vinsanity wrote:http://www.youtube.com/watch?v=nqNiSDYQ6vs
[Basket] Reprise saison NBA
Moderators: Barre transversale, Poteau gauche, Poteau droit, Ligne de but
Pau se complique la tâche
Après une première défaite sur le parquet de Rome en ouverture du Top 16 (68-78), les Palois se devaient de relever la tête face à l'ogre de Vitoria. Les Espagnols se sont finalement imposés de dix points (89-99) après avoir relégué à 23 longueurs leur adversaire béarnais à la mi-temps. Pau est finalement revenu avec son coeur, mais les paniers longues distances de Harrison et Miles n'ont pas suffi face à la maîtrise des partenaires de Scola et Rakocevic. Cette deuxième défaite condamne les Palois à l'exploit dans un groupe D dominé par les Basques.
Les Palois avaient à coeur de se racheter après leur faux pas de la semaine dernière à Rome et rentraient rapidement dans le rythme imposé par leur redoutable adversaire du soir. Pau faisait jeu égal avec Vitoria en début de rencontre et se permettait même de prendre un point d'avance sur deux lancer-francs d'Harrisson (8-7, 5e). Rakocevic et House plantaient deux paniers à trois points, mais les Palois ne fléchissaient pas et recollaient au score pour prolonger le bras de fer entre les deux équipes (17-17, 8e) avant que Vitoria n'accélère.
Scola et Rakocevic prenaient le match à leurs comptes et Prigioni scellait la première période d'un tir au buzzer à dix mètres pour donner dix points d'avance aux Basques (19-29, 10e). Le Canadien Gordon Herbert tentait un audacieux pari tactique en alignant un cinq inédit pour débuter la seconde période avec notamment le jeune intérieur, Ludovic Vaty, 19 ans à la place de Wright, sorti précocement pour deux fautes.
Melvin Sanders donnait raison à son entraîneur avec deux paniers primés dont un shoot miraculeux pour ramener les siens (26-31, 12e). Mais Erdogan sentait le danger et répondait à l'ancien joueur des Spurs avec deux tirs à trois points d'affilée qui redonnaient un matelas de onze points aux Espagnols (26-37, 13e). Vitoria n'avait plus qu'à dérouler jusqu'à la fin du deuxième quart-temps en signant un cruel 16-5 pour les Béarnais. Le TAU profitait des nombreux ballons perdus par les Palois en première période (10) et s'appuyait sur un gros pourcentage de réussite aux tirs (66%), avec un Serkan Erdogan de gala à la baguette (15 points en 10 minutes de jeu), pour clore la première mi-temps avec 23 points d'avance (36-59).
Pau se réveille
Harrison et Miles faisaient illusion avec deux paniers à trois points à la reprise (44-63, 23e), mais les Espagnols reprenaient leur marche en avant avec un collectif bien huilé. L'adresse des Basques était toujours aussi impressionnante mais les Béarnais grignotaient petit à petit leur retard grâce à Ricardo Greer et Xane D'Almeida notamment, pour passer sous la barre des 20 points à l'entame de la dernière période (58-75, 30e). Il n'était plus question que de sauver l'honneur lors des dix dernières minutes, et les hommes de Pierre Seillant ont fait preuve d'un immense orgueil devant leur public pour rendre la défaite plus acceptable.
Le jeune Ludovic Vaty se permettait même un contre devant Luis Scola à la 33e minute et les Palois se rapprochaient d'une barre des dix points qui obligeait les joueurs de Lezkano à prendre un temps-mort (65-77, 34e). Vaty, enorgueilli par son geste devant la star argentine de Vitoria (23 points, 8 rebonds, 7 passe décisives) prenait même les affaires en main offensivement avec un bras roulé victorieux. Le public du Palais des Sports se reprenait soudain à croire à l'impossible exploit et Lezkano appelait un second temps-mort. La folie s'emparait alors de la rencontre lorsque C.C. Harrison (22 points) marquait à nouveau à trois points en complet déséquilibre, ramenant les siens à moins de dix longueurs (82-89, 38e).
Mais Scola transformait une offrande de Prigioni sous le cercle pour remettre les siens dans le bon sens et Rakocevic retrouvait le rythme à trois points pour enterrer le fol espoir palois (89-97, 39e). Cette nouvelle défaite (89-99) complique sérieusement la tâche de Pau-Orthez qui est condamné à l'exploit dès la semaine prochaine à Tel-Aviv face au Maccabi pour espérer rejoindre les quarts de finale alors que Vitoria recevra Rome pour consolider sa première place du groupe D.
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Dennis Johnson décède sur les parquets
Dennis Johnson, 52 ans, triple champion NBA avec Seattle et Boston (1979, 1984 et 1986) est décédé jeudi en prenant part à un entraînement de l'équipe de la Ligue de développement de Boston. Le MVP des finales 79, gagnées par les Supersonics, cinq fois All-star, a reçu un hommage de Larry Bird qui le considérait comme "le meilleur avec qui j'ai joué".
Wade, saison terminée ?
Sorti prématurément des parquets lors de la défaite de son équipe contre Houston, Dwayne Wade, la star de Miami, souffre d'une dislocation de l'épaule gauche. Une blessure qui pourrait contraindre le meneur floridien à passer sur le billard ce ui pourrait le priver de la fin de la saison. Un sacré coup dur pour les champions en titre...
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Sinon cette nuit c'était la deadline pour les transferts et y'a pas eut de gros mouvements. Quelques petites retouches, comme Anthony Johnson qui quitte les Mavs pour les Hawks contre un second tour de draft. Un échange Juan Dixon qui arrive à Toronto contre Fred Jones qui débarque à Portland. Enfin, Alan Henderson arrive à Utah. Bref, que du lourd :lol:
Donc Carter, Kidd, Gasol ou encore Bibby resteront dans leurs franchises respectives jusqu'à la fin de la saison.
Après une première défaite sur le parquet de Rome en ouverture du Top 16 (68-78), les Palois se devaient de relever la tête face à l'ogre de Vitoria. Les Espagnols se sont finalement imposés de dix points (89-99) après avoir relégué à 23 longueurs leur adversaire béarnais à la mi-temps. Pau est finalement revenu avec son coeur, mais les paniers longues distances de Harrison et Miles n'ont pas suffi face à la maîtrise des partenaires de Scola et Rakocevic. Cette deuxième défaite condamne les Palois à l'exploit dans un groupe D dominé par les Basques.
Les Palois avaient à coeur de se racheter après leur faux pas de la semaine dernière à Rome et rentraient rapidement dans le rythme imposé par leur redoutable adversaire du soir. Pau faisait jeu égal avec Vitoria en début de rencontre et se permettait même de prendre un point d'avance sur deux lancer-francs d'Harrisson (8-7, 5e). Rakocevic et House plantaient deux paniers à trois points, mais les Palois ne fléchissaient pas et recollaient au score pour prolonger le bras de fer entre les deux équipes (17-17, 8e) avant que Vitoria n'accélère.
Scola et Rakocevic prenaient le match à leurs comptes et Prigioni scellait la première période d'un tir au buzzer à dix mètres pour donner dix points d'avance aux Basques (19-29, 10e). Le Canadien Gordon Herbert tentait un audacieux pari tactique en alignant un cinq inédit pour débuter la seconde période avec notamment le jeune intérieur, Ludovic Vaty, 19 ans à la place de Wright, sorti précocement pour deux fautes.
Melvin Sanders donnait raison à son entraîneur avec deux paniers primés dont un shoot miraculeux pour ramener les siens (26-31, 12e). Mais Erdogan sentait le danger et répondait à l'ancien joueur des Spurs avec deux tirs à trois points d'affilée qui redonnaient un matelas de onze points aux Espagnols (26-37, 13e). Vitoria n'avait plus qu'à dérouler jusqu'à la fin du deuxième quart-temps en signant un cruel 16-5 pour les Béarnais. Le TAU profitait des nombreux ballons perdus par les Palois en première période (10) et s'appuyait sur un gros pourcentage de réussite aux tirs (66%), avec un Serkan Erdogan de gala à la baguette (15 points en 10 minutes de jeu), pour clore la première mi-temps avec 23 points d'avance (36-59).
Pau se réveille
Harrison et Miles faisaient illusion avec deux paniers à trois points à la reprise (44-63, 23e), mais les Espagnols reprenaient leur marche en avant avec un collectif bien huilé. L'adresse des Basques était toujours aussi impressionnante mais les Béarnais grignotaient petit à petit leur retard grâce à Ricardo Greer et Xane D'Almeida notamment, pour passer sous la barre des 20 points à l'entame de la dernière période (58-75, 30e). Il n'était plus question que de sauver l'honneur lors des dix dernières minutes, et les hommes de Pierre Seillant ont fait preuve d'un immense orgueil devant leur public pour rendre la défaite plus acceptable.
Le jeune Ludovic Vaty se permettait même un contre devant Luis Scola à la 33e minute et les Palois se rapprochaient d'une barre des dix points qui obligeait les joueurs de Lezkano à prendre un temps-mort (65-77, 34e). Vaty, enorgueilli par son geste devant la star argentine de Vitoria (23 points, 8 rebonds, 7 passe décisives) prenait même les affaires en main offensivement avec un bras roulé victorieux. Le public du Palais des Sports se reprenait soudain à croire à l'impossible exploit et Lezkano appelait un second temps-mort. La folie s'emparait alors de la rencontre lorsque C.C. Harrison (22 points) marquait à nouveau à trois points en complet déséquilibre, ramenant les siens à moins de dix longueurs (82-89, 38e).
Mais Scola transformait une offrande de Prigioni sous le cercle pour remettre les siens dans le bon sens et Rakocevic retrouvait le rythme à trois points pour enterrer le fol espoir palois (89-97, 39e). Cette nouvelle défaite (89-99) complique sérieusement la tâche de Pau-Orthez qui est condamné à l'exploit dès la semaine prochaine à Tel-Aviv face au Maccabi pour espérer rejoindre les quarts de finale alors que Vitoria recevra Rome pour consolider sa première place du groupe D.
