreau et Bobby Dixon qui enchainent les bonnes performances et matchs de m.... Dommage que la formation de Thinet manque de constance, car les playoffs étaient largement jouables cette année.vinsanity wrote:Ouaip, Roanne s'est fait atomiser à Besançon 90-74 contre une équipe très motivée. La Chorale était semble-t-il complètement amorphe. Une défaite qui risque de couter très cher :sad:
Par contre excellente surprise avec le SEB qui s'impose à Saint Quentin avec autorité
Regarde ses stats match par match :
http://www.lnb.fr/index.php?pid=9&type= ... 006&stat=m
17pts 5.1rbds 4.2ast tout de même. Et surtout, il a souvent terminé meilleur rebondeur Stéphanois alors qu'il ne mesure qu'un mètre 75 ! Preuve de sa combativité de tous les instants. Alors certes, 45% aux shoots c'est pas génial (encore que, pour un meneur ...), et il perd 2.7 ballons par match, mais tout de même, c'est le leader offensif de cette équipe, et il fait souvent la différence dans les moments chauds. Je trouve que Dixon est souvent mal jugé, et on a tendance à ne retenir que son début de saison mi-figue mi-raisin, alors qu'il est désormais devenu un joueur très régulier.
Parker-Petro, la démonstration
Tony Parker et Johan Petro ont brûlé les parquets la nuit dernière avec leur équipe respective. "TP" s'est régalé face aux Jazz avec 23 points à son actif, 11 passes décisives et 4 rebonds. Une grosse performance permettant aux Spurs de l'emporter 102-93. Johan Petro, de son côté, s'est distingué avec Seattle en inscrivant 22 points, soit le meilleur total de sa carrière. Les Sonics n'ont donc eu aucun problème à dominer Memphis 120 à 93. Quant aux Mavericks, ils ont signé un 9e succès d'affilée avec une courte victoire sur les Knicks 105-103.
Les Français:
Une journée dont se souviendra sans doute longtemps Johan Petro. Face aux Grizzlies, le Français s'est offert le meilleur score de sa carrière. Incisif, l'intéressé n'a pas manqué de "taper dans l'oeil" de son coach en inscrivant 22 points, lui dont le record restait bloqué jusque-là à 16 points. "Dès la première minute de jeu, j'étais prêt à faire quelque chose", a-t-il ainsi expliqué, alors que Nick Collison réalisait le même total de points que lui, mais avec 12 rebonds contre 5 pour Petro. Mickael Gelabale, plus discret avec 7 points, aura également eu son importance dans la victoire 120 à 93 des Sonics.
Tony Parker, quant à lui, s'est fait plaisir en délivrant un match solide. Auteur de 23 points et 11 passes décisives, "TP" a répondu présent aux côtés de Tim Duncan (20 points, 14 rebonds) et Manu Ginobili (25 points). Un trio de feu qui offre une sixième victoire consécutive aux Spurs.
Quant à Boris Diaw, son compteur personnel affichait 8 points au terme de la large victoire de Phoenix sur Denver 125 à 108. Enfin, Ronny Turiaf a dû se contenter de 6 points lors de la défaite des Lakers face à Houston (104-107 après prolongation), en dépit des 53 points de Kobe Bryant.
Le match:
Dallas a encore impressionné la nuit dernière en venant à bout des Knicks sur le score de 105 à 103. Une victoire, la neuvième d'affilée pour les Mavs, qui offre aux coéquipiers de Josh Howard un 61e succès cette saison, ce qui constitue le record de la franchise. Dirk Nowitzki aura été l'élément clé de cette victoire en inscrivant 17 de ses 30 points dans le quatrième quart-temps, dont 9 à moins de 2 minutes de la fin (1'56). Stephon Marbury, impressionnant avec 43 points, a pourtant bataillé du côté des Knicks, mais son adresse n'aura pas été suffisante.
La stat:
15000: comme le nombre de points inscrits par Dirk Nowitzki en carrière. Ce dernier, auteur de 30 points face à New York, est devenu le 105e joueur de l'histoire de la NBA à franchir le cap mythique des 15000 points.
www.sports.fr
Tony Parker et Johan Petro ont brûlé les parquets la nuit dernière avec leur équipe respective. "TP" s'est régalé face aux Jazz avec 23 points à son actif, 11 passes décisives et 4 rebonds. Une grosse performance permettant aux Spurs de l'emporter 102-93. Johan Petro, de son côté, s'est distingué avec Seattle en inscrivant 22 points, soit le meilleur total de sa carrière. Les Sonics n'ont donc eu aucun problème à dominer Memphis 120 à 93. Quant aux Mavericks, ils ont signé un 9e succès d'affilée avec une courte victoire sur les Knicks 105-103.
Les Français:
Une journée dont se souviendra sans doute longtemps Johan Petro. Face aux Grizzlies, le Français s'est offert le meilleur score de sa carrière. Incisif, l'intéressé n'a pas manqué de "taper dans l'oeil" de son coach en inscrivant 22 points, lui dont le record restait bloqué jusque-là à 16 points. "Dès la première minute de jeu, j'étais prêt à faire quelque chose", a-t-il ainsi expliqué, alors que Nick Collison réalisait le même total de points que lui, mais avec 12 rebonds contre 5 pour Petro. Mickael Gelabale, plus discret avec 7 points, aura également eu son importance dans la victoire 120 à 93 des Sonics.
Tony Parker, quant à lui, s'est fait plaisir en délivrant un match solide. Auteur de 23 points et 11 passes décisives, "TP" a répondu présent aux côtés de Tim Duncan (20 points, 14 rebonds) et Manu Ginobili (25 points). Un trio de feu qui offre une sixième victoire consécutive aux Spurs.
