ASSE 0 - QSG 4
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Re: Sainté-QSG , dimanche 15/12 à 21 heures
C'est tellement improbable et impensable ... que j'y crois un peu .Pour ça il faudra vraiment que les planètes vertes soient alignées :compo ,coaching ,public,arbitre et surtout joueurs survoltés, le tout associé à des parisiens qui pourraient avoir la tête aux vacances qui s'annoncent...En me relisant je me rends quand même compte qu'il faudrait quand même beaucoup de miracles...
Re: Sainté-QSG , dimanche 15/12 à 21 heures
Idem que beaucoup...
Le seul match de l’année qui ne provoque aucun intérêt pour ma part
Le seul match de l’année qui ne provoque aucun intérêt pour ma part
Re: Sainté-QSG , dimanche 15/12 à 21 heures
Extraits de l'Interview de Puel dans Le Monde
Vous revendiquez un profil de bâtisseur. Lorsqu’on arrive dans un club dernier de Ligue 1, comment tient-on ce cap ?
Il faut aller à l’essentiel : amorcer une orientation sans embrumer les joueurs, ne pas donner trop d’informations. Je me dois d’être le plus précis possible. Petit à petit, je vais nourrir l’équipe dans une direction mais, au départ, il ne faut donner que des choses compréhensibles par tous pour faire changer l’état d’esprit, la solidarité, le langage corporel. Ce sont des choses basiques sur lesquelles on peut agir rapidement.
Combien de temps faut-il pour trouver une cohérence ?
Quand j’ai débuté dans le métier [en 1999, à Monaco], on considérait qu’il fallait deux ou trois ans pour monter une équipe. Maintenant, il faut être opérationnel en un mois et demi avec des joueurs que l’on ne connaît pas et qui eux-mêmes doivent s’acclimater à un nouvel environnement. Le moyen terme, c’est un an ou deux : on n’aura jamais plus.
En Angleterre, cette urgence est démultipliée par l’ampleur des moyens et la nature des propriétaires, qui n’ont pas une approche footballistique mais entrepreneuriale : de l’argent est investi, donc il faut des résultats immédiats, peu importe la façon.
Comme à Southampton ou Leicester, vos précédents clubs…
J’ai dit aux dirigeants de Leicester, quand ils m’ont reçu : « Vous êtes en échec. Vous avez été champions d’Angleterre [en 2016] avec du jeu direct et trois individualités. Il faut changer de jeu et il y a cinq joueurs intéressants qui peuvent continuer avec moi. Le reste, c’est insuffisant. » Et je suis parti. Je ne m’attendais pas à ce qu’ils me choisissent. Ils m’ont rappelé une heure après.
Vous avez été limogé en février, alors que vous étiez 12e de Premier League. Que vous a-t-il manqué pour mener ce projet à bien ?
Le projet a été mené à bien ! Pas assez vite pour en profiter, mais je l’accepte ; j’ai intégré le fait que je suis là pour donner. On a transformé en deux mercatos l’une des équipes les plus âgées de Premier League en équipe la plus jeune. A chaque poste, il y a un joueur créatif. J’ai fait tout cela dans l’incompréhension totale, dans un environnement – supporteurs et journalistes – qui ne comprenait pas cette analyse. Depuis des décennies, Leicester jouait avec un football direct. On a changé la donne à une vitesse complètement dingue.
Mais je me suis mis dans la difficulté car je n’ai lâché sur rien. Je me suis engueulé avec les recruteurs : ils me proposaient des profils non techniques, qui ne comprenaient pas le jeu. Je n’ai pas fait prolonger les champions d’Angleterre, ce qui était le plus difficile, et je leur demandais de pratiquer un autre football. Ces joueurs étaient des légendes. Ils avaient tous un accès direct au président du club, alors que moi je n’avais pas son numéro ! C’était une famille et je suis arrivé comme un poil à gratter. En un an et demi, on a sorti quatre internationaux espoirs et deux internationaux A, Harry Maguire et Ben Chilwell.
Je me rappelle d’un match à Everton perdu 2-1, sur deux erreurs personnelles de Chilwell. La vox populi voulait que Christian Fuchs, titulaire dans l’équipe du titre, revienne par sécurité. Mais, la fois d’après, je l’ai remis, et la fois d’après encore. Je considérais que c’était sur lui que le club devait miser. Un jeune performant de suite, c’est rarissime. Il faut le nourrir, l’aguerrir. Et il n’y a pas d’autre solution que lui donner du temps de jeu. Certains verront ça comme une prise de risque. Je suis prêt à le prendre parce que je me fous d’être viré.
