Juste pour rappel, les coopératives (c'est-à-dire les boîtes ou le patron, c'est les salariés) ont une pérennité moyenne supérieure aux entreprises classiques. Marrant comment on en parle peu
Mauvaise foi ? Peut-être. Mais tout autant celle de présenter, après deux siècles de développement de l'économie et de l'Etat selon les codes, les valeurs et les envie de la bourgeoisie, que c'est une règle absolue que les bourgeois dominent l'économie... Heureusement encore, sinon ce serait de sacrés cons !
En 1750, la grande majorité des Français n'imaginait pas vivre sans noblesse ni clergé
La grande majorité des nouvelles coopératives sont issues de la vente (ou de la reprise en cas de défaillance) de l’entreprise crée par une personne à ses salariés. Souvent les anciennes coopératives sont le fruit de regroupement d’indépendants non salariés (artisanales, agricoles,....). Il y a bien un moment où un « chef » prend la décision de.
Une fois bien installées et à un certain niveau de CA elles fonctionnent comme une entreprise lambda : des chefs, des sous chefs,... et des salaires différentiels. Souvent en cas de coup dur, la coopérative prend rapidement des décisions de sauvegarde comme la baisse des salaires, l’augmentation des heures de travail, l’aide d’un service en difficulté par des collèges d’un autre service,... avec des salariés y voyant tout de suite leur intérêt à contrario des salariés d’une entreprise, ce qui semble logique.
Il y a une grosse différence, quoi qu'il arrive (sauf dans le cas de très grosses coopératives qui ont vidé leur statut de leur substance ; mais les dérives et les dévoiements, c'est universel) : la rémunération du capital y est strictement limitée, ce qui empêche de ne prendre des décisions stratégiques qui n'ont pour autre but que de verser des dividendes.
Juste pour rappel, les coopératives (c'est-à-dire les boîtes ou le patron, c'est les salariés) ont une pérennité moyenne supérieure aux entreprises classiques. Marrant comment on en parle peu
Mauvaise foi ? Peut-être. Mais tout autant celle de présenter, après deux siècles de développement de l'économie et de l'Etat selon les codes, les valeurs et les envie de la bourgeoisie, que c'est une règle absolue que les bourgeois dominent l'économie... Heureusement encore, sinon ce serait de sacrés cons !
En 1750, la grande majorité des Français n'imaginait pas vivre sans noblesse ni clergé
Mais le clergé (un autre) et la noblesse (une autre) existe toujours
Parce qu'on le veut bien. Qu'on a laissé faire. Et que les bourgeois ont toujours manqué d'imagination ; ils n'ont jamais cherché qu'à singer les puissants sur lesquels ils bavaient d'envie
Juste pour rappel, les coopératives (c'est-à-dire les boîtes ou le patron, c'est les salariés) ont une pérennité moyenne supérieure aux entreprises classiques. Marrant comment on en parle peu
Mauvaise foi ? Peut-être. Mais tout autant celle de présenter, après deux siècles de développement de l'économie et de l'Etat selon les codes, les valeurs et les envie de la bourgeoisie, que c'est une règle absolue que les bourgeois dominent l'économie... Heureusement encore, sinon ce serait de sacrés cons !
En 1750, la grande majorité des Français n'imaginait pas vivre sans noblesse ni clergé
La grande majorité des nouvelles coopératives sont issues de la vente (ou de la reprise en cas de défaillance) de l’entreprise crée par une personne à ses salariés. Souvent les anciennes coopératives sont le fruit de regroupement d’indépendants non salariés (artisanales, agricoles,....). Il y a bien un moment où un « chef » prend la décision de.
Une fois bien installées et à un certain niveau de CA elles fonctionnent comme une entreprise lambda : des chefs, des sous chefs,... et des salaires différentiels. Souvent en cas de coup dur, la coopérative prend rapidement des décisions de sauvegarde comme la baisse des salaires, l’augmentation des heures de travail, l’aide d’un service en difficulté par des collèges d’un autre service,... avec des salariés y voyant tout de suite leur intérêt à contrario des salariés d’une entreprise, ce qui semble logique.
