[Basket] Reprise saison NBA
Moderators: Barre transversale, Poteau gauche, Poteau droit, Ligne de but
tiens nous au courantKaramba wrote:Tout se passe au mieux pour les Bleus ! Ils mènent 47-41 à la mi-temps. 10 points et 6 rebonds pour Vaty, 7 points et 5 rebonds pour Ajinca. Les français shootent à plus de 50% de réussite et semblent dominer les lituaniens dans le jeu intérieur (26 rebonds à 18).
Allez !
Pour suivre le match en live c'est par ici :
http://www.fibaeurope-u18men.com/en/
Ensuite vous cliquez sur le lien "live" sur la droite de l'ecran
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Pas plus d'effusion de joie que ça ? :sad:
Champions d'Europe !
Six ans après la bande à Parker, l'Equipe de France juniors est de nouveau sur le toit de l'Europe. Les jeunes tricolores ont livré un match remarquable pour battre la Lituanie, invaincue dans le tournoi (77-72).
1992 : Laurent Sciarra emmène les juniors français au titre suprême avec sur le banc Jean-Pierre De Vincenzi.
2000 : une génération au talent exceptionnel dont cinq joueurs évoluent aujourd'hui en NBA (Parker, Diaw, M.Pietrus, Turiaf, Diawara) et drivée par Pierre Vincent, domine la Croatie chez elle pour un deuxième sacre en juniors.
2006 : une génération déjà championne d'Europe cadets à Amaliada revient sur les lieux de son exploit pour accrocher une nouvelle médaille d'or à son palmarès.
Peut-être crispés par l'enjeu, les Français ont du mal à se mettre en action en début de rencontre. Peu attentifs, particulièrement au rebond, ils laissent Pranas Skurdauskas et ses 2,09 m se promener dans la raquette pour signer les six premiers points de son équipe. Fort heureusement, le pivot lituanien prend rapidement des fautes et doit rejoindre le banc. A la surprise générale, c'est le spécialiste défensif de Richard Billant, Jessie Begarin, qui fait office de pompier de service pour alimenter la marque et limiter les dégâts (9-13, 7e). La finale est lancée pour les juniors qui montrent enfin leur vrai visage. Nicolas Batum déploie ses gigantesques segments pour asséner deux contres qui lancent le jeu rapide. Alexis Ajinca gobe quant à lui tous les ballons qui passent à sa portée au rebond offensif et d'une claquette dunkée initie un 9-0 qui renverse la vapeur. Désormais, la France a les commandes et trouve en Abdoulaye M'Baye un scoreur venu du banc (20-17, 10e).
On sent les juniors en confiance et les intérieurs tricolores font un travail titanesque sous les panneaux, imposant leurs qualités athlétiques à l'image d'un Ludovic Vaty très présent et qui contribue pleinement à porter l'écart à +10 (37-27, 16e). Pour juguler le fabuleux jeu offfensif des Baltes, Richard Billant et son staff connaissaient l'importance de tenir en laisse le meneur gaucher Zygimantas Janavicius, grande révélation du tournoi et meilleur passeur de la compétition. Antoine Diot et Olivier Romain ont beau tenter de l'orienter sur sa "main faible", le feu-follet lituanien se joue de ses défenseurs et alimente remarquablement ses intérieurs en multipliant les pénétrations. C'est encore lui qui fait mouche à trois-points à deux secondes de la mi-temps pour rapprocher les siens à -4 (45-41).
Au retour des vestiaires, le terrain appartient à Adrien Moerman. Discret jusqu'à présent, le Roannais enclenche le turbo. Il enchaîne les sprints plein champ et Antoine Diot se fait un plaisir de lui délivrer les passes décisives. Moerman inscrit cinq paniers consécutifs pour faire le trou. Nicolas Batum endosse ensuite son costume de MVP. Le Manceau est un régal pour les yeux mais ne sacrifie jamais l'efficacité au profit de l'esthétisme. En défense, il terrorise ses adversaires directs et en attaque, il semble pouvoir déposer son défenseur comme bon lui semble. Sur une de ses inspirations, les juniors mènent 64-49 (27e). Mais les Lituaniens sont des battants et leur arme préférée, le tir extérieur, leur permet d'inscrire rapidement des points alors que la France bute sur une défense de zone. A dix minutes de la fin rien n'est joué (66-59).
Et alors que la rencontre avait été particulièrement enlevée et plaisante, le money-time est synonyme de crispation extrême. Les juniors ont toutes les peines du monde à augmenter leur capital point mais, une fois de plus, leur défense leur permet de ne pas s'effondrer. Les deux formations inscrivent 12 points en sept minutes et lorsque le redoutable Gecevicius, notre bourreau du match de poule, sort de sa boîte, un frisson parcourt l'échine des supporteurs français (72-68, 38e). Mais comme il l'a fait bien souvent dans les matches décisifs, Antoine Diot assume ses responsabilités et inscrit un panier primé capital à moins de deux minutes de la fin. Puis Vaty s'arrache au rebond offensif. 77-70, les Lituaniens tentent pressing mais rien n'y fait, la France est Championne d'Europe juniors 2006 !