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Dennis Johnson décède sur les parquets
Dennis Johnson, 52 ans, triple champion NBA avec Seattle et Boston (1979, 1984 et 1986) est décédé jeudi en prenant part à un entraînement de l'équipe de la Ligue de développement de Boston. Le MVP des finales 79, gagnées par les Supersonics, cinq fois All-star, a reçu un hommage de Larry Bird qui le considérait comme "le meilleur avec qui j'ai joué".
Wade, saison terminée ?
Sorti prématurément des parquets lors de la défaite de son équipe contre Houston, Dwayne Wade, la star de Miami, souffre d'une dislocation de l'épaule gauche. Une blessure qui pourrait contraindre le meneur floridien à passer sur le billard ce ui pourrait le priver de la fin de la saison. Un sacré coup dur pour les champions en titre...
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Sinon cette nuit c'était la deadline pour les transferts et y'a pas eut de gros mouvements. Quelques petites retouches, comme Anthony Johnson qui quitte les Mavs pour les Hawks contre un second tour de draft. Un échange Juan Dixon qui arrive à Toronto contre Fred Jones qui débarque à Portland. Enfin, Alan Henderson arrive à Utah. Bref, que du lourd :lol:
Donc Carter, Kidd, Gasol ou encore Bibby resteront dans leurs franchises respectives jusqu'à la fin de la saison.
Nowitzki éteint le Heat
Grâce à une nouvelle performance de MVP de Dirk Nowitzki, l'Allemand compilant 31 points, 11 rebonds et 6 passes décisives, Dallas a pris la mesure la nuit dernière de Miami qui, en l'absence de Dwayne Wade, blessé à l'épaule, n'a jamais été en mesure d'inquiéter les Texans (112-100). L'autre prestation de la soirée est à mettre à l'actif de Gilbert Arenas qui, avec 43 points à son compteur, a mené ses coéquipiers à la victoire contre Sacramento (109-106). Enfin, Cleveland, malgré les 29 points de Lebron James, s'est incliné dans sa salle contre Chicago (78-84).
Le match:
Miami avait gardé un meilleur souvenir de l'American Airlines Center. Pour leur retour dans la salle de Dallas, où ils avaient conquis l'année dernière le titre de champion, les Floridiens sont repartis avec une défaite, la deuxième de rang après la coupure engendrée par le All-Star Game. Une défaite à laquelle n'a pas participé Dwayne Wade, MVP de la finale la saison dernière au cours de laquelle il avait tourné à près de 35 points de moyenne. La star de Miami, touché à l'épaule gauche la veille à Houston, était à Miami pour subir une batterie d'examens. Le diagnostique n'est pas bon: dislocation de l'épaule gauche. Une blessure qui pourrait contraindre Wade à passer sur le billard et faire une croix sur la fin de la saison régulière.
En l'absence de leur bourreau, les Mavericks ne se sont pas privés pour aligner une dixième victoire de rang, devenant la quatrième équipe de l'histoire à réaliser trois séries de ce type en saison régulière. Dans cette partition, Dirk Nowitzki a une nouvelle fois joué le chef d'orchestre éclairé. Malgré la présence de Shaquille O'Neal sous les paniers, l'ancien Laker disputant son dixième match depuis sa blessure au genou, l'Allemand s'est fendu d'une prestation digne d'un MVP en puissance. Ses 31 points, compilé à ses 11 rebonds et 6 passes décisives, ont permis à son équipe de rapidement faire la course en tête dans le match.
Les 16 points de Jason Terry dans le deuxième quart-temps ont mis fin à tout suspense, les Texans comptant 23 points d'avance à la mi-temps (65-42). Cette avance est montée à 32 points à l'entame du quatrième quart-temps avant le garbage time qui a permis aux Floridiens de sauver la face.
La stat:
Deux. C'est le nombre de défaites des Mavericks lors de leur 33 derniers matches. Les Texans continuent de caracoler en tête de la Conférence Ouest où ils sont les grandissimes favoris pour accéder à la finale. Les hommes d'Avery Johnson n'ont connu la défaite qu'à neuf reprises cette saison se dirigeant en roue libre vers les playoffs.
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Grâce à une nouvelle performance de MVP de Dirk Nowitzki, l'Allemand compilant 31 points, 11 rebonds et 6 passes décisives, Dallas a pris la mesure la nuit dernière de Miami qui, en l'absence de Dwayne Wade, blessé à l'épaule, n'a jamais été en mesure d'inquiéter les Texans (112-100). L'autre prestation de la soirée est à mettre à l'actif de Gilbert Arenas qui, avec 43 points à son compteur, a mené ses coéquipiers à la victoire contre Sacramento (109-106). Enfin, Cleveland, malgré les 29 points de Lebron James, s'est incliné dans sa salle contre Chicago (78-84).
Le match:
Miami avait gardé un meilleur souvenir de l'American Airlines Center. Pour leur retour dans la salle de Dallas, où ils avaient conquis l'année dernière le titre de champion, les Floridiens sont repartis avec une défaite, la deuxième de rang après la coupure engendrée par le All-Star Game. Une défaite à laquelle n'a pas participé Dwayne Wade, MVP de la finale la saison dernière au cours de laquelle il avait tourné à près de 35 points de moyenne. La star de Miami, touché à l'épaule gauche la veille à Houston, était à Miami pour subir une batterie d'examens. Le diagnostique n'est pas bon: dislocation de l'épaule gauche. Une blessure qui pourrait contraindre Wade à passer sur le billard et faire une croix sur la fin de la saison régulière.
En l'absence de leur bourreau, les Mavericks ne se sont pas privés pour aligner une dixième victoire de rang, devenant la quatrième équipe de l'histoire à réaliser trois séries de ce type en saison régulière. Dans cette partition, Dirk Nowitzki a une nouvelle fois joué le chef d'orchestre éclairé. Malgré la présence de Shaquille O'Neal sous les paniers, l'ancien Laker disputant son dixième match depuis sa blessure au genou, l'Allemand s'est fendu d'une prestation digne d'un MVP en puissance. Ses 31 points, compilé à ses 11 rebonds et 6 passes décisives, ont permis à son équipe de rapidement faire la course en tête dans le match.
Les 16 points de Jason Terry dans le deuxième quart-temps ont mis fin à tout suspense, les Texans comptant 23 points d'avance à la mi-temps (65-42). Cette avance est montée à 32 points à l'entame du quatrième quart-temps avant le garbage time qui a permis aux Floridiens de sauver la face.
La stat:
Deux. C'est le nombre de défaites des Mavericks lors de leur 33 derniers matches. Les Texans continuent de caracoler en tête de la Conférence Ouest où ils sont les grandissimes favoris pour accéder à la finale. Les hommes d'Avery Johnson n'ont connu la défaite qu'à neuf reprises cette saison se dirigeant en roue libre vers les playoffs.
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En effet belle victoire qui ne souffre d'aucune contestation d'après les commentaires que j'ai pu lire. Avec Melody et Phillips en forme c'est tout de suite autre chose. 21pts avec 6/8 à 3pts pour Melody et 13pts 7rbds avec une excellente adresse pour Phillips. Extraordinaire match aussi de Bobby Dixon, qui du haut de son metre 77 frôle le triple double, 15pts 10rbds 9ast ... incroyable :shock: même si son adresse a été douteuse ... 4/16. A part ça Julien Doreau gobe encore 6rbds et Simon Coffi, un petit jeune formé au club, a marqué ses premiers points en pro (il me semble)bauhausfc01 wrote:Ce soir, victoire du SEB à Angers 75-59.
Je rajoute une info de basket féminin passée inaperçue
Je sais plus qui nous avait fait un petit CR de basket féminin la dernière fois, et si c'était à Bourges, mais si cette personne dont j'ai perdu le pseudo a assisté au match aller
Bourges au Final Four
Bourges s'est qualifié pour le Final Four après avoir échoué trois ans de suite en quarts de finale. Les Berruyères se sont imposées sur le parquet des Lituaniennes de Vilnius (60-54) qu'elles éliminent en deux matches secs après une première victoire à Bourges (66-60) lors du match aller. Evanthia Maltsi (16 points) a été la plus remarquable joueuse d'une ligne arrière irréprochable aux côtés de Cathy Melain et Céline Dumerc (24 points à elles-deux). C'est la septième participation au Final Four pour les Tango qui peuvent maintenant viser le titre européen.
Après une première manche enlevée in extremis par Bourges (66-60), grâce à une superbe fin de match, les Tricolores ont confirmé leur victoire initiale en allant s'imposer en Lituanie (54-60). Les partenaires de Cathy Melain ont rapidement pris les commandes de la rencontre, sans jamais réussir à se mettre à l'abri. Les deux équipes débutaient la partie de manière crispée et les tirs manqués se succédaient dans les premiers instants comme en témoignait le score famélique après cinq minutes de jeu (6-6, 5e). Le rythme s'accélérait soudain et c'est Bourges qui en bénéficiait avec Cathy Melain et Evanthia Maltsi à la conclusion et Émilie Ndongue qui faisait régner sa loi sous les panneaux. Les Berruyères viraient en tête après la première période sans avoir forcé leur talent (15-19, 10e). De bon augure dans l'optique d'une qualification directe au Final Four, sans passer par un match d'appui délicat à Bourges.
En seconde période, la puissante Ebony Hoffman imposait son gabarit dans la raquette et maintenait les Lituaniennes dans la course (19-21, 16e). Les arrières berruyères s'en donnaient soudain à coeur joie à trois points avec trois réussites d'affilée faisant oublier le 0/9 dans cet exercice lors du match aller pour redonner sept points d'avance aux Françaises (24-31, 17e). Katie Douglas marquait un panier main gauche après un temps-mort de Paulauskas et tentait de sonner la révolte de Vilnius, mais Bourges tenait bon grâce notamment à Maltsi (13 points en première mi-temps) et les deux équipes rentraient au vestiaire avec un léger avantage pour les Tango de Pierre Vincent grâce à une adresse longue distance retrouvée (29-35, 20e).