Quant à Boris Diaw, son compteur personnel affichait 8 points au terme de la large victoire de Phoenix sur Denver 125 à 108. Enfin, Ronny Turiaf a dû se contenter de 6 points lors de la défaite des Lakers face à Houston (104-107 après prolongation), en dépit des 53 points de Kobe Bryant.
Le match:
Dallas a encore impressionné la nuit dernière en venant à bout des Knicks sur le score de 105 à 103. Une victoire, la neuvième d'affilée pour les Mavs, qui offre aux coéquipiers de Josh Howard un 61e succès cette saison, ce qui constitue le record de la franchise. Dirk Nowitzki aura été l'élément clé de cette victoire en inscrivant 17 de ses 30 points dans le quatrième quart-temps, dont 9 à moins de 2 minutes de la fin (1'56). Stephon Marbury, impressionnant avec 43 points, a pourtant bataillé du côté des Knicks, mais son adresse n'aura pas été suffisante.
La stat:
15000: comme le nombre de points inscrits par Dirk Nowitzki en carrière. Ce dernier, auteur de 30 points face à New York, est devenu le 105e joueur de l'histoire de la NBA à franchir le cap mythique des 15000 points.
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vinsanity wrote:J'suis pas du tout d'accord. Bobby Dixon fait preuve d'une certaine constance depuis un certain temps, et en dehors de son match complètement loupé face à Cholet en Coupe de France (voir contre Limoges, mais il marque quand même 17pts au milieu du naufrage collectif et selon les observateurs il tenait l'équipe à bout de bras), il fait preuve d'une superbe constance depuis la reception de Nantes . En effet, celà fait 11 matchs qu'il n'est pas passé en dessous des 14 d'éval. Alors autant en début de saison son inconstance était réelle, autant maintenant ...El Couramiaud wrote:En effet, quelle surprise que cette victoire du SEB à Saint-Quentin. Cette équipe est vraiment déroutante, à l'image notamment de Julien Doreau et Bobby Dixon qui enchainent les bonnes performances et matchs de m.... Dommage que la formation de Thinet manque de constance, car les playoffs étaient largement jouables cette année.vinsanity wrote:Ouaip, Roanne s'est fait atomiser à Besançon 90-74 contre une équipe très motivée. La Chorale était semble-t-il complètement amorphe. Une défaite qui risque de couter très cher :sad:
Par contre excellente surprise avec le SEB qui s'impose à Saint Quentin avec autorité
Regarde ses stats match par match :
http://www.lnb.fr/index.php?pid=9&type= ... 006&stat=m
17pts 5.1rbds 4.2ast tout de même. Et surtout, il a souvent terminé meilleur rebondeur Stéphanois alors qu'il ne mesure qu'un mètre 75 ! Preuve de sa combativité de tous les instants. Alors certes, 45% aux shoots c'est pas génial (encore que, pour un meneur ...), et il perd 2.7 ballons par match, mais tout de même, c'est le leader offensif de cette équipe, et il fait souvent la différence dans les moments chauds. Je trouve que Dixon est souvent mal jugé, et on a tendance à ne retenir que son début de saison mi-figue mi-raisin, alors qu'il est désormais devenu un joueur très régulier.
Je me suis mal exprimé, je ne parlais pas spécialement de Dixon. Sur ce point je suis parfaitement d'acccord avec toi, d'ailleurs, c'est se que j'avais dit sur un autre forum. Non en parlant de constance, je veux parler de l'équipe dans sa globalité qui enchaine les belles victoires (Nanterre), avec des prestations quelconques (Limoges, Boulazac). Il faut dire aussi que je reste sur la très mauvaise impression laissé face à Cholet. J'ai vraiment eu le sentiment à cette occasion qu'ils n'ont pas joué ce match à fond et qu'ils l'ont laissé filer, et cela ma vraiment fait chi..
Pour les playoffs, je suis volontairement provocateur, car c'est vrai que cela reste très serré au milieu de tableau et tout est encore possible. Cela dit, je reste très perplexe sur les capacités de l'équipe à maintenir un niveau de jeu élevé sur une longue durée. Il faut voir ce que va donner le remplacant de Philipps, mais il ne faut sans doute pas attendre de miracle.
Maintenant je ne souhaite qu'une chose, que le SEB me fasse mentir.
Sinon en N1, Saint-Chamond a battu Vanves 79 à 52 alors que Feurs à chuté à Golbey-Epinal.
Phillips est out jusqu'à la fn de la saison (épaule démise)
Noah et les Gators remettent ça!
Joakim Noah et les Gators sont toujours en course pour le doublé! Opposés samedi soir en demi-finale du Final Four de NCAA à la formation d'UCLA, qu'ils avaient dominée l'année dernière en finale, les joueurs de Florida n'ont pas laissé passer l'occasion de se qualifier pour une deuxième finale de rang, s'imposant 76-66 avec notamment 8 points et 11 rebonds pour le fils de Yannick Noah, MVP de la finale 2006. Lundi soir à Atlanta, les Gators affronteront Ohio State, tombeur dans l'autre demi-finale de Georgetown (67-60).
La belle aventure continue pour Joakim Noah et les Gators! Vainqueurs l'an dernier de l'équipe d'UCLA en finale (73-57), les coéquipiers du fils de Yannick Noah ont donc remis ça samedi soir en demi-finale du Final Four 2007, empêchant leurs adversaires de prendre leur revanche, avec un succès 76-66 qui ne souffre guère de contestation. Les Gators ont toujours fait la course en tête au cours d'une rencontre à la physionomie finalement très proche de leur affrontement l'an dernier pour le titre.