Par Julien Guérineau, service de presse FFBB, sur place à Amaliada (Grèce)
http://www.basketfrance.fr
Nicolas Batum, MVP
"Etre MVP, c'est super mais sincérement, il ne s'agit pas que de moi, c'est toute l'équipe qui a travaillé dur pour arriver là où nous sommes. Je n'ai rien montré dans ma carrière jusqu'à présent, il y a plein de choses que je veux faire à partir de maintenant."
Le meilleur 5 :
Zygimantas Janavicius (Lithuania)
Martynas Gecevicius (Lithuania)
Nicolas Batum (France)
Miroslav Raduljica (Serbia & Montenegro)
Victor Claver (Spain)
Les photos !
Antoine Diot
Ludovic Vaty
Nicolas Batum
Jessie Bégarin
Champions d'Europe !
Six ans après la bande à Parker, l'Equipe de France juniors est de nouveau sur le toit de l'Europe. Les jeunes tricolores ont livré un match remarquable pour battre la Lituanie, invaincue dans le tournoi (77-72).
1992 : Laurent Sciarra emmène les juniors français au titre suprême avec sur le banc Jean-Pierre De Vincenzi.
2000 : une génération au talent exceptionnel dont cinq joueurs évoluent aujourd'hui en NBA (Parker, Diaw, M.Pietrus, Turiaf, Diawara) et drivée par Pierre Vincent, domine la Croatie chez elle pour un deuxième sacre en juniors.
2006 : une génération déjà championne d'Europe cadets à Amaliada revient sur les lieux de son exploit pour accrocher une nouvelle médaille d'or à son palmarès.
Peut-être crispés par l'enjeu, les Français ont du mal à se mettre en action en début de rencontre. Peu attentifs, particulièrement au rebond, ils laissent Pranas Skurdauskas et ses 2,09 m se promener dans la raquette pour signer les six premiers points de son équipe. Fort heureusement, le pivot lituanien prend rapidement des fautes et doit rejoindre le banc. A la surprise générale, c'est le spécialiste défensif de Richard Billant, Jessie Begarin, qui fait office de pompier de service pour alimenter la marque et limiter les dégâts (9-13, 7e). La finale est lancée pour les juniors qui montrent enfin leur vrai visage. Nicolas Batum déploie ses gigantesques segments pour asséner deux contres qui lancent le jeu rapide. Alexis Ajinca gobe quant à lui tous les ballons qui passent à sa portée au rebond offensif et d'une claquette dunkée initie un 9-0 qui renverse la vapeur. Désormais, la France a les commandes et trouve en Abdoulaye M'Baye un scoreur venu du banc (20-17, 10e).
On sent les juniors en confiance et les intérieurs tricolores font un travail titanesque sous les panneaux, imposant leurs qualités athlétiques à l'image d'un Ludovic Vaty très présent et qui contribue pleinement à porter l'écart à +10 (37-27, 16e). Pour juguler le fabuleux jeu offfensif des Baltes, Richard Billant et son staff connaissaient l'importance de tenir en laisse le meneur gaucher Zygimantas Janavicius, grande révélation du tournoi et meilleur passeur de la compétition. Antoine Diot et Olivier Romain ont beau tenter de l'orienter sur sa "main faible", le feu-follet lituanien se joue de ses défenseurs et alimente remarquablement ses intérieurs en multipliant les pénétrations. C'est encore lui qui fait mouche à trois-points à deux secondes de la mi-temps pour rapprocher les siens à -4 (45-41).
Au retour des vestiaires, le terrain appartient à Adrien Moerman. Discret jusqu'à présent, le Roannais enclenche le turbo. Il enchaîne les sprints plein champ et Antoine Diot se fait un plaisir de lui délivrer les passes décisives. Moerman inscrit cinq paniers consécutifs pour faire le trou. Nicolas Batum endosse ensuite son costume de MVP. Le Manceau est un régal pour les yeux mais ne sacrifie jamais l'efficacité au profit de l'esthétisme. En défense, il terrorise ses adversaires directs et en attaque, il semble pouvoir déposer son défenseur comme bon lui semble. Sur une de ses inspirations, les juniors mènent 64-49 (27e). Mais les Lituaniens sont des battants et leur arme préférée, le tir extérieur, leur permet d'inscrire rapidement des points alors que la France bute sur une défense de zone. A dix minutes de la fin rien n'est joué (66-59).
Et alors que la rencontre avait été particulièrement enlevée et plaisante, le money-time est synonyme de crispation extrême. Les juniors ont toutes les peines du monde à augmenter leur capital point mais, une fois de plus, leur défense leur permet de ne pas s'effondrer. Les deux formations inscrivent 12 points en sept minutes et lorsque le redoutable Gecevicius, notre bourreau du match de poule, sort de sa boîte, un frisson parcourt l'échine des supporteurs français (72-68, 38e). Mais comme il l'a fait bien souvent dans les matches décisifs, Antoine Diot assume ses responsabilités et inscrit un panier primé capital à moins de deux minutes de la fin. Puis Vaty s'arrache au rebond offensif. 77-70, les Lituaniens tentent pressing mais rien n'y fait, la France est Championne d'Europe juniors 2006 !