Il y a une grosse différence, quoi qu'il arrive (sauf dans le cas de très grosses coopératives qui ont vidé leur statut de leur substance ; mais les dérives et les dévoiements, c'est universel) : la rémunération du capital y est strictement limitée, ce qui empêche de ne prendre des décisions stratégiques qui n'ont pour autre but que de verser des dividendes.
Je ne comprends pas. Dans une scop, rémunération du capital et hausses des salaires sont équivalents, non ? Pourquoi donc limiter par principe la rémunération des salariés-propriétaires ?
Juste pour rappel, les coopératives (c'est-à-dire les boîtes ou le patron, c'est les salariés) ont une pérennité moyenne supérieure aux entreprises classiques. Marrant comment on en parle peu
Mauvaise foi ? Peut-être. Mais tout autant celle de présenter, après deux siècles de développement de l'économie et de l'Etat selon les codes, les valeurs et les envie de la bourgeoisie, que c'est une règle absolue que les bourgeois dominent l'économie... Heureusement encore, sinon ce serait de sacrés cons !
En 1750, la grande majorité des Français n'imaginait pas vivre sans noblesse ni clergé
La grande majorité des nouvelles coopératives sont issues de la vente (ou de la reprise en cas de défaillance) de l’entreprise crée par une personne à ses salariés. Souvent les anciennes coopératives sont le fruit de regroupement d’indépendants non salariés (artisanales, agricoles,....). Il y a bien un moment où un « chef » prend la décision de.
Une fois bien installées et à un certain niveau de CA elles fonctionnent comme une entreprise lambda : des chefs, des sous chefs,... et des salaires différentiels. Souvent en cas de coup dur, la coopérative prend rapidement des décisions de sauvegarde comme la baisse des salaires, l’augmentation des heures de travail, l’aide d’un service en difficulté par des collèges d’un autre service,... avec des salariés y voyant tout de suite leur intérêt à contrario des salariés d’une entreprise, ce qui semble logique.
Il y a une grosse différence, quoi qu'il arrive (sauf dans le cas de très grosses coopératives qui ont vidé leur statut de leur substance ; mais les dérives et les dévoiements, c'est universel) : la rémunération du capital y est strictement limitée, ce qui empêche de ne prendre des décisions stratégiques qui n'ont pour autre but que de verser des dividendes.
Je ne comprends pas. Dans une scop, rémunération du capital et hausses des salaires sont équivalents, non ? Pourquoi donc limiter par principe la rémunération des salariés-propriétaires ?
Dans une SCOP, l'affectation du bénéfice est soumis à des contraintes.
Tu doit mettre en réserve au moins 15, abonder un fond de developper, avoir 25% minimum aux salariés et tu ne peux pas distribuer plus de la part donnée aux salariés.
c'est un peu le souci des SCOP d'ailleurs, difficile à capitaliser à terme.
Sinon rien à voir, mais ce tweet du responsable communication des LREM est quand même du velour ... répondant à une personne qui l’interpelle parce qu'il envisage de déménager parce que sa femme, pour la première fois, a peur dans son quartier.
Ce monsieur répond !"J'ai changé de quartier pour les mêmes raisons. Ce témoignage n'est pas politicien ou je ne sais quoi : il est juste. Il traduit une réalité vécue par beaucoup d'habitants à Paris."
La notion de vivre ensemble, c'est pour les autres...
Sinon rien à voir, mais ce tweet du responsable communication des LREM est quand même du velour ... répondant à une personne qui l’interpelle parce qu'il envisage de déménager parce que sa femme, pour la première fois, a peur dans son quartier.
Ce monsieur répond !"J'ai changé de quartier pour les mêmes raisons. Ce témoignage n'est pas politicien ou je ne sais quoi : il est juste. Il traduit une réalité vécue par beaucoup d'habitants à Paris."
La notion de vivre ensemble, c'est pour les autres...
Je comprends pas le truc.
Je sais pas ou il habite, mais si il a peur dans son quartier, le sujet c’est pas le vivre ensemble, mais l’insécurité non ?
Que tu sois politicien ou pas, je vois pas le rapport.
Sinon rien à voir, mais ce tweet du responsable communication des LREM est quand même du velour ... répondant à une personne qui l’interpelle parce qu'il envisage de déménager parce que sa femme, pour la première fois, a peur dans son quartier.