Avec 19 points, Corey Brewer a été le grand artisan de la victoire de Florida, bien épaulé par Chris Richard (16 points), Lee Humphrey (14 points), tandis que sous les paniers, Joakim Noah et al Horford ont fait le ménage, avec respectivement 11 et 17 rebonds. "Nous sommes de retour pour jouer le titre, je ne pouvais espérer mieux", se réjouissait à l'issue de cette demi-finale le coach de Florida, Billy Donovan, dont la formation affiche un bilan cette saison de 34 victoires pour seulement 5 défaites.
A l'opposé, Ben Howland, qui rêvait d'être le coach permettant à UCLA de remporter le Championnat, douze ans après le dernier des onze titres NCAA de la formation de Los Angeles, ne pouvait que reconnaître la supériorité des Gators, plus complets, et le talent de son vis-à-vis: "Il faut s'incliner devant leur performance, ils ont de très bons joueurs qui sont en outre très très bien dirigés. Malgré cela, nous sommes très déçus de perdre ce soir et de nous retrouver pour la deuxième fois de suite au Final Four sans ramener le Championnat à la maison."
Ohio a été corrigé cette saison par Florida
Un objectif qui sera donc celui des Gators avec un doublé dans la mire qui n'a plus été réalisé depuis le deuxième titre de rang de l'université de Duke en 1992. Mais là où la performance des Gators est plus remarquable, c'est que c'est la première fois qu'une équipe disputera une deuxième finale NCAA de rang avec le même cinq de départ, les stars de cette formation de Florida ayant toutes résisté après le titre 2006 au chant des sirènes de la NBA pour décider de lier leur sort et de défendre leur titre. "Les gars sont aussi faciles à diriger que l'an dernier, se réjouit Billy Donovan. Ils sont à l'écoute."
Lundi soir, toujours à Atlanta, c'est la formation d'Ohio State qui se dressera sur la route de leur doublé, une formation aux statistiques impressionnantes cette saison avec 35 victoires pour 3 défaites et surtout 22 succès de rang, série en cours! Vainqueurs de Georgetown en demi-finale (67-60), les Buckeyes se souviendront cependant avoir subi une déculottée cette saison de la part des Gators (86-60) qui partiront donc lundi avec un petit avantage psychologique...
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Noah et les Gators remettent ça!
Joakim Noah et les Gators sont toujours en course pour le doublé! Opposés samedi soir en demi-finale du Final Four de NCAA à la formation d'UCLA, qu'ils avaient dominée l'année dernière en finale, les joueurs de Florida n'ont pas laissé passer l'occasion de se qualifier pour une deuxième finale de rang, s'imposant 76-66 avec notamment 8 points et 11 rebonds pour le fils de Yannick Noah, MVP de la finale 2006. Lundi soir à Atlanta, les Gators affronteront Ohio State, tombeur dans l'autre demi-finale de Georgetown (67-60).
La belle aventure continue pour Joakim Noah et les Gators! Vainqueurs l'an dernier de l'équipe d'UCLA en finale (73-57), les coéquipiers du fils de Yannick Noah ont donc remis ça samedi soir en demi-finale du Final Four 2007, empêchant leurs adversaires de prendre leur revanche, avec un succès 76-66 qui ne souffre guère de contestation. Les Gators ont toujours fait la course en tête au cours d'une rencontre à la physionomie finalement très proche de leur affrontement l'an dernier pour le titre.
Avec 19 points, Corey Brewer a été le grand artisan de la victoire de Florida, bien épaulé par Chris Richard (16 points), Lee Humphrey (14 points), tandis que sous les paniers, Joakim Noah et al Horford ont fait le ménage, avec respectivement 11 et 17 rebonds. "Nous sommes de retour pour jouer le titre, je ne pouvais espérer mieux", se réjouissait à l'issue de cette demi-finale le coach de Florida, Billy Donovan, dont la formation affiche un bilan cette saison de 34 victoires pour seulement 5 défaites.
A l'opposé, Ben Howland, qui rêvait d'être le coach permettant à UCLA de remporter le Championnat, douze ans après le dernier des onze titres NCAA de la formation de Los Angeles, ne pouvait que reconnaître la supériorité des Gators, plus complets, et le talent de son vis-à-vis: "Il faut s'incliner devant leur performance, ils ont de très bons joueurs qui sont en outre très très bien dirigés. Malgré cela, nous sommes très déçus de perdre ce soir et de nous retrouver pour la deuxième fois de suite au Final Four sans ramener le Championnat à la maison."
Ohio a été corrigé cette saison par Florida
Un objectif qui sera donc celui des Gators avec un doublé dans la mire qui n'a plus été réalisé depuis le deuxième titre de rang de l'université de Duke en 1992. Mais là où la performance des Gators est plus remarquable, c'est que c'est la première fois qu'une équipe disputera une deuxième finale NCAA de rang avec le même cinq de départ, les stars de cette formation de Florida ayant toutes résisté après le titre 2006 au chant des sirènes de la NBA pour décider de lier leur sort et de défendre leur titre. "Les gars sont aussi faciles à diriger que l'an dernier, se réjouit Billy Donovan. Ils sont à l'écoute."
Lundi soir, toujours à Atlanta, c'est la formation d'Ohio State qui se dressera sur la route de leur doublé, une formation aux statistiques impressionnantes cette saison avec 35 victoires pour 3 défaites et surtout 22 succès de rang, série en cours! Vainqueurs de Georgetown en demi-finale (67-60), les Buckeyes se souviendront cependant avoir subi une déculottée cette saison de la part des Gators (86-60) qui partiront donc lundi avec un petit avantage psychologique...