Par Julien Guérineau, service de presse FFBB, sur place à Amaliada (Grèce)
http://www.basketfrance.fr
Nicolas Batum, MVP
"Etre MVP, c'est super mais sincérement, il ne s'agit pas que de moi, c'est toute l'équipe qui a travaillé dur pour arriver là où nous sommes. Je n'ai rien montré dans ma carrière jusqu'à présent, il y a plein de choses que je veux faire à partir de maintenant."
Le meilleur 5 :
Zygimantas Janavicius (Lithuania)
Martynas Gecevicius (Lithuania)
Nicolas Batum (France)
Miroslav Raduljica (Serbia & Montenegro)
Victor Claver (Spain)
Les photos !
Antoine Diot
Ludovic Vaty
Nicolas Batum
Jessie Bégarin
La suite tant attendue...
Panama
Meneurs :
Eduardo Cota (FC Barcelone, ESP)
Michael Hicks (Canguros de Parque Lefevre)
Abdiel Mendieta (Los Toros del Chorrillo)
Jair Peralta (Panteras de Miranda, VEN)
Arrières-Ailiers :
Ruben Douglas (Dynamo Moscou, RUS)
Maximiliano Gomez (Los Toros del Chorrillo)
Enrique Huie (Galacticos de Juan Diaz)
Dionisio Gomez (Central Entrerriano de Gualeguaychu, ARG)
Daniel King (Canguros de Parque Lefevre)
Danilo Pinnock (George Washington, NCAA)
Intérieurs :
Eric Cardenas (Defensor Sporting Club, URU)
Ruben Garces (Pamesa Valencia, ESP)
Antonio Garcia (Los Toros del Chorrillo)
Jamaal Levy (Atletico Bigua, URU)
Jaime Lloreda (Al Ittihad Jeddah, KSA)
Groupe C
Australie
Meneurs :
David Barlow (IUPUI, NCAA)
CJ Bruton (Brisbane Bullets)
Luke Kendall (Sydney Kings)
Steve Markovic (Etoile Rouge Belgrade, SEM)
Arrières-Ailiers :
Aaron Bruce (Baylor, NCAA)
Daniel Kickert (Saint Mary's College, NCAA)
Sam Mackinnon (Brisbane Bullets)
Brad Newley (Townsville Crocodiles)
Jason Smith (Sydney Kings)
Mark Worthington (Sydney Kings)
Intérieurs :
Chris Anstey (Melbourne Tigers)
Andrew Bogut (Milwaukee Bucks, NBA)
Wade Helliwell (Virtus Roma, ITA)
Russell Hinder (Sydney Kings)
Alexs Maric (Nebraska, NCAA)
Brésil
Meneurs :
Leandrinho Barbosa (Phoenix Suns, NBA)
Marcelinho Huertas (Joventud Badalona, ESP)
Nezinho (COC Ribeirão Preto)
Arrières-Ailiers :
Alex Garcia (COC Ribeirão Preto)
Guilherme Giovanonni (BC Kiev, UKR)
Marcelinho Machado (Telemig Celular)
Marcus Toledo (CB L’Hospitalet, ESP)
Intérieurs :
Rafael Araujo (Utah Jazz, NBA)
André Bambu (Parmesa Castellon, ESP)
Murilo Becker (Franca Basquete)
Estevam Ferreira Jr (Telemig Celular Unitri)
Tiago Splitter (Tau Ceramica Vitoria, ESP)
Caio Torres (Rayet Guadajara, ESP)
Anderson Varejao (Cleveland Cavaliers, NBA)
A suivre...