La belle histoire de Bourges
Dès le début du troisième quart-temps, les Lituaniennes tentaient de mettre plus de rythme avec l'intenable Katie Douglas qui marquait deux paniers rapidement sous le cercle, avant que Leuchanka ne ramène Vilnius à deux petits points (35-37, 24e). Céline Dumerc choisissait le meilleur moment pour passer la barre des dix points (35-42, 25e) mais l'arrière berruyère rejoignait le banc pour une quatrième faute stupide une minute plus tard. Douglas continuait son festival en deuxième mi-temps et portait les Lituaniennes sur ses larges épaules pour revenir au score (40-42, 27e). En l'absence de Céline Dumerc, Cathy Melain et Florence Lepron prenaient les affaires en main et maintenaient le cap du bateau berruyer jusqu'à la fin du troisième quart-temps (43-50, 30e). Bourges démarrait donc la dernière période avec sept points d'avance, tout comme les Lituaniennes à l'aller, ce qui ne les avait pas empêchées de s'incliner. Mais il était écrit que l'histoire allait être belle pour Bourges à l'image de la première défense de Ndongue qui récupérait la balle en bloquant Sulciute sous le cercle.
Sulciute prenait sa revanche à trois points sur l'action suivante et Douglas faisait se lever la salle de Vilnius avec un panier plus le lancer franc bonus (50-53, 34e). Les Lituaniennes étaient revenues à une possession et le public se réveillait soudainement pour aider ses protégées à arracher la victoire et le match d'appui à Bourges. Vicky Hall sortait de sa réserve et réussissait un panier longue distance et une interception qui obligeaient Algirdas Paulauskas à prendre un nouveau temps-mort (50-56, 35e). La tension montait alors encore d'un cran et les Berruyères n'osaient plus prendre de tir. Cathy Melain faisait jouer son expérience pour obtenir des fautes et rentrer ses lancers francs, mais sa partenaire de la ligne arrière, Céline Dumerc, était expulsée pour une cinquième faute (50-57, 36e). Florence Lepron montrait qu'elle était à la hauteur de sa coéquipière titulaire avec un panier à mi-distance pour répondre à deux lancers francs de Sulciute (52-59, 38e). Streimikyte donnait ses dernières sueurs froides à Pierre Vincent, mais Bourges avait fait le plus dur et Celine Dumerc se permettait même de lever les bras à une trentaine de secondes de la fin du match remporté par les Tango (54-60). Après trois ans de disette, Bourges s'invite pour la septième fois dans le dernier carré de la plus prestigieuse compétition européenne et les filles de Pierre Vincent, triple vainqueurs de l'Euroligue, n'entendent pas faire de la figuration.
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Detroit carbure au super
Au sein d'une conférence Est plus homogène que jamais, Detroit donne l'impression d'avoir passé la vitesse supérieure depuis la coupure du all-star Game. Vendredi, les Pistons ont signé leur troisième succès en quatre jours, et le deuxième face à Orlando en quarante-huit heures. Bien guidés par leur maître à jouer Chauncey Billups (28 points), les champions 2005 se sont imposés au finish en Floride et confortent ainsi leur leadership à l'Est (35 victoires-19 défaites).
Le match:
Deux jours après avoir facilement disposé d'Orlando au Palace d'Auburn Hills (110-88), les Pistons ont dû s'arracher vendredi soir pour remettre le couvert face à ces mêmes Floridiens. Menés 71-67 au terme du troisième quart-temps, les hommes de Flip Saunders ont alors ressorti les barbelés en défense pour stopper les ardeurs de Dwight Howard et compagnie. Augmentant leur intensité défensive, les Pistons ont réussi l'exceptionnelle performance de ne pas concéder le moindre panier pendant 10'30" dans la dernière période. Contraint d'alimenter la marque sur lancers-francs, Orlando encaissait un cinglant 20-10 qui permettait à Detroit de prendre les commandes du match (87-81).
Gérant d'une main de maître les quatre vingt-dix dernières secondes de la partie, les champions 2005 signaient une troisième victoire en quatre jours, la neuvième lors des dix dernières rencontres. Avec désormais un bilan de 35 victoires pour 19 défaites, les Pistons commencent à prendre leurs distances au sommet de la conférence Est. Washington, Cleveland et Chicago, ses principaux adversaires n'ont plus le droit à l'erreur s'ils veulent rester dans les traces des hommes du Michigan et prétendre au rang de numéro 1 de la saison régulière à l'Est.
Les Français:
Les Bleus de NBA n'ont pas été à la fête vendredi. Vainqueur de Boston avec les Lakers (122-96), Ronny Turiaf a bien rentabilisé ses 16 minutes de temps de jeu avec 6 points, 5 rebonds et 2 contres mais a rejoint prématurément le banc à cause de ses 6 fautes récoltées. Ses trois compatriotes en lice la nuit dernière ne peuvent pas se targuer d'avoir gagné. Johan Petro, qui en 5 minutes n'a rien fait d'autre que 5 fautes, et Mickaël Gelabale, non utilisé, se sont inclinés sur le fil avec Seattle à Minnesota (98-97). Rien de bien flamboyant non plus pour Yakhouba Diawara, auteur de 5 points en 20 minutes dans le revers des Nuggets devant les Jazz (104-114). Enfin, toujours blessé au dos, Boris Diaw n'a pas pris part à la victoire des Suns à Minnesota (116-104).
La stat:
Et un triple-double de plus pour Jason Kidd ! Finalement resté chez les Nets malgré les rumeurs de transferts qui l'envoyaient chez les Lakers avant la clôture du marché des transferts survenue jeudi, Jason Kidd s'est encore bien amusé vendredi face à Sacramento en inscrivant 22 points, captant 13 rebonds et distillant 10 passes décisives pour aider les siens à battre les Kings (109-96). A bientôt 34 ans, le meneur de New Jersey signe ainsi le 84e triple-double de sa carrière.
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Au sein d'une conférence Est plus homogène que jamais, Detroit donne l'impression d'avoir passé la vitesse supérieure depuis la coupure du all-star Game. Vendredi, les Pistons ont signé leur troisième succès en quatre jours, et le deuxième face à Orlando en quarante-huit heures. Bien guidés par leur maître à jouer Chauncey Billups (28 points), les champions 2005 se sont imposés au finish en Floride et confortent ainsi leur leadership à l'Est (35 victoires-19 défaites).
Le match:
Deux jours après avoir facilement disposé d'Orlando au Palace d'Auburn Hills (110-88), les Pistons ont dû s'arracher vendredi soir pour remettre le couvert face à ces mêmes Floridiens. Menés 71-67 au terme du troisième quart-temps, les hommes de Flip Saunders ont alors ressorti les barbelés en défense pour stopper les ardeurs de Dwight Howard et compagnie. Augmentant leur intensité défensive, les Pistons ont réussi l'exceptionnelle performance de ne pas concéder le moindre panier pendant 10'30" dans la dernière période. Contraint d'alimenter la marque sur lancers-francs, Orlando encaissait un cinglant 20-10 qui permettait à Detroit de prendre les commandes du match (87-81).
Gérant d'une main de maître les quatre vingt-dix dernières secondes de la partie, les champions 2005 signaient une troisième victoire en quatre jours, la neuvième lors des dix dernières rencontres. Avec désormais un bilan de 35 victoires pour 19 défaites, les Pistons commencent à prendre leurs distances au sommet de la conférence Est. Washington, Cleveland et Chicago, ses principaux adversaires n'ont plus le droit à l'erreur s'ils veulent rester dans les traces des hommes du Michigan et prétendre au rang de numéro 1 de la saison régulière à l'Est.
Les Français:
Les Bleus de NBA n'ont pas été à la fête vendredi. Vainqueur de Boston avec les Lakers (122-96), Ronny Turiaf a bien rentabilisé ses 16 minutes de temps de jeu avec 6 points, 5 rebonds et 2 contres mais a rejoint prématurément le banc à cause de ses 6 fautes récoltées. Ses trois compatriotes en lice la nuit dernière ne peuvent pas se targuer d'avoir gagné. Johan Petro, qui en 5 minutes n'a rien fait d'autre que 5 fautes, et Mickaël Gelabale, non utilisé, se sont inclinés sur le fil avec Seattle à Minnesota (98-97). Rien de bien flamboyant non plus pour Yakhouba Diawara, auteur de 5 points en 20 minutes dans le revers des Nuggets devant les Jazz (104-114). Enfin, toujours blessé au dos, Boris Diaw n'a pas pris part à la victoire des Suns à Minnesota (116-104).
La stat:
Et un triple-double de plus pour Jason Kidd ! Finalement resté chez les Nets malgré les rumeurs de transferts qui l'envoyaient chez les Lakers avant la clôture du marché des transferts survenue jeudi, Jason Kidd s'est encore bien amusé vendredi face à Sacramento en inscrivant 22 points, captant 13 rebonds et distillant 10 passes décisives pour aider les siens à battre les Kings (109-96). A bientôt 34 ans, le meneur de New Jersey signe ainsi le 84e triple-double de sa carrière.
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La balle dans le camp roannais
La Chorale a appris deux bonnes nouvelles samedi soir. Dimanche, à l'occasion de son déplacement à Orléans, l'équipe de Jean-Denys Choulet aura l'occasion de prendre ses distances avec ses poursuivants directs nancéiens et chalonnais. Défaits respectivement sur le parquet de Gravelines (75-87) et au Havre (78-111), ces derniers ont sans conteste réalisé les plus mauvaises opérations de la 22e journée de Pro A. Une levée qui a souri en revanche aux Strasbourgeois et aux Manceaux, vainqueurs des Dijonnais (78-70) et des Toulonnais (98-79).
Le bonheur des uns fait le malheur des autres. Ecumée, cette maxime ne perd rien de sa vérité avec le temps. Les Roannais sont encore là pour l'illustrer ce samedi soir, après les sorties infructueuses de ses deux ennemis intimes cette saison, Nancy et Chalon. Encore faut-il se révéler suffisamment opportuniste désormais pour saisir la perche. La voie royale est ouverte. Dimanche, à Orléans, il appartiendra à la Chorale, privée de son chef d'orchestre, Pellin, de prendre ses aises en tête du classement de l'élite par la grâce d'une septième victoire en huit matches.
