Moderators: Barre transversale, Poteau gauche, Poteau droit, Ligne de but
Vert|treV wrote:
Sur le cd 2 de la version deluxe, y'a quelques petites pépites à se rouler par terre de bonheur.
En voici mes 2 préférées, une superbe création originale inédite et une reprise dantesque de Dylan.
https://www.youtube.com/watch?v=ZBUsj47gAWI
https://www.youtube.com/watch?v=X6CoQ_83r5o
allez, comme je suis de bonne humeur je rajoute en bonus un petit instrumental somptueux
https://www.youtube.com/watch?v=_XR9sTFBSpY
fisherman ' s bluesJ'ai leur album suivant Dumb Poet de 1987 en vinyle qui doit dormir dans ma cave car je n'ai plus de tourne disque.LE MARQUIS wrote:uk 1985
pochette de merdemais beau morceau
https://www.youtube.com/watch?v=4kX_RykBknY
Faut pas être si négatif !Kishizo wrote:J'ai leur album suivant Dumb Poet de 1987 en vinyle qui doit dormir dans ma cave car je n'ai plus de tourne disque.LE MARQUIS wrote:uk 1985
pochette de merde
https://www.youtube.com/watch?v=4kX_RykBknY
Mon parrain avait un copain disquaire et pour chacun de mes anniversaires mon cadeau était deux trois disques pop rock et il était d'une fournée.
Je regrette ce temps car si aujourd'hui j'avais un jeune amateur de musique dans mon entourage, ce serait un plaisir de reproduire ce partage.
Seulement déjà le disquaire je vais avoir du mal à le trouver, inutile d'évoquer une Fnac, mon dernier passage à celle de Lyon m'a catastrophé de même que les connaissances des vendeurs. Je suis bien en peine de repartir avec un disque de chez eux. Seule exception les rééditions vinyle de grands classiques qui font plaisir à voir mais pour ce qui est de l'actualité et des cds, on voit que le marché est quasi abandonné à l'exception des sorties très commerciales. Un amateur ne trouvera rien de bien intéressant et passera commande par internet.
Ensuite le petit jeune pouvait obtenir en trois clics l'album de chez lui et prendra le cadeau pour du foutage de gueule.
Internet et la dématérialisation de la musique ont tout changé, en bien sans doute avec une utilisation raisonnée, mais pour avoir celle-ci il est sans doute plus facile d'avoir connu l'ancienne ère et de s'être forgé à la dure. Aujourd'hui c'est la musique qu'on aime à la première écoute, la grande partouze des playlists, quand j'étais puceau un disque de compilation était pour moi à cacher honteusement dans l'armoire
Bien d'accord, tout le monde peut s'en rendre compte avec les radios.mononoké wrote:Je te rejoins par contre sur les effets d'internet: le web a tué le hasard, flingué l'implication, pour laisser place à la seule satisfaction immédiate. Ce qui est marrant, c'est que la musique n'a jamais été aussi "gratuite" (en fichiers sur-compressés à fond dans des mediums gueulards, par contre, ok !) et pourtant le "public" n'a jamais été autant uniquement consommateur...