Panama
Meneurs :
Eduardo Cota (FC Barcelone, ESP)
Michael Hicks (Canguros de Parque Lefevre)
Abdiel Mendieta (Los Toros del Chorrillo)
Jair Peralta (Panteras de Miranda, VEN)
Arrières-Ailiers :
Ruben Douglas (Dynamo Moscou, RUS)
Maximiliano Gomez (Los Toros del Chorrillo)
Enrique Huie (Galacticos de Juan Diaz)
Dionisio Gomez (Central Entrerriano de Gualeguaychu, ARG)
Daniel King (Canguros de Parque Lefevre)
Danilo Pinnock (George Washington, NCAA)
Intérieurs :
Eric Cardenas (Defensor Sporting Club, URU)
Ruben Garces (Pamesa Valencia, ESP)
Antonio Garcia (Los Toros del Chorrillo)
Jamaal Levy (Atletico Bigua, URU)
Jaime Lloreda (Al Ittihad Jeddah, KSA)
Groupe C
Australie
Meneurs :
David Barlow (IUPUI, NCAA)
CJ Bruton (Brisbane Bullets)
Luke Kendall (Sydney Kings)
Steve Markovic (Etoile Rouge Belgrade, SEM)
Arrières-Ailiers :
Aaron Bruce (Baylor, NCAA)
Daniel Kickert (Saint Mary's College, NCAA)
Sam Mackinnon (Brisbane Bullets)
Brad Newley (Townsville Crocodiles)
Jason Smith (Sydney Kings)
Mark Worthington (Sydney Kings)
Intérieurs :
Chris Anstey (Melbourne Tigers)
Andrew Bogut (Milwaukee Bucks, NBA)
Wade Helliwell (Virtus Roma, ITA)
Russell Hinder (Sydney Kings)
Alexs Maric (Nebraska, NCAA)
Brésil
Meneurs :
Leandrinho Barbosa (Phoenix Suns, NBA)
Marcelinho Huertas (Joventud Badalona, ESP)
Nezinho (COC Ribeirão Preto)
Arrières-Ailiers :
Alex Garcia (COC Ribeirão Preto)
Guilherme Giovanonni (BC Kiev, UKR)
Marcelinho Machado (Telemig Celular)
Marcus Toledo (CB L’Hospitalet, ESP)
Intérieurs :
Rafael Araujo (Utah Jazz, NBA)
André Bambu (Parmesa Castellon, ESP)
Murilo Becker (Franca Basquete)
Estevam Ferreira Jr (Telemig Celular Unitri)
Tiago Splitter (Tau Ceramica Vitoria, ESP)
Caio Torres (Rayet Guadajara, ESP)
Anderson Varejao (Cleveland Cavaliers, NBA)
A suivre...
Devant la demande, la suite...
Grèce
Meneurs :
Dimitris Diamantidis (Panathinaikos)
Nikos Hatzivrettas (Panathinaikos)
Alexis Kiritsis (Maroussi Athènes)
Theodoros Papaloukas (CSKA Moscou, RUS)
Manolis Papamakarios (Olympiakos Le Pirée)
Michalis Pelekanos (AEK Athènes)
Vasilis Spanoulis (Panathinaikos)
Nikos Zizis (Benetton Trevise, ITA)
Arrières-Ailiers :
Dimos Dikoudis (Pamesa Valence, ESP)
Antonis Fotsis (Dynamo Moscou, RUS)
Michalis Kakiouzis (FC Barcelone, ESP)
Kostas Tsartsaris (Panathinaikos)
Panagiotis Vasilopoulos (Olympiakos Le Pirée)
Intérieurs :
Yannis Bourousis (Olympiakos Le Pirée)
Andreas Gliniadakis (Albuquerque Thundebirds, USA, D-League)
Loukas Mavrokefalidis (PAOK Salonique)
Lazaros Papadopoulos (Dynamo Moscou, RUS)
Sofoklis Schortsianitis (Olympiakos Le Pirée)
Lituanie
Meneurs :
Tomas Delininkaitis (Lietuvos Rytas)
Giedrius Gustas (Rygos Barons-LU, LET)
Mantas Kalnietis (Zalgiris Kaunas)
Arrières-Ailiers :
Simas Jasaitis (Lietuvos Rytas)
Art?ras Jomantas (Šiauli? Šiauliai)
Linas Kleiza (Denver Nuggets, NBA)
Mindaugas Lukauskis (Lietuvos Rytas)
Arvydas Macijauskas (New Orleans-Oklahoma City Hornets, NBA)
Mindaugas Žukauskas (Siena, ITA)
Intérieurs :
Paulius Jank?nas (Zalgiris Kaunas)
Robertas Javtokas (Lietuvos Rytas)
Darjuš Lavrinovi? (Zalgiris Kaunas)
Kšyštof Lavrinovi? (Kazan?s Unics, RUS)
Darius Songaila (Chicago Bulls, NBA)
A suivre...
Grèce
Meneurs :
Dimitris Diamantidis (Panathinaikos)
Nikos Hatzivrettas (Panathinaikos)
Alexis Kiritsis (Maroussi Athènes)
Theodoros Papaloukas (CSKA Moscou, RUS)
Manolis Papamakarios (Olympiakos Le Pirée)
Michalis Pelekanos (AEK Athènes)
Vasilis Spanoulis (Panathinaikos)
Nikos Zizis (Benetton Trevise, ITA)
Arrières-Ailiers :
Dimos Dikoudis (Pamesa Valence, ESP)
Antonis Fotsis (Dynamo Moscou, RUS)
Michalis Kakiouzis (FC Barcelone, ESP)
Kostas Tsartsaris (Panathinaikos)
Panagiotis Vasilopoulos (Olympiakos Le Pirée)
Intérieurs :
Yannis Bourousis (Olympiakos Le Pirée)
Andreas Gliniadakis (Albuquerque Thundebirds, USA, D-League)
Loukas Mavrokefalidis (PAOK Salonique)
Lazaros Papadopoulos (Dynamo Moscou, RUS)
Sofoklis Schortsianitis (Olympiakos Le Pirée)
Lituanie
Meneurs :
Tomas Delininkaitis (Lietuvos Rytas)
Giedrius Gustas (Rygos Barons-LU, LET)
Mantas Kalnietis (Zalgiris Kaunas)
Arrières-Ailiers :
Simas Jasaitis (Lietuvos Rytas)
Art?ras Jomantas (Šiauli? Šiauliai)
Linas Kleiza (Denver Nuggets, NBA)
Mindaugas Lukauskis (Lietuvos Rytas)
Arvydas Macijauskas (New Orleans-Oklahoma City Hornets, NBA)
Mindaugas Žukauskas (Siena, ITA)
Intérieurs :
Paulius Jank?nas (Zalgiris Kaunas)
Robertas Javtokas (Lietuvos Rytas)
Darjuš Lavrinovi? (Zalgiris Kaunas)
Kšyštof Lavrinovi? (Kazan?s Unics, RUS)
Darius Songaila (Chicago Bulls, NBA)
A suivre...