Une série de l'ordre du virtuel à l'heure actuelle qui doit pourtant déjà hanter les Nancéiens et les Chalonnais. Battu sur le parquet de Gravelines (75-87), le Sluc a subi à cette occasion son quatrième revers de rang toutes compétitions confondues. Ce, malgré l'écot considérable de Zianveni, meilleur joueur de la rencontre du haut de son double-double (26 points, 13 rebonds). Une performance individuelle réduite à néant par le labeur combiné de Nsonwu (22 points, 3 rebonds) et Paulding (16 points, 4 rebonds, 5 passes) et la force domestique des Nordistes.
Le collectif havrais fait mouche
Troisième du championnat, l'Elan Sportif a connu plus sévère désillusion encore ce week-end. En visite au Havre, les hommes de Greg Beugnot ont goûté plus que de raison à l'hospitalité locale, surclassés 78-111 par une formation normande au redoutable collectif. En attestent les honorables prestations de Tucker (25 points), Stanley (21 points), Cox (18 points) et Cissé (17 points).
De fait, seuls les Strasbourgeois ont su tirer leur épingle du jeu parmi les leaders samedi soir. Tombeurs des Dijonnais (78-70), les Alsaciens profitent de cette dixième victoire en onze journées de championnat pour revenir dans le sillage du trio de tête, à une seule longueur. Les Manceaux n'en sont pas encore à telle suite mais après trois défaites consécutives en Pro A, le MSB peut savourer son sursaut d'orgueil aux dépens de Hyères-Toulon (98-79).
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La Chorale a appris deux bonnes nouvelles samedi soir. Dimanche, à l'occasion de son déplacement à Orléans, l'équipe de Jean-Denys Choulet aura l'occasion de prendre ses distances avec ses poursuivants directs nancéiens et chalonnais. Défaits respectivement sur le parquet de Gravelines (75-87) et au Havre (78-111), ces derniers ont sans conteste réalisé les plus mauvaises opérations de la 22e journée de Pro A. Une levée qui a souri en revanche aux Strasbourgeois et aux Manceaux, vainqueurs des Dijonnais (78-70) et des Toulonnais (98-79).
Le bonheur des uns fait le malheur des autres. Ecumée, cette maxime ne perd rien de sa vérité avec le temps. Les Roannais sont encore là pour l'illustrer ce samedi soir, après les sorties infructueuses de ses deux ennemis intimes cette saison, Nancy et Chalon. Encore faut-il se révéler suffisamment opportuniste désormais pour saisir la perche. La voie royale est ouverte. Dimanche, à Orléans, il appartiendra à la Chorale, privée de son chef d'orchestre, Pellin, de prendre ses aises en tête du classement de l'élite par la grâce d'une septième victoire en huit matches.
Une série de l'ordre du virtuel à l'heure actuelle qui doit pourtant déjà hanter les Nancéiens et les Chalonnais. Battu sur le parquet de Gravelines (75-87), le Sluc a subi à cette occasion son quatrième revers de rang toutes compétitions confondues. Ce, malgré l'écot considérable de Zianveni, meilleur joueur de la rencontre du haut de son double-double (26 points, 13 rebonds). Une performance individuelle réduite à néant par le labeur combiné de Nsonwu (22 points, 3 rebonds) et Paulding (16 points, 4 rebonds, 5 passes) et la force domestique des Nordistes.
Le collectif havrais fait mouche
Troisième du championnat, l'Elan Sportif a connu plus sévère désillusion encore ce week-end. En visite au Havre, les hommes de Greg Beugnot ont goûté plus que de raison à l'hospitalité locale, surclassés 78-111 par une formation normande au redoutable collectif. En attestent les honorables prestations de Tucker (25 points), Stanley (21 points), Cox (18 points) et Cissé (17 points).
De fait, seuls les Strasbourgeois ont su tirer leur épingle du jeu parmi les leaders samedi soir. Tombeurs des Dijonnais (78-70), les Alsaciens profitent de cette dixième victoire en onze journées de championnat pour revenir dans le sillage du trio de tête, à une seule longueur. Les Manceaux n'en sont pas encore à telle suite mais après trois défaites consécutives en Pro A, le MSB peut savourer son sursaut d'orgueil aux dépens de Hyères-Toulon (98-79).
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Gros match à venir cet après midi à 15h. En cas de victoire orléanaise, l'entente se replacerait à la 5ème place, juste derrière la SIG et à 2 victoires du duo Nancy/Chalon. En revanche, si la Chorale l'emporte, elle ferait le break avec ses deux poursuivants avec 2 victoires d'avance et un joker pour la fin de saison. Nul doute que ce match serra très serré, et ce sera une autre paire de manche qu'au match aller pour la Chorale qui avait bénéficié de plusieurs absence du côté d'Orléans. Cette fois-ci ce sera notre maitre à jouer, Marco Pellin, qui sera absent. Autant dire que la Chorale réaliserait un petit exploit s'il advenait qu'elle s'impose, car face à une défense aussi bien huilée, l'absence de notre meneur de jeu se fera encore plus sentir que face à n'importe quelle autre équipe. Allez Chorale ! Mais je ne suis pas très optimiste ...
vinsanity wrote:Detroit carbure au super
Au sein d'une conférence Est plus homogène que jamais, Detroit donne l'impression d'avoir passé la vitesse supérieure depuis la coupure du all-star Game. Vendredi, les Pistons ont signé leur troisième succès en quatre jours, et le deuxième face à Orlando en quarante-huit heures. Bien guidés par leur maître à jouer Chauncey Billups (28 points), les champions 2005 se sont imposés au finish en Floride et confortent ainsi leur leadership à l'Est (35 victoires-19 défaites).
Le match:
Deux jours après avoir facilement disposé d'Orlando au Palace d'Auburn Hills (110-88), les Pistons ont dû s'arracher vendredi soir pour remettre le couvert face à ces mêmes Floridiens. Menés 71-67 au terme du troisième quart-temps, les hommes de Flip Saunders ont alors ressorti les barbelés en défense pour stopper les ardeurs de Dwight Howard et compagnie. Augmentant leur intensité défensive, les Pistons ont réussi l'exceptionnelle performance de ne pas concéder le moindre panier pendant 10'30" dans la dernière période. Contraint d'alimenter la marque sur lancers-francs, Orlando encaissait un cinglant 20-10 qui permettait à Detroit de prendre les commandes du match (87-81).
Gérant d'une main de maître les quatre vingt-dix dernières secondes de la partie, les champions 2005 signaient une troisième victoire en quatre jours, la neuvième lors des dix dernières rencontres. Avec désormais un bilan de 35 victoires pour 19 défaites, les Pistons commencent à prendre leurs distances au sommet de la conférence Est. Washington, Cleveland et Chicago, ses principaux adversaires n'ont plus le droit à l'erreur s'ils veulent rester dans les traces des hommes du Michigan et prétendre au rang de numéro 1 de la saison régulière à l'Est.
Petite correction champion 2004 et non 2005.En 2005 finaliste en perdant le 7éme match à san antonio. souvenir souvenir..............
Les Français:
Les Bleus de NBA n'ont pas été à la fête vendredi. Vainqueur de Boston avec les Lakers (122-96), Ronny Turiaf a bien rentabilisé ses 16 minutes de temps de jeu avec 6 points, 5 rebonds et 2 contres mais a rejoint prématurément le banc à cause de ses 6 fautes récoltées. Ses trois compatriotes en lice la nuit dernière ne peuvent pas se targuer d'avoir gagné. Johan Petro, qui en 5 minutes n'a rien fait d'autre que 5 fautes, et Mickaël Gelabale, non utilisé, se sont inclinés sur le fil avec Seattle à Minnesota (98-97). Rien de bien flamboyant non plus pour Yakhouba Diawara, auteur de 5 points en 20 minutes dans le revers des Nuggets devant les Jazz (104-114). Enfin, toujours blessé au dos, Boris Diaw n'a pas pris part à la victoire des Suns à Minnesota (116-104).
La stat:
Et un triple-double de plus pour Jason Kidd ! Finalement resté chez les Nets malgré les rumeurs de transferts qui l'envoyaient chez les Lakers avant la clôture du marché des transferts survenue jeudi, Jason Kidd s'est encore bien amusé vendredi face à Sacramento en inscrivant 22 points, captant 13 rebonds et distillant 10 passes décisives pour aider les siens à battre les Kings (109-96). A bientôt 34 ans, le meneur de New Jersey signe ainsi le 84e triple-double de sa carrière.
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Courte défaite de la Chorale à Orléans 95-90
Menés de 10pts à 3min de la fin, les Roannais sont pourtant revenus à 1pt, possession à suivre à une minute du buzzer final, mais une perte de balle leur aura couté la victoire. C'est, certes, dommage, mais il semblait un peu utopique de s'imposer à Orléans en l'absence de Marco Pellin :sad:
Dans ce match Dee Spencer a été tout simplement hors norme ... :shock:
Tenez vous bien ... 32pts (5/6 à 2pts 6/9 à 3pts 4/5 aux LF, le seul lancer raté volontairement dans la dernière minute) 13rbds (c'est un arrière ^^) 4stl 6ast 10 fautes provoquées !!! (avec 3TO aussi, mais on peut les oublier vu la ligne de stat offerte ici). Au total ça nous donne une éval surréaliste de 47 :shock: :shock: :shock:
16pts 8rbds de Badiane
16pts 7rbds de Salyers
15pts 4rbds de Harper
Menés de 10pts à 3min de la fin, les Roannais sont pourtant revenus à 1pt, possession à suivre à une minute du buzzer final, mais une perte de balle leur aura couté la victoire. C'est, certes, dommage, mais il semblait un peu utopique de s'imposer à Orléans en l'absence de Marco Pellin :sad:
Dans ce match Dee Spencer a été tout simplement hors norme ... :shock:
Tenez vous bien ... 32pts (5/6 à 2pts 6/9 à 3pts 4/5 aux LF, le seul lancer raté volontairement dans la dernière minute) 13rbds (c'est un arrière ^^) 4stl 6ast 10 fautes provoquées !!! (avec 3TO aussi, mais on peut les oublier vu la ligne de stat offerte ici). Au total ça nous donne une éval surréaliste de 47 :shock: :shock: :shock:
16pts 8rbds de Badiane
16pts 7rbds de Salyers
15pts 4rbds de Harper
Plus très "Warriors"...