Ce monsieur répond !"J'ai changé de quartier pour les mêmes raisons. Ce témoignage n'est pas politicien ou je ne sais quoi : il est juste. Il traduit une réalité vécue par beaucoup d'habitants à Paris."
La notion de vivre ensemble, c'est pour les autres...
Je comprends pas le truc.
Je sais pas ou il habite, mais si il a peur dans son quartier, le sujet c’est pas le vivre ensemble, mais l’insécurité non ?
Que tu sois politicien ou pas, je vois pas le rapport.
Le mec en question parlait de la chapelle, goute d'or
Juste pour rappel, les coopératives (c'est-à-dire les boîtes ou le patron, c'est les salariés) ont une pérennité moyenne supérieure aux entreprises classiques. Marrant comment on en parle peu
Mauvaise foi ? Peut-être. Mais tout autant celle de présenter, après deux siècles de développement de l'économie et de l'Etat selon les codes, les valeurs et les envie de la bourgeoisie, que c'est une règle absolue que les bourgeois dominent l'économie... Heureusement encore, sinon ce serait de sacrés cons !
En 1750, la grande majorité des Français n'imaginait pas vivre sans noblesse ni clergé
La grande majorité des nouvelles coopératives sont issues de la vente (ou de la reprise en cas de défaillance) de l’entreprise crée par une personne à ses salariés. Souvent les anciennes coopératives sont le fruit de regroupement d’indépendants non salariés (artisanales, agricoles,....). Il y a bien un moment où un « chef » prend la décision de.
Une fois bien installées et à un certain niveau de CA elles fonctionnent comme une entreprise lambda : des chefs, des sous chefs,... et des salaires différentiels. Souvent en cas de coup dur, la coopérative prend rapidement des décisions de sauvegarde comme la baisse des salaires, l’augmentation des heures de travail, l’aide d’un service en difficulté par des collèges d’un autre service,... avec des salariés y voyant tout de suite leur intérêt à contrario des salariés d’une entreprise, ce qui semble logique.
Il y a une grosse différence, quoi qu'il arrive (sauf dans le cas de très grosses coopératives qui ont vidé leur statut de leur substance ; mais les dérives et les dévoiements, c'est universel) : la rémunération du capital y est strictement limitée, ce qui empêche de ne prendre des décisions stratégiques qui n'ont pour autre but que de verser des dividendes.
Je ne comprends pas. Dans une scop, rémunération du capital et hausses des salaires sont équivalents, non ? Pourquoi donc limiter par principe la rémunération des salariés-propriétaires ?
Dans une SCOP, l'affectation du bénéfice est soumis à des contraintes.
Tu doit mettre en réserve au moins 15, abonder un fond de developper, avoir 25% minimum aux salariés et tu ne peux pas distribuer plus de la part donnée aux salariés.
c'est un peu le souci des SCOP d'ailleurs, difficile à capitaliser à terme.
Juste pour rappel, les coopératives (c'est-à-dire les boîtes ou le patron, c'est les salariés) ont une pérennité moyenne supérieure aux entreprises classiques. Marrant comment on en parle peu
Mauvaise foi ? Peut-être. Mais tout autant celle de présenter, après deux siècles de développement de l'économie et de l'Etat selon les codes, les valeurs et les envie de la bourgeoisie, que c'est une règle absolue que les bourgeois dominent l'économie... Heureusement encore, sinon ce serait de sacrés cons !
En 1750, la grande majorité des Français n'imaginait pas vivre sans noblesse ni clergé
La grande majorité des nouvelles coopératives sont issues de la vente (ou de la reprise en cas de défaillance) de l’entreprise crée par une personne à ses salariés. Souvent les anciennes coopératives sont le fruit de regroupement d’indépendants non salariés (artisanales, agricoles,....). Il y a bien un moment où un « chef » prend la décision de.
Une fois bien installées et à un certain niveau de CA elles fonctionnent comme une entreprise lambda : des chefs, des sous chefs,... et des salaires différentiels. Souvent en cas de coup dur, la coopérative prend rapidement des décisions de sauvegarde comme la baisse des salaires, l’augmentation des heures de travail, l’aide d’un service en difficulté par des collèges d’un autre service,... avec des salariés y voyant tout de suite leur intérêt à contrario des salariés d’une entreprise, ce qui semble logique.