Le baby shaq grec ...Karamba wrote:Sofoklis Schortsianitis (Olympiakos Le Pirée)
Merci Karamba pour les séléctions ... notez le nombre de meneurs pour la grèce :lol:
La lituanie a encore une sacrée bele équipe malgré les absences de Jasikévicius et Ilgauskas ...
Javtokas, Lavrinovic, Songaila, Zukauskas, Macijauskas, ... ça peut faire mal ...
A Athènes de vrais tests
Après trois semaines de stages à Divonne-Les-Bains, entrecoupé d’un tournoi à Strasbourg, les Bleus ont quitté leur base de préparation de l’Ain pour rejoindre la chaude ville d’Athènes. Les français joueront lors du Tournoi de l’Acropolis, l’Italie, la Croatie et la Grèce.
Claude Bergeaud le sait, ce tournoi de l’Acropolis est le test attendu pour véritablement jauger son équipe et clarifier ses futurs choix pour la sélection finale. A Athènes, les oppositions de hautes volées, que vont procurer l’Italie, la Croatie et la Grèce sont également attendues par les joueurs qui piétinent à l’idée d’entrer dans de vrais rencontres aiguisant leurs âmes de compétiteurs nés.
Le programme à Athènes (pour les horaires en France, enlever 1h)
Lundi 31 juillet : (entraînement : 10h-11h) : Matches : 18h45 : France – Italie / 21h00 : Grèce – Croatie (17h45 en France)
Mardi 1er août : 18h45 : France – Croatie / 21h00 : Grèce – Italie (17h45 en France)
Mercredi 2 août : 18h45 : Croatie – Italie / 21h00 : Grèce – France (20h00 en France)
Un transfert sans problème
Malgré une vingtaine de minutes de retard au décollage, le transfert en avion entre Genève et Athènes, sur la compagnie SwissAir, s’est bien déroulé et les joueurs ont pu profiter des trois heures de vol pour se restaurer et se reposer avant d’arriver dans la capitale Grec. A l’arrivée des Bleus point de comité d’accueil, seul le chauffeur du bus, sympathique au demeurant, était présent pour amener la délégation à l’hôtel. Une fois sur place, si tout était parfaitement préparé pour l’arrivée des Bleus, aucune indication n’avait été donnée au chauffeur du bus pour aller à la salle pour l’entraînement. Il aura fallu « deviner » le nom de la salle d’entraînement pour indiquer la bonne adresse au chauffeur.
Une insolite accolade
Frédéric Weis fut le premier surpris. En arrivant à la salle Olympique pour l’entraînement en fin de journée lundi, et en descendant du bus, le grand pivot français, s’est trouvé nez à nez avec un personnage assez intriguant puisque ce dernier est tombé dans les bras de l’international. Frédéric Weis ne semblait pas l’avoir reconnu. Pas un mot ne fut échangé entre les deux hommes, mais une franche rigolade a par la suite éclaté entre les joueurs français, se moquant gentiment de l’intérieur, lui aussi « mort de rire », pensant qi’il devait avoir laissé quelques traces indélébiles de son passage en Grèce au PAOK Salonique en 2000-2001.
Sur place à Athènes, Fabrice Canet (FFBB)
Après trois semaines de stages à Divonne-Les-Bains, entrecoupé d’un tournoi à Strasbourg, les Bleus ont quitté leur base de préparation de l’Ain pour rejoindre la chaude ville d’Athènes. Les français joueront lors du Tournoi de l’Acropolis, l’Italie, la Croatie et la Grèce.
Claude Bergeaud le sait, ce tournoi de l’Acropolis est le test attendu pour véritablement jauger son équipe et clarifier ses futurs choix pour la sélection finale. A Athènes, les oppositions de hautes volées, que vont procurer l’Italie, la Croatie et la Grèce sont également attendues par les joueurs qui piétinent à l’idée d’entrer dans de vrais rencontres aiguisant leurs âmes de compétiteurs nés.