Leicester est aujourd’hui deuxième de Premier League sous les ordres de Brendan Rodgers. Comment le vivez-vous ?
Je trouve cela super. Parce que c’est le même système de jeu, les mêmes joueurs, et je la vois performer à un très haut niveau. Mais je ne suis pas surpris. On sentait la qualité à l’entraînement et en match ça venait, même si on n’était pas récompensé pour quelques détails. L’équipe était prête.
Dans l’expression, la qualité, la jeunesse, je n’avais jamais rien ressenti d’aussi fort depuis Monaco, lorsqu’on a été champion de France en 2000 avec l’équipe la plus jeune de l’histoire.
Avec une équipe, je veux me donner les moyens d’être capable de jouer la Ligue des champions. Or, ce qu’on observe au très haut niveau, c’est qu’avant le physique et l’intensité, il y a la technique, l’anticipation, l’intelligence de jeu et des déplacements. Il n’y a pas d’équipe de Ligue des champions qui vive uniquement de combativité et de solidarité.
La technique est le préalable à tout ?
Pour moi, oui. Et la Ligue 1 en manque, car le recrutement repose avant tout sur des dispositions physiques.
Vous revendiquez un profil de bâtisseur. Lorsqu’on arrive dans un club dernier de Ligue 1, comment tient-on ce cap ?
Il faut aller à l’essentiel : amorcer une orientation sans embrumer les joueurs, ne pas donner trop d’informations. Je me dois d’être le plus précis possible. Petit à petit, je vais nourrir l’équipe dans une direction mais, au départ, il ne faut donner que des choses compréhensibles par tous pour faire changer l’état d’esprit, la solidarité, le langage corporel. Ce sont des choses basiques sur lesquelles on peut agir rapidement.
Combien de temps faut-il pour trouver une cohérence ?
Quand j’ai débuté dans le métier [en 1999, à Monaco], on considérait qu’il fallait deux ou trois ans pour monter une équipe. Maintenant, il faut être opérationnel en un mois et demi avec des joueurs que l’on ne connaît pas et qui eux-mêmes doivent s’acclimater à un nouvel environnement. Le moyen terme, c’est un an ou deux : on n’aura jamais plus.
En Angleterre, cette urgence est démultipliée par l’ampleur des moyens et la nature des propriétaires, qui n’ont pas une approche footballistique mais entrepreneuriale : de l’argent est investi, donc il faut des résultats immédiats, peu importe la façon.
Comme à Southampton ou Leicester, vos précédents clubs…
J’ai dit aux dirigeants de Leicester, quand ils m’ont reçu : « Vous êtes en échec. Vous avez été champions d’Angleterre [en 2016] avec du jeu direct et trois individualités. Il faut changer de jeu et il y a cinq joueurs intéressants qui peuvent continuer avec moi. Le reste, c’est insuffisant. » Et je suis parti. Je ne m’attendais pas à ce qu’ils me choisissent. Ils m’ont rappelé une heure après.
Vous avez été limogé en février, alors que vous étiez 12e de Premier League. Que vous a-t-il manqué pour mener ce projet à bien ?
Le projet a été mené à bien ! Pas assez vite pour en profiter, mais je l’accepte ; j’ai intégré le fait que je suis là pour donner. On a transformé en deux mercatos l’une des équipes les plus âgées de Premier League en équipe la plus jeune. A chaque poste, il y a un joueur créatif. J’ai fait tout cela dans l’incompréhension totale, dans un environnement – supporteurs et journalistes – qui ne comprenait pas cette analyse. Depuis des décennies, Leicester jouait avec un football direct. On a changé la donne à une vitesse complètement dingue.
Mais je me suis mis dans la difficulté car je n’ai lâché sur rien. Je me suis engueulé avec les recruteurs : ils me proposaient des profils non techniques, qui ne comprenaient pas le jeu. Je n’ai pas fait prolonger les champions d’Angleterre, ce qui était le plus difficile, et je leur demandais de pratiquer un autre football. Ces joueurs étaient des légendes. Ils avaient tous un accès direct au président du club, alors que moi je n’avais pas son numéro ! C’était une famille et je suis arrivé comme un poil à gratter. En un an et demi, on a sorti quatre internationaux espoirs et deux internationaux A, Harry Maguire et Ben Chilwell.
Je me rappelle d’un match à Everton perdu 2-1, sur deux erreurs personnelles de Chilwell. La vox populi voulait que Christian Fuchs, titulaire dans l’équipe du titre, revienne par sécurité. Mais, la fois d’après, je l’ai remis, et la fois d’après encore. Je considérais que c’était sur lui que le club devait miser. Un jeune performant de suite, c’est rarissime. Il faut le nourrir, l’aguerrir. Et il n’y a pas d’autre solution que lui donner du temps de jeu. Certains verront ça comme une prise de risque. Je suis prêt à le prendre parce que je me fous d’être viré.