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:coucou:Baraban wrote:Petit bonjour amical à lolo72 pour féliciter le MSB vainqueur de la SIG 62-60 hier soir au Rhenus
RDV à Bercy !
victoire importante du MSB qui revient a 1 point de la SIG.
match tres important le week-end prochain a Antares face a l'équipe "americaine" :evil: du championnat .
Bercy est encore loin
[img]http://www.msb.fr/images/clubs/logo/lemans.jpg[/img]
"Il y a des choses que le temps ne peut cicatriser,
des blessures si profondes,
qu'elles se sont emparées de vous "
"Il y a des choses que le temps ne peut cicatriser,
des blessures si profondes,
qu'elles se sont emparées de vous "
Dallas ébloui par les Suns
Avec un tel collectif, quatre joueurs à 20 points ou plus, Phoenix était difficilement friable. Pour preuve, Dallas, meilleure équipe de la Ligue, s'est cassée les dents dimanche face aux Suns, vainqueurs 126-104 avec un Boris Diaw au diapason de ses coéquipiers (16 pts, 4 rebonds et 5 passes). Ça s'est moins bien passé, en revanche, pour Tony Parker, l'un des autres Frenchies en lice, San Antonio s'étant incliné de justesse face aux Pacers (99-100). Pas mieux pour le champion en titre, Miami, qui est tombé à Detroit, 88-94.
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Avec un tel collectif, quatre joueurs à 20 points ou plus, Phoenix était difficilement friable. Pour preuve, Dallas, meilleure équipe de la Ligue, s'est cassée les dents dimanche face aux Suns, vainqueurs 126-104 avec un Boris Diaw au diapason de ses coéquipiers (16 pts, 4 rebonds et 5 passes). Ça s'est moins bien passé, en revanche, pour Tony Parker, l'un des autres Frenchies en lice, San Antonio s'étant incliné de justesse face aux Pacers (99-100). Pas mieux pour le champion en titre, Miami, qui est tombé à Detroit, 88-94.
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NBA: Kevin Willis revient !
A 44 ans, Kevin Willis, l'ancienne star des Hawks lorsqu'il était le meilleur rebondeur de la NBA au début des années 90, va reprendre du service. Le pivot s'est en effet engagé avec le leader de la Ligue, Dallas, jusqu'à la fin de la saison. Willis devient ainsi le plus vieux joueur en activité dans le championnat nord-américain.
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A 44 ans, Kevin Willis, l'ancienne star des Hawks lorsqu'il était le meilleur rebondeur de la NBA au début des années 90, va reprendre du service. Le pivot s'est en effet engagé avec le leader de la Ligue, Dallas, jusqu'à la fin de la saison. Willis devient ainsi le plus vieux joueur en activité dans le championnat nord-américain.
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Apparemment, Noah s'est un peu sacrifié pour défendre Greg Oden, et du coup les fautes s'accumulant il n'a pas eu beaucoup de temps de jeu ni d'impact offensif.
Néanmoins, excellente performance des Gators qui ont attendu d'être au Final Four pour sortir leurs 2 plus gros matchs du tournoi !! Et surtout belle victoire collective.
Néanmoins, excellente performance des Gators qui ont attendu d'être au Final Four pour sortir leurs 2 plus gros matchs du tournoi !! Et surtout belle victoire collective.
Bis repetita pour Noah et Florida!
Joakim Noah et l'université de Florida ont remis ça! Vainqueurs l'an dernier du Championnat NCAA, les Gators ont conservé leur titre dans la nuit de lundi à mardi à Atlanta en disposant en finale du Final Four 2007 d'Ohio State (84-75), formation qui restait pourtant sur 22 succès de rang. Si le fils de Yannick Noah, élu meilleur joueur de la finale 2006, a été plus discret (8 points, 3 rebonds), il devrait se servir de ce deuxième titre de rang pour franchir le pas de la NBA et s'inscrire à la prochaine draft, comme quelques uns de ses coéquipiers.
Et de deux! Ce n'était plus arrivé depuis 1992 et le doublé de l'université de Duke, les Gators l'ont fait. En dominant Ohio State lundi soir à Atlanta 84-75 lors de la finale du Final Four du Championnat universitaire nord-américain, Florida a conservé son titre NCAA, déjà brillamment conquis l'an dernier aux dépens d'UCLA, une formation que l'équipe de Gainesville avait d'ailleurs encore écartée, pas plus tard que samedi en demi-finale.
Un double exploit pour les troupes de Billy Donovan qui interrompent ainsi une série de 22 succès de rang d'Ohio, qui présentait d'ailleurs avant cette finale les meilleures statistiques de la saison (35 victoires pour 3 défaites), mais surtout - et c'est une grande première dans l'histoire de la NCAA - remportent ce deuxième titre consécutif avec le même cinq de départ, les joueurs de Florida ayant décidé l'an dernier, malgré le chant des sirènes de la NBA, de défendre ensemble leur bien sous les ordres d'un Billy Donovan qui force apparemment l'admiration de tous, joueurs, adversaires, dirigeants.
"Ils ont de très bons joueurs qui sont en outre très très bien dirigés", reconnaissait ainsi sportivement Ben Howland, le coach d'UCLA, après sa demi-finale perdue. Effectivement, cette formation de Florida regorge de joueurs de talent qui, cette fois-ci, devraient rapidement faire parler d'eux au niveau supérieur, c'est-à-dire en NBA, puisque les Joakim Noah, Al Horford, Corey Brewer, Lee Humphrey pourraient bien figurer dans la prochaine draft, forts de ce beau doublé. "C'est fantastique, c'est la raison pour laquelle nous avons décidé de remettre ça une année de plus, jubilait une fois le titre dans la poche, Corey Brewer, auteur de 13 points pour 8 rebonds. Nous sommes de nouveau numéros 1, deux fois de rang, nous l'avons fait!"