Le programme à Athènes (pour les horaires en France, enlever 1h)
Lundi 31 juillet : (entraînement : 10h-11h) : Matches : 18h45 : France – Italie / 21h00 : Grèce – Croatie (17h45 en France)
Mardi 1er août : 18h45 : France – Croatie / 21h00 : Grèce – Italie (17h45 en France)
Mercredi 2 août : 18h45 : Croatie – Italie / 21h00 : Grèce – France (20h00 en France)
Un transfert sans problème
Malgré une vingtaine de minutes de retard au décollage, le transfert en avion entre Genève et Athènes, sur la compagnie SwissAir, s’est bien déroulé et les joueurs ont pu profiter des trois heures de vol pour se restaurer et se reposer avant d’arriver dans la capitale Grec. A l’arrivée des Bleus point de comité d’accueil, seul le chauffeur du bus, sympathique au demeurant, était présent pour amener la délégation à l’hôtel. Une fois sur place, si tout était parfaitement préparé pour l’arrivée des Bleus, aucune indication n’avait été donnée au chauffeur du bus pour aller à la salle pour l’entraînement. Il aura fallu « deviner » le nom de la salle d’entraînement pour indiquer la bonne adresse au chauffeur.
Une insolite accolade
Frédéric Weis fut le premier surpris. En arrivant à la salle Olympique pour l’entraînement en fin de journée lundi, et en descendant du bus, le grand pivot français, s’est trouvé nez à nez avec un personnage assez intriguant puisque ce dernier est tombé dans les bras de l’international. Frédéric Weis ne semblait pas l’avoir reconnu. Pas un mot ne fut échangé entre les deux hommes, mais une franche rigolade a par la suite éclaté entre les joueurs français, se moquant gentiment de l’intérieur, lui aussi « mort de rire », pensant qi’il devait avoir laissé quelques traces indélébiles de son passage en Grèce au PAOK Salonique en 2000-2001.
Sur place à Athènes, Fabrice Canet (FFBB)
La Grèce est encore à 18, il faut dire. Mais 8 meneurs dans un groupe de 18, ça fait beaucoup, c'est vrai...vinsanity wrote:Merci Karamba pour les séléctions ... notez le nombre de meneurs pour la grèce :lol:
Bon, France-Italie à 17h45, il doit bien y avoir une télé cablée, grecque ou italienne, pour diffuser ce match, non ?
Tout juste ... il en reste deux à virer pour être 12 ...
L'une des places se joue entre Yannick Bokolo et Joseph Gomis. L'autre se joue entre Ronny Turiaf et Johan Petro ... à moins que les perfs fantomatique de Julian depuis le début de la préparation ne changent la donne (8pts 5rbds face à la Suisse en 16min et depuis, un seul match, 1pt 2rbds en 10min face à la Lituanie). Cependant cette possibilité me semble bien improbable ... ça m'etonnerai que Bergeaud ne fasse pas jouer Julian pour le virer, si il voulait le virer, il l'aurait fait jouer pour voir ce qu'il valait à coté de Turiaf ou Petro.
L'une des places se joue entre Yannick Bokolo et Joseph Gomis. L'autre se joue entre Ronny Turiaf et Johan Petro ... à moins que les perfs fantomatique de Julian depuis le début de la préparation ne changent la donne (8pts 5rbds face à la Suisse en 16min et depuis, un seul match, 1pt 2rbds en 10min face à la Lituanie). Cependant cette possibilité me semble bien improbable ... ça m'etonnerai que Bergeaud ne fasse pas jouer Julian pour le virer, si il voulait le virer, il l'aurait fait jouer pour voir ce qu'il valait à coté de Turiaf ou Petro.
As-tu lu l'itw de Weis dans BN cette semaine ? Il parle de la concurrence de Petro et dit ceci : "C'est pas mal un vieux et un jeune de 2.17 m, ensemble sur le parquet ! En plus, je pense qu'il a les capacités physiques pour jouer 4."vinsanity wrote:Tout juste ... il en reste deux à virer pour être 12 ...
L'une des places se joue entre Yannick Bokolo et Joseph Gomis. L'autre se joue entre Ronny Turiaf et Johan Petro ... à moins que les perfs fantomatique de Julian depuis le début de la préparation ne changent la donne (8pts 5rbds face à la Suisse en 16min et depuis, un seul match, 1pt 2rbds en 10min face à la Lituanie). Cependant cette possibilité me semble bien improbable ... ça m'etonnerai que Bergeaud ne fasse pas jouer Julian pour le virer, si il voulait le virer, il l'aurait fait jouer pour voir ce qu'il valait à coté de Turiaf ou Petro.
Intéressant, peut-être le signe que Petro est plus proche des 12 que Turiaf... Je dois dire qu'un 5 : Parker-Gelabale-Diaw-Petro-Weis, ça aurait une belle gueule.
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Une première victoire face à l’Italie à Athènes
Dans une partie qu’ils ont maîtrisé de bout en bout, les Français se sont imposés face à la jeune Italie 66-59. Tony Parker termine meilleur marqueur avec 23 points mais c’est dans le secteur intérieur que doit se faire le plus gros du travail pour trouver sa vitesse de croisière.