Mauvaise limonade pour Golden State qui, engagé dans une lutte au couteau pour la qualification en playoffs, lâche encore du lest en s'inclinant (85-102) dimanche sur son parquet face aux Lakers. Rejeté sur le banc, Mickael Pietrus n'est pas au mieux avec 4 points à son actif. Très loin des deux cartons offensifs du soir que claquent Vince Carter, auteur de 40 points lors de la victoire (101-92) de New Jersey face à New-York, et Amare Stoudemire, qui fait plus fort encore avec 43 points pour les Suns face à Atlanta (115-106).
Le match:
Golden State fait une pause. En ce début d'année, les Warriors ne tiennent pas un rythme des plus élevés. Bien au contraire, puisque leur bilan sur les dix derniers matches n'est désormais plus positif avec six défaites pour seulement quatre victoires. Dimanche, sur leur parquet, les hommes de Don Nelson ont même concédé aux Lakers un deuxième revers consécutif (85-102) après la défaite enregistrée samedi face à l'autre franchise de LA, les Clippers (90-103), pourtant un adversaire direct. Forcément inquiétant en effet alors que Mickaël Pietrus et ses coéquipiers sont engagés dans une lutte au couteau pour la qualification en playoffs. Dans une conférence ouest, où les six premiers billets semblent déjà intouchables, les deux derniers tickets sont visés par pas moins de... sept équipes, avec par ordre de classement (Hornets, Nuggets, Clippers, Warriors, Wolves, Blazers et Soncis).
Autant dire une sacrée foire d'empoigne en perspective que Golden State n'aborde pas au mieux, c'est le moins que l'on puisse dire. Dimanche, face aux Lakers du MVP du dernier All Star Game, Kobe Bryant, les Warriors ont lâché prise trop vite - un écart de 20 points dès le deuxième quart-temps -, déboussolés par l'impact d'un Maurice Evans des grands soirs et auteur alors de onze de ses 26 points, soit un nouveau meilleur total en carrière, quatre jours après l'avoir déjà amélioré. Une sacrée performance pour ce joueur passé par la Grèce et l'Italie, mais qui avec déjà quatre équipes visitées en quatre saisons de NBA, aimerait sans doute se fixer. Ajoutez à cette performance les 26 points de sa majesté Bryant, mais aussi l'apport d'un Ronny Turiaf, toujours présent (6 points à 3 sur 6, 4 rebonds et 2 passes) et Golden State, sans énergie, ni appétit, à l'image de ce 2 sur 19 à trois points ou encore de ce 9 sur 21 aux lancers-francs, coulait à pic, à l'exception peut-être de Monta-Ellis auteur de 22 points. J'ai senti dès le premier quart-temps que nous n'étions pas au mieux, confiait Don Nelson, l'entraîneur des Warriors. Présent samedi face aux Clippers au sein du deuxième cinq de départ de la saison et de l'histoire entièrement composé de joueurs ayant rejoint la NBA sans passer par la case NCAA (Monta Ellis, Al Harrington, Stephen Jackson, Andris Biedrins) mais rejeté sur le banc dimanche, Mike Pietrus rendait une copie à la hauteur du non match de sa formation (4 points à 2 sur 8 et 7 rebonds en 24 minutes).
Une soirée inquiétante alors que la franchise s'apprête à prendre la route pour une série de cinq rencontres à l'extérieur. Pas vraiment l'idéal pour retrouver la confiance, même si, pour Al Harrington, transparent face aux Lakers (8 pts), cet enchaînement s'annonce décisif: "Je pense que cette série va être le tournant de notre saison. Nous avons cinq matches à jouer à l'extérieur et nous devons retrouver une attitude plus positive. Si nous n'y parvenons pas, alors atteindre les playoffs deviendra très compliqué."
La stat:
C'est un sacré duel à distance que se sont livrés Vince Carter et Amare Stoudemire ce dimanche. Avec ses 40 points claqués lors de la précieuse victoire (101-92) des Nets aux Knicks, qui permet à New Jersey de prendre ses distances avec New York pour la huitième et dernière place qualificative pour les playoffs, Carter, déjà auteur de 46 points quatre jours plus tôt lors d'une défaite concédée face aux Hornets, pensait avoir placé la barre très haut. Mais dans le même temps, à Atlanta, Amare Stoudemire faisait plus fort encore en signant 43 points lors du succès (115-106) des Suns face aux Hawks. Le meilleur total cette saison pour le joueur de Phoenix qui agrémentait son match de 16 rebonds, 6 passes décisives et 3 blocks et un 15 sur 17 aux lancers francs! Suffisant pour permettre aux Suns de n'être plus qu'à deux victoires d'un carton plein à l'extérieur face aux formations de la conférence est (13-0). Au total, l'équipe de Mike D'Anthony, qui avait débuté sa saison par quatre revers de rang loin de ses bases, a remporté 22 succès lors de ses 25 derniers matches à l'extérieur.
Le joueur:
Match forcément très spécial dimanche pour Ben Wallace qui, avec ses Bulls, était de retour pour la première fois depuis son départ à Auburn Hill sur le terrain de ses exploits passés pour y défier son ancienne formation des Pistons. Si Chicago a dû s'incliner sur le fil (93-95) sur un panier décisif secondes du buzzer signé Chris Webber, auteur de son meilleur total de la saison avec 21 points, l'homme à la plus belle coupe de cheveux de toute la NBA aura été à la fois acclamé et hué à son entrée sur le terrain par ses anciens fans qui, quoi qu'il arrive, n'ont pas oublié le joueur aux quatre titres de meilleur défenseur de la Ligue. Un Wallace, dont chacune des prises de balle aura suscité la réaction du public: "Je sais à quel point l'ambiance peut être folle au Palace, alors je savais que les fans pouvaient faire mieux encore, soulignait Wallace, auteur de 6 points, 8 rebonds, 4 passes, 3 interceptions et 2 blocks. Je voulais savoir jusqu'où ils pouvaient aller pour me huer..."
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Mauvaise limonade pour Golden State qui, engagé dans une lutte au couteau pour la qualification en playoffs, lâche encore du lest en s'inclinant (85-102) dimanche sur son parquet face aux Lakers. Rejeté sur le banc, Mickael Pietrus n'est pas au mieux avec 4 points à son actif. Très loin des deux cartons offensifs du soir que claquent Vince Carter, auteur de 40 points lors de la victoire (101-92) de New Jersey face à New-York, et Amare Stoudemire, qui fait plus fort encore avec 43 points pour les Suns face à Atlanta (115-106).
Le match:
Golden State fait une pause. En ce début d'année, les Warriors ne tiennent pas un rythme des plus élevés. Bien au contraire, puisque leur bilan sur les dix derniers matches n'est désormais plus positif avec six défaites pour seulement quatre victoires. Dimanche, sur leur parquet, les hommes de Don Nelson ont même concédé aux Lakers un deuxième revers consécutif (85-102) après la défaite enregistrée samedi face à l'autre franchise de LA, les Clippers (90-103), pourtant un adversaire direct. Forcément inquiétant en effet alors que Mickaël Pietrus et ses coéquipiers sont engagés dans une lutte au couteau pour la qualification en playoffs. Dans une conférence ouest, où les six premiers billets semblent déjà intouchables, les deux derniers tickets sont visés par pas moins de... sept équipes, avec par ordre de classement (Hornets, Nuggets, Clippers, Warriors, Wolves, Blazers et Soncis).
Autant dire une sacrée foire d'empoigne en perspective que Golden State n'aborde pas au mieux, c'est le moins que l'on puisse dire. Dimanche, face aux Lakers du MVP du dernier All Star Game, Kobe Bryant, les Warriors ont lâché prise trop vite - un écart de 20 points dès le deuxième quart-temps -, déboussolés par l'impact d'un Maurice Evans des grands soirs et auteur alors de onze de ses 26 points, soit un nouveau meilleur total en carrière, quatre jours après l'avoir déjà amélioré. Une sacrée performance pour ce joueur passé par la Grèce et l'Italie, mais qui avec déjà quatre équipes visitées en quatre saisons de NBA, aimerait sans doute se fixer. Ajoutez à cette performance les 26 points de sa majesté Bryant, mais aussi l'apport d'un Ronny Turiaf, toujours présent (6 points à 3 sur 6, 4 rebonds et 2 passes) et Golden State, sans énergie, ni appétit, à l'image de ce 2 sur 19 à trois points ou encore de ce 9 sur 21 aux lancers-francs, coulait à pic, à l'exception peut-être de Monta-Ellis auteur de 22 points. J'ai senti dès le premier quart-temps que nous n'étions pas au mieux, confiait Don Nelson, l'entraîneur des Warriors. Présent samedi face aux Clippers au sein du deuxième cinq de départ de la saison et de l'histoire entièrement composé de joueurs ayant rejoint la NBA sans passer par la case NCAA (Monta Ellis, Al Harrington, Stephen Jackson, Andris Biedrins) mais rejeté sur le banc dimanche, Mike Pietrus rendait une copie à la hauteur du non match de sa formation (4 points à 2 sur 8 et 7 rebonds en 24 minutes).
Une soirée inquiétante alors que la franchise s'apprête à prendre la route pour une série de cinq rencontres à l'extérieur. Pas vraiment l'idéal pour retrouver la confiance, même si, pour Al Harrington, transparent face aux Lakers (8 pts), cet enchaînement s'annonce décisif: "Je pense que cette série va être le tournant de notre saison. Nous avons cinq matches à jouer à l'extérieur et nous devons retrouver une attitude plus positive. Si nous n'y parvenons pas, alors atteindre les playoffs deviendra très compliqué."