Juste à côté, Taurean Green, deuxième meilleur marqueur de son équipe avec 16 points (derrière les 18 points et 12 rebonds d'Al Horford), reprenait le même argument du collectif: "Nous nous aimons tous et nous aimons jouer ensemble. On a tous fait de gros sacrifices, nous sommes tous revenus et nous aurions été déçus ne pas y arriver."
"Une année de plus, une année de plus !"
Pas loin de lui et de ses jeunes joueurs célébrant le doublé dans une folle sarabande, avec notamment un Joakim Noah en chef de troupe, Billy Donovan savourait ce succès, lui qui entretient des rapports très proches avec ses joueurs: "Je suis si fier de ces gars. Je pense que cette équipe doit être considérée comme l'une des meilleures de l'histoire du basket universitaire. Peut-être pas la plus talentueuse et la plus belle à voir, mais celle où les joueurs ont mieux cerné que quiconque ce que signifie le mot équipe."
L'état d'esprit des Gators est en effet sans doute ce qui leur a permis de dominer une formation de l'Ohio State qu'ils avaient déjà étrillée en décembre dernier lors de la saison régulière (86-60), et notamment de prendre le dessus sur celui qui semblait le danger principal de l'université basée à Columbus, Greg Oden, qui a tout de même terminé meilleur marqueur du match avec 25 points pour 12 rebonds.
Pour le contrer, Billy Donovan avait notamment envoyé au front un Joakim Noah qui accumulera bien vite les fautes, d'où un rendement nettement moins performant que lors de la finale 2006 qui l'avait consacré meilleur joueur du match. Avec 8 points, pour 3 rebonds, le fils de Yannick Noah est loin de ses lignes de stats habituelles, mais à voir sa joie au coup de sifflet final, il était évident que sa propre prestation marquée du sceau du sacrifice était secondaire au regard de l'exploit réalisé par les Gators, qui ont gagné cette finale grâce à leur défense (38 rebonds contre 27), mais aussi leur adresse à trois points, avec un 10 sur 18 à 55,6% de réussite qui a fait très mal aux Buckeyes, maladroits à longue distance (4 sur 23 à 17,4% !).
"Quand vous jouez une grosse équipe comme Florida et que ces gars sortent le grand jeu, il n'y a pas grand chose à faire, ils ont réussi des choses incroyables", reconnaîtra d'ailleurs le coach d'Ohio, Thad Matta, tandis que sa star Greg Oden évoquera la défense acharnée des Gators pour expliquer la défaite des siens: "Il y avait en permanence quatre gars sur moi." Beaucoup trop pour permettre aux Buckeyes de priver les affamés Gators d'un doublé, et pourquoi pas d'un triplé, que seul UCLA dans les années 60-70 a réussi? Billy Donovan, lui-même annoncé partant à Kentucky, a visiblement du mal à y croire: "Les jeunes ne restent pas longtemps lorsqu'ils sont arrivés à un tel niveau. C'est devenu très difficile de nos jours de réussir à garder un tel projet collectif. Il y a vingt ans, tous seraient revenus et tout serait reparti..." Les fans de Florida qui, lors de la remise du trophée, criaient "Une année de plus, une année de plus !" risquent de ne pas peser bien lourd à côté des dollars et des honneurs de la NBA.
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Joakim Noah et l'université de Florida ont remis ça! Vainqueurs l'an dernier du Championnat NCAA, les Gators ont conservé leur titre dans la nuit de lundi à mardi à Atlanta en disposant en finale du Final Four 2007 d'Ohio State (84-75), formation qui restait pourtant sur 22 succès de rang. Si le fils de Yannick Noah, élu meilleur joueur de la finale 2006, a été plus discret (8 points, 3 rebonds), il devrait se servir de ce deuxième titre de rang pour franchir le pas de la NBA et s'inscrire à la prochaine draft, comme quelques uns de ses coéquipiers.
Et de deux! Ce n'était plus arrivé depuis 1992 et le doublé de l'université de Duke, les Gators l'ont fait. En dominant Ohio State lundi soir à Atlanta 84-75 lors de la finale du Final Four du Championnat universitaire nord-américain, Florida a conservé son titre NCAA, déjà brillamment conquis l'an dernier aux dépens d'UCLA, une formation que l'équipe de Gainesville avait d'ailleurs encore écartée, pas plus tard que samedi en demi-finale.
Un double exploit pour les troupes de Billy Donovan qui interrompent ainsi une série de 22 succès de rang d'Ohio, qui présentait d'ailleurs avant cette finale les meilleures statistiques de la saison (35 victoires pour 3 défaites), mais surtout - et c'est une grande première dans l'histoire de la NCAA - remportent ce deuxième titre consécutif avec le même cinq de départ, les joueurs de Florida ayant décidé l'an dernier, malgré le chant des sirènes de la NBA, de défendre ensemble leur bien sous les ordres d'un Billy Donovan qui force apparemment l'admiration de tous, joueurs, adversaires, dirigeants.
"Ils ont de très bons joueurs qui sont en outre très très bien dirigés", reconnaissait ainsi sportivement Ben Howland, le coach d'UCLA, après sa demi-finale perdue. Effectivement, cette formation de Florida regorge de joueurs de talent qui, cette fois-ci, devraient rapidement faire parler d'eux au niveau supérieur, c'est-à-dire en NBA, puisque les Joakim Noah, Al Horford, Corey Brewer, Lee Humphrey pourraient bien figurer dans la prochaine draft, forts de ce beau doublé. "C'est fantastique, c'est la raison pour laquelle nous avons décidé de remettre ça une année de plus, jubilait une fois le titre dans la poche, Corey Brewer, auteur de 13 points pour 8 rebonds. Nous sommes de nouveau numéros 1, deux fois de rang, nous l'avons fait!"
