Je reste toujours subjugué par cette facilité que nous avons -et n'y voyez ni ironie, ni fausse (ou vraie) condescendance de ma part-, nous les sans-dents, les moins que rien, les obscurs et modestes supporters que nous sommes d'un club tout simplement mythique... Bref. Je disais donc que je reste toujours subjugué et, en même temps, interloqué, par cette dérisoire facilité que nous avons, collectivement, à poser les bons mots sur les maux de nos Verts, sur les turpitudes de nos voisins, de nous-mêmes, du foot en général et des Verts en particulier.
Si nous y arrivons, pourquoi nos dirigeants, notre directeur sportif, voire même notre entraîneur, n'y arriverait pas ? Je ne peux pas croire qu'un cerveau en état de marche, capable de communiquer des choses simples, ça ne se trouve pas en magasin dans le Forez.
Merci Dissident pour cette prose qui prouve que nous, simples supporters, ne sommes pas encore complètement cramés ni lobotomisés par la vision du système que l'on voudrait nous imposer.