Il y a une grosse différence, quoi qu'il arrive (sauf dans le cas de très grosses coopératives qui ont vidé leur statut de leur substance ; mais les dérives et les dévoiements, c'est universel) : la rémunération du capital y est strictement limitée, ce qui empêche de ne prendre des décisions stratégiques qui n'ont pour autre but que de verser des dividendes.
De toute façon, coopérative ou pas, je n'ai jamais vu autant de boite se vendre à ses salariés que depuis quelques années. Il a vraiment un changement de ce point de vue. Ce qui je trouve est une bonne chose mais qui est également une ubérisation d'un collectif non ?
Vrai question : est-ce un changement sociétal ou y aurait-il une incitation financière (une niche fiscale) ?
Juste pour rappel, les coopératives (c'est-à-dire les boîtes ou le patron, c'est les salariés) ont une pérennité moyenne supérieure aux entreprises classiques. Marrant comment on en parle peu
Mauvaise foi ? Peut-être. Mais tout autant celle de présenter, après deux siècles de développement de l'économie et de l'Etat selon les codes, les valeurs et les envie de la bourgeoisie, que c'est une règle absolue que les bourgeois dominent l'économie... Heureusement encore, sinon ce serait de sacrés cons !
En 1750, la grande majorité des Français n'imaginait pas vivre sans noblesse ni clergé
La grande majorité des nouvelles coopératives sont issues de la vente (ou de la reprise en cas de défaillance) de l’entreprise crée par une personne à ses salariés. Souvent les anciennes coopératives sont le fruit de regroupement d’indépendants non salariés (artisanales, agricoles,....). Il y a bien un moment où un « chef » prend la décision de.
Une fois bien installées et à un certain niveau de CA elles fonctionnent comme une entreprise lambda : des chefs, des sous chefs,... et des salaires différentiels. Souvent en cas de coup dur, la coopérative prend rapidement des décisions de sauvegarde comme la baisse des salaires, l’augmentation des heures de travail, l’aide d’un service en difficulté par des collèges d’un autre service,... avec des salariés y voyant tout de suite leur intérêt à contrario des salariés d’une entreprise, ce qui semble logique.
Il y a une grosse différence, quoi qu'il arrive (sauf dans le cas de très grosses coopératives qui ont vidé leur statut de leur substance ; mais les dérives et les dévoiements, c'est universel) : la rémunération du capital y est strictement limitée, ce qui empêche de ne prendre des décisions stratégiques qui n'ont pour autre but que de verser des dividendes.
Je ne comprends pas. Dans une scop, rémunération du capital et hausses des salaires sont équivalents, non ? Pourquoi donc limiter par principe la rémunération des salariés-propriétaires ?
Dans une SCOP, l'affectation du bénéfice est soumis à des contraintes.
Tu doit mettre en réserve au moins 15, abonder un fond de developper, avoir 25% minimum aux salariés et tu ne peux pas distribuer plus de la part donnée aux salariés.
c'est un peu le souci des SCOP d'ailleurs, difficile à capitaliser à terme.
Il y a des salariés non associés dans une scop ?
Oui c'est possible. En général c'est une période de transition, certaines SCOP imposent dans leur status de rejoindre le collège des associés au bout d'un an. Mais pas obligé. Les simples salariés bénéficient des avantage d'avoir un bonne part des bénéfices partagés, mais n'ont bien sur pas le droit de décision.
C'est surtout que le capital n'est pas forcément possédé par les salariés. Il faut au minimum 51%, mais 49% peuvent venir d'autres actionnaires, et la part allant obligatoirement en salaire est à leur désavantage volontairement.
Sinon rien à voir, mais ce tweet du responsable communication des LREM est quand même du velour ... répondant à une personne qui l’interpelle parce qu'il envisage de déménager parce que sa femme, pour la première fois, a peur dans son quartier.
Ce monsieur répond !"J'ai changé de quartier pour les mêmes raisons. Ce témoignage n'est pas politicien ou je ne sais quoi : il est juste. Il traduit une réalité vécue par beaucoup d'habitants à Paris."
La notion de vivre ensemble, c'est pour les autres...
Je comprends pas le truc.
Je sais pas ou il habite, mais si il a peur dans son quartier, le sujet c’est pas le vivre ensemble, mais l’insécurité non ?