La stat:
C'est un sacré duel à distance que se sont livrés Vince Carter et Amare Stoudemire ce dimanche. Avec ses 40 points claqués lors de la précieuse victoire (101-92) des Nets aux Knicks, qui permet à New Jersey de prendre ses distances avec New York pour la huitième et dernière place qualificative pour les playoffs, Carter, déjà auteur de 46 points quatre jours plus tôt lors d'une défaite concédée face aux Hornets, pensait avoir placé la barre très haut. Mais dans le même temps, à Atlanta, Amare Stoudemire faisait plus fort encore en signant 43 points lors du succès (115-106) des Suns face aux Hawks. Le meilleur total cette saison pour le joueur de Phoenix qui agrémentait son match de 16 rebonds, 6 passes décisives et 3 blocks et un 15 sur 17 aux lancers francs! Suffisant pour permettre aux Suns de n'être plus qu'à deux victoires d'un carton plein à l'extérieur face aux formations de la conférence est (13-0). Au total, l'équipe de Mike D'Anthony, qui avait débuté sa saison par quatre revers de rang loin de ses bases, a remporté 22 succès lors de ses 25 derniers matches à l'extérieur.
Le joueur:
Match forcément très spécial dimanche pour Ben Wallace qui, avec ses Bulls, était de retour pour la première fois depuis son départ à Auburn Hill sur le terrain de ses exploits passés pour y défier son ancienne formation des Pistons. Si Chicago a dû s'incliner sur le fil (93-95) sur un panier décisif secondes du buzzer signé Chris Webber, auteur de son meilleur total de la saison avec 21 points, l'homme à la plus belle coupe de cheveux de toute la NBA aura été à la fois acclamé et hué à son entrée sur le terrain par ses anciens fans qui, quoi qu'il arrive, n'ont pas oublié le joueur aux quatre titres de meilleur défenseur de la Ligue. Un Wallace, dont chacune des prises de balle aura suscité la réaction du public: "Je sais à quel point l'ambiance peut être folle au Palace, alors je savais que les fans pouvaient faire mieux encore, soulignait Wallace, auteur de 6 points, 8 rebonds, 4 passes, 3 interceptions et 2 blocks. Je voulais savoir jusqu'où ils pouvaient aller pour me huer..."
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Parker fait son show !
Tony Parker a assuré le spectacle lors de la victoire de San Antonio face à Toronto (107-91). Le meneur de jeu des Spurs a en effet compilé 27 points, 9 passes et 5 rebonds ! Le Tricolore a parfaitement joué le coup et permet donc à San Antonio de s'accrocher aux basques de Dallas qui a remporté un douzième succès de rang en écartant Atlanta (110-87). Bonne pioche pour les Knicks qui ont battu Miami grâce à un super final de Crawford et Marbury (99-93). A noter également le succès des Lakers de Turiaf face à Utah (102-94).
Le match
Un duo incontournable. Les Spurs ne peuvent pas se passer de leur duo de feu Parker-Duncan. Cette nuit, la victoire de San Antonio a d'abord été la leur car les deux hommes ont su mener leur équipe sur la bonne voie. Avec une grosse défense comme base et du talent en attaque, il n'y avait pas grand-chose à faire pour les Raptors qui n'ont pas su museler les duettistes. Avec 27 points, 9 passes et 5 rebonds pour Parker et 24 points, 16 rebonds, 4 passes pour Duncan, l'histoire était écrite avant l'heure.
Toronto, qui restait sur quatre victoires en cinq rencontres, n'a donc pas su contourner le bloc défensif des Spurs. Le pourcentage de réussite aux tirs en reste la meilleure preuve avec notamment Ford à 3 sur 14, Parker à 0 sur 5 ou encore Bosh à 6 su 16... Seul Nesterovic (8-10 pour un total de 16 points en 23 minutes) a su tirer son épingle du jeu. Une donnée qui aura permis aux Spurs de gérer la rencontre à leur guise. En prenant les devant dès les premières minutes avec notamment un deuxième quart-temps superbement maîtrisé (35-16) les hommes de "Pop" avaient fait le plus dur, gérant tranquillement la fin de la rencontre pour conserver au final 16 longueurs d'avance.
"Nous commençons à tourner la page pour nous tourner vers les playoffs", expliquait après coup Gregg Popovich, plutôt heureux de la prestation de son équipe, la sixième de rang pour une série qui commence à avoir fière allure...
Les Français
Outre Tony Parker qui a donc passé une belle soirée face aux Raptors, les Français auront plutôt été en réussite. A commencer par Petro et Gelabale qui ont tous les deux apporté leur contribution à la victoire des Sonics face à Portland (97-73). Johan Petro a une nouvelle fois été le plus utilisé des deux avec un peu plus de 16 minutes pour une ligne de statistiques honorable (7 points, 3 rebonds, 1 interception). Du bout du banc, Mickael Gelabale aura joué 4 minutes pour 2 points 1 rebond et 1 passe. C'est toujours ça...
Yakhouba Diawara a quant à lui eu les honneurs du 5 majeur lors du succès des Nuggets face à Memphis (111-107). Lancé en remplacement de Smith, le Français aura joué plus de 21 minutes et principalement axé ses efforts sur le rôle défensif que lui demande son entraîneur pour terminer la rencontre avec 1 rebond et 1 passe. De son côté, Ronny Turiaf a participé à la victoire des Lakers face à Utah (102-94). Il aura foulé le parquet pendant 15 minutes marquant 4 points pour un rebond et surtout un gros travail défensif qui lui aura valu de terminer la rencontre avec 6 fautes au compteur.
La stat
Les Mavericks sont sur la voir royale. Longtemps à la lutte avec Phoenix pour le meilleur bilan de la Ligue, Dallas semble avoir pris une option avec un bilan qui se porte désormais à 47-9 contre 43-13 aux Suns. Les coéquipiers de Dirk Nowitzki restent d'ailleurs sur une série en cours de douze victoires qui leur a permis de prendre le large. Cette nuit, Dallas l'a emporté aisément face à Atlanta (110-87) avec notamment 27 points de l'Allemand, 21 de Terry, 20 de Howard ou 19 de Stackhouse. Car c'est bien là l'un des premiers soucis des adversaires des Mavs le danger peut venir de partout...
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Sinon ce soir en ULEB la SIG joue son quart de finale face à Lietuvos Rytas Vilnius. A la fin du premier quart temps la SIG mène 28-13 ... un socre très intéressant en vue du match retour. Mais attention à ne pas se relacher et conserver voir augmenter cet avantage en vue du match retour.
J'oubliais le lien direct à ouvrir dans WMP pour voir le match :
mms://event-2-all.eurosport.com/reflector:41354
Ou le lien normal :
http://www.eurosport.fr/basketball/mcpl ... 4697.shtml
Tony Parker a assuré le spectacle lors de la victoire de San Antonio face à Toronto (107-91). Le meneur de jeu des Spurs a en effet compilé 27 points, 9 passes et 5 rebonds ! Le Tricolore a parfaitement joué le coup et permet donc à San Antonio de s'accrocher aux basques de Dallas qui a remporté un douzième succès de rang en écartant Atlanta (110-87). Bonne pioche pour les Knicks qui ont battu Miami grâce à un super final de Crawford et Marbury (99-93). A noter également le succès des Lakers de Turiaf face à Utah (102-94).
Le match
Un duo incontournable. Les Spurs ne peuvent pas se passer de leur duo de feu Parker-Duncan. Cette nuit, la victoire de San Antonio a d'abord été la leur car les deux hommes ont su mener leur équipe sur la bonne voie. Avec une grosse défense comme base et du talent en attaque, il n'y avait pas grand-chose à faire pour les Raptors qui n'ont pas su museler les duettistes. Avec 27 points, 9 passes et 5 rebonds pour Parker et 24 points, 16 rebonds, 4 passes pour Duncan, l'histoire était écrite avant l'heure.
Toronto, qui restait sur quatre victoires en cinq rencontres, n'a donc pas su contourner le bloc défensif des Spurs. Le pourcentage de réussite aux tirs en reste la meilleure preuve avec notamment Ford à 3 sur 14, Parker à 0 sur 5 ou encore Bosh à 6 su 16... Seul Nesterovic (8-10 pour un total de 16 points en 23 minutes) a su tirer son épingle du jeu. Une donnée qui aura permis aux Spurs de gérer la rencontre à leur guise. En prenant les devant dès les premières minutes avec notamment un deuxième quart-temps superbement maîtrisé (35-16) les hommes de "Pop" avaient fait le plus dur, gérant tranquillement la fin de la rencontre pour conserver au final 16 longueurs d'avance.
"Nous commençons à tourner la page pour nous tourner vers les playoffs", expliquait après coup Gregg Popovich, plutôt heureux de la prestation de son équipe, la sixième de rang pour une série qui commence à avoir fière allure...
Les Français
Outre Tony Parker qui a donc passé une belle soirée face aux Raptors, les Français auront plutôt été en réussite. A commencer par Petro et Gelabale qui ont tous les deux apporté leur contribution à la victoire des Sonics face à Portland (97-73). Johan Petro a une nouvelle fois été le plus utilisé des deux avec un peu plus de 16 minutes pour une ligne de statistiques honorable (7 points, 3 rebonds, 1 interception). Du bout du banc, Mickael Gelabale aura joué 4 minutes pour 2 points 1 rebond et 1 passe. C'est toujours ça...
Yakhouba Diawara a quant à lui eu les honneurs du 5 majeur lors du succès des Nuggets face à Memphis (111-107). Lancé en remplacement de Smith, le Français aura joué plus de 21 minutes et principalement axé ses efforts sur le rôle défensif que lui demande son entraîneur pour terminer la rencontre avec 1 rebond et 1 passe. De son côté, Ronny Turiaf a participé à la victoire des Lakers face à Utah (102-94). Il aura foulé le parquet pendant 15 minutes marquant 4 points pour un rebond et surtout un gros travail défensif qui lui aura valu de terminer la rencontre avec 6 fautes au compteur.