Photo : Tony Parker score 23 points en 26 minutes et a conduit les Bleus à la victoire. (Bellenger/IS/ FFBB)
Claude Bergeaud avait demandé à ses joueurs de l’implication pour entrer de bonne manière dans ce tournoi de l’Acropolis. Ce fut chose faite. D’entrée de jeu les Bleus effectuent un bon départ. En trois minutes les Français infligent un 8-0 (8-3), avec Parker et Mike Pietrus à la conclusion d’actions bien amenées. Boris Diaw, qui rate ses deux premiers tirs, ne semble pas trop dans le rythme, mais Claude Bergeaud fait beaucoup tourner son effectif et seulement Joseph Gomis n’est pas encore entré après 11 minutes de jeu.
Les deux formations se neutralisent à l’entame du second quart (22-16) et c’est sur un dunk de Florent Pietrus à la 4ème minute que le score se débloque en faveur des Bleus (24-16). Les rotations défensives des bleus perturbent les Italiens qui ne trouvent leur salut que sur la ligne des lancers-francs (4 lancers marqués sur 9 points dans cette période). La domination au rebond des Tricolores est flagrante (26 rebonds à 13 à la pause, dont 10 rebonds offensifs). Parker brille par sa classe et inscrit 16 points à la pause en 14 minutes. Mi-temps : 36-25.
Après avoir encaissé un 6-0 (41-33), Claude Bergeaud demande un temps-mort. Défensivement les Français n’y sont plus. Les Italiens jouent plus larges et leurs « drive » créent des brèches dans la défense des Bleus. Le coach Français décide alors de changer de défense et passe en zone 3-2 qui permet aux tireurs transalpins de lancers quelques flèches mais la France repart dans le bon sens et passe un 13-3 avec notamment un panier à trois points de Jeanneau au buzzer de la fin de période. Avec 11 points d’avance à la 30ème minute, les Bleus s’en sortent plutôt bien (58-47).
Toujours en « Zone » à l’entame de ce dernier quart, Gigli se régale (2 paniers à 3 points et 8 points à lui seul) et la squadra Azzura revient dans les traces des Bleus (61-55). Sur le parquet c’est le retour dans les 4 dernières minutes de Julian, Parker et Mike Pietrus pour donner de l’expérience à cette équipe et tenir la fin de match. Les Français ne tremblent pas et devront encore insister dans le secteur intérieur pour trouver le bon équilibre. Score final : 66-59.
France – Italie : 66-59 (22-16, 14-9, 22-22, 8-12)
Les marqueurs :
France :
Gomis 3, Gelabale 0, Jeanneau 5, Foirest 0, Pietrus M 11, Parker 23 (3 passes), Diarra 5, Pietrus F 5, Julian 0, Diaw 2, Petro 4, Weis 8 (8 rebonds).
Ne jouent pas : Bokolo, Turiaf.
Italie :
Basile 6 (6 passes), Mancinelli 1, Soragna 2, Marconato 2, Pecile 6, Michelori 0, Mordente 4, Garri 6, Gigli 11 (6 rebonds), Di Bella 3, Belinelli 14, Di Giuliomaria 4.
Ne jouent pas : Boscagin, Cittadini, Giochetti, Pecile, Rocca.
Une salle déserte
Jouer dans une salle de 20 000 places, et devant un peu plus de 100 spectateurs, (dont Jacques Klopp de l’AFP et David Loriot du quotidien l’Equipe) est une véritable désolation. C’est ce qu’ont vécu les coéquipiers de Boris Diaw, lors de cette première rencontre face à l’Italie lors du tournoi de l’Acropolis. Les vacances, la chaleur n’expliquent pas tout et on peut se demander si le constat de la baisse d’affluence dans les salles Grecques depuis quelques temps ne va pas empirer dans les années à venir.
Sur place à Athènes, Fabrice Canet (FFBB)
http://www.basketfrance.com
Dans une partie qu’ils ont maîtrisé de bout en bout, les Français se sont imposés face à la jeune Italie 66-59. Tony Parker termine meilleur marqueur avec 23 points mais c’est dans le secteur intérieur que doit se faire le plus gros du travail pour trouver sa vitesse de croisière.
Photo : Tony Parker score 23 points en 26 minutes et a conduit les Bleus à la victoire. (Bellenger/IS/ FFBB)
Claude Bergeaud avait demandé à ses joueurs de l’implication pour entrer de bonne manière dans ce tournoi de l’Acropolis. Ce fut chose faite. D’entrée de jeu les Bleus effectuent un bon départ. En trois minutes les Français infligent un 8-0 (8-3), avec Parker et Mike Pietrus à la conclusion d’actions bien amenées. Boris Diaw, qui rate ses deux premiers tirs, ne semble pas trop dans le rythme, mais Claude Bergeaud fait beaucoup tourner son effectif et seulement Joseph Gomis n’est pas encore entré après 11 minutes de jeu.
Les deux formations se neutralisent à l’entame du second quart (22-16) et c’est sur un dunk de Florent Pietrus à la 4ème minute que le score se débloque en faveur des Bleus (24-16). Les rotations défensives des bleus perturbent les Italiens qui ne trouvent leur salut que sur la ligne des lancers-francs (4 lancers marqués sur 9 points dans cette période). La domination au rebond des Tricolores est flagrante (26 rebonds à 13 à la pause, dont 10 rebonds offensifs). Parker brille par sa classe et inscrit 16 points à la pause en 14 minutes. Mi-temps : 36-25.