Juste à côté, Taurean Green, deuxième meilleur marqueur de son équipe avec 16 points (derrière les 18 points et 12 rebonds d'Al Horford), reprenait le même argument du collectif: "Nous nous aimons tous et nous aimons jouer ensemble. On a tous fait de gros sacrifices, nous sommes tous revenus et nous aurions été déçus ne pas y arriver."
"Une année de plus, une année de plus !"
Pas loin de lui et de ses jeunes joueurs célébrant le doublé dans une folle sarabande, avec notamment un Joakim Noah en chef de troupe, Billy Donovan savourait ce succès, lui qui entretient des rapports très proches avec ses joueurs: "Je suis si fier de ces gars. Je pense que cette équipe doit être considérée comme l'une des meilleures de l'histoire du basket universitaire. Peut-être pas la plus talentueuse et la plus belle à voir, mais celle où les joueurs ont mieux cerné que quiconque ce que signifie le mot équipe."
L'état d'esprit des Gators est en effet sans doute ce qui leur a permis de dominer une formation de l'Ohio State qu'ils avaient déjà étrillée en décembre dernier lors de la saison régulière (86-60), et notamment de prendre le dessus sur celui qui semblait le danger principal de l'université basée à Columbus, Greg Oden, qui a tout de même terminé meilleur marqueur du match avec 25 points pour 12 rebonds.
Pour le contrer, Billy Donovan avait notamment envoyé au front un Joakim Noah qui accumulera bien vite les fautes, d'où un rendement nettement moins performant que lors de la finale 2006 qui l'avait consacré meilleur joueur du match. Avec 8 points, pour 3 rebonds, le fils de Yannick Noah est loin de ses lignes de stats habituelles, mais à voir sa joie au coup de sifflet final, il était évident que sa propre prestation marquée du sceau du sacrifice était secondaire au regard de l'exploit réalisé par les Gators, qui ont gagné cette finale grâce à leur défense (38 rebonds contre 27), mais aussi leur adresse à trois points, avec un 10 sur 18 à 55,6% de réussite qui a fait très mal aux Buckeyes, maladroits à longue distance (4 sur 23 à 17,4% !).
"Quand vous jouez une grosse équipe comme Florida et que ces gars sortent le grand jeu, il n'y a pas grand chose à faire, ils ont réussi des choses incroyables", reconnaîtra d'ailleurs le coach d'Ohio, Thad Matta, tandis que sa star Greg Oden évoquera la défense acharnée des Gators pour expliquer la défaite des siens: "Il y avait en permanence quatre gars sur moi." Beaucoup trop pour permettre aux Buckeyes de priver les affamés Gators d'un doublé, et pourquoi pas d'un triplé, que seul UCLA dans les années 60-70 a réussi? Billy Donovan, lui-même annoncé partant à Kentucky, a visiblement du mal à y croire: "Les jeunes ne restent pas longtemps lorsqu'ils sont arrivés à un tel niveau. C'est devenu très difficile de nos jours de réussir à garder un tel projet collectif. Il y a vingt ans, tous seraient revenus et tout serait reparti..." Les fans de Florida qui, lors de la remise du trophée, criaient "Une année de plus, une année de plus !" risquent de ne pas peser bien lourd à côté des dollars et des honneurs de la NBA.
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Défaite du SEB 62-56 avec un Bobby Dixon qui passe complètement au travers ... 2/16 aux tirs et 5TO pour -6 d'éval. J'aurais mieux fait de me taire moi :lol:
En revanche encore une belle perf de nos intérieurs : 8^pts 10rbds et 17 d'éval pour Passave, 8pts 7rbds et 11 d'éval pour Benjamin Rey. Le nouveau, Hermenier, fait 4pts 4rbds pour 3 d'éval en 17min.
En revanche encore une belle perf de nos intérieurs : 8^pts 10rbds et 17 d'éval pour Passave, 8pts 7rbds et 11 d'éval pour Benjamin Rey. Le nouveau, Hermenier, fait 4pts 4rbds pour 3 d'éval en 17min.
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content pour mon pote Yo, avec la blessure de philips les play-offs vont être difficile à atteindre...vinsanity wrote:Défaite du SEB 62-56 avec un Bobby Dixon qui passe complètement au travers ... 2/16 aux tirs et 5TO pour -6 d'éval. J'aurais mieux fait de me taire moi :lol:
En revanche encore une belle perf de nos intérieurs : 8^pts 10rbds et 17 d'éval pour Passave, 8pts 7rbds et 11 d'éval pour Benjamin Rey. Le nouveau, Hermenier, fait 4pts 4rbds pour 3 d'éval en 17min.
Sinon, avec un peu de retard mais avec excuse (j'ai passé mon week à côté de toulouse !!!!) félicitations à Joakim Noah ! Je vias mater le match que j'ai enregistré ! bonne semaine à tous !
[quote="Vertdur"]Bouby a fait du bon boulot :wink:[/quote]
[quote="Cmagix"]un but de bouby[/quote]
[quote="billups42"]
C'est bien boubynight.....1er pour les infos[/quote]
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C'est bien boubynight.....1er pour les infos[/quote]
Dommage Ca sent la fin des haricots pour les play offs.vinsanity wrote:Défaite du SEB 62-56 avec un Bobby Dixon qui passe complètement au travers ... 2/16 aux tirs et 5TO pour -6 d'éval. J'aurais mieux fait de me taire moi :lol:
En revanche encore une belle perf de nos intérieurs : 8^pts 10rbds et 17 d'éval pour Passave, 8pts 7rbds et 11 d'éval pour Benjamin Rey. Le nouveau, Hermenier, fait 4pts 4rbds pour 3 d'éval en 17min.