Non tu fais bien, je ne suis pas allé lire le topic mercato, Bob part ?Assebitbol wrote:Oups! Désolé du hs
Pour les platines (et amplis, enceintes, etc...), tu as Méli Mélodie rue notre-dame à sainté qui en vend. C'est un magasin de disque d'occaze mais il stocke pas mal de matos de seconde-main entièrement réviséKishizo wrote:Rhooo plus intégriste que moi dans mes bras Monokoké
J'ai coupé net avec l'arrivée des cds, mon premier devait être le Pogues, If I Should Fall from Grace with God, et je ne suis jamais revenu sur les vinyls. Dans les derniers 33 tours, les Smiths, Strangeways here we come, reçu de manière très partagée à l'époque, mais très bon avec le recul à mon sens. Je me souviens encore du titre intro qui comme la fin d'un monde incluait volontairement en pied de nez les bruits caractéristiques du vinyl. ce n'est pas reproduit sur la version cd et il me manque quelque chose dans l'ambiance :
https://www.youtube.com/watch?v=SJPrDNPC4ZY
Mais en tout cas, rien que pour retrouver ces petits craquements introductifs, je me demande si je ne vais pas me racheter une platine. Une petite Rega ou une Thorens ferait l'affaire. Le cd a quand même l'avantage d'être moins fragile. Je n'ai pas de problèmes de lecture sur les plus vieux par contre quelques uns sur des cds récents. La qualité de production me semble baisser avec la baisse d'intérêt pour le support. De nombreux groupes indépendants soignent de plus en plus leurs vinyls et font des éditions limités. Quitte à acheter un support physique, ces disques ont sans doute plus de valeur en tant qu'objet que les malheureux cds. J'avoue ne pas ouvrir le ridicule petit livret des cds et profiter de l'artwork est difficile, c'est trop petit. A l'inverse la pochette rouge d'un vinyl Cure Kiss me Kiss me ou d'un Prince Sign Of the Times, tous deux s'ouvrant avec une certaine beauté, cela a de la gueule. A l'inverse j'ai perdu l'habitude de changer de face le disque. Cela peut prêter à sourire mais cette coupure dans l'oeuvre est gênante, je me suis habitué à écouter un album d'un seul tenant, c'est encore plus gênant dans une symphonie de musique classique.
Je te rejoins sur les disquaires car en y réfléchissant pour celui habitant la campagne, c'était bien plus difficile qu'aujourd'hui. je note tes adresses, l'espace culturel d'Andrézieux me paraît assez nul mais je vais essayer celui de Firminy. Ma femme m'avait dit grand bien de Forum pour les livres, je ne savais pas qu'ils avaient un rayon disque. Dangerhouse je ne connaissais pas et je vais y passer cette semaine ou la prochaine au plus tard
100% d'accordKishizo wrote:Bien d'accord, tout le monde peut s'en rendre compte avec les radios.mononoké wrote:Je te rejoins par contre sur les effets d'internet: le web a tué le hasard, flingué l'implication, pour laisser place à la seule satisfaction immédiate. Ce qui est marrant, c'est que la musique n'a jamais été aussi "gratuite" (en fichiers sur-compressés à fond dans des mediums gueulards, par contre, ok !) et pourtant le "public" n'a jamais été autant uniquement consommateur...
Nrj ou Skyrock ou des radios de ce type ont une batterie de compresseur, un son faible est fort, un son fort est fort, proche du même volume réduction drastique de la dynamique, avantage il n'y a jamais de silence lorsque tu zappes à n'importe quel moment passant par chez eux, tu vas en prendre plein les oreilles et être tenté de t'arrêter sur leur fréquence. L'inconvénient est qu'il n'y a jamais de moment de repos, très vite fatiguant et puis le plaisir de la musique n'est pas là mais se mérite avec ses écarts de dynamique. La loudness war est un peu comme un pays tout plat, on ne s'emmerde jamais et ça roule tout seul, mais il n'y a pas le plaisir des côtes et des descentes.
La musique est comme une femme, il faut des courbes vertigineuses pour être ensorcelé
east end +cockney rejects= West ham and Upton park of coursemononoké wrote:East-end, London, 1980 "here comes the new punk !"
https://www.youtube.com/watch?v=Dr_FslveeDk
2 très bons documentaires d'Tancrède Ramonet (d'ailleurs, il colle son portrait dans le générique au milieu des autres photos d'anarchistes. Il existe un 3ème volet qui n'a jamais été diffusé à la télé.LE MARQUIS wrote:Aprés avoir revu sur Arte le documentaire " ni dieu , ni maître: une histoire de l' anarchisme "
morceau écrit par Etienne roda Gil
https://www.youtube.com/watch?v=c_47GxDSF5c