Après avoir encaissé un 6-0 (41-33), Claude Bergeaud demande un temps-mort. Défensivement les Français n’y sont plus. Les Italiens jouent plus larges et leurs « drive » créent des brèches dans la défense des Bleus. Le coach Français décide alors de changer de défense et passe en zone 3-2 qui permet aux tireurs transalpins de lancers quelques flèches mais la France repart dans le bon sens et passe un 13-3 avec notamment un panier à trois points de Jeanneau au buzzer de la fin de période. Avec 11 points d’avance à la 30ème minute, les Bleus s’en sortent plutôt bien (58-47).
Toujours en « Zone » à l’entame de ce dernier quart, Gigli se régale (2 paniers à 3 points et 8 points à lui seul) et la squadra Azzura revient dans les traces des Bleus (61-55). Sur le parquet c’est le retour dans les 4 dernières minutes de Julian, Parker et Mike Pietrus pour donner de l’expérience à cette équipe et tenir la fin de match. Les Français ne tremblent pas et devront encore insister dans le secteur intérieur pour trouver le bon équilibre. Score final : 66-59.
France – Italie : 66-59 (22-16, 14-9, 22-22, 8-12)
Les marqueurs :
France :
Gomis 3, Gelabale 0, Jeanneau 5, Foirest 0, Pietrus M 11, Parker 23 (3 passes), Diarra 5, Pietrus F 5, Julian 0, Diaw 2, Petro 4, Weis 8 (8 rebonds).
Ne jouent pas : Bokolo, Turiaf.
Italie :
Basile 6 (6 passes), Mancinelli 1, Soragna 2, Marconato 2, Pecile 6, Michelori 0, Mordente 4, Garri 6, Gigli 11 (6 rebonds), Di Bella 3, Belinelli 14, Di Giuliomaria 4.
Ne jouent pas : Boscagin, Cittadini, Giochetti, Pecile, Rocca.
Une salle déserte
Jouer dans une salle de 20 000 places, et devant un peu plus de 100 spectateurs, (dont Jacques Klopp de l’AFP et David Loriot du quotidien l’Equipe) est une véritable désolation. C’est ce qu’ont vécu les coéquipiers de Boris Diaw, lors de cette première rencontre face à l’Italie lors du tournoi de l’Acropolis. Les vacances, la chaleur n’expliquent pas tout et on peut se demander si le constat de la baisse d’affluence dans les salles Grecques depuis quelques temps ne va pas empirer dans les années à venir.
Sur place à Athènes, Fabrice Canet (FFBB)
http://www.basketfrance.com
(dont Jacques Klopp de l’AFP et David Loriot du quotidien l’Equipe)BriKo wrote:100 spectateurs :bravo: :bravo:
:???: Si la ffbb veut me payer des vacances à Athènes, je suis partant pour aller encourager les Bleus et mettre le feu à l'Acropole dès demain.
PS : Je suis aussi libre fin août pour un éventuel voyage au Japon.
Pfouuuu
Bobo qui marque 2pts
0 pour Gelabale, Foirest et Julian
C'est pas Jojo ...
Heureusement, un excellentissime TP, qui survole pour le moment en EDF, j'éspère de tout coeur que Bobo va réussir à se mettre au diapason comme lors des 2 premiers matches à Strasbourg, car cet axe fort TP-Bobo peut nous emmener très très loin à mon avis.
Sinon, Bokolo et Turiaf qui ne jouent pas ... un signe ?
Je suis curieux de voir si Julian va aller au Japon, car certes, il est experimenté, mais il semble quand meme pas dans une bonne forme, ...
Bobo qui marque 2pts
0 pour Gelabale, Foirest et Julian
C'est pas Jojo ...
Heureusement, un excellentissime TP, qui survole pour le moment en EDF, j'éspère de tout coeur que Bobo va réussir à se mettre au diapason comme lors des 2 premiers matches à Strasbourg, car cet axe fort TP-Bobo peut nous emmener très très loin à mon avis.
Sinon, Bokolo et Turiaf qui ne jouent pas ... un signe ?
Je suis curieux de voir si Julian va aller au Japon, car certes, il est experimenté, mais il semble quand meme pas dans une bonne forme, ...
Je ne crois pas qu'il faille voir un signe dans l'absence de Bokolo et Turiaf, il faut mettre 12 joueurs sur la feuille, il y a 3 matchs à Athènes, on peut penser qu'ils joueront demain et que, sûrement, Gomis et Petro les remplaceront en tribunes. Par contre, si Julian ne joue pas demain, ça sentira mauvais pour lui... M'enfin, n'oublions pas qu'il y a quelques années, on se plaignait des lacunes inquiétantes des français à l'intérieur. C'est une chance d'avoir à choisir entre Weis, Petro, Turiaf, Julian, Masingue et demain Mahinmi, Ajinca, Moerman...vinsanity wrote:Sinon, Bokolo et Turiaf qui ne jouent pas ... un signe ?