La stat
Les Mavericks sont sur la voir royale. Longtemps à la lutte avec Phoenix pour le meilleur bilan de la Ligue, Dallas semble avoir pris une option avec un bilan qui se porte désormais à 47-9 contre 43-13 aux Suns. Les coéquipiers de Dirk Nowitzki restent d'ailleurs sur une série en cours de douze victoires qui leur a permis de prendre le large. Cette nuit, Dallas l'a emporté aisément face à Atlanta (110-87) avec notamment 27 points de l'Allemand, 21 de Terry, 20 de Howard ou 19 de Stackhouse. Car c'est bien là l'un des premiers soucis des adversaires des Mavs le danger peut venir de partout...
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Sinon ce soir en ULEB la SIG joue son quart de finale face à Lietuvos Rytas Vilnius. A la fin du premier quart temps la SIG mène 28-13 ... un socre très intéressant en vue du match retour. Mais attention à ne pas se relacher et conserver voir augmenter cet avantage en vue du match retour.
J'oubliais le lien direct à ouvrir dans WMP pour voir le match :
mms://event-2-all.eurosport.com/reflector:41354
Ou le lien normal :
http://www.eurosport.fr/basketball/mcpl ... 4697.shtml
Bon, bien que non spécialiste, je vais essayer de vous donner une "image " du match auquel j'ai assisté hier soir à la Halle Rhenus Sport de Strasbourg.
Tout d'abord, salle presque pleine (il restait de ça et là qq sièges, mais vraiment très peu) soit plus de 5000 personnes. L'ambiance était plutôt sympa, beaucoup de bruit (surtout en 1ere mi-temps) mais elle s'est rafraichit un peu en seconde au fur et a mesure de la remontée des lituaniens. Grosse ambiance tout de même.
Concernant le match en lui même.
Grosse entame de la SIG qui a rapidement mené de 9 points (11-2) grace aux paniers de Sanders, Eidson et Marquis. Il faut dire que les lituaniens étaient plutôt mal inspirés en attaque et que les Strasbourgeois fermaient bien en défense. La suite de la mi-temps a vu grossir l'avance de la SIG, le Lietuvos ne devant son salut qu'aux éclairs de génie de Kareem Rush et un jeu bien "viril" de l'australien matt Nielsen.
Ajouter à cela un Afik Nissim qui entre et enquille à 3 points, ça vous donne du 53-29 pour la SIG à la mi-temps.
Seconde mi-temps - un autre match commence - vous prenez les mêmes et vous inversez les rôles. Des lituaniens qui sont plus agressifs en défense, des mauvais choix des strasbourgeois (air-balls au buzzer :x ) et contres rapidements menés par le Lietuvos, ça donne une avance qui fond comme neige au soleil, des joueurs et un public qui se crispent....La tension est à son comble quand Rush, par un shoot 1m derrière la ligne des 3 points :shock: , ramène son équipe à 10 points . il reste 2 mn.
Heureusement Darrigand equille lui aussi à 3 points dans la foulée (son seul de la soirée), maintenant un écart de 13 points.
Les 2 équipes vont se rendre coup pour coup jusquà la fin. Sanders sort pour 5 fautes à 1mn de la fin. Nissim fait 1/2 aux derniers LF ce qui fait au final du +13 pour la SIG avant le retour en Lituanie.
Il va falloir être costauds là bas, mais c'est tout à fait jouable.
Les joueurs à retenir : coté SIG, Eidson et Nissim plus particulièrement bien que tout ceux qui ont joué aient été bien présents (hormis peut être Sacha Giffa qui est un peu passé à coté du match)
Coté Vilnius, Bien sûr c'est Kareem Rush qui a porté l'équipe avec ses 21 points. Sans lui, Vilnius en prenait une bonne ce soir!
Quelques éclairs à 3 points de Slezas et une grosse brute, Matt Nielsen qui s'en sort avec 3 fautes seulement ... :evil:
Voila, je vous l'ai dit, je ne suis pas un spécialiste mais nous avons passé une bonne soirée ma fille et moi.
Tout d'abord, salle presque pleine (il restait de ça et là qq sièges, mais vraiment très peu) soit plus de 5000 personnes. L'ambiance était plutôt sympa, beaucoup de bruit (surtout en 1ere mi-temps) mais elle s'est rafraichit un peu en seconde au fur et a mesure de la remontée des lituaniens. Grosse ambiance tout de même.
Concernant le match en lui même.
Grosse entame de la SIG qui a rapidement mené de 9 points (11-2) grace aux paniers de Sanders, Eidson et Marquis. Il faut dire que les lituaniens étaient plutôt mal inspirés en attaque et que les Strasbourgeois fermaient bien en défense. La suite de la mi-temps a vu grossir l'avance de la SIG, le Lietuvos ne devant son salut qu'aux éclairs de génie de Kareem Rush et un jeu bien "viril" de l'australien matt Nielsen.
Ajouter à cela un Afik Nissim qui entre et enquille à 3 points, ça vous donne du 53-29 pour la SIG à la mi-temps.
Seconde mi-temps - un autre match commence - vous prenez les mêmes et vous inversez les rôles. Des lituaniens qui sont plus agressifs en défense, des mauvais choix des strasbourgeois (air-balls au buzzer :x ) et contres rapidements menés par le Lietuvos, ça donne une avance qui fond comme neige au soleil, des joueurs et un public qui se crispent....La tension est à son comble quand Rush, par un shoot 1m derrière la ligne des 3 points :shock: , ramène son équipe à 10 points . il reste 2 mn.
Heureusement Darrigand equille lui aussi à 3 points dans la foulée (son seul de la soirée), maintenant un écart de 13 points.
Les 2 équipes vont se rendre coup pour coup jusquà la fin. Sanders sort pour 5 fautes à 1mn de la fin. Nissim fait 1/2 aux derniers LF ce qui fait au final du +13 pour la SIG avant le retour en Lituanie.
Il va falloir être costauds là bas, mais c'est tout à fait jouable.
Les joueurs à retenir : coté SIG, Eidson et Nissim plus particulièrement bien que tout ceux qui ont joué aient été bien présents (hormis peut être Sacha Giffa qui est un peu passé à coté du match)
Coté Vilnius, Bien sûr c'est Kareem Rush qui a porté l'équipe avec ses 21 points. Sans lui, Vilnius en prenait une bonne ce soir!
Quelques éclairs à 3 points de Slezas et une grosse brute, Matt Nielsen qui s'en sort avec 3 fautes seulement ... :evil:
Voila, je vous l'ai dit, je ne suis pas un spécialiste mais nous avons passé une bonne soirée ma fille et moi.
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une p'tite question cette coupe ULEB c'est l'ancienne coupe Korac
Si oui, pour quelle raison avoir changer de nom car il me semblait que Korac était en hommage à un ancien joueur Yougoslave (quand ce pays existait encore) DCD, si c'est le cas je trouve déplacé d'avoir changé de nom pour une abréviation qui ne veux rien dire :roll:
Si oui, pour quelle raison avoir changer de nom car il me semblait que Korac était en hommage à un ancien joueur Yougoslave (quand ce pays existait encore) DCD, si c'est le cas je trouve déplacé d'avoir changé de nom pour une abréviation qui ne veux rien dire :roll:
Survivor étape 4
Alfa, La buse, Ozzy, Sorbiers
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elle est pas mal celle là aussi :
Pau-Orthez: Sanders est Géorgien !
28/02/2007 - 08:48
A la surprise générale, Melvin Sanders va pouvoir jouer en Pro A avec Pau-Orthez pour le reste de la saison. Jusque là seulement qualifié pour l'Euroligue du fait que la formation béarnaise compte déjà quatre joueurs extracommunautaires dans son effectif (limite autorisée en championnat de France), l'Américain a obtenu mardi la nationalité géorgienne. Le shooteur fou, passé par les camps d'entraînement des Spurs l'été dernier, devrait donc faire ses grands débuts en Pro A le week-end prochain lors de la 23e journée face à Villeurbanne
http://www.sports.fr/fr/cmc/scanner/bas ... html?popup
Pau-Orthez: Sanders est Géorgien !
28/02/2007 - 08:48
A la surprise générale, Melvin Sanders va pouvoir jouer en Pro A avec Pau-Orthez pour le reste de la saison. Jusque là seulement qualifié pour l'Euroligue du fait que la formation béarnaise compte déjà quatre joueurs extracommunautaires dans son effectif (limite autorisée en championnat de France), l'Américain a obtenu mardi la nationalité géorgienne. Le shooteur fou, passé par les camps d'entraînement des Spurs l'été dernier, devrait donc faire ses grands débuts en Pro A le week-end prochain lors de la 23e journée face à Villeurbanne
http://www.sports.fr/fr/cmc/scanner/bas ... html?popup
[img]http://www.msb.fr/images/clubs/logo/lemans.jpg[/img]
"Il y a des choses que le temps ne peut cicatriser,
des blessures si profondes,
qu'elles se sont emparées de vous "
"Il y a des choses que le temps ne peut cicatriser,
des blessures si profondes,
qu'elles se sont emparées de vous "
Merci pour ce résumé très interessant Baraban
ULEB = Union des Ligues Européennes de Basket
Cette coupe est issue de la fusion entre la Coupe Korac et la Coupe Saporta. La Coupe Kora? est une compétition de club européen de basket-ball qui porte le nom d'un joueur yougoslave des annéees 1960 Radivoj Kora?. Pourquoi ont-ils changé le nom, je peux pas te le dire, mais c'est vrai qu'il est dommage d'avoir enlevé le nom de Korac (de même que Saporta, ex-dirigeant du Real Madrid). Celà dit, ça s'est fait à cause de la refonte des coupes européennes de basket, et je suppose qu'ils ont changé les noms pour qu'il n'y ai pas de confusion :dontknow:
Pour ce qui est de Sanders géorgien ...