Leicester est aujourd’hui deuxième de Premier League sous les ordres de Brendan Rodgers. Comment le vivez-vous ?
Je trouve cela super. Parce que c’est le même système de jeu, les mêmes joueurs, et je la vois performer à un très haut niveau. Mais je ne suis pas surpris. On sentait la qualité à l’entraînement et en match ça venait, même si on n’était pas récompensé pour quelques détails. L’équipe était prête.
Dans l’expression, la qualité, la jeunesse, je n’avais jamais rien ressenti d’aussi fort depuis Monaco, lorsqu’on a été champion de France en 2000 avec l’équipe la plus jeune de l’histoire.
Avec une équipe, je veux me donner les moyens d’être capable de jouer la Ligue des champions. Or, ce qu’on observe au très haut niveau, c’est qu’avant le physique et l’intensité, il y a la technique, l’anticipation, l’intelligence de jeu et des déplacements. Il n’y a pas d’équipe de Ligue des champions qui vive uniquement de combativité et de solidarité.
La technique est le préalable à tout ?
Pour moi, oui. Et la Ligue 1 en manque, car le recrutement repose avant tout sur des dispositions physiques.
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Re: Sainté-QSG , dimanche 15/12 à 21 heures
Merci
Très intéressant
Très intéressant
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Re: Sainté-QSG , dimanche 15/12 à 21 heures
Merci à toi, zigzag, tout ceci est passionnant
Re: Sainté-QSG , dimanche 15/12 à 21 heures
Très, très, très intéressant même.
"Le projet à Saint-Etienne est très difficile. Au-delà du sportif, il y a une grande marge de progression sur les structures du club. Beaucoup de choses doivent être améliorées pour tendre à la performance. En ce qui concerne l’équipe, tout dépendra des liquidités que l’on arrive à générer. Notre surface financière est nulle. Le club allait dans le mur."
Après Gasset, après Galtier, après Oscar, une fois encore c'est le coach qui explique que ce club transpire l'amteurisme.
On a vraiment tiré le gros lot avec Puel. Si Romeyer laisse enfin les commandes, ce club peut ressortir de l'ornière dans laquelle il s'enfonce peu à peu. Sinon, j'ai bien peur que ce soit la fin. Ca va vivoter encore quelques années sur la génération de fans de 76, avant de devenir comme Reims.
"Le projet à Saint-Etienne est très difficile. Au-delà du sportif, il y a une grande marge de progression sur les structures du club. Beaucoup de choses doivent être améliorées pour tendre à la performance. En ce qui concerne l’équipe, tout dépendra des liquidités que l’on arrive à générer. Notre surface financière est nulle. Le club allait dans le mur."
Après Gasset, après Galtier, après Oscar, une fois encore c'est le coach qui explique que ce club transpire l'amteurisme.
On a vraiment tiré le gros lot avec Puel. Si Romeyer laisse enfin les commandes, ce club peut ressortir de l'ornière dans laquelle il s'enfonce peu à peu. Sinon, j'ai bien peur que ce soit la fin. Ca va vivoter encore quelques années sur la génération de fans de 76, avant de devenir comme Reims.
Re: Sainté-QSG , dimanche 15/12 à 21 heures
confirmation que l'ASSE tient un technicien comme il y a longtemps que GG n'en a pas vu (en terme d'expérience, de compétence, de projet..)
"Il faut regarder le Ciel mais la réponse se trouve à Terre" Moi
"Le politique c'est pour les pantins" E-Corp CEO - Mr Robot (S2)
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Re: Sainté-QSG , dimanche 15/12 à 21 heures
Grand merci pour l'interview
Et merci d'avoir fait venir Claude Puel.
On a une avance sur l Ol qui avec sa surface financiere sans commune mesure avec la notre, n'a jamais pris un entraîneur de cette trempe.
Et merci d'avoir fait venir Claude Puel.
On a une avance sur l Ol qui avec sa surface financiere sans commune mesure avec la notre, n'a jamais pris un entraîneur de cette trempe.
Re: Sainté-QSG , dimanche 15/12 à 21 heures
il a coaché lol....