Que tu sois politicien ou pas, je vois pas le rapport.
Le mec en question parlait de la chapelle, goute d'or
Ça confirme un peu le truc justement non ?
Pour moi, le sujet n’est pas le vivre ensemble mais l’insécurité...
Les politiciens, quel que soit le bord, sont également des citoyens.
Et pour passer dans le quartier une fois par semaine vers 23 h, je peux te confirmer que j’arrive à comprendre que cela puisse etre un chouïa anxiogène, notamment pour la gent féminine...
Sinon rien à voir, mais ce tweet du responsable communication des LREM est quand même du velour ... répondant à une personne qui l’interpelle parce qu'il envisage de déménager parce que sa femme, pour la première fois, a peur dans son quartier.
Ce monsieur répond !"J'ai changé de quartier pour les mêmes raisons. Ce témoignage n'est pas politicien ou je ne sais quoi : il est juste. Il traduit une réalité vécue par beaucoup d'habitants à Paris."
La notion de vivre ensemble, c'est pour les autres...
Je comprends pas le truc.
Je sais pas ou il habite, mais si il a peur dans son quartier, le sujet c’est pas le vivre ensemble, mais l’insécurité non ?
Que tu sois politicien ou pas, je vois pas le rapport.
Le mec en question parlait de la chapelle, goute d'or
Ça confirme un peu le truc justement non ?
Pour moi, le sujet n’est pas le vivre ensemble mais l’insécurité...
Les politiciens, quel que soit le bord, sont également des citoyens.
Et pour passer dans le quartier une fois par semaine vers 23 h, je peux te confirmer que j’arrive à comprendre que cela puisse etre un chouïa anxiogène, notamment pour la gent féminine...
Quand les gens sont obligés de se barrer de leur quartier, c’est bien que les populations ne vivent plus ensemble, mais côte à côte jusqu’à ce que ça devienne insupportable…et qu’ils se cassent. Le vivre ensemble est l’idée de masse hétérogène… or, ce n’est plus le cas. L’insécurité est liée à quoi ? Au laxisme de nos politiques lâches et sans scrupule qui ont entassé des gens dans des zones de Paris. Et dans ces quartiers, la police ne passe plus ou presque, le trafic se fait tranquillement sous les yeux des gens (cf. Le thread du mec qui explique que sa femme, enceinte, et lui se coltinent des toxicos du matin au soir, se font emmerdés, ont peur de traverser un parc…), les flics n’interviennent plus car la drogue fait vivre des dizaines de familles… C’est le même cas à Marseille et ailleurs. Ça fait combien d’années qu’on excuse tout ça au nom de la pauvreté, du chômage, des quartiers défavorisés... Cette politique de l'excuse permanente est insupportable, car elle assimile et cantonne le pauvre à devenir un voyou, à ne rien respecter et à vivre de la drogue. C'est quand même hallucinant de bêtise et d'un amalgame incroyable quand on y pense...
Ceux qui ont pu se barrer de ces quartiers, les plus aisés, ils sont partis, les moins aisés sont malheureusement restés car pas le choix et sont obligés de subir ça. Et quand ils ont le malheur de se plaindre de ce quotidien insupportable, les mêmes qui sont partis les regardent d’un air méprisant et suspicieux… « Quoi ? Vous avez un problème avec les quartiers populaires ? Il y a trop de diversités ? Vous ne seriez pas Raciste ? ».
Offguardian.org
Un site (et son compte Twitter) dédié à la Fakenews et sponsorisé par de l’argent russe.
On m'a montré le lien car le tweet original (donc pas de ce compte) a été supprimé déjà, ça m'a fait rire alors je partage. Je connaissais pas ce site avant et n'en ai rien à foutre puisque ce que je relaie n'est pas de l'info à proprement parler.
Offguardian.org
Un site (et son compte Twitter) dédié à la Fakenews et sponsorisé par de l’argent russe.
On m'a montré le lien car le tweet original (donc pas de ce compte) a été supprimé déjà, ça m'a fait rire alors je partage. Je connaissais pas ce site avant et n'en ai rien à foutre puisque ce que je relaie n'est pas de l'info à proprement parler.