La Géorgie s'est fait une spécialité de ce genre de naturalisation, et je pense que Herbert, le coach de Pau et ... de la Géorgie, n'y est pas pour rien (pour info le seul joueur géorgien de NBA est Zaza Pachulia, pivot des Hawks d'Atlanta).
ULEB = Union des Ligues Européennes de Basket
Cette coupe est issue de la fusion entre la Coupe Korac et la Coupe Saporta. La Coupe Kora? est une compétition de club européen de basket-ball qui porte le nom d'un joueur yougoslave des annéees 1960 Radivoj Kora?. Pourquoi ont-ils changé le nom, je peux pas te le dire, mais c'est vrai qu'il est dommage d'avoir enlevé le nom de Korac (de même que Saporta, ex-dirigeant du Real Madrid). Celà dit, ça s'est fait à cause de la refonte des coupes européennes de basket, et je suppose qu'ils ont changé les noms pour qu'il n'y ai pas de confusion :dontknow:
Pour ce qui est de Sanders géorgien ...
La Géorgie s'est fait une spécialité de ce genre de naturalisation, et je pense que Herbert, le coach de Pau et ... de la Géorgie, n'y est pas pour rien (pour info le seul joueur géorgien de NBA est Zaza Pachulia, pivot des Hawks d'Atlanta).
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Soit dit entre nous Zaza Pachulia ça sonne un peu plus géorgien que Melvin Sanderschvilivinsanity wrote:Merci pour ce résumé très interessant Baraban
ULEB = Union des Ligues Européennes de Basket
Cette coupe est issue de la fusion entre la Coupe Korac et la Coupe Saporta. La Coupe Kora? est une compétition de club européen de basket-ball qui porte le nom d'un joueur yougoslave des annéees 1960 Radivoj Kora?. Pourquoi ont-ils changé le nom, je peux pas te le dire, mais c'est vrai qu'il est dommage d'avoir enlevé le nom de Korac (de même que Saporta, ex-dirigeant du Real Madrid). Celà dit, ça s'est fait à cause de la refonte des coupes européennes de basket, et je suppose qu'ils ont changé les noms pour qu'il n'y ai pas de confusion :dontknow:
Pour ce qui est de Sanders géorgien ...
La Géorgie s'est fait une spécialité de ce genre de naturalisation, et je pense que Herbert, le coach de Pau et ... de la Géorgie, n'y est pas pour rien (pour info le seul joueur géorgien de NBA est Zaza Pachulia, pivot des Hawks d'Atlanta).
"On peut rire de tout mais pas avec n'importe qui." Pierre Desproges.
C'est vrai que ces naturalisations à la va-vite sont vraiment étranges ... autant pour un gars come JR Holden, qui a longtemps vécu en Russie, et a souhaité joué en équipe nationale, ou encore Kirksay ou Stanley qui sont en France depuis longtemps. Mais là, à ce rythme là on peut se retrouver avec une équipe 100% US en ProA. Cette saison Pau jouera pratiquement avec 6 US en ProA !!! Ricardo Greer possède un passeport cotonou mais il est né à NY, Wright, Miles, Johnsen, Harrison et ... Sanders.
Elle est belle la formation paloise en ce moment :lol:
Elle est belle la formation paloise en ce moment :lol:
les chances de Pau de passer le TOP 16, déjà mince au départ, s'amenuisent de plus en plus. Le déplacement périlleux de ce soir à Tel Aviv ressemble déjà à un match de la dernière chance. Et ce ne sera pas facile face à cette équipe double vainqueur de l'épreuve il y a deux et trois saisons de celà. Mais l'équipe semble prenable cette année. Alors sait-on jamais :dontknow:
Ah oui et une petite info qui a son importance, à propos d'une salle de basket en Loire Sud ...
http://www.zoom42.fr/actu/ACT_detail.asp?strId=8214
http://www.zoom42.fr/actu/ACT_detail.asp?strId=8214
Pau au pied du mur
L'Elan Béarnais n'a pas le choix. Après s'être inclinés lors des deux premières journées du Top 16 de l'Euroligue, les Palois doivent absolument réagir, ce jeudi, sur le parquet du Maccabi Tel-Aviv pour préserver leurs maigres chances de qualification. Une victoire dans la prestigieuse Nokia Arena représenterait un véritable exploit pour les hommes de Gordon Herbert, qui espèrent toutefois profiter des doutes affichés par le Maccabi, affaibli depuis le départ de joueurs clés et inconstant depuis le début de la compétition.
Ça ne s'annonce pas facile... Pau-Orthez connaît l'ampleur de la tâche qui l'attend, jeudi soir, sur le parquet de la Nokia Arena, où l'ambiance s'annonce particulièrement chaude. Car le Maccabi représente un obstacle de taille pour l'équipe française. Avec deux titres européens décrochés ces trois dernières saisons en 2004 et 2005, la prestigieuse formation israélienne fait figure de véritable épouvantail. Le finaliste de l'édition 2006 de l'Euroligue (battu par le CSKA Moscou) connaît toutefois quelques soucis qui sont à même de "rassurer" les Béarnais. Inconstant, le Maccabi affiche des résultats irréguliers depuis le début de la seconde phase de l'Euroligue.
Battus par Vitoria lors de la première journée (68-79), les joueurs israéliens ont ensuite relevé la tête en l'emportant sur le parquet de Rome (71-69). Une irrégularité qui trahit les difficultés actuelles traversées par anciens champions d'Europe, déstabilisés par les départs de joueurs clés tels que Anthony Parker, Maceo Baston et Sharunas Jasikevicius.
Des départs qui font mal
"Notre préparation a été perturbée par la guerre au Liban", explique Nikola Vujcic, le pivot croate, dans les colonnes de L'Equipe. "Nous n'avons pas pu travailler normalement. Des joueurs ont refusé de venir à cause de la situation politique. Et nous avons aujourd'hui beaucoup de jeunes sans expérience." Un effectif rajeuni qui n'a pas toujours su faire la différence dans les moments les plus chauds cette saison.
Par moments fébriles, les coéquipiers de Vujcic devront frapper un énorme coup pour espérer remporter l'Euroligue en 2007. Une vulnérabilité qui n'a pas échappé aux Béarnais, arrivés à Tel Aviv avec la volonté de créer (un hypothétique ?) exploit. Dominés par Rome et Vitoria, les Palois espèrent inverser la tendance, tout en sachant que leur avenir en Euroligue reste très incertain. Avec un effectif au complet (mis à part Ludovic Vaty, contraint de rebrousser chemin une fois à Roissy après avoir oublié son passeport !), Pau a préparé la rencontre avec minutie, alternant séances video et entraînement. Place au combat.
www.sports.fr
L'Elan Béarnais n'a pas le choix. Après s'être inclinés lors des deux premières journées du Top 16 de l'Euroligue, les Palois doivent absolument réagir, ce jeudi, sur le parquet du Maccabi Tel-Aviv pour préserver leurs maigres chances de qualification. Une victoire dans la prestigieuse Nokia Arena représenterait un véritable exploit pour les hommes de Gordon Herbert, qui espèrent toutefois profiter des doutes affichés par le Maccabi, affaibli depuis le départ de joueurs clés et inconstant depuis le début de la compétition.
Ça ne s'annonce pas facile... Pau-Orthez connaît l'ampleur de la tâche qui l'attend, jeudi soir, sur le parquet de la Nokia Arena, où l'ambiance s'annonce particulièrement chaude. Car le Maccabi représente un obstacle de taille pour l'équipe française. Avec deux titres européens décrochés ces trois dernières saisons en 2004 et 2005, la prestigieuse formation israélienne fait figure de véritable épouvantail. Le finaliste de l'édition 2006 de l'Euroligue (battu par le CSKA Moscou) connaît toutefois quelques soucis qui sont à même de "rassurer" les Béarnais. Inconstant, le Maccabi affiche des résultats irréguliers depuis le début de la seconde phase de l'Euroligue.
Battus par Vitoria lors de la première journée (68-79), les joueurs israéliens ont ensuite relevé la tête en l'emportant sur le parquet de Rome (71-69). Une irrégularité qui trahit les difficultés actuelles traversées par anciens champions d'Europe, déstabilisés par les départs de joueurs clés tels que Anthony Parker, Maceo Baston et Sharunas Jasikevicius.
Des départs qui font mal
"Notre préparation a été perturbée par la guerre au Liban", explique Nikola Vujcic, le pivot croate, dans les colonnes de L'Equipe. "Nous n'avons pas pu travailler normalement. Des joueurs ont refusé de venir à cause de la situation politique. Et nous avons aujourd'hui beaucoup de jeunes sans expérience." Un effectif rajeuni qui n'a pas toujours su faire la différence dans les moments les plus chauds cette saison.
Par moments fébriles, les coéquipiers de Vujcic devront frapper un énorme coup pour espérer remporter l'Euroligue en 2007. Une vulnérabilité qui n'a pas échappé aux Béarnais, arrivés à Tel Aviv avec la volonté de créer (un hypothétique ?) exploit. Dominés par Rome et Vitoria, les Palois espèrent inverser la tendance, tout en sachant que leur avenir en Euroligue reste très incertain. Avec un effectif au complet (mis à part Ludovic Vaty, contraint de rebrousser chemin une fois à Roissy après avoir oublié son passeport !), Pau a préparé la rencontre avec minutie, alternant séances video et entraînement. Place au combat.
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Ca y est c'est mort pour Pau qui a pourtant longtemps été en tête durant le match avant de fléchir dans le dernier quart temps ... défaite au final 74-70. 20pts 5rbds de Johnsen ... qui en a mis 0 en seconde période. 12pts 10rbds de Greer. 15pts 3ast de Aaron Miles. 2pts "francais" pour Pau par Mahinmi ^^
Dire qu'après on nous bassine avec les US de Roanne :lol:
Pau, équipe de CBA ?
Dire qu'après on nous bassine avec les US de Roanne :lol:
Pau, équipe de CBA ?