I'm waiting for my club...
It's never early, it's always late,
First thing you learn is that you always got to wait...
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Si l'adversaire du soir de Noah est annoncé numéro 1 de la draft, Joakim pourrait être drafté dans le top 10 voir le top 5 pour certains...problèmes, ça va le mettre dans une équipe bidon, style Atlanta ou Menphis mais il aura au moins du temps de jeu et pourra donc réaliser quelques belles perfs !
A moins qu'un club plus important et ayant besoin d'un bon 5, style Dallas (dampier est nul ces derniers temps), on peut rêver ! ne propose ensuite un échange !
A moins qu'un club plus important et ayant besoin d'un bon 5, style Dallas (dampier est nul ces derniers temps), on peut rêver ! ne propose ensuite un échange !
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Anthony mate Kobe
La réception des Nuggets par les Lakers dans la nuit de mardi à mercredi était l'occasion de voir s'affronter les deux meilleurs scoreurs de la Ligue: Kobe Bryant et Carmelo Anthony. Si la star de Los Angeles s'est montrée plus prolifique (39 points) que celle de Denver (31 points), ce sont bien les Nuggets qui se sont imposés au Staples Center (111-105) grâce à un dernier quart-temps mieux maîtrisé. Un succès important pour les hommes du Colorado qui se rapprochent à grands pas des play-offs.
Le match:
Les deux stars se sont croisées. Kobe Bryant a même été plus efficace que Carmelo Anthony mardi soir au Staples Center, devenant à l'occasion le plus jeune joueur de l'histoire à franchir la barre des 19 000 points en carrière. Mais les 39 unités de l'ailier des Lakers n'ont pas permis aux Californiens de venir à bout des Nuggets, vainqueurs à l'issue d'une rencontre très disputée (111-105). Devant au score à la pause (53-48), Denver a vu fondre son avance lors de la troisième période au point de se faire rejoindre au score avant l'attaque de l'ultime acte (86-86). L'énergie de Ronny Turiaf, encore une fois utilisé de façon sporadique par Phil Jackson, avait été capitale pour remettre les Lakers sur les bons rails. Les 9 points et 4 rebonds de l'ancien de Gonzaga, en plus de son immense générosité sur le parquet, donnaient un vrai coup de fouet à la formation californienne, dont Kobe Bryant prenait comme souvent un nombre ahurissant de tirs (31 sur 90 !).
Lamar Odom avait beau lui aussi briller en y allant de son triple-double (17 points-14 rebonds-12 passes), ce sont les hommes de George Karl, exceptionnellement absent du banc en raison de l'intervention subie par son fils quelques heures auparavant afin de soigner un cancer, qui allaient faire la différence lors des douze dernières minutes. Carmelo Anthony se révélait comme souvent décisif avec ses 31 points, mais l'ailier au bandeau n'était pas le seul à se mettre en évidence.
Marcus Camby était lui aussi dans un grand soir comme en attestent les 21 points, 20 rebonds et 6 contres de l'ancien pivot filiforme des Knicks ! Remonté comme une pendule, l'intérieur des Nuggets a été le véritable artisan du 37e succès de la franchise du Colorado qui conforte ainsi sa septième place de la conférence Ouest avec un bilan à peine positif (37v-36d) et se met un petit peu plus à l'abri encore d'un éventuel retour de Golden State qui occupe actuellement le plus mauvais fauteuil (9e). A noter que Yakhouba Diawara n'a pas été utilisé pour la troisième fois en quatre matches.
Les Français
Outre Ronny Turiaf et Yakhouba Diawara, ils étaient quatre autres Tricolores à fouler les parquets de la NBA la nuit dernière. Trois s'affrontaient même dans le Texas. En effet, Tony Parker et les Spurs étaient les hôtes d'un soir des Sonics de Mickaël Gelabale et Johan Petro. Le meneur de San Antonio a livré une nouvelle solide prestation (16 points, 6 rebonds et 4 passes en 25 minutes) dans la large victoire des siens (110-91). La doublette française de Seattle n'a pas à rougir pour autant. Johan Petro a confirmé qu'il était bien en grande forme en ce dernier mois de saison régulière. L'ancien Palois s'est fendu de 14 points, 3 rebonds et 3 contres en 28 minutes, le tout en sortant du banc. Mickaël Gelabale a été moins en vue mais a toutefois montré le bout de son nez avec 4 points et 2 rebonds en 20 minutes. Mickaël Pietrus n'étant pas au programme des neuf matches de la nuit dernière, Boris Diaw était le sixième Français en lice. L'ancien Hawk était aussi le sixième homme de Mike d'Antoni à Memphis. Avec 6 points, 1 rebond et 3 passes, l'ailier multi-fonctions des Suns aura petitement contribué à la 56e victoire de Phoenix cette saison (116-111).
La stat
19 013. Comme le nombre de points désormais inscrits en carrière par Kobe Bryant. L'ailier des Lakers devient du même coup à 28 ans et 223 jours le plus jeune joueur de l'histoire à franchir la marque des 19 000 points, le précédent détenteur du record n'étant autre que Michael Jordan lui-même. Kobe Bryant est le 42e joueur de la Ligue à franchir le seuil des 19 000 points. Le tout en 776 matches.