Non mais c'était juste pour rouge, qu'il ne croit pas que ça soit le compte du Guardian. Ceci dit, il aurait pu s'agir d'un compte parodique
Sinon rien à voir, mais ce tweet du responsable communication des LREM est quand même du velour ... répondant à une personne qui l’interpelle parce qu'il envisage de déménager parce que sa femme, pour la première fois, a peur dans son quartier.
Ce monsieur répond !"J'ai changé de quartier pour les mêmes raisons. Ce témoignage n'est pas politicien ou je ne sais quoi : il est juste. Il traduit une réalité vécue par beaucoup d'habitants à Paris."
La notion de vivre ensemble, c'est pour les autres...
Je comprends pas le truc.
Je sais pas ou il habite, mais si il a peur dans son quartier, le sujet c’est pas le vivre ensemble, mais l’insécurité non ?
Que tu sois politicien ou pas, je vois pas le rapport.
Le mec en question parlait de la chapelle, goute d'or
Ça confirme un peu le truc justement non ?
Pour moi, le sujet n’est pas le vivre ensemble mais l’insécurité...
Les politiciens, quel que soit le bord, sont également des citoyens.
Et pour passer dans le quartier une fois par semaine vers 23 h, je peux te confirmer que j’arrive à comprendre que cela puisse etre un chouïa anxiogène, notamment pour la gent féminine...
Quand les gens sont obligés de se barrer de leur quartier, c’est bien que les populations ne vivent plus ensemble, mais côte à côte jusqu’à ce que ça devienne insupportable…et qu’ils se cassent. Le vivre ensemble est l’idée de masse hétérogène… or, ce n’est plus le cas. L’insécurité est liée à quoi ? Au laxisme de nos politiques lâches et sans scrupule qui ont entassé des gens dans des zones de Paris. Et dans ces quartiers, la police ne passe plus ou presque, le trafic se fait tranquillement sous les yeux des gens (cf. Le thread du mec qui explique que sa femme, enceinte, et lui se coltinent des toxicos du matin au soir, se font emmerdés, ont peur de traverser un parc…), les flics n’interviennent plus car la drogue fait vivre des dizaines de familles… C’est le même cas à Marseille et ailleurs. Ça fait combien d’années qu’on excuse tout ça au nom de la pauvreté, du chômage, des quartiers défavorisés... Cette politique de l'excuse permanente est insupportable, car elle assimile et cantonne le pauvre à devenir un voyou, à ne rien respecter et à vivre de la drogue. C'est quand même hallucinant de bêtise et d'un amalgame incroyable quand on y pense...
Ceux qui ont pu se barrer de ces quartiers, les plus aisés, ils sont partis, les moins aisés sont malheureusement restés car pas le choix et sont obligés de subir ça. Et quand ils ont le malheur de se plaindre de ce quotidien insupportable, les mêmes qui sont partis les regardent d’un air méprisant et suspicieux… « Quoi ? Vous avez un problème avec les quartiers populaires ? Il y a trop de diversités ? Vous ne seriez pas Raciste ? ».
Bah oui je partage plutôt ton analyse mais alors que vient faire le tweet de ce brave garçon la dedans ?
Si le type vit dans un sentiment d insécurité tel qu il se barrer et qui explique exactement ca dans son tweet....
Je comprends sincèrement pas ce que cette prise de position à d extraordinaire
Plutôt juste dans l’ensemble.. enfin il me semble. Très à droite quand même sur certains points, c’est dommage, ça pourrit des vérités et monte en épingle d’autres.
Plutôt juste dans l’ensemble.. enfin il me semble. Très à droite quand même sur certains points, c’est dommage, ça pourrit des vérités et monte en épingle d’autres.
je confirme que l'achat d'Alstom Power par GE est une honte et un scandale absolue. Les mecs ont acheté ALSTOM, qu'ils ont fait disparaitre, sans créer d'emploi...
je confirme que l'achat d'Alstom Power par GE est une honte et un scandale absolue. Les mecs ont acheté ALSTOM, qu'ils ont fait disparaitre, sans créer d'emploi...
Si 25
Il faut allier le pessimisme de l'intelligence à l'optimisme de la volonté :(Gramsci)
Je ne comprends même pas que nos chers dirigeants tombent encore dans ce genre de panneaux. C'est comme la TVA à 5,5 dans la restauration Soit ils sont cons, soit ils nous prennent vraiment pour des cons. Comme lui :