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Re: Sainté-QSG , dimanche 15/12 à 21 heures
Oui au moins pour ça.savoisien wrote: ↑15 Dec 2019, 09:21Il fera sûrement partie des 3 en tribune avec vermot et un autre. Comme il est suspendu, il ne sert à rien à la réserve, donc, peut-être, pour prendre ses marques dans le groupe ?ozzy wrote: ↑15 Dec 2019, 09:05Mais ce Marvin Tshibuabua est suspendu ! Pourquoi donc l'inclure dans le groupe ?Oracle Vert wrote: ↑14 Dec 2019, 21:48Y a encore un nouveau jeune Marvin T... Décidément Puel fait vraiment confiance aux jeunes... En même temps vu l'avalanche de blessés... D'ailleurs il faudrait faire quelque chose sur ce sujet...
Et ça doit quand même sacrément motiver les jeunes de savoir que s'ils sont sérieux ils auront leur chance.
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Re: Sainté-QSG , dimanche 15/12 à 21 heures
Merci zigzag pour le partag. On a dû éditer le potin car le copier-coller intégral n'est pas autorisé.
Mais on a mis de larges extraits dans les potins.
Mais on a mis de larges extraits dans les potins.
http://www.poteaux-carres.com/
Re: Sainté-QSG , dimanche 15/12 à 21 heures
Tellement beau que j'ai relu le potinPoteau gauche wrote: ↑15 Dec 2019, 19:51Merci zigzag pour le partag. On a dû éditer le potin car le copier-coller intégral n'est pas autorisé.
Mais on a mis de larges extraits dans les potins.
Re: Sainté-QSG , dimanche 15/12 à 21 heures
Merci pour le partage, très intéressant ! Je l'ai vu cette après midi mais pas pu accéder !
Pour ceux qui veulent voir le match, canal est gratuit un mois sans engagement, il faut juste entrer mail et numéro de carte.. Et pas oublier de se désabonner en janvier
Pour ceux qui veulent voir le match, canal est gratuit un mois sans engagement, il faut juste entrer mail et numéro de carte.. Et pas oublier de se désabonner en janvier
Re: Sainté-QSG , dimanche 15/12 à 21 heures
8 défensifs comme prévu
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Re: Sainté-QSG , dimanche 15/12 à 21 heures
Ruffier
Silva
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Perrin
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Fofana
Mvila
Aholou
Camara
Bouanga
Nordin
La bétonnière est de mise
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Last edited by Riquet le vert on 15 Dec 2019, 20:09, edited 1 time in total.
vert un jour vert toujours
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Re: Sainté-QSG , dimanche 15/12 à 21 heures
Riquet le vert wrote: ↑15 Dec 2019, 20:09Ruffier
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Re: Sainté-QSG , dimanche 15/12 à 21 heures
À vous de jouer Bouanga et Nordin!!!
Re: Sainté-QSG , dimanche 15/12 à 21 heures
Il y a eu un souci avec Youssouf depuis 2 semaines ?
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Re: Sainté-QSG , dimanche 15/12 à 21 heures
Cote parisien c'est qd meme la grosse équipe....
Croisons les doigts
Croisons les doigts
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Re: Sainté-QSG , dimanche 15/12 à 21 heures
Sur le papier, on est légèrement moins armé qu'eux offensivement. Mais on en croit en l'exploit. Allez les Verts !
http://www.poteaux-carres.com/
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Re: Sainté-QSG , dimanche 15/12 à 21 heures
Les 4 de devant font peur, ça va être plus que compliqué...FunnyGreen wrote: ↑15 Dec 2019, 20:15Cote parisien c'est qd meme la grosse équipe....
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- Location: tahiti of course !!!
Re: Sainté-QSG , dimanche 15/12 à 21 heures
Rien à perdre ce soir , face à une telle équipe, espérons être fiers de nos couleurs surtout en fin de match et aucuns regrets
Ici c'est le lagon !!
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- Location: Père Lachaise....enfin....50 m à l'extérieur
Re: Sainté-QSG , dimanche 15/12 à 21 heures
Bon match à tous........
Le sculpteur Arman sur sa tombe au Père Lachaise : Enfin seul!
Re: Sainté-QSG , dimanche 15/12 à 21 heures
Bouanga et Nordin tout seuls devant, 3 milieux défensifs (avec Aholou au lieu de Youssouf ??), 5 derrière... Ca promet.
Et dès qu'on se sera pris le premier but, surtout si de bonne heure, on fait quoi ?
Après c'est sûr que peut-on aligner de mieux aussi avec les absences de Khazri, Hamouma, Abi...
Et dès qu'on se sera pris le premier but, surtout si de bonne heure, on fait quoi ?
Après c'est sûr que peut-on aligner de mieux aussi avec les absences de Khazri, Hamouma, Abi...