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La réception des Nuggets par les Lakers dans la nuit de mardi à mercredi était l'occasion de voir s'affronter les deux meilleurs scoreurs de la Ligue: Kobe Bryant et Carmelo Anthony. Si la star de Los Angeles s'est montrée plus prolifique (39 points) que celle de Denver (31 points), ce sont bien les Nuggets qui se sont imposés au Staples Center (111-105) grâce à un dernier quart-temps mieux maîtrisé. Un succès important pour les hommes du Colorado qui se rapprochent à grands pas des play-offs.
Le match:
Les deux stars se sont croisées. Kobe Bryant a même été plus efficace que Carmelo Anthony mardi soir au Staples Center, devenant à l'occasion le plus jeune joueur de l'histoire à franchir la barre des 19 000 points en carrière. Mais les 39 unités de l'ailier des Lakers n'ont pas permis aux Californiens de venir à bout des Nuggets, vainqueurs à l'issue d'une rencontre très disputée (111-105). Devant au score à la pause (53-48), Denver a vu fondre son avance lors de la troisième période au point de se faire rejoindre au score avant l'attaque de l'ultime acte (86-86). L'énergie de Ronny Turiaf, encore une fois utilisé de façon sporadique par Phil Jackson, avait été capitale pour remettre les Lakers sur les bons rails. Les 9 points et 4 rebonds de l'ancien de Gonzaga, en plus de son immense générosité sur le parquet, donnaient un vrai coup de fouet à la formation californienne, dont Kobe Bryant prenait comme souvent un nombre ahurissant de tirs (31 sur 90 !).
Lamar Odom avait beau lui aussi briller en y allant de son triple-double (17 points-14 rebonds-12 passes), ce sont les hommes de George Karl, exceptionnellement absent du banc en raison de l'intervention subie par son fils quelques heures auparavant afin de soigner un cancer, qui allaient faire la différence lors des douze dernières minutes. Carmelo Anthony se révélait comme souvent décisif avec ses 31 points, mais l'ailier au bandeau n'était pas le seul à se mettre en évidence.
Marcus Camby était lui aussi dans un grand soir comme en attestent les 21 points, 20 rebonds et 6 contres de l'ancien pivot filiforme des Knicks ! Remonté comme une pendule, l'intérieur des Nuggets a été le véritable artisan du 37e succès de la franchise du Colorado qui conforte ainsi sa septième place de la conférence Ouest avec un bilan à peine positif (37v-36d) et se met un petit peu plus à l'abri encore d'un éventuel retour de Golden State qui occupe actuellement le plus mauvais fauteuil (9e). A noter que Yakhouba Diawara n'a pas été utilisé pour la troisième fois en quatre matches.
Les Français
Outre Ronny Turiaf et Yakhouba Diawara, ils étaient quatre autres Tricolores à fouler les parquets de la NBA la nuit dernière. Trois s'affrontaient même dans le Texas. En effet, Tony Parker et les Spurs étaient les hôtes d'un soir des Sonics de Mickaël Gelabale et Johan Petro. Le meneur de San Antonio a livré une nouvelle solide prestation (16 points, 6 rebonds et 4 passes en 25 minutes) dans la large victoire des siens (110-91). La doublette française de Seattle n'a pas à rougir pour autant. Johan Petro a confirmé qu'il était bien en grande forme en ce dernier mois de saison régulière. L'ancien Palois s'est fendu de 14 points, 3 rebonds et 3 contres en 28 minutes, le tout en sortant du banc. Mickaël Gelabale a été moins en vue mais a toutefois montré le bout de son nez avec 4 points et 2 rebonds en 20 minutes. Mickaël Pietrus n'étant pas au programme des neuf matches de la nuit dernière, Boris Diaw était le sixième Français en lice. L'ancien Hawk était aussi le sixième homme de Mike d'Antoni à Memphis. Avec 6 points, 1 rebond et 3 passes, l'ailier multi-fonctions des Suns aura petitement contribué à la 56e victoire de Phoenix cette saison (116-111).
La stat
19 013. Comme le nombre de points désormais inscrits en carrière par Kobe Bryant. L'ailier des Lakers devient du même coup à 28 ans et 223 jours le plus jeune joueur de l'histoire à franchir la marque des 19 000 points, le précédent détenteur du record n'étant autre que Michael Jordan lui-même. Kobe Bryant est le 42e joueur de la Ligue à franchir le seuil des 19 000 points. Le tout en 776 matches.
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vinsanity wrote:Défaite du SEB 62-56 avec un Bobby Dixon qui passe complètement au travers ... 2/16 aux tirs et 5TO pour -6 d'éval. J'aurais mieux fait de me taire moi :lol:
En revanche encore une belle perf de nos intérieurs : 8^pts 10rbds et 17 d'éval pour Passave, 8pts 7rbds et 11 d'éval pour Benjamin Rey. Le nouveau, Hermenier, fait 4pts 4rbds pour 3 d'éval en 17min.
Inconstance, quand tu nous tient... :sad:
Il est possible que désormais presque sauvé, l'équipe parte en vrille avec un Dixon qui va surement vouloir tirer la couverture à lui et faire des stats pour postuler à la ProA ... :???:El Couramiaud wrote:Inconstance, quand tu nous tient... :sad:vinsanity wrote:Défaite du SEB 62-56 avec un Bobby Dixon qui passe complètement au travers ... 2/16 aux tirs et 5TO pour -6 d'éval. J'aurais mieux fait de me taire moi :lol:
En revanche encore une belle perf de nos intérieurs : 8^pts 10rbds et 17 d'éval pour Passave, 8pts 7rbds et 11 d'éval pour Benjamin Rey. Le nouveau, Hermenier, fait 4pts 4rbds pour 3 d'éval en 17min.